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Procédé et dispositif pour la fabrication des cierges et bougies de cire.
La fabrication des cierges s'effectuait généralement, jusqu'à maintenant, en utilisant une mèche se déroulant d'un tambour, ,et qui s'enroulait sur un second tambour. La mèche traversait ainsi la masse fondue constituant le cierge. cette opération d'enroulement et de'déroulement devait être répétée un nombre de fois suffisant (jusqu'à 80 fois) pour que l'épaisseur voulue du cierge soit atteinte. Finalement, le corps de cierge terminé devait être détaché du tambour, et une nouvelle mèche y était enroulée. Ce procédé demande beaucoup de temps et beaucoup de travail. Par conséquent la fabrication des cier- ges par ce moyen est très onéreuse.
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On connait, il est vrai, un au, dans lequel le mouvement d'aller et retour de la mèche est évité par le fait que la dite mèche, pendant la fabrication, tourne toujours dans la même direction, comme une tresse dans fin, jusqu'à ce que, par échange continuel des calibres intercalés sur son trajet, on ait atteint la grosseur correspondante du corps de cierge.
Toutefois, ce procédé a également comme inconvénient que, après terminaison d'une longueur de cierge déterminée, enroulée sur les tambours,cette portion doit être déroulée, et remplacée par une nouvelle mèche, enroulée sur les tambours. Dans ce pro- cédé également, il n'est donc pas possible non plus de réaliser la fabrication d'une longueur indéfinie de cierge, en fabrica- tion continue.
On est également en mesure de fabriquer des cierges en faisant passer la mèche, en direction rectiligne, à travers 1 e nombre voulu de dispositifs de chargement, disposés en série, et garnis de masse fondue.
Entre les dispositifs de chargement, la mèche est étirée dans les calibres, jusqu'à ce que le cierge ait atteint la grosseur désirée. Par ce procédé, la fabrication d'une lon- gueur ininterrompue de cierge serait bien possible, mais les installations nécessaires à cette fabrication seraient à ce point onéreuses, et exigeraient un emplacement tel, en raison de la nécessité de placer en série jusqu'à 80 dispositifsde chargement, que ce procédé n'est pratiquement pas réalisable.
La présente invention a pour but d'écarter les inconvé- nients ci-dessus indiqués, inhérents aux procédés connus.
Conformément à celle-ci, on obtient le résultat cherché par le fait que la mèche, provenant d'une réserve, est ainsi guidée que plusieurs séries de brins de mèche juxtaposés, sont dépla- cés simultanément à travers un dispositif unique, contenant la
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masse dont sera formé le cierge ; la'mèche traverse des cali- bres de diamètres croissants.,.si bien que, dans une passe unique ininterrompue, on atteint la grosseurveulue du cierge, lequel est continuellement conduit aux autres phases de sa fabrication.
Le dispositif conforme µ¯ l'invention"est compose d'un dispositif permettant l'étirage du corps de cierge, et d'un dispositif destiné à la poursuite de la préparation du corps de cierge continu, jusqu'à obtention du cierge terminé.
Les dessins annexés montrant un exemple de réalisation de l'objet de l' invention. Dans ces dessins :
La figure 1 montre le dispositif pour la fabrication des cierges, en coupe transversale suivant la ligne 1-1 de la figure 2.
La figure 2 montre le dispositif vu latéralement.
La figure 3 représente la monture des calibres vue de profil.
La figure 4 est une coupe suivant la ligne IV-IV de la figure 3.
La figure 5 montre le même organe en plan.
Dans les figures 6 et 7, on a représenté schématiquement la fabrication simultanée de plusieurs corps de cierges.
Les figures 8 à 29 montrent le dispositif destiné à la poursuite de la préparation des cierges.
La figure 8 représente la disposition de cette machine, en liaison avec une machine d'étirage, conforme aux figures 1 à 7.
La figure 9 montre le dispositif en vue latérale.
La figure 10 montre le dispositif vu en plan.
La figure 11 montre le dispositif vu en bout.
La figure 12 indique le dispositif d'avancement, vu laté-
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ralement.
La figure 13 montre le même organe, vu en bout.
La figure 14 est une coupe par un calibre, selon la ligne XIV-XIV de la figure 15.
La figure 15 est une vue latérale du calibre.
Dans les figures 16 et 17, le second calibre et la commande du dispositif d'entraînement, sont montrés en élévation et en profil.
La figure 18 est une vue en élévation du dispositif de blocage.
La figure 19 montre en profil le même dispositif.
La figure 20 montre une coupe suivant la ligne XX-XX de la figure 21, et passant par le dispositif de section- nement.
La figure 21 est une vue en plan de l'objet de la figure 20.
La figure 22 représente le dispositif destiné à former la pointe des cierges, vu en élévation.
La figure 23 montre le même dispositif, coupé suivant la ligne XXIII-XXIII de la figure 22, et
La figure 24 le montre encore en vue latérale.
La. figure 25 représente la came destinée à l'actionne- ment des doigts de pression, vue en face.
La figure 26 montre la même came, de profil.
La figure 27 indiqué le dispositif de lissage pour la surface de sectionnement du cierge, et la glissière desti- née à recevoir et à expulser les cierges.
Les figures 28 et 29 représentent cette glissière et son dispositif d'actionnement, à deux positions caracté- ristiques.
Sur un bâti 1, est axé, et tourne un tambour 2, à sa
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partie supérieure. Il est actionne par une transmission avec l'intermédiaire de la courroie 3. A la partie infé- rieure du bâti 1 est disposé un dispositif de " chargement".
Celui-ci se compose d'un récipient 4 contenant la matière fondue 7 destinée à former le cierge, et de deux tamâours 5-6 montés et tournant dans le récipient, sur le'même arbre. Le récipient 4 est divisé en deux éléments, par la cloison de séparation 8. Chacun de ces éléments reçoit un des tambours 5,6. Le récipient est, en outre, susceptible d'être déplacé dans le sens de l'axe des tambours 5;6.
Au.-dessus des deux parties du récipient 4 est prévu un ori- fice d'alimentation 9,la par lequel arrive la masse liquide, et l'on prévoit encore, à proximité du fond, un robinet de vidange 11, 12 pour chacun des éléments,
Au-dessus des tambours 5, 6 est monté un porte-cali- bres 14, fixé au bâti 1. Dans cet organe on fixe de ma- nière interchangeable plusieurs calibres 20 juxtaposés, de diamètre croissant. Le porte-calibres 14'est suspendu à la glissière 16, fixée au bâti 1, et est susceptible de glisser dans le sens transversal, sous l'action des tiges filetées 17 et 17'. Le porte-calibres 14 peut être assu- jetti à toute position, par l'action des écrous 18.
On prévoit un chauffage à la vapeur pour le porte-calibres 14, et pour le récipient 4. :Le. vapeur est amenée par la conduite souple 21, parcourt la tuyauterie 22, disposée à la partie inférieure du porte-calibres, la conduite souple de communicant 23, la tuyauterie 24, traversant dans sa longueur de récipient. 4, et s'échappe du dispositif de chauffage par la conduite souple 25.
A la partie inférieure du bâti 1 est encore montée une réserve de mèche 28, de laquelle on prélève la mèche
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29 à travailler, elle-même guidée par le rouleau 30 et amenée au dispositif de " chargement 2. En quittant le rouleau 30,la mèche entoure partiellement le tambour 5, puis remonte en passant par le plus petit calibre 20. De ce calibre, la mèche passe, en plusieurs trajets hélicoï- daux 33, autour des deux tambours 2 et 5, en même temps qu'à chaque trajet, et près avoir quitté le tambour 5, elle tra- verse le calibre 20 immédiatement supérieur. Dans ces der- niers trajets, la mèche passe du tambour 2 sur le tambour 6, lequel plonge dans la partie du récipient 4 se trouvant au-delà de la cloison de séparation 8.
Enfin, la mèche quitte le dispositif, en passant du tambour 2 au galet de guidage 35, Sur chaque côté du tambour 2, on dispose un ventilateur 37, 38, dont le flux d'air baigne le tambour 2 et les différents trajets 33 de la mèche. Ces deux ventila- teurs sont actionnés par une transmission, au moyen des courroies 39, 40.
Le fonctionnement du dispositif est le suivant :
Après que la mèche 29, prélevée de la réserve 28, a été amenée de la manière décrite, à entourer les tambours, le récipient 4 est garni de la masse constituant les cier- ges, et le dispositif 21, 25 de chauffage est alimenté en vapeur. Le tambour 2 est alors mis en rotation dans le sens indiqué par la flèche. La rotation est transmise éga- lement aux tambours 5, 6, par l'action des brins de mèche qui les relie. Chaque trajet, ou brin, de la mèche se charge d'une épaisseur de la masse; liquide, en traversant le dispositif de chargement, laquelle épaisseur, ou couche, est ensuite lissée par le passage qui suit dans le calibre 20.
Du fait que les calibres sont chauffés par la tuyau- terie de vapeur 22, la résistance ' qu'offre la mèche lors du
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passage dans les calibres est très réduite, si bien que l'on écarte la possibilité d'une rupture de ladite mèche.
Les deux ventilateurs 37,38 ne refroidissent pas que les brins 33 du cierge, mais bien aussi le tambour 2, grâce à quoi on évite une adhérence des brins, sur le tambour 2. Il devient ainsi superflu de débarrasser ce tambour de la masse qui pour - rait y adhérer. Le cierge quittant l'appareil, en passant par le galet de guidage 35, est ensuite amené aux autres organes terminant sa fabrication.
Au début du fonctionnement de la machine, la mèche est laissée en circulation fermée, ou bien enroulée sur un tambour spécial, aussi longtemps que le'cierge quittant le dispositif n'a pas acquis la grosseur désirée, c'est-à-dire jusqu'à ce que la portion de la mèche baignant dans le récipient 4, au mo- ment de la mise en action de la machine, n'a pas traversé le dernier calibre. A partir de ce moment, le dispositif livre con- tinuellement un cierge de grosseur constante. La partie du ré - oipient 4 située à gauche de la cloison de séparation 8, dans la figure 2, est remplie d'une masse de meilleure qualité ; ou même d'une masse colorée, afin de donner au cierge un revête - ment extérieur de meilleure apparence, ou coloré.
Lors de la mise en route de la machine, on procède d'abord à la vidange du récipient 4, en faisant écouler la masse par les deux robinets 11 et 12, après quoi le dispositif est laissé en action tant que la mèche propre ne sort pas sur le galet du guidage 35. Le cier- ge qui sort de la machine après la vidange de la masse, et ne possède pas l'épaisseur voulue est, ou bien enroulésur un tam- bour spécial, ou passé dans un dispositif de raclage, qui dé - colle la masse adhérant à la mèche, afin de rendre celle-ci propre-à un emploi ultérieur.
Lors de la reprise du fonctionne - ment, la mèche est déjà conduite de la manière voulue autour des tambours, et traverse convenablement les calibres ; si bien que cette introduction de la mèche n'a besoin d'être effectuée
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qu'une seule fois.
Afin de pouvoir utiliser la machine à la fabrication de cierges de faible diamètre, le récipient 4 et les tambours 5,6 sont déplacés dans le sens de l'axe de ces derniers, comme 1' indique la figure 2, en traits mixtes. Le cierge n'est pas alors conduit à travers tous les calibres du porte-calibres 14, maisbien déjà dirigé sur le tambour 6, après un certain nom - bre de passages. Dans ce but, le galet de guidage 35 est sus - ceptible de se déplacer parallèlement à l'axe du tambour 2. Dans la fabrication de cierges de faible diamètre, et pour laquelle la mèche ne passe que dans un nombre réduit de calibres, une portion de la surface du tambour 2 reste inutilisée.
En vue d' éviter cet inconvénient, il est possible de faire passer simul- tanément plusieurs mèches dans le dispositif, et de fabriquer ainsi simultanément plusieurs cierges.
Dans la figure 6 , on a représenté un dispositif permettant de fabriquer simultanément trois cierges. Le récipient 4 est alors subdivisé en six compartiments, parmi lesquels chaque groupe de deux constitue un ensemble indépendant. Chaque groupe de deux compartiments reçoit deux tambours 5,6, lesquels agis - sent de la même manière que ci-dessus indiqué, et auxquels est amenée la mèche provenant de trois réserves. Au-dessus des tam- bours 5,6, sont disposés trois groupes égaux de calibres de diamètre croissant. Grâce à cette disposition, on est en mesure de fabriquer simultanément trois cierges de couleurs différen - tes, par exemple destinés à l'ornement des arbres de Noël.
Dans la disposition représentée à la figure 7, on amène également, simultanément, trois brins de mèche, provenant de la réserve 28 , et conduits au tambour 5. Cependant, ces trois brins restent immédiatement juxtaposés, dans ce cas. Les cali - bres doivent alors être ainsi disposés dans leur monture qu' ils forment des groupes de trois calibres de même diamètre cha- cun. Grâce à cette disposition, il est possible de fabriquer
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simultanément trois cierges semblables.
Au lieu d'un tambour 2, on peut aussi en prévoir plusieurs, autour desquels les brins seront guidés en polygone, ceci afin de réaliser, par un même trajet plus long, un refroidissement aussi bon que possible.
Dans la figure 8, A représente une machine telle que celle que l'on vient de décrire, B une goutti.ère inclinée, parcourue par de l'eau de refroidissement, et dans laquelle le cierge sans fin X est conduit jusqu'au dispositif C, en vue de la con- tinuation de la fabrication des cierges, conformément à la pré- sente invention. On a indiqué en D le moteur d'actionnement, lequel commande à la fois le dispositif C et la machine A.
Ainsi que le montrent les figures 9,10 et 11, on monte l'arbre 102 sur le bâti 101. Cet arbre porte à une de ses ex - trémités la poulie 103, actionnée par un moteur. A l'autre ex - trémité de l'arbre 102 est fixée la poulie 104, reliée par la courroie 105 à la poulie 107, calée sur l'arbre 106. Sur cet arbre 106, est encore monté un tambour 108 et une roue dentée 109, laquelle est en prise avec la roue dentée II1, montée sur l'arbre 110. Cet arbre 110 porte lui-même à son extrémité une poulie 112 par laquelle la machine A est entraînée par l'inter- médiaire de la courroie 113.
Sur l'arbre 102, on a claveté trois vis sans fin 115,116, 117. La vis sans fin 115 est destinée à l'actionnement du dis - positif de propulsion représenté plus en détail, et à plus grande échelle, aux figures 12 et 13. Dans ce but, la vis sans fin 115 attaque la couronne dentée 120, clavetée sur un arbre 121. Par l'intermédiaire de deux pignons d'angle 122, 123, on met ainsi en rotation l'arbre 125, lequel porte à son extrémi - té le disque manivelle 126. Dans la fente 127 de ce disque manivelle on peut déplacer le tenon 128, qu'il est possible de bloquer au moyen du boulon 129. Le tenon 128 est en prise dans la fente 130 de la tête de bielle 131, laquelle oscille autour
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du point 132.
La bielle constitue une fourche 133, dont chacune des branches comporte elle-même une fente 135 à son extrémité.
Sur le bâti 101 on prévoit les deux tiges de guidage fixes 138 , 139, destinées à conduire les deux pièces porte-calibres 140, 141. Ces deux pièces 140,141 sont susceptibles de coulisser sur les tiges de guidage 138, 139, au moyen des oeilletons 142, 143, de sorte qu'elles peuvent accomplir un mouvement longitudi- nal alternatif le long de ces tiges. En outre, les pièces porte- calibres 140, 141 comportent des oeilletons 145, 146, par les- quels passent les tiges de distancement 147, 148.
Les pièces porte-calibres 140-141 sont réglables sur ti - ges de distancement 147, 148 au moyen des vis de blocage 149, 150. Entre les deux pièces 140,141 se déplace, sur les tiges de distancement 147, 148 , le cadre 151. Il est fixé par les vis de blocage 152,153. Sur ses cotés extérieurs, le cadre 151 porte les deux tenons 155,156, lesquels s'engagent dans les fentes 135 de la fourche 133. Dans les pièces porte-calibres 140,141 on monte les calibres 161, avec interposition de rou - lements à billes 160. Les calibres 161 peuvent être pourvus de rainures hélicoïdales 162, en vue de la fabrication de cierges à torsades.
Les figures 14 et 15 montrent cette disposition. En vue de réduire la résistance se manifestant au moment du passage des cierges dans les calibres, ceux-ci sont pourvus d'un chauf- fage à la vapeur 164.
La pièce porte-calibres 141 comporte un organe d'entraîne- ment 165, présentant la forme d'un couteau pénétrant dans le cierge (fig.16,17). Le couteau 165 est susceptible de coulisser sur des guidages 166 assujettis à la pièce porte,-calibres 141, et comporte un crochet d'équerre 167 à son bord inf éri eur. Ce crochet 167 vient s'engager dans une pièce formant gàche 168, en forme de fourche, qui repose sur l'arbre 169 axé sur la pièce porte-calibres. L'arbre 169 porte un levier 170, lequel
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est muni à son extrémité d'un tenon 171.
Dans le bâti 101 du dispositif on monte, en outre, une tige carrée 175, sur laquel- le les deux butées 176, 177 sont montées et bloquées à la dis- tance désirable l'une de l'autre, au moyen des deux vis d'ar -
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rêt 178 ,179.
Sur 'l'arbre 121, est encore fixée laÀtinée à l'entraînement d'un dispositif de serrage pour le cierge. Ce dispositif de serrage est constitué de deux organes 185 et 186 en forme de pince, et est monté sur la tige de guidage 138 , à l'extérieur des deux pièces porte-calibres 140,141 (fig.10, 18 ,19 ). Les deux leviers 187, 188 formant pince, tournant au - tour de l'axe commun 138, comportent chacun un bras de levier 189, 190 garni d'une mâchoire ; ces bras de leviers sont cons - tamment écartés l'un de l'autre par l'action du ressort 191.
Aux deux autres extrémités des bras de leviers on fixe des ressorts 192, 193, lesquels viennent porter contre deux faces opposées de la tige carrée 176. Vis-àrvis des ressorts on pré- voit des vis de blocage 194, dans les leviers 187, 188. Sur l'a tige carrée 175 est monté un axe 195, autour duquel la bielle 196 est en mesure d'osciller. Cette bielle 196 porte, son extrémité libre, un galet 197, qui agit en liaison avec la came 180, de telle manière que, lorsque celle-ci est mise en rotation, la tige carrée 175, axée dans le bâti 101, reçoit un mouvement alternatif d'angle réduit, par l'intermédiaire de la bielle 196. Latéralement et au-dessous des mâchoires, on prévoit un galet de guidage 198 , sur lequel le cierge vient porter lorsque les mâchoires, sont ouvertes.
La vis sans fin 116 prévue sur l'arbre 102 est destinée à l'actionnement du dispositif de sectionnement montré à plus grande échelle aux figures 20 et 21. La vis sans fin 116 en - grène sur une couronne dentée 201, olavetée sur un arbre creux 202, de faible longueur. Cet arbre 202 est monté dans un cous - sinet .203 assujetti lui-même au bâti 101. A son extrémité l'ar -
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bre 202 forme un plateau 205, qui comporte plusieurs nervures 206 sur sa face externe. Au coussinet 203 , on fixe un étrier 210 , au moyen des boulons 208 , 209. Cet étrier fait office de support pour les deux couteaux 211,212.
Dans ce but, on prévoit quatre boulons 214, vissés dans l'étrier, et sur lesquels les couteaux viennent se monter par leurs rainures 215, après quoi le blocage a lieu par les écrous 217, 218 , avec interposition de rondelles de serrage élastiques 216. Les couteaux compor - tent chacun un dégagement circulaire 219,220, et portent à leurs extrémités extérieures des tiges 221,222, reliées entre elles par des ressorts de traction 223,224. Sur les tiges 221, 222 on fixe des axes 225,226 lesquels portent chacun à leur extrémité libre un galet 227,228, qui, lors de la rotation du plateau 205, vient porter sur les nervures 206. L'étrier 210 possède en son milieu un dégagement 230, qui, comme le perça- ge de l'arbre 202, est d'un diamètre assez fort pour que le cierge puisse y passer.
Les couteaux 211,212 sont pourvus à leurs extrémités extérieures de rainures 230,231, dans lesquel- les s'engagent les axes 225,226, si bien que les couteaux sont en mesure de coulisser l'un vers l'autre. Le couteau 211 possède en outre, une rainure 233 destinée à la commande du dispositif d'expulsion, comme on le verra plus loin.
La vis sans fin 117, montée sur l'arbre 102, sert à 1' actionnement du dispositif destiné à former la pointe des cierges. Cette vis sans fin 117 attaque la couronne dentée 220, laquelle est clavetée sur l'arbre 221 axé sur le bâti 101. L' arbre 221 porte à son extrémité un plateau 222, qui possède à sa face antérieure un dégagement annulaire 223. Dans ce déga - gement sont logées concentriquement deux tuyauteries de vapeur de chauffage 225,226, cintrées circulairement, communiquant entre elles au moyen d'une tuyauterie radiale 227. La vapeur est amenée par la tuyauterie 228 , laquelle est reliée au tube 225, par l'intermédiaire du canal 230 ménagé à l'intérieur de
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l'arbre 221 et du plateau 222.
De ce point, la vapeur passe par la tuyauterie de communication 227 jusque dans la tuyauterie 228, puis , par le canal 231 ménagé dans le plateau 222, et le
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tuyau 232 aboutit à la tuyauterie de sortie 233. 2 Q a ln û 'Pl L'intervalle subsistant encore dans le dégagement annulai- re 223 du plateau 222, après mise en place des tuyauteries de vapeur, est rempli de plomb coulé. On ménage ensuite dans le plomb, par perçage, douze matrices 236 , dont la forme corres - pond à celle de la pointe des cierges que l'on désire obtenir.
Dans le fond de ces matrices, on perce encore un canal
237, qui traverse le plateau 222, et sert à loger l'extrémité de la mèche qui dépasse du cierge. Dans le plateau 222, sont en outre montés douze tirants 240, comportant des méplats, et bloqués sur le plateau 222 au moyen des vis d'arrêt 241. D'au - tre part, des gouttières de guidage 245 sont mises en place sur les tirants 240, et bloquées au moyen des écrous 246.
Ces gouttières de guidage 245 reçoivent les tronçons de cierge provenant du dispositif de seotionnement, qui arrivent , en roulant sur les plans inclinés 247. Sur les extrémités li - bres des tirants 240 sont montés, de manière réglable, des doigts de pression 250, lesquels sont appliqués contre les matrices 236, au moyen de ressorts 251. Ces ressorts portent, d'une part, contre les doigts de pression, et d'autre part, contre les rondelles d'appui 252, fixées sur les tirants 240 au moyen des écrous 253. Les doigts de pression 250 portent sur leur côté interne des galets 255, qui viennent'prendre ap - pui sur une rampe 256. La rampe 256 est assujettie sur l'axe 257, lequel est fixé lui-même à une portée 258 appartenant au bâti 101, au moyen de la vis de blocage 259.
Le profil de la rampe 256 est indiqué aux figures 25 et 26. En 260, on a représenté les tronçons de cierge sectionnés, et sur lesquels on doit former la pointe. Lors de la rotation du plateau 222, les doigts de pression 250 sont mis en mouvement,
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par l'action des ressorts 251, et selon le profil de la rampe 256, en direction des matrices 236, à la suite de quoi les tronçons 260 sont introduits à force dans les matrices chauf - fées 236 ; pointes des cierges sont ainsi obtenues.
A l'opposé du plan incliné 247 est prévu un autre plan incliné 252 sur lequel les cierges provenant du dispositif de pressage, et maintenant terminés, viennent rouler pour parve - nir aux récipients de réserve ou sont autrement accumulés.
Afin de lisser les surfaces de sectionnement du cierge, qui constitueront les bouts opposés à la pointe du cierge terminé, un dispositif de lissage est relié au dispositif de sectionnement. Dans celui-ci, une plaque chauffée est appliquée contre la surface de sectionnement à lisser. Ce dispositif est représenté aux figures 27, 28 et 29 à plus grande échelle.
Dans la fente ou rainure 233 du couteau 211, vient s'enga- ger un tenon 270, lequel est relié, par une pièce de liaison 271, à une tige 272, susceptible de coulisser longitudinale - ment, si bien que ladite tige effectue un mouvement alternatif de va-et-vient, en même temps que le couteau 211. La tige 272 est guidée dans un oeilleton 273, lequel est assujetti sur une portée 274 appartenant au bâti 101. C'est dans cette portée 274 qu'est axé l'arbre 275 ; ,il y est fixé au moyen de la bague d'arrêt 276. Sur l'arbre 275 est introduite une douille 278, tournant sur celui-ci, une bague d'arrêt 279 s'oppose à ce que cette douille accomplisse des mouvements latéraux.
Entre la portée 274 et la douille 278 est interposé un ressort de torsion 280. Sur la douille 278 est montée une gout- tière 281, ouverte à la partie supérieure, et un levier 282, portant un contrepoids 283 à son extrémité libre. Ce contrepoids 283, et le ressort de torsion 280, tendent à maintenir la douil- le à la position à laquelle la gouttière 281 est ouverte vers le haut (fig.29 ). La douille 278 porte, en outre, un ressort à lame 285. Lorsque la tige 272 se déplace dans la direction de la @
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flèche représentée à la figure 28, une butée 286, disposée sur ladite tige vient heurter le ressort à lame 285, entraîne celui- ci,
et fait tourner la douille 278 contre l'action du ressort 280 en soulevant le contrepoids 283, jusqu'à ce qu'elle prenne la position représentée à la figure 28, à laquelle position la gouttière :?SI est basculée.
Au cours de la poursuite du mouvement de la tige 272, le ressort 285 échappe à la butée 286 , et la douille 278 retourne à sa position de départ, avec la gouttière 281, pour reprendre l'orientation montrée à la fig.29. La butée 286 est établie de telle sorte en biseau, à son extrémité supérieure, que, lors du retour en arrière de la tige 272, elle peut glisser sur le ressort 285. Dans le prolongement de l'axe de la gouttière 281, on fait glisser longitudinalement une tige 291, dans une portée 290 solidaire du bâti 101 ;cette tige porte à son extrémité une plaque 293, chauffée par une tuyauterie de vapeur 292.
Sur la tige 291 est montée une bague 295, bloquée sur la tige 291 au moyen de la vis d'arrêt 296. En outre, on monte sur la tige 291 un ressort spiralé 297, qui's'appuie d'une part contre la portée 290, et d'autre part contre la bague 296. Cet - te bague 295 possède deux tenons 298,298' qui viennent s'engar ger dans les fentes d'un levier 300 en forme de fourche (fig.
10). A l'autre extrémité du levier 300 est articulée une bielle 301, laquelle se déplace longitudinalement dans des guidages 302, 303, et porte à son extrémité libre un galet 305.
Ce galet porte sur une rampe 306 , clavetée sur l'arbre 121. Au cours de la rotation de la rampe, la plaque chauffée 293 est appliquée contre l'extrémité du cierge logé dans la gouttière 281, et assure ainsi son lissage.
Le fonctionnement du dispositif est le suivant : Le cierge sans fin X provenant de la machine A, traverse la gouttière 2 parcourue par de l'eau, et dans laquelle il est maintenu au - dessous du niveau de l'eau, grâce à des galets de guidage. Au
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cas où le cierge ne présenterait pas bosseur suffi- sante, ou toute autre caractéristique, il est enroulé sur le tambour 106. S'il présente les conditions requises, le cierge provenant de la machine A est introduit entre les mâchoires du dispositif de serrage 185, et est passé dans le calibre 140, le cadre 151, le calibre 141, le dispositif de serrage 186, l'arbre creux 202 du dispositif de sectionnement, et par les dégagements 219-220 des couteaux 211,212, susceptibles de venir se superposer, si bien qu'un tronçon du cierge est amené dans la gouttière 281.
La machine est alors mise en action, grâce à quoi, en raison du déplacement des deux couteaux 211 et 212, l'extrémité dépassante du cierge est sectionnée.
Comme ce premier tronçon ne possède pas la longueur nor - male du cierge, il n'est pas soumis aux autres opérations de la fabrication, mais bien supprimé. Les phases de la fabrica - tion se succédant, et à la suite de l'ouverture des mâchoires des dispositifs de serrage 185,186, en raison de la rotation du plateau 126, le dispositif d'avancement est mis en action.
Au moment du sectionnement du cierge par les couteaux 211 et 212, les deux calibres 140,141 sont situés toutà-fait à gau - che (fig.9 et 10 ), le tenon 171 est venu heurter la butée 176, et, grâce à la rotation du levier 170 et de la fourche 168 , le couteau 165 a été engagé dans le cierge (fig.17).
Les deux calibres 140, 141, solidaires, se déplacent alors ensemble vers la droite, en entraînant avec eux le cier - ge. De ce fait, une portion de la longueur de cierge sans fin, correspondant à la longueur des cierges à fabriquer, est pous - sée par les dégagements des deux couteaux 211,212 et se place dans la gouttière 281. En même temps, et par l'intermédiaire de la rampe 306, du galet 305 , de la bielle 301 , et du levier 300, la tige 291 est repoussée vers la gauche (fig.27) de sorte que la plaque chauffée 293 est appliquée contre la section du cierge situé dans la gouttière 281, grâce à quoi cette section
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est lissée.
En même temps, les deux couteaux 211, 212 se dépla- cent l'un vers l'autre, si bien qu'un tronçon de cierge sans fin correspondant à la longueur du cierge terminé, se trouve détaché, et tombe dans la gouttière 281.
Lorsque le couteau 211 retourne en arrière, le tenon 270 vient heurter l'extrémité droite de l'entaille 233 (fig.28 ) grâce à quoi, lors de la poursuite du mouvement du couteau, la 'tige 272 se déplace vers la gauche, mouvement qui, par l'inter- médiaire de la butée 286 et du ressort 285, imprime un mouvement de basculement à la gouttière 281. Le tronçon 260 qui se trou - vait dans cette gouttière est donc rejeté sur le plan incliné 247, et roulejusqu'à la gouttière 245, de telle façon qu'une des extrémités dudit tronçon 260 se trouve en vis-à-vis de la matrice 236.
Grâce à la rotation du plateau 222, les doigts de pression 250 sont entraînés par les tirants 240, les galets 255 roulent sur la rampe 256, et les doigts de pression 250 sont ainsi déplacés,'sous l'action des ressorts 251, qu'ils pressent les tronçons 260 dans les matrices, grâce à quoi la pointe du cierge est obtenue.
Lors de la poursuite de la rotation du plateau 222 dans le sens de la flèche indiquée à la fig.22, les doigts de pression sont ramenés en arrière, libèrent le cierge, et celui ci tombe de la gouttière 245 sur la paroi inclinée 262, hors de laquelle il parvient dans un récipient collecteur ou autre.
Après sectionnement du tronçon de cierge par les couteaux 211,212, le dispositif de serrage entre en action. Par la ro - tation de la came 180, l'intermédiaire du galet 197 et de la bielle 196, la barre carrée 175 reçoit un mouvement de rotation d'un angle réduit, les ressorts 192,193 sont écartés l'un de 1' autre, viennent heurter les vis réglables 194, grâce à quoi les leviers 187,188 sont mis en mouvement, de manière telle que les mâchoires 189,190 se rapprochent l'une de l'autre et saisissent le cierge. Entre temps, le calibre 141 s'est déplacé sur la droite
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d'une longueur telle que le tenon 171 est venu heurter la butée 177, grâce à quoi le couteau 165 a été retiré du cierge.
Les deux calibres 140,141, se déplacent alors vers la gau- che, et comme le cierge est maintenu par les deux dispositifs de serrage les,166, les calibres glissent sur le cierge, grâce à quoi il se trouve lissé. Au cas où l'on désirerait obtenir des cierges en torsade, les calibres sont pourvus de rainures hélicoïdales, et tournent dans des roulements à billes 160,
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tout en glissant sur le cierge. g±±fl4 Afin que, sur les cierges terminésees teràces du disposi- tif de serrage et de l'organe d'entraînement ne restent pas apparentes, il est avantageux de régler de telle manière l'em - placement de serrage 185,186, que les endroits du cierge ser - rés soient utilisés à la formation de la pointe du cierge.
Par conséquent, les dispositifs de serrage doivent être ainsi disposés que leur distance soit un multiple de la longueur des cierges à fabriquer, et que la distance du dispositif de serrage 186 jusqu'au plan où se déplacent les deux couteaux 211, 212, ainsi que l'éloignement du couteau 165 jusqu'aux deux dispositifs de serrage aux positions extrêmes, soit égal à. un multiple de la longueur des cierges.
Il est également possible, avec le dispositif décrit, de travailler simultanément plusieurs cierges conduits parallèle - ment entre eux. Dans ce but, il est seulement nécessaire que les mâchoires du dispositif de serrage, les calibres, et les couteaux, répondent au nombre des cierges à travailler simul - tanément, et qu'au lieu des matrices individuelles disposées en cercle, on prévoit des groupes de telles matrices. Le tra - vail simultané de plusieurs cierges conduits parallèlement est spécialement intéressant pour la fabrication de bougies pour arbres de Noël.
REVENDICATIONS.
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Method and device for the manufacture of tapers and wax candles.
Until now, candles were generally made using a wick unwinding from a drum, and which wound around a second drum. The wick thus passed through the molten mass constituting the candle. this winding and unwinding operation had to be repeated a sufficient number of times (up to 80 times) for the desired thickness of the candle to be achieved. Finally, the finished candle body had to be detached from the drum, and a new wick was wound into it. This process takes a lot of time and a lot of work. Consequently, the manufacture of candles by this means is very expensive.
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We know, it is true, an au, in which the back and forth movement of the wick is avoided by the fact that the said wick, during manufacture, always turns in the same direction, like a braid in the end, until 'so that, by continual exchange of the calibers inserted in its path, we have reached the corresponding size of the candle body.
However, this process also has the drawback that, after termination of a determined length of candle, wound on the drums, this portion must be unwound, and replaced by a new wick, wound on the drums. In this process also, it is therefore also not possible to carry out the production of an indefinite length of candle, in continuous production.
It is also possible to manufacture candles by passing the wick in a straight direction through the desired number of loaders, arranged in series, and filled with melt.
Between the loading devices, the wick is stretched through the gauges, until the candle has reached the desired size. By this process, the manufacture of an uninterrupted length of candle would be quite possible, but the installations necessary for this manufacture would be so expensive, and would require such a location, because of the need to place in series up to 80 loading devices, that this process is practically not feasible.
The object of the present invention is to eliminate the drawbacks indicated above, inherent in the known processes.
In accordance with this, the desired result is obtained by the fact that the wick, coming from a reserve, is thus guided that several series of juxtaposed wick strands are moved simultaneously through a single device, containing the
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mass of which the candle will be formed; the wick passes through caliber of increasing diameters.,. so that, in a single uninterrupted pass, one reaches the only size of the candle, which is continuously carried to the other phases of its manufacture.
The device in accordance with µ¯ the invention "is composed of a device for stretching the body of the candle, and of a device for continuing the preparation of the body of continuous candle, until the finished candle is obtained.
The accompanying drawings showing an embodiment of the object of the invention. In these drawings:
Figure 1 shows the device for manufacturing candles, in cross section along line 1-1 of Figure 2.
Figure 2 shows the device seen from the side.
FIG. 3 represents the frame of the gauges seen in profile.
Figure 4 is a section on the line IV-IV of Figure 3.
Figure 5 shows the same organ in plan.
In Figures 6 and 7, there is schematically shown the simultaneous manufacture of several candle bodies.
Figures 8 to 29 show the device intended for continuing the preparation of the candles.
Figure 8 shows the arrangement of this machine, in connection with a drawing machine, according to Figures 1 to 7.
Figure 9 shows the device in side view.
Figure 10 shows the device seen in plan.
Figure 11 shows the device seen from the end.
Figure 12 shows the advancement device, seen from the side.
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actually.
Figure 13 shows the same organ, seen from the end.
Figure 14 is a section through a gauge, along the line XIV-XIV of Figure 15.
Figure 15 is a side view of the gauge.
In figures 16 and 17, the second gauge and the control of the driving device are shown in elevation and in profile.
Figure 18 is an elevational view of the locking device.
Figure 19 shows the same device in profile.
Figure 20 shows a section taken along line XX-XX of Figure 21, and passing through the severing device.
Figure 21 is a plan view of the object of Figure 20.
FIG. 22 represents the device intended to form the tip of the tapers, seen in elevation.
Figure 23 shows the same device, cut along the line XXIII-XXIII of figure 22, and
Figure 24 also shows it in side view.
Fig. 25 shows the cam for actuating the pressing fingers, viewed from the front.
Figure 26 shows the same cam, in profile.
FIG. 27 shows the smoothing device for the cutting surface of the candle, and the slide intended to receive and expel the candles.
FIGS. 28 and 29 represent this slideway and its actuating device, in two characteristic positions.
On a frame 1, is centered, and turns a drum 2, at its
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the top part. It is actuated by a transmission with the intermediary of the belt 3. In the lower part of the frame 1 is arranged a "loading" device.
This consists of a container 4 containing the molten material 7 intended to form the candle, and two drums 5-6 mounted and rotating in the container, on the same shaft. The container 4 is divided into two elements, by the partition 8. Each of these elements receives one of the drums 5,6. The container is also capable of being moved in the direction of the axis of the drums 5; 6.
Above the two parts of the container 4 is provided a supply port 9, through which the liquid mass arrives, and there is also provided, near the bottom, a drain valve 11, 12 for each. elements,
Above the drums 5, 6 is mounted a caliber holder 14, fixed to the frame 1. In this member are fixed interchangeably several juxtaposed gauges 20, of increasing diameter. The gauge holder 14 ′ suspended from the slide 16, fixed to the frame 1, and is capable of sliding in the transverse direction, under the action of the threaded rods 17 and 17 ′. The gauge holder 14 can be secured to any position, by the action of the nuts 18.
Steam heating is provided for the gauge holder 14, and for the container 4.: The. steam is brought by the flexible pipe 21, passes through the pipe 22, arranged at the lower part of the gauge holder, the flexible communicating pipe 23, the pipe 24, passing through its length of the container. 4, and escapes from the heating device through the flexible pipe 25.
At the lower part of the frame 1 is still mounted a reserve of wick 28, from which the wick is taken.
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29 to work, itself guided by the roller 30 and brought to the "loading device 2. On leaving the roller 30, the bit partially surrounds the drum 5, then rises through the smallest gauge 20. Of this gauge, the bit passes, in several helical paths 33, around the two drums 2 and 5, at the same time as each path, and after leaving the drum 5, it passes through the next higher caliber 20. - nth paths, the wick passes from the drum 2 on the drum 6, which plunges into the part of the receptacle 4 located beyond the partition 8.
Finally, the wick leaves the device, passing from the drum 2 to the guide roller 35, On each side of the drum 2, there is a fan 37, 38, the air flow of which bathes the drum 2 and the various paths 33 of the wick. These two fans are actuated by a transmission, by means of the belts 39, 40.
The operation of the device is as follows:
After the wick 29, taken from the reserve 28, has been brought in the manner described, to surround the drums, the container 4 is lined with the mass constituting the waxes, and the heating device 21, 25 is supplied with steam. The drum 2 is then rotated in the direction indicated by the arrow. The rotation is also transmitted to the drums 5, 6, by the action of the strands of wick which connect them. Each path, or strand, of the wick is charged with a thickness of the mass; liquid, passing through the loading device, which thickness, or layer, is then smoothed by the following passage in the 20 gauge.
Because the gauges are heated by the steam pipe 22, the resistance the wick offers on
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passage through the gauges is very reduced, so that the possibility of breaking said wick is ruled out.
The two fans 37,38 not only cool the strands 33 of the candle, but also the drum 2, thanks to which one avoids an adhesion of the strands on the drum 2. It thus becomes superfluous to rid this drum of the mass which could join. The candle leaving the apparatus, passing through the guide roller 35, is then brought to the other members finishing its manufacture.
At the start of the operation of the machine, the wick is left in closed circulation, or else wound on a special drum, as long as the candle leaving the device has not acquired the desired size, that is to say until 'that the portion of the wick immersed in the container 4, when the machine is put into action, has not passed through the last gauge. From this moment, the device continuously delivers a candle of constant size. The part of the receptacle 4 located to the left of the partition 8, in FIG. 2, is filled with a better quality mass; or even of a colored mass, in order to give the candle an exterior covering of better appearance, or colored.
When the machine is started up, the container 4 is first emptied, by letting the mass flow through the two taps 11 and 12, after which the device is left in action as long as the clean wick does not come out. not on the guide roller 35. The wax which comes out of the machine after emptying the mass, and does not have the desired thickness, is either wound on a special drum, or passed through a scraping device , which releases the mass adhering to the wick, in order to make the latter suitable for subsequent use.
When resuming operation, the drill bit is already conducted in the desired manner around the drums, and properly passes through the gauges; so that this introduction of the bit does not need to be carried out
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only once.
In order to be able to use the machine for the production of small diameter candles, the container 4 and the drums 5,6 are moved in the direction of the axis of the latter, as indicated in FIG. 2, in phantom lines. The candle is not then led through all the calibers of the 14-gauge holder, but is already directed onto the drum 6, after a certain number of passages. For this purpose, the guide roller 35 is able to move parallel to the axis of the drum 2. In the manufacture of small diameter candles, and for which the wick only passes through a reduced number of gauges, a portion of the surface of the drum 2 remains unused.
In order to avoid this drawback, it is possible to pass several wicks simultaneously through the device, and thus simultaneously manufacture several tapers.
In Figure 6, there is shown a device for simultaneously manufacturing three candles. The container 4 is then subdivided into six compartments, among which each group of two constitutes an independent assembly. Each group of two compartments receives two drums 5,6, which act in the same way as indicated above, and to which the bit from three reserves is supplied. Above the 5,6 drums are arranged three equal groups of increasing diameter sizes. Thanks to this arrangement, it is possible to simultaneously manufacture three candles of different colors, for example intended for the ornament of Christmas trees.
In the arrangement shown in FIG. 7, three strands of wick are also brought simultaneously, coming from reserve 28, and led to drum 5. However, these three strands remain immediately juxtaposed, in this case. The gauges must then be so arranged in their mount that they form groups of three gauges of the same diameter each. Thanks to this arrangement, it is possible to manufacture
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simultaneously three similar candles.
Instead of a drum 2, it is also possible to provide several, around which the strands will be guided in a polygon, in order to achieve, by the same longer path, as good cooling as possible.
In FIG. 8, A represents a machine such as that which has just been described, B an inclined gutter, traversed by cooling water, and in which the endless candle X is led to the device. C, with a view to continuing the manufacture of candles, in accordance with the present invention. The actuating motor has been indicated at D, which controls both device C and machine A.
As shown in FIGS. 9, 10 and 11, the shaft 102 is mounted on the frame 101. This shaft carries at one of its ends the pulley 103, actuated by a motor. At the other end of the shaft 102 is fixed the pulley 104, connected by the belt 105 to the pulley 107, wedged on the shaft 106. On this shaft 106, a drum 108 and a toothed wheel are also mounted. 109, which engages with toothed wheel II1, mounted on shaft 110. This shaft 110 itself carries at its end a pulley 112 by which machine A is driven by means of belt 113.
On the shaft 102, three worm screws 115, 116, 117 have been keyed. The worm 115 is intended for the actuation of the propulsion device shown in more detail, and on a larger scale, in FIGS. 12 and 13. For this purpose, the worm 115 attacks the toothed ring 120, keyed on a shaft 121. By means of two angle pinions 122, 123, the shaft 125 is thus rotated, which bears in its turn. end of the crank disc 126. In the slot 127 of this crank disc, the tenon 128 can be moved, which can be blocked by means of the bolt 129. The tenon 128 is engaged in the slot 130 of the connecting rod 131, which oscillates around
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from point 132.
The connecting rod constitutes a fork 133, each of the branches of which itself has a slot 135 at its end.
On the frame 101 there are provided the two fixed guide rods 138, 139, intended to drive the two caliber holder parts 140, 141. These two parts 140, 141 are able to slide on the guide rods 138, 139, by means of the eyelets 142, 143, so that they can perform reciprocating longitudinal movement along these rods. In addition, the caliber-holder parts 140, 141 have eyelets 145, 146, through which the distance rods 147, 148 pass.
The 140-141 caliber carrier parts are adjustable on the distance rods 147, 148 by means of the locking screws 149, 150. Between the two parts 140, 141 moves, on the distance rods 147, 148, the frame 151. It is secured by locking screws 152,153. On its outer sides, the frame 151 carries the two tenons 155,156, which engage in the slots 135 of the fork 133. The caliber holders 140,141 are fitted with gauges 161, with the interposition of ball bearings 160. The gauges 161 can be provided with helical grooves 162, with a view to the manufacture of twist tapers.
Figures 14 and 15 show this arrangement. In order to reduce the resistance manifested when the candles pass through the gauges, these are provided with steam heating 164.
The caliber-holder part 141 comprises a drive member 165, in the form of a knife penetrating into the sparkler (fig.16,17). The knife 165 is capable of sliding on guides 166 secured to the door part, -calibers 141, and has a square hook 167 at its lower edge. This hook 167 engages in a part forming a left 168, in the form of a fork, which rests on the shaft 169 centered on the gauge holder part. The shaft 169 carries a lever 170, which
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is provided at its end with a tenon 171.
In the frame 101 of the device is mounted, in addition, a square rod 175, on which the two stops 176, 177 are mounted and locked at the desired distance from each other, by means of the two screws. ar -
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rêt 178, 179.
On the shaft 121 is still attached the end to drive a clamping device for the sparkler. This clamping device consists of two members 185 and 186 in the form of a clamp, and is mounted on the guide rod 138, outside the two caliber holder parts 140,141 (fig. 10, 18, 19). The two levers 187, 188 forming a clamp, rotating around the common axis 138, each include a lever arm 189, 190 furnished with a jaw; these lever arms are constantly separated from each other by the action of spring 191.
At the other two ends of the lever arms are fixed springs 192, 193, which come to bear against two opposite faces of the square rod 176. Vis-à-vis the springs there are locking screws 194, in the levers 187, 188 On the square rod 175 is mounted an axis 195, around which the connecting rod 196 is able to oscillate. This connecting rod 196 carries, its free end, a roller 197, which acts in connection with the cam 180, so that, when the latter is rotated, the square rod 175, centered in the frame 101, receives a movement reciprocating reduced angle, via the connecting rod 196. Laterally and below the jaws, there is provided a guide roller 198, on which the sparkler bears when the jaws are open.
The endless screw 116 provided on the shaft 102 is intended for the actuation of the cutting device shown on a larger scale in Figures 20 and 21. The endless screw 116 engages on a toothed ring 201, operated on a shaft. hollow 202, of short length. This shaft 202 is mounted in a cushion .203 itself secured to the frame 101. At its end the ar -
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bre 202 forms a plate 205, which has several ribs 206 on its outer face. A bracket 210 is fixed to the bearing 203, by means of bolts 208, 209. This bracket acts as a support for the two knives 211, 212.
For this purpose, four bolts 214 are provided, screwed into the caliper, and on which the knives are mounted by their grooves 215, after which the locking takes place by the nuts 217, 218, with the interposition of elastic clamping washers 216 The knives each have a circular clearance 219,220, and carry at their outer ends rods 221,222, interconnected by tension springs 223,224. On the rods 221, 222 are fixed axes 225,226 which each carry at their free end a roller 227,228, which, during the rotation of the plate 205, bears on the ribs 206. The bracket 210 has in its middle a clearance 230 , which, like the bore in tree 202, is of a diameter large enough for the candle to pass through.
The knives 211,212 are provided at their outer ends with grooves 230,231, in which they engage the pins 225,226, so that the knives are able to slide towards one another. The knife 211 also has a groove 233 intended for controlling the expulsion device, as will be seen below.
The worm 117, mounted on the shaft 102, is used for one actuation of the device intended to form the tip of the tapers. This worm 117 attacks the ring gear 220, which is keyed on the shaft 221 centered on the frame 101. The shaft 221 carries at its end a plate 222, which has at its front face an annular clearance 223. In this two heating steam pipes 225, 226, circularly bent, communicating with each other by means of a radial pipe 227. The steam is supplied by the pipe 228, which is connected to the tube 225, via the pipe. channel 230 arranged inside
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shaft 221 and plate 222.
From this point, the steam passes through the communication pipe 227 to the pipe 228, then, through the channel 231 formed in the plate 222, and the
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Pipe 232 terminates in outlet pipe 233. The gap still remaining in the annulus 223 of the tray 222, after the steam pipes have been placed, is filled with cast lead. Twelve dies 236 are then spared in the lead, by drilling, the shape of which corresponds to that of the tip of the candles that one wishes to obtain.
In the bottom of these matrices, we still pierce a channel
237, which crosses the plate 222, and serves to house the end of the wick which protrudes from the candle. Twelve tie-rods 240 are also mounted in the plate 222, comprising flats, and blocked on the plate 222 by means of the stop screws 241. On the other hand, guide channels 245 are placed on the plates. tie rods 240, and locked by means of nuts 246.
These guide channels 245 receive the sections of sparkler coming from the separating device, which arrive, rolling on the inclined planes 247. On the free ends of the tie rods 240 are mounted, in an adjustable manner, pressure fingers 250, which are applied against the dies 236, by means of springs 251. These springs bear, on the one hand, against the pressure fingers, and on the other hand, against the support washers 252, fixed to the tie rods 240 by means of nuts 253. The pressure fingers 250 carry on their internal side rollers 255, which come to bear on a ramp 256. The ramp 256 is fixed on the axis 257, which is itself fixed to a bearing 258 belonging to the frame 101, by means of the locking screw 259.
The profile of the ramp 256 is shown in FIGS. 25 and 26. At 260, the sections of the sparkler have been cut, and on which the tip is to be formed. During the rotation of the plate 222, the pressure fingers 250 are set in motion,
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by the action of the springs 251, and according to the profile of the ramp 256, in the direction of the dies 236, following which the sections 260 are forced into the heated dies 236; tips of the candles are thus obtained.
Opposite the inclined plane 247 there is another inclined plane 252 on which the tapers from the pressing device, and now completed, roll to reach the reserve containers or are otherwise accumulated.
In order to smooth the cutting surfaces of the candle, which will constitute the ends opposite the tip of the finished candle, a smoothing device is connected to the cutting device. In this, a heated plate is applied against the sectioning surface to be smoothed. This device is shown in Figures 27, 28 and 29 on a larger scale.
In the slot or groove 233 of the knife 211, a tenon 270 engages, which is connected, by a connecting piece 271, to a rod 272, capable of sliding longitudinally, so that said rod performs a reciprocating back and forth movement, at the same time as the knife 211. The rod 272 is guided in an eyelet 273, which is secured on a bearing surface 274 belonging to the frame 101. It is in this bearing area 274 that is focused tree 275; , it is fixed there by means of the stop ring 276. On the shaft 275 is introduced a bush 278, rotating on the latter, a stop ring 279 prevents this bush from performing lateral movements. .
Interposed between the bearing surface 274 and the sleeve 278 is a torsion spring 280. On the sleeve 278 is mounted a gutter 281, open at the top, and a lever 282, carrying a counterweight 283 at its free end. This counterweight 283, and the torsion spring 280, tend to hold the socket in the position at which the gutter 281 is open upwards (fig. 29). The bush 278 further carries a leaf spring 285. As the rod 272 moves in the direction of
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arrow shown in Figure 28, a stop 286, arranged on said rod strikes the leaf spring 285, drives the latter,
and rotates the socket 278 against the action of the spring 280 by lifting the counterweight 283, until it assumes the position shown in FIG. 28, in which position the gutter:? S1 is tilted.
During the continued movement of the rod 272, the spring 285 escapes the stop 286, and the sleeve 278 returns to its starting position, with the gutter 281, to resume the orientation shown in Fig.29. The stop 286 is established in such a bevelled manner, at its upper end, that, when the rod 272 returns to the rear, it can slide on the spring 285. In the extension of the axis of the gutter 281, it is made longitudinally sliding a rod 291, in a bearing surface 290 integral with the frame 101; this rod carries at its end a plate 293, heated by a steam pipe 292.
On the rod 291 is mounted a ring 295, blocked on the rod 291 by means of the stop screw 296. In addition, is mounted on the rod 291 a spiral spring 297, which is supported on the one hand against the bearing 290 , and on the other hand against the ring 296. This ring 295 has two tenons 298,298 'which engage in the slots of a fork-shaped lever 300 (fig.
10). At the other end of the lever 300 is articulated a connecting rod 301, which moves longitudinally in guides 302, 303, and carries at its free end a roller 305.
This roller bears on a ramp 306, keyed to the shaft 121. During the rotation of the ramp, the heated plate 293 is applied against the end of the candle housed in the gutter 281, and thus ensures its smoothing.
The operation of the device is as follows: The endless candle X coming from the machine A, crosses the gutter 2 traversed by water, and in which it is kept below the level of the water, thanks to rollers. guide. At
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In the event that the candle does not have sufficient hardness, or any other characteristic, it is wound on the drum 106. If it presents the required conditions, the candle coming from the machine A is introduced between the jaws of the clamping device 185 , and passed through the caliber 140, the frame 151, the caliber 141, the clamping device 186, the hollow shaft 202 of the disconnection device, and through the clearances 219-220 of the knives 211, 212, which may overlap, so that a section of the candle is brought into the gutter 281.
The machine is then put into action, whereby, due to the movement of the two knives 211 and 212, the protruding end of the candle is cut.
As this first section does not have the normal length of the candle, it is not subject to other manufacturing operations, but rather removed. The phases of manufacture succeeding one another, and following the opening of the jaws of the clamping devices 185, 186, due to the rotation of the plate 126, the advancement device is put into action.
When the candle is cut by the knives 211 and 212, the two calibers 140,141 are located completely to the left (fig. 9 and 10), the tenon 171 has hit the stop 176, and, thanks to the rotation lever 170 and fork 168, the knife 165 has been engaged in the sparkler (fig. 17).
The two calibers 140, 141, integral, then move together to the right, taking the wax with them. As a result, a portion of the length of the endless candle, corresponding to the length of the candles to be made, is pushed by the clearances of the two knives 211,212 and is placed in the gutter 281. At the same time, and by the intermediate the ramp 306, the roller 305, the connecting rod 301, and the lever 300, the rod 291 is pushed to the left (fig. 27) so that the heated plate 293 is pressed against the section of the sparkler located in the gutter 281, thanks to which this section
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is smoothed.
At the same time, the two knives 211, 212 move towards each other, so that a section of endless candle corresponding to the length of the finished candle is detached, and falls into the gutter 281 .
When the knife 211 turns back, the tenon 270 strikes the right end of the notch 233 (fig. 28) whereby, when the knife continues to move, the rod 272 moves to the left, movement which, by means of the stop 286 and the spring 285, imparts a tilting movement to the gutter 281. The section 260 which is found in this gutter is therefore rejected on the inclined plane 247, and rolls up to 'to the gutter 245, such that one of the ends of said section 260 is located opposite the matrix 236.
Thanks to the rotation of the plate 222, the pressure fingers 250 are driven by the tie rods 240, the rollers 255 roll on the ramp 256, and the pressure fingers 250 are thus moved, under the action of the springs 251, that they press the sections 260 into the dies, whereby the tip of the candle is obtained.
When the plate 222 continues to rotate in the direction of the arrow indicated in fig. 22, the pressure fingers are brought back, release the candle, and the latter falls from the gutter 245 on the inclined wall 262, out of which it arrives in a collecting container or the like.
After cutting off the sparkler section by the knives 211,212, the clamping device comes into action. By the rotation of the cam 180, the intermediary of the roller 197 and the connecting rod 196, the square bar 175 receives a rotational movement of a reduced angle, the springs 192,193 are separated from each other, strike the adjustable screws 194, whereby the levers 187,188 are set in motion, such that the jaws 189,190 approach each other and grip the candle. Meanwhile, caliber 141 has moved to the right
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of a length such that the tenon 171 has struck the stopper 177, whereby the knife 165 has been withdrawn from the candle.
The two gauges 140,141 then move to the left, and as the candle is held by the two clamping devices les, 166, the gauges slide on the candle, thanks to which it is smoothed. In case one wishes to obtain twisted candles, the gauges are provided with helical grooves, and rotate in ball bearings 160,
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while sliding on the candle. g ± ± fl4 So that, on the finished tapers teraces of the clamping device and the drive member do not remain visible, it is advantageous to adjust the clamping position in such a way 185,186, that the places of the tightened candle are used to form the tip of the candle.
Consequently, the clamping devices must be so arranged that their distance is a multiple of the length of the candles to be manufactured, and that the distance from the clamping device 186 to the plane where the two knives 211, 212 move, as well as the distance of the knife 165 to the two clamping devices at the extreme positions, ie equal to. a multiple of the length of the candles.
It is also possible, with the device described, to work simultaneously several candles conducted parallel to each other. For this purpose, it is only necessary that the jaws of the clamping device, the gauges, and the knives, correspond to the number of tapers to be worked simultaneously, and that instead of the individual dies arranged in a circle, groups are provided. such matrices. The simultaneous work of several candles led in parallel is especially interesting for the manufacture of candles for Christmas trees.
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