FR3043500B1 - Element de contact pour une liaison de connexion - Google Patents

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    • HELECTRICITY
    • H01ELECTRIC ELEMENTS
    • H01RELECTRICALLY-CONDUCTIVE CONNECTIONS; STRUCTURAL ASSOCIATIONS OF A PLURALITY OF MUTUALLY-INSULATED ELECTRICAL CONNECTING ELEMENTS; COUPLING DEVICES; CURRENT COLLECTORS
    • H01R13/00Details of coupling devices of the kinds covered by groups H01R12/70 or H01R24/00 - H01R33/00
    • H01R13/40Securing contact members in or to a base or case; Insulating of contact members
    • H01R13/42Securing in a demountable manner
    • H01R13/428Securing in a demountable manner by resilient locking means on the contact members; by locking means on resilient contact members
    • H01R13/432Securing in a demountable manner by resilient locking means on the contact members; by locking means on resilient contact members by stamped-out resilient tongue snapping behind shoulder in base or case

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  • Connector Housings Or Holding Contact Members (AREA)

Abstract

Contact électrique (30) pour être enfiché (direction d'enfichage (34)) dans une chambre de contact, comprenant un boîtier allongé (32) dans la direction d'enfichage (34), ayant un élément d'accrochage (36), pour la chambre de contact (22), en saillie du boîtier (32) par un premier segment (38), se poursuivant par un second segment (40) recourbé ayant une surface arrière (44) comportant une partie en saillie (48).

Description

Domaine de l’invention
La présente invention se rapporte à un contact électrique enfiché selon la direction d’enfichage dans une chambre de contact d’une liaison de connexion, ayant un boîtier allongé s’étendant dans la direction d’enfichage, un élément d’accrochage, allongé pour accrocher le contact dans la chambre de contact, l’élément d’accrochage fixé par une extrémité au boîtier, étant en saillie du boîtier par un premier segment, élastique, incliné dans la direction opposée à la direction d’enfichage et se poursuivant par une seconde extrémité avec un second segment en porte-à-faux de l’élément d’accrochage recourbé vers l’intérieur en direction du boîtier et ayant une surface arrière dont la direction normale à cette surface est orientée pratiquement dans la direction opposée à la direction d’enfichage.
Etat de la technique
Par exemple, dans la construction automobile il est souvent nécessaire de relier des lignes électriques. A titre d’exemple, on peut relier entre eux des câbles électriques. Pour cela, on utilise souvent des connecteurs, par exemple sous la forme de connecteurs mâles et femelles avec un boîtier ayant une ou plusieurs chambres de contact. Chaque chambre de contact comporte un contact relié et verrouillé à une ligne électrique. Le contact réalise une liaison électrique, avec un contact complémentaire correspondant d’un connecteur ou d’une douille, dès que le connecteur et le connecteur complémentaire sont réunis. A la fabrication de tels connecteurs, on glisse les contacts dans les différentes chambres de contact. L’extrémité arrière des contacts est reliée par sertissage à un câble conducteur. Pour éviter que, par exemple, que sous l’effet d’une traction exercée sur le câble, le contact ne se dégage de la chambre de contact, on assure en général le verrouillage des contacts par une liaison par la forme dans la chambre de contact. Une réalisation très répandue du contact comporte, à cet effet, un élément d’accrochage en saillie vers l’extérieur et qui peut être déformé vers l’intérieur par exemple une languette principale faisant partie du boîtier du contact. Cette languette principale est orientée dans la direction opposée à la direction d’enfichage selon laquelle on engage le contact dans la chambre de contact pour réaliser la connexion ; cette orientation est inclinée vers l’extérieur au-dessus du boîtier du contact. Lorsqu’on glisse le contact dans la chambre de contact, la languette principale est tout d’abord déformée élastiquement vers l’intérieur pour ensuite revenir élastiquement dans un évidement de la chambre de contact lorsqu’on arrive en position finale, pour ainsi verrouiller le contact dans la chambre de contact.
Le document DE 10 2009 054705 Al décrit un contact électrique pour une liaison de connexion par une languette principale dépassant vers l’extérieur et qui peut se dévier vers l’intérieur.
En particulier, pour les applications aux véhicules automobiles, les connecteurs et leurs contacts doivent répondre à des exigences mécaniques très poussées. D’une part, la languette principale doit pouvoir s’installer facilement dans la chambre de contact pour réaliser le contact en nécessitant une force aussi faible que possible pour s’engager élastiquement et reprendre sa forme de départ, de manière à permettre de réaliser et de verrouiller de manière fiable, le contact dans la chambre de contact. D’autre part, le verrouillage du contact dans la chambre de contact du connecteur doit être aussi fiable et garanti que possible pour éviter tout arrachage accidentel des contacts, par exemple, lorsqu’une traction est exercée sur le câble serti sur le contact. En particulier, dans le cas des contacts miniaturisés, malgré la faible hauteur et la faible épaisseur de matière, de tels contacts doivent répondre à des conditions mécaniques très sévères de sorte qu’il peut être difficile de répondre à de telles exigences antagonistes.
But de l’invention
La présente invention a pour but de développer un contact électrique permettant d’absorber une force d’arrachage plus importante sans que cela n’entraîne des déformations ou des incidents du contact ou de l’élément d’accrochage du contact. Il faut réaliser une solidité mécanique poussée et avoir une meilleure fiabilité électrique du contact et du connecteur.
Exposé et avantages de l’invention A cet effet, l’invention a pour objet un contact électrique du type défini ci-dessus, caractérisé en ce que la surface arrière com porte une partie en saillie qui, considérée notamment dans la direction opposée à la direction d’enfichage, dépasse de l’extension longitudinale maximale de la surface arrière, au-delà de cette surface arrière.
Dans le cas d’une traction exercée sur le contact engagé, par exemple par une traction sur l’une des lignes de contact, sertie, le contact est soumis à une force d’accrochage qui agit dans le sens opposé à la direction d’enfichage du contact dans la chambre de contact. Lorsque le contact est verrouillé, l’élément d’accrochage ou la languette principale sont pressés de façon connue contre la paroi latérale orientée transversalement à la direction d’enfichage ou contre une partie en contre-dépouille ou paroi arrière de la chambre de contact de façon à bloquer toute poursuite de l’extraction du contact. L’élément d’accrochage qui dépasse en biais du boîtier à l’état verrouillé est soumis à une composante de la force d’arrachage dans la direction transversale à la direction d’enfichage. En particulier, dans le cas d’une force d’arrachage importante, cette composante peut, en grande partie, servir à glisser l’extrémité libre de l’élément d’accrochage le long de la paroi latérale du boîtier et d’arriver ainsi à un plus fort débattement de l’élément d’accrochage s’écartant du boîtier. Ce mouvement élastique de la languette d’accrochage augmente le bras de levier par rapport à la base de l’élément d’accrochage au boîtier. Il peut en résulter que même pour une force constante, le couple exercé sur la base de l’élément d’accrochage augmente. Cela peut se traduire par une surcharge de cette base produisant une déformation plastique gênante de la languette d’accrochage ou même la rupture de l’élément d’accrochage. C’est pourquoi il est souhaitable d’éviter autant que faire se peut, que l’élément d’accrochage ne glisse du boîtier ou du moins il faut rendre ce mouvement aussi difficile que possible.
Selon un premier développement de l’invention, on propose un contact électrique pour l’enfichage dans une chambre de contact d’un connecteur. Le contact comporte un boîtier allongé, dans la direction d’extension ainsi qu’un élément d’accrochage, allongé pour accrocher le contact dans un support de contact ou à une partie en contre-dépouille ou un évidement transversal à la chambre de contact, cette chambre de contact est réalisée dans le support de contact. La première extrémité de l’élément d’accrochage est fixée au boîtier ; l’élément d’accrochage est en saillie vers l’extérieur dans la direction opposée à la direction d’enfichage avec un premier segment du boîtier, par une liaison élastique. La seconde extrémité en porte-à-faux de l’élément d’accrochage rejoint un second segment de l’élément d’accrochage recourbé vers l’intérieur en direction du boîtier. Le second segment a une surface arrière dont la normale est pratiquement opposée à la direction d’enfichage. La surface arrière porte une partie en saillie qui, notamment lorsqu’on considère dans la direction opposée à la direction d’enfichage, dépasse de l’extension longitudinale maximale de la surface arrière, c'est-à-dire vient au-delà de cette surface arrière.
Il est notamment avantageux d’avoir un contact mécanique par une liaison par la forme, plus solide entre l’élément d’accrochage et la paroi latérale de la chambre de contact. Ainsi, malgré l’augmentation de la force d’arrachage, l’élément d’accrochage restera tenu en place. La force d’arrachage pourra être absorbée par le contact sans ou avec une déformation minimale de l’élément d’accrochage si bien que le contact pourra ainsi résister efficacement à des forces d’arrachage plus importantes.
Dans le cas de tractions exercées sur le contact pour le dégager de la chambre de contact, la partie en saillie de la paroi latérale est en contact mécanique. Comme physiquement, la pression est donnée par l’expression de la force divisée par la surface (p=F/A), la partie en saillie, avec sa surface d’appui petite par comparaison avec la grande surface d’appui du second segment (surface sans la partie en saillie) en fonction de la relation donnée ci-dessus, créera une pression ponctuelle ou linéaire plus importante sur la partie en contre-dépouille ou paroi latérale de la chambre de contact. La partie en saillie se comportera alors à la manière d’un piolet par rapport à la paroi latérale ou la partie en contre-dépouille en s’enfonçant dans celle-ci ou en augmentant le frottement ; ainsi on réalise une liaison par la forme entre la partie en saillie (et ainsi l’élément d’accrochage) et la paroi latérale ou la partie en contre-dépouille. Cela évite avantageusement que l’élément d’accrochage ne puisse glisser du boîtier, c’est-à-dire s’échapper du boîtier. L’élément d’accrochage est réalisé de façon à être mobile. Cela signifie qu’il peut être déplacé de manière réversible d’une première position dans laquelle l’élément d’accrochage est en saillie et le contact est à l’état accroché et une seconde position. La seconde position est celle de l’élément d’accrochage poussé vers l’intérieur du boîtier, par exemple, lorsqu’on engage le contact dans la chambre de contact. Le boîtier est, par exemple, un corps allongé, creux, en tôle, et dont les dimensions lui permettent d’être glissé dans la chambre de contact tout en ayant une solidité mécanique suffisante. L’élément d’accrochage est réalisé en une seule pièce avec le boîtier, fabriqué en tôle. L’expression « vers l’extérieur » signifie ici la direction s’écartant du boîtier, transversalement ou perpendiculairement à la direction d’enfichage ou direction d’engagement. Inversement, l’expression « vers l’intérieur » désigne la direction entrant dans le boîtier. Lors de l’opération d’engagement du contact dans la chambre de contact, T’élément d’accrochage est, par exemple, tout d’abord déformé vers l’intérieur puis il revient élastiquement vers l’extérieur dans sa position finale, qui est la première position. Le second segment est, par exemple, prévu sur le premier segment et de cette manière il forme la partie recourbée.
La partie en saillie est réalisée et disposée pour que lors du mouvement de sortie qui est à l’opposé de la direction d’enfichage du contact, à partir de l’état enfiché, il vient d’abord en contact avec la paroi latérale de la chambre de contact. La forme de la partie en saillie concentre la force d’arrachage sur une surface plus petite contre la paroi latérale de la chambre de contact et peut ainsi réaliser une cavité locale selon la matière de la paroi latérale ; la forme géométrique de cette cavité locale et la répartition des forces qui est ainsi modifiée, augmentent la résistance au mouvement de l’élément d’accrochage dans la direction de sortie du boîtier. En d’autres termes, le frottement entre l’élément d’accrochage et la paroi latérale de la chambre de contact augmente et complique ainsi avantageusement le glissement de l’élément d’accrochage ; en particulier, il s’agit de la partie en saillie du second segment. Par rapport à la direction normale à la surface arrière, l’expression « pour l’essentiel » signifie que la direction normale à la surface arrière fait avec l’axe longitudinal du boîtier, un angle de 90° plus/moins 40° ; il s’agit, par exemple, d’un angle de 90° +/- 20°. La plage angulaire doit, si possible, être limitée pour garantir qu’à l’état enfiché, la partie en saillie arrive la première en contact avec la paroi latérale lors du mouvement de dégagement.
Selon un développement, la partie en saillie a une forme de nez ou de coin. Cela signifie que la partie en saillie a deux surfaces formées par la surface arrière qui se rejoignent sur l’extrémité de la partie en saillie et qui, en coupe longitudinale, ont une forme de nez avec une arête plus longue et une arête plus courte sensiblement dans la direction longitudinale du boîtier et une forme de coin avec deux arêtes sensiblement de même longueur. L’avantage de la forme de nez est d’avoir une solidité mécanique poussée car la partie en saillie peut recevoir des efforts importants dans la direction opposée à celle du boîtier dans la mesure où l’arête prévue dans la direction longitudinale vient plus vers l’extérieur que l’autre arête ou surface. En d’autres termes, cette disposition est une forme de nez tournée de 180° en partant du boîtier. Les avantages d’une forme de coin sont celles de concentrer la force d’arrachage sur une surface significativement plus petite et ainsi le fait que la partie en saillie se creuse plus profondément dans la paroi latérale. La forme de bec ou de coin permet, par exemple, par une arête définie de la paroi latérale ou de l’extrémité tournée vers la contre-dépouille, de la partie en saillie (l’extrémité du nez ou l’extrémité du coin) permet d’augmenter la pression exercée sur la paroi latérale et ainsi d’améliorer avantageusement l’effet de « piolet ».
Selon un développement, la partie en saillie a une première facette avec une extrémité de la partie en saillie à l’opposé de la surface arrière. La partie en saillie a une seconde facette rejoignant la première surface et dans la direction transversale, perpendiculaire à la direction d’enfichage, le centre de gravité de la première facette est plus écarté du boîtier que le centre de gravité de la seconde facette. La première facette est ainsi plus loin du boîtier que la seconde facette (par rapport au centre de gravité). La première facette, notamment avec sa normale, est orientée vers l’extérieur par rapport au boîtier. La seconde facette s’étend pratiquement entre l’extrémité de la partie en saillie et la surface arrière du second segment. En d’autres termes, la première fa cette part de la surface arrière, en étant tout d’abord orientée pratiquement dans la direction opposée à la direction d’enfichage sur l’extrémité de la partie en saillie pour se diriger ensuite avec la seconde facette, en biais vers l’intérieur et revenir sur la surface arrière ; cela est notamment vrai pour la première position de l’élément d’accrochage. L’expression « l’intérieur » signifie que ce point se situe plus près du boîtier qu’un point plus à l’extérieur. L’extrémité de la partie en saillie arrive ainsi d’abord en contact mécanique avec la paroi latérale de la chambre de contact lors du mouvement de dégagement.
Un avantage de cette caractéristique est que la concentration effective de la force agissant sur la surface latérale et la répartition avantageuse de la force, selon la matière de la paroi latérale, se traduisent par une augmentation du frottement entre l’élément d’accrochage et la paroi latérale. Cela permet d’absorber des forces d’arrachage plus importantes. Le centre de gravité (centre de gravité surfacique) est le centre de gravité géométrique d’une surface, c’est-à-dire un point défini que l’on peut interpréter comme centre de la surface.
Selon un développement, la première surface est pratiquement parallèle à la direction d’enfichage. « Pratiquement parallèle » signifie ici une direction parallèle avec un écart possible de +/- 15°. L’avantage est que lors de la venue en contact mécanique sous l’effet d’une force (par exemple moins de IN au contact, à l’opposé de la direction d’enfichage) de la partie saillie avec la paroi latérale ou la contre-dépouille dans la paroi latérale ou la contre-dépouille, on aura une cavité ou un creux qui pourra recevoir des efforts plus intenses dans la direction opposée à celle du boîtier.
Selon un développement, la première facette et la seconde facette font entre elles un angle a et ce premier angle a se situe dans une plage comprise entre 40°et et 80° et notamment dans une plage comprise entre 45° et 70°. L’avantage qui en résulte est un bon compromis entre la solidité mécanique de la partie en saillie et la concentration suffisante des forces et une augmentation du frottement pour avoir une protection efficace contre l’arrachement. Si l’on prend un tracé parallèle à la direction d’extension longitudinale et si dans la première po sition ou première position de l’élément d’accrochage le second segment est sensiblement perpendiculaire à la direction d’enfichage du contact, le premier angle a sera nécessairement inférieur à 90° pour permettre le retour de la seconde facette vers la surface arrière. De façon analogue pour une inclinaison pratiquement parallèle de la première surface par rapport à la direction d’enfichage, de moins 15 degrés (c’est-à-dire l’inclinaison de la première surface vers le boîtier), le premier angle a sera de 105 degrés et pour une inclinaison de plus 15 degrés (c’est-à-dire une inclinaison de la première facette à l’opposé du boîtier) le premier angle a sera de 75 degrés qui ne sera pas atteint pour avoir le fonctionnement selon l’invention.
Selon une forme de réalisation, partant du second segment de l’élément d’accrochage la première surface est inclinée vers l’extérieur en s’écartant du boîtier et elle fait un second angle β par rapport à la direction d’enfichage, cet angle étant compris entre 5 et 20 degrés. En d’autres termes, dans cette disposition on a un effet de crochet qui permet de recevoir encore mieux les efforts et d’augmenter le frottement dans la direction opposée à celle du boîtier. Par exemple, on peut avoir un évidement de la chambre de contact, qui pénètre en biais dans la paroi latérale ou la partie en contre-dépouille ou paroi arrière, pour accrocher l’élément d’accrochage selon une profondeur continue qui permet de recevoir la force appliquée, notamment dans la direction orientée vers l’extérieur, d’une manière plus efficace et mécaniquement plus solide. Cela garantit une protection encore plus efficace contre l’arrachage du contact ou la déformation excessive de la languette d’accrochage.
Selon un développement, le second segment de l’élément d’accrochage a une première largeur et la seconde facette de la partie en saillie a une seconde largeur, la seconde largeur correspondant à 40%-60% de la première largeur. La largeur du second segment ou de la seconde facette peut être considérée comme l’extension du second segment ou de la seconde facette perpendiculairement à la direction élastique de l’élément d’accrochage en direction du boîtier (c’est-à-dire vers l’intérieur) et perpendiculairement à la direction d’enfichage. Ainsi, on réduit encore plus la surface qui arrive d’abord en contact avec la paroi latérale ou la contre-dépouille, ce qui augmente d’autant la pression pour une force d’arrachage constante exercée sur le point de contact entre la partie en saillie et la paroi latérale. Ainsi, on réduit encore plus la surface qui arrive d’abord en contact avec la paroi latérale ou la contre-dépouille, ce qui augmente d’autant la pression pour une force d’arrachage constante exercée sur le point de contact entre la partie en saillie et la paroi latérale. Un autre avantage de cette forme de réalisation est d’avoir une concentration suffisamment bonne de la composante d’arrachage pour une conception géométrique avantageuse de sorte que, par exemple, le joint en forme de nappe que le contact doit traverser au montage ou au démontage, ne risque pas d’être endommagé. En d’autres termes, la partie en saillie n’est pas trop pointue, et ses arêtes ne sont pas trop vives de sorte que le frottement du contact contre le joint en forme de nappe n’endommage pas ce joint.
Selon une forme de réalisation, le boîtier du contact est en tôle et la partie en saillie est imprimée dans le second segment de l’élément d’accrochage. Comme autre avantage, la fabrication du contact y compris de la partie en saillie est plus simple. En particulier, le contact est une pièce emboutie et/ou réalisée en une seule partie.
Selon un développement, le contact est un contact miniature et le boîtier est en tôle d’une épaisseur de moins de 0,5 millimètre. Les effets avantageux du contact sont notamment ceux des contacts miniatures car, d’une part on aura des épaisseurs de matière très faibles et des dimensions très réduites et d’autre part, on répondra à des exigences mécaniques poussées. En même temps, cela permet de façon surprenante pour de telles faibles épaisseurs de tôle, de réaliser une partie en saillie définie de manière précise et d’augmenter ainsi la solidité de l’élément d’accrochage.
Selon un développement de l’invention, il est proposé un connecteur qui comporte un contact et un support de contact avec une chambre de contact pour recevoir le contact. L’élément d’accrochage est réalisé pour qu’à l’état verrouillé du contact, il pénètre au moins en partie avec son premier et son second segment dans l’évidement de la chambre de contact du support de contact pour que le second segment de l’élément d’accrochage, en cas de mouvement du contact dans la di rection opposée à la direction d’enfichage, arrive en appui entre la paroi latérale de l’évidement et bloque ainsi toute poursuite du dégagement du contact hors de la chambre de contact. En d’autres termes, l’élément d’accrochage rencontre la chambre de contact lorsqu’on cherche à extraire le contact, et vient contre la paroi latérale, c’est-à-dire, par exemple entre la partie en contre-dépouille de la chambre de contact en tenant le contact mécaniquement dans la chambre de contact. L’élément d’accrochage est en position accrochée qui correspond à la première position. Le contact mécanique avec la paroi latérale et la chambre de contact se produit par exemple seulement lorsqu’on extrait le contact de la chambre de contact, par exemple sous l’effet d’une traction exercée sur le câble relié au contact. Dans le cas d’un contact normalement engagé, en tenant notamment compte des tolérances, il peut rester une distance entre le second segment de l’élément d’accrochage et la paroi latérale.
Selon un développement de l’invention, l’élasticité de la matière de la partie en saillie est inférieure à l’élasticité de la matière de la paroi latérale de la chambre de contact de sorte qu’à l’extraction du contact hors du support de contact ou de la chambre de contact et de la compression consécutive de l’élément d’accrochage contre cette paroi latérale ou la contre-dépouille de la partie en saillie de la paroi latérale, on réalise une cavité dans la contre-dépouille et cette cavité bloque le mouvement du second segment de l’élément d’accrochage dans la direction opposée à celle du boîtier du contact. Par exemple, la matière de la chambre de contact et ainsi également celle de la paroi latérale peut être une matière plastique. La matière de la partie en saillie est, par exemple du métal. De façon synonyme à de l’élasticité, il s’agira alors de la dureté de la matière. On aura la relation : forte élasticité correspondant à forte dureté de la matière. En particulier, la matière de la chambre de contact peut être une matière souple et celle de la partie en saillie ou de l’élément d’accrochage ou de l’ensemble du contact électrique peut être une matière relativement dure. Le creux est un creux réalisé dans la zone de l’extrémité de la saillie, en creux par comparaison avec la surface environnante de la paroi latérale. Le creux forme ainsi un segment de surface avec un creux dont la normale à la surface est inclinée vers l’extérieur dans la direction opposée de celle du boîtier et créant ainsi, pour l’extrémité de la partie en saillie, un frottement accentué dans la direction opposée à celle du boîtier ; en d’autres termes, la partie en saillie glissera moins rapidement dans l’élément d’accrochage.
Selon un développement, la première facette de la partie en saillie partant du second segment de l’élément d’accrochage, est orientée en biais vers l’extérieur en s’éloignant du boîtier de sorte que le creux qui en résulte dans la paroi latérale de la chambre peut également être orienté en biais vers l’extérieur. En d’autres termes, la première surface fait par rapport à la direction d’extension longitudinale du boîtier, par exemple, un angle supérieur à 0° et allant jusqu’à 15 degrés de sorte que la partie en saillie aura une forme de crochet. Il en résulte l’avantage que la composante d’arrachage dans la direction opposée à celle du boîtier (c’est-à-dire vers l’extérieur) arrivera effectivement plus fortement dans la paroi latérale de la chambre de contact, ce qui augmente à son tour la force maximale de l’arrachage. La forme du creux du fait du vecteur de force, non perpendiculaire à la paroi latérale, avec également un plus fort degré d’enfoncement, de partie creuse ou formée d’un sillon dans la direction s’éloignant du boîtier, c’est-à-dire vers l’extérieur.
Il est à remarquer que certaines caractéristiques et avantages possibles du contact et du connecteur sont décrites ci-dessus en référence aux formes de réalisation. Mais les caractéristiques peuvent être combinées et adaptées ou échangées les unes avec les autres pour arriver à d’autres formes de réalisation de l’invention.
Dessins
La présente invention sera décrite ci-après, de manière plus détaillée, à l’aide d’un exemple de contact électrique représenté dans les dessins annexés dans lesquels : la figure 1 est une vue éclatée d’un connecteur d’une liaison de connexion, la figure 2 est une vue en section d’un contact d’une chambre de contact dont le haut est fermé, la figure 3 est une vue en coupe d’un contact dont le haut est ouvert, la figure 4 montre une disposition théorique d’un élément de l’accrochage d’un contact dans la zone partielle de la chambre de contact en cas de dépassement de la force d’arrachage maximale, la figure 5 est une vue en perspective d’une partie d’un élément d’accrochage du contact selon l’invention avec une partie en saillie sur la seconde facette, la figure 6 montre schématiquement une zone de la transition entre la première et la seconde facette de l’élément d’accrochage d’un contact avec une partie en saillie ayant une forme de bec.
Description de mode de réalisation
La figure 1 montre un exemple d’un connecteur 10 d’une liaison par connexion, qui est conçue mécaniquement et électriquement pour être combiné à un connecteur complémentaire non représenté. Le connecteur 10 est, par exemple, prévu pour relier mécaniquement et électriquement plusieurs câbles ou un faisceau de câbles avec un appareil de commande d’un véhicule automobile. Le connecteur 10 comporte une partie supérieure de boîtier 12 et une partie inférieure de boîtier 14 qui sont reliées mécaniquement l’une à l’autre par des pattes d’enclipsage 16. Entre la partie supérieure du boîtier 12 et la partie inférieure de boîtier 14, il y a un joint en forme de nappe 18. La partie supérieure 12 du boîtier comporte des passages 20 pour stabiliser mécaniquement le conducteur électrique respectif et la partie inférieure 14 du boîtier comporte des chambres de contact 22 correspondantes. Les câbles et les contacts fixés aux extrémités (les contacts ne sont pas représentés) sont introduits par les passages 20 dans la partie supérieure 12 du boîtier et à travers le joint en forme de nappe 18 pour arriver dans la partie inférieure 14 du boîtier et être fixés par accrochage aux chambres de contact 22. Le joint en forme de nappe 18 est, par exemple, réalisé à base de silicone et, dans ces conditions, des matériaux souples.
La figure 2 montre un exemple de contact 30 qui se glisse dans une chambre de contact 22 ; la chambre de contact 22 a une contre-dépouille ou un évidement (dans la partie supérieure de la fi gure). Le contact a un boîtier allongé 32 qui s’engage dans la direction d’enfichage 34. Un élément d’accrochage 36, allongé dépasse du boîtier 32 en étant incliné vers le haut. Cet élément d’accrochage 36 peut s’accrocher dans l’évidement ou à la contre-dépouille de la chambre de contact 22. Pour une meilleure lisibilité, la description évoquera uniquement l’accrochage dans la chambre de contact 22.
Dans l’exemple présenté, la chambre de contact 22 est fermée, c’est-à-dire qu’il n’y a qu’un espace limité pour un éventuellement débattement de l’élément d’accrochage 36. L’élément d’accrochage 36 vient en saillie d’un premier segment 38, de manière élastique, en biais, dans la direction opposée à la direction d’enfichage 34 par rapport au boîtier 32, vers l’extérieur et rejoint un second segment 40 qui est recourbé vers l’intérieur en direction du boîtier 32. Si une force d’arrachage (par exemple supérieure à 0,5N ou supérieure à IN) est exercée sur le contact 30 dans la direction opposée à la direction d’enfichage 34, le contact 30 se déplace dans la direction opposée à la direction d’enfichage 34. On évite que le dégagement du contact 30 hors de la chambre de contact 22 en pressant l’élément d’accrochage 36 par son second segment 40 contre la paroi latérale 42 de la chambre de contact 22. A titre d’exemple, l’élément d’accrochage 36 est réalisé de façon à être rigide en flexion pour pouvoir recevoir des forces d’arrachage aussi élevées que possible sans que ces forces ne puissent courber l’élément d’accrochage 36. La force d’arrachage se répercute du fait de la forme inclinée de l’élément d’accrochage 36, en biais à partir du boîtier 32 vers la paroi latérale 42 de la chambre de contact 22.
La figure 3 montre également un contact 30 engagé dans une chambre de contact 22. Toutefois, dans cet exemple, la chambre de contact 22 est ouverte dans sa partie supérieure ; il n’y a pas dans ces conditions de butée vers le haut comme à la figure 3 si bien que le risque que, sous l’effet d’un mouvement vers l’extérieur (c’est-à-dire ici vers le haut) par la force d’arrachage exercée sur le contact électrique, l’élément d’accrochage soit toujours plus poussé vers l’extérieur, c’est-à-dire vers le haut selon la figure ; ce mouvement de glissement pourrait être amplifié par l’accroissement du bras de levier et du couple qui, de ce fait, augmente de plus en plus. Si Ton dépasse une certaine position (position angulaire définie de l’élément d’accrochage par ce mouvement), il peut arriver que l’élément d’accrochage se déforme de manière plastique au niveau de sa base, qu’il se casse ou soit endommagé de toute autre manière et perde son élasticité de ressort. Tous les autres éléments correspondent en principe à ceux de la figure 2. Suivant l’application et le scénario d’utilisation, on aura des variantes de chambre de contact 22 à la fois fermées et ouvertes.
La figure 4 montre une réalisation d’un contact 30 usuel, qui est simulé et représenté soumis à une force d’arrachage s’exerçant sur lui et dépassant la valeur maximale autorisée. Le boîtier 32 du contact se déplace dans la direction opposée à la direction d’enfichage 34. Du fait de la forme inclinée de l’extrémité de l’élément d’accrochage 36 par rapport au boîtier 32 et de la rencontre ainsi également en biais entre la force d’arrachage et la paroi latérale 42, une composante de la force s’exerce sur l’extrémité du premier segment 38 et sur le second segment 40 transversal à la direction d’enfichage 34 en étant orienté à l’opposé du boîtier 32. Cette composante de la force peut faire que le frottement entre le second segment 40 et la paroi latérale 42 soit dépassé et que l’élément d’accrochage 36, notamment son second segment 40, glissent et se déplacent vers l’extérieur le long de la paroi latérale 42. Cet effet peut produire par exemple dans la zone du passage entre le boîtier 32 et l’élément d’accrochage 36 (c’est-à-dire à la base) un fort pliage qui, le cas échéant, pourrait endommager l’élément d’accrochage 36 du contact 30. On peut également avoir d’éventuels effets de flexion non souhaitables dans la zone du passage entre le premier segment 38 et le second segment 40 de l’élément d’accrochage 36.
La figure 5 est une représentation en perspective d’une partie du contact 30 selon l’invention avec un élément d’accrochage 36 et son premier segment 38 ainsi que son second segment 40. Le second segment 40 a une surface arrière 44 dont la normale 46 est pratiquement orientée dans la direction opposée à la direction d’enfichage 34. La surface arrière 44 comporte une partie en saillie 48.
Cette partie en saillie 48 vient dans la direction opposée à la direction d’enfichage 34 au-delà de l’extension longitudinale maximale de la surface arrière 44 en relief de la surface arrière 44. En d’autres termes, la partie en saillie 48 arriverait la première en contact mécanique avec la paroi latérale 42 de la chambre de contact 22 en cas de dégagement du contact 30 hors de la chambre de contact 22. La partie en saillie 48, dans l’exemple représenté, comporte sur le côté supérieur (c’est-à-dire le côté opposé à celui du boîtier 32), une première facette 50 et dans la direction opposée à la direction d’enfichage 34, une seconde facette 52. La première facette 50 forme, avec la seconde facette 52, un premier angle a (voir à cet effet la figure 6 : le premier angle a est compris entre le prolongement représenté en tireté de la première facette 50 et de la seconde facette 52). Ce premier angle a se situe de préférence dans une plage de 40°-80° et de marnière préférentielle, dans une plage comprise entre 45° et 70°. En outre, dans cette première position ou position de l’élément d’accrochage 36, la première facette 50, avec la direction d’enfichage 34, a un second angle β (voir figure 6). Ce second angle β peut être égal à sensiblement 0° (0° +/-3°), ce qui est le cas ici. Alors, dans la première position de l’élément d’accrochage 36, la première facette 50 est approximativement parallèle à la direction d’enfichage 34. Pour avoir une partie en saillie 48 formant un crochet, la première facette 50, partant également du second segment 40 sera inclinée vers le haut et vers l’extérieur, dans la direction opposée à la direction d’enfichage. Pour cela, le second angle β se situera, par exemple, dans une plage comprise entre 5° et 40°, de préférence dans une plage comprise entre 5° et 20°.
On remarque bien que le centre de gravité de la première facette 50 est au-dessus du centre de gravité de la surface de la seconde facette 52, c’est-à-dire plus vers l’extérieur ou plus loin du boîtier 32. La partie en saillie 48 présente ici la forme d’un nez retourné. On n’a pas représenté une forme de la partie en saillie pour laquelle la partie en saillie 48 serait en forme de coin, c’est-à-dire une forme pour laquelle la partie en saillie 48 aurait, par exemple, sensiblement, la forme d’un triangle équilatéral avec sensiblement la même longueur de branche pour la première facette 50 et la seconde facette 52.
La première facette 50 n’est pas nécessairement continue, elle peut, par exemple, avoir également des passages. Ceux-ci peuvent résulter du procédé de fabrication et du fait de la faible épaisseur de matière utilisée. La première facette 50 est, dans ce cas, pratiquement parallèle à la direction d’enfichage 34 ; le second angle β est sensiblement égal à zéro. Dans l’exemple présenté ici, la largeur de la seconde surface 52 correspond sensiblement à 40-60 % de la largeur du second segment 40 considéré dans la direction transversale à la direction d’enfichage 34 et à la direction du mouvement élastique de l’élément d’accrochage 36.
La figure 6 montre un détail plus agrandi du contact 30 de la figure 5. La figure se limite à une partie de l’élément d’accrochage 36 dans la zone du passage entre le premier segment 38 et le second segment 40, selon une représentation schématique en trois dimensions. Le second segment 40 a une surface arrière 44 munie de la partie en saillie 48. La partie en saillie 48 a une première facette 50 sensiblement parallèle à la direction d’enfichage 34. Cela se remarque bien grâce au prolongement de la première facette 50 qui est mis en évidence par une surface hachurée. La direction d’enfichage 34 figurée par une flèche est, dans ce cas, dans le plan de la première facette 50. Comme cela est bien décrit pour la figure 5, la première facette 50 peut également avoir un angle différent de zéro, notamment un angle compris entre 5° et 40° par rapport à la direction d’enfichage 34.
Le centre de gravité de la surface de la première facette 50 se situe dans la direction transversale perpendiculaire à la direction d’enfichage, plus à l’extérieur que le centre de gravité de la surface de la seconde facette 52 reliée à la première facette 50. A la transition entre la première facette 50 et la seconde facette 52 on a l’extrémité 54 de la partie en saillie. Cette extrémité 54 sort de la chambre de contact 22, la première avec la paroi latérale 42 de la chambre de contact 22 lors du mouvement de dégagement du contact 30 hors de la chambre de contact 22 ; la surface de contact entre l’extrémité en saillie 54 et la paroi latérale 42 ou le segment en contre-dépouille ou la paroi de l’évidement de la surface de contact 22 est particulièrement décisif pour la pression à laquelle la force d’arrachage donnée s’exerce sur la matière de la paroi latérale 42 (selon la formule p=F/A) : plus la surface est faible et plus élevée sera la pression et ainsi l’effet d’accrochage ou "l’effet de piolet", de la partie en saillie dans la paroi latérale 42 ou la contre-dépouille. A titre d’exemple, la partie en saillie 48 a une forme de crochet. Cela signifie que l’extrémité en saillie 54 est plus éloignée du boîtier par rapport à l’extension longitudinale du boîtier 32, c’est-à-dire selon un prolongement de la première facette 50 au-delà de la surface arrière 44. Ainsi, lorsque la partie en saillie 48 s’est enfoncée dans la paroi latérale 42 ou a creusé un creux ou une cavité dans la paroi latérale 42, elle formera, une liaison par la forme pour la profondeur de pénétration ou la rigidifî-cation.
NOMENCLATURE DES ELEMENTS PRINCIPAUX 10 Connecteur 12 Partie supérieure de boîtier 14 Partie inférieure de boîtier 16 Patte d’accrochage 18 Joint en forme de nappe 20 Passage 22 Chambre de contact 30 Contact 32 Boîtier 34 Direction d’enfichage 36 Elément d’accrochage 38 Premier segment 40 Second segment 42 Paroi latérale de la chambre de contact 44 Surface arrière 46 Normale à la surface 48 Partie en saillie 50 Première facette 52 Seconde facette 54 Extrémité en saillie

Claims (12)

  1. REVENDICATIONS 1°) Contact électrique (30) pour être enfiché selon la direction d’enfichage (34) dans une chambre de contact (22) d’une liaison de connexion, ayant : un boîtier allongé (32) s’étendant dans la direction d’enfichage (34), un élément d’accrochage (36), allongé pour accrocher le contact (30) dans la chambre de contact (22), * l’élément d’accrochage (36) étant fixé par une extrémité au boîtier (32), * l’élément d’accrochage (36) étant en saillie du boîtier (32) par un premier segment (38), élastique, incliné dans la direction opposée à la direction d’enfichage (34), et se poursuivant par une seconde extrémité avec un second segment (40) en porte-à-faux de l’élément d’accrochage (36) qui est recourbé vers l’intérieur en direction du boîtier (32), * le second segment (40) ayant une surface arrière (44) dont la direction normale (46) à cette surface est orientée pratiquement dans la direction opposée à la direction d’enfichage (34), contact électrique caractérisé en ce que * la surface arrière (44) comporte une partie en saillie (48), * la partie en saillie (48) considérée notamment dans la direction opposée à la direction d’enfichage (34), dépassant de l’extension longitudinale maximale de la surface arrière (44), au-delà de cette surface arrière (44).
  2. 2°) Contact électrique (30) selon la revendication 1, caractérisé en ce que la partie en saillie (48) a une forme de bec ou de coin.
  3. 3°) Contact électrique (30) selon Tune des revendications 1 et 2, caractérisé en ce que * la partie en saillie (48) a une première facette (50) avec une extrémité en saillie (54) à l’opposé de la surface arrière (44), * la partie en saillie (48) a une seconde facette (52) rejoignant la première facette (50), * le centre de gravité de la première facette (50) est situé selon la direction transversale perpendiculaire à la direction d’enfichage (34), plus vers l’extérieur que le centre de gravité de la seconde facette (52), • la première facette (50) est orientée vers l’extérieur par rapport au boîtier (32), et • la seconde facette (52) se trouve principalement entre l’extrémité en saillie (54) et la surface arrière (44) du second segment (40).
  4. 4°) Contact électrique (30) selon la revendication 3, caractérisé en ce que la première facette (50) est pratiquement parallèle à la direction d’enfichage (34).
  5. 5°) Contact électrique (30) selon l’une des revendications 3 et 4, caractérisé en ce que la première facette (50) et la seconde facette (52) font entre elles un angle a, compris dans une plage entre 40° et 80° et notamment dans une plage entre 45° et 70°.
  6. 6°) Contact électrique (30) selon l’une des revendications 3 à 5, caractérisé en ce que la première facette (50) partant du second segment (40) de l’élément d’accrochage (36) est orientée en biais, vers l’extérieur en s’écartant du boîtier (32) et elle fait un angle β par rapport à la direction d’enfichage (34), cet angle étant compris entre 5° et 20°.
  7. 7°) Contact électrique (30) selon l’une des revendications 3 à 6, caractérisé en ce que le second segment (40) de l’élément d’accrochage (36) a une première largeur, la seconde facette (52) de la partie en saillie ayant une seconde largeur, représentant entre 40% et 60% de la première largeur.
  8. 8°) Contact électrique (30) selon l’une des revendications 1 à 7, caractérisé en ce que * le boîtier (32) du contact (30) est en tôle, et * la partie en saillie (48) est emboutie dans le second segment (40) de l’élément d’accrochage (36).
  9. 9°) Contact électrique (30) selon l’une des revendications 1 à 8, caractérisé en ce que le contact (30) est en contact miniaturisé et le boîtier (32) est en tôle d’une épaisseur inférieure à 0,5 mm.
  10. 10°) Connecteur électrique comportant : - un contact (30) selon l’une des revendications 1 à 9, - un porte-contact avec une chambre de contact (22) pour recevoir le contact (30) ; * l’élément d’accrochage (36) étant réalisé de façon qu’à l’état verrouillé du contact (30), il pénètre au moins partiellement avec son premier segment (38) et son second segment (40) dans un évidement de la chambre de contact (22) du support de contact pour que le second segment (40) de l’élément d’accrochage (36), pour un mouvement du contact (30) dans la direction opposée à la direction d’enfichage (34), vienne en appui par une paroi latérale (42) contre l’évidement et bloque ainsi la poursuite du mouvement de dégagement du contact (30) hors de la chambre de contact (22).
  11. 11°) Connecteur électrique selon la revendication 10, caractérisé en ce que l’élasticité de la matière de la partie en saillie (48) est inférieure à l’élasticité de la matière de la paroi latérale (42) de la chambre de contact (22) de sorte qu’à l’extraction du contact (30) hors de la chambre de contact (22) et de la compression consécutive de l’élément d’accrochage (36) contre cette paroi latérale (42), la partie en saillie (48) crée une cavité dans la paroi latérale pour que cette cavité freine le mouvement du second segment (40) de l’élément d’accrochage (36) dans la direction opposée à celle tournée vers le boîtier (32) du contact (30).
  12. 12°) Connecteur électrique selon la revendication 11, caractérisé en ce que la première facette (50) de la partie en saillie (48), est orientée en biais vers l’extérieur en s’écartant du boîtier (32) à partir du second segment (40) de l’élément d’accrochage (36) pour que la cavité ainsi formée dans la paroi latérale (42) de la chambre de contact (22) soit également orientée en biais vers l’extérieur.
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