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"DU, ROIZIU4-ENROUILUij POU : '.IOU2LS .'ai.'ï'ZIC1 'I011S L.T 110.: NT POUR CABLAS 1.. a'IIOâ;I'iU.tâS'r
La présente invention a pour objet une dérouleuse- enrouleuse plus spécialement destinée à la .pose de câblestélé- phoniques sur le terrain ou à leur relèvement.
La dérouleuse-enrouleuse suivant l'invention se caractérise principalement par la combinaison, en un même en- semble et sur un même châssis, pourvu de moyens pour le dépla- oer aur le sol, de bobines pour le câble, de moyens pour en- traîner angulairement ces bobines en fonction de la vitesse de déplacement du ohâssis ou véhicule pour effectuer L"enroulement automatique des câbles sur les bobines, et de moyens pour rendre le déplacement des bobines indépendant de celui du vé- hicule pour permettre le déroulement des câbles par traction.
L'invention s'étend également aux points suivants
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aPplIqu6odparément ou en combinaisons :
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a) la liaison cinématique entre Une roue du véhicule et l'axe de l'une des bobines est réalisée par l'intermédiaire de roues à chaînes et de chaînes avec interposition d'une part, d'un système d'embrayage et, d'autre part, d'un renvoi inter- médiaire autour duquel oscillent, en principe, les roues lorsque celles-ci sont reliées au châssis par des ressorts. b) le déplacement de l'essieu, autour de l'axe de rotation du renvoi, est réalisé par l'intermédiaire de biellettes rigides de longueur réglable, articulées sur l'axe du renvoi et sur l'essieu ou des parties solidaires de ceux-ci.
c) les pignons de renvoi sont de préférence montés sur un excentrique permettant, avec le réglage en longueur des biellettes, de modifier la tension des chaînes. d) la liaison cinématique entre la bobine commandée et les autres bobines, s'il y a lieu, est réalisée par l'intermé- diaire de roues à chaînes et de chaînes. des moyens étant prévus pour désolidariser les bobines et la roue porteuse motrice. e) dans le cas de plusieurs bobines, celles-ci peuvent être disposées deux à deux coaxialement, f) un dispositif à va-et-vient pour guider le fil au moins pendant l'enroulement est commande par le déplacement même du véhicule, et constitué par un curseur ou écrou monté sur une vis comportant un filetà droite etun filet à gauche, ces filets se prolongeant mutuellement à leurs extrémités.
g) un dispositif de nettoyage des câbles avant leur enrou- lement sur les bobines, est disposé: sur le chemin parcouru par ces câbles, etcomporte une enveloppe protectrice ouverte vers 10 bas, des brosses montées sur des semelles de caoutchouc et des plaques d'entrée et de sortie fenduesen matière appropriée telle que du caoutchouc.
h) en vue d'assurer, avec une tension suffisante, l'enrou- lement des câbles sur les bobines, ces cibles sont enroulés partiellement sur une poulie à friction réglable, entrafnée angulairement par le câble,
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i) pour éviter un brusque déplacement angulaire des bo- bines pendant le déroulement, celles-ci sont soumises à l'ac- tion de freins réglables qui sont mis hors d'action pendant l'enroulement, ces freins étant commandes par l'intermédiaire de palonniers équilibrant le freinage.
j) les câbles sont guidés, hors des bobines, par des rou- @ leaux fous convenablement disposas. k) la solidarisation de l'une des extrémités d'un câble et d'une bobine correspondante est assurée par l'intermédiaire d'une fourche ou moyen si,.iilaire, monté élastiquement de sorte qu'une traction exagérée sur le câble, en fin de course, pro- voque la désolidarisation de la bobine et de l'extrémité du câble sans risque de rupture de ce dernier.
L'invention s'étend également à une forme de réali- sation d'une dérouleuse-enrouleuse comportant, en combinaison, les points précités et qui est établie en outre pour recevoir, ayant dune part, un siège pour un homme/à portée de sa main le levier de commande d'embrayage de la commande des bobines et le levier de freinage de celles-ci et, d'autre part, des supports pour les éléments démontes d'une dérouleuse simple tirée à bras d'homme, le premier levier pouvant être commun pour le débrayage et le freinage.
L'invention comprend également dans son cadre une forme de réalisation d'une noix de jonction de deux câbles, cette noix comportant, en combinaison, deux coquilles extrêmes perforées axialement pour le passage du câble avec interposi- tion d'un joint d'étanchéité, des éléments isolants internes aux coquilles pour recevoir des fiches de connexion, une douille conique intérieurement et combinée, avec interposition de joints d'étanchéit, avec des portées externes coniques des coquilles et des écrous de liaison pour bloquer les coquilles sur la douille.
L'invention s'étend enfin à d'autres points particu-
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licrs qui appara/ftront dans le texte suivant fait en réfé- rence au dessin annexe dans lequel :
La figure 1 est une perspective d'ensemble vue de cote d'une enrouleuse-dérouleuse suivent l'invention et éta- blic sous 'forme d'une remorque.,
La figure 2 est une perspective d'ensemble cor-
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;
i e o p o n ". <-. nt a1 1, figure IJ1'( c (0 ent mais vue 0,e l'autre cote, la bàche de protection Jtant enlevJe .,t le carter des bobines abaisse, la figure 5 est une perspective d'ensemble, vue de l'arfière.,
La figure 4 est une perspective partielle de la boite à bobincs, la rangée avant de celles-ci étant enlevée, la figure 5 est une perspective d'ensemble, vue
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de côté, d'une dérouleuse-.cnrollcnwe dtylaa1?le a bras d'homme,
La figure 6 est un plan schématique d'ensemble des bobines et des organes de commande de celles-ci à partir d'une roue du véhicule, La figure 7 est une coupe,
à plus grande échelle,
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:Eni GO suivant la ligne VII-VII de la figure 6,
La figure 8 est une coupe faite suivant la ligne VIII-VIII de la figure 7,
La figure 9 est une élévation en position d'uti-
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lisation du ,;uiclo -c5'blo du nettoyeur et du cabestan freine assurant la tension du câble pour l'enroulement,
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La figure 10 est une vue en bout du e;
uic1e-cûble
La figure 11 est une coupe, à plus grande échelle, faite suivant la ligne ZI-KI de la figure 9,
La ligure 12 est une coupe, à plus grande échelle,
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faite suivant 1#. ligne µIII-12II de la figure 9, La figure 1-3 est une élévation du 0.ispositif à va-et-vient pour l'enroulement du fil,
La figure 14 est un plan correspondant,
La figure 15 est une coupe partielle à plus grande
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échelle, faite suivant ia ligne XV-XV de la figure 13.
La figure 16 est une élévation d'une commande double pour deux dispositifs à va-et-vient.
La figure 17 est une élévation d'une bobine.
La figure 18 est une coupe axiale partielle cor- respondante.
La figure 19 est une élévation partielle avec coupe d'un détail et d'un frein double.
La figure 20 est une élévation partielle d'un frein correspondant à la figure 19.
La figure 21 illustre., à plus grande échelle, un dispositif de fixation de l'extrémité d'un câble sur une bobine.
La figure 22 est une élévation schématique du dispositif guidant les oscillations des essieux.
La figure 23 est une coupe axiale d'une noix de connexion de deux fils.
La figure 24 est une élévation schématique d'un frein de déroulement pour l'enrouleuse-dérouleuse représentée par la figure 5; ce frein est utilisé pour régulariser l'enrou- lement.
La figure 25 est un plan correspondant.
La figure 26 est une élévation d'une boite de friction.
La dérouleuse-enrouleuse représentée par les figures 1, 2, 3 et 4, et dont les détails constructifs sont plus spécia- lement illustras par les figures 6 à 22, comporte, en prin- cipe:un chässis général - des bobines - un mécanisme d'entraîne- ment des bobines - un mécanisme d'enroulement - des dispositifs .accessoires.
CHASSIS GENERAL. -
Le châssis général est constitué par un châssis inférieur à deux longerons 1 entretoisés par des traverses, et un châssis supérieur reposant sur le premier et comprenant
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deux longerons principaux' 2 qui supportent, notamment, les paliers 3 des bobines. Les longerons 1 sont reliés leurs extrémités pour former une flèche 4. Le châssis gé- néral est monté sur deux roues porteuses 5, par l'intermédiai- re de ressorts 6 et l'ensemble peut être attelé à un véhi- cule tracteur automobile ou hippomobile. Le châssis général pourrait comporter quatre roues ou plus et un moteur assurant son déplacement. De même, on pourrait utiliser des chenilles ou tout moyen similaire.
BOBINES. -
Les bobines 7, sur lesquelles sont enroulés les cibles, sont disposées, de préférence, comme représenté par les figures 2. 3, 4 et 6. Elles sont constituées (figures 17, 18 et 21) par 1',assemblage d'un moyeu 8 à bords rabat- tus intérieurement en 9, de joues ou flasques 10 pourvus de bandes Il de rive et de tirants 12 de liaison compor- tant des écrous 13 de blocage. Les joues ou flasques 10 sont perforés pour le passage d'un axe 14 solidarisé avec les flaques 10 par l'intermédiaire de rondelles 15 et d'écrous 16. Les extrémités des axes comportent des sai- gnées 17 ou des tétons radiaux permettant la liaison par joint de " Oldam "., Le tambour 8 comporte, à l'une de ses extrémités, une lumière latérale 17a pour le passage de l'extrémité d'un fil ou câble 18 (figure 21).
Cette ex- trémité comporte une coquille 19 de liaison fermée par un obturateur 20. La coquille 19 est engagée dans une four- che 21. articulée en 22 et soumise à l'action d'un res- sort 23 qui ramène constamment la fourche dans le sens de la flèche 24. En cas de traction exagérée sur le câble, en
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/ fin de déroulement, lafourche 21 s'abaisse, libérant le câble et évitant ainsi la rupture de celui-ci.
MECANISME d'ENTRAINEMENT DES BOBINES.-
Dans l'exemple envisagé, on dispose six bobines
7 par rangées de deux; chaque bobine repose sur deux paliers
25 à chapeaux mobiles se fermant automatiquement (figures
4, 7, 19). Deux bobines d'une même rangée sont jumelées par des axes d'entratnement 26 engagés partiellement dans les paliers 25 et dont les extrémités externes comportent des saillies diamétrales 27 qui s'engagent dans les lo- gements diamétraux correspondants 17 ménagés en bout des :arbres 14 des bobines 7, de manière à constituer un joint de " Oldam "- Les deux axes d'entraînement 26 sont engagés dans un manchon 28 sur lequel sont clavettes des roues 29 et 30 à chaînes..
Des doigts 31, vissés dans le manchon 28 et engagés dans des gorges correspondantes 32 ménagées dans les axes d'entraînement 26, permettent de solidariser,seulement en translation, les axes 26 et le manchon 28. La disposition précédente est plus spéciale- ment montrée par les figures 6, 7, 8 et 19. En outre, et comme représenté plus spécialement par la figure 8, les axes 26 peuvent être solidarisés avec le manchon 28 correspondant, par une clavette 35 pourvue d'une lamelle élastique 36 de verrouillage, et qui peut être retirée pour le déroulement et dans le cas où certaines bobines ne sont pas utilisées.
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Les bobines (figures 19 et' 20) peuvent être freinées par des patins 37 articulés à l'extrémités de ti- ges 38 mobiles en translation dans des lumières des le- viers 39. Le patin 37 est rappelé par un ressort 40 et le réglage de la tension est effectué par des écrous 41.
Les patins .agissent, de préférence, sur les bandes 11 de rive des bobines. Les leviers 39 sont commandés par un palonnier 42 .articulé en 42a sur un organe commandé par le conducteur. Cette disposition permet d'obtenir le même freinage sur les deux bobines.
Sur une des roues de la remorque est fixée une roue dentée 43 reliée, par une chaîne 44, à une roue 45 clavetée sur le même arbre qu'une roue 46 qui transmet son mouvement à une roue 47 par une chaîne 48. La roue 47 est montée sur une botte 49 d'embrayage, qui est mom- mandée, par l'intermédiaire de biellettes, par un levier 50.
La botte d'embrayage 49 commande directement l'arbre d'une des bobines 7, et celle-ci transmet son mouvement .aux autres bobines par les roues 29 et 30 et les chaînes 51 et 52.
L'ensemble intermédiaire 45 et 46 (figure 22) est monté sur un excentrique 53 dont le réglage, ainsi que celui de la longueur de la bielle 56, permet de tendre les chaînes 44 et 48 tout en facilitant le démontage de celles-ci. En outre, comme les roues du véhicule sont re- liées au châssis par des ressorts 66, il est nécessaire que l'essieu des roues oscille autour de l'ensemble 44 et 48 pour maintenir constante la distance entre cet ensemble et la roue motrice 42.A cet effet, les ressorts 6 sont
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/ montés à leurs extrémités par l'intermédiaire de jumelles
55 et une biellette 56, avec tendeur à vis, est articulée, d'une part, dans la région de l'ensemble 44 et 48 et, d'au- tre part, sur l'essieu des roues porteuses ou sur une pièce rigide montée sur cet essieu.
MECANISME D'ENROULEMENT ET DE GUIDAGE DES CABLES.-
Le câble 18 (figures 9 à 16), avant d'être élongé sur le sol ou relevé, passe dans des guides qui com- portent deux rouleaux verticaux 57 et 58 et un rouleau horizontal 59. Ces rouleaux sont, de préférence., montés sur roulements à billes et les parties supérieures des axes verticaux des rouleaux 57 et 58 sont reliées par une tige mobile 60 portant accessoirement un rouleau 60a dont elle forme l'axe. Cette tige, articulée en 61,est verrouillée d'une manière :amovible, en 62.
Pendant 1$enroulage, pour nettoyer le câble 18 :avant d'effectuer son enroulement sur la bobine correspondante, ce cble 18 se déplace (sens de la flèche 63) dans une boite de nettoyage 64 (figures 9 et 11) constituée par un carter 65 à l'intérieur duquel sont disposées des brosses 66. Ces brosses sont montées sur des semelles 66a, de bois, caoutchouc ou autre, et la tension sur le câble est augmentée par des plaques d'entrée et de sortie, en caoutchouc, 66b, :Ces plaques étant fendues pour le passage du câble.
En vue d'obtenir une tension suffisante d'en- roulement il est prévu, suivant l'invention, un dispositif de friction constitué par une poulie ou c ab e s - tan 67 sur lequel passe le câble. Ce cabestan (figure 12)
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est soumis sur l'une de ses faces à l'action d'une plaque élastique b8 dont la pression est réglée par un écrou 69.
La poulie 67 est combinée avec des plaques 70 et 71 de friction.
Le guidage du câble 18 pour réaliser l'enroule- ment convenable sur une bobine correspondante esteffectué par un dispositif à va-et-vient représenté par les figures 13, 14 et 15, Ce dispositif comporte un curseur 72 pourvu de deux rouleaux verticaux 73 et 74 et d'un rouleau hori- zontal 75 pour le guidage du câble.
Le curseur est engagé sur une tige 76 déplacée angulairement par l'intermédiaire d'une roue 77 (voir éga- lement la fig. 6) , et d'une chaîne 78 déplacée par un des pignons 30. Cette tige comporte une rainure ou filetage à droite et un filetage à gauche, qui se prolongent mutuel- lement à leurs extrémités pour réaliser un dispositif à va- et-vient malgré le déplacement angulaire dans le même sens de la tige 76. Un doigt 79, pivoté dans le curseur 72, est engagé (fig- 15) dans la rainure ou filetage ménagé sur la tige 76. Le curseur est guidé par deux glissières convena- bles qui sont constituées dans l'exemple représenté, par deux tiges fixes 80 et 81 engagées dans des lumières corres- pondantes ménagées dans le curseur.
Le fonctionnement de la dérouleuse-enrouleuse pré- cédemment décrite est le suivant :
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Le véhicule étant déplacé et le débrayage 49 ef- fectué par action sur le levier 50, le câble ou les deux câbles, suivant les cas, se déroulent de deux bobines par exemple, les autres bobines étant mises, de préférence, hors d'action en enlevant la clavette 35.
L'action sur le levier de débrayage assure en même temps le freinage des bobines. Le dispositif de va-et-vient reste immobile car son pignon 30 de commande est monté
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sur roue libre. Le montage sur roue libre précédemment in- diqué constitue un des points particuliers à l'invention.
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ENROU?1L3; NT . -
L'enroulement est effectué en réalisant l'embrayage entre les bobines et la roue motrice. Le nettoyeur 64, la poulie 67 et le dispositif à va-et-vient sont mis en action.
L'embrayage des bobines réalise en même temps la mise hors d'action des freins.
Comme représenté, plus spécialement par la fige 5, la dérouleuse-enrouleuse peut être établie pour être dépla- cée à bras d'homme; dans ce cas, le châssis comporte deux brancards 85 et une des roues du véhicule est pourvue de bêches 86 d'adhérence. La liaison cinématique entre l'une des roues porteuses et l'axe de la bobine est assurée par des roues 87-88 et une chaîne 89 à tendeur. Pour le déroulement, le pignon 87 est rendu fou sur son axe par enlèvement d'une clavette élastique de liaison.
'La dérouleuse-enrouleuse sous forme de remorque, est établie pour supporter, lorsqu'ils sont démontés, les organes de deux appareils du type représenté par la fig. 5.
Le dispositif de jonction des câbles (fig' 23) , oomporte, pour chaque extrémité 90 des câbles 18 à relier, une coquille 19. Les coquilles sont perforées axialement pour le passage des câbles avec interposition de bagues 91 d'étanchéité. Les deux fils 92 et 93, que comporte par exemple un câble, sont dénudés et pourvus de fiches 94.
Les câbles sont maintenus, dans une direction, dans les co- quilles, par l'enroulement de ficelles 95, disposées pour empêcher tout glissement longitudinal du câble. A l'intérieur de chaque coquille sont disposés des blocs isolants 96 et 97 pourvus de dpuilles et de fiches de connexion comme re- présenté sur le dessin.
Les coquilles 19 comportent des parties coniques. externes 98 combinées avec des parties coniques correspon-
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dantes d'une douille 99, des bagues d'étanchéité en caout- chouc 100 étant interposées entre les portées coniques.
La liaison des deux coquilles est réalisée par des écrous 101 et102 qui prennent appui sur desembases 103 et104 ménagées sur les coquilles et qui se vissent sur des fileta- ges correspondants réalisés sur la douille 99.
On obtient ainsi une jonction parfaitement étanche qui peut facilement être démontée. L'extrémité d'un câble (fig. Jl) pour-vu d'une coquille telle que 19 peut com- porter pour assurer l'étanchéité de la coquille un bouchon
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it0 d'obtur.tion.
.Le bloc isolant 97 comporte une rainure longi-= tudinale non représentée, dans laquelle s'engagent des er- gots correspondants solidaires de coquilles. Cette dis- position évite tout déplacement angulaire des coquilles pendant le vissage des écrous 101 et 102,
Cette fonction permet d'obtenir une continuité électrique maximum et elle résiste parfaitement à la traction.
Comme représenté plus spécialement par les figures 24 et 25, on utilise sur la dérouleuse-enrouleuse représentée par la fig. 5, un guide-câble constitué par une tige 105 qui s'applique sur le câble à enrouler. Cette tige 105 est reliée par deux bras 106 à un arbre 107 et une ten- sion est exercée dans le sans de la flèche 108 par un res- sort 109. Cette disposition évite au câble de sauter et permet d'obtenir un enroulage serré. ùne boite de friction (fig. 26) comporte deux mâ- choires en bois 110 par exemple. Cette boite est fixée par un collier 111 et un crochet 112 à un piquet non re- présenté et est utilisée pour dérouler les câbles'
La bâche supérieure de protection pour la. dérouleuse- enrouleuse à remouque est montée par l'intermédiaire d'anneaux qui sont eux-mêmes soumis. à l'action d'organes élastiques.
En outre, les parois latérales de la caisse à bobines peuvent
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être rabattues pour faciliter la vérification et le démon- tage des bobines.
REVENDICATIONS
1.- Dérouleuse-enrouleuse pour câbles téléphoniques, caractérisée par la combinaison, en un même ensemble et sur un même châssis, pourvu de moyens pour le déplacer sur le sol, de bobines pour le câble, de moyens pour entraîner angu- lairement ces bobines en fonction de la vitesse de déplace- ment du châssis ou véhicule pour effectuer l'enroulement au- tomatique des câbles sur les bobines, et de moyens pour ren- dre le déplacement des bobines indépendant de celui du véhi- cule pour permettre le déroulement des câbles par traction.