PLATE-FORME DE MESURE DE LA POSITION DU CENTRE DE GRANITE CHEZ UN SUJET DEBOUT.
La présente invention concerne un dispositif ayant pour but de mesurer la position et les excursions du centre de gravité d'un sujet debout sur ledit dispositif. Le secteur technique de l'invention est le domaine, mais pas uniquement, de la réalisation de matériel d'évaluation et de rééducation des sujets atteints de troubles de la posture.
Le procédé et dispositif de la présente invention est utilisable dans toute application, où une détermination du centre de masses, de forces ou de poussées dans un plan est recherchée.
Cependant, pour simplifier la présentation de l'art antérieur, on citera ci-après essentiellement les références aux applications de posturologie ou de stabilométrie.
En 1985, l'Association Française de Posturologie (A.F.P.) fondée par le docteur P.M. GAGEY édite des normes pour la fabrication d'une plate-forme de posturologie. Pour l'étude plus approfondie de ces normes, on pourra se référer utiliment à la publication assez complète sur le sujet, dans les huit leçons de posturologie éditées par 1Α.F.P.
La plate-forme de posturologie décrite par l' A.F.P. fait l'objet de recommandations qui portent essentiellement sur la dimension du plateau supérieur, sur le nombre et la disposition des capteurs, les autres choix sont laissés à l'appréciation des fabricants. Ces choix concernent par exemple ; les capteurs de force, la hauteur de la plate-forme, le type de liaison, les cale-pieds, la couleur, l'électronique, etc.
Le principe de détermination du centre des forces de la plate-forme aux normes A.F.P., repose sur la mesure de trois forces de réaction du support sur lequel le sujet se tient debout.
Lesdites forces, selon les normes A.F.P., sont mesurées par des capteurs de force disposés de façon très précise pour former les trois sommets d'un triangle équi latéral de 400 mm de côté.
Selon ce mode de détermination du centre des pressions exercées par un sujet debout sur ce type de plate-forme, on calcule les coordonnées dudit centre par une formule qui
prend en considération l'intensité de chacune des trois forces, ainsi que le lieu géométrique de leur point d'application. Afin de faciliter la compréhension de ce mode de calcul, une illustration est donnée planche 1, avec des poids : Pi = 10 kg, P2 = 20 kg et P3 = 40 kg attachés respectivement aux capteurs des sommets A, B, C du triangle équilatéral ainsi défini : la taille des flèches qui symbolisent les appuis est en rapport avec les poids correspondants. On démontre que les coordonnées X et Y du centre des trois forces exercées par lesdits poids sont donnés par les relations :
_ P3 - P2) γ _ iV3(2Pj - (P2 + P3))
2PT ' 6PT
avec 1=AB=BC=AC=400 mm et Pτ = Pι+P2+P3 Si l'on remplace dans les relations ci-dessus, les variables par les valeurs numériques données en exemple, on trouve : X = 57,14 mm et Y = 66 mm.
Les coordonnées de ce centre des forces sont rapportées à un repère orthonormé x O y dont l'origine O est située au barycentre du triangle équilatéral. Mais il est aisé par simple calcul de transformation de repère de rapporter le centre des pressions à un référentiel attaché aux pieds du sujet par exemple à condition toutefois de placer correctement le sujet dans ce nouveau référentiel. Dans ce mode de calcul, on dispose de cale-pieds amovibles sur la plate-forme sur lesquels le sujet vient se positionner.
Pour donner une idée précise de la pertinence de l'invention, il est opportun de préciser l'état de la technique antérieure faisant ressortir les problèmes techniques posés. Selon une première fabrication prototype non commercialisée, les transducteurs de force étaient des cellules de compression. Chaque cellule (figure 1) est composée de trois poutres transversales formant un "Z" : les faces externes de la poutre inférieure et de la poutre supérieure sont les deux plans d'application des forces de compression qui soumettent la poutre centrale (2) à un couple de torsion. La flexion de ladite poutre, sous l'effet dudit couple, est traduite électriquement grâce à un jeu de jauges de déformation résistives (3) collées sur la partie flexible de ladite poutre.
La déformation d'un tel capteur sous l'action des forces de compression est perpendiculaire aux plans de compression (4) et (5). Pour pouvoir déterminer de façon précise les coordonnées X et Y de la résultante des forces exercées sur la plate-forme, les surfaces d'appui des trois cellules rigoureusement disposées au sommet du triangle
équilatéral devront être aussi ponctuelles que possible. Dans une première réalisation prototype, la base des cellules était fixée sur le fond de la plate-forme (4) alors que la partie supérieure était surmontée d'une pointe en acier dur (6). La plaque de dessus (5) de la plate-forme reposait sur les pointes des trois capteurs par l'intermédiaire de crapaudines en acier dur représentées sur le dessin figure 1 par une cuvette. La plaque de dessus n'est libre que dans la direction perpendiculaire au plan des plaques (un degré de liberté) ce qui correspond à cinq liaisons sur les six pour réaliser une immobilisation complète des deux plaques. Les plates-formes construites selon ce principe, présentaient quelques inconvénients : - hauteur trop importante (supérieure à 10 cm) de la plate-forme rendant son utilisation périlleuse en cas de chute chez des sujets instables ;
- du fait de ses cinq liaisons mécaniques, les déformations qu'elles soient d'origine thermique ou qu'elles soient induites par la charge, ne peuvent s'exprimer, il en résulte des tensions latérales de cisaillement au niveau des contacts point e-crapaudine qui faussent la mesure ;
- prix de revient et rapport qualité prix trop élevés ;
- erreur de Kode ainsi qu'elle est définie ci-après ;
Un sujet debout est assimilable à un pendule inversé, en rotation autour de l'axe de la cheville. Il existe une erreur dans la mesure du moment mécanique exercé par le sujet debout sur la plate-forme. Cette erreur selon les calculs de Kode (Kode L., 1978) est proportionnelle au produit de la résultante des forces latérales et de la distance entre le plan horizontal contenant les axes des chevilles et le plan horizontal défini par le plan de portée des capteurs. Nous appellerons pour simplifier, cette erreur : "erreur de Kode". Cette erreur est nulle si les capteurs sont sur le même plan horizontal qui contient l'axe des chevilles.
Dans une réalisation différente qui a donné lieu à une commercialisation à partir de 1992, par la Société Dynatronic, les transducteurs utilisés (figure 2) étaient à poutre de flexion simple et à moment constant, identiques à ceux utilisés pour la réalisation de balances électroniques. La base des poutres était mécaniquement fixée sur le fond (4) tandis que les extrémités en principe mobiles étaient fixées sur la plaque de dessus (5) toujours aux points d'exercices, le tout formant les trois sommets du triangle équilatéral
tel qu'il est montré figure 4. Une telle réalisation rendait solidaires les deux plaques dans les six degrés de liberté possibles. La figure 3 montre une vue de côté qui rend compte de l'immobilisation relative des deux plaques. Ces plates-formes à poutre simple étaient moins épaisses et moins chères mais présentaient les inconvénients suivants :
- moins fiables et moins précises à cause des liaisons qui ne permettaient pas de réaliser pleinement une déformation dans la direction de la force ;
- à l'erreur de mesure qui augmentait avec la charge s'ajoutaient les inévitables dérives dues à la dilatation qui ne peut s'exprimer ; - erreur de géométrie par indétermination du point d'application exact des forces à cause de l'importance de la surface de contact qui ne peut pas être considérée comme ponctuelle.
Dans une réalisation différente (planche 3), qui utilise aussi des capteurs à poutre de flexion simple, des solutions ont été apportées pour libérer la plaque de dessus (5) des contraintes axiales et latérales par l'adoption du Principe de Lord Kelvin "Trou-Trait- Plan (T.T.P.)" aux trois liaisons avec la plaque de dessus (5). Dans ce type de montage, les extrémités mobiles des capteurs sont surmontées d'un contact mécanique en forme de pointe à bout arrondi ou d'une bille en acier incrustée, non représentée ici, alors que la face interne de la plaque de dessus (5), présente trois portées, rapportées, en acier dur selon une même disposition que les capteurs. Une des portées rapportées est un trou (7), pour loger un des contacts, une autre portée est un sillon (8), le long duquel le contact peut se mouvoir : la figure 6 montre une coupe selon N-N de ce sillon. La troisième portée est un plan (9), sur lequel le contact peut se mouvoir dans toutes les directions. La plaque de dessus (5) est immobilisée en translation et en rotation latérale par rapport à la plaque de dessous (4). Cette conception de l'iso statisme est illustrée par les coupes N-N (figure 6) et M-M (figure 7). Ces plates-formes commercialisées par la Société QFP à Mougins et la Société SATEL à Toulouse sont sensibles et précises aux faibles charges mais présentent quelques inconvénients :
- plate-forme plus épaisse (plus de 8 cm) à cause de l'ajout de pointes et de surfaces rapportées pour réaliser le "T.T.P. ", les risques de chute sont plus conséquents ;
- modification géométrique du lieu des appuis avec la charge à cause de la flexion des poutres, ce qui se traduit par une erreur de géométrie ;
- les forces latérales de friction induisent des points durs ce qui se traduit par des seuils et des hystérésis surtout pour d'importantes charges ; - réalisation et fabrication plus complexes ;
- prix et rapport qualité prix élevés ;
- erreur de Kode non négligeable.
Dans d'autres réalisations, les capteurs utilisés sont de type piézo-électrique à base de quartz ou de céramique. Ces capteurs, qui peuvent être miniaturisés présentent l'inconvénient majeur de dériver électriquement et ne conviennent donc pas à la mesure du centre de pressions de pièces statiques ou en mouvement lent. On peut citer pour ce type de fabrication, la plate-forme de la Société suisse "KISLER".
Une solution aux problèmes posés ci-dessus est un procédé de mesure du centre des forces à partir d'au moins trois transducteurs de forces d'un type différent de ceux cités ci-dessus et d'une disposition mécanique particulière afin de simplifier la fabrication et de s'affranchir des contraintes mécaniques parasites tout en conférant une bonne précision à la plate-forme.
Selon l'invention, le corps de la plate-forme est constitué de deux plaques faites d'un matériau de haute raideur : de l'aluminium AU4G de 10 mm d'épaisseur par exemple, prenant en sandwich suivant une disposition mécanique particulière les capteurs et incorporant toute l'électronique de mise en œuvre de cesdits capteurs.
Le capteur de force utilisé dans cette invention (planche 4) présente la caractéristique d'être aussi petit qu'une pièce de monnaie puisque son diamètre d = 16,5 mm, sa hauteur h = 5,4 mm. Ledit capteur est en outre à déformation axiale et supporte une charge maximale de 150 kg.
Ledit capteur présente au centre de sa face active un téton cylindrique (10) de longueur 1 = 1 mm et de diamètre t = 1,2 mm, sur lequel doit s'exercer la force à mesurer Le câble d'excitation et de mesure du capteur a un diamètre f = 1,5 mm.
La base (11) dudit capteur peut être simplement posée ou collée sur la plaque de fond (4) du bâti fixe. On peut aussi pratiquer sur la plaque de fond (4), un léger chambrage
pour y loger la base des capteurs afin de faciliter leur positionnement. La plaque de dessus (5) repose sur les tétons (10) des capteurs par l'intermédiaire de vis "cuvette" (12) sans tête, en acier dur.
La profondeur de la cuvette ainsi que son diamètre sont ajustés de telle sorte à recouvrir la tête du téton du capteur sans talonner la base dudit téton.
Le trou de la cuvette est légèrement évasé pour permettre une mise en place rapide de la plaque de dessus (5) sur les capteurs. Le fond du trou de cuvette est d'un diamètre légèrement supérieur à celui du téton afin d'éviter un serrage tout en conservant un alignement précis de l'axe du capteur avec l'axe des vis "cuvette". Outre leur fonction première qui est de recevoir la tête des capteurs, ces vis "cuvette" permettent un ajustage précis de la hauteur de la plaque de dessus (5) par rapport à la plaque de dessous (4). Une hauteur de plate-forme e = 25 mm par exemple, avec des plaques (4) et (5) de 10 mm d'épaisseur est facile à obtenir. L'assiette du plateau supérieur (5) peut être aussi aisément réglée à convenance par ces mêmes vis, de même que la répartition du poids dudit plateau sur les capteurs, si besoin.
Ainsi il est possible par ce procédé de concevoir des plates-formes avec plus de trois capteurs, dès lors que l'on pourra très précisément ajuster la pression sur tous les points de contact pour mieux répartir les forces et rattraper les défauts de planéité. Dans le type de réalisation qui fait l'objet de l'invention, il est à remarquer que la base des capteurs (planche 5) est laissée assez libre sur son assise (fond de la plate-forme 4) alors que dans tous les cas, les têtes des capteurs restent rigoureusement attachées à leurs logements, dans les vis "cuvette" (12). La précision du lieu d'application des forces de réaction n'est déterminée que par la précision du perçage pour loger les vis "cuvette". Ainsi, un décalage latéral d'une plaque par rapport à l'autre n'a pas d'effet sur la précision de la mesure.
Cependant, afin de faciliter le transport de la plate-forme il est préférable de solidariser les deux plaques à l'aide d'une ou plusieurs vis de bridage (13). Ces vis devront néanmoins permettre un léger jeu axial et transversal (14) d'une plaque par rapport à l'autre afin d'éviter toute friction qui entraverait la déformation axiale induite par la charge.
Pour ce faire, on disposera d'une ou de plusieurs vis de liaison qui prendraient en sandwich les deux plaques sans les serrer grâce à une entretoise de butée ou par l'utilisation de vis épaulées (13). Dans une autre réalisation, il a été possible de réduire ce jeu par l'utilisation de ressort (15) comme cela est illustré figure 14. Ledit ressort exerce une force qui vient tirer la plaque de dessous (4) vers la plaque de dessus (5) pour maintenir fermement en sandwich les capteurs (11) sans entraver leur déformation.
Dans le mode de réalisation, mais pas le seul, qui est du domaine de la stabilométrie, les plateaux inférieurs (4) et supérieurs (5) seront de dimension suffisante pour inclure les pieds d'un sujet debout en position de repos. Par exemple, des plaques de 500 mm de côté seront suffisantes. Dans ladite position, selon la littérature, les pieds forment un angle d'environ 30 degrés avec des talons non-jointifs espacés de 2 centimètres. Dans cette position standardisée, il pourra être utile de disposer de cale-pieds amovibles (18) mais pas nécessairement, afin de rapporter la mesure des placements du centre de pressions dans un référentiel lié au polygone de sustentation qui est défini par les lieux des appuis externes des pieds, ainsi qu'il est souhaité par les recommandations de l'Association française de Posturologie (Normes AFP-85), ledit cale-pieds (18) sera avantageusement fixé sur le plateau supérieur à l'aide d'au moins deux piges de centrage qui facilitent sa mise en place et son extraction rapide. A titre d'exemple non limitatif, les trous de centrage pourront se situer sur la base du triangle équilatéral matérialisé par le lieu de contact avec les trois capteurs (1 1).
La stabilité de la plate-forme posée sur le sol pourra être assurée par exemple à l'aide d'au moins trois vérins réglables non représentés ici et qui sont vissés sur le plateau inférieur (4). L'emplacement de ces vérins devra si possible se situer à l'aplomb des capteurs pour éviter les torsions du plateau inférieur sous l'effet d'une charge. Lesdits vérins serviront aussi à régler l'horizontalité de la plate-forme afin de permettre une mesure non-biaisée du centre de pressions. A ce titre, on pourra s'aider avantageusement d'un niveau à bulle (20), qui peut être par exemple incrusté dans un coin du plateau supérieur (5). Dans une des réalisations selon l'invention, l'électronique (16) de mise en œuvre des capteurs est placée entre les deux plateaux, proche desdits capteurs, de façon à assurer un cheminement non-bruité du signal.
L'information, mise en forme par la carte électronique (16) est transmise par l'intermédiaire du connecteur (17) à un mode d'affichage et de traitement non visualisé ici, et qui pourra être par exemple, un ordinateur.
Dans un mode de réalisation d'une interface électronique, la figure 18 illustre ici un exemple non limitatif, constitué d'une platine d'amplification (25) pour trois capteurs à ponts de jauges résistifs (30). Les ponts de jauges (30) sont alimentés par un dispositif d'alimentation (31). L'interface (26) est un dispositif du commerce bien connu, appelé microcontrôleur à circuits intégrés. Ledit microcontrôleur intègre entre autres, les fonctions de conversions, de signaux analogiques en signaux digitaux et les fonctions d'interfaçage de communication du type par exemple communication série bien connu des électroniciens. Dans cette réalisation, le circuit (27) et le circuit (28) sont des circuits d'isolement galvanique selon ce mode de communication et permettent d'isoler électriquement la plate-forme pour des raisons de sécurité. Le circuit (27), convoie l'information de sortie vers le dispositif (29) de traitement et d'affichage qui peut être un ordinateur, tandis que le circuit (28) reçoit, selon ce même mode de communication, l'information en provenance du dispositif (29). Le dispositif d'alimentation en énergie provient soit du secteur au travers d'un transformateur d'isolement, conformément aux normes européennes, soit d'une batterie autonome.
Dans un mode de réalisation, mais pas le seul, du dispositif électronique de mise en œuvre et de gestion des capteurs de force, l'alimentation (31) est une batterie éventuellement rechargeable, embarquée dans la plate-forme. Dans ce mode de réalisation il est avantageux de préserver l'énergie, notamment celle qui est fournie pour les ponts de jauges des capteurs. Selon ce mode, l'alimentation desdites jauges est continue ou interrompue, de sorte que l'énergie n'est fournie qu'au moment du recueil du signal de mesure. Selon ce mode, le microcontrôleur (26), génère aussi les impulsions d'énergie en cadence avec le recueil du signal.
Dans un mode de réalisation, mais pas le seul, la transmission des données vers le dispositif de traitement et d'affichage, la communication entre le dispositif (26) et le dispositif (29), se fait par voie hertzienne ou par voie optique. Selon ces modes, le dispositif (27) est un émetteur radio ou un émetteur infrarouge et le dispositif (28) est un récepteur radio ou un récepteur infrarouge.
Pour des raisons d'esthétique et d'isolement électrique entre la plaque métallique (5) et les pieds du sujet, il convient d'interposer, entre ladite plaque et lesdits pieds, une plaque ou un capot de matière non-conductrice d'électricité ou tout revêtement susceptible de remplir cette fonction d'isolement. Un exemple de réalisation de capot (21) en matière plastique est donné figure 17. Le dessus dudit capot est dans cette réalisation, sérigraphié et percé (23) pour laisser apparaître le niveau à bulle incrusté sur la plaque (5) et laisser le passage (24) pour les piges de centrage (19) du cale-pieds (18). La sérigraphie représente dans cette réalisation un certain positionnement des pieds (22), mais pas uniquement celui-ci. Des graduations sont rapportées pour permettre la lecture de la pointure du sujet.