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" PERRURES DE SUSPENSION d'ISOLATEURS. "
La présente invention se rapporte aux dispositifs de suspension ou de liaison d'isolateurs du type dit maillon c'est-à-dire d'isolateurs com- portant pour les attaches métalliques des surfaces d'appui incurvées et en- trecroisées ou des canaux disposés transversalement ayant au moins une paroi courbe-
L'invention vise en particulier un dispositif de suspension ou de liaison comportant des éléments en forme d'écrier ou de maillon de chaine manis d'organes destinés à ampêcher la séparation des différentes pièces a- près leur assemblage,
ce qui supprime les risques de séparation accidentelle an service-
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Les dispositifs de suspension ou de liaison conformes à l'inven- tion peuvent être constitues par des organes conjugués de forme particulière, mais l'invention ne se limite nullement à l'emploi de ces formes particulières et s'applique à n'emporte quelle forme d'organes munie de dispositifs confor- mes à l'invention, destinée à empécher la séparation des différents organes après leur réunion*
L'invention prévoit des dispositifs de suspension ou de liaison comportant des organes en forme de maillon ou d'étrier ou une combinaison de ces deux sortes d'organes, ces dispositifs étant destinés à réunir en chaîne des Isolateurs de type Hewlett ou à suspendre une chaîne de ces isolateurs,
ou à suspendre ou relier des isolateurs en forme de noix de traction, toutes ces applications et toutes leurs variantes possibles rentrant dans le cadre de l'invention*
Les dispositifs de suspension et de liaison conformes à l'inven- tion peuvent 'ètre assemblés sans utiliser de dispositifs d'attache supplémen- taires et l'assemblage est maintenu pas des organes déformables faisant par- tie intégrante de l'un ou des deux maillons ou étriers conjugues*
L'invention prévoit également des tirants formant partie inté- grante des étriers de suspension et servant à éviter leur déformation sous l'effet des tensions qui s'exercent sur eux.
Les dispositifs conformes à l'invention sont simples er bon mar- ché, faciles à installer, démontables dans certains cas, et de fonctionnement sûr et durable*
On comprendre mieux les caractéristiques nouvelles et les avan- %ages de l'invention en se référant à la description suivante et aux dessins qui l'accompagnent, donnés simplement à titre d'exemple non limitatif, et dans lesquels :
La Fig. 1 est une vue en élévation, avec parties en coupe, repré- sentant une forme de réalisation s'adaptant plus particulièrement aux noix de traction*
La Fig. 2 est 'taie vue partielle en élévation d'organe*) représentés Fig. 1.
La Fig. 3 est une vue partielle de détail d'une extrémités d'une des branches d'un maillon.
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La Fig.4 est une vue de profil de l'élément représenté sur la Fig. 3.
La Fig.5 est une vue en coupé verticale prise à travers une paire d'isolateurs du type Hewlett, et montrant ces isolateurs reliés par des orga- nes conformes à une variante de l'invention.
La Fig.6 est une vue de profil en élévation d'une paire da mail- lons.
La Fig. 7 est une vue de détail en coupe, avec parties en élévatim représentant certains éléments de la Fig.5.
La Fig. 8 est une vue en coupe suivant la ligne 8-8 de la Fig.7.
La Fig.9 est une vue de profil en élévation, avec parties enlevées représentant un élément destiné à être relié à l'isolateur le plus élevé d' une chaîne d'isolateurs Hewlett pour suspendre cette chaîne*
La Fig.10 est une vue en coupe prise suivant la ligne 10-10 de la Fig. 9.
La Fig. 11 est une vue de détail en coupe prise suivant la ligne 11-11 de la Fig.9'
En se reportant aux dessins et plus particulièrement aux Fig.l à 4, 1 représente un isolateur en forme de noix de traction, de forme quelcon- que, représentée simplement à titre d'exemple non limitatif en traits inter- rompus sur les Fig. 1 et 3' Ces isolateurs sont percés de canaux transver- saux 2 disposés à angle droit au voisinage des extrémités de l'isolateur et dont la surface 3 est courbe.
Ces ouvertures débouchent dans des rainures longitudinales 4*
Les organes de suspension d'un tel isolateur comprennent un mail- lon allongé ouvert 5 dont les extrémités sont constituées par des parties plus étroites 6 se terminant par des têtes ? 7 en forme de T. de manière à former des tenons d'accrochage 8. Il est bien évidant que le maillon 5 doit avoir une forme telle, et les extrémités, avec leurs têtes, des dimensions telles, que l'Ensemble puisse être facilement introduit dans les canaux 2, la partie cour be en forme d'anse du maillon venant en contact avec la surface courbe 3, et les branches du maillon prenantplace dans les rainures 4 de chaque coté de l'isolateur.
Les parties amincies 6 et les têtes 7 dépassent quelque peu le bord supérieur de l'isolateur, comme on peut le voir sur las figures 1 et 2.
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on 8 coutume de suspendre les isolateurs de ce type à un anneau ou à une bou- cle 9 ou à un support analogue! pour la faire, on utilise un étrier représen- té à titre d'exemple non'limitatif comme ayant la forme d'un V renversé dont la partie courbée en forme d'anse est est on contact avec la pièce 9.
Les ex- trémités des bras de cet étrier sont plus larges que la partie courbée et com- portant des ouvertures 11 munies de portées 12 à leur partie inférieure; des lames 13 s'étendent longitudinalement dans ces ouvertures et forment corps avec l'étrier, mais leur épaisseur est très réduite pour qu'elles puissent être facilement courbées, Ces lames se terminent au voisiname des portées 12 et leur extrémité se trouve, pour des raisons indiquées plus loin,
à une dis- tance &es portées légèrement supérieure à la hauteur des têtes 7 du maillon 5 La face extérieure de l'extrémité du bras de lhétrier et la face intérieure de l'extrémité de l'autre bras sont percées de fentes 14 communiquant avec les ouvertures 11 et dont la largeur est légèrement supérieure à celle des parties amincies 6 du maillon 5. Au voisinage des faces des bras indiquées ci-dessus sont ménagés des épaulements 15 dominant les portées 12 et constituant des butées de retenue pour les têtes 7.
Pour la mise en place du dispositif, on fait passer le maillon 5 à travers le canal inférieur 2 de l'isolateur 1 et on le déplace jusqu'à ce qu'il occupe la position représentée Fig. 1. On fait passer l'étrier 10 dans l'anneau ou le support 9 et on le réunit au maillon 5 en amenant ce dernier dans une position telle que ses bras soient placés à gauche des bras de l'é- trier 10, lorsqu'on regarde la Fig.l, les têtes étant placées au-dessus des épaulements 15. Initialement, les lames 13 occupent les positions représentées en points et traits sur la Fig.l, de façon à dégager le passage. On déplace alors le maillon 5 par rapport à l'étrier 10, de manière à amener les tétas 7 dans les ouvertures 11, tandis que les parties amincies 6 péntrent dans les fentes 14.
Quand les portées 8 des têtes ont dépassé les épaulements 15, le maillon et l'étrier sont déplacés l'un par rapport à l'autre, de façon à ce que les portées 8 reposent sur les portées 12. A l'aide d'un tournevis ou de tout autre moyen approprie, marne à l'aide d'une pince spéciale si c'est néces- saire, l'opérateur plie les lages de facon à les amener des positions repré- sautées en traits et pointe, aux positions représentées en traits pleins sur la figure 1; de cette façon, les extrémités libres des lames se trouveront au-dessus du bords supérieur des têtes 7.
Ces lames servent alors évidement
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de butées empêchant les têtes 7 d'effectuer des déplacements vers le haut suffisamment importants pour leur permattre de franchir les épaulements 15; il est alors évident que les différentes pièces ne peuvent 'être séparées tant que les lames 13 occupant leur position de butée*
Il n'y a naturellement aucune limite au nombre d'isolateurs 1 qui peuvent former une chaîne! on peut réunir, par un dispositif analogue à celui qui a été décrit, un nombre quelconque d'éléments, car il est très simple de réunir les étriers adjacents par un anneau ou une pièce analogue.
La même disposition générale peut être utilisée pour relier une paire d'éclateurs 16 du type Hewlett dans lesquels sont mégagés des canaux incurvés 17. Pour appliquer l'invention à cet usage, on emploie une paire de maillons 18 s'adaptant l'un à l'autre; chacun d'aux a la forme d'un maillon recourbé dont une extrémité comporte une partie amincie 19 et une tête élar- gie latéralement 20, semblables respectivement à la partie amincie 6 et à la tête 7 ci-dessus décrites. L'autre extrémité de chaque maillon est considéra- blement élargie et prend plus ou moins la forme d'une enveloppe 21 comportant une ouverture 22 sur sa face extérieure, et une cavité 23 s'ouvrant à l'exté- rieur du côté de la faoe intérieure de l'enveloppe.
Au bas de la cavité 23 se trouve une portée 24, et l'extrémité de l'enveloppe est munie d'une fente 25 dont la largeur est légèrement plus grande que celle de la partie amincie 1@, de fagon à pouvoir la recevoir quand la tête 20 est placée dans la cavité 29.
La paroi de chaque Enveloppe, du coté de l'intérieur, comporte vers son'} extrémité inférieure, de chaque côté de la fente 25, des épaulement,3 26 servant de butées pour la tête 20. Une lame flexible 27, formant corps aves chaque maillon, est placée sur la cavité 231 cette lame occupe initialement la position représentée en traits et points sur la Fig.7 et peut être courbée à l'aide d'un outil introduit par l'ouverture 22, pour venir occuper la posi- tion représentée en traits pleins sur les Fig.5 et 7.
Pour relier une paire d'éléments 16 à l'aide du dispositif conforma à l'invention, on fait passer les deux maillons conjugués dans les canaux incurvés 17 des Isolateurs! après quoi on déplace les maillons l'un par rapport à l'autre de façon à amener les têtes 20 contre les faces intérieures des enveloppes 21 au-dessus du niveau des épaulements26.
Les maillons sont alors déplacés latéralement l'un par rapport à
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à l'autre pour faire pénétrer la partie amincie 19 dans les fentes 25 et pour amener les têtes 20 dans les cavités 23; ensuite, les maillons sont dé- placés l'un par rapport à l'autre pour amener les portées des têtes en con- tact avec les portées 24. Les épaulements 26 dépassent alors la face inférieu. re des tâtes. L'opérateur introduit alors un tournevis ou un outil quelconque dans chacune des ouvertures 22 et courbe les lames 27 pour les amener au- dessus des bords supérieurs des tatas adjacentes 20.
Les maillons ne peuveeit alors évidement pas se déplacer l'un par rapport à l'autre suffisamment pour qua les tatas puissent franchir les épaulements 261 tout détachement acciden- tel des différentes pièces est donc rendu impossible, puisqu'il est nécessai- re de ramener les lames à leur position initiale pour pouvoir séparer les maillons*
Dans la construction de maillons tels flue ceux représentée en 18, on a l'habitude de munir la partie courbe d'un coussinet 28 en matière mal- léable, par exemple en plomb ou en un alliage peu résistant, cette matière pouvant se mouler et s'adapter aux inégalités de la surface d'appui du canal 17, ce qui évite la concentration des efforts mécaniques sur les bossages qui pourraient exister sur la surface incurvée.
Il est bien évident que l'on peut réunir en séries ou chaînes un nombre quelconque d'éléments Hewlett au moyen de maillons conformes à l'invention*
On a trouvé par l'expérience qu'en cas de décharge d'une ligne, l'arc a tendance à contourner les éléments d'isolateurs et à frapper les mail- lons aux endroits où ils sont exposés, entre les éléments successifs.
Dans certains cas, il en résulte une fusion du métal des maillons suffisante pour ramener la résistance mécanique au-dessous de la limite de sécurité* Pour re- médier à cet inconvénient, on a trouvé préférable de rendre relativement épais les éléments de jonction des enveloppes avec les maillons et de munir les ex- trémités extérieures ou extrémités libres des enveloppes, de prolongements 28a qui, lorsque mis maillons sont assemblés, recouvrent les parties voisines des maillons, les extrémités de ces prolongements pénétrant dans les ouver- tures des canaux incurvée 17 des isolateurs* Il est évident que ces prolon- gements étiteront que les maisons ne soient fondus,
puisqu'ils reçoivent eux-mêmes les décharges et sont capables de les\supporter à cause de leur grande épaisseur, par rapport aux dimensions de la section des maillons eux- mêmes. L'accroissement d'épaisseur à l'autre extrémité des enveloppes les
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rend capables de supporter une fusion partielle.
Pour suspendre une chaîne d'isolateurs Hewlett réunis de cette manière, on peut naturellement utiliser un simple étrier tel que 10, repré- senté sur les Fig.l et 2, bien qu'il soit préférable de faire usage d'un é- trier représenté en détail sur les Fig.;à 11 montrant un étrier 29 dont la partie supérieure a la forme d'un V renversé, pouvant être suspendu à un an- neau ou à un support équivalent.
A partir d'un certain point, les bras de cet étriar deviennent de préférence parallèles, leur section s'élargit et ils dorment une sorte d'enveloppe 30 correspondant aux enveloppas représentées en 21 sur les Fig.5 à 8; ces enveloppas sont munies d'ouvertures 31 les traversant et formant dés portées 32 pour les têtes 20 disposées aux extrémités d'un maillon courbe 21 destiné à traverser le canal inférieure de l'élément le plus élevé de la chaîne* La face extérieure d'unedes enveloppes et la face intérieure de l'au tre sont munies de fentes 33 au-dessus et de chaque coté desquelles sont dis- posés des épaulements 34 servant de butées pour les têtes.
Une lame flexible 35 s'étend dans l'ouverture 31 de chaque enveloppe; ces lames occupent ini- tialement les positions représentées en traits et points sur la Fig.9 et peu- vent être courbées pour être amenées au-dessus des têtes adjacentes quand le maillon 21 est réuni à l'étrier 29, de la même façon que les maillons 18 sont reliés ensemble ou que le maillon 5 est réuni à l'étrier 10 dans la première forme de réalisation de l'invention.
A oause du poids important des chaînas d'isolateurs,' il a été trouvé préférable de protéger l'étrier 29 contre l'écrasement. On peut le faire facilement à l'aide d'un tube 36 servant à entretoiser les bras paral- lèles de l'étrier. Pour que ce tube soit maintenu en place, ses extrémités s'emboitent sur des bossages 37 disposés sur les faces en regard des bras de l'étrier.
Les maillons 5, 18 et 21 sont réalisés par forgeage et doivent pouvoir être courbés, de telle sorte que leur courbure initiale leur permet de passer dans les canaux des isolateurs. Après avoir été introduite dans les canaux, leur courbure peut 'être augmentée de manière à pouvoir réunir entre eux las différents maillons* Quand ils sont soumis à des efforts im- portants en service, les maillons prennent eux-mêmes la forme requise-
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Quel que soit le type d'isolateur supporté ou relié et quelle que soit la disposition des maillons ou étriers utilisés, il est bien évident que, dans chaque variante de l'invention, on utilise une lamedflexible ne tonnant pas normalement obstacle au déplacement des têtes des étriers ou mail- lons,
de telle sorte qu'ils peuvent être reliés rapidement, sans nécessiter aucun outil. il suffit ensuite d'une simple flexion des lames pour qu'elles servent de butées aux têtes des étriers ou maillons, ce qui empêche toute séparation des différentes éléments* Il convient de remarquer que ces dispo- sitifs ne nécessitant aucun outillage complique et par conséquent l'installa- tion en sera grandement facilitée.
Bien qu'on ait représenté et décrit plusieurs tonnes de réalisa- tion de l'invention, il est évident qu'on ne désire pas se limiter à ces for- mes particulières, données simplement à titre d'exemple et sans aucun carac- tère restrictif, et que par conséquent toutes les variantes ayant marne prin- cipe et marne objet que les dispositions indiquées ci-dessus, rentreraient comme elles dans le cadre de l'invention.
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-1- RES U U E -1- -1-1-1-1-1-1"
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"INSULATOR SUSPENSION PERRURES."
The present invention relates to devices for suspending or connecting insulators of the so-called link type, that is to say insulators comprising for the metal attachments curved and intersecting bearing surfaces or channels arranged. transversely having at least one curved wall
The invention relates in particular to a suspension or connection device comprising elements in the form of a stirrup or of a chain link manis of members intended to prevent the separation of the various parts after their assembly,
which eliminates the risk of accidental separation in service
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The suspension or connection devices according to the invention can be constituted by conjugate members of a particular shape, but the invention is in no way limited to the use of these particular shapes and applies to any form of organs provided with devices conforming to the invention, intended to prevent the separation of the various organs after their reunion *
The invention provides for suspension or connection devices comprising members in the form of a link or stirrup or a combination of these two kinds of members, these devices being intended to connect Hewlett-type insulators in a chain or to suspend a chain. chain of these insulators,
or to suspend or connect insulators in the form of traction nuts, all these applications and all their possible variants coming within the scope of the invention *
The suspension and linkage devices according to the invention can be assembled without using additional fasteners and the assembly is held by deformable members forming an integral part of one or both. links or conjugate stirrups *
The invention also provides tie rods forming an integral part of the suspension brackets and serving to prevent their deformation under the effect of the tensions exerted on them.
The devices according to the invention are simple and inexpensive, easy to install, removable in certain cases, and of safe and durable operation *
The new characteristics and the advantages of the invention can be better understood by referring to the following description and to the drawings which accompany it, given simply by way of non-limiting example, and in which:
Fig. 1 is an elevational view, with parts in section, showing an embodiment more particularly adapted to the traction nuts *
Fig. 2 is a partial elevational view of the body *) shown in FIG. 1.
Fig. 3 is a partial detail view of one ends of one of the branches of a link.
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FIG. 4 is a side view of the element shown in FIG. 3.
Fig. 5 is a vertical sectional view taken through a pair of Hewlett-type insulators, and showing these insulators connected by members in accordance with a variant of the invention.
Fig. 6 is a side elevational view of a pair of links.
Fig. 7 is a detailed sectional view, with parts in elevation showing certain elements of Fig.5.
Fig. 8 is a sectional view taken on line 8-8 of FIG. 7.
Fig. 9 is a side elevational view, with parts removed, showing an element intended to be connected to the uppermost insulator of a string of Hewlett insulators to suspend that string *
Fig. 10 is a sectional view taken along line 10-10 of Fig. 9.
Fig. 11 is a sectional detail view taken along line 11-11 of Fig. 9 '
With reference to the drawings and more particularly to Figs. 1 to 4, 1 shows an insulator in the form of a traction nut, of any shape, shown simply by way of non-limiting example in broken lines in Figs. 1 and 3 'These insulators are pierced with transverse channels 2 arranged at right angles in the vicinity of the ends of the insulator and the surface 3 of which is curved.
These openings open into longitudinal grooves 4 *
The suspension members of such an insulator comprise an elongated open link 5, the ends of which are formed by narrower parts 6 terminating in heads? 7 T-shaped so as to form hooking tenons 8. It is obvious that the link 5 must have such a shape, and the ends, with their heads, of such dimensions that the assembly can be easily introduced into the channels 2, the curved part be in the form of a handle of the link coming into contact with the curved surface 3, and the branches of the link taking place in the grooves 4 on each side of the insulator.
The thinned parts 6 and the heads 7 protrude somewhat from the upper edge of the insulator, as can be seen in figures 1 and 2.
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It is customary to hang insulators of this type from a ring or loop 9 or similar support! to do this, use is made of a stirrup represented by way of non-limiting example as having the shape of an inverted V whose curved part in the shape of a handle is in contact with the part 9.
The ends of the arms of this stirrup are wider than the curved part and include openings 11 provided with surfaces 12 at their lower part; blades 13 extend longitudinally in these openings and form a body with the stirrup, but their thickness is very reduced so that they can be easily bent, These blades end in the vicinity of the surfaces 12 and their end is located, for reasons given below,
at a distance of slightly greater than the height of the heads 7 of link 5 The outer face of the end of the stirrup arm and the inner face of the end of the other arm are pierced with slots 14 communicating with the openings 11 and whose width is slightly greater than that of the thinned parts 6 of the link 5. In the vicinity of the faces of the arms indicated above, shoulders 15 are provided which dominate the bearing surfaces 12 and constitute retaining stops for the heads 7.
For the installation of the device, the link 5 is passed through the lower channel 2 of the insulator 1 and it is moved until it occupies the position shown in FIG. 1. The caliper 10 is passed through the ring or the support 9 and joined to the link 5 by bringing the latter in a position such that its arms are placed to the left of the arms of the caliper 10, when 'We look at Fig.l, the heads being placed above the shoulders 15. Initially, the blades 13 occupy the positions shown in dots and lines in Fig.l, so as to clear the passage. The link 5 is then moved relative to the yoke 10, so as to bring the tetas 7 into the openings 11, while the thinned parts 6 enter the slots 14.
When the bearing surfaces 8 of the heads have passed the shoulders 15, the link and the stirrup are moved relative to each other, so that the bearing surfaces 8 rest on the bearing surfaces 12. With the aid of a screwdriver or any other suitable means, marl using a special pliers if necessary, the operator bends the lines so as to bring them from the positions shown in lines and points, to the positions shown in solid lines in FIG. 1; in this way, the free ends of the blades will lie above the upper edges of the heads 7.
These blades then obviously serve
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stops preventing the heads 7 from making sufficiently large upward movements to allow them to pass through the shoulders 15; it is then obvious that the different parts cannot be separated as long as the blades 13 occupy their stop position *
There is of course no limit to the number of insulators 1 that can form a chain! one can join, by a device similar to that which has been described, any number of elements, because it is very simple to join the adjacent brackets by a ring or a similar part.
The same general arrangement can be used to connect a pair of Hewlett-type spark gaps 16 in which curved channels 17 are mégaged. To apply the invention to this use, a pair of links 18 is used which adapt to one another. the other; each of aux has the shape of a curved link, one end of which comprises a thinned part 19 and a laterally widened head 20, similar respectively to the thinned part 6 and to the head 7 described above. The other end of each link is considerably widened and takes more or less the form of an envelope 21 having an opening 22 on its outer face, and a cavity 23 opening outwardly on the side of the link. inner faoe of the envelope.
At the bottom of the cavity 23 is a bearing surface 24, and the end of the casing is provided with a slot 25, the width of which is slightly greater than that of the thinned part 1 @, so as to be able to receive it when the head 20 is placed in the cavity 29.
The wall of each Envelope, on the inside side, has towards its lower end, on each side of the slot 25, shoulders, 3 26 serving as stops for the head 20. A flexible blade 27, forming a body with each link is placed on the cavity 231 this blade initially occupies the position shown in lines and dots in Fig. 7 and can be bent using a tool introduced through the opening 22, to come to occupy the position. tion shown in solid lines in Figs. 5 and 7.
To connect a pair of elements 16 using the device according to the invention, the two conjugate links are passed through the curved channels 17 of the insulators! after which the links are moved relative to each other so as to bring the heads 20 against the inner faces of the envelopes 21 above the level of the shoulders 26.
The links are then moved laterally with respect to
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to the other to make the thinned part 19 penetrate into the slots 25 and to bring the heads 20 into the cavities 23; then, the links are moved relative to one another to bring the bearing surfaces of the heads into contact with the bearing surfaces 24. The shoulders 26 then protrude from the underside. re heads. The operator then inserts a screwdriver or some tool into each of the openings 22 and bends the blades 27 to bring them above the upper edges of the adjacent tatas 20.
Obviously, the links cannot then move with respect to each other sufficiently for the tatas to cross the shoulders 261; any accidental detachment of the different parts is therefore made impossible, since it is necessary to bring back the blades in their initial position to be able to separate the links *
In the construction of links such as those shown at 18, it is customary to provide the curved part with a pad 28 of a malleable material, for example of lead or of a low-strength alloy, this material being able to be molded and adapt to the unevenness of the bearing surface of the channel 17, which avoids the concentration of mechanical forces on the bosses which could exist on the curved surface.
It is obvious that any number of Hewlett elements can be combined in series or chains by means of links in accordance with the invention *
It has been found by experience that in the event of a line discharge, the arc tends to bypass the insulator elements and strike the strings where they are exposed, between successive elements.
In some cases, this results in a melting of the metal of the links sufficient to reduce the mechanical resistance below the safety limit * To remedy this drawback, it has been found preferable to make the junction elements of the casings relatively thick. with the links and to provide the outer ends or free ends of the envelopes with extensions 28a which, when links are assembled, cover the neighboring parts of the links, the ends of these extensions penetrating into the openings of the curved channels 17 insulators * It is obvious that these extensions will prevent the houses from being melted down,
since they themselves receive the discharges and are able to withstand them because of their great thickness, compared to the dimensions of the section of the links themselves. The increased thickness at the other end of the envelopes
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makes it capable of withstanding partial fusion.
To suspend a string of Hewlett insulators joined together in this manner, one can of course use a simple stirrup such as 10, shown in Figures 1 and 2, although it is preferable to make use of a stirrup. shown in detail in Figures 11 showing a bracket 29, the upper part of which is in the form of an inverted V, which can be suspended from a ring or equivalent support.
From a certain point, the arms of this etriar preferably become parallel, their section widens and they sleep a sort of envelope 30 corresponding to the envelopes shown at 21 in Figs.5 to 8; these envelopes are provided with openings 31 passing through them and forming dice supports 32 for the heads 20 arranged at the ends of a curved link 21 intended to pass through the lower channel of the highest element of the chain * The outer face of one of the envelopes and the inside face of the other are provided with slits 33 above and on each side of which are disposed shoulders 34 serving as stops for the heads.
A flexible blade 35 extends into the opening 31 of each envelope; these blades initially occupy the positions shown in lines and dots in Fig. 9 and can be bent to be brought over the adjacent heads when the link 21 is joined to the yoke 29, in the same way as the links 18 are connected together or that the link 5 is joined to the yoke 10 in the first embodiment of the invention.
Because of the heavy weight of the insulator chains, it has been found preferable to protect the yoke 29 against crushing. This can easily be done with the aid of a tube 36 serving to brace the parallel arms of the caliper. In order for this tube to be held in place, its ends fit onto bosses 37 arranged on the opposite faces of the arms of the caliper.
The links 5, 18 and 21 are produced by forging and must be able to be bent, so that their initial curvature allows them to pass through the channels of the insulators. After having been introduced into the channels, their curvature can be increased so as to be able to unite the different links between them. When they are subjected to great forces in service, the links themselves take the required shape.
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Whatever the type of insulator supported or connected and whatever the arrangement of the links or brackets used, it is obvious that, in each variant of the invention, a flexible strip is used which does not normally obstruct the movement of the heads. stirrups or straps,
so that they can be connected quickly, without requiring any tools. then all that is needed is a simple bending of the blades so that they serve as stops for the heads of the stirrups or links, which prevents any separation of the various elements. * It should be noted that these devices do not require any complicated tools and therefore installation will be greatly facilitated.
Although several tons of embodiments of the invention have been represented and described, it is obvious that one does not wish to be limited to these particular forms, given simply by way of example and without any character. restrictive, and that consequently all the variants having marne principle and marl subject to the arrangements indicated above, would come within the scope of the invention as they do.
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