FR3038930A1

FR3038930A1 - Element d'ouverture et/ou de fermeture d'un passage

Info

Publication number: FR3038930A1
Application number: FR1501496A
Authority: FR
Inventors: Bruno Lacaux
Original assignee: Individual
Current assignee: Individual
Priority date: 2015-07-15
Filing date: 2015-07-15
Publication date: 2017-01-20

Abstract

Elément d'ouverture et/ou de fermeture d'un passage comportant un vantail (2) monté coulissant par glissement ou roulement, un dispositif d'entraînement motorisé permettant le déplacement dudit vantail (2) dans une position d'ouverture et/ou de fermeture dudit passage, lequel dispositif d'entrainement est directement intégré dans la structure dudit vantail (2), caractérisé en ce que le dispositif d'entrainement comporte : - au moins un actionneur solidaire du vantail (2), - un élément de liaison (11) de longueur variable reliant ledit actionneur à au moins un point d'attache (12), lequel élément de liaison (11) est mû par ledit actionneur, - le point d'attache (12) est rattaché à un support (5a, 5b) qui est fixe par rapport au vantail (2), l'activation de l'actionneur entraînant une modification de la longueur dudit élément de liaison (11) entre ledit point d'attache (12) et ledit actionneur, laquelle variation de longueur entraîne le déplacement en ouverture et/ou fermeture dudit vantail (2).

Description

ELEMENT DOUVERTURE ET/OU DE FERMETURE D’UN

PASSAGE

Description

Domaine technique de l’invention. L’invention a pour objet un élément d’ouverture et/ou de fermeture d’un passage.

Elle concerne le domaine technique des organes de translation, et plus particulièrement celui des éléments coulissants passant d’une position d’ouverture à une position de fermeture. État de la technique.

De nos jours, de nombreuses techniques sont utilisées afin d’ouvrir et/ou fermer des accès à des lieux divers, tels que des jardins, des hangars, ou encore des cours intérieures. Des portails coulissants ou à battants ont été proposés de sorte que l’utilisateur puisse ouvrir et/ou fermer un accès de manière simplifiée.

Le document brevet FR 2,853,638 (PORTE AUTOMATIQUE SERVICE) propose un portail coulissant comportant un vantail monté coulissant par glissement ou roulement dans un rail de guidage installé au sol. Ce portail comprend un dispositif d’entraînement motorisé qui permet le déplacement dans une position d’ouverture et/ou de fermeture du vantail. Ce dispositif d’entraînement est constitué d’une crémaillère solidaire du vantail sur laquelle s’engrène un pignon mû par un moteur. Le moteur, ainsi que le pignon, sont déportés du vantail et nécessitent une installation complexe et encombrante. En outre, il est nécessaire de percer le vantail de manière à installer la crémaillère, risquant d’occasionner des dégradations irréversibles.

Une solution permettant de résoudre en partie les inconvénients précités est présentée dans le document brevet FR 3,008,731 (GELIN MICHEL GUY RENE). Un exemple de réalisation est schématisé sur la figure 1 annexée. Le portail comprend une motorisation 24 reliée à une alimentation 25. La motorisation 24 est embarquée directement dans la structure d’un vantail 2. Une crémaillère 3 installée au sol fait office de rail de guidage. Une roue d’entraînement 4 intégrée dans le vantail 2 s’engrène sur cette crémaillère 3. La roue 4 est mise en rotation par le motoréducteur 24 installé dans le vantail 2, provoquant son déplacement en position d’ouverture et/ou de fermeture entre deux supports fixes 5a, 5b. L’installation au sol de la crémaillère 3 est longue et coûteuse. De plus, pour que la roue d’entraînement 4 s’engrène correctement sur cette crémaillère 3, il est nécessaire que les dents de cette dernière soient exemptes de tout obstacle, tel que des pierres ou des détritus. Ceci est rarement le cas pour une utilisation en extérieur. En outre, ce portail a une conception complexe, et présente un vantail 2 qui a un encombrement important, notamment son épaisseur, puisqu’il doit pouvoir loger à la fois le motoréducteur 24 et la roue d’entraînement 4. L’invention vise à remédier à cet état des choses. En particulier, un objectif de l’invention est de proposer un élément d’ouverture et/ou de fermeture dont le temps d’installation est réduit.

Un autre objectif de l’invention est de proposer un élément d’ouverture et/ou de fermeture au fonctionnement amélioré.

Encore un autre objectif de l’invention est de proposer un élément d’ouverture et/ou de fermeture à la conception simplifiée.

Un objectif supplémentaire de l’invention est de un élément d’ouverture et/ou de fermeture permettant de réduire l’encombrement du vantail.

Divulgation de l’invention.

La solution proposée par l’invention est un élément d’ouverture et/ou de fermeture d’un passage comportant un vantail monté coulissant par glissement ou roulement, un dispositif d’entraînement motorisé permettant le déplacement dudit vantail (2) dans une position d’ouverture et/ou de fermeture dudit passage , lequel dispositif d’entrainement est directement intégré dans la structure dudit vantail.

Cette invention est remarquable en ce que le dispositif d’entrainement comporte : - au moins un actionneur solidaire du vantail, - un élément de liaison de longueur variable reliant ledit actionneur à au moins un point d’attache, lequel élément de liaison est mû par ledit actionneur, - le point d’attache est rattaché à un support qui est fixe par rapport au vantail, l’activation de l’actionneur entraînant une modification de la longueur dudit élément de liaison entre ledit point d’attache et ledit actionneur, laquelle variation de longueur entraîne le déplacement en ouverture et/ou fermeture dudit vantail.

Un tel dispositif permet de proposer à l’utilisateur, une structure coulissante prête à être installée, sans aucune préparation préalable nécessaire. En effet, aucune crémaillère ne doit être installée, que ce soit sur le vantail ou au sol. De plus, la structure proposée présente un faible encombrement par rapport aux structures connues dans l’art antérieur. D’autres caractéristiques avantageuses de l’invention sont listées ci-dessous. Chacune de ces caractéristiques peut être considérée seule ou en combinaison avec les caractéristiques remarquables définies ci-dessus, et faire l’objet, le cas échéant, d’une ou plusieurs demandes de brevet divisionnaires : - le dispositif d’entrainement peut comporter deux actionneurs se présentant respectivement sous la forme d’un premier tambour et d’un deuxième tambour, l’élément de liaison étant un lien souple qui s’enroule sur le premier tambour et qui se déroule simultanément sur le deuxième tambour, le point d’attache étant placé entre les deux dits tambours, - les tambours peuvent être montés mobiles en rotation autour d’axes horizontaux solidaires du vantail, un ensemble de poulies permettant de diriger le lien souple depuis lesdits tambours jusqu’au point d’attache, - les tambours peuvent être montés mobiles en rotation autour d’axes verticaux solidaires du vantail, - les tambours peuvent être reliés par un élément de transmission adapté pour synchroniser les mouvements desdits tambours, - le dispositif d’entraînement peut être configuré de sorte que : o le vantail comporte deux bords latéraux, o le dispositif d’entrainement comporte un actionneur se présentant sous la forme d’un tambour positionné au niveau du premier bord latéral du vantail, o l’élément de liaison se présente sous la forme d’un lien souple s’enroulant autour dudit tambour, l’enroulement dudit lien sur ledit tambour entraînant le déplacement dudit vantail en position d’ouverture, o un moyen de rappel relie le point d’attache au deuxième bord latéral dudit vantail, de manière à ramener automatiquement le vantail en position de fermeture, - le dispositif d’entrainement peut comporter un actionneur se présentant sous la forme d’un vérin comportant un corps dans lequel est logée une tige formant l’élément de liaison, une extrémité de ladite tige étant attachée au point d’attache, l’autre extrémité étant logée dans le corps, ledit vérin étant agencé de sorte que lorsque ladite tige sort dudit corps, la distance entre ledit corps et le point d’attache augmente ce qui entraîne le déplacement du vantail en position d’ouverture, et lorsque ladite tige rentre dans ledit corps, la distance entre ledit corps et le point d’attache diminue ce qui entraîne le déplacement du vantail en position de fermeture, - le point d’attache peut comporter un manchon dans lequel est serti l’élément de liaison, lequel manchon serti est rattaché au support fixe, - un dispositif d’amortissement peut être associé au point d’attache, ledit dispositif d’amortissement étant adapté pour encaisser les mouvements de translation verticaux du vantail lors de son déplacement, - le dispositif d’amortissement peut être composé d’organes solidaires du point d’attache et se déplaçant dans des rails de guidage verticaux, lesquels organes ont uniquement un degré de liberté en translation verticale, lesdits rails étant fixés au support fixe, - le point d’attache peut comporter une roue avant adapter pour rouler sur un profilé longitudinal horizontal du vantail, de manière à transmettre les mouvements de translation verticaux dudit vantail au dispositif d’amortissement, - le vantail peut être creux et comporter deux compartiments, les actionneurs étant logés dans un de ces compartiments, le compartiment dans lequel sont logés les actionneurs ayant une épaisseur supérieure à celle de l’autre compartiment, lequel compartiment dans lequel sont logés les actionneurs ayant une longueur inférieure à celle de l’autre compartiment.

Description des figures. D’autres avantages et caractéristiques de l’invention apparaîtront mieux à la lecture de la description d’un mode de réalisation préféré qui va suivre, en référence aux dessins annexés, réalisés à titre d’exemples indicatifs et non limitatifs et sur lesquels : - la figure 1 est une représentation schématique d’un élément d’ouverture et/ou de fermeture connue dans l’Art antérieur, - la figure 2 est une représentation schématique d’un élément d’ouverture et/ou de fermeture conforme à l’invention, celle-ci se trouvant en position de fermeture, - la figure 3 est une représentation schématique de l’élément de la figure 2, ledit élément se trouvant en position d’ouverture, - la figure 4 est une vue en coupe horizontale de l’élément montrant les différents compartiments composant un vantail conforme à l’invention, - la figure 5a est une vue schématique de dessus du point d’attache utilisé dans l’élément de la figure 2, - la figure 5b est une vue schématique de face du point d’attache utilisé dans l’élément de la figure 2, - la figure 5c est une variante de réalisation du point d’attache utilisé dans l’élément de la figure 2, - les figures 6 à 8 sont des variantes de réalisation du dispositif d’entrainement utilisé dans un élément conforme à l’invention.

Modes préférés de réalisation de l’invention. L’élément d’ouverture et/ou de fermeture de l’invention se présente préférentiellement sous la forme d’un portail, mais il peut être également utilisé pour n’importe quel autre système d’ouverture et/ou de fermeture d’un passage. Le passage peut par exemple se présenter sous la forme d’un passage pour voiture, de l’entrée d’un garage, d’entrepôts, ou encore de hangars. L’élément comporte un vantail 2 coulissant entre deux supports fixes 5a, 5b, pouvant se déplacer en translation depuis une position de fermeture (figure 2) jusqu’à une position d’ouverture (figure 3), ou depuis une position d’ouverture (figure 3) jusqu’à une position de fermeture (figure 2). Le vantail 2 possède un bord latéral 2a et un bord latéral 2b. En position de fermeture, le bord latéral 2b du vantail 2 est en contact avec le support 5b alors que le bord latéral 2a est positionné au niveau du support 5a. Pour passer en position d’ouverture, le bord latéral 2b est déplacé depuis le support 5b jusqu’au support 5a.

Le vantail 2 intègre un dispositif d’entraînement permettant de le faire coulisser d’une position à une autre. Ce vantail 2 peut avoir des dimensions variées avec une longueur comprise entre 1 m et 15 m, et une hauteur pouvant avoir une valeur se trouvant entre 50 cm et 5 m. Il est préférentiellement en métal, comme par exemple en acier inoxydable ou en aluminium, mais peut aussi être fabriqué dans un autre matériau rigide tel que du bois ou encore du plastique.

Comme représenté sur la figure 4, le vantail 2 est préférentiellement creux de manière à pouvoir accueillir un dispositif d’entraînement (décrit plus avant dans la description). Il présente deux compartiments 41, 42 : un premier compartiment 41 dans lequel le dispositif est installé et un deuxième compartiment 42 dans lequel un élément de liaison (décrit plus avant dans la description) est intégré. Suivant les modes de réalisation, les deux compartiments 41, 42 peuvent avoir une épaisseur équivalente ou non. Le compartiment 41 dans lequel le dispositif est installé a une épaisseur comprise entre 5 cm et 50 cm. La longueur des compartiments 41, 42 dépend de la taille du vantail 2 et peut être comprise entre 20 cm et 100 m. Il est placé de préférence au niveau d’un des bords latéraux 2a, 2b du vantail 2 mais peut également être placé dans n’importe quelle position sur le vantail 2, comme par exemple au centre dudit vantail 2. L’épaisseur du compartiment 42 est inférieure ou égale à celle du compartiment 41. Elle varie de 5 cm à 25 cm. L’épaisseur réduite du compartiment 42 permet de réduire l’encombrement du vantail 2.

Le compartiment 41 est composé d’une paroi avant 411 et d’une paroi arrière 412 parallèles l’une par rapport à l’autre. Ces deux parois 411, 412 sont rattachées et perpendiculaires à une paroi de fond 413 et à une paroi supérieure 414. Des parois latérales 415, 416 peuvent venir fermer le compartiment 41 sur chacun de ses bords latéraux afin que celui-ci soit hermétique et puisse protéger le dispositif d’entrainement contre des inconvénients tels que la pluie, l’humidité, ou encore la neige. La hauteur des parois avant 411 et arrière 412 correspond à la hauteur du vantail 2, et peut être comprise entre 50 cm et 1 m. Leur largeur doit permettre d’intégrer le dispositif d’entrainement et varie de 10 cm à 30 cm.

De la même manière, le compartiment 42 est formé d’une paroi avant 421 et d’une paroi arrière 422 parallèles l’une par rapport à l’autre. Ces deux parois 421, 422 sont rattachées et perpendiculaires à une paroi de fond 423 et à une paroi supérieure 424. Des parois latérales 425, 426 peuvent venir fermer le compartiment 42 afin de le rendre hermétique. La hauteur des parois avant 421 et arrière 422, est similaire à celle décrite dans le paragraphe précédent. Leur largeur dépend des dimensions du vantail 2 et peut être comprise, par exemple, entre 1 m et 15 m.

Les différentes parois 411, 412, 413, 414, 415, 416, 421, 422, 423, 424, 425, 426 sont fabriquées dans un matériau rigide tel qu’un métal, ou encore en bois. Elles peuvent également être fabriquées dans un matériau plus léger, comme par exemple le polystyrène ou encore le polyéthylène. Elles ont une épaisseur dépendant de la rigidité souhaitée par l’utilisateur, et qui peut être comprise entre 1 mm et 1 cm. Les parois 411, 412, 413, 414, 415, 416, 421, 422, 423, 424, 425, 426 sont assemblées entre elles de manière à former le vantail 2. Cet assemblage peut être effectué de différentes manières, comme par exemple par soudage, par vissage, ou encore par boulonnage.

Le dispositif d’entraînement est intégré dans le vantail 2 et permet d’initier son mouvement de translation. Il est composé d’au moins un actionneur solidaire dudit vantail 2. Un élément de liaison 11 relie le ou les actionneurs(s) à un point d’attache 12 fixé sur un des supports fixes 5a, 5b. Les différentes formes de réalisation de cet élément de liaison 11 seront décrites plus avant dans la description.

Un point d’attache 12 conforme à l’invention, est représenté sur les figures 5a et 5b. Celui-ci se compose d’un manchon 50 dans lequel l’élément de liaison 11 est bloqué en position, par exemple par sertissage. Le manchon 50 est fabriqué dans un métal tel que l’aluminium, l’acier inoxydable, ou encore le cuivre. Il a un diamètre intérieur sensiblement supérieur au diamètre de l’élément de liaison 11 de façon à pouvoir insérer aisément celui-ci avant sertissage. Ce diamètre est, par exemple, compris entre 1 mm et 4.2 cm.

Le manchon 50 peut être directement relié au support 5a comme représenté sur la figure 5c. Il est alors relié au support 5agrâce à une platine 51, elle-même raccrochée au support 5agrâce à des moyens de fixation 55 pouvant se présenter sous la forme de vis ou de soudures.

Toutefois dans le mode de réalisation préféré représenté sur les figures 5a et 5b, le manchon serti 50 est associé à un dispositif d’amortissement. Ce dispositif permet d’amortir des chocs éventuels lors de l’ouverture et/ou fermeture du vantail 2, et notamment des mouvements de translation verticaux dudit vantail 2. En l’absence d’un tel dispositif, la tension exercée sur le point d’attache 12 lors des mouvements de translation verticaux du vantail 2 pourraient entraîner son décrochage du support 5a et ainsi altérer l’intégrité physique de l’élément d’ouverture et/ou fermeture.

La platine 51 permet alors de le relier à ce dispositif. Ainsi la platine 51 est reliée à des axes 521a, 521b, 521c, 521 d sur lesquels sont installés des organes 52a, 52b, 52c, 52d. Le dispositif comporte préférentiellement deux paires d’organes 52a, 52b, 52c, 52d, mais il peut également en comporter qu’une seule. Cependant, le mode de réalisation présentant deux paires d’organes 52a, 52b, 52c, 52d permet un meilleur amortissement et fournit une meilleure rigidité au dispositif. Les organes 52a, 52b, 52c, 52d sont préférentiellement des roues montées en rotation autour des axes 521a, 521b, 521c, 521 d. Ils peuvent toutefois se présenter sous la forme de patins non rotatifs, comme par exemple des patins en téflon. Cette platine 51 est préférentiellement réalisée dans un matériau métallique, tel que l’acier inoxydable ou l’aluminium, mais elle peut aussi être fabriquée dans un autre matériau rigide tel que le polyéthylène, le polystyrène, ou n’importe quel autre matériau plastique. Elle a une longueur permettant de raccorder les axes 521a, 521b, 521c, 521 d comprise entre 5 cm et 40 cm. Sa largeur peut par exemple, varier de 5 cm à 30 cm. Elle a une épaisseur permettant de lui conférer une rigidité suffisante, comprise par exemple entre 1 mm et 1 cm.

Les organes 52a, 52b, 52c, 52d sont associés à des rails de guidage verticaux 54a, 54b. Ces rails de guidage verticaux 54a, 54b sont fixés au support 5a. Ils peuvent être fixés directement audit support 5a grâce à des moyens de fixation 55a, 55b pouvant se présenter sous la forme de vis ou de boulons par exemple. Toutefois ils peuvent être fixés sur une plaque qui sert d’intermédiaire entre le support 5a, 5b et lesdits rails de guidage 54a, 54b, permettant ainsi d’améliorer la rigidité du dispositif.

Sur la figure 5a, les rails de guidage 54a, 54b se présentent sous la forme de profilés en L ou en U servant de guides de roulement et/ou glissement aux organes 52a, 52b, 52c, 52d. Ces rails 54a, 54b permettent aux organes 52a, 52b, 52c, 52d d’avoir un degré de liberté en translation verticale par rapport au support 5a, 5b. Cependant, aucun mouvement n’est possible en translation horizontale, que ce soit dans une direction longitudinale ou transversale. La présence d’un tel dispositif permet d’encaisser les défauts de linéarité éventuels du sol, ou d’un rail de guidage inférieur 14. Il permet également d’amortir un choc éventuel dû à un obstacle logé dans le rail de guidage inférieur 14.

Dans un mode de réalisation préféré représenté sur les figures 5a et 5b, le manchon 50 est rattaché à une roue avant 56. Cette roue avant 56 a pour fonction de transmettre les mouvements de translation verticaux du vantail 2 au manchon 50 et par conséquent à la platine 51. Lors de la transmission de ces mouvements, les organes 52a, 52b, 52c, 52d vont se déplacer dans les rails de guidage verticaux 54a, 54b, préservant l’intégrité physique du manchon 50 en cas de brusque mouvement vertical du vantail 2. Cette roue avant 56 se déplace le long d’un profilé longitudinal 2c du vantail 2 lors de l’ouverture ou de la fermeture de celui-ci. Ce profilé 2c est préférentiellement placé à mi-hauteur du vantail 2 comme représenté sur les figures 2 et 3, il peut toutefois être placé sur la partie supérieure du vantail 2 ou dans n’importe quelle autre position convenant à l’Homme du métier. L’élément d’ouverture et/ou de fermeture peut être équipé d’un guide inférieur 14 dans lequel le vantail 2 peut se déplacer en translation horizontale, de manière à passer d’une position à une autre. Ce guide 14 peut être de différentes sortes, comme par exemple un rail de roulement, la paroi inférieure du vantail 2 étant alors équipée de roues. Il peut également se présenter sous d’autres formes, telle qu’une bande de frottement en téflon, un guide électromagnétique sans contact, ou encore un système de guidage suspendu.

Plusieurs modes de réalisation du dispositif d’entrainement motorisé vont maintenant être décrits en détail.

Mode de réalisation 1

Sur le mode de réalisation préféré des figures 2 et 3, le dispositif d’entrainement comporte deux actionneurs se présentant sous la forme d’un tambour supérieur 22 et d’un tambour inférieur 21. Ces tambours 21, 22 sont reliés l’un à l’autre par une chaîne de transmission 23. La chaîne de transmission 23 peut se présenter sous différentes formes comme par exemple, un câble ou une courroie. Ces tambours 21, 22 sont positionnés au niveau du bord latéral 2a du vantail 2.

Au moins un des tambours 21, 22 est relié à un motoréducteur 24 qui va permettre de le mettre en rotation. La chaîne de transmission 23 permettant de communiquer ce mouvement de rotation au deuxième tambour 21, 22 afin qu’ils effectuent des mouvements de rotation synchronisés. Ce motoréducteur 24 est lui-même relié à une alimentation 25 lui fournissant de l’énergie. L’alimentation 25 peut être de différents types, comme par exemple une alimentation électrique, hydraulique, photovoltaïque, par batterie, ou encore thermique. Le motoréducteur 24 est relié à l’alimentation grâce à un câble d’alimentation 29 qui peut se présenter sous des formes différentes, comme par exemple un cordon spirale, ou encore un câble équipé d’un système enrouleur/dérouleur.

Les mouvements de rotation des tambours 21, 22 s’effectuent respectivement autour des axes horizontaux 211, 221 solidaires de la structure du vantail 2. Les tambours 21, 22 peuvent avoir des dimensions qui varient selon la taille de l’élément de liaison 11 utilisé. Leur hauteur varie ainsi entre 3 cm et 30 cm et leur diamètre est compris entre 2 cm et 15 cm. Ils sont de préférence fabriqués en métal, comme par exemple l’aluminium ou l’acier, mais peuvent toutefois être réalisés dans un autre type de matériau rigide, comme par exemple du plastique. L’élément de liaison 11 a une longueur variable et se présente préférentiellement sous la forme d’un lien souple pouvant être un câble métallique. Il peut aussi se présenter sous des formes variées, comme par exemple une chaîne, une corde, ou encore une courroie. Sa longueur varie selon la taille du vantail 2 et/ou du dispositif d’entraînement. Elle est, par exemple, comprise entre 150 cm et 5000 cm.

Des poulies de renvoi 26a, 26b, permettent de diriger le lien 11 dans la direction désirée. Ainsi, sur la figure 2, le lien 11 arrivant du tambour inférieur 21 s’enroule autour de la poulie de renvoi 26b. La direction dudit lien 11 passe alors d’une direction verticale à une direction horizontale.

Une fois passé dans la poulie 26b, le lien 11 s’étend sur la longueur du vantail 2 jusqu’à une poulie d’extrémité 27 agencée au niveau du bord latéral 2b du vantail 2 opposée au bord latéral 2a où est agencé le compartiment 41 décrit précédemment. La poulie d’extrémité 27 permet au le lien 11 d’effectuer un demi-tour, de manière à ce qu’il soit renvoyé sur la deuxième poulie de renvoi 26a. La poulie de renvoi 26a est similaire à celle décrite précédemment, et permet au lien 11 de passer d’une direction horizontale à une direction verticale de manière à venir s’enrouler autour du tambour supérieur 22.

Une poulie de rappel 28 est placée entre une des poulies de renvoi 26a, 26b et le tambour 21, 22 associé. Elle peut, par exemple, être placée entre le tambour inférieur 21 et la poulie de renvoi 26b, ou entre le tambour supérieur 22 et la poulie de renvoi 26a. La poulie de rappel 28 est solidaire du vantail 2 auquel elle est reliée à l’aide d’un moyen de rappel 281. Ce moyen de rappel 281 peut se présenter sous la forme d’un ou plusieurs ressorts, d’élastiques, ou encore de pistons. Il se présente par exemple sous la forme d’un ressort de rappel ayant une extrémité solidaire de l’axe de rotation de la poulie 28, et une autre extrémité solidaire de la structure du vantail 2. Ce moyen de rappel 281 permet de mettre la poulie 28 en tension de manière à ce que le lien 11 reste tendu entre les deux tambours 21,22.

Les différentes poulies du dispositif d’entrainement 26a, 26b, 27, 28 peuvent toutes être de forme identique, mais elles peuvent également se présenter sous des formes différentes. Elles ont un diamètre pouvant varier de 2 cm à 15 cm. Leur épaisseur correspond au diamètre du lien 11 et varie de 1 cm à 4 cm. Elles sont fabriquées dans un matériau rigide, comme par exemple un plastique ou un métal. Elles effectuent un mouvement de rotation autour d’axes horizontaux permettant ainsi de diriger le lien 11 dans la direction souhaitée.

Le lien 11 est rattaché au support fixe 5a au niveau du point d’attache 12 décrit précédemment. Dans ce mode de réalisation, le point d’attache 12 est placé entre les deux tambours 21, 22, et permet de créer une force de traction permettant de faire effectuer un mouvement de translation horizontale au vantail 2.

Les figures 2 et 3 décrivent respectivement l’élément d’ouverture et/ou de fermeture de l’invention en position de fermeture et en position d’ouverture. Les flèches représentées sur la figure 2 schématisent le mouvement du lien 11. Ainsi, celui-ci se déroule sur le tambour inférieur 21 pour aller s’enrouler autour de la poulie de rappel 28 puis de la poulie de renvoi 26b. Le lien 11 étant solidaire du support 5a, 5b au niveau du point d’attache 12, la force exercée par l’enroulement du lien 11 autour du tambour supérieur 22 va faire augmenter la longueur du tronçon du lien 11 situé entre le point d’attache 12 et le tambour 22. Cette variation de longueur va entraîner une translation du vantail 2 qui se retrouve dans la position ouverte représentée sur la figure 3.

Les flèches représentées sur la figure 3 schématisent le fonctionnement du dispositif d’entraînement lors de la fermeture du vantail 2. Contrairement au procédé d’ouverture décrit dans le paragraphe précédent, le lien 11 s’enroule autour du tambour inférieur 21 et se déroule sur le tambour supérieur 22. La force de tension appliquée sur le lien 11 va faire diminuer la longueur du tronçon du lien 11 situé entre le point d’attache 12 et le tambour 21, entraînant la translation du vantail 2 qui se retrouve dans la position fermée de la figure 2.

Les modes de réalisation décrits plus avant dans la description sont des versions simplifiées du mode décrit précédemment, permettant ainsi de diminuer les coûts de fabrication de l’élément d’ouverture et/ou de fermeture.

Mode de réalisation 2

Dans le mode de réalisation représenté sur la figure 6, le dispositif d’entrainement comporte deux actionneurs se présentant sous la forme de deux tambours 61, 62 reliés l’un à l’autre par une chaîne de transmission 63 permettant de synchroniser leurs mouvements de rotation. Les deux tambours 61, 62 sont mobiles en rotation respectivement autour des axes verticaux 611, 622 solidaires de la structure du vantail 2. Le point d’attache 12, décrit précédemment, est solidaire du support 5a, et est positionné entre les deux tambours 61, 62. Le motoréducteur 24, identique à celui décrit dans le mode de réalisation précédent, est relié à un des tambours 61, 62, de manière à actionner son mouvement en rotation. Le déroulement ou l’enroulement de l’élément de liaison 11, similaire à celui décrit pour le mode de réalisation précédent et se présentant sous la forme d’un lien souple, sur le tambour 61 permet le faire varier la longueur du tronçon dudit lien 11 situé entre le point d’attache 12 et le tambour 61. Cette variation de longueur va permettre de déplacer le vantail 2 d’une position de fermeture à une position d’ouverture (et inversement).

Lorsque le lien 11 s’enroule autour du tambour 62 et se déroule autour du tambour 61, la longueur du tronçon situé entre le tambour 61 et le point d’attache 12 augmente, permettant d’ouvrir le vantail 2. Inversement, quand le lien 11 se déroule autour du tambour 62 et s’enroule autour du tambour 61, la longueur du tronçon situé entre le tambour 61 et la point d’attache 12 diminue, permettant de fermer le vantail 2.

Les tambours 61, 62 sont similaires aux tambours 21, 22 décrit dans le mode de réalisation précédent. Les deux compartiments 41, 42 du vantail 2, ont préférentiellement la même épaisseur pour permettre l’installation d’un tambour 61,62 au niveau de chacun des bords latéraux 2a, 2b.

Mode de réalisation 3

Sur la figure 7, le dispositif d’entraînement comporte un actionneur se présentant sous la forme d’un seul tambour 71 placé au niveau du bord latéral 2b du vantail 2. Le tambour 71 effectue un mouvement de rotation autour d’un axe vertical 711 solidaire de la structure du vantail 2. Ce tambour 71 est relié par l’élément de liaison 11 au point d’attache 12, et est similaire aux tambours 21, 22, 61, 62 décrits dans les modes de réalisation précédents. Le point d’attache 12 est lui même rattaché au bord latéral opposé 2a du vantail 2 par un moyen de rappel 72. Il se présente préférentiellement sous la forme d’un ou plusieurs ressorts, mais peut aussi se présenter sous la forme d’un élastique ou d’un piston. L’élément de liaison 11 se présente, de la même manière que les modes précédents, sous la forme d’un lien souple.

Lorsque le lien 11 s’enroule autour du tambour 71, la longueur du tronçon situé entre ce tambour 71 et le point d’attache 12 diminue et permet ainsi d’ouvrir le vantail 2. Inversement, lorsque le lien 11 se déroule autour du tambour 71, l’effet ressort du moyen de rappel 72 permet de ramener le vantail 2 en position de fermeture.

Le tambour 71 est relié à un motoréducteur 24, identique à celui décrit précédemment, et permettant d’initier le mouvement dudit tambour 71 autour de l’axe 711.

Mode de réalisation 4

Sur la figure 8, le dispositif d’entrainement comporte un actionneur se présentant sous la forme d’un vérin 81 comportant un corps 811 dans lequel est logée une tige. La tige fait office d’élément de liaison 11 et est elle-même solidaire du point d’attache 12. Le vérin 81 peut être de différents types, comme par exemple un vérin pneumatique, un vérin hydraulique, un vérin électrique, un vérin de type vis-écrou, ou encore une vis sans fin. Son actionnement va permettre de faire varier la longueur de la tige 11, faisant ainsi varier la distance entre le point d’attache 12 et le corps 811. Cette variation de distance va entraîner la translation du vantail 2. Ainsi, lorsque la tige 11 sort du corps 811, la distance entre ledit corps 811 et le point d’attache 12 augmente de sorte que le vantail 2 passe d’une position de fermeture à une position d’ouverture. En outre, quand la tige 11 rentre dans le corps 811, la distance entre ledit corps 811 et le point d’attache 12 diminue de sorte que le vantail 2 passe d’une position d’ouverture à une position de fermeture. L’agencement des différents éléments et/ou moyens et/ou étapes de l’invention, dans les modes de réalisation décrits ci-dessus, ne doit pas être compris comme exigeant un tel agencement dans toutes les implémentations. En tout état de cause, on comprendra que diverses modifications peuvent être apportées à ces éléments et/ou moyens et/ou étapes, sans s’écarter de l'esprit et de la portée de l’invention. En particulier : - l’élément d’ouverture et/ou de fermeture peut avoir plusieurs points d’attache 12, notamment deux ou trois points d’attache 12, - l'élément de fermeture et/ou d’ouverture peut être équipé de systèmes de fins de course pouvant être par roues codeuses électroniques, par capteurs mécaniques, par capteurs électriques, par capteurs magnétiques, ou encore par cellules photo-électrique. Ces systèmes permettent de détecter lorsque le vantail 2 arrive en position afin de stopper l’alimentation 25, - l’élément de fermeture et/ou d’ouverture peut être équipé d’une commande à distance pouvant, par exemple, être électrique, par radiofréquences, ou encore par wifi, - les actionneurs peuvent être de type différent que ceux décrits précédemment. Ils peuvent par exemple se présenter sous la forme de pignons ou de cardans, - en plus du guide inférieur 14, l’élément d’ouverture et/ou de fermeture peut également être équipé d’un guide supérieur solidaire d’un des supports 5a, 5b.

Claims

Revendications

1. Elément d’ouverture et/ou de fermeture d’un passage comportant un vantail (2) monté coulissant par glissement ou roulement, un dispositif d’entraînement motorisé permettant le déplacement dudit vantail (2) dans une position d’ouverture et/ou de fermeture dudit passage, lequel dispositif d’entrainement est directement intégré dans la structure dudit vantail (2), caractérisé en ce que le dispositif d’entrainement comporte : - au moins un actionneur solidaire du vantail (2), - un élément de liaison (11) de longueur variable reliant ledit actionneur à au moins un point d’attache (12), lequel élément de liaison (11) est mû par ledit actionneur, - le point d’attache (12) est rattaché à un support (5a, 5b) qui est fixe par rapport au vantail (2), l’activation de l’actionneur entraînant une modification de la longueur dudit élément de liaison (11) entre ledit point d’attache (12) et ledit actionneur, laquelle variation de longueur entraîne le déplacement en ouverture et/ou fermeture dudit vantail (2).
2. Elément d’ouverture et/ou de fermeture selon la revendication 1, caractérisé en ce que le dispositif d’entrainement comporte deux actionneurs se présentant respectivement sous la forme d’un premier tambour (21, 22, 61, 62) et d’un deuxième tambour (21, 22, 61, 62), l’élément de liaison (11) étant un lien souple qui s’enroule sur le premier tambour (21, 22, 61, 62) et qui se déroule simultanément sur le deuxième tambour (21, 22, 61, 62), le point d’attache (12) étant placé entre les deux dits tambours (21, 22, 61, 62).
3. Elément d’ouverture et/ou de fermeture selon la revendication 2, caractérisé en ce que les tambours (21, 22) sont montés mobiles en rotation autour d’axes horizontaux (211, 221) solidaires du vantail (2), un ensemble de poulies (26a, 26b, 27, 28) permettant de diriger le lien souple (11) depuis lesdits tambours (21, 22) jusqu’au point d’attache (12).
4. Elément d’ouverture et/ou de fermeture selon la revendication 2, caractérisé en ce que les tambours (61, 62) sont montés mobiles en rotation autour d’axes verticaux (611,621) solidaires du vantail (2).
5. Elément d’ouverture et/ou de fermeture selon l’une des revendications 2 à 4, caractérisé en ce que les tambours (21, 22, 61, 62) sont reliés par un élément de transmission (23, 63) adapté pour synchroniser les mouvements de rotation desdits tambours (21, 22, 61, 62).
6. Elément d’ouverture et/ou de fermeture selon la revendication 1, caractérisé en ce que : - le vantail (2) comporte deux bords latéraux (2a, 2b), - le dispositif d’entrainement comporte un actionneur se présentant sous la forme d’un tambour (71) positionné au niveau du premier bord latéral (2a) du vantail (2), - l’élément de liaison (11) se présente sous la forme d’un lien souple s’enroulant autour dudit tambour (71), l’enroulement dudit lien (11) sur ledit tambour (71) entraînant le déplacement dudit vantail (2) en position d’ouverture, - un moyen de rappel (72) relie le point d’attache (12) au deuxième bord latéral (2b) dudit vantail (2), de manière à ramener automatiquement le vantail (2) en position de fermeture.
7. Elément d’ouverture et/ou de fermeture selon la revendication 1, caractérisé en ce que le dispositif d’entrainement comporte un actionneur se présentant sous la forme d’un vérin (81) comportant un corps (811) dans lequel est logée une tige formant l’élément de liaison (11), une extrémité de ladite tige (11) étant attachée au point d’attache (12), l’autre extrémité étant logée dans le corps (811), ledit vérin (81) étant agencé de sorte que lorsque ladite tige (11) sort dudit corps (811), la distance entre ledit corps (811) et le point d’attache (12) augmente ce qui entraîne le déplacement du vantail (2) en position d’ouverture, et lorsque ladite tige (812) rentre dans ledit corps (811), la distance entre ledit corps (811) et le point d’attache (12) diminue ce qui entraîne le déplacement du vantail (2) en position de fermeture.
8. Elément d’ouverture et/ou de fermeture selon l’une des revendications 1 à 7, caractérisé en ce que le point d’attache (12) comporte un manchon (50) dans lequel est serti (50) l’élément de liaison (11), lequel manchon serti (50) est rattaché au support fixe (5a).
9. Elément d’ouverture et/ou de fermeture selon l’une des revendications 1 à 8, caractérisé en ce que un dispositif d’amortissement est associé au point d’attache (12), ledit dispositif d’amortissement étant adapté pour encaisser les mouvements de translation verticaux du vantail (2) lors de son déplacement.
10. Elément d’ouverture et/ou de fermeture selon la revendication 9, caractérisé en ce que le dispositif d’amortissement est composé d’organes (52a, 52b, 52c, 52d) solidaires du point d’attache (12) et se déplaçant dans des rails de guidage verticaux (54a, 54b), lesquels organes (52a, 52b, 52c, 52d) ont uniquement un degré de liberté en translation verticale, lesdits rails (54a, 54b) étant fixés au support fixe (5a).
11. Elément d’ouverture et/ou de fermeture selon l’une des revendications 9 ou 10, caractérisé en ce que le point d’attache (12) comporte une roue avant (56) adapter pour rouler sur un profilé longitudinal horizontal (2c) du vantail (2), de manière à transmettre les mouvements de translation verticaux dudit vantail (2) au dispositif d’amortissement.
12. Elément d’ouverture et/ou de fermeture selon l’une des revendications 1 à 11, caractérisé en ce que le vantail (2) est creux et comporte deux compartiments (41, 42), les actionneurs étant logés dans un de ces compartiments, le compartiment (41) dans lequel sont logés les actionneurs ayant une épaisseur supérieure à celle de l’autre compartiment (42), lequel compartiment (41) dans lequel sont logés les actionneurs ayant une longueur inférieure à celle de l’autre compartiment (42).