FR3107452A1 - Dispositif de sécurité à usage sportif et installation pourvue d’un tel dispositif - Google Patents

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Abstract

L’invention concerne un dispositif (20) de sécurité, notamment pour l’aide à l’ambulation de personnes, et une installation pourvue d’un tel dispositif. Le dispositif comprend : - un réseau de suspentes (100) s’étendant parallèlement à un plan d’ambulation (14), un espacement inter-suspente (120) séparant chaque suspente respectivement d’autres suspentes plus proches voisines du réseau de suspentes (100), - au moins une navette (130) retenue dans l’espacement inter-suspente (120) avec une liberté de mouvement dans l’espacement inter-suspente, parallèlement au plan d’ambulation (14), - au moins une élingue (134), solidaire de la navette (130) et pourvue d’un harnais (140) L’invention trouve des applications dans les domaines de la gériatrie, de la rééducation fonctionnelle et de la pratique sportive notamment. Figure 1

Description

Dispositif de sécurité à usage sportif et installation pourvue d’un tel dispositif
La présente invention concerne un dispositif de sécurité à usage sportif et une installation pourvue d’un tel dispositif. Il s’agit plus précisément d’un dispositif et d’une installation pouvant être mis en œuvre pour sécuriser l’ambulation de personnes ayant des difficultés à marcher. Il peut s’agir, par exemple, de personnes ayant un équilibre précaire, des difficultés de synchronisation des mouvements, des difficultés de symétrie des mouvements, ou une faiblesse musculaire. Le dispositif vise à prévenir et à empêcher la chute d’une personne dans une zone d’ambulation. Le dispositif est destiné notamment à des personnes souffrant d’un handicap ou d’une invalidité limitant leur faculté à se déplacer.
L’invention trouve, dans ce cas, des applications pour la sécurisation des personnes notamment dans des établissements de rééducation et des établissements de gériatrie. Le dispositif trouve également des applications pour l’aménagement du domicile de personnes avec un handicap moteur, ou de personnes âgées.
Accessoirement, le dispositif ou l’installation peuvent également être adaptés à une piscine ou à un plan d’eau quelconque pour sécuriser des personnes nageant ou marchant dans l’eau.
Le dispositif ou l’installation peuvent également être utilisés par des personnes valides à des fins sportives ou artistiques. Dans ce cas le dispositif et l’installation de l’invention peuvent servir d’agrès sportifs, tout en permettant au besoin de sécuriser les utilisateurs à l’encontre d’une chute inopinée.
Dans la suite de la description, les références à la fonction d’aide à l’ambulation du dispositif de l’invention, sont comprises comme n’excluant pas une utilisation du dispositif pour des activités sportives autres que l’ambulation.
Etat de la technique antérieure
On connait des dispositifs antichute pour des personnes travaillant sur des chantiers en hauteur. Ces dispositifs comprennent une ligne de vie reliant une personne à sécuriser à un câble ou un rail et empêchent la personne de chuter.
Un exemple de tels équipements peut être trouvé, par exemple, dans le document US5279385.
L’utilisation de telles lignes de vie s’avère toutefois inappropriée pour sécuriser des personnes invalides ou fragiles.
Une première difficulté est liée au déplacement d’une ligne de vie le long de son parcours. Si ce déplacement demande des efforts trop importants de l’utilisateur le dispositif antichute risque de constituer une entrave bien plus qu’une aide à l’ambulation pour les personnes affaiblies.
Une autre difficulté est que les lignes de vie connues permettent généralement un déplacement rectiligne, par exemple le long d’un câble ou d’un rail, mais ne permettent pas le déplacement sur l’ensemble de la surface d’un plancher.
Enfin, une difficulté est que les lignes de vie antichute n’empêchent généralement pas la chute de la personne qui en est équipée mais limitent simplement la hauteur de la chute.
La présente invention a pour but de proposer un dispositif de sécurité permettant d’éviter la chute d’une personne qui en est équipée.
L’invention a également pour but de proposer un tel dispositif autorisant des déplacements d’une personne à deux dimensions, par exemple sur la surface d’un plancher d’ambulation, dans le bassin d’une piscine ou dans un plan d’eau.
L’invention a encore pour but de proposer un tel dispositif d’aide à l’ambulation qui ne constitue pas de gêne pour les mouvements des personnes qui en sont équipés, ou, pour le moins, qui limite considérablement cette gêne.
Pour atteindre ces buts, l’invention propose plus précisément un dispositif de sécurité comprenant :
- un réseau de suspentes s’étendant parallèlement à un plan d’ambulation, un espacement inter-suspente séparant chaque suspente respectivement d’autres suspentes plus proches voisines du réseau de suspentes,
- au moins une navette retenue par les suspentes, par complémentarité de forme avec les suspentes, la navette présentant une liberté de mouvement dans l’espacement inter-suspente, parallèlement au plan d’ambulation,
- au moins une élingue, l’élingue étant solidaire de la navette et s’étendant hors du réseau de suspentes, au-delà des extrémités libres des suspentes.
On entend par plan d’ambulation un plan qui s’étend parallèlement à un plancher sur lequel une personne équipée du dispositif de sécurité peut marcher. Le plan d’ambulation peut être confondu avec la surface du plancher. Lorsque le dispositif est destiné à une piscine ou à un plan d’eau quelconque, le plan d’ambulation peut être assimilé au fond de la piscine, respectivement du plan d’eau, ou à la surface de l’eau. Le plan d’ambulation est de préférence un plan horizontal.
Ainsi, dans la description qui suit, la référence au plan d’ambulation ou à un plancher est compris comme n’excluant pas l’utilisation du dispositif d’aide à l’ambulation au-dessus d’une piscine ou d’un plan d’eau.
Le réseau de suspentes s’étend parallèlement au plan d’ambulation c’est à dire parallèlement à un plancher. Il est disposé en hauteur de manière à ne pas gêner les utilisateurs. Par exemple, une distance minimum de deux mètres, mais aussi une distance bien supérieure, peut être prévue entre le plancher et le réseau de suspentes.
Le réseau de suspentes est formé d’une pluralité de suspentes individuelles qui peuvent être fixées à une superstructure. Aussi chaque suspente peut présenter une extrémité de fixation par laquelle elle est fixée à la superstructure, et une extrémité libre.
La superstructure peut être constituée directement par le plafond d’une pièce équipée du dispositif. La superstructure peut aussi comporter une ossature de montage des suspentes reçue sur des piliers ou fixée à un bâti. En particulier l’ossature peut être fixée aux murs ou au plafond d’une pièce d’un logement, par exemple.
Lorsque la superstructure est pourvue de jambages ou de piliers de support, ces piliers peuvent reposer sur le sol ou le plancher, et y être fixés. La superstructure peut aussi être équipée de roues pour permettre son déplacement sur le sol ou des flotteurs pour être reçue sur un plan d’eau.
Le réseau de suspentes a pour fonction de retenir la navette en hauteur, au voisinage de la superstructure ou du plafond, tout en autorisant un déplacement de la navette parallèlement au plan d’ambulation. Le réseau de suspentes définit des chemins de circulation de la navette dans l’espacement inter-suspentes. Une complémentarité de forme entre les suspentes et la navette interdit à la navette de se libérer du réseau de suspentes mais autorise une circulation de la navette à l’intérieur du réseau des suspentes, et plus précisément dans l’espacement inter-suspentes. Dans un mode de réalisation simple, la complémentarité de forme peut se limiter à un rétrécissement local de l’espacement inter-suspentes empêchant la navette de passer au travers d’une partie rétrécie de l’espacement inter-suspentes. Le rétrécissement local de l’espacement inter-suspente peut se situer de préférence au voisinage de l’extrémité libre des suspentes.
On considère que la navettecircule «dans le réseau de suspentes»lorsque la navette, ou pour le moins une partie de la navette, se déplace dans l’espace inter-suspentes. Ce déplacement peut être provoqué par une composante horizontale d’une sollicitation exercée sur l’élingue.
Par ailleurs, la référence à une navette au singulier ne préjuge pas de l’utilisation de plusieurs navettes. Dans ce cas, chaque navette peut respectivement être associée à une élingue. Un tel dispositif permet alors de sécuriser plusieurs personnes simultanément ou d’offrir une aide supplémentaire à une personne sécurisée.
Comme évoqué plus haut, une élingue est attachée à la navette et s’étend en dehors du réseau de suspentes en direction du plancher sur lequel peut marcher l’utilisateur. L’élingue peut être souple ou rigide. L’élingue peut se présenter, par exemple, sous la forme d’une cordelette ou d’une sangle. Elle peut être mise à disposition d’un utilisateur pour lui permettre de se retenir en cas de chute. De manière avantageuse, l’élingue peut être associée à un harnais, une poignée, un support porte charges, par exemple un panier ou un agrès sportif quelconque telle qu’un anneau ou une barre de gymnastique. Les accessoires, peuvent être attachés à l’élingue et notamment à une extrémité de l’élingue opposée à celle qui est solidaire de la navette.
Lorsque l’élingue est pourvue d’un harnais, et que le harnais est porté par un utilisateur, l’élingue peut être utilisée comme une ligne de vie afin de sécuriser l’utilisateur à l’encontre d’un risque de chute. L’utilisateur peut également saisir directement l’élingue ou une poignée de l’élingue.
Il convient de préciser que plusieurs élingues peuvent être attachées à une même navette. Ainsi, un harnais peut être relié à la navette par plusieurs élingues fixées en différentes parties du harnais.
Le matériau de l’élingue est de préférence un matériau léger et résistant. L’élingue peut être réalisée en fibres synthétiques, par exemple en nylon, en kevlar, ou en fibres provenant ou s’apparentant à celles de toiles d’araignées. Le dispositif peut comporter une élingue souple. En particulier lorsqu’elle est fixée à un harnais, une élingue avec une certaine souplesse et une certaine élasticité, permet d’amortir les forces de rétention appliquées au harnais en cas de début de chute de l’utilisateur.
L’élingue peut également être rigide, notamment lorsqu’elle sert de support ou d’agrès sportif. Dans le cas d’une aide à l’ambulation une élingue rigide peut être utilisée pour s’y agripper. Elle s’apparente à lors à une canne « tournée vers le haut». En particulier le dispositif peut comporter une élingue rigide reliée à une armature de la navette par l’intermédiaire d’un système d’amortissement.
Comme indiqué ci-dessus, l’élingue est fixée à la navette. Lorsque la navette est entièrement contenue dans le réseau de suspentes, l’élingue peut traverser la partie rétrécie de l’espacement inter-suspentes pour atteindre l’utilisateur. Toutefois, la navette peut aussi présenter un appendice de fixation de l’élingue s’étendant légèrement hors du réseau de suspentes à travers la partie rétrécie de l’espacement inter-suspentes.
Lorsqu’elle est pourvue d’un harnais, la longueur de l’élingue peut être choisie légèrement plus grande que la distance qui sépare sa fixation sur le harnais de la navette. Ainsi, elle ne gêne pas l’utilisateur dans ses déplacements ni n’entrave les mouvements verticaux du corps accompagnant la marche. En revanche, lorsque l’utilisateur est déséquilibré et commence à chuter, l’élingue, retenue par la navette, elle-même prisonnière du réseau de suspentes retient l’utilisateur par l’intermédiaire du harnais. Elle empêche ainsi l’utilisateur de chuter davantage et l’aide à retrouver son équilibre.
Le réseau de suspentes peut éventuellement être unidirectionnel. Dans ce cas le dispositif ne peut accompagner qu’une ambulation qui suit plus ou moins un parcours prédéfini. Toutefois, et de préférence, le réseau de suspentes peut être un réseau bidirectionnel, c’est-à-dire un réseau à deux dimensions autorisant un déplacement libre de l’utilisateur sur toute la surface d’un plancher d’ambulation associé au dispositif.
Le réseau de suspentes peut être un réseau bidimensionnel régulier choisi parmi un réseau orthogonal et un réseau hexagonal. Dans le cas d’un réseau orthogonal, les suspentes sont alignées en lignes et en colonnes et des chemins de circulation de la navette s’étendent également de manière orthogonale entre les lignes et les colonnes de suspentes.
Dans le cas d’un réseau hexagonal, un motif hexagonal régulier de suspentes comprend une suspente en chaque sommet d’un l’hexagone et une suspente au centre de l’hexagone du motif.
La conformation et la forme des suspentes peut être variable avec l’exigence toutefois que le réseau de suspente puisse retenir la navette notamment à l’encontre de sollicitations avec une composante verticale vers le bas et puisse autoriser le déplacement de la navette entre les suspentes, parallèlement au plan d’ambulation en cas de sollicitation avec une composante horizontale. Cette exigence est respectée notamment grâce à la complémentarité de forme entre la navette et les suspentes et en particulier par un éventuel rétrécissement de l’espace inter-suspentes au voisinage de l’extrémité libre des suspentes.
Selon un mode de réalisation particulier, chaque suspente peut comporter au moins une colonne de suspente rigide s’étendant perpendiculairement au plan d’ambulation et délimitant une partie de l’espacement inter-suspentes respectivement entre une extrémité de fixation des suspentes et une extrémité libre des suspentes. Une colonne unique ou plusieurs colonnes rigides peuvent être prévues pour chaque suspente. La longueur des colonnes permet de fixer la distance entre les extrémités de fixation et donc la superstructure recevant les suspentes et le plan d’évolution de la navette dans le réseau de suspentes.
Comme indiqué précédemment, les suspentes sont conformées de manière à retenir la navette dans le réseau de suspentes par complémentarité de forme. A cet effet, les suspentes, et en particulier les extrémités libres des suspentes, peuvent comporter respectivement un support de navette.
Le support de navette peut présenter une surface d’appui tournée vers l’espacement inter-suspentes où circule la navette avec une composante de déplacement parallèle au plan d’ambulation, c’est-à-dire une composante essentiellement horizontale. Ainsi la navette peut reposer sur les supports de navettes des suspentes qui l’entourent. Le support de navette peut constituer un élargissement de la suspente correspondante au voisinage de son extrémité libre et délimiter ainsi une partie rétrécie de l’espacement inter-suspentes.
Le support de navette peut présenter une symétrie de révolution, notamment lorsque la suspente comprend une colonne verticale centrale. Il s’agit, par exemple, d’un disque, d’un anneau, d’un cône ou d’un tronc de cône, dont la base forme l’extrémité libre de la suspente. Le support de navette peut également présenter une forme hexagonale. Dans ce cas un agencement régulier des supports de navette associé à une disposition régulière et hexagonale des suspentes, permet d’obtenir un espacement inter-suspentes de largeur sensiblement constante à la hauteur des supports de navette.
Comme évoqué précédemment, la navette repose sur plusieurs suspentes qui l’entourent et en particulier sur les supports de navette de ces suspentes. Ceci est le cas quelle que soit la position de la navette dans le réseau de suspentes. Lors d’un déplacement d’une personne équipée du dispositif d’aide à l’ambulation l’élingue exerce sur la navette une sollicitation dont la composante horizontale permet de déplacer la navette dans l’espace inter-suspentes. La navette suit ainsi en quelque sorte la personne équipée du dispositif d’aide à l’ambulation.
Des forces de frottement susceptibles de s’exercer entre la navette et les suspentes, et plus précisément entre la navette et la partie des suspentes sur laquelle la navette repose, ont tendance à s’opposer à la libre circulation de la navette et à accroitre l’intensité de la sollicitation horizontale nécessaire au déplacement de la navette. Les frottements sont susceptibles d’augmenter en cas de sollicitation verticale de la navette, et en particulier en cas de début de chute de l’utilisateur.
De manière à limiter ou à annuler les frottements précités, et en particulier les frottements s’opposant au déplacement horizontal de la navette, les suspentes et la navette peuvent comporter des aimants antagonistes en regard.
On entend par «aimants antagonistes» des faces des aimants portant des pôles magnétiques de même signe et exerçant, les uns sur les autres, des forces de répulsion. Les aimants solidaires des suspentes peuvent être ménagés de préférence au voisinage de l’extrémité libre des suspentes et notamment sur les supports de navette. Les aimants solidaires de la navette, peuvent être ménagés de préférence sur une face inférieure de la navette qui repose sur les supports de navette. Plus généralement, les aimants antagonistes peuvent équiper les parties des suspentes et des navettes interagissant ou susceptibles d’interagir par complémentarité de forme.
Les aimants antagonistes exercent ainsi des forces de répulsion mutuelle entre la navette et les suspentes et réduisent ou annulent le contact physique entre ces parties. Un meilleur glissement de la navette dans le réseau de suspentes est ainsi obtenu.
Selon une autre mesure, qui n’est pas exclusive de la précédente, la navette peut comporter des patins de glissement sur les suspentes. Les patins de glissement, par exemple des billes, visent également à limiter les forces de frottement s’opposant à la circulation de la navette dans le réseau de suspentes.
Selon encore une autre mesure, la navette peut encore comporter au moins un ballon gonflable. Le ballon gonflable peut être intégré à la navette ou peut être extérieur à la navette. Il peut être gonflé d’un gaz de faible densité, par exemple de l’hélium, de manière à réduire, voire d’annuler, le poids de la navette et de l’élingue qui y est attachée. Le ballon, ou éventuellement plusieurs ballons, permettent de limiter ou d’annuler les forces de contact ou de frottement entre la face inférieure de la navette et les suspentes sur laquelle elle repose ou glisse.
A l’inverse, lorsque l’élingue est rigide et utilisée comme une canne tournée vers le haut, ou comme un agrès, il peut être souhaitable d’éviter un glissement de la navette sur les suspentes. Ceci permet alors d’éviter que l’élingue fixé à la navette glisse inopportunément. de manière à éviter un mouvement. Dans ce cas la navette peut être équipée de patins de frottement, permettant d’augmenter les forces d’interaction avec les suspentes et notamment avec les supports de navette. Dans ce cas le déplacement de l’élingue et de la navette suppose de soulever la navette au moyen de l’élingue rigide, de manière à décoller les patins de frottement des suspentes. Ce mouvement s’apparente alors en quelque sorte à celui d’une canne que l’on soulève pour la déplacer.
La navette peut prendre des formes variables tout en présentant avec les suspentes la complémentarité de forme nécessaire à sa rétention verticale. Elle peut présenter de préférence une forme générale avec une symétrie de révolution. Dans ce cas elle est orientée de manière que son axe de symétrie soit sensiblement vertical. La navette peut être, par exemple, sphérique ou hémisphérique. La forme de la navette permet ainsi de d’évoluer plus facilement dans l’espace inter-suspentes en limitant les interactions avec les suspentes lors de ses courses dans le réseau de suspentes.
Comme déjà évoqué précédemment, le dispositif peut comporter au moins l’un parmi un harnais antichute, une poignée de maintien, et un support porte-charges fixés à l’élingue.
La fonction du harnais est de faciliter la fixation de l’extrémité libre de l’élingue, c’est-à-dire l’extrémité de l’élingue opposée à la navette, au corps d’un utilisateur. Le harnais peut se présenter sous la forme d’une simple ceinture, d’une brassière ou sous une forme autre adaptée à la morphologie et la corpulence de l’utilisateur.
Au besoin le harnais peut être remplacé ou complété par une simple poignée ou éventuellement par un support porte-charges pour permettre à un utilisateur non seulement de se déplacer, mais aussi de déplacer avec lui des objets de son entourage. Un porte charges peut aussi être suspendu à une navette distincte de celle dédiée à au déplacement de l’utilisateur.
L’invention concerne également une installation comprenant l’un parmi un plan d’eau, une piscine et un plancher parallèle au plan d’ambulation, le dispositif tel que décrit précédemment, et une superstructure disposée au-dessus et à distance du plan d’eau, de la piscine, respectivement du plancher d’ambulation, les extrémités de fixation des suspentes étant reliées rigidement à la superstructure.
La superstructure déjà décrite précédemment peut comporter le plafond d’une pièce ou d’un local.
D’autres caractéristiques et avantages de l’invention ressortent de la description qui suit en référence aux figures des dessins. Cette description est donnée à titre illustratif et non limitatif.
Brève description des figures
La figure 1 est une représentation schématique partielle d’une installation d’ambulation avec un dispositif d’aide à l’ambulation conforme à l’invention.
La figure 2 est une vue en plan partielle et de dessous d’un réseau de suspentes du dispositif de la figure 1.
La figure 3 est une coupe schématique de deux suspentes et d’une navette d’un dispositif d’aide à l’ambulation conforme à l’invention et illustre une variante de réalisation.
Les figures sont représentées en échelle libre
Description détaillée de modes de mise en œuvre de l’invention
Dans la description qui suit, des parties identiques, similaires ou équivalentes des différentes figures sont repérées avec les mêmes signes de référence de manière à faciliter le report d’une figure à l’autre.
L’installation de la figure 1 comprend un plancher 10 sur lequel des personnes peuvent se déplacer. A titre de variante, le plancher 10 peut être remplacé par un plan d’eau et notamment une piscine 12 représentée de manière symbolique en trait discontinu. La surface du plancher ou la surface de l’eau définissent un plan 14 désigné par «plan d’ambulation».
Au-dessus du plancher 10 se trouve un dispositif 20 d’aide à l’ambulation et une superstructure 22 à laquelle est fixé le dispositif 20. La superstructure est elle-même ancrée à un bâti 24, tel qu’un plafond ou des murs. Le bâti est indiqué de manière symbolique en trait discontinu.
Dans l’exemple de réalisation de la figure 1, la superstructure 22 comprend une pluralité de poutrelles 30 s’étendant parallèlement au plan d’ambulation 14, c’est-à-dire parallèlement à la surface du plancher 10.
Le dispositif 20 d’aide à l’ambulation comprend un réseau de suspentes 100. Il s’agit d’un réseau bidimensionnel régulier de suspentes s’étendant également de manière parallèle au plan d’ambulation 14. Les suspentes 100; identiques les unes aux autres; présentent chacune une extrémité de fixation 102 et une extrémité libre 104.
L’extrémité de fixation 102 des suspentes est reliée rigidement à la superstructure 22 c’est-à-dire à une poutrelle 30. L’extrémité libre 104, est opposée à l’extrémité de fixation 102 et pointe vers le plancher 10. Dans l’exemple de réalisation de la figure 1, les suspentes se présentent sous la forme de petites colonnes 108 s’étendant verticalement entre l’extrémité de fixation et l’extrémité libre, c’est-à-dire perpendiculairement au plan d’ambulation 14. Au voisinage de leur extrémité libre, les suspentes comportent un support 110 désigné par «support de navette». Le support de navette 110 se présente sous la forme d’un disque.
Les suspentes 100 sont régulièrement espacées les unes des autres. Dans l’exemple de réalisation de la figure 1, elles sont arrangées en lignes et en colonnes avec un espacement régulier. Selon une autre possibilité illustrée par la figure 2, les suspentes peuvent également être agencées selon un motif régulier hexagonal. Dans ce cas chaque suspente 100 se trouve centrée sur le sommet d’un hexagone, dont les autres sommets correspondent également au centre d’autres suspentes voisines.
Chaque suspente 100 se trouve séparée de ses plus proches voisines par un espacement inter-suspentes 120. L’espacement inter-suspentes est compris comme l’espacement compris entre les suspentes voisines et s’étendant pour l’essentiel entre les extrémités de fixation et les extrémités libres des suspentes 100.
Par retour à la figure 1 on peut observer que l’espacement inter-suspentes est plus large à la hauteur des colonnes 108 et se trouve rétréci à l’extrémité des suspentes, c’est-à-dire au voisinage des supports de navette 110. La partie rétrécie de l’espacement inter-suspentes entre deux suspentes est repéré avec la référence 121.
La fonction des supports de navette 110 est de délimiter une partie rétrécie 121 de l’espacement inter-suspente 120 et de retenir par complémentarité de forme une première navette 130. La complémentarité de forme au sens de l’invention ne requiert pas nécessairement un ajustement exact de la forme de la navette et des suspentes. En revanche elle suppose une zone de contact suffisante pour interdire la chute de la navette en direction du plancher 10. Dans l’exemple de mise en œuvre illustré par les figures 1 et 2, la complémentarité de forme est obtenue grâce à une partie rétrécie 121 de l’espacement inter-suspentes 120, plus petite que le diamètre de la navette. La navette est ainsi retenue dans l’espace inter-suspentes. Par ailleurs, le diamètre de la première navette 130, qui présente une symétrie de révolution autour d’un axe vertical, est inférieur à la distance séparant les colonnes 108 des suspentes 100 de manière à faciliter la circulation horizontale de la navette 130 dans le réseau de suspentes.
Il convient de préciser que la complémentarité de forme peut être plus ajustée, et une partie de la navette peut s’étendre en partie en dehors de l’espacement inter-suspentes 120. Une telle situation est illustrée par la figure 3 qui montre une navette 130 avec une gorge périphérique 132 engagée sur l’extrémité libre 104 de suspentes tronconiques 100. Une partie des suspentes 100 au voisinage de leur extrémité libre forme dans ce cas le support de navette 110. On peut noter par ailleurs qu’une partie de la navette 130 dépasse de l’extrémité libre 104 des suspentes tronconiques.
La navette 100 du dispositif d’aide à l’ambulation peut circuler dans le réseau de suspentes, et plus précisément dans l’espacement inter-suspentes 120, et ce dans un plan parallèle au plan d’ambulation. Par simplification, on considère que la navette circule dans l’espacement inter-suspentes y compris lorsqu’une partie de la navette se trouve en dessous des suspentes comme dans l’exemple de réalisation de la figure 3.
Par retour à la figure 1, on peut noter une élingue 134, fixée à la navette 130. L’élingue s’étend hors du réseau de suspentes, à travers la partie rétrécie 121 de l’espacement inter-suspentes, en direction du plancher 10. L’élingue 134 s’étend au-delà de l’extrémité libre 104 des suspentes 100.
L’élingue peut être équipée d’un certain nombre d’agrès susceptibles de faciliter l’ambulation d’un utilisateur. La figure 1 montre une possibilité de mise en œuvre où une élingue 134, souple et légèrement élastique, est pourvue d’un harnais 140 représenté schématiquement en trait discontinu. Un utilisateur portant le harnais 140 peut ainsi être retenu en cas de chute.
Lorsque l’utilisateur se déplace sur le plancher 10, ses mouvements s’accompagnent de légères sollicitations de l’élingue 134. Les composantes horizontales de ces sollicitations provoquent le déplacement de la navette dans l’espace inter-suspente, de sorte que la navette suit les mouvements de l’utilisateur. La longueur de l’élingue 134 peut être prévue de manière à ne pas être tendue entre la première navette 130 et l’utilisateur, mais de manière à présenter un léger ballant de manière à ne pas constituer de gêne pour l’utilisateur. En cas de début de chute, les composantes verticales sur l’élingue 134 deviennent importantes et l’élingue se tend entre l’utilisateur et la première navette 130. La navette, en appui sur les suspentes, permet alors de retenir l’utilisateur par l’intermédiaire de l’élingue 134 et du harnais 140. Elle empêche ainsi l’utilisateur de poursuivre sa chute. L’utilisateur, en s’agrippant éventuellement à l’élingue, peut alors se redresser et poursuivre ses déplacements.
Selon une variante, représentée sur la vue partielle de la figure 3, l’élingue souple est remplacée par une élingue rigide 135. Par ailleurs, le harnais est remplacé par un support porte-charges 144. Grâce au porte-charges, un utilisateur peut emporter de menus objets au cours de son déplacement.
Par retour à la figure 1, on peut noter que la navette est pourvue de patins de glissement 150, sous la forme de petites billes. Les patins de glissement visent à réduire les frottements éventuels de la navette sur les suspentes. Les patins de glissement sont ainsi destinés à faciliter la circulation de la navette 130 dans l’espace inter-suspentes 120.
Selon une autre mesure permettant de réduire les interactions et frottements de la navette sur les suspentes lors de ses déplacements, la navette et les suspentes sont pourvues d’aimants antagonistes 152, 154. Les aimants 152 de la navette 130 et les aimants 154 des suspentes 100 sont orientés de manière à exercer mutuellement des forces de répulsion. Les aimants 154 des suspentes 100 peuvent être des aimants permanents ou des électroaimants. Ils sont ménagés de préférence dans les supports de navette 110. Les aimants 152 de la navette sont de préférence des aimants permanents.
Selon encore une autre mesure permettant de réduire les interactions et frottements de la navette 134 sur les suspentes 100, la navette comporte un ballon gonflable 158. Le ballon gonflable peut être intégré à la navette ou simplement relié à la navette. Le ballon gonflable 158 peut être gonflé à l’hélium ou avec un autre gaz peu dense. Il a pour fonction d’exercer sur la navette des forces d’Archimède tendant à réduire le poids apparent de la navette et ses interactions avec les suspentes. En particulier, lorsque la navette est réalisée en des matériaux très légers, par exemple à partir de mousse de graphène, un ballon d’hélium peut compenser une grande partie du poids de la navette et de l’élingue.
Il convient de préciser qu’en cas de début de chute d’un utilisateur, les composantes verticales des forces occasionnées sur l’élingue et la navette dépassent les forces de répulsion des aimants, et/ou les forces ascensionnelles du ballon gonflable, de sorte que la navette est plaquée et stabilisée sur les suspentes.
La figure 1 montre, outre la première navette 130, montre une deuxième navette 131 pourvue d’une élingue rigide 135, à l’extrémité de laquelle se trouve une poignée en forme d’anneau 142. La navette 131 comprend une armature 137, en forme de disque, dont les dimensions sont adaptées au réseau de suspentes 100. Les dimensions de l’armature 137, et plus généralement de la navette 131, permettant à la navette 131 d’être déplacée entre les suspentes 100 tout en étant retenue par les supports de navette 110.
Contrairement à la première navette 130, la deuxième navette 131 ne présente pas de patins de glissements, mais des patins de frottement 151. Les patins de frottement 151 sont de petits ballonnets qui amortissent l’interaction entre l’armature 137 de la deuxième navette 131 et les supports de navette 110 et qui empêchent le glissement de la deuxième navette 131 sur les supports de navette 110 quand l’élingue reçoit une sollicitation vers le bas. Ainsi, un utilisateur peut s’agripper à la poignée 142 de l’élingue rigide 135 de la deuxième navette, pendant qu’il effectue un exercice sportif, par exemple lorsqu’il se déplace sur le plancher 10.
Le déplacement de la deuxième navette 131 dans le réseau de suspentes 100 peut être provoqué en soulevant la navette 131 des supports de navette 110 au moyen de l’élingue rigide 135 puis en déplaçant la navette, toujours au moyen de l’élingue.
Dans l’exemple de réalisation de la figure 1, l’élingue rigide 135 est montée sur l’armature 137 de la navette 131 au moyen d’un système d’amortissement représenté symboliquement par un ressort 139. Par contraste avec le mode de réalisation de la figure 3, le système d’amortissement permet d’éviter une jonction rigide entre l’élingue et la navette. La raideur du système d’amortissement peut être ajustée de manière à garantir une sécurité suffisante à un utilisateur s’agrippant à la poignée 142 tout conservant un certain confort d’utilisation.
Le système d’amortissement peut comporter un organe formant ressort, des ballonnets d’amortissement, ou encore des aimants antagonistes en regard, solidaires respectivement de l’élingue et de la navette.

Claims (12)

1) Dispositif (20) de sécurité comprenant:
- un réseau de suspentes (100) s’étendant parallèlement à un plan d’ambulation (14), un espacement inter-suspentes (120) séparant chaque suspente respectivement d’autres suspentes plus proches voisines du réseau de suspentes (100),
- au moins une navette (130, 131) retenue par les suspentes (100), par complémentarité de forme avec les suspentes (100), la navette présentant une liberté de mouvement dans l’espacement inter-suspentes (120), parallèlement au plan d’ambulation (14),
- au moins une élingue (134, 135), l’élingue étant solidaire de la navette (130, 131) et s’étendant hors du réseau de suspentes, au-delà des extrémités libres (104) des suspentes (100).
2) Dispositif selon la revendication 1, dans lequel le réseau de suspentes (100) est un réseau bidimensionnel régulier choisi parmi un réseau orthogonal et un réseau hexagonal.
3) Dispositif selon la revendication 2, dans lequel chaque suspente (100) comprend au moins une colonne de suspente rigide (108) s’étendant perpendiculairement au plan d’ambulation (14) et délimitant une partie de l’espacement inter-suspentes (120) respectivement entre une extrémité de fixation (102) des suspentes et une extrémité libre (104) des suspentes (100).
4) Dispositif selon l’une quelconque des revendications précédentes, dans lequel les suspentes (100) comprennent respectivement un support de navette (110).
5) Dispositif selon l’une quelconque des revendications précédentes, dans lequel les suspentes (100) et la navette (130) comportent des aimants antagonistes (152, 154) en regard.
6) Dispositif selon l’une quelconque des revendications précédentes, dans lequel la navette (130) comporte des patins de glissement (150).
7) Dispositif selon l’une quelconque des revendications précédentes, dans lequel la navette (130) comprend au moins un ballon gonflable (158).
8) Dispositif selon l’une quelconque des revendications précédentes, comprenant une élingue souple (134).
9) Dispositif selon l’une quelconque des revendications 1 à 4, comprenant une élingue rigide (135) reliée à une armature (137) de la navette (131) par l’intermédiaire d’un système d’amortissement (139).
10) Dispositif selon l’une quelconque des revendications précédentes, dans lequel la navette (130, 131) présente une forme générale avec une symétrie de révolution.
11) Dispositif selon l’une quelconque des revendications précédentes, comprenant au moins l’un parmi un harnais antichute (140), une poignée de maintien (142), et un support porte-charges (144) fixés à l’élingue (134).
12) Installation comprenant l’un parmi, un plan d’eau, une piscine (12) et un plancher (10) parallèle au plan d’ambulation (14), un dispositif (20) selon l’une quelconque des revendications précédentes, et une superstructure (22) disposée au-dessus et à distance du plan d’eau, de la piscine, respectivement du plancher d’ambulation, les extrémités de fixation (102) des suspentes étant reliées rigidement à la superstructure (22).
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