FR2698118A1 - Etaleur de mortier. - Google Patents

Abstract

La présente invention concerne une machine-outil de maçonnerie pour étaler le mortier en un joint horizontal régulier et assurer l'alignement des parpaings ou des briques lors d'une construction en toute facilité, les niveaux du support sont ainsi respecté. La machine-outil est contituée: - D'un outil, lequel est différent suivant l'épaisseur du mûr. - D'un bloc moteur adaptable sur tous les outils. L'outil est constitué d'une, règle (27) animée d'un mouvement de translation latérale et avançant transversalement le long du support, disposée dans la partie arrière d'un plan incliné (1) de 15 à 75 % mais plus idéalement à 50 % vers l'arrière, porté par deux plans latéraux (2). L'outil glissse sur des patins (8), des guides (9) latéraux le maintient. Deux potences (30) assurent l'alignement et le niveau des parpaings ou briques. Le bloc moteur fixé sur le dos de l'outil comprend un moteur (71') avec son système de transmission et une poignée (57) dans laquelle s'emboite l'accu (91).

Description

E T A L E U R D E M O R T I E R
La présente invention concerne une machine-outil de maçonnerie, pour étaler le mortier horizontalement, afin d'assembler des parpaings ou des briques lors d'une construction.

La mise en place du joint de mortier est traditionnellement effectuée à l'aide d'une truelle. Son épaisseur irrégulière et son exécution lente et difficile sont ses principaux inconvénients. Le niveau horizontal et l'alignement lors de la pose des parpaings ou des briques est généralement assuré à l'aide d'un cordeau.

La machine-outil selon l'invention permet de remédier à cela.

En effet, après avoir déposé du mortier sur le support (parpaings, briques, supports béton), la machine-outil passe sur le mortier et l'étale sur toute la largeur du support grâce à son dos incliné d'environ 50 % vers l'arrière. La règle animée d'un mouvement de translation latérale située à l'arrière du dos incliné et dans le même plan permet d'avancer plus vite. L'épaisseur du mortier ainsi déposée est régulière, les niveaux du support sont respectés. Deux potences disposées latéralement sur la partie avant du dos, remplace le cordeau et assure ainsi l'alignement et le niveau horizontal des parpaings ou des briques.

On peut comparer la qualité du travail de cette machine-outil à une règle de maçonnerie que l'on tire sur du mortier avec un mouvement de translation latérale.

Selon des modes particuliers de réalisation, la machine-outil est constituée - D'un outil, lequel est différent suivant l'épaisseur du mûr.

- D'un bloc moteur avec son accu adaptable rapidement aux différents
outils.

Les dessis annexés illustrent l'invention - La figure 1 représente vue par dessous l'outil pour parpaings de
20 cm avec tous ses composants.

- La figure 2 représente en schéma la partie supérieure du dos de
l'outil pour parpaings de 10 cm (39).

- La figure 3 représente en schéma la partie supérieure du dos des
outils pour parpaings de 12,5 cm (40) - 15 cm (41) - 17,5 cm (42)
20 cm (43) - 22 cm (44) - 27 cm (45) et prouve que même si la
largeur différe, le montage des outils est identique.

- La figure 4 représente le bloc moteur composé d'un moteur et d'une
poignée avec un accu.

- La figure 5 représente vue par dessous la machine-outil en fonction
nement.

L'OUTIL :
Il est constitué d'un plan (1) parallèle à la ligne de terre et incliné de 15 à 75 % mais plus idéalement à 50 % vers l'arrière.

Lequel est porté par deux plans latéraux (2) en forme de trapèze rectangle, dont la grande hauteur se trouve à l'avant. L'arrière des plans latéraux (2), subit un prolongement (3) parallèle aux petites hauteurs pour tirer correctement les bords du joint. A l'avant du plan latéral (2) gauche, on distingue un trou (33) cylindrique afin de recevoir une vis (35) pour y fixer une poignée (34) secondaire. L'arrête externe de la base des plans latéraux (2) est arrondie afin de recevoir le profil en T servant de patin (8) et de guide (9).

La largeur interne entre les deux parois latérales correspond à l'epais- seur du mûr à élever (d'un minimum de 100 mm en passant par 125 150 - 175 - 200 - 220 - 270 mm.) C'est ainsi que pour une épaisseur différente, on change d'outil. Les deux angles droits (6) qui relient, le plan incliné (1) aux deux plans latéraux (2) sont renforcés. afin de maintenir l'écart entre les deux plans latéraux (2), on peut rapporter à l'avant, à mi-hauteur, un plat (7) aminci sur l'avant, parallèle au plan horizontal.

La- machine-outil glisse le long du support par l'intermédiaire des patins (8), elle est maintenue latéralement par des guides (9)
Les patins (8) et les guides (9) sont constitués d'une seule pièce, un profil en T d'un acier trés dur. Le patin (8) est représenté par la hauteur du T. Sa partie avant est biseautée sur le dessus, ceci pour décoller le mortier et l'empêcher de soulever le patin (8).

Il se termine à l'aplomb de la saillie (14). La barre horizontale du T forme d'un côté le guide (9) et de l'autre, la partie (10) qui se fixe extérieurement sur la partie base des plans latéraux (2).

La partie (10) comporte deux trous (11) cylindriques pour le logement des inserts (12). La fixation de la partie (10) est assurée par des vis (31) placées à l'intérieur des inserts (12), lesquels sont noyés dans l'épaisseur des plans latéraux (2). On peut remplacer les inserts (12) par des tiges filetées, noyées dans l'épaisseur des plans latéraux (2) et dépassant vers l'extérieur.

La fixation de la partie (10) est assurée par des écrous. Le jeu entre le guide (9) et le support peut-être de 1,5 mm à titre d'exemple non limitatif soit 3 mm environ au total. Les guides (9) n'étant pas nécessaire sur toute la longueur, ils sont évidés en leur milieu.

Afin de contenir à l'arrière la règle (27), celle-ci formant avec la face interne du plan incliné (1), une surface rigoureusement plane et lisse, le plan incliné (I) subit une surélévation sur l'arrière. Le plan surélevé (4) est parallèle au plan incliné (1). Les deux sont reliés par un plan perpendiculaire (5) à eux-même.

Pour diminuer l'usure, le frottement de la règle (27) dans son support, une cornière (13) en acier traité est collée sur l'arrête interne formée par la jonction du plan incliné (1) et du plan perpendiculaire (5). Elle provoque une saillie (14) en alignement avec la face interne du plan incliné (1). Créant ainsi un dégagement supérieur (15) entre elle et le dessous du plan surélevé (4). Ceci permet au sable et au ciment de se dégager facilement s'ils viennent à s'infiltrer entre la saillie (14) et la règle (27).

Au travers de l'axe longitudinal du plan surélevé (4), une lumière rectangulaire (16) est percée. Afin de diminuer le frottement et l'usure, elle est renforcée en son périmètre par une nouvelle lumière (17) en acier traité, rapportée par collage et correspondant à la section du culbuteur (20) et de son déplacement latéral. La lumière (17) dépasse de part et d'autre la paroi du plan surélevé (4). Ceci afin que le culbuteur (20) et la plaque (28) située à l'intérieur de la règle (27) frotte sur la lumière (17) en acier traité et non sur le plastique ou l'aluminium de l'outil.

Extérieurement sur le bord droit représentant la largeur de la lumière (17) est collée un petit tube (21) couché dans l'axe longitudinal de la lumière (17). L'extrémité gauche du tube (21) est quasiment fermée, seul un petit trou central (23) est aménagé pour le passage du "pointeau" (24) (sorte de clou dont la tête plate est placée à l'intérieur du tube contre le ressort, l'autre extrémité est une section plate parallèle à la tête), reliant le ressort de compression calibré (25), placé à l'intérieur du tube (21), au culbuteur (20) et formant ainsi un couple antagoniste au couple came (89) culbuteur (20). L'extrémité droite du tube (21) est ouverte et taraudée. Après l'introduction du "pointeau" (24) et du ressort (25), elle est fermée par un bouchon (22) vissé.

Latéralement, sous le plan surélevé (4), pour permettre l'introduction de la règle (27) et son mouvement de translation latérale, des lumières rectangulaires (18) sont crées. Toujours dans le souci de limiter le frottement et l'usure, le réajustement aux dimensions, de la section de la règle (27) plus la saillie (14) et son dégagement supérieur (15) est réalisé en repportant par collage une nouvelle lumière (19) en acier traité. Pour un bon maintient de la règle (27) dans ses lumières (19) pendant son fonctionnement, la profondeur des lumières (19) à titre d'exemple non limitatif doit-être d'au moins 5 mm, ce qui nécessite un dépassement sur l'extérieur des lumières (19).

La règle (27) est conçue en acier traité. Elle est en forme de U (d'une largeur de 40 mm), à titre d'exemple non limitatif, sa longueur dépend de la largeur de l'outil. Dans l'axe longitudinal de la règle (25), on percé et fraisé un trou (26) par dessous, afin de recevoir une vis (32) à tête fraisée plate pour fixer le culbuteur (20). Pour maintenir le culbuteur (20) à l'intérieur du U de la règle (25) sur l'axe longitudinal, on colle une plaque d'acier (28), percé d'une lumière correspondant à la section du culbuteur (20), ainsi le culbuteur (20) est maintenue en son périmètre. La plaque d'acier (28) n'est collée ou soudée que si la règle (27) est découpée d'un profil en U. Mais la règle (27) et la plaque (28) peuvent être moulées en une seule opération.

Après avoir engagé la règle (27) par une des deux lumière latérale (19) et l'avoir glissé jusqu'à l'autre (19), on introduit une vis (32) à tête fraiséé plate pour fixer la base du culbuteur (20) à l'intérieur de la règle (27). Le culbuteur (20) est maintenue au dessus de la lumière (17) par une section plus large.

Deux potences (30) sont disposées de part et d'autre du plan incliné (1) sur la partie avant. Les deux potences (30) sont tournées l'une vers l'autre, elles sont parallèles à l'arrête frontale de l'outil. Afin d'être maintenue correctement, la base des potences (30) représentée par un axe parallèle à l'axe longitudinal du plan incliné (1) et perpendiculaire à la potence (30). Cette axe est introduit par l'avant de l'outil dans un guide (29) (tube carré). Une vis (31) bloque l'axe de la potence dans le guide (29). Seul l'outil de 10 cm (39) ne comporte qu'une potence (30), celle de gauche.

Sur la partie du plan incliné (1), deux glissières (37) parallèles à l'axe longitudinal du plan incliné (1) maintiennent l'accu (91) dans sa position. On peut remplacer les glissières (37) par des queues d'arondes contenues disposées sous l'emplacement de l'accu (91).

Pour fixer le bloc moteur sur le dos de l'outil, on l'introduit par la gauche et on le fait glisser vers la droite. I1 vient en buté contre une glissière (36) aménagée sur la moitiée droite du plan incliné (1). Une deuxième glissière (36) le maintient à l'arrière du plan surélevé (4). Deux trous, cylindriques (38) munient d'inserts permettent la fixation par vis (56) de la partie gauche du bloc moteur.

L'outil peut-être conçu - En aluminium , il est alors anodisé pour résister aux rayures.

- En plastique d'une bonne rigiditée, résistant aux chocs, aux ultraviolets et aux différences de température par exemple (A.B.S. / P.P.O. / P.V.C. U./ ect...). L'outil est moulé en une seule opération.

Certains trous peuvent être usinés après. La cornière (13) formant la saillie (14) et le dégagement supérieur (15), ainsi que les lumière (19) et (17) sont en acier ayant subit un traitement de surface pour un frottement minimal. Peuvent être conçuent dans le même acier, le culbuteur (20), la règle (27). Les patins (8) et les guides (9) sont en acier très dur, pour résister à l'usure. Afin de renforcer les serrages par vis, on pose des inserts dans le plastique ou l'aluminium.

Les dimensions hors tout de la machine-outil peuvent être à titre d'exemple non limitatif de - 250 mm pour la longueur de base.

- 210 mm ou 260 mm pour la hauteur avec les potences (30) qui ont
une hauteur différente suivant qu'il s'agit d'une brique de 20cm
ou de 25 cm de hauteur.

- La largeur de l'outil correspond à l'épaisseur du mûr a élevé,
avec un dépassement de 5 mm de chaque côté.

LE BLOC MOTEUR
Il est étanche face aux eaux de ruissellement. Il est composé d'une poignée (57) et d'un moteur (71) fixés sur une plaque (46).

Dans la partie avant de la poignée (57) vient s'imbriquer l'acccu (91).

Sur la plaque (46) qui vient se glisser sur le plan incliné (1) et alvéolée sur sa face inférieure, donc plus épaisse et cela pour un renfort maximal notamment au point d'ancrage de la poignée (57). Pour que le moteur (71) soit plus bas, la face inférieure de son embase (52) n'est pas alvéolée ainsi que le plan perpendiculaire (47), le plan surélevé (48) et la languette (49) droite de la plaque (46). Une paire de fils conducteurs (54) noyés dans la plaque (46) relient l'embase (50) de la poignée (57) à l'embase (52) du moteur (71) avec une longueur suffisante pour les connecter. L'embase (50) de la poignée (57) située sur la partie avant droite de la plaque (46) est constituée de deux plaques carrés superposées, la plaque inférieure de section plus petite permet de créer une rainure (51) dans laquelle la poignée (57) vient s'emboiter.L'embase (52) du moteur (71) située sur la partie gauche de la plaque (46) est accolée au plan perpendiculaire (47). L'embase (52) creuse à une section horizontale rectangulaire. Elle est formée par quatre parois verticales dont les deux petits côtés parallèles au plan perpendiculaire sont évidés en leur sommet d'un demi-cercle. Les deux grands côtés présentent à leur base une fente (53) afin que l'air refroidisse le moteur (71).

Pour maintenir le bloc moteur dans les glissières (36), on peut prévoir sur le côté gauche du bloc moteur, deux logements (55) pour vis (56) de fixation. Un logement (55) dans l'angle formé par l'arrête frontale et l'arrête gauche et un second (55) sur le bord gauche du plan surélevé (48) accolé à l'embase (52) du moteur (71).

La poignée (57) a une forme de col de cygne courbée vers l'arrière.

La poignée (57) creuse est conçu par un moulage en deux parties (la moitié droite (57) et la moitié gauche (57)). On prévoit à l'intérieur, le logement (60) de l'interrupteur (61) avec sa gachette protégé de l'humidité par une membrane en caoutchouc (62) insérée en son pourtour dans une gorge. On distingue les logements (58) des vis (59) d'assemblage débouchant latéralement (droite ou gauche) et on évide l'emplacement de leur tête cylindrique large. A la base de la poignée (57), sur son pourtour intérieur, on aménage une languette (63) qui va venir s'emboiter dans la rainure (51) de 1'embase (50) assurant ainsi un ancrage correcte. On conçoit accoler extérieurement à l'avant de la poignée (57), un dispositif (65) d'emboitement étanche de l'accu (91) ressemblant à une section de tube rectangulaire dans lequel on trouve deux plots (64) de contact.

Latéralement à l'extérieur (57), à mi-hauteur du dispositif (65) d'emboitement, on trouve deux pinces à clips (66) disposées dans un axe parallèle à la plaque (46), afin de maintenir l'accu (91) dans son dispositif (65) d'emboitement. Pour le bon fonctionnement des pinces à clips (66) on aménage de part et d'autre de la poignée (57), un logement (70) demi-cylindrique pour l'axe (67) pivotant de la pince à clips (66) et un logement (69) cylindrique pour le ressort (68) de compression de la pince à clips (66). Le profil des parois au niveau de la jonction des deux moitiés de la poignée (57) est aménagé pour obtenir une meilleur étanchéité à l'eau de ruissellement extérieurement, on peut marquer les empreintes des doigts de la main droite .L'assemblage et la fixation de la poignée (57) sur son embase (50) peut s'effectuer ainsi - On monte les deux pinces à clips (66) en installant les ressorts
(68) et les axes (67) dans leurs logements (69) (70) respectifs.

- On colle définitivement la partie gauche sur l'embase (50).

- On connecte les fils conducteurs (54) au niveau des plots (64)
de contact et de l'interrupteur (61).

- On insère l'interrupteur (61) dans son logement (60).

- On assemble les deux moitiées de la poignée (57) à l'aide des
vis (59) à tête cylindriques larges.

- On insère la membrane (62) en caoutchouc protégeant la gachette,
dans sa gorge.

Le moteur (71) est enfermé dans une enveloppe formée, d'un tube (75) dont le fond quasiment fermé permet le passage de l'arbre (72).

Un tube (76) ouvert aux deux extrémitées est accolé extérieurement au fond et protège l'arbre (72) jusqu' à mi-longueur. L'extrémité du tube (76) est profilée pour recevoir un joint à lèvre (84). Sur l'arrière du moteur (71), le tube (75) comporte dans le bord une demi-gorge, afin de recevoir un joint torique (81). Diamétralement opposé, sur la partie extérieur du tube (75) et dans un axe parallèle à la plaque (46), on distingue deux logements (77) demi-cylindriques, percés sur l'arrière et taraudé pour recevoir les deux vis (83), afin de fixer le "cache" (82) arrière du moteur (71). A l'intérieur du tube (75), diamétralement opposés, au niveau des logements (77) à vis, on trouve deux guides (80) qui maintiennent le moteur (71) dans sa position. Dans la partie basse, le long du tube (75) deux fentes (79) permettent à l'air de circuler afin de refroidir le moteur (71).

Les deux fentes (79) se trouvent protéger à l'intérieur de l'embase (52) du moteur (71), empêchant ainsi de ruissellement de pénétrer dans le moteur (71). Dans la partie interne et arrière du tube (75), en bas on ditingue une gorge (78) débouchant vers l'extérieur (dans l'embase (52)) par un trou, cela permet l'introduction des fils conducteurs (54) et leur dégagement lors de l'introduction du moteur (71) dans son tube (75) protecteur. Après avoir connecté les fils conducteurs (54) sur le moteur (71), mis le joint torique (81) en place, sur la demi-gorge crée sur la face interne du "cache" (82), on fixe le "cache" (82) arrière surle tube (75) à l'aide des vis (83). Le tube (75) du moteur (71) est collé définitivement sur son embase (52).

Le fond extérieur du tube (75) côté arbre (72) est accolé au plan (47) perpendiculaire à la plaque (46). A mi-longueur, l'arbre (72) comporte un collet (73) sur lequel s'appuie le joint à lèvre (84).

A son extrémité, l'arbre (72) comporte un méplat (74) pour recevoir la came (89) que l'on fixe avec un vis de pression (90). Afin de protéger l'arbre (72) et sa came (89), le culbuteur (20) et le "pointeau" (24), on colle sur l'extrémité du tube (76) une autre pièce, un demi-ellipsoide (85) creux. Ce demi- ellipsoïde (85) est couché transversalement, son axe est confondu avec celui passant par la came (89), le culbuteur (20), le "pointeau" (24) et le ressort (25).

Sur la gauche, la demi-base du demi-ellipsoïde (85) est fermée. Au travers de la parois, à l'avant du demi-ellipsoïde (85), un trou cylindrique (86) est aménagé pour le passage de l'arbore (72), un bossage et un lamage sont nécéssaires pour l'emboitement du tube (76) et le maintient du joint à lèvre (84) dans la gorge ainsi formé par cette jonction. Sur la droite, une ouverture (87) est pratiquée dans la demi-base, (la taille de l'ouverture (87) correspond au tube (21) à ressort (25) sur l'outil), elle est renforcée en son pourtour et s'emboite sur le tube (21) à ressort (25) de l'outil. Sur l'arrière, le demi-ellipsolde (85) est prolongé par une surface plane (88) parallèle et dans le même alignement que le plan surélevé (48) du bloc moteur. Cette surface plane (88) s'encastre dans la glissière (36) arrrière.Le fond du demi-ellipsoIde (85) parallèle au plan surélevé (48) de l'outil est ouvert pour permettre le passage du culbuteur (20) lors du glissement du bloc moteur sur le dos de l'outil. Après avoir collé le demi-ellipsoïde (85) sur le tube (76), on fixe la came (89) sur le méplat (74) de l'arbre (72) avec la vis (90) de pression.

La transmission du mouvement de translation latérale s'effectue ainsi - Dans la phase active, la came (89) fixée sur le méplat (74) de
l'arbre (72) de transmission du moteur (71) pousse le culbuteur
(20) solidaire de la règle (27) est comprime le ressort (25) de
compression calibré par l'intermédiaire du "pointeau" (24).

- Dans la phase passive, le ressort (25) se détend et pousse le culbu
teur (20) dans sa position initiale par l'intermédiaire du "pointeau"
(24).

L'accu (91) peut avoir une forme de parallélépipède rectangle.

On distingue deux languettes (92) latérales le long de l'accu (91) qui coulissent dans les glissières (37) de l'outil. Sur l'avant (petit côté) se trouve le dispositif (93) d'emboitement réprésenté par une section de tube rectangulaire accolé à l'accu (91). Sur le pourtour interne du tube rectangulaire , une gorge est conçu pour recevoir un joint torique (96), il assure l'étanchéité de 1'emboitement et des deux plots (94) de contacte disposés à l'intérieur. A l'extérieur du dispositif (93) d'emboitement de l'accu (91), à mi-hauteur des petits côtés, deux trous (95) sont aménagés pour recevoir la tête des pinces à clips (66), lorsque l'accu (91) est emboité. Les trous (95), afin de maintenir correctement, épousent la forme de la tête des pinces à clips (66).

Le moteur (71) utilisé sur le prototype à une tension de 12 volts en courant continue, ce qui lui assure une bonne puissance et une bonne longévité. Il est protégé par un disjoncteur thermique.

L'accu (91) de 12 volts peut-être - Au plomb, d'un prix de revient très faible, il peut avoir une bonne
longévité, si à chaque décharge, on lui laisse une réserve de 30%.

- Au nickel-cadium, bien qu'il soit onéreux, il accepte de nombreuses
décharges même profondes. Pour une capacité identique,le nickel
cadium assure une plus grande autonomie que le plomb.

L'accu (91) peut avoir une capacité comprise entre 3 et 6 ampères.

IL peut-être protégé par un limitateur de décharge représenté par un led. L'accu (91) peut-être remplacé par un transformateur redresseur (220 volts alternatif en 12 volts continue) de même largeur que l'accu (91). I1 est maintenue à l'avant par le même dispositif d'emboitement et il possède sur les côtés deux languettes coulissant dans les glissières (37).

Tous les éléments tels que - La plaque (46) avec son plan (47) perpendiculaire et son plan surélevé
(48), les logements (55) des vis (56) de fixation, les embases
(50) et (52).

- La poignée (57) avec son dispositif (65) d'emboitement et ses pinces
à clips (66).

- Les protections du moteur (71) et du mécanisme assurant les mouvements
de translation latérale de la règle (27), soit les tubes (75) et
(76), le "cache" (82) et le demi-ellipsoIde (85).

- L'enveloppe de l'accu (91) avec son dispositif (93) d'emboitement,
peuvent-être conçus en matière plastique (A.B.S. / P.V.C. U/ P.P.O./
ect. ...) d'une bonne rigidité et résistant aux chocs, aux ultra
violets et au différents de températures.

Claims (8)

REVENDICATIONS

1) Dispositif concernant une machine-outil pour étaler le mortier en un joint horizontal et assurer l'alignement des parpaings ou des briques lors d'une construction caractérisé en ce qu une règle (27) donc la longueur correspond à la largeur du support, animée d'un mouvement de translation latérale et avançant transversalement le long du support , disposée dans la partie arrière d'un plan (1) avec lequel elle forme une surface interne plane et lisse, incliné de 15 à 75 % mais plus idéalement à 50 % vers l'arrière, porté par deux plans latéraux (2) dont la partie arrière subit un prolongement (3) après la règle (27) pour tirer correctement les bords du joint.

2) Dispositif selon la revendication 1 caractérisé en ce que deux profils en T constituent par leurs hauteurs deux patins (8) biseautés sur l'avant par l'intermédiaire desquels l'outil glisse sur le support, mais également deux guides (9) qui maiwtennent l'outil latéralement le long du support et deux parties (10) opposées aux guides (9) qui se fixent sur la partie basse et externe des plans latéraux (2).

3) Dispositif selon la revendication 1 caractérisé en ce que deux potences (30) disposées latéralement à l'avant du plan incliné (1), orientées l'une vers l'autre, parallèles à l'arrête frontale du plan incliné (1), maintenues en place en leur base représentée par des axes perpendiculaires aux potences (30) que l'on introduit par l'avant dans des guides (29) parallèles aux plans latéraux (2).

4) Dispositif selon la revendication 1 caractérisé en ce que la règle (27) frotte sur la saillie (14) de la cornière (13) laquelle provoque en sa partie un dégagement (15), s'appuie sur deux lumières (19) rectangulaire disposées latéralement dans la partie arrière et supérieure des plans latéraux (2), mais également sur une troisième lumière (17) disposée au travers de l'axe longitudinal du plan surélevé (4) et permettant le passage du culbuteur (20) solidaire de la règle (27).

5) Dispositif selon la revendication 1 et la revendication 4 caractérisé en ce que le mouvement de translation latérale de la règle (27) est assuré dans la phase active par une came (89) fixée sur le méplat (74) de l'arbre (72) de transmission du moteur (71), laquelle pousse le culbuteur (20) solidaire de la règle (27) et comprime par l'intermédiaire du "pointeau" (24) le ressort (25) de compression calibré, lequel dans la phase passive se détend à l'intérieur de son tube (21) et pousse à son tour le culbuteur (20) dans sa position initiale par l'intermédiaire du "pointeau" (24).

6) Dispositif selon la revendication 1 et la revendication 5 caractérisé en ce que le bloc moteur étanche à l'eau de ruissellement est constitué sur la partie droite d'une poignée (57) en col de cygne courbée vers l'arrière avec un point d'ancrage à l'avant et d'un moteur (71) sur la partie gauche avec son système de transmission pro-e gé, dirigé vers l'arrière, le tout solidaire d'une plaque (46) renforcée par des alvéoles en sa face inférieure.

7) Dispositif selon la revendication 1 et la revendication 6 caractérisé en ce que l'accu (91) ou le transformateur redresseur venant s'emboiter sur la partie avant de la poignée (57) ou vis vers ça est constitué de deux sections de tubes rectangulaires (93) (65) femelle et mâle, ce dernier butant contre un joint torique (96) assure l'étanchéité des plots (94) (64) de contact, l'emboitement est maintenu par deux pinces à clips (66) disposées de part et d'autre de la poignée (57) et s'encastrant dans la section du tube rectangulaire (93) de l'accu (91).

8) Dispositif selon la revendication 1, la revendication 6 et la revendication 7 caractérisé en ce que l'accu (91) ou le transformateur redresseur lors de son introduction par l'avant est maintenu sur le plan incliné (1) par des glissières (37) parallèles tout comme le bloc moteur qui s'encastre dans des glissières (36) et dont le blocage est assuré par des vis (56) disposées sur le bloc moteur et pénétrant dans des inserts (38) inclu dans le plan incliné (1) et le plan surélevé (4).