FR2983503A1 - Dispositif de jonction et d'orientation de modules composants des mains courantes - Google Patents

Abstract

Le dispositif comprend une pluralité d'éléments modulaires (10), comprenant chacun un profilé (11), creux intérieurement pour recevoir à chacune de ses extrémités un couple d'embouts (12-14) comprenant une base cylindrique (12a-14a) se prolongeant à l'avant par une face d'appui (12c-14c). La jonction de deux embouts (12-14) disposés sur deux profilés successifs est assurée par un moyen de liaison (13) formant axe pivot. Chaque embout (12-14 ) vient en contact contre la paroi transversale en regard du profilé (11) dans lequel il est monté. Chaque embout est accouplé avec une bague de liaison (16) disposée à l'intérieur du profilé récepteur (11), chaque bague étant accouplée de manière libre avec l'embout (12-14) qui lui est associé par un moyen de fixation (17). Chaque bague présente un logement radial (16c) formé dans sa partie de dessous autorisant le positionnement d'un moyen de vissage (18) permettant d'accoupler la bague (16) avec son profilé (11) récepteur.

Description

DISPOSITIF DE JONCTION ET D'ORIENTATION DE MODULES COMPOSANTS DES MAINS COURANTES L'invention se rattache au secteur technique des mains courantes qui sont utilisées dans les constructions et bâtiments, et plus particulièrement dans les parties étagées et les couloirs avec des cheminements droits et/ou angulaires, pentés et/ou horizontaux.

Il est connu de réaliser des mains courantes qui sont disposées dans des couloirs, montées d'escaliers ou autres parties de bâtiments pour faciliter la marche et le déplacement pour des personnes âgées, handicapées, ou bien portantes, mais aussi dans un souci de confort pour ces derniers.

Ces mains courantes sont constituées par des modules de longueurs déterminées comprenant des éléments tubulaires qui sont associés les uns aux autres par des pièces de jonction. Ces dernières sont susceptibles de s'emboîter et se fixer dans les dits éléments tubulaires, soit dans un alignement axial continu et régulier, par exemple dans les couloirs, soit dans une situation d'orientation angulaire pour certains d'entre eux lorsqu'il y a des modifications de niveaux en montée ou descente, ou de parties de couloirs, elles-mêmes inclinées ou des changements de couloirs ou pièces. Dans ce cas, il faut prévoir que les éléments de jonction permettent une orientation angulaire de deux modules successifs de la main courante pour s'adapter au profil de la zone de marche. Par ailleurs, il peut aussi y avoir dans les constructions et de manière bien classique des cheminements définissant des zones d'angulation perpendiculaires par exemple lorsqu'il y a des situations de croisement avec ou sans élévation de zones de marche. Cela est très fréquent par exemple dans certains milieux hospitaliers. Il faut donc créer et agencer une main courante qui puisse répondre aux besoins rencontrés, s'adapter aux profils des zones de marche, avec des orientations en partie droites ou d'angles. On a ainsi représenté figure 1 pour la compréhension de l'invention et de manière schématique et partielle une partie de main courante avec différents modules assemblés les uns aux autres et contournant par exemple des parois de murs dans des angulations différentes, et aussi dans le cas de l'exemple précité, une montée étagée. Par ailleurs, ces mains courantes avec les modules correspondants doivent être fixées sur des parois de murs ou similaires à une certaine hauteur pour permettre une préhension aisée par les utilisateurs. En égard de ces contraintes, différents travaux ont ainsi été menés pour permettre une adaptation de l'orientation angulaire des composants ou modules de la main courante suivant les zones de son positionnement et de sa fixation. Les dispositifs de liaison des composants ou modules ont ainsi été décrits dans les brevets FR 2764623, EP 688920 par exemple. Ces documents illustrent des dispositifs de liaison qui permettent de faire varier exclusivement en orientation angulaire deux modules consécutifs et dans un même plan.

Le Demandeur fabrique et exploite des mains courantes de ce type depuis de nombreuses années sous sa référence commerciale ESCORT. On a ainsi représenté figure 2 une partie de main courante avant montage des éléments de jonction entre deux modules consécutifs afin de bien faire comprendre l'intérêt de l'invention. Dans cette mise en oeuvre, la main courante comprend des modules constitués par des profilés aluminium (1) extrudés de configuration tubulaire et qui sont agencés intérieurement avec des profils (1.1) permettant l'insertion d'une pièce de jonction (2). Chaque profilé présente sur une face de la face de dessous une rainure (1.2) ou glissière permettant l'insertion et le clipsage de pièces supports (3) autobloquantes profilées et susceptibles d'être positionnées contre une paroi de mur (P) par le biais d'une patte de fixation (3a). La partie glissière (1.2) permet aussi et par exemple le positionnement de clavettes de repérage pour assurer un repère tactile. La pièce de jonction (2) est également en aluminium extrudé et la liaison s'effectue entre la pièce de jonction et les profilés aluminium tubulaires par vissage. Un joint bactéricide (4) est disposé entre les extrémités des profilés tubulaires en regard et entoure la pièce de jonction. Pour tenir compte des parties d'angulation plus ou moins prononcées, et ce jusqu'à 90°, des pièces de raccordement de profil complémentaire sont utilisées pour assurer une continuité.

Le problème posé est celui de la présentation des modules de main courante lorsque celle-ci est posée dans des zones de parois ou murs ou cages d'escaliers présentant des différences de niveaux, des orientations angulaires de parois variées. En effet, de par les conceptions actuelles des mains courantes, et celles du Demandeur en particulier, on rencontre des difficultés pour positionner les pièces de fixation des modules de main courante contre les parois et murs de par l'orientation inappropriée des parties de modules participant au positionnement des dits moyens de fixation.

La démarche du Demandeur a donc été de vouloir remédier à cet inconvénient. Un autre but recherché selon l'invention a été d'offrir à l'utilisateur un confort amélioré dans la préhension et la saisie de la main courante, sans être gêné par d'éventuels moyens de fixation aux murs et parois en regard, et en laissant par rapport à la prise de main une zone lisse continue de la main courante.

Un autre but recherché selon l'invention était d'assurer une limitation des zones de rétention de poussières, une amélioration de la continuité de la prise en main. La solution apportée par le Demandeur répond à ces objectifs d'une manière simple et pratique et s'adapte à toute configuration d'emplacement de la main courante aussi bien en parties rectilignes, qu'en parties nécessitant des orientations angulaires dans différents plans. Selon une première caractéristique, le dispositif de jonction de modules composants de mains courantes, la dite main courante comprenant des profilés de configuration tubulaire agencés avec des profils permettant l'insertion de pièces de jonction et une face de dessous avec une rainure autorisant le clipsage de pièces supports autobloquantes de fixation sur une paroi de mur, les dits profilés successifs étant articulés les uns par rapport aux autres, est remarquable en ce que le dispositif comprend une pluralité d'éléments modulaires, chaque élément modulaire comprenant un profilé, creux intérieurement pour recevoir à chacune de ses extrémités un couple d'embouts comprenant une base cylindrique se prolongeant à l'avant par une face d'appui, et en ce que la jonction de deux embouts disposés sur deux profilés successifs est assurée par un moyen de liaison formant axe pivot, et en ce que chaque embout vient en contact contre la paroi transversale en regard du profilé dans lequel il est monté, et en ce que chaque embout est accouplé avec une bague de liaison disposée à l'intérieur du profilé récepteur, chaque bague étant accouplée de manière libre avec l'embout qui lui est associé par un moyen de fixation, et en ce que chaque bague présente un logement radial formé dans sa partie de dessous autorisant le positionnement d'un moyen de vissage permettant d'accoupler la bague avec son profilé récepteur. Selon une autre caractéristique de l'invention, le couple d'embouts comprenant une base cylindrique se prolonge à l'avant par une forme ayant un profil semi-circulaire et présentant une face d'appui disposée dans un plan horizontal dans l'axe du dit profilé creux. Selon une autre caractéristique de l'invention, le couple d'embouts comprend une base cylindrique se prolongeant en avant par un profil penté en oblique par rapport à l'axe du dit profilé creux. 15 Ces caractéristiques et d'autre encore ressortirons bien de la suite de la description. Pour fixer l'objet de l'invention illustré d'une manière non limitative aux figures des dessins où : 20 La figure 1 est une vue à caractère schématique illustrant le positionnement d'une main courante dans un local présentant une partie étagée avec des variations d'orientation angulaire de parois, 25 La figure 2 est une vue à caractère schématique illustrant la fabrication de mains courantes actuelles avec dispositifs de liaison par le Demandeur, 10 La figure 3 et une vue partielle à caractère schématique de deux modules selon l'invention associés et consécutifs de main courante en situation de montage avec la représentation fléchée des mouvements d'articulation et de rotation avec la mise en oeuvre d'un couple d'embouts réalisé selon une première variante. La figure 4 est une vue en perspective avant montage de deux modules de main courante selon l'invention avant assemblage des composants, en complément de la figure 3.

La figure 5 est une vue en perspective et de dessus illustrant deux modules de la main courante accouplés selon l'invention en complément de la figure 3, La figure 6 est une vue complémentaire à la figure 5, mais en vue de dessous pour montrer les parties de fixation, en complément de la figure 3, La figure 7 est une vue en coupe longitudinale de deux modules de main courante selon l'invention après assemblage, en complément de la figure 3, La figure 8 est une vue à caractère schématique illustrant la mise en oeuvre d'une main courante selon l'invention avec son dispositif de liaison et d'orientation de ses modules, en complément de la figure 3, La figure 9 est une vue en coupe selon la ligne AA de la figure 10 illustrant une variante de mise en oeuvre du couple d'embouts en association avec le dispositif selon l'invention, les profilés successifs étant en alignement axial, La figure 10 est une vue de face du dispositif selon la figure 9, La figure 11 est une vue en coupe selon la ligne BB de la figure 12 illustrant la variante de la figure 9, mais selon une angulation différente les dits profilés successifs étant perpendiculaires l'un à l'autre, La figure 12 est une vue de face du dispositif selon la figure 11, La figure 13 est une vue en coupe selon la ligne DD de la figure 14 illustrant une angulation différente des dits profilés successifs établie à 80°. Afin de rendre plus concret l'objet de l'invention, on le décrit maintenant d'une manière non limitative illustré aux figures des dessins. La main courante est référencée dans son ensemble par (MC) et elle comprend une pluralité d'éléments modulaires (10) qui sont assemblés les uns aux autres dans une continuité d'alignement tenant compte des caractéristiques des lieux dans lesquels elles sont installées. On se réfère maintenant aux figures 3 à 7 illustrant une première variante de réalisation de couple d'embouts associés à des profilés récepteurs. 25 Chaque élément modulaire comprend un profilé aluminium extrudé (11) creux intérieurement pour recevoir à chacune de ses extrémités un couple d'embouts (12-14) comprenant une base (12a-14a) cylindrique se prolongeant à l'avant par une forme (12b-14b) ayant un profil semi-circulaire et présentant une face d'appui (12c-14c). Comme représenté 20 figures 4 à 7, la jonction de deux embouts (12-14) disposés dans leur profilé récepteur (1) respectif disposé aux extrémités des deux éléments modulaires successifs s'effectue par l'appui de leurs faces (12c-14c) en regard l'une de l'autre à l'aide d'un moyen de liaison (13) formant axe pivot. L'un (12) des embouts présente dans l'épaisseur de sa partie semi-cylindrique un alésage (12d) traversant la dite partie avec un évidement (12e) de plus grand diamètre formant logement pour la réception de la tête (13a) du moyen de liaison (13). L'autre embout (14) présente dans l'épaisseur de sa partie semi-cylindrique un taraudage (14d) pour la réception de la partie filetée (13b) du moyen de liaison (13). On a ainsi représenté figure 7 cette disposition. On comprend donc qu'il puisse y avoir un pivotement des deux embouts (12-14) l'un par rapport à l'autre par rapport à l'axe (13) entraînant ainsi l'angulation a d'un module par rapport à un autre dans un plan donné.

Par ailleurs, et selon l'invention, chaque embout (12-14) vient en contact par son chant avant (12f-14e) contre la paroi transversale (11a) de chacun des profilés (11), tout en étant en appui et serrage contre un joint torique d'étanchéité (15) ou joint bactéricide. Chaque embout (12-14) est lui-même accouplé de manière identique avec une bague de liaison (16) qui est destinée à être intégrée à l'intérieur des profilés (11). Ces bagues de liaison ont un profil complémentaire au profil intérieur des profilés (11) pour être guidées dans ces derniers. Chaque bague (16) présente une collerette d'appui (16a) jouxtant le chant (1 lb) de la paroi d'extrémité du profilé (11) qui lui est associé. De plus, la bague (16) est accouplée de manière libre avec son embout (12) ou (14). Pour ce faire, la bague (16) présente un alésage intérieur (16b) autorisant l'insertion d'un moyen de fixation (17). L'embout (12-14) présente un taraudage complémentaire (12g-14f) en prolongement de l'alésage (16b) formé sur chacune des bagues (16). Le moyen de fixation (17) est donc accouplé par vissage par son extrémité filetée (17a) de manière ferme avec l'embout (12) ou (14) en pénétrant dans l'alésage formé sur la bague (16). Le dit moyen (17) de fixation présente lui-même une tête (17b) venant en appui non serré sur la face en regard de la bague (16).

En outre, et pour empêcher le débattement inopiné de la bague (16) par rapport au profilé (11), il est prévu comme représenté figures 6 et 7 l'aménagement sur la partie de dessous du module d'un logement radial (16c) formé dans l'épaisseur de la bague (16) pour autoriser le positionnement d'un moyen de vissage (18) permettant d'accoupler fermement la bague (16) avec le profilé (11) en venant en appui sur une paroi interne (11c) formée sur chacun des profilés Ainsi, selon l'invention, ce montage permet d'orienter le profilé (11) selon une rotation sur lui-même (flèche F2) afin de présenter sa face de dessous en regard de la paroi de mur en vue de sa fixation. En effet, le profilé (11) comme représenté figure 6 présente une partie glissière (11c) intérieure et accessible qui permet le clipsage des pièces supports (3) représentées figure 2, et d'éventuelles autres pièces.

On se réfère maintenant aux figures 9 à 14 qui illustrent des variantes de mise en oeuvre des embouts (12-14). Les autres composants restent inchangés dans leur caractéristique et mise en oeuvre. Les configurations représentées aux figures 9 à 14 ont essentiellement pour but de limiter les zones de rétention de poussières, et permettre également des solutions d'angulation de deux profilés successifs jusqu'à des angles de 90° ce qui peut être intéressant dans certains cas, par exemple dans les escaliers présentant des imperfections au niveau des angles.

Selon la figure 9, les embouts (12) et (14) présentent une bande (12a-14a) cylindrique qui se prolonge en avant par un profil penté en oblique (12h) et (14g) par rapport à l'axe du dit profilé creux. (11) dans lequel chaque embout est associé. Le moyen de liaison (13) est ainsi disposé en oblique dans le même agencement que précédemment comme représenté figure 7 par exemple. Selon la figure 9, les deux profilés consécutifs (11) sont en alignement axial. Dans le cas de la figure 11, les deux profilés (11) sont disposés perpendiculairement l'un à l'autre, et les embouts (12-14) ont leur surface définie par les profils (12h-14g) en contact complet l'un de l'autre, alors que selon la figure 9, de par la configuration donnée, il y a un léger décalage faisant apparaître une partie d'espace libre. Dans la configuration figure 13, les profils (12h-14g) formés sur les parties d'embouts (12-14) permettent une angulation à 90°.

Le dispositif de jonction et d'orientation selon l'invention permet ainsi une orientation des modules de la main courante dans différentes plans selon les flèches Fl ou F2 de la figure 3 pour absorber toutes les formes des parois de murs et de cloisons dans des situations rectilignes ou d'orientation angulaire, en cas de surfaces étagées, ou inclinées et montantes, ou planes, avec des parois de murs consécutives pouvant être par exemple à 90°. On a ainsi représenté figure 8 une telle mise en oeuvre de l'invention à titre non limitatif. En outre, le poseur de la main courante peut orienter très facilement les modules (10) en fonction des besoins par rapport aux plans de fixation. Il peut, lors du montage, orienter chaque profilé (11) dans une position telle que la partie glissière de fixation correspondant à la partie de dessous soit en regard de lui-même pour la pose et le clipsage des pièces supports (3), puis ensuite manipuler chaque profilé (11) sur 180° par exemple pour mettre en regard la partie de fixation (3.1) de chaque pièce support avec la paroi de mur sur laquelle elle est fixée. La solution est simple à mettre en oeuvre. Elle permet de s'adapter à des angles allant jusqu'à 80°. Chaque profilé (11) est associé à deux embouts dont la seule différence de structure réside dans la partie de passage et de fixation du moyen de liaison (13) ainsi que décrit précédemment.

Claims (7)

1. REVENDICATIONS1. Dispositif de jonction de modules composants de mains REVENDICATIONS1. Dispositif de jonction de modules composants de mains courantes, la dite main courante comprenant des profilés de configuration tubulaire agencés avec des profils permettant l'insertion de pièces de jonction et une face de dessous avec une rainure autorisant le clipsage de pièces supports autobloquantes de fixation sur une paroi de mur, les dits profilés successifs étant articulés les uns par rapport aux autres, caractérisé en ce que le dispositif comprend une pluralité d'éléments modulaires (10), chaque élément modulaire comprenant un profilé (11), creux intérieurement pour recevoir à chacune de ses extrémités un couple d'embouts (12-14) comprenant une base cylindrique (12a-14a) se prolongeant à l'avant par une face d'appui (12c-14c), et en ce que la jonction de deux embouts (12-14) disposés sur deux profilés successifs est assurée par un moyen de liaison (13) formant axe pivot, et en ce que chaque embout (12-14) vient en contact contre la paroi transversale en regard du profilé (11) dans lequel il est monté, et en ce que chaque embout est accouplé avec une bague de liaison (16) disposée à l'intérieur du profilé récepteur (11), chaque bague étant accouplée de manière libre avec l'embout (12-14) qui lui est associé par un moyen de fixation (17), et en ce que chaque bague présente un logement radial (16c) formé dans sa partie de dessous autorisant le positionnement d'un moyen de vissage (18) permettant d'accoupler la bague (16) avec son profilé (11) récepteur.
2. 2. Dispositif selon la revendication 1, caractérisé en ce que le couple d'embouts (12-14) comprend une base cylindrique (12a-14a) se prolongent à l'avant par une forme ayant un profil semi-circulaire et présentant une face d'appui (12c-14c) disposée dans un plan horizontal dans l'axe du dit profilé creux.
3. 3. Dispositif selon la revendication 1, caractérisé en ce que le couple d'embouts (12-14) comprend une base cylindrique (12a-14a) se prolongeant en avant par un profil penté (12h-14g) en oblique par rapport à l'axe du dit 5 profilé creux.
4. 4. Dispositif selon l'une quelconque des revendications 1 à 3, caractérisé en ce que l'un des embouts (12) présente dans l'épaisseur de sa partie semicylindrique un alésage (12d) traversant la dite partie avec un évidement (12 10 e) de plus grand diamètre formant logement pour la réception de la tête (13a) du moyen de liaison (13), et en ce que l'autre embout présente dans l'épaisseur de sa partie semi-cylindrique un taraudage (14d) pour la réception de la partie filetée (13b) du moyen de liaison (13), et en ce que le dit moyen de liaison forme axe pivot en permettant la variation de 15 positionnement de deux modules successifs, l'un par rapport à l'autre selon une angulation a dans un plan donné.
5. 5. Dispositif selon l'une quelconque des revendications 1 à 3, caractérisé en ce que chaque embout (12-14) vient en contact par son chant (12f-14e) 20 contre la paroi transversale de chacun des profilés (11) en étant en appui et serrage contre un joint torique (15) ou joint bactéricide.
6. 6. Dispositif selon la revendication 1, caractérisé en ce que chaque bague (16) présente une collerette d'appui (16a) jouxtant le chant (1 lb) de la paroi transversale (11a) du profilé (11).
7. 7. Dispositif selon la revendication 1, caractérisé en ce que chaque bague (16) présente un alésage intérieur (16b) autorisant l'insertion d'un moyen de fixation (17), et en ce que chaque embout (12-14) présente un taraudage complémentaire (12g-14f) en prolongement de l'alésage (16b) formé sur chacune des bagues, et en ce que le moyen de fixation (17) est accouplé par vissage par son extrémité filetée (17a) avec l'embout (12) ou (14) en pénétrant dans l'alésage formé sur la bague (16), la tête (17b) du moyen 5 (17) venant en appui non serré sur la face en regard de la bague (16).