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"APPAREIL DESTINE A PRENDRE DES RADIOGRAPHIES RAPIDES
ET REPETEES DES ORGANES HUMAINS EN MOUVEMENT"
La présente invention vise un appareil pour pren- dre des radiographies permettant la mobilisation rapide et successive vers la position de graphie de chaque châssis contenant un film, l'immobilisation absolue et automatique de chaque film dans cette position, puis son rappel en position de scopie, chaque mouvement étant en liaison électrique instantanée avec les contacteurs du meuble radiologique.
D'autres caractéristiques et particularités de
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l'invention ressortiront de la description qui va en être faite en regard des dessins annexés, dans lesquels:
La figure 1 est une élévation d'un appareil pour prendre des vues radiographiques, conforme à l'invention.
La figure 2 en est une vue de profil et la figure 3 est une élévation d'une autre forme de réalisation.
L'appareil se compose d'un carter constitué par deux plaques d'aluminium rigide de 2 à 4 millimètres d'épaisseur réunies par des entretoises et ménageant ainsi entre elles un espace vide et protégé où sont logés les organes nobles de l'appareil. Ce carter a la forme d'un rectangle, mais peut affecter n'importe quelle forme.
A l'intérieur du carter et en un point A se trouve un axe fixé aux deux plaques et perpendiculaire à elles.
C'est autour de cet axe que peuvent tourner sur 90 degrés les 4 châssis porte-films radiographiques c précisés plus loin.
Le carter mis dans un plan vertical, l'axe médian des châssis étant horizontal, les châssis sont au repos ; dans cette position, ils sont protégés contre les rayons X par un bouclier en plomb de 3 m/m d'épaisseur fixé à une tôle du carter. L'appareil est alors en position de radioscopie.
L'axe médian des châssis étant vertical, chaque châssis se trouve en face d'une fenêtre rectangulaire percée dans les deux tôles du carter. L'appareil est alors en position de prise de radiographie.
Le châssis porte-films c, en aluminium mince, a la forme d'un rectangle terminé suivant son grand axe par un triangle mixtiligne. Ce châssis, de dimensions appro-
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priées aux formats des films employés, est muni de deux glissières dans lesquelles coulissent le couvercle en aluminium, les écrans renforçateurs et le film.
Sur la partie triangulaire du châssis est fixée une poulie de métal percée en son centre d'un orifice de même alésage que le diamètre de l'axe A et devant recevoir celui-ci à frottement doux. Dans la gorge de cette poulie coulisse un petit fil d'acier.
Sur une des faces de cette poulie et perpendiculairement à sa surface sont fixées deux goupilles: l'une G à l'extrémité du grand axe du châssis, l'autre H sur la même circonférence, mais à 45 degrés de la première. Ces deux goupilles constituent l'un des éléments de l'engrenage à réaliser entre les châssis porte-films d'une part et la pièce motrice d'autre part.
Cette pièce motrice tourne autour de l'axe B.
Cet axe est excentré, ce qui permet le rapprochement ou l'éloignement de la pièce motrice des deux goupilles, facilitant ainsi le réglage.
La pièce motrice est constituée par un cylindre de métal creux destiné à recevoir l'arbre B Sur ce cylindre sont fixés :
1 ) Un rochet à 8 dents R dont nous verrons le rôle plus loin.
2 ) 4 bras M de forme identique situés aux extrémités de deux diamètres perpendiculaires. Ces bras ainsi solidaires du rochet R ne se trouvent pas tous sur le même plan. En effet, ils sont destinés à mouvoir successivement, par engrènement avec les goupilles G et H, les 4 châssis placés les uns au-dessus des autres autour de l'axe A. Ces bras M sont en métal résistant, assez minces pour passer
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aisément entre deux châssis. Ils se terminent par un sec- teur représentant une portion de circonférence de 50 à 60 degrés. Cette portion de circonférence a un rayon double de la circonférence décrite par les goupilles G et H autour de l'arbre A. Ce secteprésente une échancrure m dont nous indiquerons plus loin l'utilisation.
Entre le bord d'atta- que 0 du secteur et le bord d'attaque de l'échancrure m, existe la même distance qu'entre les deux goupilles G et H.
Sous la pièce motrice et placé sur le même axe B pivote un levier I-L. Ce levier est immédiatement contigu à la plaque de base du carter. A l'une des extrémités I de ce levier est fixé le câble d'un bowden E. A l'autre extré- mité 1 du levier se trouve un ressort à boudin N qui tend à ramener constamment le levier à la position inverse de celle où l'amènent les impulsions communiquées par le bow- den. Ce ressort est fixé en 1 à la plaque inférieure du carter.
Sur la partie 1 du levier est fixé un cliquet à ressort D qui s'engrène dans les dents du rochet et qui a pour effet d'entraîner par le déplacement latéral du levier ce rochet et par suite la pièce mobile qui en est solidaire.
Le déplacement du levier est limité dans sa course par deux arrêts F fixés sur la tôle inférieure du carter et placés de part et d'autre du bras de levier L. Ce déplacement du levier par le bowden est calculé de telle façon qu'il pro- voque chaque fois un mouvement du rochet égal à un huitième de circonférence.
Fixé sur la plaque de base du carter un second cliquet à ressort D' s'engrène dans les dents du rochet dans le but d'empêcher ce dernier de revenir en arrière lorsque le levier est rappelé par le ressort N.
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Les pièces principales de l'appareil étant décrites, on va maintenant en expliquer le fonctionnement.
Lorsque sous l'influence du bowden le rochet R décrit un huitième de tour, le bord d'attaque 0 du secteur appuie sur la goupille G du châssis en position de repos ou scopie, provoquant la rotation du châssis vers la position de graphie. Avant la fin de la rotation, la deuxième goupille H se loge dans l'échancrure m du secteur, dont le bord d'attaque substitue alors son action sur la goupille H à celle du bord 0 sur la goupille G, parachevant ainsi le déplacement du cliché à 90 degrés. A ce moment là le rochet a décrit un huitième de tour et s'arrête. La goupille H sortie alors de l'échancrure m bute contre le bord circonférantiel du secteur S immobilisé. Cette butée fixe le châssis en position de graphie.
Le bowden abandonné par la main, le levier I-L revient à sa position de repos provoquant à cet instant précis la prise de vue radiographique par l'intermédiaire de l'interrupteur W.
Une nouvelle traction du bowden provoque encore une rotation de la pièce motrice. Par ce mouvement, le bord circonférentiel du secteur S glisse sur la goupille H et bientôt la libère. A ce moment là, le châssis, rappelé par un ressort! revient à la position de repos ou de scopie.
Ce rappel à la position de repos se fait pour chaque châssis par un fil d'acier mince fixé d'une part en un point de la gorge de la poulie sur le châssis, et d'autre part sur un ressort à boudin V après s'être passé sur une poulie de renvoi Z. Ce ressort à boudin V est luimême fixé sur l'entretoise Y du carter. La propulsion du châssis en position de graphie tend le ressort! qui re-
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vient sur lui-même en entrainant le châssis aussitôt que la rotation de la pièce motrice a libéré la goupille H.
On obtient ainsi le déplacement successif très rapide de chaque cliché de la position repos-radioscopie à la position graphie, et le retour de chaque cliché de la position graphie à la position repos.
Ce modèle a été établi pour quatre films 13x18, mais il peut être établi pour toutes dimensions de films et son système moteur peut être appliqué aussi bien pour mouvoir 1, 2 ou 3 films.
Pour obtenir des prises de vues radiographiques très rapides, il fallait établir la liaison entre les organes mécaniques sus-décrits et les organes électriques des générateurs radiologiques modernes munis de contacteurs.
Dans ce but existent à l'intérieur du carter trois interrupteurs électriques. Le premier , placé le long du bord externe des châssis porte-films au repos, est constitué par une plaque isolante portant sur ses deux faces opposées 4 lames de contact flexibles jumelées séparées l'une de l'autre de sept millimètres. Cet ensemble est connecté avec le contacteur de radioscopie du tableau de commande de telle façon que le courant ne passe que si chaque lame contact est accolée à sa jumelle par la pression que lui fait subir le bord du châssis porte-film (au repos) par l'intermédiaire d'une butée isolante fixée à la lame.
Au moment où l'un des films est propulsé vers la position graphie, la lame contact correspondante s'écarte de sa jumelle et le courant de scopie est coupé.
Un deuxième interrupteur X est connecté avec le circuit primaire de chauffage du filament de l'ampoule en régime radiographie de telle façon que lorsque les lames
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contact se touchent elles provoquent le chauffage du filament régime radiographie. Ce deuxième interrupteur est mû par une roue à 4 cames T solidaire de la pièce motrice et placée sur cetteldernière à l'extrémité opposée à celle où est placé le rochet R moteur. Cette roue à cames est calculée de telle façon que le circuit de chauffage du filament est fermé depuis le moment ou chaque film a abandonné la position de repos jusqu'au moment où le secteur S laisse échapper la goupille H.
Enfin, un troisième interrupteur W placé près de l'extrémité L du levier I-L sera court-circuité par le retour à la position de repos du levier sous l'impulsion du ressort N.
Il résulte de cette liaison électrique que la position de repos des 4 châssis derrière leur bouclier protecteur de plomb provoquera la mise en circuit scopie du générateur. Par contre, la moindre mobilisation d'un des châssis porte-film coupera le circuit scopie par ouverture d'un des interrupteurs jumelés et fermera immédiatement le circuit chauffage de filament graphie par fermeture par la roue à cames de l'interrupteur X. Le courant de haute tension régime graphie ne passera alors qu'à la fermeture de l'interrupteur W par le retour à sa position de repos du levier I-L et, par conséquent, lorsque le film à impressionner sera parfaitement immobilisé devant la fenêtre de visée.
La pose radiographique sera alors coupée automatiquement sur le tableau de commande par le compteur de temps de pose.
Cet appareil fonctionne aussi bien en position horizontale que verticale et son faible poids et son petit
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encombrement permettent de le fixer au dos de l'écran radiocopique habituel et entre celui-ci et le patient. On peut aussi, à volonté, placer sur la fenêtre du carter, la plus éloignée du malade un écran fixe de visée.
L'appareil représenté sur la figure 3 diffère du précédent principalement en ce que les châssis ont un mou- vement coulissant.
Au-dessous du bord inférieur d'une fenêtre k1prévue dans la plaque en regard de la position de radiographie des châssis mobiles, sont fixées sur des entretoises t quatre tiges cylindriques t, de 320 millimètres de long et de 3 à 5 millimètres de diamètre. Ces tiges sont séparées les unes des autres par un vide calculé pour que les châssis Ç soient séparés les uns des autres par un espace de 4 à 5 millimètres. Sur ces tiges formant rails et par l'intermédiaire de guides cylindriques creux ± coulissent quatre châssis porte-films rectangulairesÇ placés les uns derrière les autres suivant des plans parallèles aux plaques K et k.
Ces châssis, coulissant chacun sur leur rail respectif, peuvent occuper deux positions extrêmes : ou bien ils seront dans l'angle supérieur droit de l'appareil, éclipsés derrière les plaques du carter en position de radiosco- pie ou de repos ; ce cas-là, ils seront protégés contre les rayons X par un bouclier de plomb fixé à la face interne de la plaque K; ou bien au contraire, ils seront en face de la fenêtre, c'est-à-dire en position de prise de radio- graphie.
Le châssis porte-film c est constitué par deux lames rectangulaires rigides et parallèles, l'une en aluminium mince, regardant la plaque de carterkenlevée sur
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dessin, l'autre en bakélite mince, regardant la plaque K.
Elles ont 150 millimètres de large et 200 millimètres de haut environ et forment les deux faces du châssis. Elles sont séparées l'une de l'autre par deux règles d'aluminium de deux millimètres d'épaisseur et de 8 millimètres de lar- ge, rivées entre leurs bords longitudinaux. Le bord infé- rieur est constitué par une réglette de métal de même épais- seur,aux deux extrémités de laquelle sont fixés les guides c creux et courts. Dans ces guides coulissent les tiges- glissières t correspondantes.
Cet ensemble constitue un étui plat, ouvert vers le haut, dans lequel on glisse à frottement doux une pochet- te en papier fort contenant les deux écrans renforçateurs et le film à impressionner.
Le bord supérieur du châssis présente une enco- che pour permettre l'extraction facile des pochettes.
Sur la face aluminium du châssis, sur son bord droit, le plus éloigné de la fenêtre, et à 5 centimètres environ de son angle inférieur, est fixé un ergot H' de 4 millimètres de diamètre et de 4 millimètres environ de saillie.
A 2 centimètres environ au-dessous des rails et sur une perpendiculaire passant par le milieu du châssis en position de scopie, est fixé aux tôles du carter un axe cylindrique A'. Sur cet axe, pivotent quatre leviers ou f léaux a superposés et faits de tôle mince mais rigide.
Chaque fléau présente une branche supérieure, longue de 110 millimètres environ, percée près de son ex- trémité d'une fente longitudinale h, destinée à recevoir librement l'ergot H'. La longueur de cette branche et le point de fixation de l'ergot H' sont déterminés de telle
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façon que tout déplacement à 90 du fléau provoque le glis- sement du châssis sur son rail de la position extrême de radioscopie à la position extrême de radiographie.
La branche inférieure du fléau, plus courte, sup- porte une goupille G' placée dans l'axe du fléau et à quin- ze millimètres environ au-dessous de l'axe A'.
A droite de cette goupille s'accroche en U un fil d'acier terminé par un ressort à boudin V fixé par son autre extrémité à une entretoise Y.
C'est par l'intermédiaire de cette goupille G' que va être transmis au fléau le mouvement développé par la pièce motrice ci-dessous décrite.
Cette pièce motrice tourne autour de l'axe B fixé perpendiculairement aux plaques du carter à l'inter- section d'une parallèle tracée à 15 millimètres environ à gauche de la ligne passant par le milieu des châssis en position de radiocopie et par le point A' et d'une perpen- diculaire à cette parallèle tracée à 45 millimètres envi- ron au-dessous du point A'.
La pièce motrice est constituée par un moyeu mé- tallique carré creux b s'emmanchant sur l'axe B. Sur ce carré sont fixés symétriquement quatre bras M, de forme identique. Ces bras se terminent par un secteur S' repré- sentant une portion de circonférence de 75 à 80 degrés.
Cette portion de circonférence a un rayon d'environ 40 mil- limètres.
Pour la commodité de la description, ne considé- rons que celui des bras qui, au début de son mouvement, se trouve en contact avec la goupille G' du fléau correspon- dant, jusque-là en position de radioscopie. Son bord d'at- taque 0 (bord droit) appuie alors sur la goupille G' et la
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pousse vers la droite. Celle-ci obéissant à ltimpulsion glisse alors le long du bord d'attaque C, puis sur l'an- gle arrondi le réunissant au bord S' du secteur toujours en mouvement et, ce faisant, elle entraîne la petite bran- che du fléau vers la droite provoquant le déplacement du châssis correspondant vers la gauche.
Lorsque la goupille G' a ainsi accompli un dépla- cement de 90 autour de l'axe A', le châssis est en posi- tion de graphie (à gauche) et ne peut dépasser cette posi- tion parce qu'il en est empêché par son butoir t2. et il ne peut revenir vers la gauche non plus parce que la gou- pille G' appuie sur le secteur S' arrêté lui aussi.
Une nouvelle traction du bowden E provoque encore une rotation de la pièce motrice. Par ce mouvement, le bord circonférentiel du secteur S' glisse sur la goupille G' et bientôt la libère. A ce moment là, le fléau , rappelé par le @ ressort V, ramène à la position de repos ou de'scopie le châssis qui lui est solidaire.
Il va d'ailleurs de soi que l'invention n'a été décrite et représentée qu'à titre purement explicatif et nullement limitatif et qu'on pourra y apporter des modifi- cations de détail sans altérer son esprit.
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"APPARATUS FOR TAKING RAPID RADIOGRAPHS
AND REPEATS OF HUMAN ORGANS IN MOTION "
The present invention relates to an apparatus for taking x-rays allowing rapid and successive mobilization towards the writing position of each frame containing a film, the absolute and automatic immobilization of each film in this position, then its return to the fluoroscopy position. , each movement being in instantaneous electrical connection with the contactors of the radiological cabinet.
Other characteristics and peculiarities of
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the invention will emerge from the description which will be given with reference to the appended drawings, in which:
Figure 1 is an elevation of an apparatus for taking radiographic views, according to the invention.
Figure 2 is a side view and Figure 3 is an elevation of another embodiment.
The device consists of a casing made up of two rigid aluminum plates 2 to 4 millimeters thick joined by spacers and thus leaving between them an empty and protected space where the noble parts of the device are housed. This housing is shaped like a rectangle, but can be any shape.
Inside the casing and at a point A is an axis fixed to the two plates and perpendicular to them.
It is around this axis that the 4 X-ray film holder frames c specified below can turn 90 degrees.
The casing placed in a vertical plane, the median axis of the frames being horizontal, the frames are at rest; in this position, they are protected against X-rays by a lead shield 3 m / m thick fixed to a sheet of the housing. The device is then in the fluoroscopy position.
The median axis of the frames being vertical, each frame is located in front of a rectangular window drilled in the two sheets of the casing. The device is then in position for taking the X-ray.
The film-holder frame c, made of thin aluminum, has the shape of a rectangle terminated along its long axis by a mixed-line triangle. This chassis, of approximate dimensions
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required in the formats of the films used, is provided with two guides in which slide the aluminum cover, the reinforcing screens and the film.
On the triangular part of the frame is fixed a metal pulley pierced in its center with an orifice of the same bore as the diameter of the axis A and to receive the latter with gentle friction. In the groove of this pulley runs a small steel wire.
On one side of this pulley and perpendicular to its surface are fixed two pins: one G at the end of the major axis of the chassis, the other H on the same circumference, but at 45 degrees from the first. These two pins constitute one of the elements of the gear to be produced between the film-holder frames on the one hand and the driving part on the other hand.
This driving part rotates around the B axis.
This axis is eccentric, which allows the driving part to be moved closer or further from the two pins, thus facilitating adjustment.
The driving part consists of a hollow metal cylinder intended to receive the shaft B On this cylinder are fixed:
1) A ratchet with 8 teeth R whose role we will see later.
2) 4 M arms of identical shape located at the ends of two perpendicular diameters. These arms thus secured to the ratchet R are not all on the same plane. Indeed, they are intended to move successively, by meshing with pins G and H, the 4 frames placed one above the other around the axis A. These M arms are made of resistant metal, thin enough to pass
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easily between two frames. They end with a sector representing a portion of the circumference of 50 to 60 degrees. This portion of circumference has a radius double of the circumference described by pins G and H around the shaft A. This section has a notch m, the use of which we will indicate later.
Between the leading edge 0 of the sector and the leading edge of the notch m, there is the same distance as between the two pins G and H.
Under the driving part and placed on the same axis B swivels an I-L lever. This lever is immediately adjacent to the crankcase base plate. At one end I of this lever is fixed the cable of a bowden E. At the other end 1 of the lever there is a coil spring N which tends to constantly return the lever to the reverse position of that where the impulses communicated by the bowden lead him. This spring is fixed at 1 to the lower plate of the housing.
On part 1 of the lever is fixed a spring-loaded pawl D which engages with the teeth of the ratchet and which has the effect of driving this ratchet and consequently the movable part which is secured thereto by the lateral displacement of the lever.
The movement of the lever is limited in its travel by two stops F fixed to the lower plate of the casing and placed on either side of the lever arm L. This movement of the lever by the bowden is calculated in such a way that it pro - evokes each time a movement of the ratchet equal to one eighth of the circumference.
Attached to the base plate of the housing, a second spring-loaded pawl D 'engages with the teeth of the ratchet in order to prevent the latter from going back when the lever is returned by the spring N.
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The main parts of the device being described, we will now explain their operation.
When under the influence of the bowden the ratchet R describes an eighth of a turn, the leading edge 0 of the sector presses on the pin G of the frame in the rest or fluoroscopic position, causing the frame to rotate towards the writing position. Before the end of the rotation, the second pin H is housed in the notch m of the sector, whose leading edge then substitutes its action on the pin H for that of the edge 0 on the pin G, thus completing the movement of the 90 degree shot. At this point the ratchet has made an eighth of a turn and stops. The pin H then issued from the notch m butts against the circumferential edge of the immobilized sector S. This stop fixes the frame in the writing position.
With the bowden abandoned by the hand, the I-L lever returns to its rest position, at this precise moment causing the X-ray image to be taken via the W switch.
Pulling the bowden again causes the drive part to rotate again. By this movement, the circumferential edge of the sector S slides on the pin H and soon releases it. At this time, the chassis, recalled by a spring! returns to the rest or fluoroscopic position.
This return to the rest position is done for each frame by a thin steel wire fixed on the one hand at a point in the groove of the pulley on the frame, and on the other hand on a coil spring V after s 'be passed over a return pulley Z. This coil spring V is itself fixed to the spacer Y of the housing. The propulsion of the chassis in the graphic position tightens the spring! who re-
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comes on itself by driving the frame as soon as the rotation of the driving part has released the pin H.
This gives the successive very rapid displacement of each image from the rest-fluoroscopy position to the written position, and the return of each image from the written position to the rest position.
This model has been established for four 13x18 films, but it can be established for all film sizes and its motor system can be applied to move 1, 2 or 3 films as well.
To obtain very rapid radiographic shots, it was necessary to establish the connection between the mechanical parts described above and the electrical parts of modern radiological generators fitted with contactors.
For this purpose there are three electrical switches inside the casing. The first, placed along the outer edge of the film-holder frames at rest, consists of an insulating plate bearing on its two opposite faces 4 flexible twin contact blades separated from each other by seven millimeters. This assembly is connected with the radioscopy contactor of the control panel in such a way that the current passes only if each contact blade is attached to its binocular by the pressure imposed on it by the edge of the film holder frame (at rest) by by means of an insulating stop fixed to the blade.
As one of the films is propelled towards the written position, the corresponding contact blade moves away from its binocular and the fluoroscopy current is cut off.
A second switch X is connected with the primary circuit for heating the filament of the bulb in radiography mode in such a way that when the blades
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contact touch each other they cause heating of the filament radiography regime. This second switch is moved by a 4 cam wheel T integral with the drive part and placed on this last at the end opposite to that where the motor ratchet R is placed. This cam wheel is calculated in such a way that the filament heating circuit is closed from the moment each film has left the rest position until the moment when the sector S lets out the pin H.
Finally, a third switch W placed near the L end of the lever I-L will be short-circuited by the return to the rest position of the lever under the impulse of the spring N.
The result of this electrical connection is that the rest position of the 4 frames behind their protective lead shield will cause the generator to be switched on. On the other hand, the slightest mobilization of one of the film-holder frames will cut the fluoroscopy circuit by opening one of the twinned switches and immediately close the heating circuit of the graphed filament by closing by the cam wheel of switch X. The current high-voltage graphic regime will then only pass when the switch W is closed by the return of the lever IL to its rest position and, consequently, when the film to be printed will be perfectly immobilized in front of the sight window.
The X-ray exposure will then be cut automatically on the control panel by the exposure time counter.
This device works in both horizontal and vertical position and its low weight and small
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dimensions allow it to be attached to the back of the usual x-ray screen and between it and the patient. You can also, at will, place on the window of the casing, the most distant from the patient, a fixed aiming screen.
The apparatus shown in Figure 3 differs from the previous one mainly in that the frames have a sliding movement.
Below the lower edge of a window k1provided in the plate facing the radiography position of the mobile frames, are fixed on spacers t four cylindrical rods t, 320 millimeters long and 3 to 5 millimeters in diameter. These rods are separated from each other by a vacuum calculated so that the frames Ç are separated from each other by a space of 4 to 5 millimeters. On these rods forming rails and by means of hollow cylindrical guides ± slide four rectangular film-holder frames châssis placed one behind the other in planes parallel to the plates K and k.
These frames, each sliding on their respective rail, can occupy two extreme positions: either they will be in the upper right corner of the apparatus, eclipsed behind the plates of the casing in the X-ray or rest position; in this case, they will be protected against X-rays by a lead shield fixed to the internal face of the plate K; or on the contrary, they will be in front of the window, that is to say in the position for taking the X-ray.
The film-holder frame c consists of two rigid and parallel rectangular blades, one in thin aluminum, looking at the housing plate raised on
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drawing, the other in thin bakelite, looking at plate K.
They are about 150 millimeters wide and 200 millimeters high and form the two sides of the frame. They are separated from each other by two aluminum rulers two millimeters thick and 8 millimeters wide, riveted between their longitudinal edges. The lower edge is formed by a metal strip of the same thickness, at the two ends of which are fixed the hollow and short guides c. In these guides slide the corresponding slide rods t.
This set constitutes a flat case, open at the top, in which a strong paper bag containing the two reinforcing screens and the film to be impressed is slipped with gentle friction.
The upper edge of the frame has a notch to allow easy extraction of the pockets.
On the aluminum face of the frame, on its right edge, furthest from the window, and about 5 centimeters from its lower angle, is fixed a lug H 'of 4 millimeters in diameter and about 4 millimeters of projection.
About 2 centimeters below the rails and on a perpendicular passing through the middle of the frame in the fluoroscopic position, is fixed to the sheets of the casing a cylindrical axis A '. On this axis, four superimposed levers or files pivot and made of thin but rigid sheet metal.
Each beam has an upper branch, approximately 110 millimeters long, pierced near its end with a longitudinal slot h, intended to freely receive the lug H '. The length of this branch and the point of attachment of the lug H 'are determined such
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so that any 90 ° movement of the beam causes the frame to slide on its rail from the extreme x-ray position to the extreme x-ray position.
The lower branch of the flail, shorter, supports a pin G 'placed in the axis of the flail and about fifteen millimeters below the axis A'.
To the right of this pin hangs in a U a steel wire terminated by a coil spring V fixed by its other end to a spacer Y.
It is through this pin G 'that the movement developed by the driving part described below will be transmitted to the beam.
This driving part rotates around the axis B fixed perpendicular to the plates of the casing at the intersection of a parallel drawn about 15 millimeters to the left of the line passing through the middle of the frames in the radiocopy position and through the point A 'and perpendicular to this parallel drawn about 45 millimeters below point A'.
The driving part is made up of a hollow square metal hub b fitting onto the axis B. On this square are symmetrically fixed four arms M, of identical shape. These arms terminate in a sector S ′ representing a portion of circumference of 75 to 80 degrees.
This portion of circumference has a radius of about 40 millimeters.
For the convenience of description, consider only that of the arms which, at the start of its movement, is in contact with the pin G 'of the corresponding beam, until then in the fluoroscopy position. Its leading edge 0 (right edge) then presses on the pin G 'and the
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push to the right. The latter, obeying the impulse, then slides along the leading edge C, then over the rounded angle joining it to the edge S 'of the sector still in motion and, in doing so, it drives the small branch of the flail. to the right causing the corresponding frame to move to the left.
When the pin G 'has thus made a movement of 90 around the axis A', the frame is in the graphic position (to the left) and cannot go beyond this position because it is prevented from doing so. by its stopper t2. and it cannot return to the left either because the pin G 'presses on the sector S' which has also stopped.
Pulling the bowden E again causes the drive part to rotate again. By this movement, the circumferential edge of the sector S 'slides over the pin G' and soon releases it. At this time, the beam, returned by the @ spring V, returns to the rest position or de'scopy the frame which is integral with it.
It goes without saying, moreover, that the invention has been described and shown for purely explanatory and in no way limiting and that modifications of detail can be made to it without altering its spirit.