FR2718651A1 - Ski alpin. - Google Patents
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Abstract
Ce ski alpin, est réalisé en matières composites, et ne comprend pas au niveau des fixations d'élément(s) de surélévation. Simultanément, l'épaisseur minimum e1 de la zone la plus épaisse au niveau du patin (1), exempte de toute structure rapportée, est de 28 millimètres, et l'épaisseur maximum e2 , et e3 des zones les plus minces, respectivement au voisinage des lignes de contact arrière et avant du ski est de 8 millimètres.
Description
SKI ALPIN
L'invention concerne un ski alpin à profil spécifique, dans le but d'optimiser la skiabilité, et notamment le comportement de ce ski en cours de virage, ainsi que sa maniabilité.
L'invention concerne un ski alpin à profil spécifique, dans le but d'optimiser la skiabilité, et notamment le comportement de ce ski en cours de virage, ainsi que sa maniabilité.
Un ski alpin moderne, réalisé selon une structure composite, présente une épaisseur limite, notamment au niveau du patin, comptetenu de la limite élastique des matériaux utilisés comme renfort : ces renforts sont destinés à conférer au ski des propriétés de résistance suffisantes aux contraintes maximum de traction et de compression lors des sollicitations en flexion.
Un ski peut en effet être assimilé à une poutre placée entre deux appuis, poutre sur laquelle sont exercés des efforts de flexion simples, perpendiculaires au plan de la semelle, des efforts de flexions latérales, perpendiculaires aux chants du ski, et des moments de torsion ou de vrillage. Le comportement du ski sur la neige, c'est à dire sa maniabilité, sa vitesse, sa précision, sa nervosité, est lié à la qualité du contact skineige, donc aux qualités spécifiques de déformations fonctionnelles et de non-déformation parasites du ski en cours d'utilisation. De manière générale, il est connu qu'en flexion simple, la courbe de déformation du ski dans un plan longitudinal perpendiculaire à la semelle doit être progressive et régulière. D'autre part, il est bien connu que, pour qu'une poutre soit résistante à la rupture, il importe que les éléments de renfort ne présentent pas de discontinuité.
Par ailleurs, compte-tenu de la tendance actuelle visant à réaliser des skis alpins plus étroits, dans un souci d'acquisition d'une plus grande précision en virage, on est conduit à augmenter la hauteur de la position de la semelle de la chaussure par rapport à la surface de la semelle, car lors de prises de carres avec un ski étroit, le risque augmente de voir la chaussure porter sur la neige en lieu et place des carres du ski, se traduisant de manière quasi-inéluctable par le ripage du ski, c'est à dire par le brusque décrochement du ski par rapport à la surface neigeuse, pouvant en outre entraîner la chute. Ainsi, de par l'augmentation de la hauteur de la position de la chaussure par rapport à la neige, on annule sinon diminue ce risque car on revient à un angle limite d'inclinaison acceptable car évitant le "ripage".
Afin d'aboutir à cette augmentation de hauteur, il est connu d'utiliser des plaques de réhaussement rapportées sur la face supérieure du ski. Outre le fait que de telles plaques de réhaussement ne sont pas d'une esthétique idéale, elles n'ont pas à ce jour apporté tous les résultats techniques que l'on en attendait. En effet, rajouter une plaque sur un ski équivaut à en modifier sa rigidité, donc sa ligne de déformation, et à altérer la continuité des éléments de renfort. Les extrémités avant et arrière de la plaque constituent de ce fait des zones de fragilisation du ski par interruption brutale d'un élément assimilable à un renfort.
Dans ce même but, on a également proposé de surélever la zone de montage des fixations, dite zone-patin, en réalisant un bossage au sein de la structure même du ski. Ces bossages sont de hauteur réduite, au maximum 5 millimètres, pour limiter les problèmes de discontinuité de structure mentionnés précédemment.
L'objet de l'invention est de proposer un ski alpin, réalisé en matières composites, telles que platiques, stratifiés de verre, métal, par exemple, ne comprenant pas au niveau des fixations, d'éléments de surélévation, et qui se caractérise en ce que simultanément, l'épaisseur minimum de la zone la plus épaisse au niveau du patin est de 28 millimètres, et l'épaisseur maximum aux extrémités, c'est à dire au voisinage des lignes de contact avant et arrière, est de 8 millimètres.
Ainsi, cette combinaison de caractéristiques d'épaisseurs, permet d'aboutir à une courbe des déformations du ski, se traduisant par un bon compromis entre la rigidité au niveau central du corps du ski, c'est à dire au voisinage du patin, et la souplesse au niveau des extrémités spatule et talon.
Du fait de la surélévation naturelle du pied du skieur par rapport à la semelle du ski, c'est à dire sans nécessiter la mise en place d'éléments intermédiaires, on peut ainsi aboutir à une étroitisation optimale du ski, avec un angle de ripage correct, angle défini par la valeur maximum de l'inclinaison de la semelle du ski par rapport à la surface de la neige, au delà duquel intervient le décrochement du ski.
Le ski selon l'invention ne nécessite donc pas de plaque de surélévation, rapportée. C'est un ski fini, intégrant cette fonction de surélévation, et les autres fonctions annexes, généralement conférées par ces plaques, tels l'amortissement, l'isolation, ou au contraire, palliant les effets engendrés par elles, à savoir le bridage de la structure. En effet, la mise en place d'une plaque rapportée sur un ski conventionnel tend à brider ce ski, et perturbe de manière générale le comportement de celui-ci en termes de flexion.
S'agissant des épaisseurs respectives des différentes zones du ski, il est apparu que si l'épaisseur au niveau du patin était inférieure à 28 millimètres, la surélévation s'avérait alors insuffisante pour éviter le ripage du ski. Parallèlement, si l'épaisseur au voisinage des lignes de contact avant et arrière du ski était supérieure à 8 millimètres, le ski obtenu présentait une raideur par trop importante pour aboutir à une skiabilité correcte.
Selon une caractéristique avantageuse de l'invention, l'intersection de la surface supérieure du ski, avec un plan longitudinal perpendiculaire à la semelle, définit sensiblement, en excluant les excroissances locales éventuelles, deux droites concourantes au voisinage de la zone du patin, inclinées par rapport au plan défini par la semelle selon une pente dont la valeur absolue est supérieure ou égale à 2,5 %. De fait, les deux droites joignant les zones d'épaisseurs extremums du ski, à savoir les zones d'épaisseur minimum au niveau des lignes de contact respectivement avant et arrière à la zone d'épaisseur maximum au niveau du patin, sont inclinées par rapport au plan défini par la surface de la semelle du ski mis à plat (c est à dire abstraction faite du cambre), d'un angle supérieur ou égale à 1,45 ", soit une pente de 2,5%.
Ces droites caractéristiques sont purement fictives, compte tenu du fait que la surface supérieure du ski peut présenter des formes complexes, tels des reliefs ponctuels, dont il n'est pas tenu compte pour les droites considérées.
L'invention est décrite en liaison avec les figures annexées de manière indicative et non limitative.
La figure 1 représente un ski alpin en vue de profil, conforme à l'invention.
La figure 2 représente la courbe de variation de l'épaisseur du ski en fonction de la distance repérée par rapport à un axe confondu avec l'axe longitudinal du ski.
La figure 3 est une vue analogue à la figure 1, sur laquelle on a en outre représenté les éléments de mesure des angles d'inclinaison du dessus du ski.
On a schématiquement représenté sur la figure 1 un ski conforme à l'invention représenté en vue de profil.
Selon l'invention, l'épaisseur el mesurée au niveau du lieu le plus épais du patin (1) du ski, ou zone de positionnement des fixations, c'est à dire entre la semelle (4) et la face supérieure (5) est au moins égale à 28 mm, étant entendu que le ski ainsi réalisé est intégral, c'est à dire qu'il ne comprend pas de structure rapportée, notamment au niveau de cette face supérieure.
Dans la description, on entend par ski fini ou intégral, un ski sur lequel les fixations sont placées directement, sans nécessité d'un interface d'amortissement et/ou de surélévation.
Corollairement, la valeur des deux épaisseurs les plus minces, situées respectivement pour e3 à la jonction de la spatule (3) avec le corps du ski, et pour e2 à la jonction du talon (2) avec le corps du ski, sont quant à elles au plus égales à 8 millimètres.
Parallèlement, la largeur du ski au niveau du patin est réduite, et est voisine de 60 millimètres, de sorte que l'on obtient un ski étroit avec un angle de ripage important puisque, de par le surélèvement de la zone du patin, la chaussure de ski ne porte sur la neige que pour des inclinaisons relativement importantes.
Compte-tenu de l'épaisseur au niveau du patin, on peut ainsi conférer au ski une très grande rigidité en zone centrale, tout en présentant une plus grande souplesse au niveau des extrémités de par la faible épaisseur des zones extrêmes, augmentant ainsi la réactivité du ski et sa skiabilité.
On a représenté sur la figure 2 la variation de l'épaisseur du ski en fonction de la distance où s'effectue la mesure. La courbe A représente un ski de l'invention, la courbe B représentant un ski traditionnel de l'art antérieur. n convient de noter que sur cette figure, l'échelle des distances (4 mm pour 50 mm) est différente de l'echelle des épaisseurs (40 mm pour 5 mm).
On observe ainsi que la pente joignant les extrémums, c'est à dire chacun des minimums et le maximum de la courbe A selon l'invention est bien supérieure à celle de la courbe B. On peut en effet mesurer que la pente dA de la courbe A a pour valeur 2,5 %, alors que la pente dB de la courbe B est seulement de 1,4 Sc.
On a représenté au sein de la figure 3 un ski à profil plus complexe que celui de la figure 1, dans la mesure où sa surface supérieure (5) présente des reliefs ponctuels (6). Dans cette figure, L1 représente la distance séparant la limite avant de la zone la plus épaisse à la limite de la zone avant la plus mince, et L2 la distance séparant la limte arrière de la zone la plus épaisse à la zone arrière la plus mince.
La détermination des pentes s'effectue de la manière suivante
pente avant: el -e3 x100
Li
pente arrière: ei - e2 x 100
L2
Ainsi, de par le choix de ce profil particulier, il est possible de concilier à la fois de bonnes propriétés de skiabilité avec un réhaussement significatif de la chaussure du skieur.
pente avant: el -e3 x100
Li
pente arrière: ei - e2 x 100
L2
Ainsi, de par le choix de ce profil particulier, il est possible de concilier à la fois de bonnes propriétés de skiabilité avec un réhaussement significatif de la chaussure du skieur.
Claims (4)
1/ Ski alpin, réalisé en matières composites, ne comprenant pas au niveau des fixations d'élément(s) de surélévation, caractérisé en ce que simultanément, l'épaisseur minimum ei de la zone la plus épaisse au niveau du patin (1), exempte de toute structure rapportée, est de 28 millimètres, et l'épaisseur maximum e2, et e3 des zones les plus minces, respectivement au voisinage des lignes de contact arrière et avant du ski est de 8 millimètres.
2/ Ski alpin selon la revendication 1, caractérisé en ce que l'intersection de la surface supérieure du ski avec un plan longitudinal perpendiculaire à la semelle, définit, en excluant les excroissances locales éventuelles (6), sensiblement deux droites concourantes au voisinage de la zone du patin (5), inclinées par rapport au plan défini par la semelle (4), selon une pente dont la valeur absolue est supérieure ou égale à 2,5 %.
3/ Ski alpin selon la revendication 1, caractérisé en ce que les deux droites joignant les zones d'épaisseurs extremums de la courbe de variation de l'épaisseur du ski en fonction de la distance où s'effectue ces mesures de l'épaisseur par rapport à un plan longitudinal présentent une pente dont la valeur absolue est supérieure ou égale à 2,5%
4/ Ski alpin selon la revendication 1, caractérisé en ce que les deux droites joignant les zones d'épaisseurs extremums de la courbe de variation de l'épaisseur du ski en fonction de la distance où s'effectue ces mesures de l'épaisseur par rapport à un plan longitudinal présentent une inclinaison dont la valeur de l'angle est supérieure ou égale à 1,43
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AT176165B (de) * | 1950-07-19 | 1953-09-25 | Rupert Etschmann | Elastischer Holzski |
FR2505193A1 (fr) * | 1981-05-08 | 1982-11-12 | Rohrmoser Alois Skifabrik | Ski |
WO1988005676A1 (fr) * | 1987-02-05 | 1988-08-11 | Salomon S.A. | Ski comportant une nervure longitudinale a sa partie superieure |
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EP0580522A1 (fr) * | 1992-06-11 | 1994-01-26 | Skis Rossignol S.A. | Ski à profil perfectionné |
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1994
- 1994-04-15 FR FR9404825A patent/FR2718651B1/fr not_active Expired - Fee Related
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1995
- 1995-04-10 DE DE29505658U patent/DE29505658U1/de not_active Expired - Lifetime
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