FR2782697A1 - Boite et flan destine a fabriquer cette boite - Google Patents

Abstract

L'invention concerne plus particulièrement une boîte repliée du type "archive". Dans la boîte, placées fixement en position dans la partie formant la section interne (I) de la boîte, sont installées des bandes séparatrices (51l et 51c) prévues pour définir un réseau cellulaires d'espaces dans la boîte une fois montée. Les bandes séparatrices sont des bandes occupant toute la hauteur de la boîte et fendues de manière à s'adapter mutuellement pour définir les réseau de cellules.Les bandes séparatrices (511 et 51 c) définissant, par exemple, un réseau cellulaire de 3x2 ou 4x3.

Description

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La présente invention concerne une boîte et, en particulier, une boîte en carton,

etc., faite en déployant ou montant un flan approprié qui a été découpé, plié et replié.

Les cartons ou boîtes que l'on peut monter du type que l'on appelle généralement "des boîtes en carton" (bien qu'en fait elles peuvent être en matériaux autres que du carton) sont de grande valeur dans l'industrie de l'emballage, car elles peuvent être préformées, puis emmagasinées à l'état non monté (à plat) en économisant de l'espace, n'étant qu'ouvertes (et généralement encore pliées avec des verrouillages) et

montées à l'état d'utilisation, immédiatement avant leurs utilisations réelles.

D'une manière classique, on fabrique cette boîte ou ce carton, à partir d'une feuille de matériau adéquat en un certain nombre de phases. D'abord, on découpe et on plie la feuille pour former ce qu'il est convenu d'appeler un "flan", les découpes et les plis marquant, à la fois, les parties concernées de la boîte - panneaux qui formeront le devant, l'arrière et les parois latérales de la boite, ses surfaces haute et basse, ainsi que tous les volets, les languettes et les fentes, et ainsi donnent au flan la forme qui définira la boîte formée à partir d'eux - et donc sont tels qu'ils permettent de plier la feuille, en principe plate, de façon à pouvoir construire la boîte tridimensionnelle désirée. On peut avoir un flan du type "base", avec un panneau central (pour former le fond de la boîte) comportant des prolongements de panneaux formant des parois et un dessus, qui l'encadrent, ou on peut avoir un flan du type "périphérique", avec une série de panneaux situés côte à côte (pour former les parois de la boite) comportant des panneaux de base et de dessus, qui en partent. Habituellement, une structure "périphérique" demande qu'une partie en forme de volet du flan soit fixée, en permanence, - par de la colle ou des agrafes, par exemple - à une autre partie (habituellement, une des zones du flan définissant une paroi de la boîte); la phase suivante consiste, alors, à effectuer cette fixation, et le flan est prévu, avec commodité, de façon que cela puisse être fait avec seulement un seul pli du flan et de telle manière que ce qui est formé est une version "écrasée", plate et facilement stockable, de la boîte (à proprement parlé, cette "préforme" repliée et fixée est mieux décrite par une version "non déployée", mais, dans la technique, ces préformes sont classiquement appelées "écrasées"). Finalement, quand il faut l'utiliser, le flan, replié et fixé, est ouvert, puis encore plié (le long des plis prévus) de façon à déplacer et à mettre les diverses parties de paroi, de dessus et de fond dans

les positions de la boîte qui leur sont assignées.

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Deux exemples pratiques d'une telle boîte sont celui qui est connu comme le Code de Cas 0714 de l'International Fibreboard (adopté par FEFCO et ASSCO) et celui qui est diversement connu (en Amérique) comme boîte "Page 'Miracle"' (car c'est un "miracle" de technique d'emballage) et comme boîte "archive" (car on l'utilise surtout pour archiver - stockage à long terme - des dossiers de bureau, etc). On a montré des dessins de ces flans dans les Figs. 1A et 2A (Les Figs. lB et 2B montrent

respectivement les boîtes montées à partir de ces flans) des dessins joints. Ces dessins -

et les flans et les boîtes qui sont formés avec eux - font l'objet ciaprès de descriptions

détaillées. C'est peut être le moment de noter que la boîte de la Fig. 1 se monte à partir d'un flan qui, à l'état écrasé, a ses parties plancher/base repliées vers le haut pour se poser contre ses surfaces internes de paroi et, déployées, ces parties sont amenées à retomber en place, en passant - comme elles le font - à travers le volume qui forme l'intérieur de la boîte. Ce flan et cette boîte sont très communs. Par contraste, la boîte "archive" de la Fig. 2 est faite à partir d'un type de flan, en comparaison peu commun, qui, à l'état écrasé, a ses parties plancher/base qui vont vers le bas pour s'écarter de ses surfaces internes de paroi, et déployées, ces parties montent poussées en place,

mouvements qui ne nécessitent pas qu'elles passent dans le volume intérieur de la boîte.

La boîte de cette Fig. 2, qui a été en vogue aux Etats-Unis dans les années 70, ne semble plus l'être o que ce soit, en usage récent, présente une variété particulièrement intéressante en ce que son montage - comme on le verra ci-après - implique de pousser une sous- section en forme de boîte vers le bas en une seconde, et ainsi de convertir le flan en une boite à double paroi et double base qui possède non seulement une résistance et une rigidité importantes (grâce à sa nature à doublure) mais aussi ses surfaces internes et externes (car elles proviennent toutes deux de ce qui était à l'origine

la même surface du flan).

Beaucoup des conteneurs disponibles en forme de boîtes sont des conteneurs à plusieurs usages, et un tel usage particulier est celui de transporter des bouteilles, usage pour lequel aurait une valeur particulière une boîte à double peau du type "archive" mentionné ci- dessus, étant donné sa résistance inhérente (bien qu'en général de telles boîtes ne semblent pas être utilisées pour porter des bouteilles). Les bouteilles peuvent avoir des dimensions allant des bouteilles de bière de 250 ml à celles de vin de 75 cl jusqu'à celles de boisson non alcoolisée, rangées dans des réseaux réguliers de deux, quatre, six, huit, neuf, douze, dix, douze, vingt-quatre, et plus (généralement en groupes de 2xl, 2x2, 3x2, 4x2, 3x3, 5x2, 4x3, 5x3, 6x4, etc.). Quand la boîte est en fait utilisée pour ce type d'usage, il convient alors de la munir de diviseurs intérieurs d'espace - des bandes de carte fendues qui s'adaptent ensemble pour faire un réseau convenable de cellules rectangulaires dont chacune reçoit une bouteille - et ainsi

empêcher les bouteilles de se cogner in situ dans la boîte.

Quand on fait maintenant une boîte utilisant des bandes séparatrices, il est clair que la boîte peut d'abord être déployée pour former une boîte vide et qu'ensuite le réseau cellulaire d'espaceurs peut être assemblé et placé à l'intérieur de la boîte. Il y

aurait avantage pourtant que le réseau de bandes séparatrices soit prévu, à la fois pré-

assemblé et pré-positionné, dans la boîte - si bien que la simple action de déployer la

boîte ouvrirait le réseau et le ferait se déployer en étant correctement positionné dedans.

C'est ce problème que la présente invention cherche à résoudre.

A première vue, il pourrait être relativement facile d'atteindre ce que l'on déclare souhaitable, mais, si on réfléchit un peu, il n'en est rien. La difficulté provient de la manière dont sont formées les boîtes - la façon dont elles sont pliées à plat dans leur état replié et la façon dont elles doivent ensuite être dépliées quand on les monte pour terminer la boîte. La plupart des boîtes sont du type général de celui montré à la Fig. 1; leurs fonds et/ou leurs parties supérieures sont, à l'état replié, entre les parois de la boîte et, quand on monte la boîte, ces parties doivent monter et/ou descendre, prenant leurs positions hautes/basses finales en passant dans l'espace vide formant le volume de la boîte. Evidemment, si cet espace vide est, ou était, "rempli" de bandes séparatrices du diviseur, on aurait des difficultés - en fait des impossibilités - à déplacer les parties hautes/basses en leur faisant quitter leurs positions repliées et rangées pour les amener à leurs positions complètement déployées. La suggestion évoquée par la présente invention, consiste à abandonner l'usage du type de boîte de la Fig. 1 et d'utiliser à sa place les boîtes du type "archive" de la Fig. 2 o, vu la façon dont on a l'intention de les monter (en leur donnant une structure de double peau), à l'état replié, les parties hautes/basses sont à l'extérieur au lieu d'être entre les parois, et, quand on monte la boite, ces parties hautes/basses se plient et viennent en position sans passer dans l'espace intérieur de la boîte. Ainsi, on peut mettre les bandes séparatrices du diviseur en position dans la boite replié, et l'espace intérieur sera libéré de la présence des parties

hautes/basses quand ces dernières prendront position pendant la séquence de dépliage.

Donc, suivant une caractéristique de la présente invention, il est prévu une boîte repliée du type "archive" et, avec celle-ci, une boîte déployée dans laquelle, fixement positionnées dans la partie qui forme la section interne de la boîte, des bandes séparatrices vont définir un réseau cellulaire d'espaces dans la boîte déployée. L'invention prévoit une boîte - boîte repliée ou boîte déployée - du type "archive". Par cela, on veut dire que la boîte n'a pas besoin d'être une boîte "archive" particulière, mais qu'elle est d'un type très général. Pour une telle boîte, le flan est habituellement, dans sa forme générale, un rectangle allongé qui comporte, le long d'un de ses grands côtés, les parties (ou panneaux) qui forment les quatre surfaces latérales de parois (les deux bouts et les côtés gauche et droit) de la section interne et, le long de l'autre grand côté, les parties (ou panneaux) qui forment les quatre surfaces latérales de parois de la section externe, ces deux ensembles de quatre parties ou panneaux étant joints par un ensemble d'adaptation de quatre paires (deux jeux de quatre) de parties trapézoïdales de "parement" (chaque paire étant montée avec les petites bases le long d'une ligne confondue avec le plus long axe central du flan et les grandes bases voisines du côté proche), ces parties trapézoïdales se repliant en accordéon, d'une manière bloquée, pour former les fonds des sections de boîte, interne et externe. Un exemple d'un tel flan est montré à la Fig. 2A. La boîte peut être munie d'un ou de plusieurs rabats de fermeture, ceux-ci dépassant d'une manière appropriée avec les longueurs appropriées du bord "libre" des panneaux formant les quatre parois latérales de la

section externe.

Evidemment, la boîte - et donc le flan - peut avoir des dimensions quelconques qui conviennent. Pour porter une douzaine de bouteilles de vin de Bordeaux ou de Bourgogne, ou des bouteilles d'alcool, dans un réseau cellulaire de 4x3, les dimensions qui conviennent, pour la boîte déployée, sont grossièrement 31x24x30 cm, ce qui

correspond à ces cellules individuelles d'environ 7,5x7,5 cm.

Fixées et positionnées dans la partie formant la section interne de la boîte, sont placées des bandes séparatrices de diviseur qui définissent qui divisent l'intérieur de la boîte déployée en - un réseau cellulaire d'espaces. Les bandes séparatrices peuvent avoir une hauteur quelconque, mais seront pratiquement des bandes de carton classiques couvrant partiellement ou totalement la hauteur des bouteilles, les bandes de carton

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étant fendues pour leur permettre de s'adapter les unes aux autres et définir le réseau voulu de cellules. Un réseau de 4x3 cellules est donc défini par deux longues bandes (dans la direction "4") et trois courtes bandes (dans la direction transversale "3"). Les bandes peuvent être placées "fixement" de toute manière appropriée - On préfère munir, à chaque bout, certaines des bandes de volets qui, à l'usage, viennent au raz des surfaces internes correspondantes de parois perpendiculaires de la section interne de boîte et qui peuvent être fixées à celles-ci (la colle étant la méthode de fixation préférée, en utilisant, si possible, une colle de contact qui les tient directement quand le flan de la boîte est assemblé sous sa forme repliée, mais on peut aussi utiliser l'agrafage). Savoir lesquelles des bandes sont munies de volets n'a que peu d'intérêt ce peut être soit les longues bandes, soit les courtes, soit les deux types - pour autant que des bandes, en

nombre suffisant, soient munies de volets et rendent le réseau stable.

La boîte de l'invention peut être faite à partir d'une feuille de toute matière appropriée (pratiquement, une boîte en fibres, comme un carton ou une boîte simple ou ondulé, fin ou épais faite à partir de fibres de cellulose naturelle, ou même une matière entièrement ou partiellement synthétique, telle qu'un plastique, comme du polythène ou du polystyrène, ou revêtu de carton en fibres). Les bandes séparatrices peuvent, de même, être faites à partir d'une feuille de toute matière appropriée (n'ayant pas à résister à une contrainte importante, la matière des bandes peut être plus légère, plus fine et moins forte que celle de la boîte). Tout cela est bien connu dans la technique et ne

demande aucun autre commentaire.

Il peut être bon, maintenant, de noter qu'il est courant de faire un flan en coupant, traçant ou marquant la feuille plate de matière (avec une "forme") à partir de laquelle est formée la boîte, cela étant fait afin que l'on puisse alors plier le flan, puis le déplier en une boîte. Afin d'aider l'interprétation des Figures qui vont être discutées, les plis montrés sous forme de tirets mixtes se plient, contrairement aux lignes sous forme

de traits tirets.

On va maintenant décrire un exemple de réalisation de l'invention, à titre d'illustration, en se référant aux dessins joints, parmi lesquels: les Figs. IA et IB montrent respectivement le flan pour le type de boîte connu comme le cas de boîte de fibres internationale portant le numéro de code 0714; et (vu sous forme transparente) la boite déployée;

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les Figs. 2A et 2B montrent respectivement le flan pour le type de boite que l'on appelle ici le type "archive"; et (vu sous forme transparente) la boîte correspondant déployée (c'est le type qui est utilisé dans la présente invention); la Fig. 3 montre la boîte de la Fig. 2B partiellement déployée; les Figs. 4A à 4C montrent, en coupe (suivant le plan IV-IV de la Fig. 3) trois étapes dans le montage de la boîte partiellement déployée de la Fig. 3; les Figs. 5A et 5B montrent respectivement la boîte montée de la Fig. 2B, des bandes séparatrices étant ajoutées suivant la présente invention, d'abord en perspective (vu par dessus et d'un côté), puis directement par dessus (une vue en plan); les Figs. 6A à 6E montrent la série des opérations qui sont nécessaires pour

construire la boîte, suivant l'invention, de la Fig. 5A.

Le flan de la Fig. I1A n'a d'intérêt que pour les volets 11 qui, dans la boîte montée, Fig. lB, forment la base de celle-ci. A l'état replié du flan (non montré séparément), ces volets 11 sont pliés entre les parois latérales 12 de la boîte et, au fur et à mesure du montage, ils tombent en place dans ce qui commence à devenir le volume interne de la boite. Evidemment, si cet espace était déjà occupé par un jeu (ne se dépliant pas) de bandes séparatrices, les volets ne pourraient pas se déployer et tomber à leur place, et la boîte ne pourrait pas être montée correctement. En conséquence, avec ce type de boîte, toute bande séparatrice à utiliser doit être positionnée après avoir

monter la boite; elles ne peuvent être placées d'une manière fixe dans la version repliée.

Au contraire, le flan de la Fig. 2A et la boîte de le Fig. 2B sont du type général sur lequel se base la présente invention. C'est une boîte à double peau ayant une section interne I et une section externe E. Comme on peut le voir, le flan est un rectangle allongé et comporte, le long d'un de ses grands côtés, des parties ou panneaux la à 1l d qui forment les quatre surfaces des parois latérales (les deux bouts et les côtés gauche et droit) sur la section interne I, et, le long de l'autre grand coté, des parties ou panneaux 12a à 12d qui forment les quatre surfaces des parois latérales de la section externe E, les deux jeux de quatre panneaux 1 la à 1 ld ou 12a à 12d étant reliés par un jeu d'adaptation de quatre paires (deux jeux de quatre: 111 a à 1 l d, 112a à 112d) de parties trapézodicâres 'de fond" fchaq, paire - 1l la/ 12a, 1l l 1b/1 12b, etc. étant assemblée par ses petites bases le long d'une ligne 15 qui est l'axe longitudinal central du flan, les grandes bases étant adjacentes aux panneaux correspondants, les parties

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trapézoïdales de pliant en accordéon (non montré) d'une manière combinée, pour former les fonds des sections interne I et externe E de la boîte, comme le montrent les parties trapézoïdales 11 la à 1l lId de la Fig. 2B. Dans un exemple de réalisation (non montré) qui comporte un ou plusieurs volets de fermeture, ceux-ci partiraient des bords "libres" (le bord du bas) des panneaux 12a à 12d. A l'état monté, les parois sont maintenues par le volet principal 16 qui est collé à

1 2d, le volet 16 partant vers la gauche, en regardant la Fig. 2A, du panneau 12a.

Les Figs. 3 et 4a à 4c montrent schématiquement comment se monte la boîte à double peau de la Fig. 2B. A partir de sa forme repliée (voir ci- après la Fig. SB), on ouvre vers l'extérieur pour avoir la forme de la Fig. 3, dans laquelle la boîte interne I se place "au-dessus" de la boîte externe E, supportée par quatre paires de parties trapézoïdales 11 la, 112a, etc., puis la boîte interne I est simplement descendue dans la boîte externe E, les parties trapézoïdales se pliant en accordéon, de manière concertée,

pour former la base de la boîte.

Les Figs. 5A et 5B montrent une boîte à double peau du même type qu'à la Fig. 2B, mais munie de bandes séparatrices 51, occupant toute la hauteur, qui sont placées de manière fixe. Ce sont deux bandes longues 511 et trois bandes transversales Slc; à chacun de leurs bouts, chacune des deux bandes longues 511 est munie d'un volet court 52, qui vient à plat contre la surface interne de la paroi correspondante I lb ou 1 Id de la boîte et qui lui est fixé par de la colle. Les bandes transversales 51c atteignent les parois entre lesquelles elles sont placées et peuvent les toucher, mais ne leur sont pas fixées. La Fig. SA montre la boîte sous sa forme entièrement déployée; la vue en plan de la Fig. 5B montre à quoi elle ressemble pour l'essentiel dans sa forme repliée. A la Fig. 5B, elle est, en fait, un peu "ouverte" pour montrer les bandes séparatrices 511 et 51c. Enfin, la série des Figs. 6A à 6E montrent comment le flan de la Fig. 2A est plié

et muni de bandes séparatrices pour former le flan replié de l'invention.

Comme on peut le voir, le flan de la Fig. 6A, qui est le même que celui de la Fig. 2A, est un rectangle allongé et a, le long d'un de ses grands côtés, les parties ou panneaux 1 la, I lb, 1 ic et 1 ld qui forment quatre surfaces latérales de côtés, les deux bouts et les côtés gauche et droit, de la section interne et, le long de l'autre grand côté,

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les parties ou panneaux 12a, 12b, 12c et 12d qui forment les quatre surfaces latérales de côtés de la section externe, ces deux ensembles de quatre panneaux étant reliés par un ensemble d'adaptation de quatre paires, deux ensemble de quatre parties trapézoïdales 111 la à 11 1d et 112a à 12d qui se font mutuellement face, chaque paire 111 la et 112a, 11 lb et 112b, etc., étant montées reliées par leurs petites bases sur la ligne 15 qui est l'axe longitudinal central eu flan, les grandes bases étant adjacentes à leurs panneaux correspondants. Les grandes bases de trapèzes 12a à 112d sont sur la même ligne de pli 61. La première phase consiste à plier les panneaux 12a à 12d sous les trapèzes 112a à 112d, comme le montre la Fig. 6B, le long de la ligne 61. En fabrication réelle, les panneaux 1 la à 1 ld, les trapèzes 111 a à 1 11 d et 112a à 112d sont normalement pliés par dessus

et la boîte est formée en état "inversé".

Ensuite, l'ensemble de bandes séparatrices repliées est mis en position le long des parois 1 lb et 11 c, qui vont devenir une partie de la section interne, et les volets d'extrémité 52 sont collés à la surface interne 1 lb. C'est ce que montre la Fig. 6C. En regardant la Fig. 6C, la partie droite du flan, c'est-à-dire les parties d'indice "d", est alors pliée par dessus et est collée à l'autre volet de bande 52, pour prendre l'état de la

Fig. 6D. Enfin, toujours en regardant les Figs. 6D et 6E, la partie gauche du flan, c'est-

a-dire les quatre parties d'indice "a", sont repliées sur les bandes et le volet principal 16 est collé sur place sur la surface externe de la paroi 12d. On a alors l'état complètement

replié de la boîte de l'invention, ce que montre la Fig. 6E.

Monter la boîte revient exactement à monter la boîte plus classique de la Fig. 2B, comme le montrent les Figs. 3 et 4A à 4C. La boîte est ouverte en partant de l'état de la Fig. 6E, en passant par l'état, partiellement monté de la Fig. 5B, à l'état "ouvert" de la Fig. 3. La section interne est alors simplement descendue dans la section externe des Figs 4A à 4C, les parties trapézoïdales s'enfonçant pour former la base double peau,

comme cela se fait.

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Claims (4)

Revendications

1) Boîte repliée du type "archive", caractérisée en ce que, placées fixement en position dans la partie formant la section interne (I) de la boîte, sont installées des bandes séparatrices (511 et 51c) prévues pour définir un réseau cellulaires d'espaces

dans la boîte une fois montée.

2) Boîte suivant la revendication 1, caractérisée en ce qu'elle comprend des

bandes séparatrices (511 et 51c) définissant un réseau cellulaire de 3x2 ou 4x3.

3) Boîte suivant la revendication I ou 2, caractérisée en ce que les bandes séparatrices (511 et 51c) sont des bandes occupant toute la hauteur de la boîte et

fendues de manière à s'adapter mutuellement pour définir les réseau de cellules.

4) Boîte suivant l'une des revendications précédentes, caractérisée en ce que les

bandes séparatrices (511 et 51c) sont placées fixement, certaines d'entre elles étant munies de volets (52), à chaque bout, qui viennent affleurer les surfaces de parois

internes (1 lb et 1 ld) perpendiculaires correspondantes.

) Boîte suivant la revendication 4, caractérisée en ce que les bandes

séparatrices (511 et 51 c) sont collées aux surfaces de parois internes correspondantes.