FR2953698A1 - Procede de conception de postes de travail assis - Google Patents

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Abstract

Procédé de conception de postes de travail assis (siège, surface de travail, dessertes, servantes, table d'échange ou de communication et rangements). Les postes de travail assis réalisés selon l'invention permettent de travailler dans une position de confort particulière où l'utilisateur ne se fatigue pas le dos pendant qu'il travaille. Ils sont conçus à partir d'une position de référence particulière qui est le fruit de la prise charge orthopédique du siège et la table de travail. Ils sont constitués d'un siège et d'une table combinés ensemble dont l'assise et les points d'appui du dossier sont en angle droit. La table réduite à l'aire de travail se dégage pour libérer l'utilisateur sans modification de son inclinaison. Les autres équipements sont accessibles latéralement depuis la position de référence. Ces postes de travail sont particulièrement destinés aux utilisateurs assis pendant de longues heures.

Description

Description La présente invention concerne un procédé de conception de postes de travail assis (siège, surface de travail, dessertes, servantes, table d'échange ou de communication et rangements).
La conception des postes de travails assis actuels se fait à partir d'une position assise de référence particulière : schématiquement, l'assise est quasiment horizontale, le dos droit et l'aire de travail est à peu près au niveau des coudes de l'utilisateur. Nous appellerons cette position « la posture de référence tonique » (figure 2). La conception et les principes ergonomiques de toutes les parties fonctionnelles constituant les postes de travail assis (siège, aire de travail, dessertes, servantes, table d'échange ou de communication et rangements) en découlent. Cependant, le développement de l'usage des postes de travail assis pendant de longues périodes génère des problèmes de dos très répandus chez les utilisateurs. Les solutions trouvées pour les éviter sont de leur recommander de tenir leurs dos droits, cambrés et les épaules vers l'arrière. Ainsi les postes de travail assis actuels imposent aux utilisateurs une bonne tonicité du dos jusqu'à la nuque et limitent la capacité à baisser la tête (figure 2 où C représente l'amplitude de l'articulation de la tête et RC celle des articulations du rachis cervical, la ligne droite vers le haut représente la verticale). Par défaut de tonicité suffisante sur la durée et (ou) à cause de la limitation des mouvements de la tête de cette position (pour pouvoir écrire ou lire par exemple), l'utilisateur adopte des positions pathogènes principalement l'arrondissement du dos que les sièges les plus étudiés ne peuvent empêcher, or ces positions sont susceptibles de créer, entre autres, des douleurs et des déformations irréversibles du squelette de l'utilisateur (figure 1). Généralement, la mécanique du relâchement commence par celui des épaules qui s'arrondissent vers l'avant, ce qui déplace leur charge vers l'avant, les muscles dorsaux plus sollicités se fatiguent plus vite et cherchant à se relâcher le dos, le tronc s'arrondit et se met en position pathogène. Les dossiers participent au confort, ils sont créés pour reposer le dos mais leur inclinaison oblige l'arrêt de nombreuses tâches (comme l'écriture, taper sur un clavier, etc.) par la limitation encore plus grande de baisser la tête vers l'avant. Lorsque la forme des dossiers est dite « ergonomique », elle augmente la cambrure et impose à l'utilisateur d'incliner vers l'avant la tête et le cou au maximum de leur possibilité articulaire pour avoir la tête verticale, cela demande une tension musculaire très importante qui empêche toute activité autre que le repos (figure 3).
Le procédé de conception des postes de travail assis selon l'invention propose de corriger ces inconvénients. Les postes de travail selon l'invention sont conçus à partir d'une nouvelle position assise que nous appelons: «posture de référence orthopédique et atonique ». Contrairement à la « posture de travail tonique » qui demande à chacun la démarche de s'y asservir pour être efficace, cette posture est proposée par le mobilier qui prend en charge les demandes de laxité du corps de l'utilisateur, quelque soit sa tonicité, au moment où elles se font sentir sans gêner l'activité en cours. Ce rôle de tuteur est assuré par le siège et la table de travail réduite à l'aire de travail, les deux sont dépendants et basculent ensemble vers l'arrière.
Cette posture (figure 5) est caractérisée par un basculement du corps vers l'arrière sur un dossier à l'équerre du siège (à peu près) permettant l'appui ferme de la zone sacro-iliaque et de la courbure dorsale. Le basculement d'angle a décompose (cf : fig 7) la force d'apesanteur du poids P en deux composantes Ph (perpendiculaire au dossier) et Pv (perpendiculaire au siège). Plus l'angle a devient important plus la force Ph augmente -1 2953698 -2 tandis que Pv diminue en soulageant la pression sur les ischions Pv'. La force Ph vient se répartir le long de la colonne et particulièrement sur la courbure lombaire comme force Ph', celle-ci, ayant la forme d'un arc s'appuie sur ses extrémités (zone sacro-iliaque et courbure dorsale) selon deux composantes Ph". La mécanique des forces Ph' et Ph" crée 5 un appui visant à réduire l'ensellure lombaire, ce qui repose et soulage la zone. Par compensation de cette réduction de l'ensellure lombaire, la partie supérieure de la courbure dorsale est projetée en avant (R Ph). A l'extrémité de la colonne dans cette position la tête est portée verticalement et sans effort. Ce principe fonctionne avec tout individu sans dysmorphie importante, seulement suivant les courbures de sa colonne chacun d'eux 10 cherche l'inclinaison particulière qui lui convient le mieux. Contrairement aux positions pathogènes et toniques, la position orthopédique atonique fait coïncider la position de repos de la tête et la verticale. Cela permet de tenir la position principale sans effort musculaire et de profiter de l'amplitude maximale de mouvement du rachis cervical et du crâne (RC+C). Cette position libère les muscles dorsaux et cervicaux 15 qui peuvent se mouvoir plus aisément entre la verticale et une inclinaison à 90° vers l'avant suivant les besoins. Cette possibilité sans fatigue du dos favorise le travail. (figure 6) Le basculement du tronc a, aussi, pour effet de maintenir les épaules vers l'arrière ainsi la mécanique du relâchement musculaire du dos (citée plus haut) qui commence par le 20 relâchement des épaules n'a plus de raison d'être, le dos et les épaules se tiennent en arrière sans effort. Même tous les muscles relâchés, le poids des bras (Pb dans la figure 5) s'exprime comme une force passant à peu près dans l'axe de la colonne vertébrale, ce qui a pour effet de ne pas initier d'effort vers l'avant sur la courbure dorsale (figure 5). Comme l'aire de travail bascule avec le siège, le poids des bras est toujours pris en 25 charge pour alléger l'étirement sur les épaules de deux façons: L'utilisateur ayant la table de travail à la hauteur des coudes ou des avants bras suivant le réglage souhaité peut soulager à loisir le haut du tronc et les deltoïdes du poids des bras. Cet appui des bras particulièrement lorsque le corps se penche en avant génère un effet de voûte qui crée une composante horizontale au niveau des dorsales qui plaque la courbure dorsale contre le 30 dossier. Cette composante horizontale reprise par le siège ainsi que la charge d'appui des membres sur la table allége les lombaires d'autant et participent à leur confort. La singularité de la position du corps basculé en arrière, l'aire de travail dépendante du siége qui s'adapte aux besoins de l'utilisateur, impose, en plus d'un siège -table particulier, des adaptations spécifiques des différents éléments fonctionnels qui composent les postes 35 de travail suivant les activités. La prise en compte de cette « posture de référence orthopédique et atonique » pour la conception des sièges est un procédé de conception spécifique qui génère une ergonomie nouvelle et une nouvelle famille de poste de travail, dont les principales caractéristiques sont les suivantes : L'organisation générale du poste de travail se fait par l'association du siège et de la 40 table de travail réduite à l'aire de travail et les autres parties fonctionnelles sont autour à portée de main selon une approche latérale. Caractéristiques ergonomiques de ces deux parties fonctionnelles: A- Le siége orthopédique û table de travail 1- Un siège dont le plan de l'assise (K) donne un appui sur une surface ferme aux 45 ischions. La fermeté aide le corps à maintenir la position orthopédique et atonique décrite plus haut. 2- Le dossier (ferme lui aussi) (I) fourni des appuis selon un plan est à peu près à angle droit avec le siège au niveau de la zone sacro-iliaque et de la courbure dorsale. Cet angle entre les points d'appuis du dos et du siège est une caractéristique majeure de la position orthopédique et atonique décrite plus haut. 2953698 -3 3- La table de travail ou support de travail (J) est de petite dimension, elle se limite à la fonction d'aire de travail et combine aussi la fonction accoudoir. Cette surface est le support nécessaire à l'activité proprement dite: elle peut être sous la forme d'une table antidérapante (U) avec luminaire (Y) et bande de mousse accoudoir 5 ((T) pour une activité de bureau ou d'un support avec luminaire et une cheville de bois (W) pour sculpter des petits objets, un récipient (X) pour récupérer les poussières de métaux précieux et un autre servant de micro desserte où sont posés les outils les plus nécessaires à l'activité du moment. 4- Un dispositif (à base de rotation, de translation ou de glissement sur un axe en arc 10 de cercle permet de dégager la table latéralement ou frontalement sans modifier son inclinaison pour permettre de libérer l'utilisateur sans avoir à modifier la disposition des objets posés sur la table (3/4). 5- Un dispositif permet de régler en profondeur de manière à s'adapter à la corpulence afin que la table puisse toujours être en contact avec le ventre de l'utilisateur afin 15 qu'il lui soit aisé de appuyer ses avants bras ou ses coudes sur l'aire de travail(4 ), Cette disposition permet l'appui des avants bras ou des coudes et la création de la composante horizontale du haut du tronc, c'est une deuxième disposition majeure décrite dans la position orthopédique et atonique décrite plus haut. 6- Un ou plusieurs dispositifs permettent de la régler en hauteur et en inclinaison (1 et 20 5) permettant de s'adapter aux exigences anatomiques comme la distance ischion-coude de chacun et aux usages recherchés. Suivant l'usage le réglage hauteur et l'inclinaison varie. L'utilisateur étant en position de confort, ce réglage permet de répondre aux besoins des activités à réaliser : par exemple une distance où l'oeil est à 40/50cm de la surface permet de travailler avec un ordinateur portable, un clavier 25 et une souris d'ordinateur fixe, de dessiner, de lire, de sculpter, etc. Une distance de 30 cm environ permet de lire et d'écrire. 7- Un système d'appui(s) permet d'offrir une grande stabilité en position de travail (pouvant recevoir l'appui du corps plusieurs dizaines de kilogrammes). L'ensemble siège - table de travail 30 8- Le siège - table de travail permet de basculer l'ensemble vers l'arrière (a) lorsqu'on le souhaite pour soulager davantage le dos tout en continuant à travailler. Ce basculement se fait par degré afin que l'utilisateur puisse choisir son inclinaison en fonction des nécessités et (ou) les exigences de l'anatomie de son squelette, des tensions générées et (ou) le soulagement recherché. La possibilité de cette 35 inclinaison du corps entre 7 et 20° est une troisième caractéristique majeure de la position orthopédique et atonique décrite plus haut agissant avec le siège pour le soulagement des lombaires.
B- Les autres parties fonctionnelles L'environnement du poste de travail (servantes, dessertes, table d'échange ou de 40 communication et rangements), ces éléments fonctionnels se combinent de la manière la plus variée en fonction des besoins (comme pour les postes de travail actuels), ils peuvent se réduire à un petit meuble multifonction ou à un ensemble mobilier de grande taille, cependant l'utilisateur dans la position de référence assise y a accès latéralement puisque l'avant est en grande partie occupé par l'aire de travail ; ainsi ils doivent posséder des 45 caractéristiques particulières (figure 28) : 1- La façade des meubles environnants au lieu d'être verticale présente une concavité en arc de cercle ou en segments de droites dont l'axe horizontal du rayon est à la hauteur du bras de l'utilisateur assis. 2- La servante pour déposer les accessoires utiles à l'activité comme le clavier, la 50 souris, l'ordinateur portable, les feuilles de papiers, les stylos, les fraises pour sculpter... est constituée de supports de rangements comme des tiroirs ou une ou 2953698 -4 plusieurs étagères coulissantes ou non qui peuvent être superposées ou réparties latéralement mais accessibles du siège dans une hauteur comprise entre û 20 cm du niveau de l'assise du siège et + 80cm environ. Si ce sont des tiroirs, la hauteur maximum est réduite pour que l'utilisateur puisse voir dedans d'environ 10 cm. 5 3- La servante - support d'imprimante a la hauteur de l'assise du siège du poste de travail. 4- Les dessertes pour dossiers en cours. Ces surfaces pour remplir cet usage doivent être à une hauteur comprise entre -20cm et +30cm environ de l'assise du siège. 5- Le rangement entre - 20 et + 120cm de haut à proximité pour être accessibles du 10 siège ûtable de travail. 6- La table de communication et d'échange réglable peut être au dessus de la table de travail et de ses accessoires ou selon une autre disposition elle peut aussi prévoir une réservation pour accueillir la table de travail au même niveau recréant ainsi une unification des tables momentanées.
15 Selon l'invention, un poste de travail comprend une assise (K), un dossier (I) et une surface de travail (J) et se caractérise en ce que ces trois éléments sont dépendants et s'inclinent ensemble, selon un axe de basculement du siège, vers l'arrière de l'utilisateur entre 7 et 20 degrés. De préférence, la surface de travail s'incline de plusieurs degrés au dessus de la parallèle à 20 l'assise selon un axe horizontal parallèle à l'axe de basculement du siège (5 et (ou) 1). Avantageusement, il comprend un dispositif permettant de déplacer par translation la surface de travail pour qu'elle puisse toujours être au contact de l'utilisateur quelque soit sa corpulence (4). Un poste de travail selon l'invention peut comprendre des moyens de liaison entre d'une 25 part l'assise et/ou le dossier et d'autre part la surface de travail libérant l'utilisateur par un mouvement de rotation, de translation ou de glissement sur un axe en arc de cercle sans modification de l'angle de son plan par rapport au plan horizontal Selon un mode de réalisation préférentiel, le dossier comprend des zones d'appui destinées à la zone sacro-iliaque et à la courbure dorsale disposées dans un même plan formant avec 30 l'assise un angle à peu près égal à 90°. Selon un mode de réalisation, le poste de travail comprend un bâti tridimensionnel (B+C) fixé au siège ou à son support constitué de deux arceaux (circulaires ou non, mono bloc ou non) unis, un premier disposé dans un plan à peu près parallèle à l'assise et un autre dans un autre plan plus ou moins orthogonal au premier, ledit bâti servant de support aux 35 accessoires permettant d'appuyer fermement sur au moins trois points et de manière symétrique la surface de travail. Ce bâti tridimensionnel peut être articulé à l'arrière du dossier. Avantageusement, la hauteur de la surface de travail par rapport à l'assise est réglable.
Selon l'invention, les éléments formant le poste de travail sont agencés pour permettre à un 40 utilisateur d'agir dans la position de référence dite dans la description : «posture de référence atonique et orthopédique ».
Selon l'invention, les éléments mobiliers d'environnement d'un poste de travail comprennent une façade présentant une façade concave circulaire ou en segments de droites dont la concavité est adaptée sensiblement à la courbe décrite par l'extrémité du 45 bras d'un utilisateur assis.
Présentation des figures
Les dessins et schémas annexés illustrent l'invention:
Figure 1: Schéma de fonctionnement de la posture pathogène. La colonne vertébrale est complètement arrondie créant des pincements des disques et un basculement de la tête pour pouvoir regarder à l'horizontale. C représente l'amplitude l'articulation de la tête et RC celle des articulations du rachis cervical, la ligne droite vers le haut représente la verticale). Figure 2 : Schéma représentant la posture de référence tonique. Elle est caractérisée par une ensellure lombaire marquée et une limitation du basculement de la tête vers l'avant. C représente l'amplitude l'articulation de la tête et RC celle des articulations du rachis cervical, la ligne droite vers le haut représente la verticale).
Figure 3 : Schéma représentant la position d'un utilisateur cherchant à regarder horizontalement en étant appuyé sur un dossier dit « ergonomique ». La cambrure importante du dossier l'empêche de pencher la tête vers le bas. C représente l'amplitude l'articulation de la tête et RC celle des articulations du rachis cervical, la ligne droite vers le haut représente la verticale).
Figure 4 : Schéma représentant les forces qui parcourent le corps en fonction de l'angle d'inclinaison alpha. Plus la force Ph' est importante plus la réaction à Ph' (R Ph') l'est 20 aussi. Cet effet permet de tenir la tête droite sans fatigue.
Figure 5 : Schéma représentant la descente de charge du poids des bras Pb un peu en arrière de la colonne contribuant à projeter le dos contre le siège et celle du poids de la tête Pt proche de l'axe de la partie supérieure de la colonne vertébrale.
Figure 6 : Schéma représentant la position naturelle de la tête sans effort et sans limitation 25 en position verticale. C représente l'amplitude de l'articulation de la tête et RC celle des articulations du rachis cervical, la ligne droite vers le haut représente la verticale).
Figure 7 : Schéma représentant une personne tapant sur un clavier et regardant l'écran d'un ordinateur en posture orthopédique et atonique qui peut être comparé avec la figure 8.
Figure 8 : Schéma représentant une personne écrivant, la comparaison avec la figure 30 précédente permet de constater que suivant l'activité la distance et l'inclinaison souhaitable peut être différente et que c'est la table de travail (et non le corps) qui s'adapte aux nécessités de l'activité.
Figure 9-10-11 : Schémas représentant les différents réglages ou mouvements du siège aire de travail. (6) réglage du siège par rapport au sol/ (a) réglage de l'inclinaison/ (1) 35 réglage hauteur de la table par rapport à l'assise/ (5) réglage de l'inclinaison de la table/ (3/4) dispositif de libération de l'utilisateur/ 4 réglage en fonction de la corpulence.
Figure 12 : Siège et bâti tridimensionnel sur piétement constitué de roulettes, d'une étoile, d'un ressort à gaz et d'une coiffe support du siège permettant l'inclinaison du siège entre 7 et 20 ° (H) selon la description a.
40 Figure 13 : Siège ùtable de travail selon la description a. représentant les éléments qui génère les mouvements 4, 5 et 1 selon ce mode particulier. -5 2953698 -6 Figure 14 : Siège ûtable de travail selon la description a. représentant les éléments qui génère les mouvements 3, 5 et 1 selon ce mode particulier.
Figure 15 : Siège ûtable de travail selon la description a. représentant une utilisation et l'usage du pommeau -crémaillère. 5 Figure 16 : Siège et bâti tridimensionnel sur piétement constitué de roulettes, d'une étoile, d'un ressort à gaz et d'une coiffe support du siège permettant l'inclinaison du siège entre 7 et 20 ° selon la description b.
Figure 17 : Eclaté d'un bâti particulier selon la description b.
Figure 18 : axonométrie qui représente les mouvements que permet ce bâti particulier 10 selon la description b.. Il se fixe sur un piétement de siège inclinable sur lequel se fixe les éléments de sellerie et la table articulée et qui réalise toutes les autres fonctions utiles au siège û table. 1 réglage de la hauteur entre l'assise et la table/2 multi-pennes de verrouillage du réglage de la hauteur/ 3 axe de rotation de la table servant à la libération de l'utilisateur de la table siège/ 4 réglage en fonction de la corpulence/ 5 articulation 15 permettant de modifier l'inclinaison de la table.
Figure 19 : Détail du bras F selon la description b.
Figure 20: Axonométrie du bâti habillé de sellerie et de la table nue montrant le mouvement 3 et 4 de libération de l'utilisateur. Elle montre aussi le verrouillage de la rotation 5 d'inclinaison de la table en position basse.
Figure 21 : L'axonométrie montre le dispositif de verrouillage (système de grand pêne (L)) de la rotation 5 permettant l'élévation et l'inclinaison de la table. Elle montre aussi le réglage selon la corpulence de l'utilisateur.
Figure 22 : Axonométrie d'un dispositif de remplacement du bras F par le bras constitué de M et N dans la description b. La représentation se fait table de travail fermée.
Figure 23 : Axonométrie d'un dispositif de remplacement du bras F par le bras constitué de M et N dans la description b. La représentation se fait table de travail ouverte.
Figure 24 : Perspective représentant un mode particulier de réalisation d'un siège ûtable de travail vers une orientation de bureau ou scolaire avec possibilité d'usage d'ordinateur portable en position ouverte selon la description b.
Figure 25 : Perspective représentant un mode particulier de réalisation d'un siège -table de travail vers une orientation de bureau ou scolaire avec possibilité d'usage d'ordinateur portable (alimentation en 12Volts pour ordinateur et éclairage ainsi que des cordons et prise USB) en position fermée selon la description b.
Figure 26 : Perspective représentant un mode particulier de réalisation d'un siège ûtable de travail vers des professions de sculpteurs comme les bijoutiers ou les prothésistes dentaires par exemple comprenant une cheville servant d'appui aux mains, un tiroir de récupération des poussière de métal, une potence spécifique enfiler dans un des tubes du dossier du siège pour fixer un tour après avoir enlever un bouchon d'habillage, etc. en position fermé selon la description b. 2953698 -7 Figure 27 : Plan d'un poste de travail particulier selon l'invention.
Figure 28 : perspective d'un poste de travail particulier selon l'invention. Les postes de travail selon l'invention peuvent s'adapter à plusieurs activités, nous allons 5 développer des modes particuliers de réalisation principalement destinés aux activités scolaires, de bureau et de sculpture (figure 12 à 28). Le coeur de ces postes de travail est la réunion en un seul objet du siège et de l'aire de travail puis autour, s'il y a lieu, un environnement adapté aux singularités de la position de travail. Nous développons d'abord le siège ûtable puis l'environnement.
10 Al Le siège -table de travail 1- Le piétement est réalisé avec un pied en étoile en aluminium recevant au centre le ressort (à gaz ou autre) et des roulettes à ses extrémités. 2- Une tête de piétement (H) servant de support à la partie siège ûtable de travail proprement dite ou à son support, fixé sur la tête du ressort (à gaz ou autre), tourne 15 librement sur un axe vertical et permet la fixation du bâti et son inclinaison de 15 degrés environ. 3- Un bâti tridimensionnel (A+B) fixé au siège ou à son support (C+D) constitué de deux arceaux unis, l'un sur un plan à peu près parallèle à l'assise et d'un autre dans un plan plus ou moins orthogonal au premier, sert de support aux accessoires permettant 20 d'appuyer fermement sur au moins trois points et de manière symétrique la surface de travail. Ce principe de création d'une ossature stable permettant la stabilité de l'ensemble et les mouvements nécessaires est développé ci-après selon deux modes particuliers de réalisation (chacun des systèmes peut fonctionner avec une mise en place des équipements nécessaires au fonctionnement de la l'aire de travail à droite 25 comme à gauche). a. Selon un premier mode de réalisation (figures 12 à 15), le siège constitué d'une assise et un dossier plan et à angle droit assemblé et fixé sur la tête de piétement et d'un bâti tridimensionnel constitué d'un arceau parallèle à l'assise dont la forme est une portion de cercle et d'un autre perpendiculaire au premier en portion de cercle 30 lui aussi. (figure 12). Le siège est fixé sur le piétement sur deux cales si nécessaire pour qu'il ait une pente proche de 7° par rapport à l'horizontale. Le bâti tridimensionnel est réalisé en tube rond de 25 mm de diamètre. L'arceau parallèle à l'assise est un fragment de cercle de 75 cm de diamètre, le deuxième est en anse de panier de 28 cm de profondeur. Il est fixé par deux points sous l'assise et deux 35 autres derrière le dossier. Sur l'arceau perpendiculaire à l'assise sont soudées deux gonds (AD) dont les axes sont interchangeables ; l'un étant plus court que l'autre l'un servant à la rotation du dispositif de la table, l'autre servant de verrouillage. Le dispositif de la table est composé de quatre éléments: Le premier sert de support à l'ensemble, il est constitué d'un bras sur lequel sont soudées les parties femelles des gonds (AD) ayant la forme du complément de cercle de l'arceau parallèle à l'assise, c'est à dire que vu de dessus l'arceau et ce bras forme un cercle de 75 cm de diamètre. Sur ce bras sont soudés deux petits bouts de tubes d'une quinzaine de centimètres, ceux-ci sont munis de protection en caoutchouc à leurs extrémités libres qui s'appuient sur l'arceau perpendiculaire à l'assise à plus de 10 cm des gonds. Une fois fermé sur l'arceau, ce bras est extrêmement résistant aux forces qui s'expriment sur le plan du cercle et à celles qui sont perpendiculaires vers le bas. Le bras est percé en cinq points. Quatre points servent à droite et à gauche, suivant l'ouverture choisie - deux seulement servent selon le choix-, pour fixer des 2953698 -8 poignées de positionnement (AI) qui simplifient l'ouverture et la fermeture. Le cinquième au milieu du bras est taraudé pour recevoir le système de réglage de l'inclinaison de la table (AL) (mouvement 1 et 5). Deux charnières (AH) (mouvement 1 et 5) en trois éléments (une partie mâle fixée sur ce bras, une partie 5 femelle fixée sur l'élément suivant (AJ) et une broche goupillée servant d'axe et de fixation) sont soudées à chaque extrémité pour recevoir l'axe de l'élément suivant (AJ). Ce bras s'ouvre comme une porte sur le gond (AD) privilégié et se verrouille avec l'autre gond servant de système de blocage (AD). Le système de blocage et de rotation se différencie par la longueur de l'axe, ainsi il suffit d'échanger les axes 10 pour pouvoir inverser le sens d'ouverture. Le bâti tridimensionnel et le bras sont munis chacun d'une poignée de positionnement (AI) qui simplifient l'ouverture et la fermeture Sur ce bras en arc de cercle est fixé le deuxième l'élément (AJ) qui est constitué d'un axe (mouvement 1 et 5) en tube carré d'acier de 25mm de coté et d'un cadre 15 comprenant deux glissières en U (de 20mm de coté) perpendiculaires de 20 cm de long réunies à l'autre extrémité par un tube carré (de 20 mm de côté) percé et taraudé en son milieu pour recevoir le système de réglage de l'inclinaison de la table (AL) (mouvement 1 et 5). Cet élément (AJ) est fixé aux extrémités de l'axe sur le bras par les parties femelles des charnières (AH) décrites plus haut. 20 L'élément servant au réglage de l'inclinaison de la table (AL) (mouvement 1 et 5) est constitué d'une tige filetée dans un sens sous la roulette et dans l'autre au dessus de même dimension que les perforations taraudées du bras et de l'élément précédent (AJ). Ce mouvement d'inclinaison est géré par les charnières (AH) et l'élément (AL), il permet de faire pivoter la table sur l'axe de la traverse ce qui fait 25 varier la distance ischions ûcoudes (mouvement 1). Ce cadre articulé comprend un jeu de glissières permettant à la fois de tenir fermement et de déplacer les deux autres parties (AM et la table de travail). Ces glissières permettent de régler la position de l'aire de travail à la corpulence de l'utilisateur (4). Les deux derniers éléments sont la table et une sorte de piétement à cette table 30 (AM). Ce dernier est composé de deux parties. Une plaque de contreplaqué de 15 mm d'épaisseur de 35 cm de long et de 20cm de large complémentaire et glissant dans les glissières de l'élément précédent décrites avant (mouvement 4) et d'un pied (fixé à cette première partie) servant de pommeau et de crémaillère ayant la forme en coupe horizontale proche d'un triangle plein et une hauteur de 12 cm. Ce 35 dernier est muni de deux encoches en triangle (AG) de 2 cm de profondeur permettant d'encastrer la table sur deux niveaux et deux pentes, l'une à son pied et l'autre à sa tête. Il est terminé en partie sommitale par une plaque transparente en polycarbonate (de 6 mm d'épais et 25 * 10 cm) visée en deux points (AF) servant de partie supérieur de l'encoche sommitale et donc servant à la tenue de la table. 40 Elle permet d'élargir la surface d'appui des coudes et des avants bras (proposée par le pied) sans perdre la visibilité de la table: c'est la fonction pommeau. Enfin la table se caractérise par un panneau en contreplaqué de bois de 15 mm ayant une forme générale en forme de banane très épaisse au milieu enveloppant l'utilisateur jusqu'à l'aplomb de la tombée naturelle des coudes, une large surface 45 frontale habillée d'une surface antidérapante et par des surépaisseurs en mousse habillées servant d'appui aux coudes et de butée aux stylos et une réservation en triangle correspondant au vide nécessaire pour pénétrer et s'ajuster aux encoches du pommeau crémaillère et enfin d'un système de verrouillage de la table une fois engagée à fond. La table est changée de position sur le pommeau crémaillère manuellement en prenant la table à deux mains de manière symétrique et équilibrée et en la levant ou l'abaissant. Lorsque la table est en position haute et inclinée la plaque transparente bouche le trou laissé par la mousse recréant la continuité de la 2953698 -9 butée nécessaire pour les outils roulants type stylos. Des aménagements spécifiques de table sont développés plus loin au point c.. b. Selon un autre mode de réalisation (figures 16 à 26), un bâti métallique en tube carré creux (de 25 mm de coté pour les parties générales et de 20 mm de coté pour 5 les parties qui coulissent dans les tubes de 25mm) est l'ossature de départ du siège (A+B) et du bâti tridimensionnel (C+D). Il est constitué de quatre parties principales (figure 16 et 17). La première partie (A+B) est constituée de deux éléments qui constitue le support du siège: ces derniers peuvent, schématiquement, se décrire ainsi : 10 Le premier élément servant d'armature à l'assise (A) est réalisé avec des tubes coupés à 90°, deux tubes de métal de 48cm de long à angle droit dont l'un est de 25 mm de coté et l'autre est de section inférieure (20 mm) de manière à ce que le plus fin puisque se glisser dans le deuxième élément, ces équerres sont reliés entre elles par un tube de 18cm et 25mm de coté à l'extrémité des équerres du côté où les 15 tubes ont la plus forte section. Chacune des deux extrémités libres (côté où les tubes de sections inférieures) sont percées de sept trous dans l'axe du tube sur la face externe du siège (une fois cet élément posé sur la tête du piétement) espacé tout les 2 cm en commençant à 9cm de l'extrémité soudée et permettant de recevoir le multipênes décrit plus loin. Cet élément est fixé sur la tête du piétement de 20 manière à ce qu'il ait une pente descendante vers l'arrière proche de 7° par rapport à l'horizontale (suivant la tête du piétement des cales en caoutchouc peuvent être nécessaires); il forme le support du siège sur lequel est fixé l'assise (K), il sert de support aussi à une sorte de grande gâche de verrouillage sur ressort (L) du quatrième élément décrit plus loin (la partie soudée à cet élément est un tube en U 25 (comportant un trou de 3mm de diamètre au milieu dans sa partie supérieure) dont l'ouverture est orientée vers le bas de 12 cm de long allant du milieu du petit tube de liaison vers le centre de l'assise en étant parallèle à celui-ci). A 3cm de l'extrémité des équerres du coté du tube de 17,5cm soudé perpendiculairement des petites pattes (AC) en acier plat de 20*4mm sur 15cm de long et présentant une 30 partie parallèle à l'assise de 25mm de débordement vers l'avant permettant de recevoir le deuxième élément (D) de la deuxième partie servant de bâti tridimensionnel. Le second élément servant à l'élaboration du support du dossier (B) est en forme de U inversé en tube de 25 mm de coté dont les extrémités sont des coupes à 90° c'est- 35 à-dire qu'elles permettent de recevoir un autre accessoire ou un bouchon en plastique de finition, ce U est réalisé avec deux longueur de 75 cm relié par un autre de 18 cm sur lequel se fixe le dossier par un percement de 6mm dans l'axe des tubes à 49cm de ses extrémités et un bout de tube de 25mm de coté et de 25mm de long servant de partie femelle à un axe de rotation appartenant à la troisième 40 partie (C), il se glisse sur le premier élément (A) de manière à monter et descendre comme la coulisse d'un trombone. Ses deux extrémités libres sont percés d'un trou chacun de 9mm permettant de recevoir le multipênes décrit plus loin se retrouvant en vis-à-vis avec les sept du premier élément suivant le réglage. La deuxième partie qui a la fonction d'un bâti tridimensionnel est aussi en deux 45 éléments. Le premier élément (C) est constitué de trois pièces qui une fois fixés entre elles ont la même géométrie que le premier élément (A) avec des proportions différentes et à l'envers. Il forme des accoudoirs articulés derrière le dossier, il se glisse dans les parties femelles du deuxième élément de la première partie (B) et possède des supports de fixation pour l'élément multipênes (E). Cet élément est en 50 trois segments soudés qui dessinent les trois dimensions de l'espace dans une forme de Z tridimensionnel. Le premier segment du Z est un tube de 25 cm de long et de 20mm de coté coupé à 90° de chaque coté percés de 7 trous partant de son 2953698 - 10 extrémité comme le premier élément de la première partie (A). Le suivant mesure 48 cm de long et 25 mm de coté, il est coupé d'un coté à 90° et de l'autre à 45°, du coté coupé à 45°, il est soudé avec le troisième segment faisant un angle à 90° sur un plan de l'espace et du coté coupé à 90°, il est soudé le premier segment selon un 5 angle à 90° et un plan à 90° par rapport à celui définit avec le troisième élément et de manière à laisser l'ouverture de ce tube ouvert pour recevoir les parties G et F soit des tubes de 20mm de section (sur ce segment sont soudés (sur la face en vis à vis avec le premier segment) deux U de 5cm de long et de 10mm de coté à 10 cm des extrémités pour recevoir la tige du multipênes, un crochet pour recevoir un 10 ressort (AB) sur la face en vis-à-vis avec le troisième segment et à 17,5cm cm du coté interne de l'angle qui les unis et un appendice de 6mm de diamètre et 1cm de haut à 12mm à l'axe de l'extrémité coupé à 90° sur le plan créé avec le premier segment mais du coté opposé au vis à vis). Le dernier de ces segments de presque 19 cm de long et de 25mm de coté est coupé d'un coté à 45° et de l'autre à 90°, il 15 est soudé à l'élément précédent sur sa coupe 45° définissant un angle de 90° et il est prolongé de l'autre coté par un tube cylindrique de 20mm de diamètre glissé en lui pour partie débordant de 10 cm et soudé, il peut se glisser dans la réservation pour l'articulation 5 du deuxième élément de la première partie (B). La deuxième pièce est exactement symétrique à la première si les deuxièmes et troisièmes 20 segments de ces deux pièces sont sur le même plan et dessine un U lorsque les extrémités des tubes cylindriques se touchent et que les troisièmes segments sont sur la même droite. La troisième pièce est un tube de 17,5mm de long et de 25mm de coté, il se glisse entre les deux tubes du U de l'élément (B) au niveau des parties femelles, il reçoit les deux autres pièces un fois qu'elle se sont glissées dans les 25 parties femelles, les extrémités cylindriques des deux autres pièces et cette dernière sont percées de trous concordant qui permet de les fixer ensemble par boulons et écrous en créant une continuité de tube visuelle et fonctionnelle. Sur cette dernière pièce est soudé un tube de 20mm de 6cm de hauteur au milieu et à l'axe sur sa face supérieure pour pouvoir servir d'axe à une articulation de type 3 décrite plus loin 30 en variante du bras (F). Le deuxième élément (D), en tube de 25mm de coté, lui aussi en forme de U, il est très aplati et coulisse avec le premier (C). Les bras du U sont de 25 cm chacun percé d'un trou de 9mm à deux centimètres de leurs extrémités et sa base de 60cm de longueur, Les coupes d'extrémités du U sont de 90° pour pouvoir recevoir les 35 premiers segments de la première et deuxième partie de l'élément précédent (C), les coupes des trois segments entre eux sont à 45° et ces trois éléments sont soudés entre eux. L'ensemble formant le bâti tridimensionnel est fixé par une articulation sur le support du dossier (B) et posé de l'autre sur les petites pattes métalliques (AC) fixées sur le support de l'assise (A). Une sorte de grand pêne rétractable (L) 40 muni d'un ressort permet d'articuler A+B par rapport à C+D en créant le mouvement 5. La troisième partie (E) est un quadriple pêne réalisé avec un tube de 8mm de diamètre dont les angles sont réalisés par cintrage qui verrouille manuellement la position recherchée. Sa forme générale reprend celle du premier élément de la 45 deuxième partie (C) qu'elle suit à son axe, les différences sont les extrémité sont plus courte (14 cm) et munies d'un retour de 2cm à bout conique et épaufré sur le même plan que l'angle précédent ces extrémités de manière à pénétrer dans les trous existants sur les deux éléments de la deuxième partie (C et D), deux petits bouts de tube de 2cm à bout conique et épaufré de même diamètre sont soudés à 10 50 cm de part et d'autre du milieu du premier élément parallèlement au deux premiers retours en partant du milieu, ces extrémités une fois en place pénètre dans les orifice réalisés sur les deux éléments de la première partie (A et B) et enfin deux 2953698 -11 autres de 4cm de long à bout arrondis sont soudés sur les deux premiers retours après le premier angle de chaque coté en partant du milieu pour pouvoir le reculer une fois en place, la partie centrale reçoit un anneau de 3cm de long de chaque coté sur lesquels sont accrochés des ressorts (AB) de 8mm de diamètre et de 14cm de 5 long accrochés à l'autre extrémité sur les deux premiers segments des deux premières pièces du premier élément de la deuxième partie (C) plus précisément à 20cm de l'angle coupés à 45° du coté intérieur par rapport au centre du siège, ainsi le recul se fait manuellement et les ressorts rappellent cette partie dans sa position d'origine. L'ensemble se fixe dans les U de 10mm fixés sur le premier élément de 10 la deuxième partie (C) et sont enfermés avec des U de 12mm de coté et de 5cm de long qui sont fixés par de petits vis et écrous (2mm de diamètre). L'ensemble permet, en levant manuellement l'élément accoudoir de chaque coté en même temps, de soulever deux éléments sur quatre qui permettent de régler la hauteur de la table en fonction de l'anatomie de l'utilisateur (ischions û coudes) (1). 15 En plus de ce réglage anatomique, ce châssis possède une articulation entre la première (A+B) et la deuxième partie (C+D) ce qui permet de changer la position et l'inclinaison de la table: de position basse en position écritoire plus haute et plus incliné. Un système de butée et de verrouillage fixé sur le premier élément permet à l'ensemble d'être stable dans chacune des positions. (mouvement 5). Les 20 extrémités coupées à 90° des différents éléments des deux premières parties permettent de fixer des accessoires comme une têtière ou une potence pour sculpteur sur la partie haute du deuxième élément de la première partie (figure 26) ou les extrémités des deuxièmes segments des deux premières pièces du premier élément (C) de la deuxième partie qui permettent de recevoir dans ce cas les 25 éléments de la quatrième partie, pourvu qu'un tube carré de 20mm équipe l'extrémité de ces accessoires, la position dans laquelle l'accessoire est glissé est maintenu (par le jeu des tubes carrés encastrés), si l'accessoire est équipé d'extrémité cylindrique il tourne sauf s'il en possède deux encastrables. La quatrième partie est constituée de deux éléments (F et G). Un bras métallique 30 (F) permet de manoeuvrer la table de travail en profondeur (4) (pour s'adapter à la corpulence de l'utilisateur) et de le libérer (3/4). Ce bras est constitué de plusieurs segments soudés entre eux hors mis la plaque de support de table. Les parties pénétrante dans le premier élément de la deuxième partie (C) sont à l'extrémité un tube cylindrique de 20mm de diamètre sur 15cm de long poursuivit et soudé dans 35 le même axe à un tube carré de 20mm de coté de 34cm de long poursuivi et soudé à un tube de 25mmde coté et de 5cm de long, sur le coté de ce dernier segment est soudé, à 5mm d'écart du premier, un autre tube de 25mm de coté et de 43cm de long. Sur ce dernier tube sur la face en vis-à-vis du tube soudé une rainure (AR) (invisible une fois en place) de 8mm de large parcourt le tube à l'axe entre 15mm et 40 35cm de son extrémité libre (non soudé à l'autre tube) à l'intérieur entre les deux tubes, elle se termine en T à 15mm de l'extrémité libre et sur la largeur du tube. Cette rainure guide l'appendice réalisé sur le premier élément de la deuxième partie (C), lui sert de butée et permet avec le tube cylindrique une rotation qui permet de libérer la table ou de la rangée à 90° sur le coté du bâti. Un écrou (AO) pour tige 45 fileté de 12mm est soudé sur ce dernier sur la face opposé à celle en vis-à-vis du tube soudé dont l'axe est à 12 mm de l'extrémité libre, à l'autre extrémité une cale compensatrice est fixé (écrou et boulon) de 15mm de hauteur. Une plaque fixation (AN) de 20*5cm est perforé de 4 trous aux angles pour fixer la table, il possède un écrou soudé de 12mm de diamètre (AO). Cette plaque une fois fixé sur la table 50 permet de fixer le bras (G) en le visant jusqu'à la butée ou un peu avant. Cette articulation gère le mouvement (3) le dégagement latéral nécessaire à la libération de l'utilisateur. Le tube carré de 20mm encastré dans l'élément (C) et cette 2953698 -12 articulation gère les mouvements (3) et (4). Ce dispositif permet de libérer l'utilisateur sans l'obliger à vider sa table de travail. Sur le tube accoudoir non utilisé se glisse un autre élément constitué d'un tube de 20mm de coté sur 40cm de long continu et soudé d'un autre de 5cm en 25mm de coté et muni d'un appendice 5 de 40mm de long (G) qui permet d'augmenter la stabilité de la table de travail pour permettre à l'utilisateur de s'y appuyer librement une fois la table en position de travail. Des cales (Q) permettent d'augmenter les points d'appuis sur le cadre tridimensionnel (C). Le système étant positionnable à gauche ou à droite au montage les appendices (AS) servent de butée à la cale (Q) côté opposé à 10 l'articulation. Dans ce dispositif, la table possède deux butées de course sous sa surface pour gérer le mouvement 3. Selon une disposition particulière le bras F est remplacé par un autre bras (figure 22 et 23) ayant la même fonction les mouvements 3 et 4, elle ne permet pas de ranger latéralement la table (J) mais le dégagement latérale est plus simple. Le bras est 15 composé de deux pièces (M et N). L'élément (N) en tube creux de 25mm de coté et de 38,7cm de long possède un tube soudé de 25mm de diamètre et 50mm de long, qui se glisse dans le tube de la troisième pièce du premier élément de la deuxième partie (C), d'un coté et coupé à 45° de l'autre, cette coupe à 45° est soudé sur un autre segment de 25mm de coté et de 20cm de long coupé d'un coté à 45° aussi et 20 forme avec le premier un angle à 90° son autre extrémité est coupé à 90° et reçoit un tube de 20mm de coté soudé et débordant de 36cm de long. Cet élément se glisse dans le support de la table (M) en tube de 25mm de coté formant un U coupé aux extrémités à 90° et aux jonctions à 45°, les bras du U mesure 40cm et sa base 60cm, ses extrémité reçoivent le premier élément qui peut y coulisser. Ces deux 25 éléments font d'une autre manière les mouvements 3 et 4. Le bras complémentaire (G) permet d'augmenter la stabilité d'autant que son appendice peut être introduit dans les réservations en sous face (P) (rendues visibles dans la figure 23) situées sur le U (M). A proximité de l'extrémité des tubes sont fixés des cales de stabilité servant aussi de butée (Q). Ces cales limitent le mouvement 4 lorsque les cales 30 rentrent en collision avec l'appendice (AS). Ce dispositif est particulièrement facilement réversible de droite à gauche et vis versa puisqu'il suffit de retourner le bras articulé (N), de déplacer le bras complémentaire dans l'autre tube du bâti tridimensionnel (C) et de réengager l'élément articulé (N) dans celui qui sert de support à la table (M). 35 Une assise et un dossier réalisés par une surface dure habillée ou non d'une mousse et d'un textile de finition viennent se fixer sur le bâti métallique.
c. Une table de travail qui se fixe sur l'articulation 3 sur la plaque (AN) du bras (F) ou sur l'élément (M) qui selon un mode particulier est une table de travail de petite dimension (75*45cm) dont la forme extérieure peut en arc de cercle 40 complémentaire à la table de communication (figure 27 et 28). Posée sur le bras (F), sur sa partie inférieure, elle possède des butées servant à limiter la course de articulation 3 et des cales butées côté intérieur créant 4 points d'appui. En partie supérieure, elle est équipée d'une bande d'appui en mousse habillée d'un revêtement pour les coudes et les avant-bras du côté intérieur servant aussi de butée 45 aux stylos, à la sourie, aux objets ou aux feuilles (T), d'une lampe de bureau fixée (Y), une surface antidérapante (U)... Selon d'autres dispositions elle possède une cheville en bois (W), un tiroir retirable (X), des micros servantes pour les outils les plus utilisés dans l'action, des réservations pour téléphone, des prises 12 Volts pour 2953698 -13 ordinateur portable (AA), des prise USB pour piloter une imprimante depuis son portable (AA), etc... (figures 24, 25, 26 et 28) d. Spécificités particulières : Les tubes du dossier ouverts à leurs extrémités en partie haute seulement bouchés 5 par des bouchons d'habillage (S) sont disponibles pour y glisser une partie mâle qui maintien une potence (V) qui sert de support à un tour pour des activités de sculpture délicate par exemple. (figure 26). Ces postes de travail sont électrifiables en 12 volts par exemple pour alimenter un ordinateur portable, la lampe... on peut lui joindre un cordon pour prise USB pour 10 connecter l'ordinateur portable à des périphériques. L'ensemble de ces alimentations peuvent se faire par le haut ce qui libère les mouvements du siège, elle peut être réalisée avec une potence articulée qui donne d'avantage de latitude aux mouvements de l'utilisateur.
15 B/ L'environnement (figure 27 et 28) Il se présente sous la forme d'un meuble constitué de quatre éléments polyvalents et assemblables groupant en un ensemble les fonctions de servante, déserte, rangement et sert d'appui à une table d'échange et de communication. 20 4- Bâti du meuble : Sa forme générale suit une ergonomie particulière puisqu'il répond de façon spécifique à une utilisation à partir du siège en posture de travail orthopédique et atonique, ainsi la forme générale de la façade est concave sur le plan vertical et les quatre éléments joints les uns aux autres décrivent une courbe qui s'inscrit dans un cercle de rayon de 80 cm sur le plan horizontal à 65 centimètre de haut par rapport à 25 l'assise (hauteur réglable par des pieds sur pas de vis). Ce rayon se rapproche du cercle que dessine le poignet de la main lorsque le corps pivote sur le siège afin que toute partie soit accessible du siège-table de travail pivotant décrit plus haut. En partie haute des éclairages spécifiques permettent de rendre visible l'ensemble de chaque élément et particulièrement les surfaces des étagères coulissantes à dossier (cf. désertes ci- 30 après). En partie basse une lisse en tube rond en acier inoxydable sert de cale pied et sert à pivoter pour accéder aux différentes parties du meuble. Les éléments étant modulables suivant les besoins il y sera aménagé les différentes parties fonctionnelles nécessaires: 5- Une partie servante avec des tiroirs situés entre -20 et + 50cm par rapport à l'assise du 35 siège pour être accessibles du siège -table de travail, un plateau permettant de poser des portes plumes et des feuilles par exemple à + 50 cm. Une surface située à la hauteur de l'assise niveau 0 de l'assise du siège accueille une imprimante. Ce meuble permet de décharger la table de travail des accessoires nécessaires, comme le clavier d'ordinateur sans fil, la souris sans fil, les stylos, gomme, agrafeuse, papier ou autre ...
40 6- Une partie desserte comprenant des étagères coulissantes afin de permettre à l'utilisateur d'y déposer des dossiers ouverts et en ouvrant l'étagère de les consulter aisément d'en saisir les pages ou parties d'une seule main. Les différents plans de desserte sont situés entre -20 cm et + 40 cm de haut environ par rapport à l'assise du siège au sol. 45 7- Un meuble de rangement constitué d'étagères permettant de loger les documents, des archives, les livres entre -20 et +120 cm de haut par rapport à l'assise. 2953698 - 14 8- Une table de communication et d'échange fixée au meuble qui assure deux points de fixation et d'appui et un troisième constitué par un pied. La forme de la table est celle d'un cercle horizontal dont une partie est manquante. La table de travail du siège a la forme de la partie manquante de telle sorte que la table de travail et la table de 5 communication et d'échange s'assemblent (cf plan figurel6). L'invention est particulièrement adaptée pour les travailleurs en position assise de longue durée comme les scolaires, les étudiants, les gens travaillant sur ordinateur, au téléphone, les personnes ayant des activités dites de bureau, les prothésistes les bijoutiers.... Ce poste 10 de travail répond à de nombreux usages comme se servir d'ordinateur fixe ou portable, lire, écrire, sculpter des petits éléments, par exemple, toutes activités pratiquées assises sur de longue durée. Les postes de travail conçus selon l'invention sont une alternative aux postes de travail actuels comme les éléments mobiliers constituant les bureaux (siège ou fauteuil, table de 15 bureau, tiroirs, étagères, servantes... 20

Claims (10)

  1. Revendications1. Poste de travail comprenant une assise (K), un dossier REVENDICATIONS1. Poste de travail comprenant une assise (K), un dossier (I) et une surface de travail (J) caractérisé en ce que ces trois éléments sont dépendants et s'inclinent ensemble, selon un axe de basculement du siège, vers l'arrière de l'utilisateur entre 7 et 20 degrés (angle a).
  2. 2. Poste de travail selon la revendication 1 caractérisé en ce que la surface de travail s'incline de plusieurs degrés au dessus de la parallèle à l'assise (5 et (ou) 1) selon un axe horizontal parallèle à l'axe de basculement du siège.
  3. 3. Poste de travail selon la revendication 1 caractérisé en ce qu'il comprend un dispositif 10 permettant de déplacer par translation la surface de travail pour qu'elle puisse toujours être au contact de l'utilisateur quelque soit sa corpulence (4).
  4. 4. Poste de travail selon la revendication 1 caractérisé en ce qu'il comprend des moyens de liaison entre d'une part l'assise et/ou le dossier et d'autre part la surface de travail libérant l'utilisateur par un mouvement de rotation, de translation ou de glissement sur un axe en 15 arc de cercle sans modification de l'angle de son plan par rapport au plan horizontal (4).
  5. 5. Poste de travail selon la revendication 1 caractérisé en ce que le dossier comprend des zones d'appui destinées à la zone sacro-iliaque et à la courbure dorsale disposées dans une même plan formant avec l'assise un angle à peu près égal à 90°.
  6. 6. Poste de travail selon la revendication 1 caractérisé en ce qu'il comprend un bâti 20 tridimensionnel (B+C) fixé au siège ou à son support constitué de deux arceaux (circulaires ou non, mono bloc ou non) unis, un premier disposé dans un plan à peu près parallèle à l'assise et un autre dans un autre plan plus ou moins orthogonal au premier, ledit bâti servant de support aux accessoires permettant d'appuyer fermement sur au moins trois points et de manière symétrique la surface de travail. 25
  7. 7. Poste de travail selon la revendication 6 caractérisé en ce que le bâti tridimensionnel (B+C) est articulé à l'arrière du dossier.
  8. 8. Poste de travail selon la revendication 1 caractérisé en ce que la hauteur de la surface de travail par rapport à l'assise est réglable.
  9. 9. Poste de travail selon l'une quelconque des revendications précédentes caractérisé en ce 30 que les éléments formant le poste de travail sont conçus pour permettre à un utilisateur d'agir dans la position de référence dite dans la description : « posture de référence atonique et orthopédique ».
  10. 10. Elément mobilier d'environnement d'un poste de travail selon l'une quelconque des revendications 1 à 9 caractérisé en ce qu'il comprend une façade présentant une façade 35 concave circulaire ou en segments de droites dont la concavité est adaptée sensiblement à la courbe décrite par l'extrémité du bras d'un utilisateur assis.
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* Cited by examiner, † Cited by third party
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CN2888998Y (zh) * 2005-12-20 2007-04-18 张爱军 一种可倾斜式电脑操作台
US20100066132A1 (en) * 2008-09-17 2010-03-18 Rafael Tal Marchand Adjustable workstation

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