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pour: "Embrayage automatique pour voitures automobiles et autres applications ". l'invention vise un embrayage automatique, sans arti- oulation ni ressort, qui peut être utilisé avantageusement pour
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les voitures automobiles.oanots.maohines-outils,dynamos démarrant ' en charge, démarreurs pour moteurs quelconques et toutes autres applications industrielles
Cet embrayage est constitué essentiellement par une oouronne extensible. en matière plastique pu.métallique, reliée
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à l'arbre moteur et disposée à l'intérieur d'une cuvette qui en- toure la couronne extensible et est rendue solidaire de l'arbre récepteur .
Cette couronne extensible formant l'organe mâle de l'embrayage , est constituée par une série d'éléments radiaux, qui sous l'effet de la force centrifuge , se déplaoent vers l'ex- térieur pour venir agir dans la cuvette ou élément femelle, cette action pouvant encore être augmentée par l'élasticité même de la matière de la couronne extensible .
Lorsque l'arbre moteur tourne à faible vitesse , aucun accouplement ne se produit ; mais,dès que cette vitesse a acquis une va leur déterminée etvariable suivantl'application envisagée , la force centrifuge ,agissant sur les éléments de la oouronne extensible , provoque l'application énergique de ces élé- ments sur la paroi interne de la cuvette en réalisant ainsi un embrayage automatique fonctionnant' seul sans l'emploi de pédales ni de leviers de commande .
Dans le cas de l'application à une voiture automo- bile , la couronne extensible )pourra avantageusement être fixée au volant du meteur , soit par des broches dans le cas du type plastique ,soit par des boulons dans le cas du type métallique .
Les éléments de la couronne extensible devant ve- vir au contact de l'intérieur de la cuvette pour réaliser l'em- brayage , seront avantageusement pourvus d'une garniture de fris- tion ,telle que le ferrode, pour réaliser une bonne adhérence , entre la couronne motrise et la cuvette fixée à l'arbre récep- teur .
Le dessin oi-annexé montre , à titrer d'exemples, plusieurs modes de réalisation de l'embrayage automatique objet de l'invention.
La fig 1 de ce dessin est une coupe longitudinale
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d'un embrayage à couronne extensible en matière plastique . la fig est une vue de faoe de la couronne extensible seule la fig 3 estune vue en plan
Les fig 4 et 5 sont respectivement une coupe longitudi- nale et une vue de faoe d'une variante de l'embrayage , dans la- quelle la couronne extensible est métallique .
La f ig 6 montre une variante dans laquelle l'embrayage comporte deux blocs pivotants
Les fig 7 et 8 représentent la cuvette de l'embrayage montée folle sur l'arbre commandé portant un disque étoilé elasti- que aveo lequel sont en prise des bras ou tous solidaires de l'arbre commandé .
Les fig 9 et 10 montrent une variante du dispositif des fig 7 et 8 .
L'embrayage représenté sur les fig 1 à 3 oomprend une couronne en matière plastique en caoutchouc par exemple , fen- due radia lementsur la plus grande partie de sa longueur de ma- nière à constituer des éléments extensibles ou segments 1 ; les fentes s'étendent de a-a à b-b (voir fig 1 et 3) et les segments découpés.
tiennent par leur extrémité intérieure, à une partie non fendue 3 , s'étendant de b en c .Le plan b-b où se termi- nent les fentes radiales forme ainsi une sorte de charnière ou d'articulation pour les segments 1 la couronne élastique ainsi formée est reliée au pla- teau ou volant moteur 3 par un moyen quelconque .Dans l'exemple figuré 'cette liaison est assurée par des broches 4 fixées au a volant 3 et comportant une surépaisseur 4 qui s'encastre dans la partie non fendue de la couronne dans le but d'empêcher l'en- semble de cette dernière de se déplacer longitudinalement sur ces
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broches .
Afin de faciliter le déplacement radial des segments élastiques 1 ,1 ceux-ci sont peroés d'ouvertures ovalisées 5 ,dont la section oro it depuis le plan b-b jusqu'au plan a-a (voir figl les broches de fixation et d'entraînement oiroulaire de la couron- ne extensible sont engagées dans ces ouvertures ovalisées Un roulement à billes 6 , retenu dans la partie 2 de la couronne , sert à supporter et oentrer dans cette couronne l'extrémité de l'arbre récepteur 7 .
Sur ce dernier est oalée la cuvette d'en- traînement 8 quiconstitua l'élément femelle de l'embrayage et qui est ici de forme oylindrique .Cette ouvette pourrait égale- ment avoir toute autre forme ,telle que cylindrique ou ovoïde suivant les besoins la surface extérieure des segments élastiques 1 sera avantageusementpourvue de garnitures de frietiion 9, par exem- ple en "ferrodo", de manière à réaliser une. bonne adhérence de ces segments sur la faoe intérieure de la cuvette 8 ;
ces gar- nitures pourront être fixées à la manière élastique par un moyen.quelconque , par exemple par des vis 10 dont la tête. sera noyée dans la ma t ière pour ne pas faire saillie à l'extérieur
Le fonctionnement du dispositif ainsi établi est le suivant :
Le moteur étant mis en marche entraîne l'arbre 11 et, par suite, le volant 3 et l'ensemble de la couronne élastique par l'intermédiaire des broches 4 .
Lorsque la vitesse de rotation est faible ou telle qu'elle ne provoque qu'une très légère extension des segments 1 , aucun entraînement de l'arbre conduit 7 ne se produit .Si cette vitesse oroit et atteint une valeur préalablement déterminée ,les
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segments 1 s'écartent radialement sous l'effet de la force cen- trifuge et les garnitures de ferrodo 9 s'appliquent énergiquement sur la face interne de la cuvette 8 , oe qui réalise l'embrayage automatique entre les deux arbres .Si la vitesse de l'arbre mo- teur vient à ralentir au-dessous de la valeur fixée, les segments 1 se rapprochent du centre sous l'effet de leur élasticité , ce quiproduit automatiquement le débrayage de la cuvette 8 et, par suite de l'arbre conduit 7 .
Dans la variante représentée sur les fig 4 et 5 la couronne extensible est constituée par un disque métallique 2 fixé au volant 3 par des boulons 4 et quiest découpé de fentes radiales de manière à constituer les segments d'entra înement 1 garnis de bandes de ferrodo 9. Dans cette disposition les segment
1, seront avantageusement pourvus d'un ou de deux plis , tels que 1 destinés à aumgenter leur élasticité et faoiliter leur exten- sion radiale sous l'effet de la foroe oentrifuge .
Comme on le voit le dispositif ainsi établi constitue un appareil d'embrayage et de débrayage absolument automatique etfonctionnant sans l'emploi d'aucune commande, sous la seule action de la force oentrifuge . Il forme également un dispositif d'accouplement souple entre les deux arbres , moteur et conduit , et évite, par suite tout-à-ooup dans les transmissions , en par- ticulier lors des démarrages
Dans la variante de la fig 6 l'embrayage est constitué par deux blocs séparés 1,1 pouvant pivoter chacun sur une broche d'entraînement 4 fixée au volant moteur , pour s'appliquer sous l'action de la force centrifuge , dans l'Intérieur de la cuvette d'entraînement.
Chacun des blocs 1, 1 sera de préférence percé -de trous dans lesquels seront placés des disques de plomb 12 pour le ...
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lestage .
Comme dans le dispositif des fig. 1 à 3, la périphérie des blocs 1 , sera avantageusement pourvue de garnitures de friction 9 , les entourant entièrement ou par- tiellement .
Sur cette fig 6 l'embrayage comprend deux blocs pivotais mais il est évident qu'il pourxa être constitué avec trois bloos ou davantage
Le dispositif représenté fig7 et 8 , est destiné à créer lorsque l'on lâche la pédale d'accélérateur, un temps mort destiné à favoriser le passage des vitesses
Ce dispositif est constitué par une plaque de oaout- ohouo ou autre matière élastique 13 fixée à la cuvette 8 dé
1'embrayage qui, dans oe cas est montée folle sur l'arbre com- mandé 7 -La plaque de caoutchouc 13 porte des bras 13a,en nom- bre quelconque contre lesquels viennent appuyer des tocs 14 soli- daires d'un manohon 15 claveté sur l'arbre commandé 7 .
Lorsque l'embrayage est en fonction les blocs 1 en- traînent la cuvette 8 dans le mouvement de rotation de l'arbre moteur 11, et oe mouvement est transmis elastiquement à l'arbre commandé 7 par les bras 13 quientraînent les tous 14 solidaires de cet arbre commandé .
On comprend qu'avec un tel dispositif, lorsqu'on cesse d'appuyer sur la pétale d'accélération , il se produit un certia flottement de la cuvette d'embrayage et, par suite, un temps mort entre le contact des bras 13'et des tocs 14 qui favorise le pas- sage des vitesses .
Dans la variante montrée fig 9 et 10 les bras élasti- ques 13a sont remplacés par des tampons élastiques 13 -solidai- res de la curette d'entraînement 8 ,et les tocs 14 sont ici constitués par des lames élastiques 14 fixées au manchon 15
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solidaire de l'arbre oomtnln4é ,
Comme on le comprend* les tocs dtentratnement pour- raient être formes, par les broches mêmes de l'embrayage en ménageant alors des mortaises curvilignes allongées dans les blocs élastiques .
Au lieu d'utiliser des tocs pour la création d'un temps mort on pourrait interposer un dispositif de roué libre entre la cuvette de l'embrayage et l'arbre commandé
Les dispositifs décrits trouveront une application avantageuse pour les* voitures,automobiles , soit comme embrayage, cas
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auquelylls tao 111 terot1J:!les démarrages et le passage des vitesses soit comme accouplement automatique pour les moteurs éleotri.- ques de démarrage . 11a -sent susceptible: également de nombreuses autres applications et notamment comme organe d'embrayage pour les transmissions industrielles .
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1 - 'Embrayage automatique pour voitures automobiles et autres applications industrielles , caractérisé par le fait qu'il est constitué par une couronne extensible , en matière plastique ou Métallique reliée l'arbre moteur et disposée dans
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une cuvette d'entra1nement qui l'enveloppe et est rendue soliclalz