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" Perfectionnements apportés au procédé de fabrication des séparateurs, diaphragmes, filtres et articles analogues en ébonite poreuse, de même qu'en ébonite poreuse et non poreuse et matières analogues."
Le procédé de fabrication des séparateurs, diaphragmes, filtres, et analogues, 'en ébonite poreuse, ou en ébonite poreuse et non-poreuse, et analogue, faisant l'objet de la présente invention est caractérisé par le fait que les particules de caoutchouc semi-vulcanisé de la qualité souple à la qualité dure, et analogue, sont prises à une température telle qu'elles puissent 'être employées à un état de fine division, ces par- tioules étant alors pressées conformément au procédé en ques- tion, dans des moules constitués par des feuilles de métal, ou dans des moules rigides en métal,
à la forme voulue et au degré de porosité voulu pour les objets à fabriquer, la vulcanisa- tion ou le chauffage des objets étant alors effectués dans des
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conditions telles qu'aucune trace d'h1.l.lnidit ne puisse psssir ,Wauzc particules 'vulcanisées et avec une -vitesse telle et d'une façon telle que celà est nécessaire pour que les particules se combinent en des corps solides poreux*
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La vulcanisation et la fabrication (ces corps poreux peuven!Í se faire dans des moules en acier ou en fer ou dans des moules
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en un alliage convenable, ou bien elles peu.'.''ont âtre réalisées par l'emploi de feuilles minces en métal ou en alliage ou en n'importe quelle substance convenable,
les<1'161168 sont pressées avec une grande rapidité et une grande préefsion à la forme des moitiés supérieure et inférieure du moule en acier établi pour fabriquer un ou plusieurs objets en m'me r,-1-s , et elles sont ensuite employées em combinaison avec les moitiés supérieure et inférieure respectives du moule en acier pour effectuer toutes les opérations nécessaires d'abord pour amener les éléments po- reux ou bien 'poreux et non-poreux des objets dont il s'agit à leur forme et à leur aspect définitifs,' lesquelles opérations ne pourraient autrement 'être effectuées avec dos moules constitués seulement par des feuilles minces de métal.
Pour la mise en pratique de ce procédé dans toutes ses étapes, on a construit un certain nombre de machines spéciales que l'on a employées à la fois pour des moules massifs en métal et pour des moules constitués par des feuilles, avec certaines modifications dans le processus, comme cela se comprend de soi-
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m'ème.
Par "particules SeMi-VU10aniS6eS" on entend des particules qui sont préparées soit à l'aide d'un mélange pour ébonite non- vulcanisé qui a été ensuite vulcanisé partiellement; soit à l'aide de particules préparées en partant d'un mélange pour ébo-
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nite vulcanisé qui a été mélangé avec un m6Jl118e pour ébonite non vulcanisé, amené d'abord à l'état de masse homogène, ce mélange
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étant ensuite vulcanise partiellement;
soit encore, à l'aide de particules en ébonite vulcanisée recouverte d'une couche d'ébonite semi-vuloanisée
Il est bien entendu que ce mélange peut contenir des sub- stances inertes qui rendent le mélange meilleur marché, ou con- tribuent à améliorer le fonctionnement des accumulateurs, élé ments électrolytiques, etc.. ou qui accélèrent la vulcanisation.
Par le terme "et analogues", on entend d'autres rarticules en général, jouissant de la propriété de se combiner les unes aux autres pour former un seul corps sous Inaction de la chaleur.
On décrira maintenant, à l'aide d'un exemple, la fabrica- tion de séparateurs, ainsi qu'il est représenté sur les fig.I et II, quand on emploie des moules constitués par des feuilles.
La fig.I représente un séparateur en ébonite poreuse uni- quement. Sur une face, il est plat et comporteun grand nombre de très petites rainures verticales 1; sur l'autre face, il com- porte un certain nombre de bandes ou nervures saillantes verti- cales 2.
La fig.II représente un séparateur fait en ébonite poreu- se et en ébonite non poreuse. 1 représente un cadre en ébonite non compressible et non poreuse aveo deux bandes verticales 2. Entre le cadre et les bandes verticales il y a trois zônes d'ébonite po- reuse, les éléments poreux et non poreux formant une seule pièce.
Les zônes d'ébonite poreuse sont, dans ce cas, placées à l'inté- rieur du cadre de façon que le cadre et les bandes verticales fassent saillie sur les zones d'ébonite poreuse davantage sur l'une des faces que sur l'autre.
Dans ce qui va suivre, on va décrire le procédé de fa- brication des séparateurs suivant les figures I et II, dans toutes ses étapes successives/
Les moules de pression, figures IIIa et IIIb et fig.IVa
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b IVb ntoat 'J[;IO t
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3llo ng à-ifNrQ r'16 la fig¯P!3. 'ln'ey 'Je -Lv8 :i,;cloG c(rnt ±-#l'Gà5*àcf-) sont établis on acier on 0,1 une autre matière convenable et sont constitués par deux moitiés, la moitié infé- rieure du moule (i;.II 1{(f) et 1[1 moitié supérieure du moule (3.II r-:') qui représentent les né8atifs de
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plusieurs réparateurs selon los fig. 1 ota. II.
Un tel moule est employé autrement pour la fabrication
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et la vulcanisation de corps poreux,' parmi lesquels les spo.ra- teurs. Si,' toutefois, on emploie des moules constitués par des feuilles, les moules en acier ne sont employés que pour presser les feuilles de métal et en faire des moules en feuilles, et
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ensuite pour presser les particules semi-,v1..11canisées entre les moitiées supérieure et inférieure du moulu en feuilles et donner aux objetsque l'on fait avec,'leur forme et leur aspect défini- tifs.
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Dans la fig.III,' A représente la vue m plan, B la cou- pe horizontale, C la coupe verticale. Dans les fit.111 et IV, les mêmes négatifs des parties correspondantes du séparateur selon les fig.I et II sont indiqués par les mêmes nombres de référence.
On peut voir ainsi,' dans chacune des parties du moule,
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sur la fig.IIIa et sur la fig.III, quatre rangées verticales de négatifs, chaque rangée étant constituée par quatre négatifs
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pour quatre séparateurs, tandis que dans l...1-fig.IV e##/ chaque rangée verticale est constituée par trois négatifs,
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Entre les quatre rangées vertioa138 de la fis,III,' on a laissé un espace libre 3 dans la moitié oupârieure et dans la moitié inférieure du moule. Dans la moitié inférieure (fi".III$) on pratique des rainures étroites 4 et 5 pour maintenir les bandes ou nervures à'ébonite non vulcamis--Iï,-, gii permettent de faire une seule pièce avec les moitiés uJ6rietu'e et inférieure du moule constitué par une feuille.
Ces bandes non vulcanisées
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ne sont pas nécessaires lorsque l'on fabrique des séparateurs avec cadres, parce que les cadres sont fabriqués avec un mé- lange pour ébonite non vulcanisé et quils font une seule feuille double aveo les deux feuilles sous l'effet de la com- pressions
Préparation des moules de dessus et de dessous consti- tués par des feuilles pour la fabrication (voir fig.X) : Ceci est réalisé par la compression simultanée de deux feuil- les placées l'une entre la partie ou moitié supérieure 2 en acier du moule presseur et un cliché 3, et l'autre entre la inférieurs, partie ou moitié l du même moule presseur et le même cliché ou plaque-modèle 3;
ce cliché représente sur l'un de ses cotés le négatif de la moitié supérieure du moule en acier et sur l'autre côté, le négatif de la moitié inférieure, le cliché é- tant en n'importe quelle matière convenable. Les moules oonsti tués par des feuilles pressées sont ensuite placés sur des ta- bles chauffées, enduites d'une solution convenable, telle que le silicate de soudo, pour permettre de retirer facilement les séparateurs des feuilles après vulcanisation.
Dans ce qui suit, on va décrire les machines employées pour réaliser les opérations suooessives du procédé en ques- tion.
Presse à retour (fig. Va,Vb, Vo):
La fig. Va représente la vue latérale, la fig. Vb la vue avant, la fig. Va, les rails de la presse à retour.
Dans la fig. Va, 1 représente la tête, 2 le plateau su- périeur de la presse dans lequel on amène de la vapeur à la tem- pérature désirée, 3 la moitié supérieure du moule en acier
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(figIIIb 0 !O) laquelle est fixée à la plaque s ui glisse sur le plateau 2. La presse comporte deux tables mobiles, l'une vers la gauche, l'autre vers la droite, lesquelles sont indi- quées par a.
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Les deu tables z sont amendes successivement sous la , moitié supérieure du moule zml+> 1 ±<g, 71"1. Sur le c6"té gauche de la presse,' 6 représente la feuille sur lj moitié antérieure du moule 7. Sur la partie supérieurs de 1,. presse 1 est fixé le châssis 9 auquel sont suspendues les débi , .?,s6s--talouses 5 à l'aide do barres télescopiques de suspension 10 et de barres de relevage Il,-' l'étaleuse allant d'un côté ''''- l'aalre du moule..
Il désigne des tiges placées de clique côté de lT6trz. leuse, fixées à cette dernière et sUBpanà0s à deux leviers de règlage lIa articulés on llb sur la partions (lui fait saillie,' le levier 118 portant sur son bras inférieur le galet 11 0 dont l'axe agit comme broche de retenue 6'le levier deai"--'ril-OGME3nt lld; la fonction du levier 11 et du levier d 1 a,srîppement lld est de soulever l'étaleuse quand 1'6tend,,iL;ü de la feuille infé rieure est terminée en faisant continuer le mouvement do 11 êta"" leuse jusqutà ce que les galets 11 viens en!: appuyer contre les plaques d'arrêt 13 fixées au châssis;
âpres cela, le levier d'agrippement 11d tombe sur la broche de retenue, maintenant ainsi l'étaleuse à un niveau plus élevé, tondisquelle est ra- menée en arrière par la vis de va-et-vient 14 à grande vitesse jusqu'à sa position initiale près de la presse, où les galets 11 des leviers de commande roulent sur la surface 15 des pla- teaux à came, pendant que l'étaleuse est onoore dans son mou ve- ment de retour, faisant basculer les leviers 11a jusque- ce que la broche de retenue de 11 soit dégagée du levier d'agrippoment 11d, alors que 11d bascule vers le haut sous Inaction d'un res- sort, ce qui permet à l'étaleuse de revenir librement à sa posi- tion initiale.
16 indique le commutateur monté sur les deux cô- tés de l'étalense et qui règle la températm@e de la poudre grâce à une résistance électrique variable montée entre les doux pa- rois 17 à l'avant et à l'arrière de l'étalouse. 19 (voir aussi fig.Vc) indique trois rails, dont deux sont du type à cames, et le troisième un rail uni. On peut employer d'autres dispositifs
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du type à came comportant des cames rotatives établies -travail. lant en combinaison avec la table mobile.
Au. lieu d'employer la presse à retour de la fig.V de la manière déorite ci-dessus, dans laquelle le moule inférieur en acier avec la feuille qui se trouve dedans, sont immobiles et dans laquelle l'étaleuse se déplace d'une extrémité à l'autre de la feuille, la remplissant de poudre semi-vulcanisée, on peut employer une table mobile (fig.Vla et VIb) glissant sur des rails de guidage.
Sur une telle table chauffée par de la vapeur ou un au- tre moyen convenable, on a fixé une ou plusieurs moitiés infé- rieures de moule d'acier 2, chaque moitié inférieure de moule ayant une étaleuse 3 reposant sur des rails 19 montés des deux côtés du moule fixé à la table, la faceavant de l'étaleuse étant placée à l'aplomb de la table mobile; toutes les débiteur ses sont maintenues immobiles et sont suspendues de chaque côté à des barres du châssis 6 qui sont parallèles à la table mobile, au moyen de barres de suspension et de guidage télescopique 10 et de barres de relevage 4 actionnées par le levier à main 5; ce levier 5 met également la table mobile 1 en mouvement vers l'avant pour la compression.
Les moitiées inférieures des moules sont établies de façon qu'après l'étalage, elles passent et starrtent les unes après les autres sous une presse automatique pour la compression, la presse étant équipée avec un engrenage à temps ou tout autre dispositif convenable pour maintenir la pression pendant une période de temps donnée nécessaire pour que la feuille du dessus adhère aux bandes ou aux cadres non vulcani sés fixés sur la feuille inférieure, l'étendage et la compression étant réalisés à la main ou de préférence par un dispositif au- tomatique*
Après que les doubles feuilles ont passé les unes après les autres sous la presse, on les enlève pour la vulcanisation.
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Après celà, la table mobile avec les moules inférieurs en acier revient à grande vitesse à sa position initiale pour recommencer les m'ornes opérations.
Au-dessus des étaleuses, un ou plusieurs cylindres avec chemise munis d'agitateurs en mouvement, et servant de magasin pour une grande quantité de particules semi-vulcanisées à l'é- tat de fine division, et à la température désirée, fournissent ces dernières aux trémies des étaleuses.
Si,avec ces dispositifs, on doit employer des coules ri- gides à l'exolusion de moules en feuilles, on établit alors ces moules de préférence de façon qu'on emploieun certain nombre de plaques, chacune des plaques représentant la moitié inférieure du moule sur sa face supérieure,' et la moitié supérieure du moule sur sa face inférieure,' de sorte qu'en mettant un certain nombre de ces plaques l'une au-dessus de l'autre, on obtienne autantde moules qu'il y a de plaques.
Ces plaques passent alors successi- vement sous la même étaleuse qui est maintenue immobile; elles se remplissent de poudre semi-vulcanisée ou analogue, sont em portées par la table mobile et mises alors de préférence automa- tiquement l'une au-dessus de l'autre, la poudre étant comprimée à la forme définitive de l'ob'jet à fabriquer, lequel est alors vulcanisé; on fait usage de plaques chauffante ou bien quelques unes de ces plaques elle-m'âmes peuvent être pourvues de canaux pour la vapeur, ainsi qu'il est décrit ci-dossous.
Au lieu d'une table comme celle décrite, on peut omployer une table ronde, qui se déplace pendant la mise en pression dans un sens, continuant,dans le m'orne sens, son mouvement d'avancement jusqu'à ce qu'allé regagne sa position initiale.
Un autre moyen de mettre en pratique les mêmes princi- pes consiste à avoir la table mobile représontée par la fig.VI et consistant en un grand nombre de plaques d'acier articulées en'-' semble pour former une chaine continue qui sa meut toujours dans le même sens avec des arrêts périodiques.
La largeur des plaques
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d'acier de la table mobile est choisie de façon à correspondre à la largeur de la moitié inférieure du moule d'aoier représen- tant l'une des séries de négatifs, chaque plaque d'acier ayant une moitié inférieure du moule en acier qui lui est fixée, les moitiés inférieures des moules en acier portant en elles les feuilles de moules inférieures passant les unes après les autres sous la même étaleuse, qui est maintenue immobile, et ensuite la même presse, effectuant successivement leur compression.
Si l'on doit employer des moules rigides en métal, à l'ex clusion de moules en feuilles, on emploie de préférence des pla- ques représentant sur leur deux côtés, les moitiés supérieure et inférieure du moule, et elles passent l'une après l'autre sous la même étaleuse, après quoi elles sont mises, automatiquement de préférence, l'une sur l'autre, puis pressées et vulcanisées.
Les plaques de la table sont établies pour se déplacer dans des guides, pour glisser sur une base de métal rigide qui est maintenue immobile, est chauffée par la vapeur ou n'importe quel autre dispositif convenable,et supporte les plaques de la table mobile. Dans cet agencement, chaque plaque d'acier a sur les deux cotés des moules, les rails 19. qui règlent le fonction- nement de l'étaleuse comme ci-.dessus.
Etaleuse ou remplisseuse (fig.VIIa,VIIb, VII ) :
La figure VIIa représente une vue en bout et une coupe en bout de l'étaleuse de la machine à remplir, la fig.VIIb,une vue partielle avant du même appareil, la fig.VIIo la vue avant, les mêmes nombres de référence indiquant les mêmes éléments de 11 étaleuse dans toutes les figures.
1 indiqua la trémie ou chambre d'emmagasinement qui peut présenter aussi d'autres formes, 2 la pièoe de fond de la trémie 3 le couvercle de la trémie, qui est fait en aluminium et peut s'enlever, ou est établi de fàon à s'ouvrir et se fermer de fa- Çon à permettre de mettre dans la trémie de la poudre d'ébonite semi-vulcanisée, comme il le faut et quand il le faut. La tré- mie porte à ses deux parois extrêmes, deux trous circulaires
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auxquels sont fixés les tampons circulaires 4 pour celui du dessus,' 5 pour celui du dessous.
Dans ces tampons circulaires sont disposés les arbres des agitateurs au nombre de deux;' à savoir 6 et 7 dans le tampon supérieur d'extrémité 4, et un, à savoir 8,' dans le tampon inférieur d'extrémité 5, tous tovxnant dans des paliers à billes 11. Sur les arbres 'agitateurs 6 et 7 sont fixés les bras agitateurs 9 et sur l'arbre d'agitateur 8 les bras 10 ; bras agitateurs 9 de l'arbre supérieur pénétrant entre les bras agitateurs de l'autre arbre supérieur 7.
Ces trois arbres tournent tous synchroniquement étant réunis par la chaîne 12, avec la vitesse voulue pour maintenir la poudre dans un état de fine division, la chaîne 12 aotionnant les trois roues dentées fixées aux trois arbres 6,7 et 8, l'arbre inférieur 8 portant également une seconde roue pour la transmission.
A l'extérieur de la trémie 1 sont fixées deux plaques 13 en tle de fer reoou- verte d'ébonite ou d'aluminium et sur. chacune de ces plaques sont fixées un certain nombrede-résistances électriques,' isolées des plaques; une ou plusieurs sont intercalées dans le circuit du courant électrique au moyen de commutateurs 16 dans la fig.Va (non représentée ici) afin de régler la température de la poudre semi-vuloanisée. -Des dispositions sont prises également pour faire circuler de 1 eau froide dans l'étaleuse de façon que l'on puisse régler la température en l'abaissant, toutes les fois qu'il est nécessaire.
La température est contrôlée au moyen de thermomètres ou de couples thermo-élentriques.
Sous la trémie se trouve la chambra cylindrique qui se compose de la partie inférieure de la trémie 1 à laquelle est fi- xé Isolément de bas 2, chacune de ces pièces représentant une moitié du cylindre.
Ce cylindreinférieur qui court tout le long de la trémie, renferme aussi un agitateur consistant en un arbre principal 16, tournant dans un palier à billes 17 et dans lequel
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sont fixées les lames 18 dont les dimensions sont telles qu'elles arrivent à peu de distance de la paroi du cylindreo
L'agitateur tourne avec la vitesse qui est nécessaire pour maintenir la poudre semi-vuloanisée dans un état de division extrême et pour faire en sorte que la poudre s'écoule librement dans cet état par les fentes du cylindre inférieur.
Au fond 2 de la chambre cylindrique est fixée la pièce 20 à fentes compor- tant des fentes 21 à travers lesquelles la poudre s'échapre du fond du cylindre, sous Inaction des agitateurs en tombant au-des- sous, dans les endroits de la feuille formant moule, qui doivent être remplis par la poudresemi-vuloanisée. Les longueurs de ces fentes sont égales à. la largeur de ces zônes.
Les fentes et leur largeur, de même que la vitesse des agitateurs, sont réglées de fa- çon à faire en sorte que la quantité désirée de poudre passe de manière uniforme de la chambre cylindrique dans la feuille de métal, tandis que la hauteur de la couche de la poudre demi- vulcanisée étendue sur la feuille de métal est réglée par la distance séparant les fentes de l'étaleuse de la feuille de mé- tal de la manière qui va 'être décrite ci-dessous.
L'étalage de la poudre demi-vulcanisée dans les zônes des parties poreuses est en entre régularisé par une lame-volet 22 qui est établie de façon à ouvrir et fermer automatiquement les fentes 21 à des moments déterminés à l'avance, lorsque ces fentes atteignent ou dépassent les zônes des feuilles où la poudre semivuloanisée doit 'être étendue, par l'emploi de rails du type à cames 19 ou d'autres agencements à cames analogues employant des cames rota- tives travaillant en conjonction avec la table mobile.
Le volet 22 est établi de façon à se mouvoir automatiquement à l'intérieur d'un évidement pratiqué dans la partieinférieure 20 et serétré- cir vers le bas pour former un bord coupant sur le côté qui fait' faoe aux fentes 21 lorsqu'elles sont ouvertes, sa surface inté- rieure coïncidant avec la surface intérieure du cylindre formé des parties 1 ot 2.
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Le volet 22 (voir fig.VII) est actionné par le levior à va-et-vient 23 qui est fixe sur un axe contrai 24, et peut tourner autour, le levier principal à va-et-Trient 23 portant à l'une de ses extrémités le galet 25 qui roule sur des rails du type à cames fixés sur la table mobile. Le levier à va-et-vient 23 est relié à son autre extrémité au ressort 33 qui détermine son mouvement de retour,' de m'orne que le tourillon de commando 30 du disque à volet, ce dernier commandant le disque à volet principal 31 relié au volet 22.
La lame-volet principale est ' maintenue dans sa position par des plaques minoes 57 plus ou moins grandes, fixées à la partie inférieure du cylindre. 'De semblable manière,' on peut disposer une fente ininterrompue cou- rant sur toute la longueur du cylindre en entaillant les plaques minces au-dessous de la fente.
La transmission est de préférence effectuée électrique- ment. Dans ce but, on emploie des roues dentées et des chaînes,' et la moitié inférieure du cylindre inférieur est établie de fa- Çon à pouvoir être enlevée facilement sans rien déranger pour la vérification et le nettoyage des agitateurs et des parties in- ternes, toutes les fois qu'il le faut.
Sur le fond de la trémie ou chambre d'emmagasinement, est disposée une fente qui court sur toute la longueur du cylindre inférieur pour permettre aux particules semi-vuloanisées ou ana- logues de'passer dans ce dernier; la largeur de la fonte peut être réglée par une lame-volet.
La distance séparant les fentes do l'étaleuse des moules en feuilles est réglée au moyen de vis 38 de réglage en hauteur et des roues 42 roulant sur leurs rails propres 19 fixéssur la table mobile de chaque côté de l'étaleuse. Four empêcher l'en- traînement des particules déjà étendues da-cs la feuille par l'é- taleuse, lorsque les positions relatives du toutes les deux se
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modifient pendant l'étendage, les fentes sont pourvues d'un bord mince faisant saillie, et ayant une très faible surface de contact avec les particules déjà étendues et qui règle la hauteur de la couche déjà étendue.
Pour 'être bien sûr que la distance séparant les fentes de la feuille est la même partout, il est essentiel que la feuille soit pressée vers le bas contre la moitié inférieure du moule pondant l'étendage. Pour cela (voir aussi fig.VII ) l'arbre 52 est établi de place en place pour tourner dans les coussinets 53 et les coussinets terminaux 53' fixés à la partie inférieure de létaleuse 2 ; sur cet arbre pivotent les lames 44, qui ont envi- ron la largeur des fentes, grâceaux supports de lames 45. Les lames 44 sont actionnées par les ressorts 46 tandis que l'arbre est relié à un levier basculant 56 dans lequel tourne le galet 47 roulant sur les rails du type à cames 19 (voir fig.V ).
Lorsque le galet est soulevé par le rail 19, il fait tourner l'arbre 52 qui fait osciller la came 55 laquelle appuie de haut en bas sur 1''extrémité supérieure de la lame 44, faisant remonter ainsi son autre extrémité et l'éloignant de la feuille, tandis que lorsque le galet roule sur les rails 19, il renverse le mouvement de bas- oulement de l'arbre 52, abandonnant la lame et permettant au res- sort 46 d'agir et d'appuyer la lame vers le bas sur la surface de la feuille, le mouvement total de l'arbre étant limité par les butées règlables 54.
Dans le cas de séparateurs sans cadre, comme le représente la fig.1, on peut se dispenser d'employer le rail à cames pour relever les lames
Presse à cadres (fig.VIIIa, VIIIb,VIII ):
Toutes les fois que l'on doit fabriquer des séparateurs (filµ.Il) ayant des cadres en ébonite non poreuse, ces cadres sont découpés dans une feuille plane débonite non-vulcanisée d'"- paisseur et de largeur voulues, la même feuille étant employée également pour la combinaison des "deux feuilles" en une double feuille.
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Pour mettre un certain nombre de cadres d'un certain
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nombre de s6parate1.1rs dans la meae feuille avec Inexactitude qui est nécessaire, on a construit une presse qui fixe en même temps tous les cadres dans la' feuille avec précision, les près-'
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sant en méme temps . leur forme et leur aspect définitifs* La fige VIlla représente la, vue avent de la presse à cadres, la fig.VIII la @ue latérale du côté droit et la :Ci ;.
VIII , la vue latérale du côté gauche, les mêmes lettres de
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référence indiquant les m'emes éléDents dans toutes ces figures. Dans ces figarss a représonte le sooie, b la consola de support à colonnes et e le plateau fixe, refroidi par circulation d'eau, employé comme autre console de support, oos deux consoles étant réunies par les quatre colonnes z, ce qui forme ainsi un bâti fixe.
Sur ces colonnes z, la plaque a chauffée par la vapeur ou autrement; à laquelle est fixée la moitié inférieure du 'moule
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de la fig.IV8 indique par la lattxa d et portant le moule innérieur en feuille suivant la fîg.lva, ces trois éléments ayant un bon contact métallique l'un aveo l'autre; car cette condition est essentielle pour la réalisation du procède -fin de faire en
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sorte que les cadres d'ébonite nonvulcani3ée adhèrent à la feuille.
On fait déplacer ces éléments depuis la console b de support à colonnes jusqulà la plagae f de gnidage de bâti et en sens inverse, au moyen de la tige de oonnoe;î.on 1 de l'arbre à manivelle k qui tourne dans les coussinets de manivelle n; les pignons 1 à denture partielle sont fixés sur l'arbre à manivelle k et leurs dents pénètrent dans les dents des roues dentées à
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denture partielle qui sont fixées sur lra..zs: o de la rone jten- fée tournant dans les paliers r; sur Itarre 2... est fixée la roue h6licoldale L qui est entraînée par la vie sans fin..9.. fixée sur l'arbre de commande g1 porté par les paliers rl et commandé par
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le pignon de transmission 1'2 placé sur le ,>1.1é Gauohe (voir fig.VITTo).
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La fig.VIII représente la roue dentée m à denture par- tielle dont une partie de la périphérie comporte un certain nombre de dents tandis que l'autre partie n'en comporte pas.
Cette roue engrène avec le pignon 1 qui présente une partie lisse prévue pour s'accorder avec la roue dentée m. De cette façon, m fait mouvoir la plaque chauffante .± avec le moule infé rieure d maintenant la feuille de fond, depuis b jusqu'il ce qu'il atteigne la plaque f;
alors, il reste immobile pendant un temps bien défini, nécessaire pour fixer les cadres d'ébonite non- vulcanisée dans la feuille jus qu'à ce que les dents de la roue m à denture partielle attaquent de nouveau les pignons 1 à den- ture partielle, et alors les plaques chauffantes o avec la par- tie inférieure du moule et la feuille (avec les cadres du sépa- râleur fixés dans la feuille) se déplacent de nouveau sur les colonnes z pour revenir à leur position initiale près de la console de support à colonnes b, et la feuille aveo les cadres des séparateurs qui y sont fixés est alors enlevée de la partie inférieure du moule
La fixation des cadres en ébonite non-vulcanisée dans le moule inférieur en feuille s'effectue de la manière qui suit :
la console!!.. qui sert de palier à' l'arbre excentrique v, est fi- xée à la plaque de refroidissement immobile e qui est refroidie par l'eau froide qui y circule et à laquelle est fixée une au- tre plaque hl sur laquelle sont fixés à la position exacte, les noyaux de guidage h de façon à coïncider avec la feuille infé- rieure portée par la partie inférieure mobile du moule lorsque ce dernier atteint f. Dans la figure VIIIa, on voit à gauche, trois rangées de ces noyaux, chaque rangéecorrespondant à quatre séparateurs, soit douze séparateurs au total, et pour chaque séparateur il y a trois noyaux dont chacun correspond aux trois zônes d'ébonite poreuse du séparateur selon la fig.II.
Sur les noyaux de guidage h glisse la plaque f de pressa- ge des cadres et comportant des douilles qui font saillie ; sa
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partie supérieure présente la forme et 1's;-;vc des négatifs
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dans la moula &wl.c ±*z.Ii", correspondaiit aux cadres non- poreux présentant les nervures verticales du séparateur selon la fig.II.
Les douilles faisant saillie de ' portent la plaque de dégagement ±?, dont la forme correspond à la bordure extérieure et aux surfaces de séparation antre eux des séparateurs dans le moule inférieur en feuille pour le séparateur selon la fig.II, les plaques f et g étant réunies par des boulons de retenue à glissement sur lesquels sont,placés des ressorts et servant à
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maintenir of et séparées lorsque aucune l')rossio11 extrieu.ro ni est exercée sur g.
Les plateaux et plaques a, Il h11 -!' et , ayant un bon contant métallique, sont ainsi maintenues froido ce qui est essentiel pour le bon fonotioniiouont de la presse à cadres afin de faire en sorte que les cadres en ébonite non-
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vulcanisée n'adhèrent pas à h, f et ji pendant la mise sous pression. Pour augmenter encore la sécurité T. ce point de vue,' la surface de la feuille d'ébonite non-vulc-,n,.is6e dans laquelle on découpe les cadres,' est saupoudrée d'une fine poudre d'ébo- nite sur sa face qui est tournée du côté de la plaque f.
La position/de départ de la plaque f de pressage des
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cadres est telle que les surfaces antérieures des doailles'fai- sant saillie soient à quelques millimètres on arrière des sur- faces antérieures des noyaux de gaidage h ut de la plaque de dé- aÛemar.t ,' 1os noyaux h et le plaque de o.cJ;:.,o.gement E. étant eme ployés pour supporter les cadres d'y6bonite non vulcanisée et non poreuse avec les nervures ou bandes verticales non poreuses des séparateurs, ceux-ci étant mis on place au-dessus des noyaux h
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avant de déplacer la plaques avec le moale d et sa feuille.
Lors- que la plaque mobile et la partie inférieure du moule d por- tant la feuille ont atteint les noyaux h de sorte que ceux-ci pénètrent dans les zones de la feuille qui doivent présenter
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plus tard des parties à'ébonite poreuse oontigues au métal, on déplace vers l'avant la plaque! de pressage des cadres avec les
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douilles faisant saillie, ce qui produit une pression sur les cadres en ébonite non-vulcanisée et les fait adhérer ,à, la surface de la feuille chaude;
cela s'effectue au moyen des tiges à ex- centrique t actionnées par les excentriques u fixés à l'arbre v qui à son tour est actionné par les pignons 11 et ml à denture .partielle qui sont entraînés par l'intermédiaire de l'engrenage hélicoïdal p1 et g2 depuis l'arbre de transmission principal g1.
La plaque f de pressage des cadres peut être supportée, dessus et dessous,' au milieu, par une transmission excentrique auxi- liaire x et 1. Lorsque les plaques et d avec la feuille à la- quelle adhèrent maintenant les cadres démarrent en sens inverse; la plaque de dégagenent g étant poussée vers l'avant par la dé- tente de ses ressorts qui étaient comprimés avant le mouvement combiné de f et 2. s'approchant l'une de l'autre, accompagne le mouvement de la fenille ce qui aide la feuille à se dégager des douilles saillantes et des noyaux.
Vulcanisation.
L'opération qui suit est la vulcanisation de la poudre semi-vuloanisée ou analogue, à l'intérieur des feuilles doubles ou des moules rigides en métal. On a constaté que pour avoir un diaphragme fortement poreux, aucune trace d'humidité ne de- vait parvenir à la poudre et que la poudre elle-même devait 'être parfaitement sèche. On a constaté,de plus, que la double feuille ne devait subir aucune pression provenant de l'extérieur, parce qu'une compression effectuée par la vapeur ou l'air ou quelque autre gaz sur les deux faces externes de la double feuille, les presse l'une contre l'autre, ce qui fait que les parties poreuses sont plus minces et de porosité plus faible.
De semblable façon, on a constaté que la pression de l'air et des traces d'humidité renfermées dans l'ébonite poreuse renfermée dans la double feuille a tendance à écarter l'une de l'autre les deux feuilles lorsque la température nécessaire pour la vulcanisation s'élève, ce qui fait que l'épaisseur du séparateur en jbonite poreuse
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s'accroît et que la porosité augmenta.
Pour remédier à ces dif- fioultés la double feuille est placée entre les plaques 7 (fig.IX) et ensuite deux plaques représentant les négatifs de la double feuille; pour que les feuilles ne puissent pas se séparer sous l'effet d'une pression intérieurequelconque, on n'emploie pas de vapeur pour la vulcanisation, qui est effectuée de prêté- rance dans un vuloanisateur chemisé avec do l'air pris à la pression atmosphérique et maintenu à cette pression par n'im- porte quel dispositif convenable pendant la vulcanisation, la pression de l'air à l'intérieur de la feuille double @tant maintenue un peu supérieure à la pression à l'extérieur de cette feuille double.
(la vulcanisation peut être effectuée é- gaiement à l'air libre si l'on emploie des plaques chauffant davantage).. Si la feuille double est plate ou qu'elle confine sur un seul côté de petites rigoles ou de petites stries soûle- ment, ou bien qu'elle ait seulement sur l'autre côté des ner- vures ou des reliefs, ces feuilles doubles peuvent 'être vulcani- sées en mettant le côté plat des deux feuilles doubles réunies entre deux plateaux de la presse à vulcaniser, lesquels sont établis pour'représenter chacun sur chacunede leurs faces, le négatif du côté présentant les nervures ou les reliefs.
Ces pla- teaux de la presse sont obtenus de préférence par fonderie, en partant d'un métal an alliage convenable, tel que du plomb an timonieux, dans un moule en acier qui représente le négatif des plaques, ou bien ils sont usinés en parlai;! d'une plaque conve- nable d'un métal ou d'un alliage tel que le duralumin. Si 7¯'on emploie des moules rigides en métal, ces moules sont faits de préférence, avec des plaques qui sont placées l'une au-dessus de l'autre, de sorte que deux plaques successives fournissent un seul moule, chaque plaque représentant sur le dessus, la moitié inférieure du moule et sur le dessous la moitié supé- rieure dudit moule.
Les plaques sont remplies l'une après l'au- tre avec les, particules demi-vulcanisées et analogues, mises l'une au-dess us de l'autre, passées à la presse et vulcanisées.
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On a constaté que, lorsque la poudre semi-vulcanisée est vulcanisée de la sorte, on ne peut obtenir un diaphragme en ébonite fortement poreuse, parce que la quantité de chaleur qui peut 'être fournie dans l'unité de temps par l'air au bloc de métal, est relativement faible- Pour cette raison, on inter- cale des plaques chauffantes à surfaces planes entre les blocs de ces plaques négatives ainsi qu'à chaque extrémité de la presse; on y fait passer de la vapeur à la température désirée, les plaques chauffantes venant en contact métallique direct avec les surfaces planes des plaques adjacentes, et les plaques néga- tives sont construites de faqon à offrir des surfaces de contact métalliques suffisantes les unes avec les autres.
Ou bien encore, quelques-unes des plaques elles-mêmes sont pourvues de canaux pour la vapeur qui doit tre employée concurremment aux plaques chauffantes. De cette façon les plaques négatives avec la feuille double insérée en elles, ou les moules rigides en métal sans feuille, sont chauffés aveo une vitesse beaucoup plus gr'ande qu'il n'est nécessaire pour obtenir, en partant de poudre semi- vuloanisée, ou analogue,' un diaphragme solide, se combinant en même temps solidement avec les parties non-poreuses des sépara- teurs ou diaphragmes, toutes les fois que l'on en fabrique.
La fig.IX représente une telle presse à vulcaniser lors- que l'on emploie des feuilles doubles pour la vulcanisation.Dans cette figure, 1 représente les plateaux d'extremité qui sont im- mobiles, 2 les plateaux de presse qui sont mobiles, 3 la vis centrale de la presse, 4 la barre de manoeuvre de la vis centra- le, 5 les quatre vis de presse d'angle de chaque extrémité, 6 les deux montants de la presse, un de chaque côté, sur lesquels reposent et se déplacent les plaques 7 représentant les négatifs de la feuille double de chaque côté et les plaques d'extrémité 8 représentant le négatif de la feuille double d'un seul côté seule- ment, l'autre côté étant plat et en contact avec les plaques chauffantes 9, fixes et mobiles.
Les montants 6 sont fixés aux deux plaques terminales 1 et supportés par les colonnes centra- les 10 placées de chaque oôté; 11 est le tuyau principal qui
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alimente en vapeur les plaques ohauffantcu O, grâce à leurs ca.- naux au moyen des conduits 12,' lesquels sont reliés aux pl@ques @
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fg Ul chauffantes par des joints mobiles; ou 'bien après les doux pls..... 0!ti teaux de la presse se sont rapprochés des deux cotés vers lo milieu avant la vulcanisation, la vapeur s'johappe des deux pla- ques chauffantes par les conduits 13 et lo tuyau prinoipal 14 reliés ensemble de maniera semblable à 9 et 12.
Après que la vulcanisation est ter@inée, on fait passer de l'eau, froide dans lesdits canaux des plaques chauffantes pour aotiver le refroidissement de la presse. @ventuellement, le vul- canisateur et la presse sont arrosés avec de l'eau,ce qui faoi lite l'enlèvement des articles vulcanisés des feuilles ou dos moules,' après quoi les tuyaux 12 et 13 sont séparés des plaques chauffantes, la feuille double enlevée de la presse, et les feuilles dégagées du séparateur qui est vulcanisée.
La feuille retirée est alors nettoyée, rectifiée à le; presse et employée de nouveau; après que la feuille a perdu ,,on exactitude ou qu'elle est abîmée, on la refond, si elle est en métal ou en alliage, on la relamine sous la forme d'une tôle de l'épaisseur désirée et on la moule ppr pression à la forme des moitiés su- périeure et inférieure du moule désiré pour la fabrication.
Si les objets consistent en élements poreux et non po- reux, comme c'est le cas par exemple pour une plaque de filtre-
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presse' comme celle décrite clans breirot # 3ST s3 presse, comma colle décrite dans urezTU;; aa'T&ie N ee-t.5/.G du 5' J 1'1'</, le cadre en métal cf les tiges verticales en métal sont d'abord recouverts d'un mélange d'ébonite non vulcanisée, mis ensuite dans un moule chaud pour le cadre et la grille seuls. Un certain nombre de petites surfaces de métal sont laissées à découvert et employées comme supports dans le moule pour assurer la position correcte du cadre en métal et de la grille à 1''intérieur du mélange d'@bonite; quand les deux parties du mouleseront pressées l'une contre l'autre.
Les ti- ges horizontales en ébonite pure sont ensuite préparées dans le
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moule en réunissant les éléments non vulcanisés en mélange d'é- bonite avec la revêtement non vulcanisé du cadre et des ties verticales; l'ensemble est alors pressé entre les moitiés su- périeure et inférieure du moule, le ne lange d'ébonite non vulca nisé prenant alors sa forme définitive et jtant ensuite vulca- nisé partiellement- Après cela, le cadre avec la grille, est retiré du moule, les surfaces métalliques de support non rocou.- vertes sont reoouv@rtes d'un mélange d'ébonite non vulcanisée, ajustées et si nécessaire, réparées;
elles sont ensuite placées dans la moitié inférieure chaude d'un second moule employé pour faire l'article définitif, c'est-à-dire la plaque de filtre- presse. Sur cette partie inférieure du moule, on met un cadre de l'épaisseur voulue, ayant la môme forme et le même contour que celui de la plaque de filtre-presse, de façon à permettre l'introduction dans le moule, de la quantité de poudre semi- vulcanisée, et analogue, nécessaire pour obtenir la porosité et l'épaisseur déterminées des filtres en ébonite poreuse que l'on doit produire. Après cela., on place la moitié inférieure du moule sur un cadre, on presse les particules semi-vulcanisées et analogues et on vulcanisele tout finalement.