«Appareil électroportatif pour la pose des écrous à sertir ou le sertissage des rivets aveugles à rupture de tige».
L'invention a pour objet un appareil électroportatif pour la pose des écrous à sertir ou le sertissage des rivets aveugles à rupture de tige.
L'invention vise à utiliser un appareil portable.
Actuellement les appareils pour la pose des écrous à sertir ou pour le sertissage des rivets aveugles à rupture de tige sont alimentés par des câbles électriques ou des câbles pneumatiques. Sur des chaînes de montage où travaillent plusieurs personnes, il y a rapidement un enchevêtrement de fils qui sont nuisibles pour la sécurité du travail.
De plus en plus, les industriels s'orientent vers des appareils de ce type qui soient portables et ce pour apporter un confort et une efficacité dans le travail. Ces quelques appareils portables sont très volumineux et très gourmands en énergie. Ils ont donc une autonomie faible et doivent être rechargés très souvent.
L 'état de la technique peut être défini par les brevets suivants.
W095/I3887 : L 'outil de pose des rivets et vis auto-perçantes comprenant un corps mobile, se terminant par une tête permettant le maintien du rivet ou de la vis auto perçante afin d'être entraîné en rotation par le moteur électrique à l'aide des engrenages et par intermédiaire de la vis médiane laquelle est munie d'un dispositif de tirage. L 'outil est contenu dans un boîtier du type électroportatif, et pourvu d'un chargeur distributeur de vis ou des rivets auto-perforants. W096/25258 : L 'invention concerne un dispositif de rivetage auto-perceur, actionné par un moteur et comportant un carter tenu par un opérateur. Le carter contient un moteur entraînant un pignon principal, relié par une roue de transmission à la came entraînant un mécanisme de rivetage, ce dernier étant bien connu dans le domaine technologique dont il relève. Le mécanisme susmentionné est installé dans un cylindre à rotation indépendante faisant tourner directement le mécanisme de rivetage. Lorsque le dispositif fonctionne, un couple de rotation est tout d'abord imprimé au mécanisme de rivetage par la roue de transmission afin de resserrer les mâchoires autour d'une tige jusqu 'à ce que le couple de rotation minimal, nécessaire pour écraser un rivet soit supérieur à celui qui est exigible pour percer une pièce à usiner ; la roue de transmission va alors cesser de tourner pour se transformer en une roue orbitale pour le pignon d'entraînement. Le cylindre rotatif fait ensuite tourner et se mouvoir le rivet auto-perceur. Le forage de la pièce s 'effectue jusqu 'à ce que le rivet soit mis en place. Une pression accrue sur le commutateur de déclenchement freine le cylindre rotatif refoulant le couple de rotation vers l'arrière sur la roue de transmission pour former le rivet, après quoi la came, du fait du maintien de la pression de freinage commandée par le commutateur de déclenchement, provoque le retournement de 360U d'arc du mécanisme afin de chasser la tige utilisée et à en recevoir une autre.
- EP-A-0.670.199 : Un appareil de pose la partie femelle d'un rivet aveugle est proposé avec une broche de traction, un moteur, une première transmission d' entraînement pour générer un mouvement de rotation à la broche de traction et qui peut être interrompue et une deuxième transmission d'entraînement qui présente une partie d'entraînement et une partie entraînée et où la partie d'entraînement peut être déplacée sur une trajectoire de mouvement et qui présente une course à vide par rapport à la partie entraînée et une course utile.
- FR-A-2. 706.338 : L 'invention concerne un outil à riveter avec un système d'aspiration de rivet, comportant un corps qui est relié à une partie inférieure et portant une partie supérieure avec un ensemble de serrage de tige de rivet à commande hydraulique, ledit ensemble de serrage étant pourvu d'un mandrin à pince et un vérin hydraulique étant relié à un espace au-dessus de la partie supérieure du piston pneumatique qui est formé dans le corps d'outil, une sortie d'air sous pression d'une soupape de commande s Ouvrant dans un espace sous la partie inférieure du piston pneumatique qui est guidé dans un renfoncement cylindrique de la partie inférieure de l 'outil, ladite soupape de commande étant fixée dans une paroi de séparation pleine de la partie inférieure d'outil et étant reliée par l'intermédiaire d'une tige de soupape, guidée librement dans la cavité longitudinale du corps, à une détente qui est montée de façon coulissante dans un guide transversal.
On connaît des dispositifs présentant un aspect un peu moins encombrant. Ainsi, le document EP-A-0.527.414 propose un appareil pour rivets aveugles avec un carter et un dispositif de traction présentant un mécanisme de prise, qui peut être déplacé à partir d'un moteur électrique par l 'intermédiaire d'un dispositif d'entraînement.
Un tel appareil pour rivets aveugles doit pouvoir être actionné avec un confort accru.
Pour cela le dispositif d'entraînement présente un rapport démultiplicateur indépendant de la position du dispositif de traction et provoque une relation permanente entre le moteur électrique et le dispositif de traction ce qui fait que le mouvement du dispositif de traction a lieu uniquement sous la commande du moteur électrique.
Un tel appareil ne donne cependant pas entière satisfaction. D 'abord, il est proposé un rapport de démultiplication constant tout au long de la course du dispositif de traction. Un inconvénient important de ce choix est qu 'on ne cible pas un couple maximal d'entraînement au milieu de la course c 'est-à-dire au moment où le rivetage nécessite le couple le plus important.
Par ailleurs, la conception de l'appareil selon le document EP-A-0.527.414 est très particulière dans le système de transmission. La position horizontale du moteur est peu ergonomique et le choix d'une vis à bille axée selon le dispositif de traction pour l 'actionner est une solution technique lourde et coûteuse.
Ensuite, c 'est essentiellement le relâchement de la gâchette qui commande le retour du dispositif de traction. Cette commande de course est différente de celle de la présente
invention et a l'inconvénient de présenter des risques de mauvais rivetage si l'opérateur relâche trop vite la gâchette ou s 'il ne détecte pas une anomalie tel un tréfilage.
Enfin, l 'économie de consommation électrique n 'est pas optimale car il se peut, par un relâchement tardif de la gâchette, que l 'on dépasse la course de traction nécessaire et suffisante.
La présente invention se propose de remédier aux inconvénients des techniques actuelles.
L'appareil selon l'invention pour la pose des écrous à sertir ou le sertissage des rivets aveugles est du type comprenant un corps du type électroportatif contenant un moteur électrique, un mandrin, des moyens d'entraînement pour maintenir et pour tirer sur le clou du rivet et/ou pour tirer, visser ou dévisser l'écrou à sertir.
L'appareil comporte des moyens de préréglage de la course du mandrin permettant, après la course préréglée du mandrin un retour automatique.
L'invention pourra se présenter sous les modes de réalisation introduits ci-après. L'amplitude de la course du mandrin est préréglable en fonction de la taille de l'écrou ou du rivet à sertir.
Le réglage de la course du mandrin est un réglage de distance.
Les moyens de préréglage sont constitués par un curseur qui déplace un capteur mobile par rapport à un capteur fixe. La présélection du rivet et/ou de l'écrou à sertir est réalisée par un potentiomètre qui gère électroniquement la distance de la course du mandrin.
L'appareil mécanique de sertissage des rivets aveugles comporte un moteur électrique entraînant une vis à bille, laquelle entraîne par l'intermédiaire de biellettes, une roue dentée actionne une crémaillère entraînant le mécanisme de rivetage. Le moteur électrique est un moteur couple.
Les moyens d'entraînement actionnant le mécanisme de rivetage sont actionnés par une micro centrale hydraulique, le moteur actionne la micro centrale hydraulique, et la transmission d'énergie se fait par l'intermédiaire d'une pompe hydraulique, partie intégrante de la micro centrale hydraulique. Le mandrin est adapté à la pose des écrous et un moteur électrique est disposé dans l'axe de travail du mandrin pour visser ou dévisser.
La gâchette de l'appareil est le moyen de commande, la première pulsion actionne le vissage et la seconde pulsion actionne la traction sur une course déterminée avec un retour
automatique et au lâcher de la gâchette, l'action de dévissage automatique pour x tours du moteur et arrêt dudit moteur.
La gâchette est reliée à distributeur branché sur un embout raccord, lui-même branché à un autre embout, qui est relié au circuit hydraulique, qui alimente un point A et un point B, de part et d'autre du piston, solidaire du mandrin creux, des joints toriques assurent l'étanchéité de l'ensemble hydraulique, un ressort de rappel du mandrin creux, l'extrémité du mandrin creux est disposée au niveau du logement, qui recueille les clous lorsqu'ils sont tirés, et que l'extrémité du mandrin creux se trouve au niveau du nez et de la broche de traction de la riveteuse électrohydraulique. La gâchette a deux fonctions :
- premièrement, la gâchette obture en premier le circuit hydraulique A et B,
- deuxièmement, la même gâchette met le moteur en route, ce qui entraîne la pompe, pour la course préalablement réglée, et que la libération de la gâchette en ouvrant le circuit hydraulique, entraîne le retour du piston, soit du mandrin creux en arrière.
Le moteur électrique est positionné sensiblement suivant l'axe vertical du corps électroportatif et est monté avec une liberté de mouvement en pivot par rapport au corps électroportatif. Le réglage de la course du mandrin est un réglage de distance. Le cycle de fonctionnement de la riveteuse électroportative à course réglable peut être le suivant.
Le moteur couple est alimenté par un circuit de puissance fermé par deux relais qui permettent la circulation du courant et son inversion.
Le circuit de commande est piloté par une commande séquentielle ou un contact maintenu. Cette commande est actionnée par une gâchette de commande disposée sur le corps de l'appareil. Le courant circule alors dans une première branche du circuit de commande. Cette première branche est ouverte par un contact qui symbolise le contact de fin de course. Le commutateur bascule alors pour alimenter une seconde branche du circuit de commande qui pilote un relais, le courant de puissance circule dans le sens inverse, le moteur couple change de sens de rotation et ramène les moyens d'entraînement en position initiale.
On comprend ainsi que la gâchette commande le lancement d'un cycle mais qu'elle ne commande pas le retour par inversion du moteur couple. Le retour s'effectue sans commande par détection lorsque la course préréglée est atteinte.
De cette façon, on évite les mauvais rivetages car, l'exécution systématique d'une certaine course, on décèlera les anomalies telles un tréfilage, un glissement par usure d'un mors ou encore une erreur de poinçonnage de la tôle à riveter.
Selon un autre mode de réalisation, les moyens d'entraînement actionnant le mécanisme de rivetage sont actionnés par une micro centrale hydraulique.
Le moteur couple actionne la micro centrale hydraulique.
La transmission d'énergie se fait par l'intermédiaire d'une pompe hydraulique, partie intégrante de la micro centrale hydraulique.
Dans le mode de réalisation où l'appareil est destiné à la pose des écrous, le mandrin est adapter à la pose de ces écrous et un moteur électrique est disposé dans l'axe de travail du mandrin pour visser ou dévisser.
La gâchette de l'appareil est le moyen de commande.
La première pulsion actionne le vissage, le vissage terminé, la pulsion continue actionne la traction sur une course déterminée avec un retour automatique. Au lâcher de la gâchette, il y a l'action de dévissage automatique pour x tours du moteur et arrêt dudit moteur.
En cas de faiblesse de la batterie, une seconde pulsion entraîne un retour à la position zéro.
On présente ci-après des modes préférés de l'invention. Le réglage de la course du mandrin est un réglage de distance. On détecte alors des positions extrêmes du mandrin par le biais de capteurs. D'autres moyens de réglage, tels qu'un comptage du nombre de tours du moteur ou de la position angulaire de la roue dentée d'entraînement, sont réalisables.
Le réglage de la course du rivet dont les dimensions ont été sélectionnées se fait automatiquement par un moyen électronique de gestion.
La présélection du rivet et/ou de l'écrou à sertir est réalisée manuellement par un curseur qui déplace un capteur mobile par rapport à un capteur fixe.
La présélection du rivet et/ou de l'écrou à sertir est réalisée par un potentiomètre qui gère électroniquement la distance de la course du mandrin. Les caractéristiques techniques du moteur couple sont de développer une puissance maximum pendant quelques secondes.
Les caractéristiques peuvent être les suivantes :
- constante de couple : 19,4 mNm A
- constante de vitesse : 491 tr min'VV
- constante de charge : 8,45 tr min"1/ mNm
Les dessins ci-joints sont donnés à titre d'exemples indicatifs et non limitatifs. Ils représentent un mode de réalisation. Ils permettront de comprendre aisément l'invention.
La figure 1 est une vue schématique, plan d'ensemble de l'appareil pour le sertissage de rivets aveugles, selon un mode de réalisation électromécanique.
La figure 2 est une vue schématique plan d'ensemble de l'appareil pour le sertissage de rivets aveugles, selon un mode de réalisation électrohydraulique.
Les figures 3 et 4 sont des schémas de principe du circuit de commande et du circuit de puissance. La figure 3 est un schéma du circuit de puissance.
La figure 4 est un schéma du circuit de commande.
La figure 5 est une vue schématique de l'appareil pour la pose des écrous à sertir.
Les figures 6 et 7 présentent un mode particulier de montage du moteur.
L'appareil selon l'invention pour la pose des écrous à sertir ou le sertissage des rivets aveugles est du type comprenant un corps électroportatif 1 contenant un moteur électrique 2, un mandrin 3, des moyens d'entraînement pour maintenir et tirer sur le clou des rivets et/ou pour tirer, visser ou dévisser l'écrou à sertir.
Selon l'invention, le moteur électrique est un moteur couple 2.
L'amplitude de la course du mandrin 3 est préréglable en fonction de la taille de l'écrou ou du rivet à sertir.
Selon le mode de réalisation représenté à la figure 1, où l'appareil est un appareil mécanique de sertissage des rivets aveugles, le moteur couple 2 entraîne une vis à bille 13, laquelle est logée dans une douille à bille 4, qui entraîne un jeu de biellettes 5 , lesdites biellettes sont reliées à une roue dentée 6. Selon une variante, cette douille à bille peut être montée sur un roulement oscillant afin d'avoir l'ensemble des éléments en ligne. Cette réalisation n'est pas représentée sur les figures.
Dans un autre mode de réalisation, illustré aux figures 6 et 7, l'ensemble moteur 2 est monté de façon à permettre une liberté en pivot vis-à-vis du corps électroportatif 1. Cette liberté de mouvement s'intègre dans la cinématique de montée et de descente de la douille à bille 4. Cette conception est très efficace et peu coûteuse sur le plan de la fabrication.
Ainsi, le moteur 2 peut être monté pivotant par le biais d'une fourche 19 sans autre nécessité d'articulations.
Cette roue dentée 6 engrène sur une crémaillère 7 qui fait partie intégrante du corps du mandrin 3. Le mandrin 3 est un mandrin creux, ce qui permet de récupérer les clous des rivets dans le logement 8 prévu à cet effet dans l'axe de l'extrémité 9 du mandrin creux 3.
Le mandrin creux 3 est facilité dans son déplacement par un patin de glissement 10 disposé autour de la culasse 11, qui maintient l'ensemble du mécanisme.
L'extrémité 12 du mandrin creux 3 comporte un cône porte-mors 43, les mors ne sont pas représentés ainsi que le poussoir et le ressort. Le nez 14 solidaire de la culasse 11 porte la broche de traction 15.
L'ensemble de ce mécanisme est maintenu dans un carter 16. Sur ce carter 16 est disposé un curseur 17. La présélection du rivet et/ ou de l'écrou à sertir est réalisée manuellement par un curseur 17 qui déplace un capteur mobile par rapport un capteur fixe. Les capteurs fixes et mobiles ne sont pas représentés sur les dessins.
Selon un autre mode de réalisation, la présélection de l'écrou et/ ou du rivet à sertir est réalisée par un potentiomètre qui gère électroniquement la course du mandrin 3. La gâchette 18 met en action le moteur couple 2.
La figure 2 représente un appareil électroportatif pour la pose et le sertissage de rivets aveugles à rupture de tige dans une version électrohydraulique représentée à la figure 2.
Sur la figure 2, on retrouve une gâchette d'actionnement 20, un moteur couple 21, qui actionne la pompe 22. La gâchette est reliée à un distributeur 23 branché sur un embout raccord 24, lui-même branché à un autre embout 25, qui est relié au circuit hydraulique 26 et 27, qui alimente un point A et un point B, de part et d'autre du piston 28, solidaire du mandrin creux 29. Des joints toriques sont représentés et assurent l'étanchéité de l'ensemble hydraulique. Un ressort de rappel 30 assure le rappel du mandrin creux 29. L'extrémité 31 du mandrin creux est disposée au niveau du logement 32, qui recueille les clous lorsqu'ils sont tirés.
L'extrémité 33 du mandrin creux se trouve au niveau du nez 34 et de la broche de traction 35, de la riveteuse électrohydraulique. La gâchette 20 a deux fonctions : - premièrement, la gâchette 20 obture en premier le circuit hydraulique A et B.
- deuxièmement, la même gâchette met le moteur couple 21 en route, ce qui entraîne la pompe 22, pour la course préalablement réglée. La libération de la gâchette 20, en ouvrant le circuit hydraulique, entraîne le retour du piston, soit du mandrin creux en arrière.
La figure 3 représente le circuit de puissance dans le cas de l'appareil électromécanique, et la figure 4 représente le circuit de commande.
Le moteur est alimenté par le circuit de puissance représenté à la figure 3 fermé par les relais OSPl, OSP2 qui permettent la circulation du courant et son inversion. Le circuit de commande représenté à la figure 4 est piloté par une commande séquentielle OS4 ou un contact maintenu OS5. Cette commande est matérialisée par la gâchette 20 ou 18 de commande sur la machine. Le courant circule alors dans la première branche du circuit de commande, le relais OSPl est fermé, mais le relais OSP2 est ouvert, le sens de la circulation est direct. Cette branche est ouverte par le contact OS3 qui symbolise le contact de fin de course. Le commutateur OS6 bascule alors pour alimenter la branche 2 du circuit de commande qui pilote le relais OSPl ouvert et le relais OSP2 fermé. Le courant de puissance circule dans le sens inverse. Le moteur M change le sens de rotation et ramène l'ensemble du dispositif mobile en position initiale. Si l'on souhaite interrompre l'opération en cours, une seconde impulsion sur la gâchette ramène l'appareil dans la position zéro.
Le mode de réalisation représenté à la figure 5 est un appareil électroportatif pour la pose des écrous à sertir. Dans ce mode de réalisation, on retrouve tous les éléments déjà décrits dans les différentes figures, si ce n'est que le mandrin 36 est plein, puisqu'il n'y a pas récupération des clous des rivets, qu'au niveau du nez 37, l'embout 38 est fileté pour permettre la mise en place des écrous, et enfin, qu'à l'extrémité 39 du mandrin 36, est disposé un moteur électrique 41 qui visse et dévisse permettant ainsi à l'embout fileté de visser ou de dévisser exactement l'écrou à sertir. L'actionnement est déclenché par la gâchette 42.
Bien entendu, un curseur 40 permet de régler exactement la course du mandrin, course qui doit être très précise à défaut de casser le filet de l'écrou à sertir.
Quelque soit la forme des moyens de préréglage de la course du mandrin 3, 36, on effectue une course optimisée selon la taille du rivet ou de l'écrou pour assurer une bonne fixation sans casse mais aussi pour ne pas générer une surconsommation d'énergie électrique en prolongeant la course au-delà du nécessaire. Les moyens de préréglage sous forme de curseur 40 ou 17 coopérant avec des capteurs dont l'un est mobile permettent ces avantages.
REFERENCES
1. Corps électroportatif
2. Moteur électrique 3. Mandrin
4. Douille à bille
5. Jeu de biellettes
6. Roue dentée
7. Crémaillère 8. Logement
9. Extrémité du mandrin creux 3
10. Patin de glissement
11. Culasse
12. Extrémité du mandrin creux 3 13. Vis à bille
14. Nez
15. Broche de traction
16. Carter
17. Curseur 18. Gâchette
19. Fourche
20. Gâchette d'actionnement
21. Moteur
22. Pompe 23. Distributeur
24. Embout raccord
25. Embout
26-27. Circuit hydraulique 28. Piston 29. Mandrin creux
30. Ressort de rappel
31. Extrémité du mandrin creux
32. Logement
33. Extrémité du mandrin creux
34. Nez
35. Broche de traction
36. Mandrin
37. Nez
38. Embout
39. Extrémité du mandrin
40. Curseur
41. Moteur électrique de vissage et de dévissage
42. Gâchette
43. Cône porte-mors