BE1004909A3 - Parapluie a ouverture automatique. - Google Patents

Abstract

l'invention concerne un parapluie à ouverture automatique comprenant un manche, ainsi qu'un coulisseau principal et un coulisseau auxiliaire pour l'actionnement de l'armature de la couverture qui peut être ouverte automatiquement au moyen d'un ressort de compression monté entre ces deux coulisseaux et fermée manuellement en tirant vers le bas une noix qui coulisse sur le manche, les coulisseaux principal et auxiliaire étant montés sur la noix en pouvant coulisser de façon limitée, et la noix pouvant être reliée au coulisseau auxiliaire par un taquet d'entrainement lors de la fermeture de la couverture, et verrouillée sur un arrêtoir ménagé sur la poignée du parapluie lorsque la couverture est fermée. Ce parapluie est caractérisé par le fait qu'aussi bien le coulisseau principal (6) que le coulisseau auxiliaire (1) sont montés sur la noix (2) en pouvant en outre tourner. Application aux parapluies automatiques.

Description

Parapluie à ouverture automatique L'invention concerne un parapluie à ouverture automatique comprenant un manche en une seule pièce au télescopique, ainsi qu'un coulisseau principal et un coulisseau auxiliaire pour 11actionnement de l'armature de la couverture qui peut être ouverte automatiquement au moyen d1 un ressort de compression monté entre ces deux coulisseaux et fermée manuellement en tirant vers le bas une noix qui est guidée en coulissement sur le manche, le coulisseau principal et le coulisseau auxiliaire étant montés sur la noix en pouvant coulisser de manière limitée, et la noix pouvant être reliée au coulisseau auxiliaire en 1 * entraînant en déplacement grâce à un taquet d'entraînement lors de la fermeture de la couverture, et pouvant être verrouillée sur un arrêtair ménagé sur la poignée du parapluie lorsque la couverture est fermée.

De tels parapluies sont déjà connus, par exemple par le brevet des Etats-Unis n* 1.067.435 ; ils peuvent être ouverts rapidement en cas de besoin et, en outre, on neut les fermer facilement ex en épargnant ses farces grâce à l'action manuelle sur le coulisseau auxiliaire qui est disposé sur le coulisseau principal. Ces parapluies se sont donc avérés jusqu'alors comme étant très pratiques. Toutefois, ce mode de construction présente aussi un inconvénient important. En effet, le ressort d'ouverture produit aussi un effet secondaire très désagréable en ce sens qu'il développe à ses extrémités des forces de torsion importantes et opposées, et il en resuite que les deux coulisseaux sont également impliqués dans des rotations correspondantes autour de l'axe du manche, de sorte que, pour finir, la précision de la coïncidence angulaire des positions en parallèle des moyens d'arrêt, entre la noix des coulisseaux, d'une part, et sa position finale sur la paignee du paraoluie lorsque de ce dernier est ferme, d'autre part, vient à diverger. Peur résoudre ce problème, le coulisseau principal du paraDluie selon le brevet précité est guide sur la noix en pouvant tourner et coulisser. Ceci ne supprime toutefois pas la rotation de la noix par lesdites forces de torsion, de sorte que l'on ne peut pas garantir que le cliquet situé sur la noix trouvera, dans la position fermée de la couverture du parapluie, la prise angulairement exacte qui est nécessaire sur·1'arrêtoir du côté du manche.

On connaît en outre par le brevet allemand n* 732.465 un parapluie du genre spécifié au début dans lequel le coulisseau principal est monté tournant sur la noix. En outre, le coulisseau principal et le coulisseau auxiliaire sont guidés en coulissement sur la noix. Toutefois, le coulisseau auxiliaire est monté sur celle-ci sans pouvoir tourner, du fait qu'il est monté mobile sur la noix parallè lement à. l'axe au moyen d'une fente et d'une tige solidaire de la noix. Il est vrai que ceci exclut la rotation du coulisseau auxiliaire par rapport à la noix, mais non une torsion de ces deux organes par rapport au manche ou, respectivement, par rapport à l’arrêtoir de la noix qui est situé du côté du manche ou de la poignée, respectivement, dans la position fermée de la couverture du parapluie. En conséquence, ce ci ne garantit pas non plus que la noix puisse être encliquetée dans 1'arrêtoir en coïncidence angulairement exacte.

Enfin, on connaît encore par le brevet autrichien n* 193.039 un parapluie du genre spécifié au début dans lequel le coulisseau auxiliaire est disposé sur la noix en pouvant tourner et coulisser. De ce fait, la torsion est directement transmise à l'armature de la couverture par le coulisseau principal, là aussi, avec las mêmes effets négatifs qui ont déjà été décrits.

Le but de l'invention est de perfectionner ex de simplifier- un parapluie du genre défini au début de -elle manière qu'il puisse être fabrique plus facilement en serie et que, par ailleurs, son fonctionnement soit aussi plus fiable grâce à l'élimination de l'effet décrit plus haut des forces de torsion du ressort sur la noix, en particulier sans coûts de production supplémentaires.

Selon l'invention, ce but est atteint grâce au fait qu'aussi bien le coulisseau principal que le coulisseau auxiliaire sont montés sur la noix en pouvant en outre tourner. On crée ainsi un parapluie à ouverture automatique dans lequel la noix n'entre en liaison d'entraînement avec le coulisseau auxiliaire que lors de la fermeture du parapluie. Par ailleurs, toute liaison en rotation ou en traction entre le coulisseau auxiliaire, et aussi le coulisseau principal, d'une part, et la noix d'autre part, est supprimée. La noix est donc aussi désaccouplée des forces de torsion du ressort de compression, et comme elle est ainsi également libre dans son alignement parallèle au manche, ceci permet aussi une structure et un montage très simples des coulisseaux et de la noix en liaison avec un cliquet monté sur celle-ci, et aussi, par ailleurs, une simplification importante du maniement du parapluie grâce à la coïncidence ainsi assurée entre la noix et l'arrêtoir aui m est situé du côté du manche ou de la poignée, respectivement .

Une forme de réalisation particulièrement avantageuse de l'invention, en particulier en liaison avec un parapluie à ouverture automatique du type rétractable, résulte de ce que le coulisseau principal et le coulisseau auxiliaire sont mobiles, entre le taquet d'entraînement qui est réalisé sous la forme d'un épaulement annulaire et un collet de préhension ménagé sur la noix, à l'intérieur d'un trajet de coulissement et de rotation dont la langueur est telle aue l'armature de la couverture puisse être raccourcie d* une langueur supplémentaire avec le manche telescopique dans l'état fermé et verrouillé.

Une conformation particulièrement simple et de fonctionnement sûr du parapluie selon l'invention peut être obtenue grâce au fait que le collet de préhension constitue par son bord inférieur, dans l’état ferme du parapluie, une limitation pour la pénétration de la noix dans la poignée du parapluie ou dans l'arrêtoir du côté de la poignée, respectivement, cette limitation venant en butée sur la poignée du parapluie, et au fait que la noix s'encliquette au moyen d'une rainure annulaire dans l'arrêtoir disposé sur la poignée du parapluie.

Selon une autre caractéristique avantageuse de l'invention, il peut être prévu en outre que le dispositif d'arrêt comporte un verrou qui entoure annulairement la rainure annulaire de la noix, qui s'encliquette sous l'action d'un ressort dans cette rainure annulaire et qui peut être dégagé de celle-ci au moyen d'un poussoir à l'encontre de l'effet du ressort.

Enfin, une conformation particulièrement simple et un montage facile de la noix sont possibles, selon un autre développement avantageux de l'invention, grâce au fait que la noix est munie de fentes parallèles à l'axe à son extrémité supérieure qui porte le taquet d'entraînement.

La description qui va suivre, et qui ne présente aucun caractère limitatif, permettra de bien comprendre comment la présente invention peut être mise en pratique. Elle doit être lue en regard des dessins annexés, parmi lesquels: - La figure 1 montre un parapluie à ouverture automatique du type rétractable dont la couverture est ouverte ;

La figure 2 montre ce parapluie lorsqu'il est fermé ; - La figure 3 représente, en vue en coupe longitudinale selon la ligne B-B de la figure 2, l'extrémité du parapluie qui est située du côté de la poignée ; et : - La figure 4 représente cette extrémité en vue en coupe transversale selon la ligne C-C de la figure 3.

L' invention peut être mise en oeuvre sur tous les parapluies du type à ouverture automatique dont la couverture ou l'armature D de la couverture, respectivement, s'ouvre automatiquemenn au moyen d'un ressort de compression F et se ferme manuellement en tirant vers le bas une noix 2 qui est en prise avec le coulisseau auxiliaire 1 de l'armature D de la couverture. Par conséquent, un tel parapluie peut être du type rétractable ou non et comprendre un manche 3 qui est rigide ou télescopique, ainsi qu'une armature D de la couverture que l'on peut simplement replier, mais que l'on peut aussi, en outre, raccourcir encore le cas échéant.

Un rond 4 est monté à l'extrémité supérieure du manche 3, et la poignée 5 du parapluie est montée à son extrémité inférieure. Les branches D' de l'armature D qui portent la couverture b sont articulées sur le rond 4 et appuyées sur des coulants d qui sont à leur tour articulés sur le coulisseau principal 6 et sur le coulisseau auxiliaire 1. Le ressort de compression F est serré entre ces deux coulisseaux 1, 6, et il a tendance à les écarter l'un de l'autre, dans le sens de l'effet de poussée qui est connu en soi dans les parapluies du genre spécifié au début, depuis la position selon la figure 2 où les coulisseaux sont proches de la poignée, jusqu'à la position d'ouverture représentée en traits pleins sur la figure 1. A parxir de cette position d'ouverture, et lorsque le parapluie n'est pas utilisé, on fait repasser manuellement la couverture D du parapluie dans la position fermée selon la figure 2 au moyen de la noix 2 en saisissant celle-ci par un collet de préhension 2b et en la tirant vers le bas sur le manche 3 jusqu'à la poignée 5 du parapluie. Comme la noix 2 est en outre en prise avec le coulisseau auxiliaire 1, l'opération de fermeture peut être réalisée facilement, et donc en dépensant peu de forces.

Afin de pouvoir actionner en conséquence le coulisseau auxiliaire 1 qui est situé au-dessus du coulisseau principal 6,- et donc inaccessible, la noix 2 qui est guidée sur le manche 3 passe en coulissant, de manière connue, à travers le coulisseau principal o. Selon l'invention, toutefois, la noix 2 n'est pas reliée positivement au coulisseau auxiliaire 1 et, au contraire, elle passe à travers celui-ci, comme aussi à travers le coulisseau principal 6, en pouvant tourner et coulisser librement, et elle ne peut être reliée au coulisseau auxiliaire 1 que par un taquet d'entraînement 2a dans un mouvement d'entraînement unilatéral en direction de la poignée 5 du parapluie.

Les deux coulisseaux 1 et 6 et la noix 2 peuvent coulisser et tourner les uns par rapport aux autres à l'intérieur d'un trajet de coulissement L qui s'étend entre le taquet d'entraînement 2a et le collet de préhension 2b. Le taquet d'entraînement 2a peut présenter la forme d'un épaulement annulaire formé à l'extrémité supérieure ce la noix 2 et pouvant pénétrer jusqu'à venir en butée dans un enfoncement approprié lb d'un logement cylindrique la du coulisseau auxiliaire 1 qui reçoit le ressort de compression F. Dans cette position enfoncée en butée sur le coulisseau auxiliaire 1, et lorsque la couverture D est ouverte, la noix 2 poussée par le ressort repose vers le haut sur le rond 4 ou sur une bague d* écartement ou un amortisseur 60 disposé au-dessous du rond 4.

Sur l'extrémité inférieure 2c rétrécie en forma de cône de la noix 2 est formé un cliquet annulaire qui agit donc sur un cercle complet, et qui présente la forme d'une rainure annulaire 2d par laquelle la noix 2, dans l'état fermé et verrouillé du parapluie, s'encliquette dans un verrou annulaire 7 de l'arrêtoir A ménagé dans la poignee 5 du parapluie. Le verrou 7 entoure le manche 3 dans un guidage de coulissement qui s'étend perpendiculairement à celui-ci dans la poignée 5 du parapluie, et il peut être effacé de la rainure annulaire 2d à l'encontre d'un ressort 7b au moyen d'un poussoir 7a. Dans son guidage et son positionnement selon la figure 4, le verrou 7 s'appuie dans la poignée 5 du parapluie au moyen d'arêtes de butee 7c. de telle manière qu'il puisse executer, entre les arêtes de butée 7c et une paroi 7d, une course correspondant au mouvement du déclencheur en prise annulaire autour du manche 3 et auteur de la rainure annulaire 2d. La noix 2 peut repousser le verrou 7 par son bord arrière 7e contre la paroi 7d à. l'aide de l'extrémité conique 2c lorsqu'elle pénètre dans l'espace creux 5a de la poignée 5 du parapluie, et s'eneli-queter dans le verrou 7 par sa rainure annulaire 2c. Dans cette position de verrouillage, le collet de préhension 2b de la noix 2 peut venir en butée par son bord inférieur 2b' sur la poignée 5 du parapluie et constituer ainsi une limitation rigide de la pénétration de la noix 2 dans la poignée 5 du parapluie ou dans l'arrêtoir A, respectivement.

Comme la noix 2 doit être adaptée à l'extension maximale du ressort de compression F et à l'écartement maximal des deux coulisseaux 1 et 6, elle suppose pour ceux-ci un trajet de coulissement relativement long. Lorsque le parapluie est fermé et que le ressort de compression F est comprimé, on obtient pour cette raison la grande distance représentée sur la figure 2 depuis les coulisseaux 1 et 6 jusqu'à la poignée 5 du parapluie, et donc aussi depuis l'armature D de la couverture et ses branches D' jusqu'à l'extrémité de la poignée 5 du parapluie. Du fait de cette distance, on obtient aussi la distance L' de la figure 2 entre le coulisseau principal 6 et le collet de préhension 2b de la noix 2. Selon la dimension donnée en longueur à la noix 2, cette longueur L' ou la distance précitée, respectivement, peut être utilisée pour un raccourcissement supplémentaire correspondant du parapluie fermé et verrouillé, du fait que cette partie inférieure comprenant la poignée 5 du parapluie et la partie supérieure du parapluie avec l'armature D de la couverture et le manche 3 peuvent être poussées l'une vers l'autre jusqu'à ce que le coulisseau principal 6 et le collet de préhension 2b viennent en contact l'un avec l'autre. Le parapluie prend alors la position représentée en traits mixtes sur la figure 1 qui correspond à son raccourcissement maximal où les extrémités des branches D' sont poussées vers la bas presque jusqu'à l'extrémité de la pcignee 5 du parapluie. L'extrémité supérieure de la noix 2 fait alors librement saillie vers le haut par le taquet d'entraînement 2a, hors du logement la du ressort ménagé dans le coulisseau auxiliaire 1, et en correspondance avec la longueur du raccourcissement supplémentaire.

A son extrémité supérieure qui porte le taquet d'entraînement 2a, la noix peut être munie de fentes 2e découpées parallèlement à l'axe, et, de cette manière, elle peut être introduite très simplement à travers les deux coulisseaux 1 et 6. L'extrémité fendue peut ainsi être introduite à travers les coulisseaux 1 et 6 alors qu'elle est resserrée élastiquement, et elle s'élargit à nouveau avec le taquet d'entraînement 2a pour présenter le contour de sortie nécessaire après son passage à travers le coulisseau auxiliaire 1. En vue de ce montage, la noix 2 peut toutefois être également munie d'un collet de préhension 2b qui peut être enfoncé et qui est fixé par une tige transversale 2e' ou par collage.

Claims (5)

1. Parapluie à ouverture automatique comprenant un manclia en une seule pièce ou télescopique, ainsi qu'un coulisseau principal et un coulisseau auxiliaire pour 1'actionnement de l'armature de la couverture qui peut être ouverte automatiquement au moyen d'un ressort de compression monté entre ces deux coulisseaux et fermée manuellement en 'a tirant vers le bas une noix qui est guidée en coulissement sur le manche, le coulisseau principal et le coulisseau auxiliaire étant montés sur la noix en pouvant coulisser de manière limitée, et la noix pouvant être reliée au coulisseau auxiliaire en l'entraînant en déplacement grâce à un taquet d'entraînement lors de la fermeture de la couverture, et pouvant être verrouillée sur un arrêtoir ménagé sur la poignée du parapluie lorsque la couverture est fermée, caractérisé par le fait qu'aussi bien le coulisseau principal (6) que le coulisseau auxiliaire (1) sont montés sur la noix (2) en pouvant en outre tourner.

2. Parapluie à ouverture automatique selon la revendication 1, caractérisé par le fait que le coulisseau principal (6) et le coulisseau auxiliaire <1> sont mobiles, entre le taquet d'entraînement (2a) qui est réalisé sous la forme d'un épaulement annulaire et un collet de préhension (2b) ménagé sur la noix (2), à l'intérieur d'un trajet de coulissement et de rotation dont la longueur <L) est telle que l'armature CD) de la couverture puisse être raccourcie d'une langueur supplémentaire (L') avec le manche télescopique (3) dans l'état fermé et verrouillé.

3. Parapluie à ouverture automatique selon la revendication 2, caractérisé par le fait que le collet de préhension (2b) constitue par son bord inférieur (2b‘), dans l'état fermé du parapluie, une limitation pour la pénétration de la noix (2) dans la poignée (5) du parapluie, cexte limitation venant en butée sur la poignée <5) du parapluie, et par le fait que la noix <2> s'encliquette au moyen d'une rainure annulaire <2d) dans l'arrêtoir CA) disposé sur la poignée (5) du parapluie.

4. Parapluie à ouverture automatique selon la revendication 3, caractérisé par le fait que le dispositif d'arrêt CA) comporte un verrou C7) qui entoure annulairement la rainure annulaire <2d> de la noix <2), qui s* encliquette sous l'action d'un ressort dans cette rainure annulaire <2d> et qui peut être dégagé de celle-ci au moyen d'un poussoir C7a) à Rencontre de l'effet du ressort.

5. Parapluie à ouverture automatique selon l'une quelconque des revendications 1 et 2, caractérisé par le fait que la noix <2) est munie de fentes <2e) parallèles à l'axe à son extrémité supérieure qui porte le taquet d'entraînement (2a). ’