LU82442A1 - Perfectionnements aux transporteurs a rouleaux - Google Patents

Description

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9 L'invention concerne des perfèctionnements à des rouleaux mobiles porteurs de charges, et en particulier des rouleaux pour ce qu'on appelle des transporteurs à accumulation, c'est-à-dire dont le nombre d'éléments peut varier à 5 volonté. Dans de tels transporteurs, une condition habituelle est qu'il soit possible à un ou plusieurs groupes de rouleaux, ou à des rouleaux individuels, d'être séparés de leurs organes d'entraînement, en cas de besoin,· par exemple pour supprimer automatiquement l'entraînement d'un groupe de. rou-10 leaux en fonction de la détection d'une occupation par une ou plusieurs charges d'un groupe de rouleaux situés en aval du groupe mentionné en premier lieu, et limiter ainsi la pression sur cette charge ou des charges de charges successives.

A cet effet, on a proposé des dispositifs relativement compli-15 qués et coûteux. L'invention a pour objet de fournir un système plus simple et qui est également économique et sûr.

D'après l'invention, en combinaison avec un transporteur à rouleaux et un dispositif d'entraînement des rouleaux, par exemple une roue dentée actionnée par l'intermé-20 diaire d'une chaîne ou d'une courroie trapézoïdale à une extrémité du rouleau, un embrayage prévu à cette extrémité pour relier le rouleau au mécanisme d’entraînement peut être actionné par un déplacement linéaire d'organes ménagés sur ou mobiles avec un organe qui protège le dispositif d'entraîne-25 ment précité.

Dans un mode de réalisation avantageux de l'invention, l'organe protecteur précité comprend une plaque qui peut être déplacée à angle droit avec le rouleau et qui possède un système à cames capable de venir en prise avec une partie de 30 l'embrayage pour déplacer cette partie dans le sens axial du rouleau, en rapport avec une autre partie d'embrayage, grâce à quoi l'accouplement, par l'embrayage, du rouleau au dispo-- ' aitif d'entraînement est contrôlé. La plaque peut être guidée . âe façon coulissante'entre des rebords du côté, en direction i * 35 du rouleau, d'un organe porteur de rouleau qui protège lui-même les organes d'entraînement sur les autres côtés. Si le dispositif d'entraînement comprend une chaîne entraînée de façon continue, une partie de l'embrayage peut être munie de // dents avec lesauelles la chaîne est en contant d» nom ΛΠ+ >'/ ' t ' ^ il :i ‘ · 2 ; *

La plaque peut être reliée de façon active à des dispositifs \i susceptibles d'être actionnés par une charge transportée, p Dans un transporteur comprenant un certain nombre I ' de tels ensembles successifs, les plaques de ces ensembles 3 - 5 peuvent être reliées les unes aux autres afin de se déplacer !

Ien synchronisme, éventuellement sous le contrôle d'un dispositif actionné par une charge.

On va maintenant décrire plus en détail un mode préféré de réalisation de l'invention, à titre d'exemple non 10 limitatif et avec référence aux dessins annexés.

La figure 1 est une vue de face avec coupe partielle d'un rouleau transporteur et de ses dispositifs associés ? 1 , de support et d'entraînement.

| La figure 2 est une coupe par II - II de la figure | 15 1» et montre également deux rouleaux transporteurs voisins.

Π La figure 3 est une élévation depuis l'extérieur I d'une roue dentée motrice.

1 La figure 4 est une élévation de cette roue vue de | l'intérieur et montrant une moitié d'un embrayage à dents.

| 20 La figure 5 est une élévation prise de l'intérieur I d'un organe protecteur muni d'une pièce jouant le rôle d'une î | came.

Ü | La figure 6 est une coupe horizontale de l'organe | protecteur précité.

125 La figure 7 en est une vue en bout.

La figure 8 est une élévation de l'autre moitié de I _ l'embrayage à dents, qui est fixe dans le rouleau, s Dans le mode de réalisation représenté, un dispo- ! sitif d'entrainement pour un rouleau transporteur tubulaire 1 30 (figure 1) comprend une roue dentée 2 qui est entraînée de façon continue par une chaîne sans fin non représentée en > elle-même mais dont des éléments qui en guident les brins su- i . périeur et inférieur sont représentés en 2a, 2b sur la figu- I re 1. La roue 2 est munie, comme le montrent les figures 1, j . 35 3, 4 et 8, d'une moitié 3 d’un embrayage à dents et peut cou- j lisser axialement par rapport à une moitié d'embrayage asso- | ciée 4 et fixée au rouleau. Un mouvement axial de la’roue 2 | pour mettre en prise et hors de prise l'embrayage 3 est com- f ' mandé par une pièce 5 jouant le rôle d'une came (figure 5)/ !/ \ . 3 sur une face d'un organe protecteur 6 capable de coulisser le long du transporteur à côté de la chaîne sur un organe 7 qui supporte un arbre fixe 8 sur lequel peuvent tourner librement le rouleau 1 et la roue dentée 2. le support 7 sert 5 également à enfermer et à protéger les organes d'entraîne- . ment sur les côtés non protégés par l'organe 6. le préférence, comme représenté, l'organe 7 est une poutre en U (figure 1) dont le côté ouvert fait face au transporteur et possède deux éléments verticaux courts 9 sur les bords libres desquels 10 l'organe protecteur 6 est guidé par des fentes longitudinales 10 (figure 7) ménagées dans les bords supérieur et inférieur de cet organe protecteur qui, comme indiqué précédemment, a sensiblement la forme d'une plaque disposée de champ.

la moitié 4 dep. ' embrayage montée fixe dans le rouleau 15 1 comprend une sorte de moyeu 11 (figure 2) dont la partie extérieure axialement possède un alésage qui reçoit un palier 12 (figure 1) sur l'arbre 8 et une face extrôme 13 (figures 1 et 8) de foime tronconique avec un angle au sommet de 90° par exemple. Depuis cette face font saillie une série de sail-20 lies 14 en forme de secteur, de préférence au nombre de dix, séparées par des évidements 15 en forme de secteur et qui constituent des dents d'engrenage (figure 8). la partie de ce corps intérieure axialement possède une cavité cylindrique 16 et une surface extérieure 17 (figure 1) dont les parties 25 intérieures et extérieures axialement sont cylindriques et légèrement convexes l'une par rapport à l'autre, l'extrémité voisine du rouleau 1 est étroitement emboutie sur la surface 17, de sorte que le rouleau est supporté concentriquement par le moyeu 11, qui est retenu contre tout déplacement relatif 30 axial et circulaire par le rouleau. A son autre extrémité, le rouleau 1 est embouti de façon analogue sur un moyeu simple 18 qui reçoit un palier 19 sur l'arbre 6 dont l'extrémité en saillie est fixée dans la paroi verticale d'une seconde poutre 20, ayant de préférence la môme section en U que la;pou-.35 tre 7. La poutre 20, dont le côté ouvert vers l'extérieur peut être fermé par un panneau non représenté, sert avantageusement aussi à supporter une série de rouleaux 21 guideurs d'objets, mobiles en rotation autour d'axes verticaux. / / La moitié 3 de l'embrayage associée à la roue 2 com-!j/ ί ' 4 I ί prend également un corps en forme de moyeu dont la face intérieure extrême 22 est de foime tronconique ouverte eomplé-!; mentaire de celle qui a été décrite pour la face extrême 13 || de la moitié 4 de l'embrayage et qui possède des dents d'en- 5 grenage complémentaires 23 (figure 4). A l’extérieur de cet-| ‘ te partie de l’embrayage et dans le sens radial, le corps i possède une partie cylindrique 24 disposée radialement en .1 gradins vers l’extérieur, de façon qu'il existe une partie j annulaire robuste 25 qui possède deB dents 26 (figures 3 et | 10 4) de préférence au nombre de dix-sept, avec un cercle pri- ! mitif d'environ 8 cm de diamètre et un espacement d'environ 15 mm, en prise depuis le dessous avec un brin guidé de la chaîne (non représenté). Cette chaîne peut être une simple i chaîne à rouleaux d'un type que l'on trouve dans le commerce.

J | j 15 Le corps de la moitié 3 de l'embrayage est percé diun alésage, | peut tourner librement et coulisser axialement sur l'extrémi té 27, de diamètre réduit, de l’arbre 8, qui s'étend à travers un manchon eoaxial 28 dirigé vers l’extérieur et fanant i bloc avec le corps. Un ressort hélicoïdal de compression Çf 20 (figure 1) situé au-dessuB de l'extrémité. 27 repose à unt ex-« trémité contre la moitié 3 de l'embrayage et bute à son t* tre | extrémité contre la support 7 adjacent.

La pièce 6 en forme de plaque (figures 5 et 6) J** -I sède une ouverture horizontale allongée 30 avec une extr^f'>· c ] 25 semi-circulaire 31 au moyen de laquelle elle est dispoiré*3 j avec un certain jeujsur la partie cylindrique 24 de la mcïf|| j 3 de l’embrayage, sa face extérieure 32 étant voisine, r'^ÊI, | avec un certain jeu, d'un épaulement 24' (figure 1) par la saillie située au-delà de la partie cylindrique 30 citée. Au voisinage de la ligne verticale passant par * * 9· tre de l'extrémité serai-circulaire 31 de l'ouverture V, plaque 6 possède, sur son côté dirigé vers 1 'épauleraei.* pièce 5 qui est interrompue par l'ouverture. Vue en gure 6), cette pièce comprend une section inclinée 33 35 élève doucement dans la direction normale à la plaque vie par une saillie plane 34. La pièce 5 peut être i trée, comme représenté , ou être une came normale.

Dans la position normale de la pièce 6, dans le la saillie 33. 34 n'est nas en contact avec 1 ' * ' 5 l'embrayage 3, 4 est maintenu.en prise par l'action gu ressort 29 qui sollicite, la moitié 3 de l'embrayage entraînée par la chaîne et coulissant axialement en contact d'entraînement avec la moitié 4 de l'embrayage montée fixe dans le 5 rouleau; Si, toutefois, la pièce 6 est déplacée longitudinalement pour amener la saillie 34 contre l'épaulement 24', la moitié entraînée 3 de l'embrayage est écartée, contre l'action du ressort, de la moitié 4 de l'embrayage, de sorte^que celui-ci n'est plus en prise et que le rouleau 1 cesse d'être 10 entraîné. Lors d'un déplacement de la plaque 6 dans le sens opposé, la venue en prise de l'embrayage et l'entraînement du rouleau sont réalisés automatiquement sous l'action du ressort 29. Ce résultat pourrait être obtenu ou facilité par une seconde surface-came sur la plaque 6, qui serait disposée 15 de façon à amener la moitié 3 de l'embrayage dans la direction de la venue en prise* Dans ce cas,le ressort 29 pourrait être supprimé. Dans une réalisation de ce genre, l'épaulement 24 de la plaque 6 est remplacé par une bride formant deux faces de réaction en came, et chaque section 33, 34 est remplacée 20 par une rainure-came présentant deux faces de came, l'une pour déplacer la moitié 3 de l’embrayage dans le sens.provoquant la mise hors de prise de la moitié 4, et l'autre pour déplacer la première moitié de l'embrayage dans la direction de débrayage. Les extrémités de la rainure-came ont des faces 25 décalées l'une par rapport à l'autre dans le sens de l'épaisseur de la plaque 6, disposées parallèlement à la plaque et qui sont reliées par des surfaces-cames inclinées et légèrement décalées pour produire les déplacements respectifs de la moitié 3 de l'embrayage. Des parties supérjaires et inférieu-30 res du pourtour des plaques sont assez épaisses pour recevoir la rainure.

Le déplacement longitudinal de la plaque 6 peut être réalisé par ou sous le contrôle d'un dispositif détect-eur de charge, par exemple par des dispositifs connus qui réagissent • 35 à l’état de chargement d'une section dutransporteur sii;uée en aval du rouleau 1 dont l'entraînement est contrôlé. Un dispositif utilisable à cet effet est représenté sur les figures j 1 et 2. Un cylindre ou un rouleau 35 détecteur de charge, s'fi j / ^ oirorîflQTvf! tT»cmflVûr»ûô1 tompnf. qîî*t» «no r\o m+.-î o mr\A -r. Λί-> -î ^4-· // ï .

I’. '6 du transporteur déterminée par le sommet des rouleaux 1, est supporté aux extrémités supérieures de leviers 36 montés pi-• votants sur une tige 38 supportée par les pièces 7 et: 20 et qui sont soumis par un ressort de tension 39 à une charge qui 5 les amène vers une position normale haute (représentée en . traits pleins sur la figure 2) contre une butée réglable 40. Lors du passage d'une charge au-delà du rouleau transporteur voisin 1, toutefois, le cylindre 35 est abaissé par la charge, de sorte que les leviers 36 prennent la position repré-10 sentée en tirets sur. la figure 2, grâce à quoi un mouvement I longitudinal vers la gauche est imposé à la plaque 6 par 1' I * intermédiaire d'une pièce coudée 41, et l'ensemble de cames I 33, 34 provoque la séparation des moitiés 3 et 4 de l'embraya- | ge, de sorte que le rouleau 1 cesse d'être entraîné. Quand le | 15 cylindre 35 n’est plus maintenu en position basse par l'exis- Îtence d'une charge, les pièces reprennent les positions représentées en traits pleins sur la figure 2, et l'embrayage I 3, 4 revient en prise sous l'action du ressort 29 (figure 1), S de sorte que le rouleau 1 est entraîné à nouveau. On peut ain- I 20 si obtenir plusieurs façons de commander les rouleaux 1 d'un ! transporteur, soit individuellement soit en groupe, et avec ! ou sans obligation d'un contrôle manuel ou automatique pour 1 satisfaire à des exigences particulières, notamment celles il, des transporteurs "à accumulation". Des moyens pour transmet- 125 tre des^ignaux en vue d'un contrôle ou d'une surveillance peuvent être associés à l'appareil décrit ci-dessus. A titre d' » exemple, la présence d'une charge , comme indiqué par la position des leviers 36, peut être contrôlée par un détecteur | 42 magnétique ou autre (figure 1“), monté au voisinage du tra- j| 30 jet de déplacement de l’extrémité inférieure d'un levier 36 j (figure 2).

if jl Pour faciliter la compréhension du fonctionnement, " on a supposé'qu’il s'agit d'un reuleau 1 unique qui est com- % mandé par une plaque 6. Toutefois, il peut être souvent dési- I · 35 râble ou nécessaire de commander en cynchronisme un certain nombre de rouleaux qui peuvent former un groupe. A cet eff » !un certain nombre de plaques 6 peuvent être reliées les une^ aux autres, chacune à l'aide d'un système de cames 33, 34, · l partie 30 d'ouverture à une extrémité de ohanue rflAnue été·* ? » « 7 ' complétée par une ouverture complémentaire à l'autre extré mité âe la plaque suivante, ou une seule plaque longue peut être percée â'ouvertures et munie âe systèmes âe cames pour un certain nombre de rouleaux. Par de telles dispositions, 5 on peut permettre l'entraînement contrôlable d'un nombre quelconque de rouleaux par un système direct transmetteur d'énergie. Le dispositif d'entraînement peut être réalisé de façon à pouvoir être séparé d'un nombre quelconque désiré de rouleaux et pour une période désirée quelconque.

10 La forme de la plaque '6 représentée sur les figures 2, 5 et 6 est utilisable lorsque plusieurs plaques de ce type doivent être reliées les unes aux autres. A l'extrémité opposée à l'ouverture 30, chaque plaque 6 possède une ouverture 44 complémentaire de la partie semi-circulaire 31 de 15 l'ouverture 30. Des plaques 6 successives sont réunies par des goupilles 45 (figure 2) qui traversent des trous 46 (figure 5) dans des extrémités chevauchantes des plaques. Lorsque deux plaques 6 sont réunies, une ouverture allongée à extrémités semi-circulaires est constituée par une partie 20 de l'ouverture 30 d'une plaque et pari'ouverture 44 de la plaque voisine. La figure 2 montre une partie d'un transporteur a,yant trois rouleaux 1 et des plaques 6 associées qui se déplacent tous en synchronisme pour actionner des embrayages respectifs 3, 4 des rouleaux 1 sous le contrôle, dans l'exem-25 pie représenté, de l'ensemble unique de composants 35 à 41.

Les plaques 6, en pontant l'intervalle compris entre les rebords de la pièce 7» complètent la fermeture des dispositifs d'entraînement des rouleaux comprenant la chaîne et les dents d'engrenage, et, si on le désire, l'actionnement par roue 30 dentée de la chaîne depuis un moteur. Il n'est pas nécessaire ce prévoir des dispositifs protecteurs supplémentaires pour une longueur quelconque d'un transporteur à rouleaux entraîné mécaniquement.

On peut utiliser d'autres types d'embrayages, en de-35 hors d'embrayages ayant d'autres formes de cliquets ou de dents. Les embrayages peuvent être ou non destinés à glisser en cas de surcharges ou si une personne est emprisonnée par / / de^rouleaux . On peut également utiliser d'autres systèmes i [/

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I ’ *· K ’ 8 |l . Les organes d’embrayage 3, 4 en forme de moyeu peu- II vent avantageusement être réalisés en un matériau plastique i tel que du nylon. Ils peuvent Être réalisés chacun, y com- i j - pris le découpage des dents, par usinage d’une ébauche en I , 5 matériau plastique avec une grande précision dans la concen-

Itricité. En variante, des manchons qu'on peut enclencher, en polytétrafluoréthylène, peuvent être adaptés comme paliers j dans des pièces eniforme de moyeu. Les plaques peuvent être * | également réalisées en un matériau plastique, mais un quel- | 10 conque de ces composants peut être réalisé en méta^/ i î i j ] i ! i | j i 3 i ï f \ \ 4 ) j -i ï j i ! * i j i i j i \ i i i i

Claims (11)

1. Ensemble porteur de chârgesjsusceptible.· d'être entraîné, comprenant un rouleau transporteur, des dispositifs d’entraînement de ce rouleau situés à upe extrémité de 5 celui-ci, et un embrayage situé à cette extrémité pour relier le rouleau au système d'embrayage, et caractérisé en ce que l'embrayage peut être actionné par un déplacement linéaire d'organes ménagés sur ou mobiles avec un organe qui protège le dispositif d'entraînement précité. 10

2 - Ensemble suivant la revendication 1, caractéri sé en ce que l'organe protecteur comprend une plaque qui peut * être déplacée à angle droit par rapport -au rouleau et qui possède un système à cames capable de venir en prise avec une partie de l'embrayage pour déplacer cette partie dans le sens 15 axial du rouleau par rapport à une autre partie de l'embrayage, grâce à quoi l'accouplement du rouleau au dispositif d' entraînement par l'embrayage est contrôlé.

3. Ensemble suivant la revendication 2, caractérisé ence que la plaque est guidée de façon coulissante entre des 20 rebords du côté, dirigé vers le rouleau, d'un organe porteur de rouleau qui protège lui-même les organes d'entraînement sur d'autres côtés.

4. Ensemble suivant l'une des revendications 2 et 3, caractérisé en ce que la partie précitée de l'embrayage 25 est soumise à l'action d'un ressort qui la sollicite vers sa position embrayée et peut être amenée dans sa position dé- , brayée par le système à.,-cames.

5. Ensemble suivant l'une des revendications 2 à 4, caractérisé en ce que la partie précitée de l'embrayage est 30 mobile à la fois vers sa position embrayée et sa position débrayée par le système à cames.

6. Ensemble suivant l'une des revendications 1 à 5, caractérisé en ce que le dispositif d'entraînement comprend une chaîne entraînée continuellement, et en ce qu'une partie • 35 de l'embrayage possède des dents avec lesquelles la chaîne est en contact d'entrainement, tandis que l'autre partie de l'embrayage est montée fixe dans le rouleau.

7. Ensemble suivant l'une des revendications 1 à fs J 1 l 10 «> I - if * ’ - ' m dents dont les parties coopérantes ont des formes troncom- ques complémentaires.

8. Ensemble suivant l'une.des revendications 1 à 7» caractérisé en ce que l'organe protecteur est relié opérati- I5 vement à des dispositifs susceptibles d'être actionnés par I * une charge transportée.

9. Transporteur comprenant un certain nombre d'en- j semblés de rouleaux suivant l'une des revendications 1 à 8, p caractérisé en ce que les organes protecteurs des ensembles 10 successifs sont reliés les uns aux autres de façon à se déplacer en synchronisme.

; * 10 — Transporteur suivant la revendication 9, carac térisé en ce que les organes protecteurs des ensembles ont à ] chaque extrémité des ouvertures qui, lorsque des organes ad- 1 15 jacents sont reliés les uns aux autres, délimitent une ouver- 5 ί ture à travers laquelle passe la partie mobile de l'embraya- i; j; ge et qui permet le déplacement de l'organe protecteur pour | déplacer cette partie de l'embrayage.

11. Transporteur suivant l'une des revendications 9 j 20 et 10, caractérisé en ce qu'un certain nombre d'organes pro- I tecteurs sont reliés opérativement à un dispositif actionné ; par une charge. I r _»3................- 'ί· î L ‘ 1 Λ- r - - I η Γ- ' λ....... ..... - ........δ........ - '· j 2. - « <f ......À .....· :-ï i ------ λ S rmxij- ! L6 Γ.// -y IL· ! —"‘"cÎisrics Kiuncnori * H \ i i S