HAYON ARRIÈRE DE VÉHICULE AUTOMOBILE À PEAU EXTÉRIEURE ET DOUBLURE INTÉRIEURE MOULÉES ET ÉQUIPÉES DE CONDUIT(S) MOULÉ(S) POUR L'ALIMENTATION EN LIQUIDE DE LAVAGE L'invention concerne les hayons arrière qui équipent certains véhicules automobiles. Certains hayons arrière de véhicule automobile comprennent une vitre qui peut être aspergée de liquide de lavage par un gicleur qui est situé dans son voisinage. Le réservoir, qui contient le liquide de lavage, étant implanté à distance du hayon arrière, il est connecté à un tuyau qui doit traverser, d'une part, la structure (ou caisse) du véhicule via un premier passe-gaine, et d'autre part, une doublure intérieure du hayon arrière via un second passe-gaine, avant d'être connecté au gicleur qui est solidarisé à une peau extérieure du hayon arrière qui comprend la vitre ou bien à un bloc optique que comprend cette peau extérieure, avant que cette dernière ne soit solidarisée à la doublure intérieure. Ce raccordement du réservoir au gicleur nécessite de nombreuses interventions manuelles, et notamment le clippage du second passe-gaine dans un orifice de la doublure intérieure, le passage du tuyau au travers du second passe-gaine, le clippage du gicleur dans un orifice de la peau extérieure ou d'un bloc optique et le raccordement du tuyau au gicleur, qui s'avèrent chronophages et donc onéreuses. En outre, ce raccordement nécessite également le stockage et le référencement de plusieurs éléments (notamment les passe-gaines et les gicleurs), ce qui s'avère également chronophage et onéreux. Par ailleurs, la partie du tuyau, qui se trouve logée dans le hayon arrière entre la peau extérieure et la doublure intérieure, n'étant pas immobile, il peut arriver qu'elle induise des bruits lorsque le véhicule roule ou vibre ou lorsqu'elle reçoit subitement du liquide de lavage sous pression (ce qui peut en outre entraîner à la longue un désaccouplement entre le tuyau et le gicleur).
L'invention a donc pour but de remédier au moins partiellement aux inconvénients précités. Elle propose à cet effet un hayon arrière destiné à faire partie d'un véhicule automobile et comprenant, d'une part, une peau extérieure moulée et comportant une vitre, et, d'autre part, une doublure intérieure moulée et destinée à être solidarisée à la peau extérieure. Ce hayon arrière se caractérise par le fait que l'une au moins des doublure intérieure et peau extérieure comprend un canal qui est moulé et qui comprend une première extrémité, propre à être couplée à un raccord qui est logé dans un premier orifice de la doublure et destiné à être connecté à un tuyau d'alimentation en liquide de lavage, et au moins une seconde extrémité, propre à être couplée à au moins un gicleur qui est implanté au voisinage de sa vitre. Le hayon arrière selon l'invention peut comporter d'autres caractéristiques qui peuvent être prises séparément ou en combinaison, et notamment : - sa doublure intérieure peut comprendre, sur une face interne, un premier canal moulé et comprenant des première et seconde extrémités, et un premier orifice communiquant avec cette première extrémité et propre à recevoir le raccord, et sa peau extérieure peut comprendre un second canal moulé et comportant une première extrémité destinée à être couplée à la seconde extrémité du premier canal et au moins une seconde extrémité connectée à au moins un gicleur; - le second canal peut être moulé sur la face interne de sa peau extérieure; - sa peau extérieure peut comprendre un second orifice communiquant avec la seconde extrémité du second canal et équipée du gicleur; - en variante, sa peau extérieure peut comprendre, au voisinage de la vitre, un bloc optique muni du gicleur; - en variante, sa peau extérieure peut comprendre, au voisinage de la vitre, un bloc optique comportant, d'une part, une face externe munie du second conduit, et, d'autre part, le gicleur; - la seconde extrémité du premier conduit ou la première extrémité du second conduit peut être équipée d'un joint d'étanchéité; - l'un au moins des premier et second conduits peut être équipé d'au moins un élément intervenant dans le lavage; - le gicleur peut être moulé ou surmoulé; - le raccord peut être moulé ou surmoulé; - le raccord peut être de type sapin ou de type encliquetable. D'autres caractéristiques et avantages de l'invention apparaîtront à l'examen de la description détaillée ci-après, et des dessins annexés, sur lesquels : - la figure 1 illustre schématiquement, dans une vue de face, un exemple de partie arrière de véhicule automobile comportant un hayon arrière selon l'invention, - la figure 2 illustre schématiquement, dans une vue en coupe suivant la ligne 11-11 de la figure 1, un premier exemple de réalisation de hayon arrière selon l'invention, en cours d'assemblage, - la figure 3 illustre schématiquement, dans une vue en coupe suivant la ligne 11-11 de la figure 1, le hayon arrière de la figure 2 une fois assemblé et solidarisé à une structure de véhicule, - la figure 4 illustre schématiquement, dans une vue en coupe suivant la ligne 11-11 de la figure 1, une variante de réalisation du hayon arrière des figures 2 et 3, une fois assemblé, et - la figure 5 illustre schématiquement, dans une vue en coupe suivant la ligne 11-11 de la figure 1, un second exemple de réalisation de hayon arrière selon l'invention, une fois assemblé et solidarisé à une structure de véhicule. Les dessins annexés pourront non seulement servir à compléter l'invention, mais aussi contribuer à sa définition, le cas échéant. L'invention a pour but d'offrir un hayon arrière (H) destiné à faire 3o partie d'un véhicule automobile (V). Dans ce qui suit, on considère, à titre d'exemple non limitatif, que le véhicule automobile (V) est une voiture. Mais, l'invention n'est pas limitée à ce type de véhicule automobile. Elle concerne en effet tout type de véhicule automobile équipé d'un hayon arrière (H) comprenant une vitre (ou lunette arrière) (VT). On a schématiquement représenté sur la figure 1 un exemple de partie arrière de véhicule automobile V comportant un hayon arrière H selon l'invention. Ce dernier (H) est plus précisément monté à rotation sur la partie de la structure (ou caisse) ST du véhicule V, qui délimite la partie arrière de ce dernier (V), et comprend au moins une vitre (ou lunette arrière) VT. Dans l'exemple non limitatif illustré sur la figure 1, le hayon arrière H comprend également un bloc optique B implanté dans une partie centrale supérieure, au voisinage d'un gicleur G d'un dispositif de lavage. Par exemple, ce bloc optique B est un troisième feu stop. On notera qu'un hayon arrière H selon l'invention peut ne pas comprendre de bloc optique B. Comme cela est illustré sur les figures 2 à 5, un hayon arrière H, selon l'invention, comprend une peau (ou enveloppe) extérieure P, rigide et moulée, et une doublure intérieure D, également rigide et moulée, solidarisées l'une à l'autre (flèche F de la figure 2), par exemple par collage ou soudage ou encore via un joint d'étanchéité placé entre elles (P, D) sous contrainte lors de leur assemblage.
La peau P est dite extérieure du fait qu'elle est au contact de l'air extérieur, et la doublure D est dite intérieure du fait qu'elle est comprise entre la peau extérieure P et l'intérieur de l'habitacle ou du coffre. On notera que la doublure intérieure D peut éventuellement être revêtue d'une garniture sur une face externe FED (opposée à sa face interne FID qui est orientée vers la face interne FIP de la peau extérieure P). La peau (ou enveloppe) extérieure P et la doublure intérieure D peuvent être réalisées par moulage dans au moins un matériau plastique ou synthétique rigide. A titre d'exemple non limitatif on peut utiliser un matériau plastique rigide tel que le polypropylène chargé ou l'acrylonitrile styrène 3o acrylate (ou ASA). On notera que la peau (ou enveloppe) extérieure P et la doublure intérieure D peuvent être éventuellement réalisées par moulage dans des matériaux plastiques ou synthétiques différents. La peau (extérieure) P comprend une ouverture dans laquelle est installée solidement et à étanchéité la vitre (ou lunette arrière) VT, ainsi que l'éventuel bloc optique B. Selon l'invention, l'une au moins des doublure intérieure D et peau extérieure P comprend un canal Cl, C2 qui est moulé et qui comporte, d'une part, une première extrémité El 1, propre à être couplée à un raccord R qui est logé dans un premier orifice 01 de la doublure D et qui est destiné à être connecté à un tuyau d'alimentation en liquide de lavage T (qui constitue une partie d'un dispositif de lavage dédié au moins à la vitre VT du hayon arrière H), et, d'autre part, au moins une seconde extrémité E22, propre à être couplée à au moins un gicleur G qui est implanté au voisinage de la vitre VT. Le mot "couplé" signifie ici aussi bien une connexion directe qu'une connexion indirecte, c'est-à-dire via au moins un autre élément (comme par exemple un autre conduit). Comme illustré non limitativement dans le premier exemple de réalisation des figures 2 et 3, la doublure (intérieure) D comprend, sur sa face interne FID, un premier canal Cl qui est moulé et qui comprend des première E11 et seconde E21 extrémités opposées. Cette première extrémité E11 du premier canal Cl communique avec le premier orifice 01 de la doublure D qui est propre à recevoir le raccord R.
Ce raccord R peut être, par exemple, de type "sapin" ou de type encliquetable. Par ailleurs, ce raccord R est destiné à être connecté à un tuyau d'alimentation en liquide de lavage T. Un tel raccord R peut être une pièce rapportée qui est clippée dans le premier orifice 01. Cependant, il est avantageux qu'il soit réalisé par moulage ou surmoulage, dans le prolongement du premier orifice 01 du côté de la face externe FED de la doublure D. On notera que lorsque le raccord R est moulé, il est réalisé en même temps que la doublure D et dans le même matériau que cette dernière (D), tandis que lorsque le raccord R est surmoulé, il est réalisé après la doublure D et dans un matériau (plastique ou synthétique) qui est différent de celui utilisé pour réaliser cette dernière (D), comme par exemple le polyoxyméthylène (ou POM). Le premier canal Cl est réalisé en même temps que la doublure D et dans le même matériau que cette dernière (D). Dans le premier exemple de réalisation, la peau P comprend (directement ou indirectement) un second canal C2 qui est moulé et qui comporte une première extrémité E12 et au moins une seconde E22 extrémité. La première extrémité El 2 est destinée à être couplée à la seconde extrémité E21 du premier canal Cl. Chaque seconde extrémité E22 est connectée à au moins un gicleur G qui fait également partie du dispositif de lavage précité et qui est implanté au voisinage de la vitre VT. En fait, le gicleur G comprend une extrémité interne qui est logée à l'intérieur de la seconde extrémité E22 du second canal C2. On notera que dans ce premier exemple (notamment), le second conduit C2 ne comporte qu'une seule seconde extrémité E22 connectée à un seul gicleur G. Mais, il (C2) pourrait comporter une seconde extrémité connectée à au moins deux gicleurs (ou à un seul gicleur comportant au moins deux sorties) ou bien au moins deux secondes extrémités connectées chacune à au moins un gicleur. Cela permet d'avoir plusieurs zones d'aspersion distantes et donc d'optimiser le lavage de la vitre VT, contrairement à ce qui se fait dans l'art antérieur. Comme illustré non limitativement dans le premier exemple de réalisation des figures 2 et 3, le second canal C2 peut être moulé sur la face interne FI P de la peau P. C'est ce que signifie ci-avant le mot "directement". Dans ce cas, le second canal C2 est réalisé en même temps que la peau P et dans le même matériau que cette dernière (P). Par exemple, et comme illustré non limitativement sur les figures 2 et 25 3, la peau P peut comprendre un second orifice 02 qui communique avec la seconde extrémité E22 du second canal C2 et qui est équipée du gicleur G. Un tel gicleur G peut être une pièce rapportée qui est clippée dans le second orifice 02. Cependant, il est avantageux qu'il soit réalisé par moulage ou surmoulage, dans les prolongements du second orifice 02 sur les faces 30 externe FEP et interne FIP de la peau P. On notera que lorsque le gicleur G est moulé, il est réalisé en même temps que la peau P et dans le même matériau que cette dernière (P), tandis que lorsque le gicleur G est surmoulé, il est réalisé après la peau P et dans un matériau (plastique ou synthétique) qui est différent de celui utilisé pour réaliser cette dernière (P), comme par exemple le POM (éventuellement traité contre les ultraviolets). Lorsque l'on procède à l'assemblage et à la solidarisation de la peau P à la doublure D, on translate (suivant la flèche F de la figure 2) la peau P vers la doublure D (ou inversement) en faisant en sorte que la seconde extrémité E21 du premier conduit Cl soit située précisément en face de la première extrémité E12 du second conduit C2, de sorte que le liquide de lavage puisse passer du premier conduit Cl vers le second conduit C2. On notera qu'afin de renforcer l'étanchéité fluidique à la jonction entre les premier Cl et second C2 conduits moulés, il est particulièrement avantageux, comme illustré sur les figures 2 à 5, que la seconde extrémité E21 du premier conduit Cl ou la première extrémité El 2 du second conduit C2 soit équipée d'un joint d'étanchéité JE (par exemple une rondelle). L'étanchéité se fait alors par écrasement du joint d'étanchéité JE contre l'extrémité de conduit qui est située en face de lui. Une fois que la peau P (avec sa vitre VT et son éventuel bloc optique B) a été solidarisée à la doublure D, le hayon arrière H est constitué et peut être solidarisé à la structure ST du véhicule V. Il ne reste plus alors qu'à connecter l'extrémité du tuyau T, qui traverse la structure ST via un passe- gaine PG, à l'extrémité du raccord R qui saille du côté de la face externe FED de la doublure D, ce qui est particulièrement avantageux en termes de temps et de coût d'assemblage. De plus, les conduits étant moulés, ils ne risquent plus d'induire des bruits, y compris en phase de lavage. Dans une variante de réalisation illustrée sur la figure 4, le gicleur G fait désormais partie du bloc optique B (qui est situé au voisinage de la vitre VT). Par exemple, et comme illustré, une extrémité ("interne") du gicleur G saille sur une face latérale du bloc optique B et la seconde extrémité E22 du second canal C2 s'étend sensiblement jusqu'au niveau de cette face latérale afin de loger cette extrémité interne du gicleur G.
Ce dernier (G) peut être une pièce rapportée qui est clippée dans des orifices du bloc optique B. Cependant, il est avantageux qu'il soit réalisé par moulage ou surmoulage. On notera que lorsque le gicleur G est moulé, il est réalisé en même temps que le bloc optique B et dans le même matériau que ce dernier (B), tandis que lorsque le gicleur G est surmoulé, il est réalisé après le bloc optique B et dans un matériau (plastique ou synthétique) qui est différent de celui utilisé pour réaliser ce dernier (B). Un second exemple de réalisation de hayon arrière H est illustré non limitativement sur la figure 5. Dans ce second exemple, la doublure D comprend, sur sa face interne FID, un premier canal Cl qui est moulé et qui comprend des première El 1 et seconde E21 extrémités opposées. Cette première extrémité El 1 du premier canal Cl communique avec le premier orifice 01 de la doublure D qui est propre à recevoir le raccord R, par 1 o exemple, de type "sapin". Ce raccord R peut être une pièce rapportée qui est clippée dans le premier orifice 01. Cependant, il est avantageux qu'il soit réalisé par moulage ou surmoulage, dans le prolongement du premier orifice 01 du côté de la face externe FED de la doublure D. On notera que lorsque le raccord R est moulé, 15 il est réalisé en même temps que la doublure D et dans le même matériau que cette dernière (D), tandis que lorsque le raccord R est surmoulé, il est réalisé après la doublure D et dans un matériau (plastique ou synthétique) qui est différent de celui utilisé pour réaliser cette dernière (D). Le premier canal Cl est réalisé en même temps que la doublure D et 20 dans le même matériau que cette dernière (D). Dans ce second exemple de réalisation, la peau P ne comprend pas de second canal C2, mais seulement un bloc optique B (par exemple un troisième feu stop) qui est situé au voisinage de la vitre VT et qui comporte le gicleur G. Ce dernier (G) comprend une extrémité interne qui est logée à 25 l'intérieur de la seconde extrémité E21 du premier (et unique) canal Cl et la seconde extrémité E21 est de préférence pourvue d'un joint d'étanchéité (non illustré). Le gicleur G peut être une pièce rapportée qui est clippée dans des orifices du bloc optique B. Cependant, il est avantageux qu'il soit réalisé par 30 moulage ou surmoulage. On notera que lorsque le gicleur G est moulé, il est réalisé en même temps que le bloc optique B et dans le même matériau que ce dernier (B), tandis que lorsque le gicleur G est surmoulé, il est réalisé après le bloc optique B et dans un matériau (plastique ou synthétique) qui est différent de celui utilisé pour réaliser ce dernier (B). Lorsque l'on procède à l'assemblage et à la solidarisation de la peau P à la doublure D, on translate la peau P vers la doublure D (ou inversement) en faisant en sorte que la seconde extrémité E21 du premier conduit Cl soit située précisément en face de l'extrémité interne du gicleur G. On notera que dans ce second exemple (notamment), le premier conduit Cl ne comporte qu'une seule seconde extrémité E21 connectée à un seul gicleur G. Mais, il (Cl) pourrait comporter une seconde extrémité connectée à au moins deux gicleurs (ou à un seul gicleur à au moins deux sorties) ou bien au moins deux secondes extrémités connectées chacune à au moins un gicleur. Cela permet d'avoir plusieurs zones d'aspersion distantes et donc d'optimiser le lavage de la vitre VT, contrairement à ce qui se fait dans l'art antérieur. Dans une variante non illustrée, la doublure D comprend, sur sa face interne FID, un premier canal Cl, qui est moulé et qui comprend des première El 1 et seconde E21 extrémités opposées, et la peau P comprend, au voisinage de sa vitre VT, un bloc optique B (par exemple un troisième feu stop) qui comporte, d'une part, une face externe FEB munie d'un second conduit C2 (moulé), et, d'autre part, le gicleur G. On comprendra que dans ce cas, le second canal C2 est moulé ou surmoulé sur la face externe FEB du bloc optique B, et fait donc bien parti de la peau P une fois que le bloc optique B a été solidarisé à cette dernière (P). C'est ce que signifie le mot "indirectement" mentionné plus haut. Ce second canal C2 moulé comporte des première E12 et seconde E22 extrémités opposées. La première extrémité E12 est destinée à être couplée à la seconde extrémité E21 du premier canal Cl, éventuellement via un joint d'étanchéité JE, dans la phase d'assemblage et de solidarisation du hayon arrière H. La seconde extrémité E22 est connectée à l'extrémité interne du gicleur G.
Lorsque le second canal C2 est moulé, il est réalisé en même temps que le bloc optique B et dans le même matériau que ce dernier (B), tandis que lorsque le second canal C2 est surmoulé, il est réalisé après le bloc optique B et dans un matériau (plastique ou synthétique) qui est différent de celui utilisé pour réaliser ce dernier (B). Dans cette dernière variante de réalisation, le gicleur G peut être une pièce rapportée qui est clippée dans des orifices du bloc optique B. Cependant, il est avantageux qu'il soit réalisé par moulage ou surmoulage. On notera que lorsque le gicleur G est moulé, il est réalisé en même temps que le bloc optique B et dans le même matériau que ce dernier (B), tandis que lorsque le gicleur G est surmoulé, il est réalisé après le bloc optique B et dans un matériau (plastique ou synthétique) qui est différent de celui utilisé pour réaliser ce dernier (B).
On notera, bien que cela n'apparaisse pas sur les différentes figures, que l'un au moins des premier Cl et second C2 conduits peut être équipé d'au moins un élément intervenant dans le lavage, comme par exemple un clapet anti-retour ou un filtre. Cet élément peut être soit clippé au niveau d'une extrémité de conduit, soit intégré dans une extrémité de conduit.
L'invention ne se limite pas aux modes de réalisation de hayon arrière et de véhicule automobile décrits ci-avant, seulement à titre d'exemple, mais elle englobe toutes les variantes que pourra envisager l'homme de l'art dans le cadre des revendications ci-après.