BE373480A - - Google Patents

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BE373480A
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    • BPERFORMING OPERATIONS; TRANSPORTING
    • B30PRESSES
    • B30BPRESSES IN GENERAL
    • B30B15/00Details of, or accessories for, presses; Auxiliary measures in connection with pressing
    • B30B15/16Control arrangements for fluid-driven presses

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  • Engineering & Computer Science (AREA)
  • Mechanical Engineering (AREA)
  • Press Drives And Press Lines (AREA)

Description


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  " PRESSE HYDRAULIQUE   "   
L'invention est relative aux presses et est dé- crite ci-dessous dans son application à une presse hydrau- lique du type utilisé pour satiner, grainer ou travailler autrement sous pression, des peaux brutes ou travaillées, du cuir et autres objets similaires. 



   Il est bien entendu cependant que l'invention et ses différentes caractéristiques importantes peuvent avoir d'autres applications et usages. 



   Telles qu'elles ont été construites jusqu'ici, les presses du type hydraulique comportent communément un 

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 système de soupapes compliqué et coûteux pour commander le début et la fin des opérations de mise sous pression. En outre, dans certaines constructions antérieures comportant un piston principal supportant l'un des plateaux de la presse et agissant sur celui-ci ainsi qu'un piston auxi- liaire pour déplacer le piston principal pendant une par- tie de sa course, le temps d'application de la pression ad- ditionnelle agissant sur le piston principal dépendait de la mise sous pression dans une soupape réglable.

   Il n'était pas possible dans un dispositif de ce genre, de déterminer et de maintenir avec précision le point exact du déplace- ment du piston principal auquel la pression était appliquée directement sur celui-ci en grande partie parce que le mo- ment où la soupape entrait en action dépendaitde la tension d'un ressort dans lequel cette tension était réglable. Il est en plus désirable d'appliquer un liquide sous pression directement sur le piston principal juste au moment   où   une soupape déterminée doit agir pour fermer un conduit allant du cylindre du piston principal à un réservoir de liquide qui n'est pas sous pression.

   Dans certains autres modes de construction antérieurs du type mentionné ci-dessus, le mé- canisme permettant de supprimer la pression est compliqué et il faut prévoir une soupape d'une construction spéciale, pour obtenir une réduction de pression sur le piston prin- cipal avant qu'une autre partie de la soupape construite spécialement puisse agir pour amener la descente du piston principal. 



   L'un des buts de la présente invention est de réa- liser une presse hydraulique dans laquelle le dispositif de soupape est simplifié, la machine étant ainsi moins coûteu- se à construire et ayant moins de pièces susceptibles de se dérégler. L'invention permet encore de réaliser une presse ayant un grand rendement et permettant d'appliquer sur les 

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 parties de la presse pressant l'ouvrage une pression douce et allant progressivement en augmentant. 



   Pour cela, et conformément à une caractéristique importante de   l'invention,   il est prévu à la fois un piston principal et un piston auxiliaire avec des moyens grâce aux- quels le piston auxiliaire commande l'application du liquide sous pression directement sur le piston principal. Il est commode de disposer le piston auxiliaire de façon à ce qu'il constitue en soi un piston-soupape, de sorte   queg   en un point déterminé de son mouvement ascendant, la pression hy- draulique se trouve appliquée directement sur le piston principal.

   Dans la forme de réalisation préférée de l'in-   vention,   il est prévu une liaison à mouvement perdu ou une liaison élastique entre les pistons principal et auxiliai- re, de sorte que le point du déplacement du piston   auxiliai-   re auquel la pression hydraulique se trouve appliqué direc- tement sur le piston principal, peut être déterminé avec précision, quelle que soit l'épaisseur de l'ouvrage sur le- quel on opère. 



   Un avantage important de ce mode de construction consiste dans le fait que, grâce au mouvement perdu ou à la liaison élastique, le piston principal et le plateau action- né par celui-ci, sont déplacés par le piston auxiliaire de toute la distance nécessaire pour presser l'ouvrage contre l'autre plateau, quelle que soit l'épaisseur de   l'ouvrage.   



  Grâce à cette disposition, le fonctionnement de la presse se trouve accéléré. En outre, grâce à la construction et à la disposition du piston auxiliaire, le système de soupa- pes se trouve simplifié dans des proportions sensibles. 



  Comme cela est représenté sur le dessin, la presse est pourvue d'une soupape de décharge qui est actionnée de fa- çon positive au cours du mouvement de retour du piston principal vers sa position de repos, de   sorte,que   le piston 

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 principal commande le déplacement du fluide au moyen duquel la pression est appliquée. La simplification du système dé- jà mentionné n'est pas le moindre des avantages importants de la disposition décrite suivant laquelle les deux pistons commandentles soupapes ; ces avantages consistent encore dans le fait de la dépendance et de l'uniformité du fonctionne- ment des soupapes ainsi obtenues. 



   Bien que dans la forme de réalisation de l'inven- tion représentée,le mécanisme hydraulique ait été étudié pour être utilisé avec des plateaux dans une presse, l'in- vention n'est pas limitée à ce dispositif, mais comprend plus généralement un système de pistons dans lequel l'un des pistons, non seulement applique la pression mécanique- ment sur l'autre, mais encore commande l'application d'une pression additionnelle par l'intermédiaire d'un fluide sous pression à cet autre piston. 



   'Une autre caractéristique de ce mécanisme selon l'invention consiste dans le fait que les deux pistons com- mandent des orifices de façon telle qu'ils assurent l'appli- cation dtun liquide sous pression directement sur l'un des piston et la suppression ultérieure de cette pression, de sorte que le piston mentionné en dernier lieu peut revenir à sa position de départ. 



   Dans les modes de construction représentés, un cylindre qui porte le piston auxiliaire ou le piston lui- même comporte un orifice ou un passage de section   relati-   vement très étroite conduisant au cylindre du piston prin- cipal. Lors du mouvement de montée des deux pistons, le piston auxiliaire découvre cet orifice en unpoint détermi- né de son mouvement de montée, laissant ainsi pénétrer le fluide sous pression dans le cylindre du piston principal au moment voulu. De préférence, cet orifice est une fente disposée de façon à être graduellement découverte lors du 

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 mouvement de montée du piston auxiliaire, ce qui facilite l'application de la pression sur le piston principal de façon douce et allant progressivement en augmentant. 



   D'autres avantages et particularités de   l'inven-   tion ressortiront de la description qui va en être faite, avec référence aux dessins annexés, dans lesquels: 
La Fig. 1 est une vue en bout,partie en coupe, représentant certaines caractéristiques importantes d'une presse suivant un mode de réalisation de l'invention. 



   La Fig. 2 est une vue de côté de la presse re- présentée sur la Fig. 1, certaines parties étant en coupe, suivant la ligne II-II de la Fig. 1. 



   La Fig. 3 est une vue en plan par-dessous et partie en coupe, des moyens permettant d'actionner l'une des soupapes depuis le plateau inférieur de la presse. 



   La   Fig. 4   est une vue en plan par-dessus, et partie en coupe, représentant certaines soupapes et un organe pouvant être actionné à la main, au moyen duquel l'opérateur commande la presse. 



   La Fig. 5 est une vue en élévation en bout, dtune presse de construction simplifiée, comportant également certaines caractéristiques de l'invention. 



   La Fig. 6 est une vue en élévation de côté, de la presse représentée sur la Figo 5, une partie des   dispo-   sitifs amenant le liquide étant supprimée, de façon à re- présenter plus clairement les autres pièces. 



   La Fig. 7 est une coupe horizontale du piston principal de la presse de la fig. 5 et de la soupape pou- vant être actionnée à la main. 



   Dans la presse représentée sur les Fig. 1 à 4 inclusivement, qui convient en particulier pour satiner et grainer les peaux brutes et travailler le cuir et autres objets similaires, il est prévu un plateau supérieur 2 porté 

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 de façon rigide par une partie ,faisant face vers le bas, d'un cadre 4 en forme de C, le plateau 2 étant chauffé de la façon connue par des tuyaux de vapeur 6, 8 (voir fig.1). 



  Un plateau inférieur 10 coopérant avec le plateau supérieur 2 est porté par un piston 12; la liaison entre le plateau 10 et le piston 12 est   mobilegrâce   à un bossage 14 monté sur le plateau 10 et présentant une surface sphérique por- tant sur une face sphérique complémentaire ménagée dans une douille 16 que porte le piston 12 à son extrémité supérieure. 



  Le but de cette liaison mobile entre le plateau   10   et le piston 12 est de permettre un réglage entre le plateau 10 et le plateau 2 de façon à ce que ces plateaux s'adaptent d'eux-mêmes à des pièces à travailler lorsqu'unepartie sen- sible de ces pièces diffère de l'autre partie au point de vue de l'épaisseur. Comme cela est représenté, le   pistan.   12 se déplace verticalement dans un cylindre 18 et, de préfé- rence, ce déplacement se fait dans le sens de la montée, grâce à la pression exercée par un piston auxiliaire 20, (voir Fig. 2), disposé concentriquement par rapport au grand   piston 12.   Ainsi que cela est représenté, le piston auxiliai- re 20 se déplace verticalement dans un cylindre 22 compor- tant un orifice 24 permettant l'entrée du liquide sous pres- sion.

   On comprend facilement qu'en admettant le liquide sous pression par l'orifice 24, le piston auxiliaire 20 soit re- foulé vers le haut, soulevant ainsi le piston 12 et, avec celui-ci, le plateau 10, de sorte qu'une pièce placée sur la face supérieure du plateau 10 est pressée contre la face inférieure du piston 12. 



   Afin d'être sûr que le grand piston 12 soit en- traîné sur sensiblement, toute sa course montante, par le piston auxiliaire 20 quelle que soit l'épaisseur de la piè- ce placée entre les deux plateaux 10 et 2, il est prévu dans le dispositif représenté une liaison élastique, ou à mouve- 

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 ment perdu entre les deux pistons 12 et 20. Comme on le voit, cette liaison élastique comporte un ressort 26 entourant une portion réduite 28 du piston 20. Pour donner au ressort 26 la tension voulue, il est prévu un plateau 30 coulissant sur une partie 28 du piston et un écrou 32 se visse sur l'ex- trémité filetée de la partie   28   du piston, de sorte que cel- le-ci peut être réglée pour que le plateau 30 exerce la pression désirée sur le ressort 26.

   De préférence, l'écrou 32 et le plateau 30 sont réglés de façon à donner au ressort 26 la tension voulue pour que celui-ci ait une tension légè- rement supérieure à celle qui est nécessaire pour supporter le piston 12 et le plateau 10 sans cédero 
Par suite, lorsque le plateau 10 commence à pres- ser la pièce contre le plateau 2, de sorte que le piston 12 rencontre la résistance de la pièce, le ressort 26 est com- primé, ce qui permet au piston auxiliaire 20 de remonter toujours jusqu'au même point, quelle que soit   lépaisseur   de la pièce sur laquelle on travaille.

   Ce point auquel le piston auxiliaire 20 arrive est déterminé par un ou plu- sieurs orifices 34 ménagés dans le piston auxiliaire 20, ces orifices 34 se trouvant à l'extrémité supérieure dtun conduit ou alésage 36 disposé dans l'axe du piston auxiliai- re et communiquant à son extrémité inférieure avec la cham- bre du cylindre 22. Il est évident qu'en envoyant le liqui- de sous pression à l'extrémité inférieure du piston auxi- liaire 20, celui-ci est repoussé vers le haut, entraînant avec lui le grand piston 12 et le plateau 10 pour l'amener à comprimer la pièce à travailler entre les plateaux 10 et 2, et que le piston auxiliaire 20 continuera à monter jus- qu'à ce que le ou les orifices 34 débouchent dans la cham- bre du piston principal 18.

   Lorsque ceci se produit, la pression dans le cylindre 22 se transmet instantanément au liquide contenu dans le cylindre 18. La pression continue 

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 alors à augmenter graduellement dans les cylindres 18 et 22, ce qui permet d'arriver à avoir la pression voulue sur la pièce à travailler entre les plateaux. Il y a lieu de remarquer de plus que le mouvement du piston principal 22 est obtenu au moyen du cylindre auxiliaire 20 jusqu'au mo- ment où la pression commence à s'exercer sur la pièce, quelle que soit l'épaisseur de celle-ci, ce dispositif permettant d'obtenir la vitesse voulue dans la montée du piston 12 ain- si qu'on va le voir plus en détail ci-dessous. 



   Pendant que le piston 12 est soulevé par le pis- ton auxiliaire 20, l'agent liquide pénètre dans le cylindre 18 par un tuyau 40 dans lequel le liquide est amené par un tuyau 42, une soupape 44 montée dans une boîte à soupape 45 étant libre de se déplacer vers le haut. Etant donné que le piston 12 pendant qu'il monte dans le cylindre 18 agit com- me un piston aspirant, le liquide est aspiré d'un réservoir (non représenté) par le tuyau 40 et en passant par la soupa- pe 45 qui est ainsi soulevée par le liquide qui y passe, mê- me si d'autres moyens ne sont pas prévus pour soulever la soupape. Il s'ensuit que l'espace qui se trouve dans le cy- lindre 18 en dessous du piston 12 est complètement occupé par du liquide lorsque le, ou les orifices 34 du piston au- xiliaire 20 arrivent à déboucher dans le cylindre 18.

   Il s'ensuit que   lorsque   le piston 12 continue à monter pendant que l'on augmente la pression dans les cylindres 18 et 22 et que la compression exercée sur la pièce à travailler dé- pend d'une petite quantité de fluide passant du cylindre 22 par le ou les orifices 34 dans le cylindre 18. Si une grande quantité de liquide sous pression devait passer à travers le ou les orifices de faible dimension 34 pour arriver au cy- lindre 18 pendant le mouvement de montée des pistons 12 et 20, cette montée des pistons serait considérablement plus lente que dans le dispositif représenté.

   En d'autres termes, 

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 la quantité de liquide nécessaire pour donner la pression à la surface inférieure du piston 12 se trouve déjà prati- quement dans le cylindre 18 au moment où le ou les orifi- ces 34 arrivent dans ce cylindre 18 et par suite il n'est pas perdu de temps pour introduire une quantité importante de liquide par les orifices 34 étant entendu que la soupa- pe 44 se ferme de façon certaine, au moment   où   les orifices 24 arrivent en communication avec le cylindre 18, et par suite qu'il n'est plus possible que du liquide pénètre dans le cylindre 18 par les tuyaux 40 et 42. 



   Pour amener le liquide sous pression au cylindre auxiliaire 22 au moyen d'une pompe tournant de façon conti- nue (non représentée) il est prévu un tuyau 50 (Fig. 1) qui envoie le liquide à travers un passage 52 d'une boîte à sou- pape 54 à un tuyau 56 relié à un raccord 58. Un tuyau 60 (Fig. 2) part de ce raccord 58 et arrive à une lumière 24 prévue dans le cylindre auxiliaire 22. Un autre tuyau 62 part du raccord 58 et débouche dans une petite chambre 64 (Fig. 2) dans la boîte à soupape 45. Une soupape à billes 66 ferme le conduit allant de la chambre 64 au tuyau 40 lorsque la pression de la soupape s'exerce sur le liquide contenu dans les tuyaux 60 et 62.

   Il s'ensuit que le liqui- de ne s'échappera pas du cylindre 18 ni du tuyau 40 en pas- sant par la soupape à billes 66, tant que la pression s'e- xerce dans le cylindre, puisque cette même pression   stexer-   ce dans la chambre 64 comme dans le cylindre 18. Si cepen- dant on cesse d'exercer la pression dans les tuyaux   60   et 62 et dans le cylindre auxiliaire 22 par les moyens qui vont être décrits plus loin, la soupape à billes 66 sert à lais- ser s'écouler rapidement le liquide sous pression contenu dans le cylindre 18, par le tuyau   40,   de sorte que le pis- ton 12 peut commencer son mouvement de descente en laissant s'écouler le liquide par la soupape à billes 66, liquide qui 

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 s'écoule ensuite par le tuyau 62 (fig.

   1), le raccord 58, le   tuyau 56,   le conduit 52, puis de là par la lumière 68 et le conduit 70. enfin par le tuyau 42 jusqu'au réservoir (non représenté). 



   Pour faciliter l'écoulement du liquide sous pres- sion du cylindre 18 lorsque le piston 12 descend, il est prévu un dispositif permettant de soulever la soupape 44, de sorte que le liquide peut s'échapper du tuyau 40 dans le tuyau 42 qui conduit au réservoir. Ces moyens dont il vient d'être 'fait mention, sont commandés de façon commode, par des liaisons avec le plateau 10, et comportent une ti- ge de soupape   72   (fig. 2), disposée en dessous de la soupa- pe 44 et dans l'axe de celle-ci, et pivotant en 74 (Fig. 1 et 2) sur un levier coudé 74 fixé sur un arbre 78, lequel est monté dans des paliers ménagés dans des consoles 80 et 82 fixées au bâti 4 de la presse.

   Sur l'arbre 78 sont égale- ment calées des bielles 84 et 86 (fig. 1 et 3) pivotant à leurs autres extrémités sur des bielles 88 et 90, lesquel- les à leurs extrémités supérieures pivotent sur des oreil- les   92   du plateau 10. En regardant les fig. 1, 2 et 3, on voit que, lorsque le plateau 10 descend, l'arbre 18 tourne, de sorte que la tige de soupape 78 se soulève pour écarter la soupape 44 de son siège, celle-ci montant de plus en plus lorsque le piston 12 descend et donnant ainsi un passage al- lant graduellement en augmentant en outre du tuyau 62 per- mettant au liquide de s'écouler du cylindre 18 par les tuyaux 40 et 42 jusqu'au réservoir. 



   Des moyens sont prévus pour permettre à l'opéra- teur de commencer l'opération de mise sous pression, ces moyens pouvant servir également de façon commode, pour ache- ver l'opération de mise sous pression. Dans la construction représentée, ces moyens comprennent un levier de manoeuvre 93 (Fig. 1) tournant autour d'un axe vertical 95 et compre- 

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 nant un secteur denté 97 (Fig. 1 et 4) engrenant avec un pignon 99 qui est en prise au moyen d'un filetage avec la tige 101   d'un   pointeau 103.

   Lorsque la poignée du levier de manoeuvre 93 est amenée vers l'avant de la machine, le   poin   teau 103 se rapproche de l'ouverture 68 pour fermer   celles-ci,   obligeant ainsi le liquide venant de la pompe à passer par la conduite 52, le conduit 56, le raccord 58,  d'où   le li- quide sous pression passe par le tuyau 60 au cylindre au- xiliaire 22. De cette façon, l'opérateur peut commencer l'o- pération de mise sous pression, lorsqu'il a une pièce à tra- vailler convenablement disposée sur le plateau 10.

   Pour per- mettre l'échappement du liquide sous pression lorsque la pression augmente au-delà d'une quantité déterminée, il est prévu une soupape 105 poussée par un ressort (Fig. 1) dont la tige se déplace dans un cylindre   107   qui renferme égale- ment un ressort 109 dont la tension peut être réglée par une vis 111 appuyant sur une plaque 113 portant sur une extrémi- té du ressort 109. Lorsque cette soupape poussée par le res- sort se soulève, la pression diminue du fait que le liquide s'échappe par le conduit 70 et le tuyau 42 jusqu'au réser- voir.

   Bien que le liquide sous pression venant de la pompe puisse continuer à augmenter la pression dans les cylindres 18 et 22 jusqu'à ce que cette pression soit réduite, du fait que la soupape 105, pressée par un ressort, cède, il doit être bien entendu que l'opérateur peut arrêter à tout moment l'opération de mise sous pression, simplement en dé- plaçant le levier 93 vers l'arrière de la machine, c'est-à- dire dans une direction inverse de celle qui assure le   com-   mencement de l'opération de mise sous pression. En tournant ce levier 95 dans le sens opposé à l'avant de la presse, on soulève le pointeau 103 de l'orifice 68, de sorte que le li- quide venant de la pompe,par le tuyau 50, peut passer par l'orifice 68 dans le tuyau 70 aboutissant au tuyau 42, lequel 

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 retourne directement au réservoir. 



   Pour faire fonctionner la presse représentée, en supposant que le plateau 10 soit dans la position basse per- mettant de recevoir la pièce à travailler, celle-ci est pla- cée sur la face supérieure du plateau 10, étalée à la main ou autrement, pour enlever les plis qui pourraient s'y trou- ver. Dès que la pièce est dans l'état voulu pour permettre l'opération de pression, l'opérateur tire le levier de ma- noeuvre   93 vers   l'avant de la machine, ce qui fait fermer l'orifice   68   par le pointeau 103 et le liquide sous pres- sion est obligé de passer de la pompe dans le cylindre au- xiliaire 22. En montant, le piston auxiliaire 20 soulève le piston principal 12 -et applique le plateau 10 avec la pièce placée sur celui-ci, contre le plateau supérieur 2. 



  Quelle que soit l'épaisseur de cette pièce, le piston   12   doit se déplacer sensiblement sur toute la longueur de sa course de montée du fait de la pression exercée par le pis- ton auxiliaire 20, les différences d'épaisseur étant rattra- pées par la flexion du ressort 26 interposé entre les deux pistons. Lorsque le ou les orifices 34 du piston auxiliaire 20 arrivent à communiquer avec le cylindre 18, la pression de liquide est transmise instantanément du cylindre auxi- liaire 22 dans le cylindre 18, et la pression augmente gra- duellement dans ce cylindre. Toute montée, si légère soit- elle, du piston 12, provoque l'opération de satinage ou de grainage sur la pièce à travailler, entraînant une certaine compression de celle-ci, ce déplacement étant causé par le liquide sous pression passant par le ou les orifices 34 dans le cylindre 18.

   Etant donné cependant que le piston 18 est sensiblement ou presque, à l'extrémité de sa course de montée lorsque les orifices 34 communiquent avec le cylin- dre 18, il est prévu un dispositif au moyen duquel la très petite quantité de liquide doit passer par le ou les   orifi-   

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 ces réduits 34. En d'autres termes, pratiquement toute la montée du piston 18 a été obtenue directement par le pis- ton auxiliaire 20 de façon rapide. Lorsque l'opérateur dé- cide que l'opération de grainage ou de satinage a été suf- fisamment effectuée, il termine   1'opération   en repoussant le levier 93 de l'avant de la presse. Comme on l'a indiqué précédemment, ceci découvre l'orifice 68 permettant au   li-   quide de la pompe de retourner au réservoir.

   Dès que   ltori   fice 68 est ouvert, la pression de liquide dans le cylindre auxiliaire 22 tombe instantanément, de même que la pression qui règne dans le tuyau 62 à l'arrière de la soupape à   bil-   les 66, de sorte que les deux pistons peuvent descendre en refoulant le liquide de leur cylindre respectif   jusqu'à   ce que le plateau 10 ait été ramené à sa position de départ, position dans laquelle on peut placer sur lui une pièce à travailler. La pièce sur laquelle on a agi est alors enle- vée et l'on met une nouvelle pièce pour commencer les   opé-   rations qui viennent d'être décrites. 



   La presse représentée dans les fig. 5, 6 et 7 du dessin, présente à certains points de vue une simplification de la presse décrite précédemment. Cependant elle possède un grand nombre des caractéristiques et des avantages   impor-   tants de la presse qui vient d'être décrite. Cette presse simplifiée comporte un plateau supérieur 102 porté de façon fixe par une pièce 104 du châssis placé en porte-à-faux et fixé au moyen de boulons 106 à la partie inférieure du bâti 108.

   Pour renforcer la partie supérieure courbe 104 et pour résister au fléchissement de celle-ci, il est prévu deux barres de renforcement reliant rigidement la partie 104 du bâti et la partie 108, l'une de ces barres étant représen- tée en 110 sur la Fig. 6.   Un,   plateau 112 coopère avec le plateau supérieur 102, ce plateau 112 comportant une surface supérieure destinée à recevoir la pièce à travailler. Il est 

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 monté par un joint à rotule 114-116 dans un piston 118. 



  Comme on le voit, le piston 118 est monté dans un cylindre 120 et ajusté dans celui-ci de façon étanche. 



   Pour soulever le piston 118, il est prévu un pis- ton auxiliaire 122 indiqué en traits pointillés sur la Fig. 



  5 et représenté en coupe transversale sur la Fig. 7. Ce pis- ton 122 est beaucoup plus petit que le piston 118 et coulis- se dans un petit cylindre ou alésage 124. Lorsque le liqui- de sous pression arrive par le tuyau 126 et la lumière 127 dans l'extrémité inférieure du cylindre ou alésage 124, le piston auxiliaire 122 monte, entraînant avec lui le grand piston 118. Comme on le voit le mieux sur la Fig. 5, le tuyau 126 est relié à une pompe 128. Il est prévu dans ce tuyau 126 une ouverture 130 (Fig. 7) située en un point con- venable pour être manoeuvrée par l'opérateur. Lorsque l'ou- verture 130 est fermée comme représenté sur la Fig. 5 et de façon correspondante à la Fig. 7, le liquide sous pression va de la pompe 128 au cylindre 124 du piston auxiliaire 122. 



  Pour interrompre la mise sous pression du piston auxiliaire 122, il suffit d'ouvrir l'orifice 130 en tournant le volant 132 fixé à la tige de robinets 134 qui se vissent en 136 dans un chapeau de robinet 138. En tournant le volant 132 dans le sens contraire des aiguilles d'une montre dans les Fig. 5 et 7, l'extrémité 140 du pointeau 134 s'écarte, de sorte que le liquide sous pression qui se trouve dans le tuyau 126 peut s'échapper par l'orifice 130 dans le raccord 140 du tuyau 142 grâce auquel le liquide est renvoyé au ré- servoir   144.   



   Lorsque le piston 118 monte, sous l'action de la poussée exercée sur celui-ci par le piston auxiliaire 122, le liquide du réservoir 144 passe par le tuyau 146 dans la partie inférieure du cylindre 120, le piston 118 agissant comme piston aspirant pour faire venir le liquide du réser- 

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 voir 144 par le tuyal 146. Quand le piston   118   est dans sa position inférieure ou de départ, et quand il est soulevé dans sa position de compression par rapport au plateau 102, une soupape 148   (figo   5) se trouve dahs sa position   infé-   rieure, de sorte que l'orifice 150 est ouvert, pour permet- tre le passage du liquide par le tuyau 146 au cylindre 120. 



  Comme on le voit, la soupape 148 est fixée à la partie in- férieure d'une tige 152, sur laquelle est monté un disque 154 pouvant se déplacer dans une chambre entourant une par- tie intermédiaire de la tige 152, un ressort 156 tendant toujours à pousser la soupape 148 dans sa position de fer-   metureo   Cependant, l'orifice 150 est ouvert pendant prati- quement tout le mouvement de montée du piston   118.la   soupa- pe 148 placée à l'extrémité inférieure de la tige 152 étant poussée vers le bas en s'écartant de l'orifice 150 par un dispositif relié au piston 118.

   Cette commande de la soupa- pe 148 par le piston 118 s'effectue dans le mode de cons- truction représenté, par un levier 160 pivotant en 162 en- tre deux bielles 164, pivotant à leur tour en 166, sur la boîte à soupape 168, le levier 160 présentant une encoche dans laquelle pénètre l'extrémité supérieure arrondie 169 de la tige de soupape 152. De préférence, l'autre extrémité du levier 160 est arrondie et pénètre en formant rotule, dans une douille ménagée dans une pièce 170 fixée au piston 118, près de l'extrémité supérieure de celui-ci. De préfé- rence, et comme représenté, l'extrémité arrondie de la ti- ge 152 est constituée par un élément distinct 169 vissé sur la tige 152, de façon à permettre un réglage.

   Lorsque l'on doit travailler une pièce sensiblement plus grande que celle qu'on venait de traiter précédemment dans la presse,   l'élé-   ment 169 doit être descendu légèrement sur la tige 159, de façon à ouvrir plus tôt, de façon correspondante, l'orifice 150. 

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   Comme cela est représenté, il est prévu un dis- positif pour envoyer le liquide sous pression élevée, di- rectement sous   l'extrémité   inférieure du grand piston 1180 Pour réaliser cela de façon simple et efficace sans avoir besoin dtune soupape spéciale, comme cela se faisait de fa- çon courante autrefois, le piston auxiliaire 122 sert égale- ment de piston de soupape. Dans ce but, un ou plusieurs ori- fices 172 (Fig. 5 et 7) sont ménagés dans le cylindre auxi- liaire 124, orifices grâce auxquelsle liquide sous pression peut passer dans la chambre 120 et agit directement sur le piston 118, en un point déterminée du mouvement de montée du piston 122.

   Comme représenté, les orifices 172 ont une surface sensiblement réduite, ayant la forme de rainures, la grande dimension de chacune de ces rainures se trouvant dans le sens de la longueur du piston auxiliaire 122. Par suite, lorsque le piston auxiliaire approche de sa position haute, les parties inférieures des orifices 172 sont gra- duellement et progressivement découvertes, de façon à lais- ser pénétrer le liquide sous pression du cylindre 124 dans le cylindre 120. Dès que ces orifices sont ouverts, la pres- sion du liquide qui se trouve sous pression élevée dans le tuyau 126 et le cylindre 124, est transmise instantanément au liquide qui se trouve dans le cylindre 120; par suite, la pression élevée produite par la pompe, est transmise di- rectement au piston 118.

   Pour permettre d'obtenir ces   résul--   tats, la disposition, y compris la formation du piston 118, est telle, qu'au moment où les orifices 172 s'ouvrent, la soupape 148 ferme l'orifice 150, le liquide sous pression se trouvant agir uniquement dans le cylindre 120 sous le piston 118. Comme les orifices 172 sont graduellement dé- couverts, le liquide peut couler d'autant plus vite dans le cylindre   120   et par suite, augmenter progressivement le mou- vement de montée du piston 118. Cette introduction graduelle 

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 du liquide sous pression du cylindre 124 dans le cylindre 120, a pour effet de produire une montée douce et continue du piston 118 et du plateau 112, et de comprimer graduelle- ment la pièce placée entre les plateaux 112 et 102.

   Il est évident que la quantité de liquide pénétrant dans le cylin dre 120 par les orifices 1?2 est très faible. Quand le pis- ton 118 est pratiquement arrivé à sa position supérieure finale, la pression a graduellement augmenté dans le cylin- dre 120, jusqu'à ce que le maximum de pression fournie par la presse ait été obtenu. Ce degré de pression est réglé par une soupape de construction bien connue;, disposée en 174 (Fig. 5), la valeur de cette pression étant déterminée d'une façon bien connue et étant indiquée sur un cadran in- dicateur représenté en 176. Si la pression avait   tendance   à dépasser la valeur préalablement déterminée, le liquide s'é- chapperait du tuyau 126 par la soupape 174 et par un tuyau 178 dont l'extrémité supérieure débouche dans le réservoir 144. 



   Lorsque la presse est au repos avec le piston 118 à sa position basse, on peut facilement introduire une pièce à travailler entre le plateau supérieur 102 et la face por- tant les pièces à travailler du plateau inférieur 112. A ce moment, le liquide circule sans interruption, étant refoulé par la pompe 128 dans le tuyau 126,  9 d'où   il passe par les orifices 130 et le tuyal 142, pour revenir au réservoir 144, où il est pris à nouveau par la pompe 128 en passant par le tuyau 180. Lorsque l'opérateur est prêt à commencer une opé- ration d'application de la presse, il tourne un volant 132 dans le sens des aiguilles d'une montre, ce qui fait fermer l'orifice 130 par la soupape 140.

   Ceci coupe immédiatement la circulation du liquide qui se faisait par le tuyau 142, pour revenir au réservoir 144,et refoule le liquide sous pression par le tuyau   126   dans le cylindre 124, par l'orifice 

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 127 disposé à la partie inférieure de ce cylindre. Le pis- ton 122 monte, et en même temps soulève le piston 118 dans la direction du plateau supérieur 102. Pendant que le pis- ton   118   monte, le liquide du réservoir 144 est aspiré dans le cylindre 120,puisque l'orifice 150 du tuyau 146 est ou- vert à ce moment. Même si la soupape 148 n'était pas abais- sée par le levier 160, elle serait poussée vers le bas pour admettre le liquide du réservoir 144, du fait de l'effet d'aspiration exercé par le piston 118 qui monte.

   Lorsque le piston 118 et le piston auxiliaire 122 arrivent vers la fin de leur montée, les orifices 172 sont découverts et en même temps l'orifice 150 est fermé par la soupape 148. Lors- que le piston a sensiblement terminé sa course de montée, la pression exercée dans le cylindre 122 a atteint une va- leur déterminée par le réglage de la soupape 174, étant évi- dent cependant que l'opérateur peut terminer la mise sous pression en un point choisi par lui, en surveillant le ca- dran 176. La pression exercée entre les plateaux pour sati- ner ou grainer la pièce se trouvant entre eux, peut conti- nuer pendant tout le temps voulu, fixé par l'opérateur. 



  Tout ce que l'opérateur doit faire pour arrêter l'opération d'application de la presse, est de tourner le volant 132 dans le sens contraire des aiguilles d'une montre, de sorte que l'orifice 130 est ouvert, ce qui permet au liquide de retourner par l'orifice 130 et le tuyau 142, au réservoir 144. Lorsque cela a eu lieu, le piston 118 et le piston au- xiliaire 122 descendent, du fait que le liquide sous pres- sion s'échappe par les ouvertures 172, et la soupape 148 est ouverte de façon positive, par le piston 118, ce qui fait tomber immédiatement la pression, puisque le liquide du cylindre 120 peut alors s'échapper par le tuyau 146 dans le réservoir 144. A ce point de vue, c'est l'échappement du liquide par les orifices 172 qui fait commencer le retour 

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 du grand piston à sa position de départ ou de repos.

   L'échap- pement du liquide du cylindre 120 par le tuyau 146 a lieu pendant tout le temps où le piston 118 descend pour revenir à sa position initiale de repos. Lorsque le piston 118 et le plateau 112 sont arrivés à leur position inférieure ou posi tion permettant de placer la   pièce   travailler, celle-ci est enlevée et on peut introduire une nouvelle pièce pour recom- mencer les opérations décrites.

Claims (1)

  1. RESUME Presse hydraulique servant particulièrement à sa- tiner, grainer ou travailler autrement les peaux brutes ou travaillées, comportant un piston principal et un piston auxiliaire pour déplacer le premier piston, cette presse comportant des moyens permettant de faire agir la pression sur le piston auxiliaire, et d'autres moyens commandés par le piston auxiliaire pour appliquer, au moment voulu, une pression supplémentaire directement sur le premier piston.
    Cette presse hydraulique peut être caractérisée par les points suivants, ensemble ou séparément: 1. La commande de l'application de la pression sur le piston principal se fait au moyen d'un orifice que découvre le piston auxiliaire à un moment donné de sa cour- se, orifice mettant en communication les deux cylindres dans lesquels se déplacent les deux pistons.
    2. La presse comporte deux plateaux entre lesquels se place l'ouvrage, l'un de ces plateaux étant fixe, et l'autre étant déplacé au moyen du piston principal, lequel à con tour, est déplacé par le piston auxiliaire pendant une partie de sa course.
    3. L'un des deux pistons commande un dispositif permettant l'échappement du liquide au moment voulu, ce qui permet à ce piston de revenir à sa position de départ.
    4. L'échappement du liquide agissant sur le piston <Desc/Clms Page number 20> principal s'amorce également par l'orifice faisant commu- niquer les deux cylindres.
    5. Le liquide sous pression est contenu dans un réservoir communiquant avec le cylindre du piston princi- pal, de sorte que, lorsque ce piston est soulevé par le pis- ton auxiliaire, le liquide sous pression est aspiré du ré- servoir dans le cylindre, cette communication étant fermée lorsque le piston principal arrive dans la position où il va lui-même travailler.
    6. La communication entre le réservoir et le cy- lindre est fermée par une soupape qu'un ressort tend à ap- pliquer sur son siège, un organe de liaison étant prévu en- tre cette soupape et le piston principal, de sorte que lors- que la pression cesse d'être appliquée sur ce piston, la soupape s'ouvre pour laisser écouler le liquide contenu dans le cylindre.
    7. Un robinet manoeuvré à la main permet de sup- primer la pression exercée sur le cylindre auxiliaire, et par là même au moyen de l'orifice faisant communiquer les deux cylindres sur le piston principal.
    8. L'écoulement du liquide contenu dans le cylin- dre du piston principal se fait au moyen d'une soupape fer- mant la communication entre le réservoir et ce cylindre.
    9. L'orifice faisant communiquer les deux cylin- dres est formé d'une rainure dont la dimension longitudi- nale est parallèle au sens des déplacements des pistons, de sorte que le piston auxiliaire découvre graduellement cette ouverture.
    10. La soupape qui permet de faire cesser la pres- sion sur le piston principal est commandée par une autre soupape qui agit lorsque l'on fait cesser la pression sur le piston auxiliaire.
    11. Le piston auxiliaire est relié au piston prin- <Desc/Clms Page number 21> cipal au moyen d'un dispositif élastique, 12. La liaison entre les deux pistons comporte un mouvement perdu, de façon à pouvoir déplacer le piston principal jusqu'à venir en contact avec l'ouvrage, quelle que soit l'épaisseur de celui-ci.
    13. Le dispositif élastique reliant les deux pis- tons est réglable de façon à ce que le piston principal ne cède que lorsqu'il rencontre une résistance.
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