FR2810253A1 - Raquette a neige - Google Patents

Abstract

Raquette à neige du type comprenant un tamis qui porte un dispositif de retenue de la chaussure de l'utilisateur, caractérisée en ce que le tamis est constitué par une structure ou squelette (4) en forme de plaque ajourée sur laquelle viennent se fixer au moins un élément complémentaire (5) qui obstrue au moins partiellement les jours (25) de la structure (4).

Description

RAQUETTE <U>A NEIGE</U> La présente invention concerne une raquette à neige perfectionnée destinée à permettre le déplacement de l'utilisateur sur la neige.

Les raquettes à neige sont des engins connus depuis très nombreuses années car utilisées depuis plusieurs siècles par les populations scandinaves pour se déplacer sur la neige. Jusqu'à nos jours, les raquettes à neige étaient utilisées à des fins utilitaires ou militaires pour permettre aux populations et aux troupes alpines de se déplacer sur la neige pour leurs déplacements nécessités par la vie quotidienne.

Actuellement, les raquettes à neige sont plutôt utilisées par des sportifs qui font des randonnées et des promenades, voire même des compétitions.

Mais les sportifs, bien que pratiquant pour leur plaisir, sont de plus en plus exigeants pour le matériel qu'ils utilisent, et il est vrai que produits actuellement vendus ne donnent pas entière satisfaction.

Ainsi, les raquettes à neige doivent combiner critères d'accroche et portance tout en conservant un confort maximum pour leurs utilisateurs. Par ailleurs, selon les différentes neiges rencontrées, la portance de raquette nécessaire à une marche agréable peut s'avérer différente. De même, selon les différents terrains rencontres, la forme générale la mieux adaptée de la raquette peut être également différente.

De ce fait, chaque raquette est généralement performante pour certaines conditions neige, de pente et est souvent moins performante pour d'autres conditions.

La présente invention a pour objectif de remédier aux inconvénients précités à l'aide de moyens simples, fiables, efficaces et sûrs.

Elle a pour de proposer une raquette maniable grâce à sa légèreté tout en conservant une portance et une rigidité accrue ainsi 'un confort important d'utilisation pour l'usager grâce à des moyens de fixation de la chaussure perfectionnés et à des accessoires dont la manipulation est facilitée.

Selon sa caractéristique principale, la raquette à neige de l'invention est du type comprenant un tamis qui porte un dispositif de retenue de la chaussure de l'utilisateur et est caractérisée en ce que le tamis est constitué par une structure ou squelette en forme de plaque ajourée sur laquelle viennent se fixer au moins un élément complémentaire qui obstrue moins partiellement les jours de la structure.

Selon une autre caractéristique de la raquette à neige de l'invention, les éléments complémentaires sont fixés par surmoulage.

Selon une caractéristique complémentaire de la raquette à neige, celle-ci caractérisée en ce que les éléments complémentaires sont réalisés dans une matière différente de la matière dans laquelle est réalisée la structure. Selon un mode de réalisation de la raquette à neige, les éléments complémentaires occupent la partie latérale externe jours qu'ils obstruent partiellement. ailleurs, le dispositif de retenue de raquette est avantageusement constitué par une plaque pivotante articulée sur le tamis autour axe transversal et par des moyens de retenue avant ainsi que des moyens de retenue arrière qui sont disposés coulissants la plaque. Selon une autre caractéristique de la raquette à neige, les moyens de retenue arrière sont formés par un support arrière coulissant dont le prolongement inférieur est monté coulissant le long profilé de coulissement qui forme en partie la plaque articulée en ce que la coopération entre le profilé de coulissement et le support est telle que le dessous de l'extrémité arrière de la chaussure de l'utilisateur ne prend appui ou ne porte que sur la surface supérieure du profilé de coulissement et non la surface supérieure du support arrière coulissant qui, par ailleurs comprend une paroi d'emboîtement de talon pour constituer les moyens arrières de retenue.

Selon le mode de réalisation préféré de la raquette à neige, la surface supérieure du prolongement de coulissement du support est située dans un plan horizontal disposé en dessous du plan horizontal qui comprend la surface supérieure du profilé de la plaque articulée sur laquelle la chaussure vient prendre appui.

Selon ce mode de réalisation, le prolongement inférieur du support présente deux gorges latérales qui coopèrent avec deux saillies formes complémentaires du profilé.

Selon une caractéristique complémentaire de la raquette à neige l'invention celle-ci est caractérisée en ce qu'elle comprend une cale montée destinée à se positionner sous la plaque articulée, ladite cale étant montée coulissante de manière réglable sur au moins un rail coulissement.

Selon un mode de réalisation de la raquette à neige, celle-ci comporte des moyens de réglage longitudinaux de la cale obtenus par un système de crémaillère crantée du rail qui coopère avec des dents blocage mobiles de la cale ou par un système d'encoches.

Selon une autre caractéristique de la raquette à neige l'invention celle-ci est caractérisée en ce qu'elle présente des moyens de limitation l'amplitude du pivotement entre la plaque articulée et tamis. Selon une variante d'exécution de la raquette à neige, les moyens de limitation sont de type progressif.

Selon cette variante, les moyens de limitation sont constitués un ressort de torsion dont une extrémité est solidaire d'un logement d'axe du tamis et dont l'autre extrémité est positionnée sur le trajet pivotement d'une surface de butée d'une portion d'axe d'articulation qui s'étend depuis la plaque articulée.

D'autres caractéristiques et avantages de l'invention se dégageront de la description qui va suivre en regard des dessins annexés qui ne sont donnés qu'à titre d'exemples non limitatifs.

Les figures 1 à 12b illustrent le mode de réalisation préféré de la raquette à neige de l'invention. figure 1 est une vue de dessus de la raquette de l'invention sans le dispositif de retenue de la chaussure. figure 2 est une vue latérale. figure 3 est une vue en perspective de la raquette avec, d'une part, la structure de base sans les éléments complémentaires, et d'autre part, les eléments complémentaires. figure 4 est une vue en perspective de la raquette, c'est-à-dire du tamis constitué de la structure de base avec éléments complémentaires.

La figure 5 représente en coupe transversale élément complémentaire surmoulé sur le tamis.

La figure 6 est une vue en perspective de la raquette avec les dispositifs de retenue pour la chaussure.

La figure 7 est une vue en coupe transversale faite niveau des moyens retenue arrière de la chaussure. figure 8 illustre en perspective la talonnière coulissante.

Les figures 9a, 9b et 9c représentent en perspective plusieurs positions moyens de butée arrières ainsi que la plaque articulée en appui sur lesdits moyens dans une position extrême. figures 10a et 10b illustrent respectivement en latérale les deux positions extrêmes de la plaque articulée. figure 11 illustre un système de limitation du pivotement.

Les figures 12a et 12b représentent en vue de dessus le ressort de limitation et la portion d'axe de la plaque articulée.

La raquette à neige selon l'invention portant la référence générale (1) est du type comprenant un tamis (2) de forme allongée, formé par un ensemble de parois (3) sur lesquelles sont montés des moyens de retenue de la chaussure, comme le montrent les figures 1 et 6.

Selon l'invention, le tamis (2) illustré figures 1 à 4 est constitué par un ensemble de parois (3) qui forment un squelette ou structure base (4) en forme de plaque ajourée sur laquelle viennent se fixer des éléments complémentaires (5) destinés à compléter le squelette pour former ledit tamis (2). Ces éléments complémentaires (5) sont destinés à augmenter la surface portante du squelette (4). De plus, ces éléments (5) sont réalisés préférentiellement dans une matière (M1) différente de la matière (M2) qui forme le squelette (4) et ils forment ainsi des éléments décoratifs du tamis (2). II va de soi qu'ils pourraient être réalisés dans la même matière sans pour autant sortir du champ de protection de l'invention. Selon un mode d'exécution préféré, la structure de base (4) comprend un ensemble d'éléments complémentaires (5), chacun de ceux-ci prenant place pour y être fixé par clipsage, collage ou surmoulage ou tout autre moyen équivalent dans un espace correspondant ou jour (25) formé par les parois de la structure (4).

Ces espaces (25) peuvent être des espaces fermés, comme le montre la figure 3, et sont constitués par des jours situés dans le plan horizontal du squelette (4). II va de soi que ces espaces pourraient être des espaces ouverts débouchant vers l'extérieur dudit squelette sans pour autant sortir du champ de protection de l'invention. Selon le mode de réalisation préféré de l'invention et comme le montre la figure 1, plusieurs éléments complémentaires (5) ne remplissent pas entièrement les jours (25) dans lesquels ils sont positionnés, mais ils ne les obturent que partiellement. Ils sont réalisés par surmoulage à l'aide d'une matière plastique (M1) avantageusement différente de celle utilisée (M2) pour réaliser la structure ou squelette (4). La matière (M2) du squelette est préférentiellement une matière plastique renforcée ou un matériau composite comportant des caractéristiques de rigidité et de résistance aux chocs importantes tandis que la matière (M1) formant les eléments complémentaires (5) est formée par une matière plastique de qualité inférieure et moins dense tel qu'un polyuréthane ou un polypropylène, par exemple. Ces deux matières se complètent avantageusement pour confier à la raquette à neige sa rigidité mais aussi portance et sa légèreté, la structure (4) assurant la solidité et la rigidité, tandis que les éléments complémentaires assurent la portance et la réduction du poids la raquette.

On peut noter, comme le montre la figure 5, que les éléments complémentaires viennent emprisonner les bords latéraux (26) des jours (25) de la structure (4). Ces bords peuvent avantageusement comprendre un ensemble de canaux de fixation (27) que la matière (M1) vient occuper pour renforcer la tenue des éléments complémentaires (5) sur le squelette (4). Notons, comme le montrent les figures 1, 4 et 5, que les éléments complémentaires (5) occupent une portion latérale des jours (25) qui lui sont destines et préférentiellement la partie latérale externe de ceux-ci le long de leur bord externe (26) où sont disposés les canaux de fixation (27). On peut noter que, selon certaines variantes non illustrées, les éléments complémentaires (5) occupent intégralement les jours (25) qu'ils obstruent. Toutefois selon ces variantes, certains jours de la structure peuvent ne pas ^ obstrués par des éléments et être laissés libres pour permettre l'évacuation de la neige se trouvant sur la raquette pendant la marche. Selon l'invention, la raquette à neige (1) comprend un dispositif de retenue (10) pour chaussure de l'utilisateur, ledit dispositif comportant une plaque pivotante (12) sur laquelle sont montés des moyens de retenue avant et arrière ( ) et qui est articulée sur le tamis (2) autour d'un axe transversal (13). Ladite plaque porte des moyens de retenue pour la chaussure, à savoir moyens de retenue avant (14) et des moyens de retenue arrière ( ), lesdits moyens de retenue avant étant destinés à retenir l'extrémité avant de la chaussure, tandis que lesdits moyens de retenue arrière sont destinés à en retenir l'extrémité arrière. Selon une caractéristique de l'invention, les moyens de retenue arrière (15) sont disposés coulissants sur la plaque (12) pour pouvoir s'adapter à la longueur de la chaussure de l'utilisateur.

Ainsi, la plaque (12) comprend une portion avant (16) destinée à l'appui et la retenue de l'extrémité avant de la chaussure qui est prolongée vers l'arrière par un profilé de coulissement (17) destiné à recevoir les moyens de retenue arrière (15) coulissants.

Les moyens de retenue avant sont formés par une paroi de butée fixe (14) tandis que les moyens de retenue arrière sont formés par un support arrière coulissant (20) qui comprend une paroi d'emboîtement de talon (23) portée par un prolongement inférieur de coulissement (24) monté coulissant sur le profilé (17) de la plaque (12).

Selon l'invention, la coopération entre le profilé de coulissement (17) et les moyens de retenue arrière (15) est telle que le dessous de l'extrémité arrière de la chaussure de l'utilisateur ne prend appui que sur la surface supérieure (18) du profilé de coulissement (17) et non sur la surface supérieure (19) du prolongement inférieur (24) support coulissant (20).

Pour ce faire, le plan général (H) de la surface supérieure (19) du support arrière coulissant (20) est situé en dessous du plan général (Q) de la surface supérieure (18) du profilé de coulissement. Ainsi, comme le montrent les figures 7 et 8, le support coulissant (20) est libre de coulisser meme lorsque l'utilisateur a sa chaussure en appui dans le dispositif de retenue; la sollicitation du support (20) pour venir en butée contre l'arrière de la chaussure est avantageusement obtenue par moyens de sollicitation non représentés tels qu'un dispositif à sangle classique ou par moyens de type élastique, par exemple. Selon le mode de réalisation illustré, le prolongement inférieur (24) du support (20) présente deux gorges latérales (28a, 28b) avantageusement parallélépipédiques disposées en vis-à-vis et destinées à coopérer avec deux saillies latérales (29a, 29b) de forme complémentaire du profilé (17) de la plaque (12).

Bien entendu, la forme, la disposition et le nombre des saillies et des gorges assurant le coulissement pourraient être différents tant que la surface supérieure (19) du prolongement inférieur (24) coulisse en restant en dessous de la surface d'appui supérieure (18) du profilé (17).

On peut noter comme le montre la figure 7 que le support coulissant (20) et plus précisément son prolongement inférieur (24) présente une surface inférieure (69) située au dessus de l'extrémité inférieur (70) du rail de coulissement (12). De ce fait, lorsque la chaussure de l'utilisateur est en appui sur le rail de coulissement (12), lui-même en appui sur le tamis de la raquette proprement dit, le support coulissant (20) peut être déplacé le long du rail sans être gêné par le tamis ou par la chaussure.

Par ailleurs, la raquette de l'invention comprend une cale de montée (21) destinée à être placée sous la plaque (12) lorsque l'utilisateur progresse sur une pente inclinée. A cet effet, la partie arrière du tamis comprend au moins un rail central de coulissement (22) dont l'extrémité avant débouche sur un trou central (30) du tamis (2). La cale (21) comprend sa partie inférieure un logement de coulissement dont le profil transversal correspond au profil transversal du rail correspondant. Ainsi, l'engagement de la cale de montée (21) sur le rail correspondant ( se fait de l'avant vers l'arrière par introduction de la cale de montée (21) au niveau du trou central (30). Selon le mode de réalisation préféré de la raquette à neige (1), la cale de montée (21) est montée coulissante de manière réglable grace à des moyens de réglage longitudinaux pour pouvoir prendre de nombreuses positions possibles entre ses deux positions extrêmes en bout rail, comme le montrent les figures 9a à 9c. Les moyens de réglage peuvent être obtenus par un système de crémaillère crantée et dents complémentaires de la cale sollicitées par des moyens de blocage élastiques de manière à obtenir un réglage de type pas à pas. Ce de réglage peut également être obtenu de manière connu en soi par un système d'encoches par exemple Il va de soi que les moyens de réglage pourraient également être obtenus par coincement permettant ainsi un réglage de type continu de la position longitudinale de la cale de montée (21) sur son rail (22). Par ailleurs, la cale pourrait également être montée sur deux rails ou sur des rails possédant une forme différente, sans pour autant sortir du champ de protection de l'invention.

On peut noter que la longueur (L) du rail (22) est supérieure à 8 cm afin de permettre une variation importante de l'angle de butée arrière en autorisant le réglage de la cale (21) sur une longueur (L) importante. De plus, la cale de montée (21) peut comporter un saillie avant de blocage (71) destinée à coopérer avec la plaque pivotante (2) pour la maintenir dans une position donnée comme par exemple à plat sur le tamis tel qu'illustré figure 10a. Cette saillie s'étend avantageusement vers l'avant de la raquette et peut présenter un forme légèrement recourbée pour former un crochet par exemple.

Par ailleurs, on peut noter que la raquette à neige (1), et plus précisément son dispositif de retenue (10) à plaque articulée (12), présente des moyens de limitation de l'amplitude du pivotement entre la plaque articulée (12) et le tamis (2). Ces moyens de limitation (ML) sont avantageusement situés au niveau de l'articulation de la plaque (12) pour empêcher le basculement du tamis (2) au-delà d'un angle (A) sensiblement égal à 90 afin que l'arrière de la raquette ne puisse pas basculer vers l'avant en retournant le tamis lorsque l'utilisateur lève son pied pour marcher. Selon le mode de réalisation préféré, l'angle maximum de pivotement (A) illustré figure 10b autorisé par les moyens de limitation est avantageusement compris entre 70 et<B>90';</B> de plus, les moyens de limitation sont de type progressif ou élastique, comme le montrent les figures 11,12a et 12b, de manière à obtenir une butée dite souple ainsi que des moyens de rappel qui gèrent le pivotement de la plaque non une butée franche avec une plaque (12) entièrement libre en pivotement comme dans les raquettes de l'art antérieur. Les moyens de limitation (ML) sont par exemple, constitués par un ressort de torsion (31) dont une extrémité (31a) est solidaire du logement d'axe (32) du tamis ( et dont l'autre extrémité (31b) est positionnée sur le trajet d'une surface de butée (33) de l'axe d'articulation (13) qui s'étend latéralement depuis le prolongement avant (16) de la plaque (12). Ainsi, lors du pivotement de la plaque (12), la surface de butée (33) pivote et entre en contact avec l'extrémité (31b) du ressort (31) pour l'entraîner en rotation, à l'encontre de la force résistante développée par le ressort (31) lui-même jusqu'à ce que le ressort fasse office de butée. Il va de soi que le choix du ressort (31), le positionnement de la surface de butée (33) sur la portion d'axe (13a) qui s'étend de la plaque (12) et la fixation dudit ressort (31) dans le logement ( ) sont choisis et réglés en corrélation pour obtenir le meilleur compromis possible dans la souplesse des moyens de limitation et de butée et pour que la limitation du pivotement s'effectue entre 45 et 80 de manière élastique avant que le ressort joue le rôle de butée franche. Notons selon une construction particulière des moyens de limitation, la portion d'axe (13a) présente une partie avant qui vient pivoter à l'intérieur du ressort (31) qui est disposé dans le logement d'axe (32), tandis sa partie arrière présente un diamètre supérieur au diamètre externe du ressort et présente une découpe ou gorge qui forme la surface de butée (33).

Par ailleurs, on peut également noter que le tamis (2), et plus precisément sa structure (4), comporte des portions de paroi d'accroche (35a, 35b, 35c) disposées symétriquement par rapport au plan de symétrie longitudinal (P) de la raquette. Ces parois d'accroche (35a, 35b, 35c) s'étendent sensiblement verticalement sous la structure (4) et possèdent hauteur (h2) variable, comme le montre la figure 2, pour présenter un maximum dans leur zone centrale propre respective et pour diminuer vers l'avant et l'arrière. Il est important de noter que ces portions de parois sont au moins au nombre de deux et sont décalées l'une par rapport aux autres longitudinalement et transversalement pour former des parois indépendantes séparées qui forment en vue latérale une succession de vagues , tel qu'illustré figure 2.

Bien entendu, l'invention n'est pas limitée aux modes de réalisation décrits et représentés à titre d'exemples, mais elle comprend aussi tous les équivalents techniques ainsi que leurs combinaisons.

Claims (8)

<U>REVENDICATIONS</U>

1. Raquette à neige (1) du type comprenant un tamis (2) qui porte un dispositif de retenue (10) de la chaussure de l'utilisateur, caractérisée en ce que le tamis est constitué par une structure ou squelette (4) en forme de plaque ajourée sur laquelle viennent se fixer au moins un élement complémentaire (5) qui obstrue au moins partiellement les jours (25) de la structure (4).

2. Raquette à neige (1) selon la revendication 1, caractérisée en ce que les éléments complémentaires (5) sont fixés par surmoulage.

3. Raquette à neige (1) selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisée en ce que les éléments complémentaires (5) sont réalisés dans une matière (M1) différente de la matière (M2) dans laquelle est réalisée la structure (4).

4. Raquette à neige (1) selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisée en ce que les éléments complémentaires (5) occupent la partie latérale externe des jours (25) qu'ils obstruent partiellement.

5. Raquette à neige (1) selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisée en ce que le dispositif de retenue ( ) est constitué par une plaque pivotante (12) articulée sur le tamis (2) autour d'un axe transversal (13) et par des moyens de retenue avant (14) ainsi que des moyens de retenue arrière (15) qui sont disposés coulissants sur la plaque (12).

6. Raquette à neige (1) selon la revendication 5, caractérisée en ce que les moyens de retenue arrière sont formés par un support arrière coulissant ( ) dont le prolongement inférieur (24) est monté coulissant le long d'un profilé de coulissement (17) qui forme en partie la plaque articulée (12) et en ce que la coopération entre le profilé de coulissement (17) et le support (20) est telle que le dessous de l'extrémité arrière de la chaussure l'utilisateur ne prend appui ou ne porte que sur la surface supérieure (18) du profilé de coulissement (17) et non sur la surface supérieure (19) du support arrière coulissant (20) qui, par ailleurs, comprend paroi d'emboîtement de talon (23) pour constituer les moyens arrières de retenue.

7. Raquette à neige (1) selon la revendication 6, caractérisée en ce que la surface supérieure (19) du prolongement de coulissement (24) du support ( est située dans un plan horizontal (H) disposé en dessous du plan horizontal (Q) qui comprend la surface supérieure (18) du profilé (17) de la plaque articulée (12) sur laquelle la chaussure vient prendre appui.

8. Raquette à neige (1) selon la revendication 6 ou 7, caractérisée en ce que le prolongement inférieur (24) du support (20) présente deux gorges latérales (28a, 28b) qui coopèrent avec deux saillies (29a, 29b) de formes complémentaires du profilé (17). Raquette à neige (1) selon la revendication 5 et l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisée en ce qu'elle comprend une cale de montée (21) destinée à se positionner sous la plaque articulée (12), ladite cale (21) étant montée coulissante de manière réglable sur au moins un rail de coulissement (22). 10. Raquette à neige (1) selon la revendication 9, caractérisée en ce qu'elle comporte des moyens de réglage longitudinaux de la cale obtenus par un système de crémaillère crantée du rail (22) qui coopère avec des dents de blocage mobiles de la cale (21) ou par un système d'encoches. 11. Raquette à neige (1) selon la revendication et l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisée en ce qu'elle présente des moyens de limitation de l'amplitude du pivotement entre la plaque articulée (12) et le tamis (2). 12. Raquette à neige (1) selon la revendication 11, caracterisée en ce les moyens de limitation sont de type progressif ou élastiques. 13. Raquette à neige (1) selon la revendication 12, caractérisée en ce que les moyens de limitation sont constitués par un ressort de torsion (31) dont une extrémité (31a) est solidaire d'un logement d'axe (32) du tamis (2) et dont l'autre extrémité (31b) est positionnée sur le trajet de pivotement d'une surface de butée (33) d'une portion d'axe d'articulation (13) qui s'étend depuis la plaque articulée (12).