FR2882269A1 - Planche de glisse sur neige a element superieur de decoration et de protection - Google Patents

Abstract

Une planche de glisse sur neige (1) comprend notamment une surface supérieure, constituée par un élément supérieur de décoration et de protection (16), qui comporte un évidement, dans lequel est positionné un insert (21, 22, 23).L'insert (21, 22, 23) comprend au moins une première pièce en un matériau élastomérique (24) juxtaposée sur la surface supérieure avec au moins une deuxième pièce en un matériau métallique (26).

Description

PLANCHE DE GLISSE SUR NEIGE À ÉLÉMENT SUPÉRIEUR DE

DÉCORATION ET DE PROTECTION La présente invention concerne une planche de glisse sur neige présenti.nt un élément supérieur de décoration et de protection à fonction supplémentaire d'amortissement.

Les planches de glisse sur neige, c'est-à-dire les skis alpins, les planches de surfs, les skis de fond, les monoskis, les skis de randonnée, les patinettes et d'autres e:icore, sont de plus en plus décorées, de façon à masquer le corps ou la structure interne Je ces planches. Un élément supérieur de décoration et de protection donne des effets visuels qui s'avèrent agréable et attractifs pour l'utilisateur et pour son entourage. Cet élément assure, en plus de l'effet esthétique, un rôle de protection de la structure de la planche contre les agressions extérieures, telles que les coups de carres, les chocs.

Outre sa fonction de protection et de décoration, il est intéressant d'ajoater à l'élément supérieur des fonctions complémentaires, comme par exemple, le portage, l'absence d'accrochage de neige et de glace, l'amortissement de l'ensemble de la planche, et d'autres encore. Ces fonctions sont obtenues par le rajout de pièces et'ou de matériaux absorbeurs particuliers.

L'utilisateur sait que le comportement vibratoire de sa planche est un facteur déterminant de son agrément sur neige. Les vibrations de la planche ont une influence sur la tenue des trajectoires, sur l'accrochage des carres à la surface de la neige et sur le confort global de la planche. C'est ainsi qu'une planche avec trop d'amortissement devient difficile à conduire et manque de précision et de vivacité ; les appuis de l'utilisateur deviennent imprécis. A l'inverse, une planche insuffisamment amortie est trop vibrante, fatigante à piloter et rapidement désagréable. Un compromis doit donc être trouvé, entre l'amortissement des vibrations et la rigidité pour la transmission des appuis de l'utilisateur guidant sa planche.

Etat de la technique On connaît d'après le document FR- 2.616.340 un dispositif d'amortissement pour un ski, qui est encastré dans une fenêtre ménagée dans l'élément supérieur de décoration et de protection. La fenêtre incluant le dispositif d'amortissement est positionnée en avant de la fixation. Le dispositif d'amortissement comprend une première couche d'un matériau viscoélastique, placée contre la structure interne du ski et associée par superposition à une plaque de contrainte libre, en un matériau métallique qui vient affleurer la surface supérieure du ski. Lors de l'utilisation du ski, les vibrations de l'ensemble du ski sont ainsi limitées par le dispositif d'amortissement.

Cependant, un tel dispositif ne peut valablement fonctionner que dans le sens vertical, de la surface supérieure du ski vers la semelle de glisse et vice-versa. En 7.aison de son encastrement dans la fenêtre, la plaque métallique ne possède que peu de débattement pour se déplacer horizontalement, c'est-à-dire de manière sensiblement parallèle à la surface supérieure du ski. De plus, ce dispositif d'amortissement ne peut être utilisé qu'en étant disposé en dehors de la zone prévue pour la fixation. Il ne peut absorber significativement les chocs se répercutant directement sur la chaussa re de l'utilisateur.

Exposé de l'invention Un problème principal que se propose de résoudre l'invention consiste à mettre au point une planche de glisse qui soit à la fois confortable pour l'utilisateur en amollissant les vibrations et suffisamment nerveuse pour donner à l'utilisateur des sensations de pilotage par transmission précise de ses appuis. Un deuxième problème est de réaliser une planche de glisse avec un dispositif d'amortissement intégré dans l'élément supérieur de décoration et de protection. Un autre problème encore est celui d'obtenir une planche intégrant un dispositif d'amortissement pouvant être disposé à n'importe quel endroit de la surface supérieure, du talon à la spatule en passant par la zone de montage de la fixation.

L'invention concerne donc une planche de glisse sur neige, comprenant notamment une surface supérieure constituée par un élément supérieur de décoration et de protection, qui comporte un évidement dans lequel est positionné un insert.

Conformément à un aspect de la présente invention, la planche de glisse est caractérisée en ce que l'insert comprend au moins une première pièce en un matériau élastomérique juxtaposée sur la surface supérieure avec au moins une deuxième pièce en un matériau métallique.

Autrement dit, en juxtaposant deux matériaux, l'un des matériaux présentant des propriétés mécaniques de rigidité à côté de l'autre des matériaux présentart des propriétés mécaniques d'élasticité ou de viscoélasticité, l'insert ou dispositif d'amortissement va fonctionner comme un système masse-ressort à la surface de la planche. Lorsque le dispositif d'amortissement est positionné sous la fixation, le matériau élastique atténue les vibrations et le matériau plus rigide permet une transmission directe à la planche des efforts exercés par l'utilisateur.

Dans une première forme de réalisation avantageuse, l'évidement et l'insert peuvent être prévus au niveau d'une zone de montage d'une fixation, destinée à solidariser la chaussure d'un utilisateur à la planche. De préférence, la ou les premières pièces en matériau élastomérique peuvent être positionnées au centre de l'insert.

Lorsque l'utilisateur souhaite prendre un virage, il va bascule sa planche sur la carre correspondante. Pour transmettre un appui sur l'une des deux carres, il va exercer un appui latéral avec sa chaussure. Grâce à 1.a ou aux deuxièmes pièces métalliques, cet appui va pouvoir être transmis directement à partir de la chaussure en direction de la carre droite ou gauche concernée. La ou les premières pièces en matériau élastomérique servent a amortir les vibrations sous la fixation. La ou les premières pièces en matériau élastomérique peuvent être entourées sur la surface supérieure par la ou les deuxièmes pièces en matériau métallique.

Afin d'assurer une solidité supplémentaire pour le maintien de la fixation à la planche, des vis de maintien de la fixation à la planche peuvent traverser la ou les deuxièmes pièces en matériau métallique. Deux inserts peuvent être prévus sur la planche. Une butée avant de la fixation peut être favorablement fixée sur un premier insert. Et de manière favorable, une talonnière arrière de la fixation peut être fixe sur un deuxième insert.

Dans une deuxième forme de réalisation avantageuse, l'évidement et l'insert peuvent être prévus entre une zone de montage d'une fixation, destinée à solidariser la chaussure d'un utilisateur à la planche, et une zone spatule. La ou les deuxièmes pièces en matériau métallique peuvent préférentiellement être positionnées au centre de l'insert.

La ou les pièces métalliques présentent une masse beaucoup plus importanre par rapport à la ou aux pièces élastomériques. De cette manière, la ou les pièces métal iques jouent le rôle de masse directement à côté de la ou des premières pièces en matériau élastomérique jouant le rôle de ressort. La ou les pièces métalliques atténuent les vibrations en se déplaçant dans une direction sensiblement verticale à la surface de la planche de glisse. La ou les deuxièmes pièces en matériau métallique peuvent être entourées sur la surface supérieure par la ou les premières pièces en matériau élastomérique.

Dans une variante, les deuxièmes pièces en matériau métallique et les premières pièces en matériau élastomérique peuvent être de même épaisseur. Dans une autre variante, les deuxièmes pièces en matériau métallique et les premières pièces en matériau élastomérique peuvent être d'épaisseurs différentes.

Une planche peut être obtenue en mettant en oeuvre un premier procédé de réalisation. L'insert peut ainsi être incrusté ou encastré dans l'élément supérieur, de façon à affleurer avec la surface supérieure de la planche.

Une planche peut être obtenue en mettant en oeuvre un deuxième procédé de réalisation. L'insert peut ainsi être introduit dans la fenêtre découpée au préalable dans l'élément supérieur. L'étanchéité entre l'insert et l'élément supérieur peut être usurée par un film polymère barrière, ayant des dimensions supérieures à celles de la fenêtre.

Le film polymère barrière peut alors être placé entre l'insert et une structure interne de la planche, et être apte à empêcher un passage d'un matériau constitutif de la structure interne de la planche.

Une planche peut être obtenue en mettant en oeuvre un troisième procédé de réalisation. L'insert peut ainsi posséder au moins un moyen d'ancrage, pouvant passer au travers d'au moins une ouverture ménagée au préalable dans l'élément supérieur, et pénétrant dans une structure interne de la planche.

Description sommaire des figures

L'invention sera bien comprise et ses divers avantages et différentes caractéristiques ressortiront mieux lors de la description suivante, de l'exemple non limitatif de réalisation, en référence aux dessins schématiques annexés, dans lesquels: la Figure 1 représente une vue du dessus d'une planche de glisse selon l'invention, avec sa fixation; la Figure 2 représente une vue du dessus de la planche de la Figure 1, sans sa fixation; - les Figures 3 et 4 représentent des vues partielles en coupe verticale, selon le plan longitudinal médian, de la planche de la Figure 2, respectivement au niveau de la butée avant et au niveau de la talonnière arrière; - la Figure 5 représente une vue partielle en coupe verticale, selon le plan longitudinal médian, de la planche de la Figure 2, au niveau de la spatule; et les Figures 6 à 8 représentent des vues en coupe transversales, verticales, de planches, obtenues respectivement selon trois procédés de réalisation différents.

Description détaillée de l'invention

Comme l'illustrent les Figures 1, 2 et 6 à 8, une planche de glisse sur neige, par exemple un ski alpin (1), présente une zone avant avec une spatule (2), une zone arrière avec un relevé de talon (3) et une zone centrale appelée zone de patin (4). Le ski (1) comprend une face inférieure, formant une semelle de glisse (6), délimitée de part et d'autre par deux carres latérales (7 et 8).

Dans un premier exemple de réalisation (voir Figures 6 à 8), connu scus la dénomination DUALTECTM , deux éléments de renforcement longitudinaux latéraux (9 et 11) sont chacun établis au-dessus des canes (7 et 8) et forment les chants partiels du ski (1).

Le ski (1) comprend en outre une structure interne (12), réalisée par exemple, par injection de deux composés, qui après durcissement, forment du polyuréthane rigide. A la base de la structure interne (12), c'est-àdire au-dessus de la semelle de glisse (6), est prévu un premier renfort interne (13). Au-dessus de la structure interne (12), est prévu un deuxième renfort interne (14).

Une face supérieure du ski (1) est formée par un élément supérieur de protection et de décoration (16). L'élément supérieur de décoration et de protection (16) est monté au-dessus du deuxième renfort interne (14). L'élément supérieur de décoration et de protection (16), est constitué, à titre d'exemple, d'un mélange de Styrène-Acrylonitrile (SAN) et de polyuréthanne thermoplastique (TPU).

Deux éléments de la fixation (17), la butée avant (18) et la talonnière arrière (19) sont montées dans la zone de patin (4), pour solidariser la chaussure (non représentée) de l'utilisateur au ski (1).

Selon l'invention, le ski (1), avec son élément supérieur de protection et de décoration (16), comprend trois inserts (21, 22 et 23) formant respectivement trois dispositifs d'amortissement différents (voir Figures 1 à 5). Les trois inserts (21, 22 et 23) sont centrés transversalement par rapport à l'axe longitudinal médian (L) du sk-. (1).

Comme cela est visible en Figures 1, 2 et 4, le premier insert (21) est placé en arrière de la zone de patin (4). La talonnière arrière (19) est globalement positionnée sur ce premier insert (21) (voir plus particulièrement la Figure 4). Comme cela est visible en Figures 1 à 3, le deuxième insert (22) est placé en avant de la zone de patin (4). La butée avant (18) est globalement positionnée sur ce deuxième insert (22) (voir plus particulièrement la Figure 3). Comme cela est visible en Figures 1, 2 et 5, le troisième insert (23) est placé en avant de la butée avant (18), plus proche de la spatule (2) que de la zone de patin (4). Vu du dessus, le troisième insert (23) présente une forme globalement ovale.

Conformément à la présente invention, les trois inserts (21, 22 et 23) comprennent chacun au moins une première pièce en un matériau élastomérique accolée et juxtaposée sur l'élément supérieur de décoration et de protection (16), avec au moins une deuxième pièce en un matériau métallique. La ou les premières pièces et la ou les deux ièmes pièces restent apparentes à la surface du ski (1).

Le premier insert (21) comprend (Figures 2 et 4) deux premières pièces en élastomère (24) entourée par une deuxième pièce en métal (26). Le deuxième insert (22) comprend (Figures 2 et 3) une première pièce en élastomère (24) entourée par une deuxième pièce en métal (26). A l'inverse, le troisième insert (23) comprend (Figures 2 et 5) une deuxième pièce en métal (26) entourée par une première pièce en élastomère (24).

Toutes les combinaisons et variations d'épaisseurs sont possibles pour les premières pièces élastomères (24) et deuxièmes pièces métalliques (26) . Les premières pièces élastomères (24) et/ou les deuxièmes pièces métalliques (26) peuvent dépasser, peuvent être en creux ou peuvent affleurer la surface de l'élément supérieur de protection et de décoration (16).

Pour le premier insert (21) et le deuxième insert (22), les premières pièces élastomérique (24), qui sont souples, amortissent et empêchent la transmission des vibrations dans la zone de patin (4) à la butée avant (18) et à la talonnière arrière (19). Pour le premier insert (21) et le deuxième insert (22), les deuxièmes pièces métalliques (26), qui sont rigides, favorisent la transmission des impulsions à partir du pied du skieur, à la chaussure, puis à la butée avant (18) et à la talonnière arrière (19), en direction des deux carres latérales (7 et 8). Les deuxièmes pièces métalliques (26) facilitent également l'implantation des vis d'ancrage des éléments de la fixation (17), butée avant (18) et talonnière arrière (19), dans la structure interne (12) du ski (1).

Pour le troisième insert (23), la deuxième pièce en métal (26) joue le rôle d'une masselotte entourée par la première pièce en élastomère (24). La compensatio a des vibrations se fait par déplacement dans toutes les directions située dans un plan horizontal de la deuxième pièce en métal (26) à l'encontre de la première pièce en élastomère (24).

Le matériau élastomérique de la ou des premières pièces (24) peut présenter une dureté inférieure ou égale à 85 Shore A, de préférence égale à 60 Shore A. Le matériau possède également un fort coefficient d'amortissement pour rendre agréable le comportement sur neige du ski. A titre d'exemple non limitatif, ce matériau élastomérique peut être choisi dans le groupe comprenant, seul ou en mélange, des caoutchoucs, des thermoplastiques à base styrène-butadiène rubber, des polyuréthannes et d'autres encore.

A titre d'exemple non limitatif, le matériau métallique de la ou des deuxièmes pièces (26) peut être un feuillard choisi dans le groupe comprenant l'aluminium ou ses alliages, l'acier inoxydable, le titane, et d'autres encore.

Dans un premier procédé de réalisation, par exemple décrit dans le document EP- 0.972.544, l'insert (31) est incrusté (voir Figure 6) dans l'élément supérieur de décoration et de protection (16), de façon à affleurer avec la surface supérieure (lu ski (1). Au préalable, la première pièce élastomérique (24) est assemblée au centre de la deuxième pièce métallique (26), après découpage de cette dernière.

Dans un deuxième procédé de réalisation, par exemple décrit dans le document EP- 1.247.550 (voir Figure 7), une fenêtre (27) est découpée dans l'élément supérieur de décoration et de protection (16). Puis, la première pièce élastomérique (24) est assemblée au centre de la deuxième pièce métallique (26), après découpage de cette dernière. Un film polymère (28) présentant des dimensions supérieures à celles de l'insert (41) est collé sous cet insert (41). L'ensemble film (28) et insert (41) est ensuite inséré dans la fenêtre (27) de l'élément supérieur (16). Le film (28) empêche toute fuite de matériau, en cours de polymérisation, constitutif de la structure interne (12).

Dans un troisième procédé de réalisation, par exemple décrit dans le document EP- 1.479.416 (voir Figure 8), l'insert (51) est incrusté (voir Figure 8) dans l'éliment supérieur de décoration et de protection (16), de façon à affleurer avec la s'irface supérieure du ski (1). La première pièce élastomérique (24) et la deuxième pièce métallique (26) sont munies de pions d'ancrage (29). Ces pions (29) traversent l'élément supérieur de décoration et de protection (16) et le deuxième renfort i:lterne (14), par des ouvertures (30), pour venir se ficher dans la structure interne (12). Une rondelle de blocage (32) pourra bloquer toute sortie des pions (29) et empêcher tout arrachage de la première pièce élastomérique (24) et de la deuxième pièce métallique (26).

La présente invention n'est pas limitée aux modes de réalisation décrits et illustrés. De nombreuses modifications peuvent être réalisées, sans pour autant sortir du cadre défini par la portée du jeu de revendications.

Dans un second exemple de ski (non représenté), les deux éléments de renforcement longitudinaux se déploient sur toute la hauteur du ski, conférant à ce dernier une forme rectangulaire. Dans un troisième exemple de ski (non représ enté), l'élément supérieur de protection et de décoration forme une coque qui prend appui directement sur les carres. L'invention s'applique indistinctement à ces trois exemples de réalisation, pris seuls ou en combinaison.

Claims (12)

REVENDICATIONS

1. Planche de glisse sur neige, comprenant notamment une surface supérieure, constituée par un élément supérieur de décoration et de protection (16), qui comporte un évidement, dans lequel est positionné un insert (21, 22, 23), caractérisée en ce que l'insert (21, 22, :23) comprend au moins une première pièce en un matériau élastomérique (24) juxtaposée sur la surface supérieure avec au moins une deuxième pièce en un matériau métallique (26).

2. Planche selon la revendication 1, caractérisée en ce que l'évidement et l'insert (21) sont prévus au niveau d'une zone (4) de montage d'une fixation (17), destinée à solidariser la chaussure d'un utilisateur à la planche (1).

3. Planche selon la revendication 1 ou 2, caractérisée en ce que la ou les premières pièces en matériau élastomérique (24) sont positionnées au centre de l'insert (21) et sont entourées sur la surface supérieure par la ou les deuxièmes pièces en matériau métallique (26).

4. Planche selon la revendication 2 ou 3, caractérisée en ce que des vis de maintien de la fixation (17) à la planche (1) traversent la ou les deuxièmes pièces en matériau métallique (26).

5. Planche selon la revendication 3 ou 4, caractérisée en ce qu'une butée avant (18) de la fixation (17) est fixée sur un premier insert (22) et une talonnière arrière (19) de la fixation (17) est fixée sur un deuxième insert (21).

6. Planche selon la revendication 1, caractérisée en ce que l'évidement et l'insert (23) sont prévus entre une zone (4) de montage d'une fixation (17), destinée à solidariser la chaussure d'un utilisateur à la planche, et une zone spatule (2).

7. Planche selon la revendication 6, caractérisée en ce que la ou les deuxièmes pièces en matériau métallique (26) sont positionnées au centre de l'insert (23) et sont entourées sur la surface supérieure par la ou les premières pièces en matériau élastomérique (24).

8. Planche selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisée en ce que les deuxièmes pièces en matériau métallique et les premières pièces en matériau élastomérique sont de même épaisseur.

9. Planche selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisée en ce que les deuxièmes pièces en matériau métallique et les premières pièces en matériau élastomérique sont d'épaisseurs différentes.

10. Planche selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisée en ce 15 que l'insert (31) est incrusté dans l'élément supérieur (16), de façon à affleurer avec la surface supérieure de la planche (1).

11. Planche selon l'une quelconque des revendications 1 à 9, caractérisée en ce que l'insert (41) est introduit dans une fenêtre (27) découpée au préalable dans l'élément supérieur (16), l'étanchéité entre l'insert (41) et l'élément supérieur (16) étant assurée par un film polymère barrière (28), ayant des dimensions supéreures à celles de la fenêtre (27), placé entre l'insert (41) et une structure interne (12) de la planche (1), et apte à empêcher un passage d'un matériau constitutif de la structure interne (12) de la planche (1).

12. Planche selon l'une quelconque des revendications 1 à 9, caractérisée en ce que l'insert (51) possède au moins un moyen d'ancrage (29), passant au travers d'au moins une ouverture (30), ménagée au préalable dans l'élément supérieur (16), et pénétrant dans une structure interne (12) de la planche (1).