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procédé de fabrication de corps creux métalliques à partir de pièces de tôle,et produits obtenus. la nouvelle invention consiste en un procédé pour la fa- brication de corps oraux en métal et destinés aux buts d'utili- sation les plus divers et dont l'enveloppe représente un theil -lis losangé. on connaît plusieurs méthodes appliquées pour la fabrication de corps creux en métal et de forme losangée..L'en- veloppe du corps creux était constituée soit de métal déployé ou de tôle perforée, soit encore par l'assemblage d'éléments séparés, comme des bandes de tôle ou similaires.
Le métal dé- ployé présente le désavantage que les nervures du losange présentent des arêtes et que ses tranchants aigus offrent'con- stamment une source de danger pour blessure et endommagement des marchandises. La solidité statique du métal déployé est
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très faible en raison de Ce que les nervures sont tordues sous un angle et que ces nervures ont une faible largeur. pour cet- te raison, la fabrication de pareils articles est liée à des é- ppisseurs de tôle minimum. Les tales très minces ne peuvent pas être travaillées pour produire du métal déployé. cependant,pour la fabrication de corps creux en tale, destinés aux usages les plus divers, il n'est souvent nécessaire que d'avoir de faibles épaisseurs de parois.
Dans ces cas, et pareillement là où le métal déployé ne peut être utilisé en raison de ses qualités désavantageuses prémentionnées, on a recours généralement à l'emploi de tôles perforées pour la fabrication de corps creux en treillis. Il est connu que la tôleperforéeexige des prix de revient très élevés, ceux-ci sont justifiés du fait d'un déchet très considérable produit par l'estampage ainsi que du fait des frais de travail très élevés ; ces frais sont également augmentés par la nécessité considérable d'outils et de machines .
Les enveloppes de corps creux en forme de treillis, construites d'éléments séparés, sont très coûteuses pour des raisons compré- hensibles résultant de la méthode de travail très compliquée. De plus, les points de liaison nombreux des éléments séparés pré- sentent une source de danger constante qui est motivée par la possibilité des dangers de corrosion et de rupture et par le dan- ger d'endommagement des produits à protéger par les corps creux. on rencontrait jusqu'à présent des difficultés considérables dans la fabrication de corps creux en treillis à partir de tôle métallique, corps ayant une forme spéciale, par exemple une forme conique, en double cane, ventrueou autre.
on eut recours, pour contourner les procédés de fabrication décrits ci-devant, à la fabrication d'enveloppes de tôle entièrement fermées et que l'on soumet alors à un estampage subséquent pour obtenir la forme de treillis. Qu'une pareille méthode de fabrication est très compliquée et reste liée également à des frais très élevés, se comprend aisément.
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L'invention.traite,mslnte#nt d'un procédé réellement sim- plifié et, en outre, très avantageux pour 1a fabrication de corps creux en forme de treillis et à partir de tale métallique.
Le treillis obtenu présente en même temps une conformation losangée très particulière et originale, selon l'invention, on construit d'abord., et d'une manière connue, d'un morceau de tô- le, une enveloppe de tambour cylindrique ou conique, selon les exigences. La tôle ou même l'enveloppe de tôle est pourvue sur tout son contour de fentes longitudinales, qui sont disposées de manière décalée ou en quinconce l'une par rapport à l'autre.
L'enveloppe cylindrique est d'un diamètre remarquablement moin- dre que le corps creux losangé qu'il convient de produire. pour le moins elle ne dépasse pas le plus petit diamètre du corps creux fabriqué. La forme définitive du corps creux est obtenue par expansion de l'enveloppe de tambour. De ce fait, on étire des nervures de position oblique, limitées par les fentes dis- posées en quinconce et il en résulte un treillis parfaitement losangé. Ces nervures se placent avec leur face plane dans le plan de l'enveloppe du corps creux. En opposition au métal dé- ployé formé de manière similaire, la construction de treillis losangé,produite selon le présent procédé, présente l'avantage que la surface extérieure est unie et qu'elle ne comporte pas les arêtes tranchantes du métal déployé.
De plus, le treillis losangé uni présente une plus grande stabilité du fait, par exemple, que dans des corps creux circulaires le plus grand moment d'inertie de la section de nervures entre constamment en action, De plus, par une disposition appropriée des fentes, on peut produire des nervures correspondant en largeur à toutes , les exigences, de façon qu'on peut sélectionner la forme du treil- lis losangé correspondant à tout but d'utilisation Quelconque.
Dors de l'expansion, respectivement de l'extension par pression de l'enveloppe de tambour, l'agrandissement de diamètre s'effec- tue sans .dilatation; c'est-à-dire sans affaiblissement de la
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section transversale des nervures qui, de ce fait, gardent la solidité de l'enveloppe de tôle originale. cette méthode rend également possible une limitation précise dans le poids de li- vraison du corps creux en forme de treillis, par un choix conve- nable de l'épaisseur de tôle servant à produire l'enveloppe de tambour;
ceci constitue un avantage considérable au point de vue de chaque but d'utilisation quelconque, et des capacités d' expédition industrielle. un autre avantage considérable inhérent aux corps creux fabriqués selon le procédé inventif, corps ayant la forme de treillis losangé, consiste dans le fait que le treillis constitue un ensemble fermé entièrement dénué de points de liaison et formé ainsi d'un matériau de saine condition, il en résulte que les sources de danger, que représentent les en- droitsde liaison d'un genre quelconque, sont éliminées définiti- vement.
Dans le présent procédé, on réslise une économie consi- dérable en matière du fait que, d'une part, en dehors du déchet très minime résultant de la formation des fentes de l'enveloppe de tôle, il ne se produit pas de déchet d'autre nature. D'autre part, on n'a besoin que d'une tôle de métal relativement petite pour la fabrication de l'enveloppe de treillis, étant donné que cette enveloppe résulte de l'expansion d'une enveloppe de tam- bour de petit diamètre jusqu'au diamètre définitif. De plus, comme mentionné ci-devant, la solidité de paroi de l'ouvrage en treillis reste inchangée vis-à-vis de la solidité de tôle ori- gine le.
Une caractéristique particulière du procédé selon l'inven- tion réside dans l'expansion de l'enveloppe de tambour pourvue de fentes disposées en quinconce. afin de produire le treillis losangé. Les nervures se placent, uniquement sous l'effet d'ex- pansion, avec leur face plane dans le plan de l'enveloppe sui- vant une position oblique. L'expansion peut s'effectuer de ma-
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ni.ères diverses, par exemple par introduction d'un noyau à l'aide d'une presse ou par laminage, respectivement aplanis- sement, ceci d'après la forme du corps creux définitif à pro- duire. Le procédé comporte également l'application de con- solidations appropriées dans le treillis losangé du corps creux.
Quoique la construction du treillis losangé présente par lui-mme une stabilité considérable, il persiste néanmoins la possibilité de réaliser une augmentation de cette stabilité du corps creux par application de consolidations supplémentai- res ceci s'effectue soit par application .de bourrelets dispo- sés horizontalement ou axialement, soit de dépressions boudinées, produites pendant ou après l'opération d'expansion.
'Une autre possibilité de consolidation consiste à inter- caler des nervures massives, soit des bandes de tôle conti- nues à même l'enveloppe du corps creux, bandes qui alternent avec le treillis losangé. on produit ces bandes, selon l'in- vention, en prévoyant que la pièce de tôle, servant à produi- re l'enveloppe de tambour, ne soit pas fendue aux endroits où il convient de situer ces bandes.
Il résulte également de cet- te méthode une possibilité de déformation déterminée de l'en- veloppe de corps creux qui résulte de dispositions construc- tionnelles et qui est motivée parfois pour des raisons d'ap- parence Les bandes de tale ou nervures qui alternent avec le treillis losangé seront pourvues avantageusement de dépassions consolidantes qui peuvent également servir comme guidage pour l'outil d'expansion, par exemple le moyan de presse. De cette façon, on peut régler uniformément l'alternance des nervures de treillis sur toute la périphérie de l'enveloppe de tambour.
De la même facoqu'on peut prévoir des nervures longitudinales, il est également possible de produire des nervures massives en tête ou à la base, qui, en même temps, facilitent le sertissage du fond et le bordage de l'anneau terminal, lesdites nervures apportant aussi une consolidation effective. L'expansion d'en-
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veloppe cylindrique, obtenue selon le méthode inventive, pour produire une construction de treillis losangé, permet la produc -tion d'enveroppes de corps creux de forme quelconque. Ainsi, l'on peut former des enveloppes cylindriques, coniques, en double cône, ventrues, carrées, polygonales, etc..
Le déforma- tion peut tre influencée de façon correspondante par la pré- sence de nervures massives, respectivement de bandes de tôle
Il se présente une possibilité d'utilisation très variée pour les corps creux en forme de treillis losangé, on peut utiliser ces corps comme récipients forme corbeilles de genre par exemple des paniers protecteurs pour touries à acide différent,/ ces dans lequel la forme de treillis est préférée pour des raisons connues. Un autre domaine d'application con- stitue la production de récipients en forme de corbeilles pour les fruits, pommes de terre, légumes; etc.. on peut ici référer aux incompatibilités qui accompagnent l'emploi de paniers en bois qu'on utilise jusqu'à présent pour les fruits frais.
Le bois absorbe le jus des fruits blessés ou abtmés et, par après, le panier présente une apparence malpropre. Il n'y a pas lieu d'insister davantage sur l'effet désavantageux sur les fruits de valeur par l'emploi de paniers en bois qui ont été salis et auxquels adhèrent les autres impuretés résultant des déchets de fruits. De plus, il n'y a également pas lieu d'in- sister sur les considérations au point de vue hygiénique, qui peuvent avoir des suites désagréables. Il se fait ainsi que les paniers en bois ne sont utilisés qu'une seule fois pour le but envisagé, et les frais de ces emballages renchérissent très considérablement les fruits, respectivement tout article de transport de ce genre.
Les conditions sont toutes autres lors de l'emploi de paniers de transport fabriqués selon le procédé inventif ou de l'emploi de récipients d'emballage sem- blables en forme de treillis losangé. Les avantages hygiéniques
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ne peuvent être dépassés-. Le contenu des récipients peut 'être protégé par des recouvrements quelconques et les répipients peuvent être facilement Nettoyés. La conservation illimitée as- sure un emploi répété qui, à côté des prix de revient réduits, peut avoir une influence considérable pour réduire les prix de la marchandise à emballer, telle les fruits, les légumes, etc..
Le procédé inventif permet la fabrication de récipients en forme de treillis losangé à partir des tôles les plus min- ces, de manière que les articles sont très légers et qu'on réa -lise des économies appréciables en frais de transport. Les surfaces extérieures unies du treillis losangé excluent tout endommagement de la marchandise expédiée. A titre des possibi- lités d'emploi autres et qui sont nombreuses, ces corps creux en treillis losangé peuvent,par exemple, servir comme treillis protecteur pour les arbres, échafaudages pour la construction, armatures pour béton, parois en treillis pour cireur es, sépara -tions, etc..
Ses derniers éléments sont fabriqués suivant une extension du procédé inventif, extension selon laquelle l'en- veloppe de tambour fendue est simplement fixée le long d'un bord longitudinal pour 'être ensuite expansée jusqu'à formation d'un treillis losangé, après quoi l'on dégage les points de fixation et l'enveloppe de treillis est dépliée sur une table unie, on obtient ainsi des tôles formant treillis du genre métal déployé, mais avec cette différence que les nervures du treillis sont situées avec leur face plane dans le plan de la table et que, par conséquent, ces nervures constituent une sur- faoe extérieure unie.
La figure 1 montre une feuille de tale a, dont on fabrique- re le corps creux et qui comportedes fentes b en disposition décalée.
Le figure 2 montra l'enveloppe de tambour a enroulée et constituée par la feuille de tôle a susdite, le joint longitu-
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dinel étant, de préférence, réalisé par soudure. L'expansion de l'enveloppe de manteau c selon la figure 2, pour obtenir la conformation en treillis, se produit avantageusement en plusieurs phases.
La figure 3 montre l'enveloppe de tale a, élargie d'abord de façon conique. On reconnaît déjà, de cette façon, comment se forme le treillis losangé par les branches d
La figure 4 montre l'enveloppe c élargie, après la deuxième expansion en formede cône, cette forme étant déjà. d'un usage général.
La figure 5 représente une forme . ventrue de l'enveloppe c que l'on obtient par une expansion complémentaire de la forme illustrée dans la, figure 4. Cette enveloppe c peut servir avan- tageusement comme panier qui, de façon connue, est équipé, en tête, d'un anneau de fermeture e, et d'un anneau de base f en- tourant la construction du fond, tel qu'il est illustré dans la figure 6, qui montre le panier losangé prêt à l'usage.
Dans cet- te figure, on peut également se rendre compte de la disposition appropriée des poignées g Les entailles h, donnant l'espace pour la poignée, peuvent être pratiquées soit après l'expansion du panier ou encore dans la feuille de tôle e avant que celle- ci soit enroulée en forme de tambour, et cette pratique ne peut avoir aucune influence sur la conformation du treillis lors de 1' expansion.
La figure 7 montre en détail et sur plus grande échelle, approximativement à grandeur naturelle, les points de transition des branches d du treillis losangé. On reconnaît les points i terminés en arrondi résultant des fentes b qui empêchent notam- ment une déchirure des branches lors de la déformation.
La consolidation de l'enveloppe en forme de treillis losan- gé à l'aide de dépressions nervurées se trouve illustrée en coupe longitudinale dans la figure 8. et en section transverse-
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le dans la figure 9. L'enveloppe de panier ±!. comporte des dé- pressions circulaires k et des dépressions longitudinales 1.
La figure 10 montre la tôle m servant à fabriquer une en- veloppe dans laquelle la disposition de fentes b se trouve partiellement interrompue, de façon à laisser des bandes op ponts massifs n; ceux-ci produisent des bandes ou nervures lon- gitudinales q dans le panier façonné de cette tôle, ces bandes alternant avec le treillis losangé pour constituer ainsi un en- semble fermé, ces bandes o peuvent, d'autre part, 'être conso- lidées par des dépressions q qui peuvent également servir ou- me guidage pour l'outillage d'expansion.
Le figure 12 montre une enveloppe de treillis losangé de forme cylindrique.
Dans la figure 13 se trouve illustrée une feuille de tale r, destinée à la fabrication de l'enveloppe de treillis losangé f, cette tale présentant notamment un bord resté libre qui pro -duit un socle de base massif u dans le panier t selon le figure 14.
Dans la feuille de tale.! selon la figure 15 il est prévu, des deux cotés, une bande w. A l'aide de cette feuille de tôle que l'on enroule d'abord en enveloppe de tambour, on peut con- stituer, par expansion conforme à l'invention, un corps creux ventre x, selon la figure 16 et qui présente des bandes massi- ves en tête et à la base. La feuille de tôle selon la figure 17 présente, en son milieu, une bande 8 sans fentes, cette bande constituant notamment la partie centrale 3 de l'enveloppe de panier 4 selon la figure 18.
Le panier comporte ainsi un double cône et peut, tout comme dans le ces du panier ventru de la fi- gure 16 et tel qu'il est illustré par la ligne pointillée 5, être divisé en deux moitiés, de façon que l'on obtienne ainsi deux paniers,
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Dans la figure 19, on peut voir l'application d'une en- veloppe en treillis losangé façonnée en récipient carré, cet élément pouvant servir notamment comme enclos de limitation, protecteur d'arbre, armature pour bton, panier à papier ou similaire, on peut ici avantageusement introduire des bandes de tôle continues 6, disposées aux coins, de façon que les surfaces libres ? apparaissent entièrement comme treillis lo- sangé et que les coins constituent efficacement des colonnes de support en forme de cornières.
De la m'orne façon, on peut produire des éléments polygonaux sous forme de treillis lo- songé, comme il est illustré en perspective dans la figure 19a Les corps creux polygonaux peuvent 'être fabriqués par une dé- formation correspondante de l'enveloppe de treillislosangé ex- pansée définitivement, soit encore par une expansion indirecte de l'enveloppe de tambour cylindrique pour obtenir l'enveloppe polygonale désirée. cette méthode de production est illustrée dans les figures 20 à 22. La figure 20 montre une enveloppe de tambour 8, pourvue des fentes en quinconce b que l'on déforme d'abord suivant l'enveloppe rectangulaire 9 de la fig.21.
Dans une aumre phase d'expansion, pendant laquelle on laisse la fa- ce de base de l'enveloppe rectangulaire 10 selon la fig.22, on procède à une expansion du côté supérieur, de façon que les pa- rois en forme de treillis losangé, disposées symétriquement, s'étendent pour constituer des parois latérales inclinées obli- quement vers l'extérieur. Les nervures du treillis prennent alors, du coté supérieur, une position oblique quelque peu plus prononcée qu'à la base, La fig.22 montre, à titre d'exemple, un panier fini, tel qu'on peut l'utiliser pour les fruits, les lé- gumes ou similaires. Des paniers métalliques obtenus suivant cet- te méthode peuvent être facilement fermés au moyen d'un couver- ale approprié, pour être ensuite plombés.
Au point de vue sécu- rité pour la marchandise contenue dans le récipient et qu'il convient de soustraire aux attouchements non autorisés, ce dis-
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positif produit un vaantage réel. La figure 23 montre une enveloppe eh treillis losangé 11, préparée sous forme d'un . cylindre et qui présente une couture longitudinale constituée par des attaches 18. :Le manipulation a lieu de la même façon que pour la forme rectangulaire de la fig.19 D'après l'expan- sion, on constate l'avantage de pouvoir enlever les attaches 18.
Apres cela, l'enveloppe peut être dépliéesur une table plane, afin de servir comme élément de clôture ou similaire, comme il est illustré dans la fig.24, Les bandes de tôle plei- nes 14 qu'on a prévues produisent une alternance efficient dans l'apparence et constituent en même temps une possibilité de renforcement effectif.
La fabrication d'éléments en treil- lis losangé par expansion de l'enveloppe de tambour cylindri- la sécurité que présente en premier lieu, /la plus complète pour la dis- position plane et unie des nervures de treillis dans la surface du manteau, étant donné que, lors de l'expansion, les efforts annulaires qui se produisent ne permettent pas une déviation des nervures sur les bords ou encoins. C'est sur cette consta- tation que se base également la méthode illustrée dans les figures 23, et 24 et servant à produire des treillislosan- gés en forme de feuilles planes à partir de tôle métallique.
L'expansion de l'enveloppe de tambour pour obtenir les formes polygonales, s'effectue avantageusement au moyen d'une presse à tampon, ce qui assure en même temps un emplacement uniforme des nervures du treillis dans la face extérieure du manteau.
L'exposé ai-devant justifie donc que le procédé selon l'invention réalise une économie considérable dans la fabrica- tion des enveloppes de tôle métallique- losangée, notamment du fait d'une économie de matériau considérable, ces économies sont encore prouvées par les possibilités d'adaptation à tout but d'utilisation quelouque. il est évident que le procédé nouveau coopère en une large mesure à réduire les frais de fa- brication, étant donné la simplicité de la méthode vis-à-vis
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des procédés usuels servent à produire des corps creux en forme de treillis.
Il convient donc d'ajouter aux avantages techniques très considérables, des résultats économiques venant de l'application du procédé inventif, ces avantages économiques justifiant finalement l'accomplissement de nouvelles possibili- tés de fabrication. par les formes de réalisation illustrées, montrant la mise en oeuvre du procédé inventif, on se rend comptecpe l'idée in- ventive peut d'ailleurs 'être développée davantage et qu'il exis- te plutôt un nombre considérable de possibilités d'utilisation nouvelles qui toutes appartiennent à l'exploitation de la même idée inventive.
Revendications.
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