1 Domaine de l'invention La présente invention se rapporte à un lacet pour chaussure à oeillets dans lesquels on enfile le lacet, globalement extensible de manière élastique ayant, réparties sur sa longueur, les parties en saillie s de section supérieure à celle des oeillets lorsque le lacet n'est pas tendu ou s'il l'est seulement faiblement par les efforts induits dans le lacet par les mouvements du pied engagé dans la chaussure, une traction supérieure à un seuil exercé sur le lacet ou un tronçon du lacet produisant la réduction de section des parties en saillie et permettant leur passage 10 dans un oeillet pour serrer ou desserrer le laçage de la chaussure. Etat de la technique Un principe de laçage appliqué anciennement aux chaussures hautes, souvent équipées non pas d'oeillets mais de boucles utilise un lacet en forme de chapelet garni de noeuds ou de bosses 15 indéformables ; il est décrit dans le document CH 224196 du 8 juillet 1941 était déjà prévu pour un laçage de ce type. Le document US 2 869 205 décrit un lacet extensible formé d'une gaine tressée avec des zones extensibles et des zones non extensibles sur une même âme élastique. La section du lacet est cons- 20 tante, sans parties en saillie. On connaît également des lacets pour des chaussures à oeillets qui s'enfilent dans les oeillets et y sont retenus par des parties en saillie du corps du lacet, parties en saillie s'escamotant sous l'effet d'une traction exercée sur le lacet lorsque cette traction dépasse un 25 seuil, pour passer à travers l'oeillet et reprendre la forme en saillie lors-que la traction disparaît. Ce type de lacet utilise un principe de laçage différent du laçage traditionnel consistant à nouer les deux extrémités du lacet pour bloquer sa tension, les oeillets de la chaussure ou les boucles étant simplement traversés librement par le lacet. 30 Dans le cas des lacets évoqués ci-dessus, chaque oeillet constitue un moyen de retenue contre lequel se bloque un segment du lacet par une partie en saillie. Un lacet du type défini ci-dessus avec une gaine ayant des parties en saillie sur une âme élastique est décrit dans le document 35 EP 1 216 317. Ce lacet connu se compose d'une âme élastique et d'une 2 gaine souple. La gaine souple a une succession de parties allongées, serrées sur l'âme élastique et de parties extensibles vers l'extérieur, non serrées sur l'âme élastique et formant des moyens de retenue du lacet contre l'oeillet. s Ce lacet est particulièrement pratique à l'usage. Toute-fois, du fait de sa structure en deux parties, une gaine tressée et une âme élastique, il est d'une réalisation relativement coûteuse car la gaine souple doit être tressée sur l'âme élastique et le tressage doit être à pas variable puisqu'il fait alterner des zones en tressage serré sur des zones 10 à tressage lâche. Du fait même de l'alternance des zones de tressage qui ont nécessairement de par leurs fonctions respectives, une longueur supérieure à une longueur minimale, le réglage de la tension des différents segments ne peut pas toujours se faire avec la précision voulue. ls En outre, ce lacet connu, du fait de sa structure en deux parties, ne peut se couper à la longueur la plus adaptée à la chaussure puisque les deux extrémités doivent être munies d'un embout pour l'enfilage du lacet dans la succession d'oeillets. Le lacet qui serait coupé verrait sa gaine s'effilocher et rendrait difficile son enfilage dans les oeil- 20 lets. Bien que cet inconvénient ne gênerait pas le fonctionnement du lacet pour le réglage de sa tension, l'aspect du lacet serait néanmoins douteux, d'autant plus que les extrémités du lacet ne sont pas nouées mais restent libres et parfaitement apparentes. Enfin, dans le cas d'un lacet trop long, il dépasse par ses 25 extrémités qu'il faut alors en général nouer. But de l'invention La présente invention a pour but de développer un lacet du type défini ci-dessus pour une chaussure à oeillets, dont le coût de fabrication soit réduit et qui puisse se couper à la longueur requise 30 sans nécessiter d'intervention particulière et sans conséquence pour son utilisation. Exposé et avantages de l'invention A cet effet, l'invention a pour objet un lacet pour chaussure à oeillets tel que défini ci-dessus, caractérisé en ce qu'il est consti-35 tué par une structure tubulaire annelée en matière élastique 3 déformable, formant des motifs composés chacun d'un relief torique et d'un tronçon de section réduite, les reliefs toriques ayant une section supérieure à celle d'un oeillet lorsque le lacet ou un segment du lacet est non tendu ou seulement faiblement, en position de repos ou lacé à la s chaussure, et une traction sur le lacet ou un segment de celui-ci, supérieure à un seuil produisant par allongement, la réduction de la section des reliefs toriques au niveau d'un oeillet permettant le passage du relief torique réduit en section.... dans l'oeillet, la suppression de la traction assurant la reprise élastique de la forme des reliefs toriques et le blocage de l'un d'eux contre un oeillet. Le lacet pour chaussure à oeillets selon l'invention a l'avantage d'être d'une fabrication particulièrement économique puisque réalisable en une seule opération sous la forme d'un tube élastique, annelé. Le lacet est léger et peut être adapté à toute longueur de nouage 15 de chaussure. Il suffit de le couper à la longueur requise sans nécessiter d'opération particulière de finition et de fixation des extrémités coupées du lacet. Le réglage de la tension des segments du lacet entre les oeillets se fait de manière précise puisque les anneaux peuvent être très 20 rapprochés. Au titre de la finition et de l'aspect, comme le lacet est tubulaire, il peut recevoir avantageusement en extrémité un embout engagé dans l'extrémité ouverte et facilitant l'enfilage du lacet tubulaire dans les oeillets d'une chaussure. L'embout à chaque extrémité pourra 25 se détacher du lacet à sa longueur standard et être engagé ensuite dans l'extrémité du lacet coupé à la longueur voulue. Le réglage de la tension de laçage se fait en exerçant une traction sur un segment du lacet ou sur les extrémités du lacet pour réduire par allongement la section des anneaux et permettre leur pas- 30 sage successif à travers un oeillet. Comme le lacet peut être coupé sans que cela ne gêne son fonctionnement, il est possible de combiner dans une même chaussure deux ou plusieurs parties de lacets, par exemple de couleurs différentes puisque les segments de chaque partie de lacet assurent la 4 tension de la chaussure d'un oeillet à l'oeillet suivant dans le tracé du laçage. Suivant une caractéristique particulièrement avantageuse, la section longitudinale du lacet annelé est composée de motifs s répétitifs comprenant : - un arc de courbe bombé, - un arc en creux formant des bords de jonction en saillie, - une section en dents de scie non symétrique, - une section en dents de scie symétrique, 10 - une section avec des gorges annulaires séparées par des segments lisses. La forme particulière de la section des anneaux sera choisie en fonction de l'application, suivant le type de chaussure et l'usage qui en est fait ainsi que des habitudes de laçage de l'utilisateur. ls Suivant une autre caractéristique, la section de la forme tubulaire, parallèlement à l'axe, est ronde, ovale, polygonale, et notamment carrée, rectangulaire ou rectangulaire aplatie en forme de ruban. La section transversale du lacet pourra ainsi être adaptée à la forme des oeillets pour une compatibilité et une efficacité augmen- 20 tées, d'autant plus que le lacet selon l'invention n'est pas limité à des chaussures de sport mais peut avantageusement servir à des chaussures de ville, des bottes, et de façon générale des articles chaussants, lacés traditionnellement avec des lacets de section ronde ou plate. Suivant une autre caractéristique, au moins une extrémi- 25 té du lacet tubulaire est munie d'un embout d'enfilage ou de décoration ayant une broche de section correspondant à celle de la forme tubulaire du lacet pour se fixer sur celui-ci par enfichage. Ainsi, l'embout « fonctionnel » fixé à au moins une extrémité du lacet pour permettre son enfilage dans les oeillets pourra être 30 remplacé ensuite par un embout décoratif adapté plus particulièrement à la chaussure et/ou au choix de l'utilisateur puisqu'en principe, une fois le lacet engagé dans les oeillets, il restera en place d'une manière plus ou moins définitive, même lorsqu'il est desserré.
Dessins La présente invention sera décrite ci-après de manière plus détaillée à l'aide d'exemples de réalisation d'un lacet pour chaussure à oeillets selon l'invention représenté dans les dessins annexés s dans lesquels : - la figure 1 est une vue en coupe longitudinale à échelle très agrandie d'un premier mode de réalisation d'un lacet à l'état « retenu » dans un oeillet de chaussure, - la figure 2 montre en coupe la forme du lacet tubulaire de la figure 10 1 au cours d'une phase de mise en tension pour le réglage du lacet, - la figure 3 est une vue de côté d'un segment d'un autre mode de réalisation d'un lacet selon l'invention, - la figure 4 est une vue de côté d'un troisième mode de réalisation d'un lacet selon l'invention, 15 - la figure 5 est une vue de côté d'un quatrième mode de réalisation de l'invention avec une structure symétrique par rapport au milieu du lacet, - la figure 6 montre un autre mode de réalisation d'un lacet à structure symétrique par rapport au milieu du lacet, 20 - la figure 7 est une vue en coupe schématique d'un lacet muni d'un embout. Description de modes de réalisation de l'invention Les figures 1 et 2 montrent un premier mode de réalisation d'un lacet tubulaire 1 pour une chaussure 2 à oeillets 3 selon 25 l'invention. La structure du lacet tubulaire 1 d'axe xx est une structure creuse, avec une paroi tubulaire 11 annelée, formant des motifs Mi. Les motifs Mi se suivent le long de la paroi tubulaire et les anneaux viennent en saillie de manière périphérique par rapport aux tronçons de section réduite. Les anneaux sont constitués par des reliefs toriques Ti 30 c'est-à-dire des tores entourant l'axe xx séparant des tronçons de section réduite Ri, notamment des tronçons cylindriques. La section ST des reliefs toriques Ti au repos ou sous une faible tension Fo (tension d'usage de la chaussure) est très supérieure à la section So alors que sous tension de réglage (FT), cette section ST est 35 égale ou inférieure à la section So. s 6 En général, elle est alors pratiquement égale à la section SR du tronçon de section réduite. Le lacet tubulaire 1 a globalement une section circulaire ou ovale sans exclure une section polygonale, par exemple une section s carrée, une section rectangulaire. La section carrée peut être très aplatie et correspondre à la forme d'un lacet tubulaire plat de section néanmoins rectangulaire. La forme géométrique de la section du lacet tubulaire correspond de préférence à la forme des oeillets 3 bien que par exemple 10 un lacet tubulaire plat puisse être lacé dans des oeillets circulaires. La structure tubulaire 11 du lacet 1 selon l'invention est ainsi formée par une succession de motifs Mi ayant chacun un relief torique Ti et un tronçon de section réduite Ri, notamment un tronçon cylindrique. La répétition des motifs Mi peut être régulière ou irrégu- 15 lière, c'est-à-dire que l'intervalle entre les motifs Mi peut être régulier ou irrégulier. Cet intervalle entre les motifs Mi est en fait défini par la longueur axiale (axe xx) de l'un ou de l'autre, voire des deux parties Ti, Ri, constituant un motif Mi puisqu'au moins sur la longueur active du lacet destinée à coopérer avec des oeillets 3, les seuls éléments de forme de la 20 structure 11 sont les motifs Mi. Au-delà de sa longueur active, le lacet peut avoir une forme a priori quelconque sous réserve de pouvoir être enfilé au moins par une extrémité dans la série d'ceillets de la chaussure. En pratique, et pour des raisons de simplification de réalisation, la forme de la structure tubulaire est répétée sur toute sa longueur. 25 Les motifs Mi de la succession ne sont pas non plus nécessairement identiques et ils peuvent être adaptés localement à l'efficacité nécessaire de leur accrochage aux oeillets 3 suivant la zone de laçage de la chaussure ; par exemple la succession des motifs Mi pourra être irrégulière ou les motifs pourront être différents s'il s'agit 30 d'une chaussure haute ou d'une botte avec un laçage sur une longueur importante. La structure tubulaire est en une matière élastique déformable non nécessairement extensible. La figure 1 montre à échelle très agrandie, le lacet à 35 structure tubulaire T1 engagé dans un oeillet 3 de chaussure explicitant 7 comment le relief torique 1 à gauche de l'orifice de l'oeillet 3 est appuyé et retenu contre l'oeillet alors que le relief torique Tz à droite est écarté de l'oeillet 3 et le tronçon RI est engagé dans l'oeillet 3. Selon cette figure, l'intérieur (I) de la chaussure se trouve à droite de la paroi 2 de la s chaussure avec l'oeillet 3 et l'extérieur (E) de la chaussure se trouve à gauche de cette paroi 2. La succession de reliefs toriques Ti et de tronçons de section réduite Ci se répète de préférence de manière régulière sur la longueur du lacet. La section ST des tronçons de section réduite Ri, 10 notamment les tronçons cylindriques ou sensiblement cylindriques du corps tubulaire 11, correspond de préférence approximativement à la section ST de l'ouverture de l'oeillet 3. Mais cette section ST peut égale-ment être supérieure à la section de l'ouverture de l'oeillet si la matière du corps tubulaire est extensible. 15 La figure 2 montre schématiquement le lacet à structure tubulaire 1 de la figure 1 au cours d'une phase d'enfilage ou de laçage. Alors que la forme de la figure 1 correspond à la section (ST, SR)du lacet au repos ou lorsque celui-ci n'est soumis qu'à une force Fo relativement faible, exercée sur la partie du lacet à l'intérieur (I) de la 20 chaussure par les mouvements du pied dans la chaussure, dans le cas de la figure 2, on exerce par l'extérieur (E) une force de traction FT à la-quelle s'oppose la réaction antagoniste R, exercée par le lacet à l'intérieur (I) de la chaussure. La force de traction FT tire sur le lacet 1 et ce mouvement 25 de traction écrase les reliefs toriques Ti en réduisant leur section ST ; ils peuvent ainsi passer successivement à travers l'oeillet 3 de la chaussure. Lorsque la force de traction FT est relâchée, la structure tubulaire 11 reprend la forme représentée à la figure 1 et s'accroche par son relief torique T1 contre le bord extérieur 31 de l'oeillet 3. 30 L'enfilage du lacet 1 dans les oeillets 3 de la chaussure se fait en exerçant une traction au moins locale, au passage du lacet dans chaque oeillet. Le réglage de la tension des différents segments de lacet entre deux oeillets 3 antagonistes de la chaussure se fait en exerçant 35 une traction locale sur le segment de lacet concerné par le passage dans 8 un oeillet, dans un sens ou dans un autre, suivant que le lacet doit être resserré ou relâché. Les figures 3 à 6 montrent d'autres formes de lacets tubulaires selon l'invention qui sont des vues de côté et non en coupe ne s laissant pas apparaître la structure tubulaire du corps du lacet, c'est-à-dire sa forme non pleine. La figure 3 montre un second mode de réalisation d'un lacet tubulaire à paroi annelée 1A, ayant un profil à reliefs toriques ATi composés de segments cylindriques délimités par des segments de 10 courbes concaves constituant les butées pour les oeillets. Les tronçons de section réduite ARi sont formés par la suite du segment courbe con-cave issu du sommet cylindrique du relief torique ATi. Comme dans le mode de réalisation des figures 1 et 2, sous l'effet d'une traction exercée sur le lacet, les reliefs toriques ATi s'étalent et diminuent en diamètre 15 pour passer dans un oeillet. La figure 4 montre un autre mode de réalisation 1B dans lequel les tronçons de section réduite BRi sont relativement courts et les reliefs toriques ATi formant les anneaux sont relativement longs et cylindriques ou bombés pour offrir ainsi plus de résistance à la déforma- 20 tion c'est-à-dire à la traction. La figure 5 montre un lacet tubulaire 1C ayant un profil en dents de scie dont les reliefs toriques CTi forment des motifs CMi en cône ce qui donne une succession de cônes avec une surface d'arrêt 12 accentuée et une surface en forme de rampe 13. Les tronçons de section 25 réduite CRi se limitent pratiquement à la jonction de la surface d'arrêt 12 et de l'amorce de rampe 13 du cône suivant. Du fait de l'orientation asymétrique des dents de scie, le lacet le est réalisé de manière symétrique par rapport à son milieu M pour que les bases 12 des surfaces coniques formées par cette structure en dents de scie soient tournées 30 vers l'intérieur (I). Cette forme de section facilite le passage à travers les oeillets et augmente la tenue du lacet contre les oeillets. Selon un mode de réalisation non représenté mais qui découle de la figure 5, comme par principe, le lacet assure le nouage de la chaussure de proche en proche, d'un oeillet à l'autre, il n'est pas indispensable que le lacet soit 35 en une seule partie. Il peut être en deux parties reliant alternativement
9 comme un lacet en une partie, les oeillets d'un côté et de l'autre de la chaussure. Dans ce cas, si le motif (relief torique/tronçon de section réduite) est asymétrique sur lui-même, au lieu de réaliser ou d'utiliser un lacet ayant une symétrie globale par rapport à son milieu, on pourra utiliser deux moitiés de lacet identiques mais orientées au laçage dans le sens opposé. La figure 6 est une variante de lacet tubulaire ID avec un profil en dents de scie moins accentué que celui de la figure 5 mais ayant également à cause de la forme asymétrique du profil, une disposition symétrique par rapport au milieu du lacet. Ce profil est constitué par des dents de scie ayant une forte rampe formant la surface de butée et une rampe très longue constituant les reliefs toriques DTi, leur jonction formant le tronçon (très court) de section réduite DRi. La rampe longue facilite le passage dans l'oeillet pour un sens de traction. Le lacet 15 tubulaire à relief torique selon l'invention est principalement destiné au laçage de chaussures mais il peut également s'utiliser à des applications analogues sur des vêtements, sous forme de ceinture ou de lien permettant de resserrer l'ouverture d'un vêtement ou d'une partie de vêtement telle qu'un capuchon, un sac, une extrémité de manche, alors 20 muni d'un ou de deux oeillets. Dans le cas d'un seul oeillet, une extré- mité du lacet est fixée solidairement au vêtement. La figure 7 montre un exemple de lacet muni d'un embout 4, engagé dans l'extrémité coupée du lacet tubulaire 1. L'embout 4 se compose d'une partie d'emmanchement 41 de diamètre légèrement 25 supérieur au diamètre intérieur de la structure tubulaire 11 du lacet pour s'engager sous force dans l'extrémité du lacet. L'autre partie 42 de l'embout a de préférence un diamètre légèrement supérieur de manière à former un décrochement 43 servant d'appui de l'embout contre l'extrémité coupée du lacet 1.
30 La surface avant 44 de l'embout peut avoir une forme quelconque, par exemple une forme d'ogive ou une forme arrondie comme celle représentée.
35 NOMENCLATURE 1, 1A, 1B, 1C, 1D 2 s 3 4 11 31 41 10 42 43 44 Lacet tubulaire Chaussure Oeillet Embout d'extrémité Structure tubulaire Bord de l'ceillet Partie d'enfichage de l'embout Partie extérieure de l'embout Epaulement périphérique Extrémité avant de l'embout Ri, ARi, BRi, CRi, DRi Tronçon de section réduite 15 Ti, ATi, BTi, CTi, DTi, T1, T2 Relief torique Mi, AMi, BMi, CMi, DMi Motif So Section de l'oeillet SR Section du tronçon de section réduite Ri ST Section du relief torique Ti 20 Fo Traction au repos ou lorsque le lacet est fixé FT Force de traction pour enfiler le lacet dans un oeillet R Réaction 25 M Milieu du lacet I Intérieur de la chaussure E Extérieur de la chaussure 30