FR2774971A1 - Systeme formant palette pour le support et la fixation de charges - Google Patents

Abstract

Le système comprend un châssis inférieur (1) et un châssis supérieur (2) formés par des éléments tubulaires métalliques soudés entre eux.Le châssis inférieur présente un cadre supérieur (4) avec des profilés d'angle (5) et un cadre inférieur (6) avec des entretoises (7) unies au moyen de tôles (11) et de pattes (12).Le châssis (2) comprend un cadre périphérique (14) pourvu d'ergots et de proéminences (18) pour le centrage et la fixation optionnelle de séparateurs, des échancrures (16) pour le passage de feuillards et des taquets en caoutchouc (17) pour s'appuyer sur la charge.

Description

OBJET DE L'INVENTION
La présente invention se rapporte, comme son titre l'indique, a un système formant palette pour le support et la fixation de charges, lequel comprend un châssis inférieur, constituant une palette, et un châssis supérieur destiné à se positionner sur la charge.

ANTÉCÉDENTS DE L'INVENTION
À l'heure actuelle, c'est une pratique habituelle d'utiliser des palettes comme éléments de support des charges, vu qu'elles permettent l'élévation et le transport de cellesci au moyen de chariots élévateurs, de transpalettes et d'autres appareils élévateurs.

Les palettes connues actuellement sont formées, soit par des longerons et des entretoises en bois cloués, soit par une structure métallique avec une tôle supérieure qui tient lieu de plate-forme pour le positionnement de la charge ou bien par un corps en plastique qui est moulé sur une âme métallique chargée de lui conférer la résistance nécessaire pour supporter la charge.

Les palettes en bois, qui sont les plus utilisées, en plus de présenter un poids (de quelque 25 kg) qui en complique la manutention manuelle, ont une basse résistance, raison pour laquelle, en recevant certains impacts, elles se brisent, les éclats de bois représentant ainsi un risque, tant pour l'ouvrier qui les manipule, que pour la charge elle-même.

Les palettes métalliques que l'on connaît, quoiqu'elles aient un poids légèrement inférieur à celui des palettes en bois, se déforment aussi avec une certaine facilité et, selon leur modèle, elles peuvent supporter une charge dynamique maximum de quelque 1.500 kg, ce qui s'avère insuffisant pour le transport de certains produits.

La fabrication des palettes en plastique à âme métallique est coûteuse et requiert l'utilisation de moules qui sont chers, ce qui représente, ce qui a une répercussion sur leur prix final., leur utilisation s'en trouvant reléguée à des domaines spécifiques qui exigent certaines conditions hygiéniques ou environnementales, telles que la pharmacie, les chambres frigorifiques, etc.; ces palettes étant obtenues par moulage, elles ne permettent pas non plus une adaptation dimensionnelle aux besoins du client, ce qui exigerait de disposer de moules de mesures différentes et entraînerait un investissement fort important.

En plus des problèmes spécifiques mentionnés, en raison de leur configuration structurelle, toutes ces palettes présentent une série de conditionnements pour leur emploi tels que le fait de ne pouvoir recevoir la fourche du chariot élévateur que par deux de leurs côtés et non par les quatre, ou l'impossibilité d'être déplacées au moyen de transporteurs à rouleaux, vu que les entretoises inférieures s introduisent entre les rouleaux eux-mêmes, les palettes s'en trouvant bloquées.

Un autre des problèmes qui se posent c'est que l'on ne dispose pas de moyens d'emboîtement permettant un empilement stable, raison pour laquelle, au cours du transport de retour, elles sont soumises à des coups qui en réduisent la vie utile.

L'immobilisation des charges sur les palettes se réalise habituellement au moyen de lames en plastique qui s'enroulent ou se rétrécissent sur cellesci, de sorte que les éléments qui constituent la charge demeurent groupés.

En plus de constituer un problème environnemental important, vu que les lames en plastique sont déchirées pour extraire les produits et ne sont pas réutilisables, cette fixation s'avère insuffisante dans un nombre élevé de cas, tout spécialement lorsque les éléments mentionnés peuvent aisément se déplacer vers les côtés, soit parce qu'ils possèdent un bas coefficient de frottement, soit parce que leurs surfaces de contact sont irrégulières ou ont des dimensions réduites, ce qui les rend encore plus instables.

DESCRIPTION DE L'INVENTION
Afin de résoudre les problèmes posés, on a conçu le système pour le support et la fixation de charges qui fait l'objet de l'invention, lequel comprend un châssis inférieur, lequel constitue une palette sur lequel on placera la charge et un châssis supérieur destiné à être disposé au-dessus de la charge, les châssis mentionnés étant formés à partir d'éléments tubulaires métalliques unis par soudure.

Conformément à l'invention, le châssis inférieur ou palette comprend un cadre supérieur dont l'espace intérieur se trouve divisé par des profilés d'angle qui définissent des zones indépendantes ayant la même résistance, un cadre inférieur qui présente des entretoises perpendiculaires et des éléments intermédiaires fixés aux cadres mentionnés.

Une des particularités de construction de cette palette réside dans le fait que les entretoises du cadre inférieur présentent, en leur zone du milieu une légère courbure ou contre-flèche vers la zone supérieure, ce qui détermine que le contact de la palette vide avec le sol se réalise au moyen du cadre inférieur et non au moyen de la zone centrale des entretoises, ce qui en faciliterait la rotation involontaire.

On a prévu que le cadre supérieur présente latéralement des parties en retrait destinées à permettre la détection de la position de la palette par des robots ou d'autres équipements automatisés pouvant être utilisés pour le transport et/ou la manutention de la charge.

Tant le cadre supérieur que les angles qui divisent son espace intérieur présentent sur le côté inférieur des échancrures qui constituent des zones pour le passage de feuillards. Ces feuillards, se trouvant dans une position enfoncée (en retrait) par rapport à la surface inférieure de ce cadre, ne peuvent pas être détériorés ou cassés par les fourches des chariots élévateurs ou autres appareils similaires.

Les profilés d'angle qui divisent l'espace intérieur du cadre supérieur se trouvent disposés de façon symétrique et avec leurs extrémités unies à des points proches à la zone médiane de côtés consécutifs de ce cadre laissant entre eux un creux en forme de croix.

Afin de permettre un empilement stable des palettes vides, les profilés d'angle en question présentent à leurs extrémités des parties légèrement plus basses ou abaissements supérieurs formant un siège en correspondance avec le cadre inférieur de la palette; ces sièges fournissent une réduction de la hauteur totale des palettes empilées, ce qui permet une meilleure utilisation de l'espace disponible pour leur transport.

Le creux en forme de croix défini entre les profilés d'angle solidaires du cadre supérieur coïncide avec la projection verticale des entretoises associées au cadre inférieur, de sorte que, lors de l'empilement des palettes vides, les entretoises se trouvent positionnées à l'intérieur du creux, assurant ainsi une plus grande stabilité à l'ensemble.

Le cadre supérieur et les profilés d'angle intérieurs définissent, dans la zone supérieure de la palette, quatre quadrants à résistance égale, les sommets des profilés d'angle se faisant face se trouvant fixés entre eux au moyen de renforts à la façon d'un arc, lesquels s'appuient à leur tour et se trouvent fixés par leur zone centrale sur le point médian des entretoises solidaires du cadre inférieur.

Les éléments intermédiaires mentionnés plus haut, chargés de mettre en rapport les cadres supérieur et inférieur, sont composés par des tôles courbes fixées à leurs coins et par des pattes qui unissent la zone inférieure des abaissements définis dans les profilés d'angle associés au cadre supérieur avec la zone médiane du flanc correspondant au cadre inférieur; ces éléments, en raison de la moindre superficie du cadre inférieur sont disposés d'une façon légèrement inclinée et convergent vers la zone inférieure de la palette, augmentant considérablement la résistance de celleci, à tel point que la palette, avec un poids non supérieur à 17 kg, peut supporter des charges statiques de quelque 8.500 kg et dynamiques de 4.000 kg à 5.000 kg sans subir de déformations permanentes.

Une autre particularité de l'invention c'est que les flancs du cadre inférieur présentent leur zone médiane enfoncée vers la zone centrale de la palette de sorte que la palette peut être déplacée par des transporteurs à rouleaux, vu que la configuration de ces flancs empêche qu'ils puissent s'introduire entre les rouleaux et que la palette s'en trouve bloquée.

Conformément à l'invention, la palette présente sur chacun de ses flancs deux creux d'une ampleur suffisante pour permettre l'entrée de la fourche des chariots élévateurs et des transpalettes, ce qui permet qu'elle soit ramassée par n'importe lequel de ses flancs et non seulement par deux d'entre eux comme c'est le cas des palettes actuelles. Ces flancs présentent en leur milieu un troisième creux compris entre les pattes qui unissent les cadres supérieur et inférieur de la palette, le creux en question présentant un espace suffisant pour le passage des navettes utilisées dans les feuillardeuses automatiques et permettant par conséquent le cerclage central de l'ensemble formé par la palette, la charge et le couvercle ou châssis supérieur.

Le châssis supérieur, destiné à être placé sur la charge, comprend un cadre périphérique aux dimensions sensiblement égales à celles du cadre supérieur de la palette et présente sur chacun de ses coins un tirant dont les extrémités se fixent aux deux flancs latéraux qui convergent sur le coin correspondant.

Ces tirants, en plus d'être des éléments assurant la rigidité, constituent un appui pour le cadre inférieur d'une palette au cas où celle-ci serait placée sur le châssis supérieur.

Le cadre du châssis supérieur présente, en outre, sur la face intérieure du flanc latéral des proéminences qui constituent des moyens de centrage des séparateurs qui, dans certains cas, sont situés entre les couches successives de matériel constituant la charge.

On a également prévu que les proéminences mentionnées présentent, près de leur extrémité inférieure, des ergots pour la fixation éventuelle d'un de ces séparateurs qui se situera entre les ergots en question et les tirants des coins; ce séparateur, conjointement avec le cadre, agira comme couvercle de la charge.

Ce cadre presente, sur le haut du flanc latéral, des échancrures qui constituent des zones de passage pour les feuillards de fixation de la charge et, sur le bas du flanc latéral, des taquets en caoutchouc pouvant tenir lieu de moyens d'appui du cadre sur la charge.

DESCRIPTION DES DESSINS
Pour compléter la description réalisée et pour contribuer à une meilleure compréhension des caractéristiques de l'invention, on joint à ce mémoire descriptif comme partie intégrante de celui-ci un jeu de dessins où, à titre illustratif et non limitatif, on a représenté ce qui suit.

- La figure 1 montre une vue en perspective du châssis inférieur qui
constitue la palette et du châssis supérieur qui constitue le couvercle,
tous deux étant alignés verticalement.

- La figure 2 montre une vue de côté de la palette ou châssis inférieur.

- La figure 3 montre une vue en plan de la palette ou châssis inférieur.

- La figure 4 montre une vue de côté du couvercle ou châssis supérieur.

- La figure 5 montre une vue en plan par dessous de ce couvercle.

- La figure 6 montre une vue en plan d'un exemple de réalisation d'un
séparateur conventionnel afin d'expliquer le caractère fonctionnel des
centreurs et d'autres éléments définis dans le couvercle supérieur.

RÉALISATION PRÉFÉRENTIELLE DE L'INVENTION
Comme on peut l'observer sur les figures citées, le système qui fait l'objet de Invention comprend un châssis inférieur ou palette (1), destiné à supporter la charge et un châssis supérieur ou couvercle (2) pourvu de moyens permettant de le mettre en rapport avec un des séparateurs conventionnels (3) que l'on dispose actuellement entre les couches successives qui constituent la charge.

Le châssis (1) se compose d'un cadre supérieur (4), divisé par des profilés d'angle (5) solidaires de lui, d'un cadre inférieur (6) et d'une série d'éléments intermédiaires qui les mettent en rapport entre eux..

Le cadre inférieur (6) présente en son centre des entretoises perpendiculaires (7) qui unissent les points médians des flancs qui s'opposent et qui définissent, en leur zone centrale, une contre-flèche, comme on peut le voir sur la figure 2.

Le cadre supérieur (4) présente, sur deux de ses flancs des parties en retrait ou entrants périphériques (8) destinés à permettre la détection de la palette par les manipulateurs robotisés.

Tant le cadre supérieur (4) que les profilés d'angle (5) définissent sur leur surface inférieure des échancrures (9) pour le passage de feuillards.

Entre les profilés d'angle (5), il reste un espace libre (5a) en forme de croix, coïncidant avec la projection verticale des entretoises (7) en vue de faciliter l'empilement des palettes (1) vides.

Les profilés d'angle (5) présentent, en leurs extrémités, des parties légèrement abaissées ou abaissements supérieurs (5b) qui constituent un siège pour le placement du cadre inférieur d'une deuxième palette, au cas où les palettes seraient empilées.

Les sommets des profilés d'angle (5) opposés se trouvent unis au moyen de renforcements (10) à la façon d'arcs, renforcements qui sont soudés à leur tour par leur zone centrale aux entretoises (7).

Les éléments intermédiaires qui maintiennent l'union des cadres supérieur (4) et inférieur (6) sont les tôles courbes (11) fixées à leurs coins et les pattes (12) qui unissent la zone médiane des flancs du cadre inférieur (6) à la zone inférieure des rabaissements (5a) des profilés d'angle (5).

Les flancs du cadre inférieur (6) présentent leur zone médiane enfoncée vers la zone centrale de la palette (1) afin de permettre le déplacement de celle-ci au moyen de transporteurs à rouleaux.

La palette (1) présente, sur chacun de ses flancs, deux creux (13) qui permettent l'introduction de la fourche d'un chariot ou d'un autre appareil élévateur par n'importe lequel de ces flancs.

Le châssis supérieur (7) se compose d'un cadre périphérique (14) pourvu de tirants (15) en ses coins; ce cadre (14) présente, en outre, des tirants (16) pour le passage de feuillards et, sur le flanc inférieur, des taquets en caoutchouc (17) qui constituent éventuellement les moyens d'appui du cadre sur la charge.

Le cadre (14) présente, sur l'intérieur de son flanc, des proéminences (18) qui constituent des moyens pour le centrage des séparateurs conventionnels (3) que l'on peut empiler sur le cadre (14) quand on ne les utilise pas.

Les proéminences (18) présentent des ergots (19) qui permettent l'association avec le châssis supérieur de n'importe lequel des séparateurs (3) agissant, conjointement avec le cadre, comme couvercle de la charge.

Comme on l'observe sur la figure 6, ces séparateurs (3) présentent en leur périphérie des abaissements (20) complémentaires des proéminences (18) du cadre supérieur (14), ce qui permet le centrage des séparateurs éventuels empilés sur le cadre (14).

Vu que les séparateurs (3) sont habituellement formés en une matière flexible, pour fixer n'importe lequel d'entre eux au cadre (14), il suffira de le plier légèrement pour dépasser les ergots (19) et de le libérer ultérieurement pour qu'il récupère sa forme habituelle et reste immobilisé entre les ergots (19) et les tirants (15).

Les séparateurs (3) peuvent présenter, chose habituelle, des reliefs (21) aux formes adéquates pour en permettre l'ajustage avec les bases supérieure et inférieure des produits constituant la charge.

Comme il ressort de ce qui a été exposé plus haut, la charge en question se situera entre la palette (1) et le couvercle ou châssis supérieur (2) et sera fixée ultérieurement au moyen de feuillards disposés en coïncidence avec les abaissements (9) de la palette (1) et les rabaissements (16) du cadre (14), indépendamment de l'inclusion ou non des séparateurs (3).

On ne considère pas nécessaires d'étendre davantage cette description pour que n'importe quel expert en la matière comprenne la portée de l'invention et les avantages qui en découlent.

Les termes dans lesquels ce mémoire a été rédigé devront être pris dans un sens vaste et non limitatif.

Les matériaux, la forme, les dimensions et la disposition des éléments seront susceptibles d'être modifiés par l'homme de l'art.

Claims (6)

1. REVENDICATIONS 1. Système pour le support et la fixation de charges, caractérisé par le fait qu'il comprend un châssis inférieur (1) constituant une palette sur lequel on placera la charge et un châssis supérieur (2) destiné à être placé sur la charge, les châssis en question étant formés à partir d'éléments tubulaires métalliques soudés entre eux; le châssis inférieur (1) comprend un cadre supérieur (4) dont l'espace intérieur se trouve divisé par des profilés d'angle (5) solidaires de celui-ci, un cadre inférieur (6), disposé de façon concentrique par rapport au précédent et ayant une superficie inférieure à celle de celui-là et une série d'éléments intermédiaires convergeant vers la zone inférieure et mettant en rapport les deux cadres (4 et 6); le cadre inférieur (6) présentant, en son milieu, des entretoises perpendiculaires (7) unissant les points médians de leurs flancs opposés; les entretoises (7) présentent en leur zone médiane une légère courbure vers la zone supérieure pour permettre l'appui de la totalité du cadre (6) sur le sol quand la structure inférieure ou palette (1) ne s'appuie sur aucune charge; le cadre supérieur (4) présente, au moins dans deux des flancs opposés, des parties en retrait périphériques (8) destinées à permettre la détection de palettes par des manipulateurs robotisés.
2. 2. Système, suivant la revendication 1, caractérisé par le fait que le cadre supérieur (4) et les profilés d'angle (5) présentent, sur la partie inférieure du flanc, des échancrures (9) formant des zones de passage pour des feuillards de fixation de la charge, les profilés d'angle (5) se trouvant disposés de façon symétrique et avec leurs extrémités unies aux côtés consécutifs du cadre (4), un creux (5a) en forme de croix demeurant entre eux et, en outre, les profilés d'angle (5) présentent en leurs extrémités des abaissements supérieurs (5b) qui constituent un siège, conformément au cadre inférieur (6), pour faciliter l'empilement stable des palettes (1), alors que le creux (5a), défini entre les profilés d'angle (5) coïncide avec la projection verticale des entretoises (7).
3. 3. Système selon l'une des revendications qui précèdent, caractérisé par le fait que les sommets des profilés d'angle (5) opposés se trouvent fixés à la zone centrale sur le point médian des entretoises
4. 4. Système selon l'une des revendications qui précèdent, caractérisé par le fait que les éléments intermédiaires qui mettent en rapport les cadres (4 et 6) composés par des tôles courbes (11) fixées à leurs coins et par des pattes (12 ) qui unissent la zone inférieure des abaissements (5b) avec la zone médiane du flanc correspondant du cadre inférieur, alors que les flancs du cadre inférieur (6) présentent leeur zone médiane enfoncée vers la zone centrale de la palette pour permettre le déplacement de celle-ci au moyen de rouleaux.
5. 5. Système suivant l'une des revendications qui précèdent, caractérisé par le fait que la palette (1) présente sur la totalité et chacun de ses flancs deux creux (13), délimités par le cadre supérieur (4), le cadre inférieur (6), les pattes (12) et les tôles (11) et destinés à permettre l'entrée de la fourche d'un appareil élévateur par n'importe lequel des flancs de la palette (1); entre les pattes (12) d'un même flanc, il existe une séparation suffisante pour permettre le passage de la navette d'une machine feuillardeuse automatique.
6. 6. Système selon l'une des revendications qui précèdent, caractérisé par le fait que le cadre (14) présente sur le flanc intérieur des proéminences (18) qui constituent des moyens pour le centrage des séparateurs conventionnels (3) empilés éventuellement sur celui-ci; ces proéminences (18) présentent des ergots (19) pour la fixation optionnelle d'un séparateur conventionnel (3) qui agira conjointement avec le cadre (14) comme un couvercle de la charge, le cadre (14) présentant par son flanc supérieur des abaissements (16) constituant les zones de passage pour les feuillards de fixation de la charge, alors que le cadre (14) présente sur son flanc inférieur des taquets en caoutchouc (17) constituant des moyens d'appui sur la charge.