FR2774564A1 - Chaussure de ski - Google Patents

Abstract

L'invention concerne une chaussure de sport comportant une tige (24) montée sur une base de coque (25) par l'intermédiaire, d'une part, de deux axes d'articulation (17) situés au niveau de l'articulation de la cheville de l'utilisateur, et d'autre part, d'un système de couplage de la tige (24) avec la base de coque (25) présentant deux moyens de couplage (22) disposés de part et d'autre de la zone dorsale (3) de la chaussure.Elle se caractérise par le fait que l'un au moins des deux axes d'articulation (17) est doté d'un système de réglage (27'-27 " ) permettant de modifier sa position relative par rapport à la base de coque (25), et par conséquent l'inclinaison latérale de la tige (24), et par le fait que chaque moyen de couplage (22), réglable en serrage, est assujetti à la tige (24) pour son ajustement en position dans la zone dorsale (3).L'invention permet de réajuster la position relative des moyens de couplage (22) par rapport à la tige (24) et à la base de coque (25) sans qu'il y ait de jeu.

Description

CHAUSSURE DE SKI
La présente invention concerne une chaussure de sport comportant une tige montée sur une base de coque par l'intermédiaire de deux axes d'articulation situés, chacun, sur un flanc de la chaussure au niveau de l'articulation de la cheville de l'utilisateur et se rapporte à un système de couplage de la tige avec la base de coque présentant deux moyens de couplage fixes disposés de part et d'autre de la zone dorsale de la chaussure.

Des chaussures de sport de ce type sont décrites dans la demande de brevet français n" 2 744 888 et dans le modèle d'utilité japonais n" 3 011 526. On connaît également des chaussures commercialisées de ce type, comme par exemple les chaussures de ski alpin "PRO" de Lange en 1972, "Equipe" de Caber en 1982, "Grand Prix" et "Vertech" de Nordica en 1995.

Ces chaussures comportent une tige et une base de coque qui sont articulées entre elles autour d'axes d'articulation dans la zone de la cheville de l'utilisateur où elles se joignent par emboîtement au moins partiel l'une sur l'autre. Plus précisément, l'emboîtement est réalisé par la bordure inférieure de la tige qui vient en recouvrement d'une collerette, venue de la base de coque et qui fait sensiblement le tour de la cheville, et à l'aide d'un rebord transversal formé dans la zone du talon de la base de coque sur lequel la tige prend appui verticalement.

La collerette, plus ou moins souple et haute, est approximativement centrée dans la zone dorsale de la chaussure, tout comme le rebord transversal d'appui de la tige, et s'étend en direction des axes d'articulation de cette dernière. Des moyens de couplage fixes, tels que des rivets fixés et disposés de part et d'autre de la zone dorsale de la chaussure, relient la collerette de la base de coque à la tige qui se trouve ainsi bloquée non seulement en pivotement vers l'arrière, mais également en pivotement vers l'avant autour de ses axes d'articulation. En fait, la mise en oeuvre de ces moyens de couplage fixes confère à la tige une grande résistance à la flexion que l'on appelle communément raideur. Plus précisément, dans cet état de l'art connu, la seule possibilité de pivotement ou de déplacement relatif de la tige vers l'avant par rapport à la base de coque est procurée par la flexibilité propre de ces parties constitutives de la chaussure. Il en résulte que les efforts appliqués sur la tige par le bas de jambe du skieur sont directement repris au niveau des moyens de couplage sur la base de coque et donc transmis en direction de cette dernière sans déperdition de force et de manière quasi instantanée.

De plus, les moyens de couplage étant situés dans la zone dorsale de la chaussure et de part et d'autre de celle-ci, l'effort résistant à la flexion de la tige vers l'avant est obtenu par un effet de tirage sur l'arrière ce qui préserve relativement la zone tibiale du bas de jambe du skieur. Effectivement, les efforts sont répartis sur une grande surface d'enveloppement correspondant à toute la partie antérieure de la tige d'où l'absence du point dur ou de pression localisée sur l'avant du bas de jambe de l'utilisateur.

Ces chaussures de ski donnent globalement satisfaction aux skieurs confirmés qui recherchent, lors de leurs appuis, à transmettre un maximum de puissance dans un temps le plus bref possible afin d'optimiser les pressions de contact skineige, les effets directionnels,...etc. Par contre, du fait que les moyens de couplage sont fixes en position sur la zone dorsale de la chaussure, il est nécessaire de prévoir un assemblage flottant entre eux et la tige et/ou la collerette de la base de coque lorsqu'un système de réglage de l'inclinaison latérale de la tige est intégré à au moins un des deux axes d'articulation de cette dernière. En effet, dans le cas d'une telle construction connue de la chaussure, comme illustré schématiquement aux figures 1, 2 et 3 annexées, tout déplacement de la position relative d'un axe d'articulation 7 de la tige 4, par exemple par l'intermédiaire d'un excentrique 7', implique un déplacement latéral de la tige 4 par rapport à la collerette 8 de la base de coque 5, au niveau de chaque moyen de couplage 2 dans la zone dorsale 3 de la chaussure. Ainsi, pour permettre ces déplacements latéraux de la tige 4 par rapport à la base de coque 5, la solution proposée dans l'état de l'art connu consiste à n'utiliser d'un point d'appui central 10' sur le rebord transversal 10, pour le blocage de la tige 4 en pivotement vers l'arrière, et à ne pas ajuster fermement les moyens de couplage 2 en prévoyant notamment un certain jeu entre eux et l'une au moins des parties 4 et 5 de la chaussure qu'ils assemblent.

Plus précisément, lorsque les moyens de couplage 2 sont constitués par exemple par des rivets, un jeu est prévu d'origine entre la tige 6 de ces derniers et les trous 4', 5', des parties 4 et 5 de la chaussure qu'ils traversent, ainsi qu'entre les deux extrémités de retenue 9 et 9' et les parois desdites parties 4 et 5, comme cela est illustré sur la figure 3 qui représente une coupe transversale partielle de la chaussure de la figure 2 à l'endroit d'un moyen de couplage 2.

Evidemment, ces dispositions modifient sensiblement les caractéristiques de raideur de la chaussure car la tige 4 est libre de débattre d'une certaine amplitude par rapport à la base de coque 5 avant que les moyens de couplage 2 ne soient sollicités, et cela autant en pivotement vers l'avant qu'en tenue latérale. Ce genre de chaussure comportant des moyens de couplage associés à un réglage de l'inclinaison latérale de la tige est par conséquent moins performant que les chaussures classiques précédentes, c'est-à-dire non dotés de ce réglage. En effet, on constate que la transmission des efforts entre la tige 4 et la base de coque 5 s'en trouve sensiblement retardée, et d'autre part, qu'il se produit un flottement perceptible dans la tenue du bas de jambe de l'utilisateur.

La présente invention a pour but de remédier à ces inconvénients tout en permettant l'association d'un réglage de l'inclinaison latérale de la tige par rapport à la base de coque avec la mise en oeuvre de moyens de couplage essentiellement montés sans jeu entre les parties de la chaussure qu'ils assemblent dans la zone dorsale de la chaussure.

Pour atteindre ce but la chaussure de sport comporte une tige montée sur une base de coque par l'intermédiaire, d'une part, de deux axes d'articulation situés au niveau de l'articulation de la cheville de l'utilisateur, et d'autre part, un système de couplage de la tige avec la base de coque présentant deux moyens de couplage fixés et disposés de part et d'autre de la zone dorsale de la chaussure. Cette dernière se caractérise par le fait que l'un au moins des deux axes d'articulation est doté d'un système de réglage permettant de modifier sa position relative par rapport à la base de coque, et par conséquent l'inclinaison latérale de la tige, et par le fait que chaque moyen de couplage est réglable en serrage et assujetti à la tige pour son ajustement en position dans la zone dorsale de la chaussure en fonction de l'inclinaison donnée à la tige. A cet effet, chaque moyen de couplage comporte deux portées cylindriques excentrées l'une par rapport à l'autre qui s'insèrent dans des logements correspondants, l'une dans la tige et l'autre dans la base de coque. L'une au moins de ces portées cylindriques étant libre de tourner dans son logement lorsque le moyen de couplage est desserré et que la tige de la chaussure subit un déplacement en translation par rapport à la base de coque dans la zone où est situé le moyen de couplage.

Par ces dispositions, et notamment du fait que chaque moyen de couplage est assujetti à la tige pour ce qui est de l'ajustement de sa position, il suffit de desserrer les deux moyens de couplage et ensuite d'agir sur le système de réglage de l'axe d'articulation considéré pour modifier l'inclinaison latérale de la tige et provoquer automatiquement le réajustement de la position relative des moyens de couplage par rapport à cette dernière et à la base de coque sans qu'il y ait de jeu.

Il reste ensuite à resserrer les moyens de couplage pour redonner à la chaussure ses caractéristiques de raideur initiale.

Selon un mode de réalisation, chaque moyen de couplage comporte, d'une part, une vis d'assemblage, fixe en position dans l'une des parties constitutives de la chaussure formées par la tige et la base de coque, qui constitue la première portée cylindrique du moyen de couplage, et d'autre part, une rondelle montée excentrée sur cette vis d'assemblage qui constitue la deuxième portée cylindrique dudit moyen de couplage.

Selon un deuxième mode de réalisation, chaque moyen de couplage comporte, d'une part, une vis d'assemblage, fixe en position dans l'une des parties constitutives de la chaussure formée par la tige et la base de coque, qui constitue la première portée cylindrique du moyen de couplage, et d'autre part, une pièce d'accrochage dans laquelle se monte la vis, cette pièce d'accrochage présentant une portée cylindrique qui, excentrée par rapport à la vis, constitue la deuxième portée cylindrique du moyen de couplage.

Selon une autre caractéristique, le système de réglage incorporé à au moins un des deux axes d'articulation de la tige, pour permettre le réglage de l'inclinaison latérale de cette dernière par rapport à la base de coque, est constitué par deux portées cylindriques excentrées obtenues d'une pièce avec l'axe d'articulation, chaque portée cylindrique s'insérant dans un logement correspondant de l'une des parties constitutives de la chaussure formées par la tige et la base de coque.

Selon une variante de réalisation, le système de réglage de l'inclinaison latérale de la tige présente une lumière oblongue verticale dans laquelle l'axe d'articulation de la tige peut être positionné à des hauteurs différentes.

L'invention sera du reste mieux comprise en se reportant à la description qui va suivre en référence aux dessins schématiques annexés montrant, à la suite des figures 1 à 3 représentant l'état de l'art, deux modes de réalisation d'une chaussure qui en est équipée.

La figure 4 illustre, vue en perspective éclatée, une chaussure de sport telle qu'une chaussure de ski comportant un système de réglage d'inclinaison de la tige associé à des moyens de couplage ajustés sans jeu selon un premier mode de réalisation.

La figure 5 représente, en perspective éclatée et vue de l'arrière, la chaussure de la figure 4.

La figure 6 est une vue en élévation de la chaussure des figures 4 et 5.

La figure 7 montre, vu en coupe selon la ligne VII-VII de la figure 6, le système de réglage de l'inclinaison latérale de la tige de la chaussure.

La figure 8 représente, vu en coupe selon la ligne VIII-VIII de la figure 6, un moyen de couplage de la chaussure des figures 4 à 6 selon un premier mode de réalisation.

La figure 9 illustre un deuxième mode de réalisation d'un moyen de couplage ajusté sans jeu, vu selon la ligne de coupe VIII-VIII de la figure 6.

La chaussure de sport 20, représentée sur les figures 4, 5 et 6, comporte une base de coque 25 sur laquelle est montée une tige 24. Deux axes d'articulation 27 situés au niveau de l'articulation de la cheville de l'utilisateur (non représenté) assurent, d'une part, la liaison de la tige 24 sur la base de coque 25, et d'autre part, le réglage de l'inclinaison latérale de ladite tige 24 par rapport à cette dernière grâce à un système de réglage à excentrique 27' dont ils sont pourvus.

Plus précisément, tel que cela est illustré en détail agrandi sur la figure 7, chaque axe d'articulation 27 présente une tête de retenue 17 et deux portées cylindriques 27', 27", qui s'imbriquent, l'une, dans la tige 24, et l'autre, dans la base de coque 25, la portée 27' étant excentrée par rapport à la portée 27". La retenue de l'axe d'articulation 27 est, par exemple, réalisée par un rivetage sur une rondelle 17' ce qui assure l'assemblage de la tige 24 avec la base de coque 25. Il résulte de ce montage que tout mouvement de rotation 16 imprimé à l'axe d'articulation 27 dans un sens quelconque provoque le déplacement en translation de la tige 24 par rapport à la base de coque 25 tel qu'indiqué par les flèches 13 et 14, étant entendu qu'on peut considérer indifféremment que c'est la base de coque 25 qui se déplace par rapport à la tige 24 et/ou inversement.

Dans l'exemple de réglage illustré à la figure 5, la rotation 16 de l'axe d'articulation 27 entraîne la portée excentrée 27' de ce dernier selon 13 qui, elle, fait basculer la tige 24 latéralement comme indiqué par la flèche 15.

Afin de permettre le déplacement relatif de la tige 24 par rapport à la base de coque 25, les deux moyens de couplage 22 situés de part et d'autre de la zone dorsale 3 sont prévus réglables en serrage et sont pourvus de deux portées cylindriques excentrées 28 et 29, l'une par rapport à l'autre. De plus, chaque portée cylindrique 28 et 29 s'insère dans un logement correspondant 28', 29', l'une dans la tige 24 et l'autre dans la base de coque 25, et l'une au moins de ces portées cylindriques 28 et 29 est libre de tourner dans son logement 28', 29', lorsque le moyen de couplage 22 est desserré. Ainsi, à partir d'une position initiale fixe du moyen de couplage 22, la portée cylindrique 28 et/ou 29 libérée en rotation peut accompagner le mouvement en translation de la tige 24 par rapport à la base de coque 25 sans qu'il y ait de jeu en tournant relativement à son logement 28' et/ou 29', et hors de l'axe de rotation de l'autre portée cylindrique 28 et/ou 29, c'est-àdire de manière excentrique. En fait, une fois que le moyen de couplage 22 est desserré, c'est la tige 24 dans son déplacement qui provoque automatiquement la rotation de l'une et/ou de l'autre des portées cylindriques excentrées 28, 29, et par conséquent le réajustement de la position du moyen de couplage 22 à la position relative de ladite tige 24 par rapport à la base de coque 25, notamment lors de son réglage en inclinaison latérale. Le moyen de couplage 22 est donc assujetti, pour l'ajustement de sa position, à la tige 24. Bien entendu, l'excentration des deux portées cylindriques 28 et 29 de chaque moyen de couplage 22 est déterminée en fonction du déplacement maximum que la tige 24 peut effectuer par action sur son système de réglage d'inclinaison latérale incorporé au niveau de ses axes d'articulation 27, et est dirigée du côté correspondant au sens de réglage. Par exemple, dans le cas présent ce sont des portées cylindriques 27' et 27" excentrées entre elles et obtenues d'une pièce avec l'axe d'articulation 27 qui constituent le système de réglage de l'inclinaison de la tige 24. Leur excentration est donc orientée de manière concordante avec celle des portées excentrées 28 et/ou 29 des moyens de couplage 22.

Selon ce mode de réalisation, chaque moyen de couplage 22 présente une vis d'assemblage 38, d'axe x-x', qui constitue la première portée cylindrique 28 et une rondelle 39, excentrée sur la vis 38 selon y-y', qui constitue la deuxième portée cylindrique 29. Une pièce d'accrochage 30 relativement résistante et pourvue d'un taraudage est avantageusement rapportée sur la base de coque 25 en correspondance de la vis d'assemblage 38 afin de permettre un serrage puissant, après ajustement de la position du moyen de couplage 22, sans risque de détérioration de la base de coque 25.

Selon un autre mode de réalisation du moyen de couplage 22, tel que cela est illustré sur la figure 9, c'est une pièce d'accrochage cylindrique 31 qui, montée excentrée selon y-y' sur la vis d'assemblage 38 et axée selon x-x', constitue la deuxième portée cylindrique 28 du moyen de couplage 22, la vis 38 constituant, comme dans le cas précédent, la première portée cylindrique 28 dudit moyen 22.

Selon une variante de réalisation, non représentée, chaque moyen de couplage 22 comporte à la fois une rondelle excentrée 39 sur la vis d'assemblage 38 et une pièce d'accrochage cylindrique excentrée 31.

Claims (4)

REVENDICATIONS

1- Chaussure de sport comportant une tige (24) montée sur une base de coque (25) par l'intermédiaire, d'une part, de deux axes d'articulation (17) situés au niveau de l'articulation de la cheville de l'utilisateur, et d'autre part, d'un système de couplage de la tige (24) avec la base de coque (25) présentant deux moyens de couplage (22) disposés de part et d'autre de la zone dorsale (3) de la chaussure, caractérisée par le fait que l'un au moins des deux axes d'articulation (17) est doté d'un système de réglage (27'-27") permettant de modifier sa position relative par rapport à la base de coque (25), et par conséquent l'inclinaison latérale de la tige (24), et par le fait que chaque moyen de couplage (22), réglable en serrage, est assujetti à la tige (24) pour son ajustement en position dans la zone dorsale (3) de la chaussure en fonction de l'inclinaison donnée à la tige (24).

2- Chaussure de sport selon la revendication 1, caractérisée en ce que chaque moyen de couplage (22) comporte deux portées cylindriques (28, 29) excentrées l'une par rapport à l'autre dans des logements correspondants (28', 29'), l'une dans la tige (24) et l'autre dans la base de coque (25), l'une au moins de ces portées cylindriques (28, 29) étant libre de tourner dans son logement (28', 29') lorsque le moyen de couplage (22) est desserré.

3- Chaussure de sport selon la revendication 2, caractérisée en ce que chaque moyen de couplage (22) comporte, d'une part, une vis d'assemblage (38), fixe en position dans l'une des parties constitutives de la chaussure formées par la tige (24) et la base de coque (25), qui constitue la première portée cylindrique (28) du moyen (22), et d'autre part, une rondelle (39) montée excentrée sur cette vis d'assemblage (38) qui constitue la deuxième portée cylindrique (29) dudit moyen (22).

s Chaussure de sport selon la revendication 2, caractérisée en ce que chaque moyen de couplage (22) comporte, d'une part, une vis d'assemblage (38), fixe en position dans l'une des parties constitutives de la chaussure formées par la tige (24) et la base de coque (25), qui constitue la première portée cylindrique (28), et d'autre part, une pièce d'accrochage (31) dans laquelle se monte la vis d'assemblage (38), cette pièce d'accrochage (31) présentant une portée cylindrique (29) qui, excentrée par rapport à ladite vis (38), constitue la deuxième portée cylindrique (29) du moyen de couplage (22).

5- Chaussure de sport selon l'une quelconque des revendications 3 ou 4, caractérisée en ce que la vis d'assemblage (38) est rendue indémontable des parties constitutives (24, 25) de la chaussure que le moyen de couplage (22) réunit.

S Chaussure de sport selon l'une quelconque des revendications 1 à 5, caractérisée en ce que le système de réglage permettant de modifier la position relative d'au moins un axe d'articulation (27) de la tige (24) par rapport à la base de coque (25) est constitué par deux parties cylindriques (27' et 27") excentrées entre elles s'ajustant l'une dans un logement de la tige (24) et l'autre dans un logement de la base de coque (25).