FR3119467A3 - Système de maintien d’une monture de lunettes - Google Patents

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Abstract

Système de maintien d’une monture de lunettes. Système de maintien (3) d’une monture de lunettes (1) sur le visage d’un porteur d’une telle monture de lunettes (1), ladite monture de lunettes (1) comportant une façade (2), des moyens de maintien avant (4) dudit système de maintien (3) de ladite façade (2) sur le nez dudit porteur, des moyens de maintien crâniens (5) du système de maintien (3) issus de la façade (2) et formés par au moins deux paires inférieure et supérieure de pattes (6, 7), la paire inférieure de pattes (6) étant configurée pour venir en appui de part et d’autre du visage dudit porteur sur les zones de l'articulation temporo-maxillaire dudit porteur, ledit système de maintien (3) étant caractérisé en ce que la paire supérieure de pattes (7) est configurée pour venir en appui de part et d’autre du crâne dudit porteur sur les zones arrière pariétales. Monture de lunettes comportant un tel système de maintien (3). Figure pour l’abrégé : Fig.1

Description

Système de maintien d’une monture de lunettes
Le domaine technique concerne de manière générale le domaine de la lunetterie et plus particulièrement d’une monture de lunettes, et celui d’une paire de lunettes comportant une telle monture de lunettes.
Le terme monture de lunettes englobe les montures de lunettes de type optiques ou solaires, comportant une façade constituée d'un masque ou de deux verres, reliée au moins à une branche par l'intermédiaire d'une partie formant tenon, chaque tenon étant rattaché directement à la façade ou à un cadre cerclant au moins partiellement la façade. La façade comprend en outre des plaquettes d’appui venant en appui sur le nez du porteur. Eventuellement, la monture de lunettes comporte au moins une branche passant de la position déployée à la position repliée, et inversement, grâce à un assemblage mobile à pivotement, soit une articulation ou une charnière, formant une liaison entre la branche et un tenon associé rattaché à la façade.
La tenue de la monture de lunettes sur le visage du porteur est obtenue traditionnellement d’une part à l'aide de branches venant s’appuyer sur et derrière les oreilles dudit porteur, et d’autre part à l’aide de deux plaquettes d’appui de la monture en appui sur le nez dudit porteur.
Cette solution de monture traditionnelle offre un confort et un maintien suffisant pour une activité normale (lecture, conduite...) et peu remuante, mais elle est inadaptée dans le cas de gestes importants et rapides, ainsi que dans des positions où l’utilisateur adopte une position avec le visage vers le bas. La monture peut alors se soulever et se détacher du visage. La monture assure un bon maintien dans le cas d’un mouvement du visage horizontal à faible vitesse, mais pas dans le cas d’un mouvement vertical de bas en haut.
Afin de résoudre ces inconvénients, le document FR2845490 enseigne une structure unique en métal posée sur le nez, de type monture de lunettes, dont la tenue est assurée notamment par appui de chaque côté du visage sur les zones de l'articulation temporo-maxillaire et fronto-pariétales. Plus précisément, il y est enseigné que le système répartit cet appui de chaque côté du visage à l'aide de quatre pattes, la répartition de cette pression se réalisant entre deux pattes inférieures et deux pattes supérieures qui adhèrent respectivement sur les zones temporo-maxillaire et les zones fronto-pariétales avant situées juste au-dessus de l'os temporal de chaque côté du visage.
Il est enseigné dans le document FR2845490 que la zone de l'articulation temporo-maxillaire forme un léger bossage sur le visage. Etant peu innervée, une pression sur cette zone est indolore, ce qui permet aux pattes inférieures du système de maintien de venir se loger derrière ce bossage avec une pression suffisante pour le maintien de la monture sans occasionner de gêne au porteur de la monture.
Il est enseigné dans le document FR2845490 également que la pression d’appui exercée par les pattes supérieures sur les zones fronto-pariétales est moins importante que celle exercée par les pattes inférieures sur les zones de l'articulation temporo-maxillaire. La fonction de ces pattes supérieures, à savoir la stabilité de la monture sur le visage, demande d'ailleurs moins de force de pression que le maintien, car la stabilité est assurée par l'adhérence sur le visage des extrémités des pattes supérieures équipées de coussins en matériau élastomère, empêchant la monture de basculer verticalement sur le haut du visage. Les pattes inférieures assurent la tenue du système sur le visage en empêchant le mouvement horizontal de la monture, et les pattes supérieures assurent la stabilité de l'ensemble du système sur le visage en empêchant le mouvement vertical de la monture.
L'objectif de la présente invention est de remédier au problème de tenue d’une monture de lunettes sur le visage d’un porteur dans le cas d’un mouvement horizontal vif ou d’un mouvement vertical du visage d’un porteur.
Un autre objectif de l’invention est d’améliorer le système de maintien d’une monture de lunettes décrit dans le document FR2845490 en proposant un système de maintien d’une monture de lunettes sur le visage d’un porteur plus efficace tout en restant confortable.
A cet effet, l’invention concerne un système de maintien d’une monture de lunettes sur le visage d’un porteur d’une telle monture de lunettes, ladite monture comportant une façade, des moyens d’appui avant dudit système de maintien de ladite façade sur le nez dudit porteur, des moyens de maintien crâniens du système de maintien issus de la façade et formés par au moins deux paires inférieure et supérieure de pattes, la paire inférieure de pattes étant configurée pour venir en appui de part et d’autre du visage dudit porteur sur les zones de l'articulation temporo-maxillaire dudit porteur, ledit système de maintien étant caractérisé en ce que la paire supérieure de pattes est configurée pour venir en appui de part et d’autre du crâne dudit porteur sur les zones arrière pariétales dudit porteur.
En fait, la longueur de la paire supérieure de pattes leur permet de partir de l’avant du crâne, depuis la façade, pour s’étendre vers l’arrière du visage, au-delà de la zone fronto-pariétale, et venir prendre appui sur la partie arrière du crâne du porteur, pour l’enserrer. Ainsi, le maintien de la monture sur le visage du porteur est amélioré. Ces pattes s’étendent au-delà de ligne de suture coronale du crâne du porteur, et de l’os sphénoïde du porteur, pour atteindre une zone du crâne qui est à l’arrière du crâne du porteur, relativement à la position du visage dudit porteur. Cette zone va en se rétrécissant, orientée vers l’arrière du crâne. Ainsi, contrairement au système de maintien décrit dans le document FR2845490, les pattes supérieures ne permettent pas seulement de servir de point d’appui pour la stabilité de la monture sur le visage du porteur lorsque le porteur a la tête vers le bas, mais elles permettent aussi un maintien de la monture sur le visage du porteur en cas de mouvements rapides horizontaux ou verticaux, en synergie avec l’action de la paire de pattes inférieures et des moyens d’appui avant. En outre, la zone d’appui de cette paire de pattes supérieures selon l’invention sur le crâne du porteur est une zone moins innervée et moins sensible à des pressions longues, ce qui ne nuit pas au confort de la monture portée.
On obtient ainsi une monture de lunettes présentant un bon maintien sur le visage d’un porteur grâce au système de maintien selon l’invention de ladite monture sur le visage dudit porteur de ladite monture de lunettes.
Selon une autre caractéristique de l’invention, les moyens de maintien crâniens du système de maintien comportent une paire additionnelle de pattes, configurée pour venir en appui de part et d’autre du visage dudit porteur sur les zones temporales arrière dudit porteur.
En fait, les pattes de cette paire additionnelle passent juste au-dessus de l’oreille externe ou auricule, dans l’espace formé entre la peau du visage et l’hélix de l’oreille externe. Ces pattes peuvent également s’appuyer sur le dessus de la partie de l’oreille externe connectant l’oreille externe au visage du porteur de la monture, dans une position similaire à celle d’une branche de lunettes traditionnelle.
La longueur de la paire additionnelle de pattes leur permet de partir de l’avant du crâne, depuis la façade, pour s’étendre vers l’arrière du visage et venir prendre appui sur le crâne du porteur, derrière les oreilles externes, pour enserrer le crâne dudit porteur. Ainsi, le maintien de la monture sur le visage du porteur est encore amélioré. Ces pattes s’étendent au-delà de l’oreille pour atteindre une zone du crâne présentant une courbure orientée vers l’arrière du crâne. Ainsi, les pattes permettent un maintien supplémentaire de la monture sur le visage du porteur, en synergie avec l’action de la paire de pattes inférieures et des moyens d’appui avant. En outre, la zone d’appui de cette paire additionnelle de pattes à l’arrière des oreilles du porteur est une zone moins innervée et sensible à des pression longues, ce qui ne nuit pas au confort de la monture portée.
L’esthétisme de la monture est aussi également modifié et permet une plus grande liberté de forme de la monture de lunettes, notamment au niveau des six pattes des moyens de maintien crâniens.
Selon une autre caractéristique de l’invention, les pattes des moyens de maintien crâniens du système de maintien se rejoignent pour former de part et d’autre de la façade de ladite monture de lunettes une branche rattachée à ladite façade.
Selon une autre caractéristique de l’invention, chaque branche du système de maintien est rattachée à un tenon de ladite façade par une charnière articulée.
Cela permet de simplifier le rangement de la monture de lunettes une fois les branches en position pliée, c’est-à-dire les branches portées par un plan directeur sensiblement parallèle à un plan directeur de la façade.
Selon une autre caractéristique de l’invention, les moyens d’appui avant dudit système de maintien de ladite façade sur le nez dudit porteur comportent des plaquettes d’appui contre le nez du porteur en matériau élastomère.
Cela améliore le confort au porté de la monture de lunettes au niveau du nez du porteur.
Selon une autre caractéristique de l’invention, les pattes des moyens de maintien crâniens du système de maintien comportent des organes d’appui contre la peau du porteur en matériau élastomère.
Cela améliore le confort au porté de la monture de lunettes par un porteur.
Ces organes d’appui peuvent être à l’extrémité des pattes, ou recouvrir en partie les pattes sur toute leur longueur.
L’invention concerne également une monture de lunettes comportant un système de maintien d’une monture de lunettes présentant tout ou partie des caractéristiques du système de maintien selon l’invention décrites ci-avant.
L’invention concerne également une paire de lunettes comportant une monture de lunettes avec un système de maintien d’une telle monture de lunettes présentant tout ou partie des caractéristiques de la monture de lunettes et du système de maintien selon l’invention décrites ci-avant.
D’autres buts et avantages de la présente invention apparaîtront au cours de la description qui va suivre se référant aux dessins ci-joints illustrant des exemples de réalisation et dans lesquels :
est une vue en perspective schématique d’une monture de lunettes selon l’invention portée sur le visage par un porteur ;
est une vue schématique d’une monture de lunettes selon un autre mode de réalisation de l’invention, comportant une paire supérieure de pattes et une paire inférieure de pattes ;
est une vue schématique d’une monture de lunettes selon encore un autre mode de réalisation de l’invention, comportant une paire supérieure de pattes, une paire inférieure de pattes et une paire additionnelle de pattes.
L’invention concerne une monture de lunettes 1. Cette monture de lunettes 1 est destinée à être portée sur le visage d’un porteur, comme illustré sur la .
Le porteur et la monture de lunettes sont définis dans l’espace par rapport à la , sur laquelle le porteur présente un visage définissant l’avant de sa tête. Ainsi, l’avant du visage et de la monture correspondent à la droite de la , l’arrière à la gauche de la , le haut au haut de la et le bas au bas de la .
La monture de lunettes 1 comporte une façade 2. Cette façade 2 peut recevoir des verres 10, ou un masque, optiques, solaires ou de présentation. Cette façade 2 peut se présenter sous la forme d’une armature retenant au moins partiellement des verres 10 pour former une monture de lunettes, dite cerclée si les verres sont cerclés complètement par l’armature, ou demi-cerclée si les verres sont cerclés partiellement par l’armature. Selon un mode de réalisation alternatif de l’invention, la façade 2 est constituée de tenons de chaque côté de la monture de lunettes 1, rattachés à des verres 10, ou masque, pour former une monture de lunettes dite percée. Un pont nasal 20 de la façade 2 peut relier les verres 10 l’un à l’autre, ce pont nasal 20 pouvant faire partie de l’armature retenant les verres dans le cas d’un monture cerclée ou demi-cerclée.
La monture de lunettes 1 comporte également un système de maintien 3 de ladite monture de lunettes 1 sur le visage d’un porteur. Ce système de maintien 3 comporte des moyens de maintien avant 4 situés à l’avant de la monture de lunettes 1, sur la façade 2, et des moyens de maintien crâniens 5 s’étendant depuis la façade 2 vers l’arrière de la monture de lunettes 1.
Les moyens de maintien avant 4 sont formés de surfaces d’appui destinées à être mises en appui contre le nez d’un porteur équipé de la monture de lunettes correspondante, et plus précisément en appui contre les ailes du nez.
Ces moyens de maintien avant 4 peuvent comporter des plaquettes d’appui 40 en matériau élastomère et des portes plaquettes 41 rattachées d’une part à la façade 2 et d’autre part auxdites plaquettes d’appui 40. Ces plaquettes d’appui 40 forment alors des éléments d’appui contre la peau d’un porteur en matériau élastomère. Par matériau élastomère, on désigne dans cette description un matériau plastique souple, injectable ou non, présentant un effet de rappel élastique. Un matériau élastomère peut par exemple être un silicone, ou un caoutchouc, notamment un caoutchouc dénommé communément EPDM, le terme EPDM correspondant à un acronyme désignant un polymère thermoplastique de monomère éthylène-propylène-diène.
Selon un mode de réalisation alternatif, ces moyens de maintien avant 4 sont formés de au moins une surface d’appui de l’un du masque, des verres 10 ou du pont nasal 20, ladite au moins une surface d’appui étant destinée à venir en appui avec le nez d’un porteur portant la monture de lunettes 1. Cette au moins une surface d’appui peut être celle directement respectivement du masque, des verres 10 ou du pont nasal 20, ou être une au moins une surface d’appui d’au moins une pièce en matériau élastomère rapportée sur ledit masque, lesdits verres 10 ou ledit pont nasal 20. Dans ce dernier cas, cette au moins une pièce en matériau élastomère forme des éléments d’appui contre la peau d’un porteur en matériau élastomère.
Les moyens de maintien crâniens 5 comportent au moins deux paires de pattes s’étendant depuis la façade 2, chacune des paires de pattes présentant une patte s’étendant depuis un côté de la façade 2 vers l’arrière, et une autre patte s’étendant depuis l’autre côté de la façade 2 vers l’arrière.
En fait, les moyens de maintien crâniens 5 comportent une paire inférieure de pattes 6 et une paire supérieure de pattes 7.
La paire inférieure de pattes 6 est configurée pour venir en appui de part et d’autre du visage dudit porteur sur les zones de l'articulation temporo-maxillaire dudit porteur quand celui-ci porte ladite monture de lunettes 1.
De plus, la paire supérieure de pattes 7 est configurée pour venir en appui de part et d’autre du crâne dudit porteur sur les zones arrière pariétales dudit porteur quand celui-ci porte ladite monture de lunettes 1.
Selon un mode particulier de réalisation de l’invention, notamment illustré sur la , les moyens de maintien crâniens 5 comportent, outre une paire inférieure de pattes 6 et une paire supérieure de pattes 7, une paire additionnelle de pattes 7’.
Cette paire additionnelle de pattes 7’ est configurée pour venir en appui de part et d’autre du visage dudit porteur sur les zones temporales arrière dudit porteur quand celui-ci porte ladite monture de lunettes 1. Les pattes de cette paire additionnelle de pattes 7’ passent alors au-dessus de l’auricule ou oreille externe. Elles peuvent venir traverser l’espace entre l’hélix et la peau du crâne dudit porteur, au-dessus et éventuellement en appui contre la partie de l’oreille externe reliant l’auricule au crâne dudit porteur.
Selon une caractéristique de l’invention, une partie ou la totalité des paires de pattes inférieure, supérieure ou additionnelle 6, 7, 7’ sont agencées pour partir depuis la façade 2, avec des extrémités libres des pattes dirigées vers l’arrière du visage se rapprochant l’une vers l’autre.
Ces une partie ou de la totalité des paires de pattes inférieure, supérieure ou additionnelle 6, 7, 7’ enserrent au moins partiellement la tête dudit porteur de ladite monture de lunettes 1.
Chaque paire de pattes peut être rattachée directement à la façade 2, comme illustré sur la .
Selon un mode de réalisation alternatif illustré sur la ou la , les paires de pattes 6, 7, 7’ se rejoignent pour former, de part et d’autre de la façade 2 de ladite monture de lunettes 1, une branche 8 rattachée à ladite façade 2.
Comme illustré sur les figures 2 et 3, la façade 2 peut comporter un tenon 9 de part et d’autre latéralement, auquel la branche 8 correspondante est rattachée.
Il convient de noter que le rattachement desdites branches 8 auxdits tenons 9 peut être un rattachement fixe rendant solidaire ladite branche 8 audit tenon 9, mais ce rattachement peut se faire par l’intermédiaire d’une charnière articulée 80 dont des charnons coopérant entre eux sont rattachés les uns à la branche 8 et les autres au tenon 9.
Ainsi, la monture de lunettes 1 peut présenter une position déployée, comme illustré sur les figures 1 à 3, permettant à un porteur de porter la monture de lunettes 1 sur son visage, et une position pliée ou compacte, les pattes étant dans une position rapprochée à proximité de la façade 2, les pattes étant alors portées par un plan directeur sensiblement parallèlement à un plan directeur de ladite façade 2.
Selon une autre caractéristique de l’invention, les pattes des moyens de maintien crâniens 5 du système de maintien 3 comportent des organes d’appui 50 contre la peau du porteur. Ces organes d’appui 50 peuvent être en un matériau élastomère, par exemple identique à celui des plaquettes d’appui 40 des moyens de maintien avant 4 dudit système de maintien 3. Ces organes d’appui 50 peuvent être rattachés à l’extrémité de tout ou partie des pattes, ou présenter une forme de manchon venant recouvrir une portion d’une ou plusieurs pattes, notamment au niveau des zones de contact entre les pattes et la peau d’un porteur portant ladite monture de lunettes 1 le long des pattes.
L’invention concerne également une monture de lunettes 1 comportant un système de maintien 3 tel que décrit précédemment.
L’invention concerne enfin une paire de lunettes comportant une monture de lunettes 1 avec un système de maintien 3 d’une monture de lunettes 1 sur le visage d’un porteur tel que décrit ci-avant.

Claims (8)

  1. Système de maintien (3) d’une monture de lunettes (1) sur le visage d’un porteur d’une telle monture de lunettes (1), ladite monture de lunettes (1) comportant une façade (2), des moyens de maintien avant (4) dudit système de maintien (3) de ladite façade (2) sur le nez dudit porteur, des moyens de maintien crâniens (5) du système de maintien (3) issus de la façade (2) et formés par au moins deux paires inférieure et supérieure de pattes (6, 7), la paire inférieure de pattes (6) étant configurée pour venir en appui de part et d’autre du visage dudit porteur sur les zones de l'articulation temporo-maxillaire dudit porteur, ledit système de maintien (3) étant caractérisé en ce que la paire supérieure de pattes (7) est configurée pour venir en appui de part et d’autre du crâne dudit porteur sur les zones arrière pariétales dudit porteur.
  2. Système de maintien (3) selon la revendication 1, caractérisé par le fait que les moyens de maintien crâniens (5) du système de maintien (3) comportent une paire additionnelle de pattes (7’) configurée pour venir en appui de part et d’autre du visage dudit porteur sur les zones temporales arrière dudit porteur.
  3. Système de maintien (3) selon l’une des revendications 1 ou 2, caractérisé par le fait que les pattes des moyens de maintien crâniens (5) du système de maintien (3) se rejoignent pour former de part et d’autre de la façade (2) de ladite monture de lunettes (1) une branche (8) rattachée à ladite façade (2).
  4. Système de maintien (3) selon la revendication 3, caractérisé par le fait que chaque branche (8) du système de maintien (3) est rattachée à un tenon (9) de ladite façade (2) par une charnière articulée (80).
  5. Système de maintien (3) selon l’une des revendications 1 à 4, caractérisé par le fait que les moyens de maintien avant (4) dudit système de maintien (3) de ladite façade (2) sur le nez dudit porteur comportent des plaquettes d’appui (40) contre le nez du porteur en matériau élastomère.
  6. Système de maintien (3) selon l’une des revendications 1 à 5, caractérisé par le fait que les pattes des moyens de maintien crâniens (5) du système de maintien (3) comportent des organes d’appui (50) contre la peau du porteur en matériau élastomère.
  7. Monture de lunettes (1) comportant une façade (2), caractérisée par le fait que ladite monture de lunettes (1) comporte un système de maintien (3) d’une monture de lunettes sur le visage d’un porteur selon l’une des revendications 1 à 6.
  8. Paire de lunettes comportant une monture de lunettes (1) selon la revendication 7.
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