BE381266A - - Google Patents

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BE381266A
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    • FMECHANICAL ENGINEERING; LIGHTING; HEATING; WEAPONS; BLASTING
    • F16ENGINEERING ELEMENTS AND UNITS; GENERAL MEASURES FOR PRODUCING AND MAINTAINING EFFECTIVE FUNCTIONING OF MACHINES OR INSTALLATIONS; THERMAL INSULATION IN GENERAL
    • F16DCOUPLINGS FOR TRANSMITTING ROTATION; CLUTCHES; BRAKES
    • F16D65/00Parts or details
    • F16D65/02Braking members; Mounting thereof
    • F16D65/10Drums for externally- or internally-engaging brakes

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  • Engineering & Computer Science (AREA)
  • General Engineering & Computer Science (AREA)
  • Mechanical Engineering (AREA)
  • Forging (AREA)

Description


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  "Perfectionnemnts aux tambours de frein ou autres organes annulaires analogues et   à   leur procédé de fabrication" 
La présente invention a pour objet un pro- cédé et un appareil pour la fabrication et, si on le désire, le revêtement de pièces annulaires telles que des tambours de frein. 



   Un des principaux buts de l'invention con- siste à réaliser un procédé de traitement qui améliore les qualités de résistance à l'usure des pièces pré- 

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 citées et qui réduise dans des conditions satisfaisantes les dimensions des pièces en question de manière à les amener à avoir des dimensions précises et à constituer des surfaces qui soient parfaitement de révolution. 



   L'invention vise également à réaliser une machine au rnoyen de laquelle le procédé précité peut être mis en oeuvre dans les conditions de rapidité vou- lues pour obtenir une production en série et économique. 



   C'est également un but de l'invention d'atteindre les résultats précités en même temps qu'on applique sur les pièces traitées un revêtement convena- ble pour la résistance à l'usure. 



   Jusqu'à présent, les tambours de frein ont été fabriqués au moyen de différentes opérations d'emboutissage et xxxxxxxxxxxxxxxx de laminage fréquem- ment combinées avec des opérations de réchauffage et d'usinage relativement coûteuses destinées à ramener les pièces traitées à la grandeur voulue,en leur donnant la précision de dimensions nécessaire,en en faisant des surfaces qui soient parfaitement de révolution et enfin en leur assurant la dureté désirable pour qu'elles puis- sent bénéficier d'une longue durée d'utilisation et pour que le travail simultané destambours de frein et dessa- bots qui fonctionnent en combinaison avec eux d'effectue dans des conditions harmonieuses et satisfaisantes. 



   D'une façon générale, le procédé de traitement des tambours de frein ou autres organes annu- laires qui fait l'objet de l'invention consiste à sou- tenir périphériquement une des surfaces desdites pièces   par martelage pendant qu'on usine/une autre surface de ces dernières.   



   Une machine objet de l'invention comporte un porte-pièces et un certain nombre de dispositifs per- mettant d'usiner une surface donnée de la pièce traitée 

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 pendant que cette dernière est maintenue dans le porte-pièces   précite.   



   On peut appliquer un revêtement ou gar- niture sur la pièce traitée et dans ce cas l'usinage réalisé a non seulement pour effet de rectifier et de renforcer ladite pièce, mais a encore pour but d'amener le revêtement ou garniture en question en contact étroit avec la pièce précitée. 



   Au point de vue de la mise en oeuvre pratique de   l'invention,   les résultats les plus satisfaisants ont été obtenus en ne traitant qu'un faible élément de surface à la fois et il est par- ticulièrement désirable de traiter simultanément les deux éléments de surface qui se trouvent aux deux extrémités opposées d'un diamètre de la pièce en utilisant dans ce but des marteaux agissant dans le sens radial de façon que lesforces misesen jeu s'équilibrent. 



   En vue d'accélérer le travail et afin que tous les éléments de la surface traitée soient usinés de façon identique, les organes d'usinage et la pièce traitée sont misen rotation lesuns par rapport aux autres à une vitesse convenable et les marteaux sont commandés de manière à frapper des coups très rapides afin que la totalité de la surface de la pièce traitée soit usinée dans un   minimum   de temps. 



   Une autre caractéristique de l'inven- tion consiste à provoquer le déplacement des marteaux vers l'extérieur à l'intérieur de la pièce traitée jusqu'au moment où cette dernière atteint les dimen- sions voulues; on continue ensuite l'usinage après que le déplacement des marteaux vers l'exté- 

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 rieur a atteint une valeur suffisante pour amener la totalité de la surface à être parfaitement de révolution, ce dernier résultat étant dû au recou-   vrement   partiel des différents coups de marteau pendant la rotation que la pièce traitée et les subissent organes d'usinage xxx les uns par rapport aux autres. 



   Les marteaux fonctionnent de préférence à très grande vitesse sous l'action d'un dispositif de   commande   rotatif aménagé de façon à venir suc- cessivement et de façon répétée en prise avec les extrémités internes desdits marteaux et également aménagé de Manière à chasser les marteaux vers l'extérieur pour qu'ils viennent en prise avec la surface interne de la pièce traitée, l'élas- ticité des marteaux et de la pièce en question étant chargée de ramener les marteaux à leur posi- tion interne. 



   La pièce traitée est montée dans un mandrin de manière à subir un mouvement relatif d'avancement et de recul qui permet sa mise en place sur l'appareil et son retrait et qui permet également le martelage. 



   Une autre caractéristique de l'invention consiste dans ce fait que la machine objet de l'invention peut être   complètement   automatique; le fonctionnement du mandrin en vue de la mise en place et du retrait de la pièce traitée, le mouvement de rapprochement et d'éloignement desorganes de mar- telage et du mandrin, la mise en route et l'arrêt du mouvement de rotation du mandrin et, enfin, l'ar- rêt de la machine pendant que le mandrin et les organes de martelage sont écartés les uns des autres 

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 sont mis en train par l'opérateur, mais se produi- sent ensuite avec des durées convenables jusqu'au moment où la pièce traitée est terminée. 



   Grâce au procédé et au dispositif qui font l'objet de l'invention, il est possible d'évi- ter plusieurs des opérations qu'il était   aupara-   vant nécessaire de réaliser et il est également possible d'atteindre les résultats qui constituent les buts de l'invention grâce à   la.   simple disposition qui consiste à usiner la périphérie interne du tam- bour pendant qu'on maintient celui-ci par sa péri- phérie externe. 



   Grâce au procédé dont il s'agit, il est possible de remettre en état des tambours de frein dont les surfaces périphériques sont déformées ou ont des dimensions trop faibles et ce résultat peut être   atteint sans   qu'on soit obligé de recourir à des opérations coûteuses de tournage ou d'usinage et par conséquent dans des conditions économiques. 



   Ce même procédé, non seulement durcit la périphérie de la surface interne de freinage, de manière à lui assurer une plus grande durée, mais encore produit, grâce à l'opération d'usinage réali- sée, un effet analogue sur la surface périphérique externe dont elle accroît les qualités de résistance à l'usure de sorte qu'au total on obtient un tambour de frein qui pourrait être utilisé aussi bien pour le cas où le freinage aurait lieu à l'extérieur ou à la fois à l'extérieur et à l'intérieur que pour le c as où le freinage aurait lieu exclusivement à l'intérieur. 

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   Pour permettre de dieux comprendre l'in- vention, on va maintenant décrire en détail un mode de mise en oeuvre indiqué à titre d'exemple et repré- senté sur le dessin annexé dans lequel : 
Les fig. 1, 2 et 3 représentent respec- tivement en élévation, de profil et en plan, la ma- chine objet de   l'invention;   
La   fige 4   représente une vue de détail partielle du mécanisme de contrôle; 
La   fig. 5   représente une coupe verticale longitudinale partielle de l'appareil, ladite coupe montrant la tête d'usinage et le mandrin porte-pièces, ces deux éléments se trouvant dans la position pour laquelle ils sont éloignés l'un de l'autre;

   
La fig. 6 représente une coupe diamétrale longitudinale verticale de la machine, la tête d'usinage et le mandrin porte-pièces se trouvant dans la position pour laquelle ils sont rapprochés l'un de l'autre; 
Lesfig. 7 et 8, respectivement, repré- sentent une vue avec arracheraent partiel et une coupe diamétrale de la tête d'usinage; 
La fig. 9 représente une coupe diamétrale verticale de détail d'une légère variante de réalisa- tion de la tête d'usinage et du mandrin porte-pièces; 
La fig. 10 représente une vue en perspec- tive de l'un desmarteaux d'usinage; 
La fig. 11   représente   un développement de la came de commande;

   
La fige 12 représente une coupe diamétrale d'une des pièces traitées, en l'espèce un tambour de frein qui est aménagé de manière à pouvoir être traité par le procédé perfectionné qui fait l'objet de l'in- vention; 

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La fig. 13 montre   plus   ou moins schéma- tiquement une coupe transversale d'un mode de réali- sation de   l'appareil   qui permet la mise en oeuvre de l'invention; 
La fig. 14 est une coupe diamétrale d'un tambour de frein revêtu d'une garniture   conformément   à l'inventions ladite coupe montrant la surface interne dudit tambour;

   
La fie, 15 représente une coupe analogue à celle qui est représentée sur la fig. 13, ladite coupe montrant plus ou moins schématiquement un mode de réalisation d'un appareil permettant de marteler, après qu'il a été mis en place, le revêtement qui est destiné à constituer la garniture interne de la surface périphérique du tambour; 
Les fig. 16, 17 et 18 représentent des coupes diamétrales partielles de détail montrant une variante de réalisation dans laquelle on forme tout d'abord dans la surface interne du tambour des rainures annulaires, la fig. 16 montrant l'outil qui agit sur la pièce pour façonner lesdites rainures, la fig. 17 montrant le revêtement rais en place avant son martelage et la fig, 18 montrant le revêtement après qu'il a été mis en place et usiné;

   
La fig. 19 représente en élévation une vue de la surface interne du tambour de frein, ladite vue montrant de quelle façon le revêtement est mis en place avant son usinage sur place; 
La fige 20 représente une coupe   diamé-   trale d'un autre dispositif de tambour de frein, le revêtement étant mis en place avant son usinage sur place;

   

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Les fig. 21, 22   et 23   représentent des coupes diamétrales partielles de détail montrant le procède. mis en oeuvre pour usiner le tambour de frein représenté sur la fig, 19 et pour effectuer sur place l'usinage à réaliser, la fig. 21 montrant le façonnage des nervures annulaires de la surface interne du tambour par un usinage convenable de ladite surface, la fig.   22 montrant   la mise en place du revêtement avant son usinage sur place et la fig. 23 montrant ledit revêtement après qu'il a été usiné sur place ;

   
La fige 24   représente   en perspective une vue de détail du marteau utilisé pour la réalisation de l'opération d'usinage indiquée sur la figure   21;   
Enfin, la fig. 25 représente une vue de détail d'un tambour dont la surface interne comporte à   la.   fois des rainures circulaires et des rainures longitudinales réalisées avant la mise en place du   revêtement;:

     
Si l'on se réfère tout d'abord aux figures schématiques 12 et 13, qui indiquent le procédé ge- néral objet de l'invention, on voit qu'on prend un tambour de frein ou une autre pièce analogue à trai- ter 1   comportant   une surface périphérique interne 1' et une surface périphérique ezterne 1" prête à être traitée telle qu'elle sort au point de vue de la for- me et des dimensions de la presse à emboutir ou de la machine sur laquelle les pièces ont été fabriquées.. 



   On saisit ladite pièce par sa périphé- rie externe dans un certain nombre de mâchoires 2 dont les facesinternes 3 sont conformes  à   la surface périphérique externe que l'on veut donner à la pièce. 

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   Dans le cas   représente,   les mâchoires en question constituent des matrices de façonnage dont l'ensemble réalise une surface cylindrique interne qui entoure complètement la surface extérieure du tambour, c'est-à-dire qu'elle constitue une surface d'appui ou une enclume contre laquelle les organes internes de   martelage   peuvent appliquer la pièce traitée. 



   Dansun support annulaire convenable 4 aménagé à l'intérieur de la surface périphérique interne l' du tambour sont aménagées et sont dispo- sées en vue de la mise en oeuvre de l'invention exac-   tement   dans l'alignement de l'axe demâchoires qui fixent la pièce traitée,des séries de marteaux 5 qui sont aménagés de manière à pouvoir subir un dé- placement radial   limite   dans le support précité. 



   Les marteaux en question ont une face de travail orientée dans le sens axial et dont la lar- geur, toujours dans le sens axial, est égale à cel- le qui est nécessaire pour traiter simultanément toute la largeur de la surface à usiner. 



   De préférence, afin que chaque coup de marteau n'agisse que sur un petit élément d'arc de la surface de la pièce traitée, la face de travail 6 de chaque marteau est façonnée conformément à ce qui est représenté de manière à présenter un arc de faible rayon de courbure, la courbure dudit arc dépendant, bien entendu, dans une certaine mesure de la nature du métal que l'on veut travailler, c'est-à-dire du fait que ce métal est dur ou doux. 



   Dans le cas d'acier à faible teneur en' carbone tel que celui qui est généralement utilisé pour la fabrication des tambours de frein en métal 

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 embouti, la demanderesse a obtenu desrésultats sa- tisfaisants en adoptant pour les marteaux une sur- face de travail dont le rayon de courbure était sensiblement tel par rapport à la courbure de la pièce traitée que celui qui est indiqué sur le des- sin. 



   De préférence, les marteaux 5 sont amé- nagés suivant une disposition équilibrée par rapport à l'axe du support 4 et des mâchoires de fixation 2 et ils se trouvent par conséquent situés aux deux extrémités opposées dunmème diamètre. 



   Pour l'application du procédé objet de l'invention, les deux marteaux ainsi disposés aux deux extrémités opposées du diantre sont   commandés   simultanément de manière à travailler au même instant sur deux points symétriquement opposés de la pièce traitée. 



   Lesdits marteaux peuvent être commandés simultanément au moyen de n'importe quel disposi- tif convenable et ci-après on a décrit, en se ré-   férant   aux fig. 1 à 11, un type de dispositif par- ticulier. 



   Conformément à ce qui a été indiqué plus haut, le procédé qui fait l'objet de l'invention peut également étre utilisé pour munir une pièce déterminée d'une garniture ou d'un revêtement. Sur la fig. 14, on a représenté un tambour de frein qui constitue une application de ce cas particulier de mise en oeuvre de l'invention; ledit tambour de frein comporte un rebord radial de fixation   7,   une surface de freinage cylindrique périphérique 7' et un rebord externe destiné à le   raidir.   

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   A l'intérieur de la surface périphérique interne de la partie 7' se trouve fixé un revêtement 8 résistant à l'usure et établi en une substance telle qu'un acier à teneur en carbone élevée possèdant des qualités de résistance à l'usure satisfaisantes 
Grâce au martelage que comporte le procédé qui fait l'ohjet de l'invention, le revêtement dont il s'agit est solidement assujetti et mis dans   l'im-   possibilité de subir soit un   déplacement   axial, soit une rotation, l'assujettissement en question résultai de la simple liaison   moléculaire   réalisée entre la surface de l'élément 7' et le revêtement, même sans qu'on ait pris la précaution de rendre préalablement rugueuse la surface de l'élément 7'. 



   La surface d'un métal tel que l'acier à faible teneur en carbone au moyen duquel le tambour xx de frein considéré est ordinairement fabriqué par emboutissage présente, en effet, un minimum suffisant d'irrégularité de position entre ses différentes   mole*   cules pour que, sous l'action du travail intense qui résulte du martelage du revêtement au moment de sa mise en place les molécules dudit revêtement s'imbri- quent avec celles du tambour de frein et assurent un blocage réciproque de ces éléments à la fois   mécani-   quement et par contact. 



   Pour la mise en oeuvre du procédé qui fait l'objet de l'invention, on donne au revêtement 8 la forme d'un anneau qui peut être continu et qui peut être obtenu en repliant en cercle une bande de métal plane et en soudant bout à bout les extrémités du cercle. 



   Ladite garniture pourrait également être 

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 obtenue en découpant dans la bande précitée une longueur convenable de manière qu'après avoir été repliée en cercle elle s'adapte sensiblement à la surface du tambour que l'on veut revêtir, après quoi on l'introduit (soit après qu'elle a été sou- dée, soit simplement avec ses bords rapprochés. Niais non reliés) à l'intérieur de la face périphérique interne de la partie 7' du tambour et avant de la marteler on peut l'assujettir au moyen de quelques points de soudure. 



   Après leur assemblage, le tambour de frein et le revêtement sont placés dans un appareil à marteler tel que celui qui est représenté sur la fig. 15 et qui, à tous les points de vue, est semblable à celui qui a déjà été décrit en se ré- férant à la fige 13. 



   Le revêtement est usiné de manière à atteindre ses dimensions finales,   c'est-à-dire   celles pour lesquelles sa surface interne constitue une surface de révolution parfaite dont le diamètre est exactement celui que l'on désire, sa surface externe étant intimement reliée mécaniquement et par contact à la surface du tambour de frein, grâce à l'opération de martelage qui a été réalisée. 



   Bien qu'on ait constaté que normalement la liaison établie dans tous les cas est   suffisam-   ment résistante, même sans qu'on fasse subir un traitement préalable à la surface du tambour de frein que l'on veut revêtir d'une garniture, il est cependant désirable, dans certains cas, de rendre plus 'rugueuse la surface contre laquelle le revêtement en question doit être appliqué. 

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   En vue de la réalisation de cette dis- position, on opèrepar exemple, conformément à ce qui est indiqué sur les fig. 16, 17 et 18. 



   La   fige   16 montre l'étape du travail au cours de laquelle on pratique dans la face périphé- rique interne du tambour une série de rainures an- nulaires 9 que l'on obtient au moyen d'un outil de coupe 9a pendant que le tambour de frein tourne avec le porte-pièces. 



   Après que lesdites rainures ont été fa- çonnées, on introduit le revêtement 8 conformément à ce qui est indiqué sur la fig. 17 et enfin, au moyen de l'opération de martelage indiquée sur la fig. 18, on provoque l'expansion du revêtement de manière que sa surface externe pénètre dans les rainures et aasure ainsi sa fixation. 



   L'emploi de l'outil 9a laisse subsister le long des bords des rainures des bavures qui contribuent à assurer la liaison mécanique du tambour de frein et du revêtement en vue d'empêcher la rotation de ce dernier. 



   Si on le désirait, on pourrait prévoir à la fois des rainures axiales et des rainures cir- culaires conformément à ce qui est indiqué sur la fig. 26. 



   Dans le mode de mise en oeuvre de l'in- vention qui est indiqué sur les fig. 18 à 24, la surface sur laquelle on veut appliquer le revê- tement est de préférence traitée de manière à pré- senter une série de nervures annulaires 9' et ce résultat peut être obtenu au moyen d'une opération de martelage analogue à l'opération finale de martelage destinée à fixer en place le   revêtement,   

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 mais on utilise alors des marteaux 5' (voir fig. 24) dont la surface de travail ost constituée par un élément rapporté 5a présentant des rainures cor- respondant aux nervures que l'on veut obtenir dans la surface du frein. 



   La fig. 21 indique l'opération de mar- telage préliminaire en question; la fig. 22 montre l'introduction du revêtement et la fig.   23 l'opé-   ration finale de martelage, le revêtement étant   définitivement   mis en place et assujetti au moyen des nervures 9'. 



   La façon particulière dont sont façonnés les creux et les saillies précités ainsi que leur étendue et leur direction n' ont aucune importan- ce au point de vue de la mise en oeuvreproprement dite de l'invention; les moyens particuliers uti- lisés pour façonner ces saillies ou ces dépressions ont été indiqués uniquement à titre d'exemple pour montrer de quelle façon l'appareil qui fait l'objet de l'invention peut être utilisé pour rendre ru- gueuse et irrégulière la surface du tambour et pour renforcer la liaison entre ladite surface du tam- bour et le revêtement. 



   Si maintenant on se réfère au dispositif   repré.senté   sur les fig. 1 à 11, dispositif qui peut être utilisé pour la mise en oeuvre du procédé; dé- crit ci-dessus, on voit qu'il comporte une téta de   martelage   dont l'ensemble est désigné par le chif- fre de référence 10, un mandrin porte-pièce 11, un chariot porte-mandrin 12, un bâti 13, un moteur 13' pour la commande du dispositif de martelage, un moteur 14 pour la commande du mouvement de rotation 

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 du mandrin et enfin un moteur 15 qui commande le rapprochement et   l'écartèrent   de la tête de mar- telage et du mandrin. 



   Le bâti 13 de l'appareil peut xxxx être constitué par un cadre rentangulaire creux en fonte muni de nervures de renforcement convenables et de supports et maintenu à la hauteur voulue au- dessus du sol au moyen de quatre pieds 16 disposés aux quatre coins du cadre précité. 



   A l'une de ses extrémités, à l'extrémi- té de droite pour un observateur qui regarde la fig. 1, la partie supérieure du cadre précité est 
17 aménagée de manière à constituer un   plateau/aux   le fond duquel font saillie des bossages ou ner- vures 18 dont la surface supérieure est soigneuse- ment usinée afin qu'elle puisse servir de siège à la tête de martelage,10 dont les rebords inférieurs latéraux 18' sont boulonnés sur le cadre principal au moyen de boulons qui passent à travers les re- bords latéraux précités et à travers les nervures   18.   



     La.   tête de martelage et le bâti 13 sont clavetés ensemble au moyen d'une clavette 19 qui pénètre dans des logements correspondants pratiqués dans la nervure centrale 18 et dans la base de la tête de martelage, la clavetage en question ayant pour but d'assurer et de maintenir l'aleignement réciproque des organes considérés. 



     .Il   sa partie supérieure, la tête de mar- talage comporte un palier-de grand diamètre qui constitue une surface d'appui importante pour l'ar- bre 21 qui commande lesmarteaux et qui s'étend longitudinalement à travers ladite tête. 

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   Dans le sens   radial,/l'arbre   en question est supporté par une garniture convenable et au voisinage de l'extrémité externe dudit arbre on a prévu des   rouloaux   22. 



   Ladite extrémité externe 23 qui est de diamètre réduit et qui fait saillie à l'extérieur du palier 20 supporte ure lourde poulie 24 qui joue le rôle de volant. 



   La poussée axiale dudit arbre est absorbée par des roulements à billes 25 et 26 respectivement aménagés, d'une part entre une plaque annulaire   27   boulonnée sur la face extrême de la tête de martela- ge et le volant, d'autre part entre ladite plaque     et   l'épaulement auquel donne'lieu le rétrécis-      semant de   l'arbre.   



   Le volant est claveté sur l'arbre de la tête et il est maintenu en place au Moyen d'un écrou de blocage qui est susceptible d'être manoeuvré au moyen d'une clef et qui bloque ledit volant contre un épaulement prévu sur l'extrémité de diamètre ré- duit de l' arbre. suivant sui vant 
L'arbre 21 est traversé xxxx son axe par un canal à gradins, les différents   gadins   divisant ledit canal en quatre parties de diamètre décroissant depuis son extrémité interne jusqu'à son extrémité externe. 



   Dans le canal en question sont   aménagée   le mécanisme de commande des marteaux et les organes de réglage de ce mécanisme. 



   Les marteaux d'usinage eux-mêmes peuvent être constitués par des blocs 28 d'un alliage d'acier extrêmement dur régulièrement répartis dans le sens circulaire à l'extrémité interne de la tête de mar- 

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   talage.   Ils sont guides dans des logements radiaux 29 (voir fig. 7) et ils comportent des nervures la-   térales   30 (fig. 10) qui glissent dans des rainures correspondantes pratiquées dans les faces latérales des logements précités. 



   Lesparois internes de cesderniers sont constituées par des plaques amovibles 31 qui sont fixées au moyen de vis à tête 32 en vue de faciliter la construction et de permettre le remplacement ra- pide d'un ou plusieurs marteaux, sans qu'on soit obli- gé d'enlever la totalité de la tête de martelage, 
Lesfaces externes de travail33 desmar- teaux sont incurvées dans un plan transversal, leur courbure variant en fonction de la dureté du métal à travailler ou du poli que l'on veut obtenir pour la surface traitée. 



   Lesdites faces de travail des marteaux ont une longueur qui correspond à la largeur de la surface à travailler et dans le sens longitudinal le contour desdites faces correspond au contour de la surface de révolution que l'on veut obtenir sur la pièce traitée, 
Dans le mode de réalisation représenté, la face de travail est disposée parallèlement à l'axe de l'arbre de la tête et elle a une forme telle qu'el- le puisse usiner une surface cylindrique. 



   Sur leurs facesinternes, les marteaux sont également incurvés dans le sens transversal en vue de laisser passer les organes de commande; c'est seulement dans leur partie centrale qu'ils présentent chacun une nervure relativement étroite 34 qui est de forme arrondie si l'on considère sa section droi- te et qui reçoit seule le choc des organes de comman- 

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La forme de ladite nervure est telle   qu'el-   le réduise de façon convenable la durée de la pério- de d'action des organes de commande précités. 



   Dans le mode de réalisation décrit, on a indiqué quatre marteaux aménagés   symétriquement   par paires sur la tête de martelage de manière à couuper des positions diamétralement opposées les unes aux autres, ceci afin de répartir les efforts de façon équilibrée en des points diamétralement opposés de l'axe de l'appareil et de la pièce traitée. 



   Les deux diamètres aux extrémités desquels sont aménagés les marteaux ne sont pas   per-pendicu-   laires l'un à l'autre, mais se trouvent disposés conformément à ce qui est indiqué sur la fig. 7 de manière à faire entre eux un angle d'environ 67 1/2. 



   L'écartement angulaire ainsi adopté pour les paires de marteaux opposées est particulièrement désirable sur la machine considérée en vue d'obtenir un fonctionnement souple de cette dernière,   confor-     moment   à ce qui apparaîtra dans la description qui va suivre du mécanisme de   comnande.   



   Il va toutefois bien entendu de soi qu'on pourrait adopter d'autres écarts   angulaires   et ob- tenir un fonctionnement souple avec d'autres amé- nagements de l'appareil. 



   Dans le cas considéré, le mécanisme de com- mande comprend huit rouleaux 35 régulièrement ré- partis tout autour de l'axe de l'appareil et enfer- més dans des logements radiaux prévus à l'extrémité interne de l'arbre de commande 21. 



   Les rouleaux en question ont une surface légèrement conique aménagée de manière à venir suc- cessivement en prise pendant la rotation de l'arbre avec les nervures courbes 34 des marteaux et de ma- 

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 nière à provoquer l'application sur la pièce trai- tée des coups de marteau nécessaires. 



   Le contact roulant réalisé entre les rou- leaux de commande et lesmarteaux assure avec un minimum de friction entre ces organes l'application des coups de marteau nécessaires. 



   Etant donné que l'appareil comporte huit rouleaux régulièrement disposés et seulement quatre marteaux aménagés conformément à ce qui a été in- diqué plus haut, on voit immédiatement que deux marteaux seulement sont mis en marche simultanément, car au moment où une paire de marteaux fonctionne, l'autre paire se trouve située en regard de l'espa- ce qui se trouve entre deux rouleaux voisins (voir fig. 7). 



     A   chaque extrémité des surfaces coniques de commande des rouleaux font saillie des touril- lons,respectivement   36   et 37, qui sont guidés,dans les déplacements axiaux qu'ils peuvent subir, par des paliers à garniture aménagés xxxxxxxx les paliers externes 38 dans l'arbre de commande et les paliers internes 39 dans une plaque 40 boulonnée contre la face interne dudit arbre au moyen de tétons file- tés 41 et   d'écrous   42. 



   D'après ce qui précède, on voit que les rouleaux ne peuvent subir aucun déplacement d'en- semble, sauf le déplacement radial nécessaire pour les rapprocher de la pièce traitée. 



   Le déplacement radial en question est obtenu par l'intermédiaire d'un organe de commande qui comporte une tête légèrement conique 43 dispo- sée en sens inverse des roule aux et aménagée de 

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 manière à pouvoir agir simultanément sur tous les rouleaux. 



   L'organe central de commande en question est guidé, dans ses déplacements axiaux par une queue cylindrique 44 aménagée à l'intérieur d'une garniture 45 montée dans la deuxième partie du ca- nal central de l'arbre, la tête du dispositif de commande occupant elle-même la première partie du dit canal, c'est-à-dire la partie de plus grand diamètre 47 dontla paroi, qui est elle-même légère- ment conique, de manière à correspondre à la forme de la   tête,est   légèrement écartée de la périphé- rie en vue de permettre son déplacement longitudi- nal libre dans les limites nécessaires pour le travail à réaliser. 



   Normalement, conformément à ce qui est indiqué sur la fig. 5, la tête de commande 43 est repoussée vers l'intérieur de l'appareil par un ressort de compression 48 qui prend appui à l'une de ses extrémités contre   l'épaulement   prévu à l'extrémité externe de la troisième section du canal qui traverse l'arbre et qui prend appui à son autre extrémité contre la queue 44 de la tête de   commande.   



   Dans la partie externe de faible diamètre du canal central de l'arbre de commande 21 est vissé, un manchon d'arrêt 49 qui limite le déplace- ment de la tête de commande 43 versl'extérieur ainsi que le déplacement de sa queue de guidage   44.   



   La liaison à vis établie entre le man- chon 49 et l'arbre permet de régler facilement la position de ces deux organes l'un par rapport   à   

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 l'autre en vue d'ajuster la valeur du déplacement   permis   à l'organe de commande pour chacune des piè- ces traitées. 



   Le manchon 49 est fixé dans sa position d'ajustement au moyen d'un écrou de blocage 50 et d'une rondelle 51 qui est bloquée contre l'écrou 28'. 



   Le déplacement de la tête de   commando   et de sa queue vers l'intérieur sous l'action du res- sort 48 est limité au moyen d'une tige 52 qui pas- se à travers le manchon 49 et dont l'extrémité ex- terne qui est filetée fait saillie au-delà de,l'ex-   trémité   externe du manchon, ladite extrémité file- tée étant destinée à recevoir un écrou d'arrêt 53 et un contre-écrou de blocage 54. 



   A son extrémité interne, la tige 52 pé- nètre dans un canal pratiqué dans la queue 44 de l'arbre de commande; elle y est fixée au moyen d'un jeu de vis, conformément à ce qui est indiqué sur la fig.   6.   



     Iàes   roulements   à   billes d'absorption de poussée 55 et 56 sont respectivement prévus à l'ex- trémité interne et à l'extrémité externe de l'organe de   commander   le premier absorbe la poussée de l'or- gane de commando contre l'extrémité du manchon d'ar- rêt   .49.   Le second absorbe la poussée d'un bouton 57 (établi en un métal dur) situé dans un logement axial prévu à l'extrémité interne de la tète de   commande,,   la deuxième poussée en question se pro- duisant au moment où le bouton précité vient en prise avec les organes que l'on va décrire et qui servent à déplacer la tête de commande vers   l'exté-   

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 rieur   maigre   la pression antagoniste du ressort 48. 



   Sur l'extrémité interne de la tête de martelage et à l'extérieur dans le sens radial par rapport   au   trajet du marteau est aménagé un anneau 58 pour la fixation et le réglage de position de la pièce traitée, ledit anneau étant   Monte   fou de   ma-   nière   à   pouvoir tourner en reine temps que le man- drin qui supporte cette dernière. 



   Ledit anneau est soutenu par un roulement à billes d'absorption de poussée 59 et il est main- tenu en place par un Manchon 60 qui recouvre ledit roulement à billes et dont le bord interne est ra- battu en 61 de manière à recouvrir la face inclinée 62 dudit anneau. 



   Lorsque l'appareil est en marche, l'arbre de   commande   21 est mis en Mouvement de façon conti- nue au moyen d'un moteur électrique 13' aménagé sur une plate forme 63 qui est suspendue sous le mouvement châssis 13, le xxxxxxx étant transmis, par l'inter- médiaire d'une poulie à gorges64 montée sur l'arbre de l'induit du moteur et par l'intermédiaire d'un certain nombre de courroies de   transmission   65 qui passent dans les gorges de la poulie 64 et dans les gorges correspondantes aménagées à la périphérie du volant. 



   L'entrainement direct réalisé par l'arbre de l'induit du volant avec, comme seul coefficient de réduction de vitesse, le rapport des rayons des deux poulies, imprime à l'arbre de commande une vi- tesse de rotation élevée de l'ordre de grandeur de 400 tours par minute et,par suite,chaque marteau étant actionné huit fois pour chaque tour de l'ar- bre, les coups frappés se trouvent appliqués avec une très grande rapidité, si bien qu'il suffit de 

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 faire subir à la pièce une   fraction   de tour pour axnener la surface interne de ladite pièce à cons- tituer une surface parfaitement de révolution ayant exactement les dimensions voulues. 



   Les coups des marteaux sont appliqués avec une telle rapidité que bien que leur action soit limitée à une faible fraction de la surface traitée, lesdits coups xxxxxxxxxxxxx se recouvrent mutuellement dans des conditions telles que la surface traitée en question est amenée de façon   suffisamment   parfaite à être de révolution pour qu'elle soit susceptible de satisfaire à toutes les exigences pratiques. En outre, on peut obtenir pour ses dimensions une précision de l'ordre de grandeur du centième de millimètre. 



   Pour bien assurer   1'.'entraînement   de l'arbre de commande, il est nécessaire de pouvoir tendre les courroies 65; ceci est obtenu en réglant la suspension de la plateforme 63 qui porte le mo- teur. 



     A   cet effet, ladite   plateforme   est arti- culée à l'une de ses extrémités sur des supports 66 qui sont boulonnés sous le châssis 13 et à son autre extrémité la plate forme est maintenue par une ou plusieurs bielles 67 qui sont articulées sous le châssis et qui sont reliées de façon réglable à la plateforme par l'intermédiaire d'écrous de fixation réglables 68 et   69   qui sont respectivement en prise avec la faae supérieure et avec la face inférieure de la plateforme. 



   Le chariot porte-mandrin 12 est aménagé dans la partie gauche de l'appareil de Manière à 

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 pouvoir glisser entre les parois latérales 70 et 71 dans les faces latérales desquelles sont   'pratiquées   des rainures de guidage 72 et 73 à l'intérieur des- quelles coulissent des nervures latérales 74 et 75 du chariot, 
De cette manière, l'axe du Mandrin est   Maintenu   de façon précise dans l'alignement de l'axe de la tête de martelage 10. 



   Le chariot précité peut être constitué par une pièce fondue creuse convenablement renforcée par des cloisons longitudinales et transversales et mu- nie à sa partie supérieure de paliers d'appui conve- nablement espacés76 et 77 d'assez grandesdiman-   sions   destinés à recevoir l'arbre massif 78 qui porte lesmâchoires du mandrin. 



   Les paliers précités sont munis de gar- nitures 79 et   80   dont la position est susceptible d'être réglée à volonté et qui peuvent être fixés   au'   moyen d'écrans 81 et   82.   



   A son extrémité interne, l'arbre 78 est muni d'un rebord   81'.   aménagé de Manière à recevoir dans un   logement   convenable les mâchoires 11 qui sort boulonnées sur l'arbre. 



   Cet aménagement permet de remplacer rapi-   dement   un groupe de Mâchoires par un autre lorsqu'on change le genre des pièces traitées. 



   Entre le rebord   81'   et un épaulement conve- nable du palier interne 77 est prévu un roulement à billes d'absorption de poussée 82'. 



   Dans la face interne du   mandrin   est creusé un premier logement 83 destiné   à   recevoir la pièce   à,   travailler et un deuxième logement annulaire 84 qui 

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 entoure le précédont et dans   Lequel   sont aménagées un certain nombre de mâchoires 85 qui constituent un support annulaire sensiblement continu destiné à soutenir la face de la pièce traitée 
Les mâchoire précitées sont montées de manière à coulisser longitudinalement dans le loge- ment 84 contre une paroi externe inclinée 88 dudit logement.

   Lorsque les mâchoires ont glissé vers l'extérieur (voir fig. 5) la pièce à traiter peut être mise en place   à   l'intérieur de ces mâchoires., 
La face périphérique interne de ces der- nières   a,   bien entendu, la forme voulue pour rece- voir contre elle la face périphérique externe de la pièce   traitée.   



   Conformément   à   ce qui est indiqué, les mâchoires en question sont aménagées de manière à soutenir la surface périphérique externe et le xxx rebord d'un tambour de frein W et elles comportent une échancrure 85' qui leur   permet   de recevoir le rebord précité. 



   En vue de bloquer ou de   livrer   la pièce traitée, les mâchoires sont commandées de la façon suivante. 



   Lorsque ladite pièce à traiter a été in- troduite sur l'appareil dans la position indiquée sur la fig. 5, les mâchoires se trouvant dans leur position externe, ces dernières sont repoussées vers l'intérieur au moment où le mandrin se rapproche de la tête de martelage. 



   Lors du rapprochement final qui correspond à la position indiquée sur la fige 6, le -rebord de la pièce traitée vient en prise avec l'anneau rota- tif 58 de la tête de martelage et ce dernier agit, 

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 non seulement pour régler de   faucon   précise la po- sition et l'alignement de la pièce traitée entre les mâchoires du mandrin, mais encore par pousser les mâchoires vers l'intérieur le long de la paroi inclinée 88. 



   Il oblige ainsi les mâchoires à se res- serrer concentriquement de manière à, serrer la pièce traitée sur toute sa périphérie. 



   Si la pièce traitée a un diamètre légère- ment inférieur au diamètre de la surface interne des mâchoires lorsqu'elles sont   complètement len-   trées, l'action de serrage du mandrin et de l'an- neau 62 sur le rebord de la pièce traitée   Maintiendra.   néanmoins cette dernière en position pendant la première période du martelage et jusqu'au moment où ladite pièce aura subi l'expansion qui l'ap- plique contre les faces internes des mâchoires du mandrin. 



   Des moyens sont prévus pour obliger les mâchoires à sortir du   mandrin   et à libérer la pièce traitée au moment où le mandrin s'écarte de la tê- te de martelage. 



     A   cet effet, sur la face arrière du man- drin est montée élastiquement une plaque d'éjection 89 qui est aménagée et guidée de manière   à   coulis- ser sur le corps du mandrin tout en étant en prise avec un anneau périphérique 90 qui est boulonné contre la face antérieure de ladite plaque. 



   Le déplacement versl'arrière de la pla- que précitée est limité par une série de tiges de butée 91 qui sont disposées en cercle et qui sont vissées dans la face arrière du   mandrin,   

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Ces tiges passent à travers des trous qui sont pratiqués en face d'elles dans la plaque 89 et elles sont munies dfécrous d'arrêt et de contre-écrous 92. 



   La plaque 89 est poussée élastiquement contre les écrous d'arrêt précités par des res- sorts à boudin 93 qui entourent les tiges   91,*et   qui prennent appui à leurs extrémités d'une part contre la plaque, d'autre part contre la face arrière du mandrin. 



   Chacune desmâchoires de mandrin est reliée à un plongeur 94 qui est poussé par un ressort et qui est guidé de façon à se déplacer dans un canal incliné 95 pratiqué dans le mandrin, l'inclinaison du canal en question étant la   morne   que celle de la paroi   88   contre laquelle glissent les mâchoires. 



   Le déplacement vers l'extérieur des plongeurs précités est limité par des manchons 96 aménagés à l'extrémité antérieure des canaux précités. 



   Lesdits plongeurs sont normalement poussas versl'avant contre le .manchon par des ressorts à boudin 97 qui entourent la partie ar- rière du plongeur, laquelle est de diamètre ré- duit et avance à travers un trou également de diamètre réduit, de façon à se prolonger au-delà de la face arrière du Mandrin. 



   Dans la plaque d'éjection 89 en regard de l'extrémité de diamètre réduit des plongeurs de liaison 94 des Mâchoires sont disposés des tampons vissés réglables 98. 

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   Lorsque le mandrin revient en arrière, les ressorts 97 tendent à pousser les mâchoires vers l'extérieur de manière à libérer la pièce traitée, mais si l'une des mâchoires résiste   à   l'action des ressorts à la fin du mouvement d'écartement, la pla- que d'éjection 89 vient en prise avec des butées d'arrêt fixes 99 (voir fig. 3) qui sont aménagées sur le bâti de l'appareil et lorsque le mandrin continue son mouvement de retraite, les plongeurs et les mâchoires sont poussés de force vers l'extérieur, de manière à libérer et à .éjecter la pièce traitée, cette dernière opération résultant de la venue en prise des tampons 98 de la plaque et des extrémités en saillie des plongeurs 94. 



   Les mouvements de rapprochement et d'écar- tement du mandrin et de la tête de martelage sont commandées de façon satisfaisante au moyen d'un moteur hydropneumatique 15 qui comporte un cylindre 100 dont les extrémités sont reliées par l'intermédiaire de canalisations et d'orifices convenables non repré- santés à un robinet de contrôle 101 destiné à régler l'entrée et la sortie du fluide moteur par rapport aux deux faces opposées d'un piston non représenté qui se déplace dans   le   cylindre et qui est relié   à.   une tige 102. 



   Une des extrémités du cylindre 100 peut pivoter en 103 sur la bâtidde la machine et l'une des extrémités de la xx tige du piston est reliée à une manivelle 104 qui est clavetée sur un arbre 105. 



   Sur les deux faces opposées de la mani- velle 104 sont aménagées deux roues dentées de grand 

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 diamètre 106 (dont l'une seulement est visible sur le dessin) et qui sont fixées sur l'arbre 105. 



   Chacune de ces roues dentées est aménagée de manière   à   engrener sur une crémaillère 107 qui est fixée sous le chariot 12 qui porte le mandrin. 



     D'après   les   fig. 5   et 6, on se rend compte aisément qu'une rotation de moins de 180  est néces- saire pour provoquer le rapprochement ou l'écartement du mandrin et de la tête de martelage sous l'action du dispositif qui vient d'être indiqué, 
La mise en rotation du mandrin est obte- nue au moyen d'un arbre transversal 108 qui est monté sur le chariot 12 et sur lequel est clavetée une vis sans fin 109 d'assez grand diamètre. 



   Cette dernière engrène elle-même sur un pignon hélicoïdal 110 qui est claveté sur l'extré- mité externe de diamètre réduit de l'arbre   78   qui sort du palier 76. 



   L'arbre 108 est commandé par un moteur électrique 14 qui est monté sur une plateforme con- venable 111 fixée sur le dessus du bâti du chariot. 



   L'entraînement est réalisé par   l'intermâ-   diaire d'un pignon dent6 112 qui est calé sur l'ar- bre de l'induit du moteur et qui entraîne une   châtie   113 et, par l'intermédiaire de cette dernière, une roue dentée 114 (voir fig. 2). 



   La double réduction de vitesse résultant de la différence qui existe d'une part entre les rayons de la roue dentée 114 et du pignon 112,   d'au-   tre part entre la vis sans fin et son pignon héli- corda! a pour conséquence que la vitesse de rotation du mandrin est relativement faible. 

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   Elle permet donc dans là plupart des cas que la pièce traitée soit complètement usinée pour un seul tour du mandrin. 



   Parmi les organes qui servent à déplacer radialement les marteaux à l'intérieur de la pièce traitée après que celle-ci a été amenée autour de la tête de martelage du fait du rapprochement du mandrin, on a prévu, une tige de c amande 115 qui se déplace dans un canal axial pratiqué dans l'arbre de commande et qui se prolonge à son extrémité in- terne à   l'intérieur   du logement 83 du mandrin   11   dans lequel se trouve placée la pièce traitée, la- dite tige se prolongeant également à travers un trou pratiqué au centre de la pièce,

   
L'extrémité en question de la tige l15 comporte un tampon vissé réglable 16 qui est immo-   biliaé   dans sa position de réglage an moyen d'un écrou de blocage 117 xxx et qui comporte une tête arrondie 118 aménagée de manière à venir en prise avec la tête du bouton 57 sur lequel s'exerce la poussée axiale,   L'aménagement   qui vient d'être indiqué permet d'allonger de quantités extrêmement faibles   la,   tige de commande en question afin de rendre pos- sible un réglage précis du diamètre auquel le mar- telage amène la pièce traitée. 



   La position de la tête de commande dans le sens longitudinal par rapport à l'axe de l'appareil est réglée au moyen   d'une   came à face   angulaire     119   qui est montée sur un arbre   120   comnandé synchroni-   quement   par rapport à l'arbre 78 du mandrin, l'en- traînement s'effectuant par l'intermédiaire de pie 

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 gnons 121 et   122,de   même rayon, clavetés respective  ment sur les arbres   correspondants-,   la. face active de la came peut être munie d'une garniture de métal spécialement dure et résistante 123 et de même l'extrémité de la tige 115 qui est en prise avec ladite came peut être munie d'une garniture particulièrement dure et résistante 123'. 



   Lorsque le mandrin est dans sa position de retraite, c'est la partie basse 124' de la came (partie basse qui est indiquée sur la fig. 11 qui représente à grande échelle la forme de ladite came) qui se trouve en regard de la tige et le man- drin ne tourne pas. 



   Lorsque la pièce traitée est assujettie dans le mandrin et se trouve en position sur la tige de martelage, conformément à ce qui est indi- qué sur la   fig.   6, le moteur 14 qui fait tourner le mandrin est mis en marche et le mandrin et la came   commencent   à tourner synchroniquement. 



   La rampe à inclinaison progressive 124 de la came commence, dès que la pièce traitée a atteint sa vitesse de rotation normale, à déplacer la tige de commande vers l'avant, ceci par exemple pendant un quart de tour de la came et de la pièce traitée, quart de tour pendant lequel les marteaux sont progressivement déplacés vers la pièce traitée. 



   Lorsque la partie plane élevée 125 de la came se trouve atteinte, la tige de   commande   cesse d'avancer et les marteaux cessent également d'être déplacés vers la pièce traitée.   Néanmoins,   cette dernière continue à tourner par exemple pendant les trois quarts de tour qui correspondent à la partie en question de la came. 

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   Pendant ce temps,   le   martelage donne à la surface traitée le fini voulu et enlève les plus petites inégalités qui pourraient s'être produites au cours du travail énergique réalisé pendant la période d'action qui correspond à la rampe inclinée de la came. 



   Juste avant le moment où le mandrin porte-pièce va achever son tour complet, le point haut de la came tourne de façon à cesser de se trouver contra l'extrémité de la tige de commande et le mandrin s'arrête aussitôt que la partie basse de la came se trouve en regard de 
1'.extrémité de la tige. 



   La forme particulière de la came pré- citée et le rapport existant entre sa vitesse de rotation et la vitesse de rotation du mandrin , dépendent, bien entendu, de la nature de la pièce traitée et du fini que l'on veut obtenir. 



   Etant donné que la face de travail de la came est constituée par une garniture rappor- tée en métal particulièrement dur. , il est évi- dent qu'on peut facilement substituer une came d'un contour voulu à un autre en remplaçant sim- plement une garniture par une autre. 



   La rapidité avec laquelle les   coupe   sont frappées par les marteaux et le travail cor respondant du métal de la pièce traitée entraî- nent un dégagement de chaleur très rapide et si cette chaleur n'était pas rapidement dissipée, elle entraînerait une détérioration de la pièce traitée et de l'appareil. 



   En vue d'obtenir un refroidissement con- 

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 venable et en vue de lubrifier en même temps les organes mobiles de la tête de martelage, on munit cette dernière d'un réservoir de capacité importante 126 qui entoure complètement le pa- lier à l'intérieur duquel tourne l'arbre de com- mande 21 des marteaux. 



   Bas canaux et orifices convenables 127 permettent au liquide de se rendre du réservoir aux différents paliers et en particullier dans les- pace compris à 'extrémité interne de la tête de martelage qui porte les marteaux et leur mécanisme de   commande,.   



   On peut utiliser n'importe quel fluide de refroidissement et de lubrification. 



     En   pratique pendant le fonctionnement de la tête de   martelage   le fluide de refroidisse- ment est constamment puisé dans un récipient d'emmagasinage externe non représenté et renvoya dans le réservoir 126 de manière à maintenir celui-ci rempli et de manière à y renouveler le liquide afin qu'un   écoulement   de trop-plein s'ef- fectue constamment par un tuyau 128 qui se ter- mine au voisinage du sommet du réservoir et qui communique avec les canaux et orifices 127. 



   Tous les organes mobiles et en   particu"   lier les marteaux et la surface de la pièce trai- tée sur laquelle s'effectue le travail et contre laquelle le liquide amené par le canal central vient s'écouler se trouvent arrosés sous l'action de la force centrifuge et reçoivent constamment une quantité importante de réfrigérant et de lu-      brifiant, ce dernier pouvant être dirigé au moyen 

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 d'un écran non représenté placé autour de la par- tie supérieure et des coûtés de la tête de marte- lage afin que le liquide qui est projeté par la force centrifuge revierne par gravité dans le pla- teau   17.   



   De ce dernier, le liquide revient au réservoir d'emmagasinage en vue de sa réutilisa- tion ultérieure. 



     L'aménagement   de la canalisation de trop- plein 128, dont l'extrémité se prolonge jusqu'au voisinage du sommet du réservoir de la tête de martelage, donne l'assurance que les organes re- cevront une quantité convenable de fluide dès que la pompe sera mise en marche et, même si la pompe cesse de fonctionner, la grande quantité de fluide qui se trouve dans la tête de martelage empêchera un échauffement excessif immédiat de se produire. 



   La fonctionnement de l'appareil est sen-   siblement   le suivant, les différentes opérations étant coordonnées et synchronisées de manière que l'usinage d'une pièce soit terminé après un tour de l'appareil et lorsque ce dernier est automati- quement   arrêta.   



   La tête de martelage étant mise en mou- vement par la fermeture du commutateur qui provoque le départ du moteur 13', on place la pièce à trai- ter sur le mandrin alors que la tête de martelage et le mandrin sont séparés l'un de l'autre, confor-   mément   à ce qui est indiqué sur la fig. 5. 



   Ceci fait, l'opérateur pousse le levier de mise en marche   129   qui peut pivoter en 130 au- tour   d'un   point   situ4   entre ses extrémités et qui 

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 commande une   tige 131   susceptible de coulisser dans le sens vertical et montée de manière à glisser dans des supports qui fony saillie à l'arrière du bâti de l'appareil. 



   Une des extrémités de ladite tige est reliée par une bielle 133 au robinet de mise en marche 101 et son autre extrémité est reliée par une bielle 134 à l'une des extrémités d'un arbre oscillant 135 qui est monté et qui tour- ne dans le bras horizontal 136 d'une équerre 137 qui est fixée sur l'extrémité de la paroi verticale 70 et qui fait saillie au-delà de cet- te paroi (voir fige 3). 



   L'extrémité externe de l'arbre os- cillant précité est munie d'un taquet 137' disposé de façon à faire saillie sur le trajet d'une oreille 138 qui fait elle-même saillie à l'extérieur par rapport à la périphérie du corps cylindrique du mandrin 11. 



   La partie inférieure de l'oreille en question est fixée de façon amovible dans un logement 139 pratiqué dans la paroi du mandrin (voir fige 3 et 4). 



   La poussée que l'on fait subir au le- vier de mise en marche amène le taquet 137' à se trouver sur le trajet de l'oreille 138, mais cette dernière, qui tourne xx avec le mandrin dans le sens des aiguilles d'une mon- tre par rapport à l'observateur qui regarde la fig. 1, ne rencontre pas le taquet en ques- tion jusqu'à ce qu'elle ait fait un tour à peu près   complota   

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Au moment où le levier de démarrage se trouve poussé, la tige 131 est abaissée et provoque l'ouverture du robinet 101 de manière à laisser le fluide sous pression pénétrer dans la partie droite du cylindre 100 et de manière également à laisser s'échapper le fluide cantenu dans la partie de gau- che dudit cylindre, 
De cette manière,

   le piston est poussé vers l'extérieur et provoque la mise en rotation en sens inverse des aiguilles d'une montre de l'arbre 105 et des roues dentées 106, de manière à obliger le mandrin à se rapprocher de la tête de martelage, rapprochement qui a pour conséquence de placer la pièce traitée dans la position de travail, conformé- ment à ce qui a été indiqué plus haut et à ce qui est représenté sur les fig. 3 et 6. 



   A la fin du mouvement de rapprochement (voir fig. 3), une pointe de commande réglable 139' bloquée par un écrou 140 et mobile avec le chariot   12,vient   frapper l'un des bras qui fait saillie vers l'intérieur d'un levier de renvoi 141 articule sur le sommet de la paroi latérale 17 du bâti de   l'appa-   reil. 



   Malgré l'action d'un ressort antagoniste, le choc pousse lautre bras du levier de renvoi contre le bras d'interrupteur   142   de l'interrupteur 143 qui met en marche le moteur 14 dont le circuit se trouve fermé et qui met par suite en mouvement le mandrin et le dispositif de déplacement radial des   marteaux   vers la pièce traitée, conformément à ce qui a été indiqué plus haut. 



   Lorsque -le mandrin a terminé son mouvement de révolution, l'oreille 138 vient frapper le taquet 137' de manière à.   ramener 8.   leur position   initiale   

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 le levier de mise en marche et les organes qui lui sont reliés. 



   Au cours de ce mouvement, le robinet 101 se trouve commandé de manière à ad- mettre le fluide sous pression dans la partie gauche du cylindre 100 du moteur 15 et de manière à permettre l'échappe- ment à l'extrémité de droite, afin que le chariot porte-mandrin s'écarte de la tête de martelage. 



   Dans le mouvement de retraite en question, les mâchoires porte-pièce 85 se déplacent vers   l'extérieur   sous l'action des ressorts 97 si elles n'ont pas été trop fortement   presséea   contre la surface inclinée 88; elles libèrent alors la pièce traitée qui tombe. 



     Si,   au contraire, les mâchoires résis- tent à l'action des ressorts 97, elles sont   repoàs-   sées et ramenéesà leur position d'ouverture à la fin du mouvement de retraite du mandrin grâce à la venue en prise de la plaque déjection 89 avec les butées 99, le résultat étant toujours que la pièce traitée se trouve libérée et abandonne le mandrin. 



   L'appareil est alors prêt à recevoir une nouvelle pièce et à recommencer le cycle des opé-   ration,%.   



   De cette manière, le   procédé   qui fait l'objet de l'invention peut être rapidement mis en oeuvre. 



   Le métal qui constitue le tambour de frein est usiné entre la surface des mâchoires de fixation qui jouant la rôle d'enclume et les marteaux qui travaillent de manière à provoquer 

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 l'expansion de la surface périphérique interne du tambour et de façon à rectifier cette surface "pour lui donner exactement les dimensions voulues. 



   Simultanément et du fait de son applica- tion contre la surface interne rigoureusement calibrée des mâchoires de fixation, la surface externe du tambour se trouve également amenée de façon précise aux dimensions voulues. 



   Le martelage réalisa au moyen d'un très grand nombre de coups frappés contre toutes les parties de   la.   périphérie du tambour, spécialement   @   si le ledit martelage se xxxxxxxx pendant un cer- pour suit tain temps après que les rouleaux de commande ont été amenée   à.   la position externe extrême qui cor- respond à une surface de diamètre donné,assure la réalisation d'une surface   parfaitement ,  ca- librée. 



   En outre, étant donné que le métal est longuement travaillé sur toute la périphérie in- terna du tambour par les chocs répétés des marteaux, il se trouve durci par l'opération de martelage réalisée et ceci constitue une caractéristique importante de l'invention, étant donné que ce dur- cissement de la surface de freinage assure une pro- longation de la vie du tambour. 



   La martelage réalisé par le procédé qui a été indiqué ci-dessus a pour effet, non seule- ment de durcir la périphérie   ihterne   de la pièce traitée, mais également de durcir sa surface externe; il permet de réaliser simultanément en une seule opération un tambour de frein dont les surfaces externe et interne ont été durcies et qui, par conséquent, présente une surface de freinage ré- 

 <Desc/Clms Page number 39> 

 sistant à   l'usure.   



   D'après la description qui précède on voit que la demanderesse a non seulement réalisé un nouveau procédé de traitement et un dispositif de mise en oeuvre de ce dernier grâce auquel des tambours de frein établis en acier à faible teneur en carbone   ou,en   d'autres métaux susceptibles d'ê- tre emboutis, mais ne possèdant pas des qualités de grande résistance à l'usure, sont facilement amenés à possèder ces qualités qui lui sont données par le traitement subi, mais encore est parvenue ainsi à   récupérer   par l'application de son procédé xxxxx des tambours de frein qui auraient été dé- formés après l'opération d'emboutissage et seraient devenus inutilisables, à moins de subir des trai- tements coûteux de recuit, de façonnage ou   d'usi-   nage,

   ledit procédé permettait en outre   d'amener   les tambours dont il s'agit à avoir des dimensions exactes et à constituer un produit susceptible de fournir un service prolonge 
On a également vu que l'invention permet- tait de   munir   les tambours de frein d'un revêtement résistant à l'usure et de fixer solidement ledit revêtement sur le tambour de frein tout en le rec- tifiant et en lui donnant les dimensions voulues. 



   Dans la variante de réalisation représen- tée sur la fig. 9, la tête de martelage comporte une face antérieure relativement plane, étant donné que la plaque d'appui 40' destinée à recevoir les tourillons 37' des rouleaux se trouve dans le cas considéré aménagée dans un logement pratiqué dans la face externe de ladite tête,, les tiges et écrous de fixation 41' et 42' étant eux-mêmes placés dans 

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 des cavités convenables de la plaque 40'. 



   La disposition en question est désira- ble dans le cas où l'on traite certaines pièces dont certains éléments s'étendent radialament au voisinage immédiat de la surface à marteler, con-   fermement   à ce qui est indiqué en traits pointil- les sur ladite figure 9. 



   Sur la fig. 10, on a représenté une variante de réalisation des marteaux 28', ceux-ci étant munis d'une garniture cylindrique dure 144 qui est insérée dans un logement correspondant de la partie centrale de la face de travail du mar- teau, la garniture en question faisant légèrement saillie à   l'extérieur   de la surface du marteau et étant destinée à venir en prise avec la pièce trai- tée. 



   L'application d'une telle garniture per- met de rénover facilement la face de travail du marteau sans qu'on soit oblige de remplacer la totalité de ce dernier et, en outre, on peut utili- ser pour la fabrication de cette garniture une ma- tière plus dure que celle que l'on pourrait utili- ser pour le corps même du marteau. 



   REVENDICATIONS 
1. Procédé de traitement d'un tambour de frein ou de toute autre pièce annulaire, ledit pro- cédé étant caractérisé par le fait qu'il consiste à soutenir périphériquement une des surfaces de la pièce traitée pendant qu'on martèle une autre sur- face de cette pièce. 

**ATTENTION** fin du champ DESC peut contenir debut de CLMS **.

Claims (1)

  1. 2. Un procédé conforme à la revendication 1, caractérisé par le fait que le martelage est réalisa en frappant simultanément des coups de mar- <Desc/Clms Page number 41> teau en deux points diamétralement opposas de la surface traitée.
    3. Un procédé conforme à la revendica- tion 1 et caractérisé par le fait qu'on régulari- se et qu'on rectifie la surface périphérique interne de la pièce traitée et que l'on accroît les qualités de résistance à l'usure de ses surfaces en martelant la face interne de la pièce traita 4. Un procédé conforme à la revendica- tion 3 et caractérisé par le fait que le marte- lage réalisé augmente également les qualités de résistance à l'usure de la surface externe de la pièce traitée tout en lui donnant des dimensions exactes et en assurant sa rectification.
    5, Un prpcédé conforma à la revendica- tion 1 et caractérisé par le fait que des organes de martelage sont déplacés à l'intérieur de la pièce traitée pendant qu'ils sont en action.
    6. Un procédé conforme à l'une quel- conque des revendications précédentes et carac- térisé par le fait que le support périphérique qui soutient la pièce traitée exerce son action sensiblement sur toute la périphérie de cette pièce.
    7. Un procédé conforme à l'une quel- conque des revendications précédentes et carac- térisé par le fait que la pièce traitée et les organes de martelage tournent les uns par rapport aux autres pendant le martelage.
    8. Un procédé conforme à la revendica- tion 1 et caractérisé par le fait qu'on place un revêtement sur la pièce traitée et que le martela- <Desc/Clms Page number 42> ge réalisé a non seulement pour effet de rectifier et de durcir la surface martelée, mais a aussi pour effet d'amener le revêtement à se trouver en contact intime avec la pièce traitée.
    9. Un procédé conforme à la revendication 8 et caractérisé par le fait que le revêtement est martelé de manière à ce qu'il soit amené à se trou- ver en contact moléculaire avec la pièce traitée.
    10. Un procédé conforme aux revendications 8 et 9 et caractérisé par le fait que le revêtement est appliqué contre une surface de la pièce traitée qui est rendue rugueuse.
    11. Un procédé conforme à la revendica- tion 10 et caractérisé par la mise en oeuvre d'une opération préliminaire au cours de laquelle on rend la surface de la pièce traitée convenablement ruguer- se en y pratiquant des rainures ou des saillies.
    12. Un tambour de frein (ou toute autre pièce annulaire) obtenu par un procédé conforme à l'une quelconque des revendications 8 à 11, ledit tambour de frein (ou la pièce annulaire précitée) étant caractérisé par le fait qu'il comporte un revêtement qui est parfaitement fixé sur lui et en contact qui est toaaiiizi moléculaire avec lui, le revé- tement dont il s'agit comportant une surface de freinage convenablement durcie.
    13. Un appareil pour la mise en oeuvre du procédé visé dans l'une quelconque des revendi- cations précédentes, ledit appareil étant car acte** risé par le fait qu'il comporte un dispositif de fixation de la pièce traitée et des organes permet- tant de marteler la surface de ladite pièce pendant que cette dernière est maintenue par le dispositif <Desc/Clms Page number 43> de fixation précité.
    14. Un appareil conforme à la revendication 13 et caractérisé par le fait qu'il comporte,, d'une part, un dispositif de fixation de la pièce traitée qui se trouve en prise avec la surface périphérique de ladite pièce,d'autre part des organes de marte- lage qui agissent sur une autre sufface périphéri- que de la pièce en question, ces derniers organes étant aménagés de manière à pouvoir être déplacés à l'intérieur de la pièce pendant le mouvement de rotation relatif que subissent l'un par rapport à l'autre le dispositif de fixation et les organes de martelage.
    15. Un appareil conforme aux revendications 13 ou 14 caractérisé par la mise en oeuvre de plu- sieurs marteaux mobiles sensiblement dans le sens radial et associés à des organes de commande qui sont aménagés de manière à chasser les marteaux de façon que ceux-ci viennent en contact avec la surfa- ce de la pièce traitée.
    16. Un appareil conforme à la revendication 15 et caractérisé par le fait que les marteaux qui se déplacent sensiblement radialement sont combinés avec un dispositif de commande qui tourne rapidement et qui est organisa de manière à pousser les mar- teaux contre la pièce traitée, le diamètre desdits organes de commande étant variable (de préférence à variation automatique) de manière à modifier l'ac- tion des marteaux sur la pièce traitée.
    17. Une machine conforme aux revendica- tions 15 ou 16 caractérisée par le fait que les or- <Desc/Clms Page number 44> ganes de-commande comprennent un jeu de rouleaux entraînés par un arbre et aménagés de manière à venir en prise avec les marteaux pendant la rota- tion dudit arbre.
    18. Un appareil conforme à la revendi- cation 17 et caractérisé par le fait que le jeu de rouleaux précités peut recevoir une certaine expan- sion et peut être resserré (de préférence automa- tiquement) par exemple au moyen d'un déplacement convenable que l'on fait subir au support sur le- quel les marteaux sont montés.
    19. Un appareil conforme aux revendica- tions 15 ou 16 et caractérisé par le fait que les rouleaux utilisés sont coniques et sont montés sur un support conique; 20. Un appareil tel que revendiqué ci- dessus et caractérisé par le fait que la pièce traitée et les organes de martelage sont montés de manière à pouvoir se rapprocher ou s'écarter les uns des autres, la pièce traitée étant de préfé- rehce automatiquement assujettie du fait du mouve- ment de rapprochement précité et automatiquement libérée du fait du mouvement d'écartement.
    21. Un appareil tel que revendiqué ci- dessus et caractérisé par le fait que des moyens sont prévus pour provoquer un mouvement de rota- tion relatif de la pièce traitée et des organes de martelage les uns par rapport aux autres, les mouvements de rotation relatifs en question commen- çant automatiquement à se produire du fait du mou- vement de rapprochement et ayant d'autre part pour conséquence de provoquer d'eux-mêmes, après un in- tervalle de temps déterminé, le mouvement d'écar- tement voulu. <Desc/Clms Page number 45>
    22. Un appareil tel que revendiqué ci-dessus caractérisé par le fait que le dispositif qui sert à déplacer vers l'extérieur les organes de martelage est contrôle par une came,ou par tout au- EMI45.1 1;te dispositif analogae, qui est mile synohroniquement par rapport au mouvement de rotation relatif que la pièce traitée et les organes de martelage subis- sent les uns par rapport aux autres.
    RESUME SUCCINCT La. présente invention a pour objet un procédé et un dispositif permettant de marteler un tambour de frein ou toute autre pièce annulaire ana- logue en vue d'amener ces surfaces à avoir la forme, les dimensions et la dureté voulues, le procédé et le dispositif en question étant caractérisés par le fait que :
    1 La pièce traitée et les organes de martelage tournent les uns par rapport aux autres-, 2 les organes de martelage sont auto- matiquement rapprochés de la surface de la pièce pen- dant qu'ils agissent sur elle.- 3*/ le mouvement au cours duquel la pièce traitée est rapprochée des organes de martelage assu- re la fixation de la pièce et amorce le mouvement de rotation des organes tandis que le mouvement d'écar- tement qui est automatiquement provoqué par le mouve- ment de rotation lui-même aprèe un intervalle de temps déterminé, provoque automatiquement la libéra- tion de la pièce traitée
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