Dispositif d'assemblage de deux objets.
La présente invention concerne un dispositif d'assemblage de deux objets ainsi que des corps munis d'une des parties de l'assemblage.
Aussi bien dans les jeux de construction que dans des assemblages amovibles, on a cherché à trouver des moyens permettant de réaliser de tels assemblages réversibles ou non, pour relier entre eux, provisoirement ou pas, des corps différents.
Ainsi, dans le document DE-A-27 13 543 on décrit des récipients munis sur une face de goulots dont la section perpendiculairement à la face à la forme de queue d'aronde. Une autre face est munie d'une rainure longitudinale de forme et dimension correspondant à la section en queue d'aronde citée précédemment. Ainsi, il est possible d'insérer un goulot d'un récipient dans la rainure d'un autre et former ainsi un assemblage de deux récipients, voire plus.
Le document FR-A-2 063 175 décrit un flacon sphérique muni d'alvéoles cylindriques d'une dimension identique à celui du bouchon. Ainsi, le bouchon d'un autre flacon peut être introduit et fixé dans une de ces alvéoles formant ainsi un assemblage. Des pièces intermédiaires, par exemple des entretoises de longueur double à celle d'un bouchon peuvent être utilisées pour former des assemblages de formes plus complexes .
Dans le document EP-A-0 301 049 du présent inventeur, il est décrit des récipients juxtaposables constitués chacun d'une cellule modulaire creuse comportant au moins un goulot et au moins une creusure munis de moyens de sorte que le goulot d'un récipient puisse être assemblé par encliquetage à la creusure d'un autre récipient et former ainsi un jeu de construction où plus simplement retenir ensemble un certain nombre de ces emballages individuels pour former un ensemble plus grand. Cette construction facilite le stockage et le transport, car l'assemblage présente une certaine rigidité par rapport à des assemblages où les récipients seraient simplement juxtaposés et superposés.
Dans tous ces assemblages décrits dans les documents précités, chaque corps doit être muni de deux sortes de moyens pour permettre de tels assemblages, à savoir et en simplifiant, une partie mâle et au moins une partie femelle, ce qui limite les possibilités d'assemblage, que se soit pour un jeu ou pour d'autres raisons.
Le but de la présente invention est de proposer un dispositif d'assemblage de deux objets ne présentant pas les inconvénients de l'art antérieur.
Le dispositif d'assemblage selon l'invention est caractérisé par le fait qu'il est constitué de deux parties identiques montées sur lesdits objets ou venant d'une seule pièce avec l'objet respectif, que chaque partie comprend un élément mâle et un élément femelle disposés de part et d'autre d'un plan, la forme et dimensions desdits éléments étant complémentaires, qu'à proximité
de l'intersection de chacun desdits éléments avec ledit plan et a l'exception de leur paroi commune, l'élément mâle est muni d'une rainure et l'élément femelle d'une nervure ou vice versa, lesdites nervures et rainures sont de forme et dimensions complémentaires de sorte que lors de l'assemblage des deux parties, les nervures et les rainures s'interpénétrent pour assurer l'assemblage par encliquetage.
L'avantage de ce dispositif est le fait que chacune des parties qui le compose comporte un élément mâle et un élément femelle ce qui permet de l'assembler à un autre objet muni de mêmes parties identiques. La fabrication de telles parties est simple et ces parties peuvent soit venir d'une seule pièce avec l'objet, soit être fixés par la suite en fonction de la nature de l'objet.
A titre d'exemple, on pourrait très bien avoir un flacon de savon liquide muni d'une de ces parties, par exemple sur une face latérale, l'autre partie étant fixée contre la paroi de la salle de bain ou douche, par exemple par une ventouse. Cette disposition permet "d'accrocher" le flacon au mur par la collaboration des deux parties dont une est fixée à la ventouse et l'autre fait partie intégrante du flacon.
Selon un autre cas, on pourrait disposer de deux ventouses, une que l'on fixe sur le flacon et l'autre sur le mur et, chaque fois qu'on change de flacon, il suffit de fixer la ventouse sur le flacon de savon liquide .
Il s'agit donc d'un dispositif d'assemblage que l'on pourrait qualifier d'universel pour autant que les dimensions des deux parties correspondent.
Selon une exécution préférée, l'intersection du plan avec l'élément mâle et l'élément femelle forme un polygone régulier ayant un nombre pair des côtés ou un cercle ou une ellipse, le choix étant dicté plus par une question d'esthétique que par un côté fonctionnel.
Selon une autre exécution, le dispositif comprend au moins deux éléments mâles et deux éléments femelles disposés d'une manière symétrique par rapport à un axe perpendiculaire audit plan, les éléments mâles étant tronqués sur au moins la moitié de leur hauteur autour de l'axe de symétrie pour permettre l'interpénétration entre les deux parties .
Un tel dispositif présentant au moins deux parties mâles et deux parties femelles peut, dans certaines situations présenter un assemblage plus stable dans le sens que lors de la fabrication de deux parties, certaines imprécisions peuvent provoquer un mauvais registre et engagement des rainures et nervures. Le fait de subdiviser ces éléments et créer un plus grand nombre ayant une longueur individuelle plus petite permet d'assurer quant même l'assemblage même si l'un de ces éléments n'a pas, par exemple, les dimensions voulues et ne permet pas un accrochage idéal.
Selon une autre variante d'exécution, l'élément mâle ou les éléments mâles sont creux ce qui permet d'obtenir
des parties utilisables des deux côtés par rapport audit plan, la seule différence étant que vu d'un côté la partie mâle aura une rainure, tandis que vu de l'autre côté, elle aura une nervure et vice versa pour les parties femelles. De tels éléments creux peuvent par exemple être adaptés sur une surface ou dans un corps qui pourrait, par exemple, être utilisé en quelque sorte comme entretoise pour réunir d'autres éléments.
Selon une autre exécution, les surfaces supérieures des éléments mâles sont inclinées ce qui diminue un peu le volume de ces éléments, les parties femelles ayant une configuration conjuguée.
Selon une autre variante d'exécution, les surfaces supérieures des parties mâles sont des secteurs sphéri- ques et les éléments femelles ont une configuration correspondante .
Selon une autre variante d'exécution, les parties tronquées des éléments mâles forment un élément femelle muni d'une nervure destinée à recevoir une partie femelle conjuguée munie d'une rainure permettant ainsi de créer une deuxième possibilité d'assemblage par encliquetage. Cette manière de faire permet, dans certaines situations, d'utiliser les parties en question pour des assemblages avec des éléments munis de tétons de forme conjuguée ce qui augmente les possibilités d'utilisation de ce dispositif. Ce dispositif permet, par exemple, d'assembler à un objet muni d'une partie selon l'invention un objet beaucoup plus petit ne pouvant pas
être muni d'une partie de même dimension que le premier.
Selon une exécution préférée, la face du plan située à l'opposé des éléments mâles est munie de moyens pour être assemblés sur un corps qui est muni de moyens conjugués. Ainsi, par exemple, un tel dispositif muni de rainures ou autres dispositifs d'assemblage peut être encliqueté dans un corps qui est muni de moyens conjugués ce qui permet, par exemple, dans certaines situations de former un couvercle pour un récipient tout en gardant la possibilité d'assemblage de ces différents éléments .
Selon une autre exécution, pour assurer une tenue axiale de l'assemblage en plus de celle assurée par l'interpénétration nervures-rainures, on a muni les éléments mâles et femelles de moyens supplémentaires sous forme de tétons munis d'une tête en forme de champignon et des orifices conjugués. La dimension dans le sens périphérique des éléments mâles est inférieure à celle des éléments femelles ce qui permet après l'engagement du téton dans l'orifice et après avoir tourné de quelques degrés l'une des parties de l'assemblage d'obtenir un blocage axial.
Enfin, l'invention concerne un corps muni de un ou plusieurs dispositifs d'assemblage pour permettre l'assemblage de tels corps entre eux.
L'invention sera décrite plus en détail à l'aide du dessin annexé.
La figure 1 est une vue en coupe schématique d'un dispositif selon l'invention représentant les deux parties .
Les figures 2 à 4 sont des vues en coupe schématique de différentes variantes d'une partie d'un dispositif d'assemblage selon l'invention.
Les figures 5 à 7 sont des représentations schématiques des différentes formes d'exécution d'un des éléments du dispositif d'assemblage.
La figure 8 est une vue en coupe selon la ligne VIII- VIII de la figure 5.
La figure 9 est une vue en coupe de l'élément de la figure 5 selon la ligne IX-IX.
La figure 10 est une vue de dessous d'une partie du dispositif prévue pour être assemblée sur un corps.
La figure 11 est une vue de dessous d'un corps muni de moyens pour recevoir la pièce de la figure 10.
Les figures 12 et 13 sont des vues du côté opposé des figures 10 et 11.
La figure 14 est une vue en coupe selon XIV-XIV de la figure 13.
La figure 15 est une vue similaire à celle de la figure 14 d'une autre exécution, et
la figure 16 est une vue de dessus de la figure précédente .
A la figure 1 nous avons représenté de manière schématique et en coupe un dispositif d'assemblage selon l'invention composé de deux parties 1 et 2. La partie 1 présente un élément mâle 10, dans le cas présent de forme rectangulaire, et un élément femelle 11 qui est également de forme rectangulaire et de dimensions correspondant à celles de l'élément mâle 10. Les éléments mâle et femelle se trouvent de part et d'autre d'un plan qui est ici perpendiculaire au plan de la section et les éléments mâle et femelle sont munis respectivement d'une rainure 12 et d'une nervure 13 à proximité de leur intersection avec ledit plan. La deuxième partie de cet assemblage 2 présente un élément mâle 20 et un élément femelle 21 de forme et dimensions correspondant à celles de la partie 1. Ils sont également munis respectivement d'une rainure 22 et d'une nervure 23 disposées de part et d'autre d'un plan de symétrie.
Comme représenté dans cette figure 1, l'assemblage est réalisé lorsque les éléments mâles 10 et 20 viennent s'encastrer dans les éléments femelles 11 et 21 et la nervure 23 s'engage dans la rainure 12 et la nervure 13 s'engage dans la rainure 22 de la partie 2.
Il serait également possible d'avoir le même assemblage en permutant la place des nervures et des rainures,
c'est-à-dire que les éléments mâles seraient munis d'une nervure et les parties femelles d'une rainure.
A la figure 2 nous avons représente un seul partie 3 présentant un élément mâle 30 et un élément femelle 31. La surface supérieure 34 de l'élément mâle est inclinée. La surface 35 de l'élément femelle est de forme et dimensions conjuguées à celle de l'élément mâle. L'élément mâle présente une rainure 32 et l'élément femelle une nervure 33. Cette configuration peut être considérée comme plus légère et en plus, lors de l'assemblage, les surfaces inclinées permettent, par glissement des surfaces 34 et 35 sur les surfaces conjuguées de l'autre partie, une mise en place de l'assemblage plus fa¬
A la figure 3 nous avons représenté une vue similaire à celle de la figure 2. Une partie 4 présente un élément mâle 40 et un élément femelle 41 munis respectivement d'une rainure 42 et d'une nervure 43. La partie 4 vient d'une pièce avec un corps sur lequel cette partie est formée. La surface supérieure de l'élément mâle 44 et le fond de l'élément femelle 45 sont de secteurs sphé- riques ce qui facilite l'emboîtement lors de l'assemblage comme indiqué précédemment.
A la figure 4 nous avons représenté une partie 5 présentant un élément mâle 50 et un élément femelle 51 munis respectivement d'une rainure 52 et d'une nervure 53. La différence par rapport à ce qui a été montré précédemment, c'est que l'élément mâle est creux, ce qui nous permet d'utiliser cette partie 5 de deux cô-
tés. C'est-à-dire une fois par rapport à la direction A et, une autre fois par rapport à la direction B, ce qui signifie que, par exemple, la partie 5 pourrait servir de partie intermédiaire entre deux autres parties, une qui pourrait venir s'encastrer dans la direction A et une autre dans la direction B.
La seule différence de construction pour la partie 5 s'il est utilisé du côté de la flèche A ou de la flèche B est le fait que dans la direction A, l'élément mâle 50 présente une rainure, tandis que dans la direction B l'élément mâle 51 présente une nervure et vice versa pour les parties femelles. Cette partie 5 pourrait très bien être intégrée par exemple dans une surface plane permettant d'assembler des deux côtés de cette surface plane des éléments pour une construction quelconque.
A la figure 5 nous avons représenté, vu en plan, une partie 6 munie d'éléments mâle et femelle qui sont indiqués respectivement par M et F, la surface supérieure de l'élément mâle peut être massive comme celle de la figure 1 ou inclinée comme celle de la figure 2 ou encore un secteur sphérique comme celui de la figure 3. De même le fond des éléments femelles a une configuration similaire.
Il est entendu que les éléments mâles et femelles dans le cas présent ont une configuration symétrique par rapport à un axe I et les parties mâles sont tronquées aux alentours de cet axe sur au moins la moitié de leur hauteur afin de permettre 1 ' interpénétration de deux éléments du type 6. Pour mieux comprendre cette partie
tronquée, il suffit de se référer à la figure 8 qui est une coupe selon la ligne VIII-VIII de cette figure.
La figure 6 est une vue similaire à celle de la figure 5 sauf que l'intersection du plan de la partie 7 avec les éléments mâle et femelle forme un hexagone régulier et les éléments mâle et femelle sont également indiqués ici par les lettre M et F, se succèdent et sont symétriques également par rapport à un axe I . Les éléments mâles présentent aussi une partie tronquée autour de l'axe I sur la moitié au moins de leur hauteur afin de permettre l'interpénétration de deux parties du type 7.
La figure 7 est une vue similaire à celle de la figure 6, sauf que le plan de la partie 8 forme avec l'intersection avec les éléments mâle et femelle un cercle. Les éléments mâle et femelles sont disposés symétriquement par rapport à un axe I et les éléments mâles qui sont également tronqués sur environ la moitié de leur hauteur permettent l'interpénétration de deux parties 8. Les surfaces supérieures des éléments mâles peuvent être également inclinées ou massives comme celles de la figure 1 ou encore de secteurs spécifiques.
La figure 9 représente une coupe selon la ligne IX-IX de la figure 5 où on distingue un élément mâle M et un élément femelle F, l'élément mâle présente une partie inclinée Ml qui correspond à la partie tronquée nécessaire à l'interpénétration lors de l'assemblage.
Les figures 10 et 11 présentent un élément 11 et un corps 13 vus de dessous. L'élément 11 vu de dessous est
une partie d'un assemblage selon la présente invention destinée à être fixé au-dessous d'un corps 12 qui a la forme d'une demi-sphère. Le corps 12 présente sur sa face opposée à celle que l'on voit sur la figure 10 une partie d'un dispositif d'assemblage selon la présente invention, cette partie venant d'une pièce avec le corps 12.
Les figures 12 et 13 montrent les éléments représentés aux figures 10 et 11 vus de dessus, tandis que la figure 14 est une coupe selon la ligne XIV-XIV de la figure 13.
En se référant à la figure 12, la partie en question du dispositif d'assemblage présente deux éléments mâles 111 et 112 présentant respectivement une découpe 113 et 114 à proximité du centre pour les raisons expliquées précédemment et deux éléments femelles 115 et 116. La forme des éléments mâles 111 et 112 sont des secteurs sphériques et le fond des éléments femelles 115 et 116 ont des surfaces de secteurs sphériques vu de l'intérieur. Les éléments mâles présentent une nervure 117,118 tandis que les éléments femelles présentent des nervures 119 et 120.
En se référant maintenant à la figure 10, nous distinguons la face opposée des éléments mâles 111 et 112, respectivement l'autre côté des éléments femelles 116, 115. Pour permettre l'assemblage de cette pièce 11 sur le corps 13 on a prévu au-dessous de la partie 11 des rainures 121 taillées dans un rebord se trouvant à proximité de la périphérie de l'élément 11 des éléments
femelles 115 et 116 et des rainures 122 également prévues dans deux rehaussements se trouvant plus près du centre du cercle des éléments femelles 111 et 112. Ces rainures et nervures vont collaborer avec des éléments correspondants du corps 13 pour permettre leur assemblage en tournant par exemple la pièce 11 de 90° pour obtenir une sorte d'assemblage par vissage.
Le corps 13 tel que présenté à la figure 13 présente deux éléments mâles 131, 132 et deux éléments femelles 133 et 134. Les éléments mâles sont tronqués à proximité de l'axe représentant ici des évidements 135 et 136. Ce corps 13 qui est une demi-sphère et présente un téton 137 et une creusure 138 de forme conjuguée à celui du 137. Ces éléments particuliers permettent d'assembler également deux éléments similaires, c'est-à-dire en introduisant le téton 137 dans la creusure correspondante 138 d'un autre corps 13 ce qui permet également d'avoir un assemblage.
Sur la figure 11 on voit les mêmes éléments vus de dessous, le corps 13 sur la figure 11 présente également deux jeux de rainures 139 et 140 qui permettent en collaboration les rainures 122 et 121 de la pièce 11 d'obtenir l'assemblage des deux éléments. Ainsi, en rabattant la pièce 11 sur le fond du corps 13 et en tournant en principe de 90° jusqu'à l'engagement respectif on obtient un assemblage qui peut être également étanche si on prévoit l'interposition d'un joint d ' étanchéité . La pièce ainsi obtenue présente deux parties d'assemblage selon l'invention, une sur la face supérieure du corps 13 et une sur la face inférieure ce qui permet
par exemple l'assemblage avec une autre demi sphère de la même forme pour former une sphère complète.
De tels assemblages permettent, par exemple, soit la création de différentes structures, soit le conditionnement des produits. En utilisant une sphère complète on peut dans une demi sphère mettre un produit et dans l'autre demi sphère mettre un autre produit ayant une destination différente ou mettre dans chacune des demi sphères deux composantes nécessaires pour obtenir par un mélange simple un produit composé. Les emballages après l'utilisation de ce produit peuvent être utilisés pour former des structures en collaboration avec d'autres corps ayant des formes différentes, la forme sphérique ici représentée n'est donnée qu'à titre d'exemple. On pourrait très bien avoir d'autres formes géométriques simples que ce soit un cube, des pyramides ou des cylindres, etc.
Il est encore à relever que les parties tronquées 136, 135 du corps 13 des éléments mâles du corps 13 et également 113 et 114 de l'élément 11 ont une forme particulière, à savoir elles présentent une forme sphérique et une rainure ce qui permet d'engager par exemple le téton 137 et obtenir également ainsi un assemblage entre le corps qui porte le téton 137 et le corps qui porte la partie d'assemblage, soit du corps 13, soit de l'élément 11.
Les moyens pour assembler l'élément 11 sur le corps 13 est donné à titre d'exemple, d'autres moyens pourraient
être utilisés tels qu'un simple vissage, encliquetage, voire collage.
Enfin, dans le but d'améliorer la tenue axiale des deux parties du dispositif d'assemblage selon l'invention, on a présenté aux figures 15 et 16 une variante similaire à celle des figures 13 et 14. Les mêmes références numériques ont été utilisées pour identifier les parties identiques de deux variantes .
Les différences essentielles sont les suivantes : chaque élément mâle 131, 132 est muni d'un orifice 181 et présente dans le sens périphérique une dimension inférieure à celle des éléments femelles 133,134. Les éléments femelles 133,134 présentent un téton 180 muni d'une tête en forme de champignon. Les tétons 180 et les orifices 181 sont situés à une position permettant l'interpénétration. Après l'engagement de deux parties du dispositif ce qui impliquerait la pénétration de tétons 180 dans les orifices 181, on tourne l'une des parties de quelques degrés ce qui assure une tenue axiale de l'assemblage puisque la têtes des tétons 180 empêchent 1 ' éloignement des deux parties sauf si on tourne l'une des parties en sens inverse pour permettre le désengagement tétons-ouvetures .