FR2677778A1 - Dispositif de saisie de la structure musicale et de visualisation du temps musical sur une partition. - Google Patents

Dispositif de saisie de la structure musicale et de visualisation du temps musical sur une partition. Download PDF

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Abstract

Dispositif pour la saisie d'une structure musicale et la visualisation du temps musical d'une partition standard, comportant une unité de traitement à microprocesseur, au moins une mémoire vive, au moins une mémoire morte et au moins une interface d'entrées/sorties disposés dans un boîtier (11) présentant une face avant (12) sur laquelle sont disposés un clavier de saisie (27), un écran de contrôle (28) et un écran de visualisation (35) constitué d'un réseau de signaux lumineux (38), le déplacement de chacun de ces signaux étant effectué en fonction de l'écoulement du temps musical défini selon une structure musicale prédéterminée, et en correspondance avec les notes de la partition. Les signaux lumineux peuvent être par exemple des diodes électroluminescentes, la visualisation du temps musical étant effectuée par transparence ou des points élémentaires (38) d'un écran à cristaux liquides transparent (35), la visualisation du temps musical étant alors effectuée au travers de celui-ci.

Description

Dispositif de saisie de la structure musicale et de visualisation
du temps musical sur une partition
La présente invention concerne un dispositif de saisie de la structure musicale et de la visualisation de l'écoulement du temps musical sur une partition au moyen d'un signal lumineux évolutif.
On connaît déjà divers dispositifs, notamment le métronome, destinés à la signalisation du temps musical. Le développement de l'électronique et de l'informatique dans le domaine musical a amené la création de métronomes optiques ou visuels dans lesquels le balancement caractéristique du métronome classique, mécanique, est remplacé par le clignotement d'un signal lumineux, en général une diode électroluminescente (LED). Mais, qu'ils soient mécaniques ou visuels, de tels métronomes restent indépendants de la partition dont ils donnent la mesure et ne permettent donc, en aucune façon, une saisie de la structure musicale, et ne permettent en aucune façon, une visualisation de la correspondance entre le temps musical de la partition.
Un but de l'invention est de réaliser un dispositif qui permette la visualisation de l'écoulement du temps musical, note après note, ligne après ligne, sur une partition dont la structure musicale aura été saisie au préalable, cette saisie et cette visualisation devrait pouvoir être exécutées à partir d'une partition usuelle sans aucune nécessité de réécriture et devant en outre pouvoir s'adapter aux multiples possibilités qu'autorise l'écriture musicale.
Un autre but est de réaliser un dispositif simple d'utilisation, tant pour le débutant que pour le professionnel confirmé, qui soit autonome et peu encombrant et interconnectable avec d'autres dispositifs analogues ou utilisant un standard de communication normalisée.
Ces buts sont atteints, conformément à l'invention, par un dispositif pour la saisie d'une structure musicale et la visualisation du temps musical d'une partition standard, caractérisé en ce qu'il comporte une unité de traitement à microprocesseur, au moins une mémoire vive, au moins une mémoire morte et au moins une interface d'entrées/sorties disposés dans un boîtier présentant une face avant sur laquelle sont disposés un clavier de saisie, un écran de contrôle et un écran de visualisation constitué d'un réseau de signaux lumineux, le déplacement de chacun de ces signaux étant effectué en fonction de l'écoulement du temps musical défini selon une structure musicale prédéterminée, et en correspondance avec les notes de la partition.
Avantageusement, le dispositif comporte en outre une alimentation en énergie autonome.
Selon un mode particulier de réalisation, les signaux lumineux sont des diodes électroluminescentes et, la partition étant placée juste au-dessus de l'écran de visualisation, la visualisation du temps musical est effectuée par transparence.
Selon un autre mode particulier de réalisation, les signaux lumineux sont des points élémentaires d'un écran à cristaux liquides transparent et, la visualisation du temps musical est effectuée sur cet écran, la partition placée juste en dessous, étant visible par transparence.
Selon encore un autre mode particulier de réalisation, les signaux lumineux sont des points de lumière obtenus par éclairement d'un écran à cristaux liquides transparent par une source lumineuse et focalisation par une optique, l'écran étant éteint, sauf dans la zone définissant le point de lumière et, la partition étant placée sur la face avant du boîtier, la visualisation du temps musical est effectuée par projection de cette zone de l'écran sur la partition.
L'écran de controle est un écran de signalisation de caractères alphanumériques.
Le clavier de saisie comporte des touches de fonction pour la saisie de la structure musicale et des touches de déplacement pour le déplacement des signaux lumineux sur la partition.
De préférence, les touches de fonction comprennent au moins une touche de saisie des début et fin de mesure, une touche de saisie des barres de reprise, une touche de saisie du chiffrage de la mesure, une touche de saisie des sauts de mesure, une touche de validation des saisies, une touche d'annulation des saisies, une touche de saisie des dacapo, une touche de saisie des signes et une touche de saisie de la fin de morceau.
De même, les touches de déplacement comprennent en outre au moins une touche de déplacement du curseur de l'écran de con trôle et au moins une touche de défilement des indications apparaissant sur cet écran.
En outre, le dispositif comporte une pédale destinée à l'interruption momentanée de la visualisation du temps musical et à son redémarrage.
Selon une caractéristique, l'interface élabore des signaux de commande pour l'écran de visualisation, l'écran de con trôle et une sortie audio, et reçoit des signaux d'états du clavier de saisie.
Le dispositif comprend une interface pour l'élaboration de signaux de synchronisation pour des dispositifs externes reliés au dispositif par trois connecteurs de liaison et la sortie audio est un haut-parleur ou un casque d'écoute pour la perception auditive des temps musicaux.
D'autres caractéristiques et avantages ressortiront mieux de la description suivante, donnée à titre d'exemple non limitatif, et faite en regard des dessins annexés, dans lesquels
- la figure 1 représente une vue d'ensemble d'un premier mode de réalisation d'un dispositif selon l'invention,
- la figure 2 est un schéma-bloc fonctionnel détaillant les éléments essentiels du dispositif de la figure 1,
- la figure 3 montre les éléments de commande de l'écran de visualisation,
- la figure 4 représente l'interface MIDI,
- la figure 5 est un schéma-bloc fonctionnel de l'unité de traitement à microprocesseur et de ses éléments associés,
- la figure 6 représente l'alimentation en énergie du dispositif,
- la figure 7 montre l'interface de la sortie audio,
- la figure 8 représente l'interface clavier,
- la figure 9 est une vue d'ensemble d'un second mode de réalisation du dispositif selon l'invention,
- la figure 9a est une vue en coupe transversale du dispositif de la figure 9,
- la figure 10 est une vue d'ensemble d'un troisième mode de réalisation du dispositif selon l'invention,
- la figure 10a est une vue arrachée d'une partie du dispositif de la figure 10,
- la figure 11 montre l'organisation fonctionnelle générale du logiciel,
- la figure 12 détaille le programme de lecture des partitions,
- la figure 13 montre des sous-programmes du programme de la figure 12,
- la figure 14 détaille le programme relatif à l'écoulement du temps,
- la figure 15 est un exemple de partition standard,
- les figures 16 à 19 décrivent les différentes étapes pour la saisie et la lecture de la partition de la figure 15,
- la figure 20 montre l'organisation des transferts de données, et
- la figure 21 montre l'organisation de l'effacement des structures musicales périmées.
Les figures 1 à 8 illustrent un premier mode de réalisation de l'invention.
La figure 1 montre une vue d'ensemble d'un dispositif de saisie de la structure musicale et de visualisation du temps musical sur une partition dans le cadre de ce premier mode de réalisation. Le dispositif 10 prévu pour présenter un faible encombrement avec notamment une très faible épaisseur pouvant être de l'ordre d'une calculatrice de poche, se présente sous la forme d'une tablette, formant boitier 11, présentant une face avant principale 12 délimitée par un rebord 13. La face avant principale 12 contient un ensemble de touches 14 à 26 constituant un clavier de saisie 27 réparties en une première série de touches 14 à 22 de fonction et une seconde série de touches 23 à 26 de déplacement.
Un écran de contrôle 28 destiné à coopérer avec ces différentes touches est disposé au plus près de celles-ci. La face avant principale 12 contient en outre au-dessus de ces touches 14 à 26 et de cet écran de contrôle 27 un ensemble de visualisation 29 composé de plusieurs signaux lumineux 30 disposés à l'intersection de chaque colonne et chaque ligne d'un réseau dont la dimension externe est celle d'une partition standard au format
A4 (210 x 297 mm) et dont les mailles très serrées sont simplement limitées par les dimensions des signaux lumineux 30.
Ainsi par exemple, avec l'utilisation de diodes électroluminescentes miniatures, il est possible de constituer un réseau d'environ 100 x 150, soit 15 000 diodes. Toutefois, il peut être noté, comme l'exemple d'utilisation décrit plus avant le montrera, qu'une série de 546 diodes réparties en 14 colonnes et 39 lignes permet déjà une très bonne utilisation du dispositif.
Par souci de clarification de la description, le premier mode de réalisation ne comportera que 16 diodes par lignes réparties en 12 colonnes. Une sortie audio 31 délivrant un signal sonore, un ensemble de liaisons MIDI 32 (Musical Instrument Digital
Interface) pour la synchronisation avec d'autres dispositifs, une entrée pédale 39 et une entrée 118 pour une alimentation externe sont disponibles également sur cette tablette 11.
La figure 2 représente un schéma-bloc fonctionnel des éléments essentiels constitutifs du dispositif. Celui-ci est organisé autour d'une unité de traitement à microprocesseur 100 et d'un circuit logique programmable 101 auxquels sont reliés un circuit de mémoire vive 102 et un circuit de mémoire morte 103. Ces quatre éléments fondamentaux, qui seront décrits plus en détail en regard de la figure 5, assurent le bon fonctionnement et le séquencement du dispositif et gèrent l'adressage des éléments d'entrée/sortie apparaissant au niveau de la tablette 11, c'est-à-dire le clavier de saisie 27, l'écran de contrôle 28, l'écran de visualisation 29 et son interface 33, la sortie audio 31, les liaisons MIDI 32 et leur interface 34.Une horloge 110 permet la synchronisation du transfert d'informations entre ces différents éléments et une alimentation 115 fournit l'énergie nécessaire au bon fonctionnement de l'ensemble du dispositif. Avantageusement, cette alimentation est autonome pour pouvoir permettre l'utilisation du dispositif en toute circonstance. En outre, une pédale 39, remplace avantageusement certaines touches du clavier pour permettre une interruption momentanée du jeu puis son redémarrage, laisant ainsi les mains libres à l'exécutant.
L'écran de contrôle 28 est un écran de signalisation de caractères alphanumériques, avantageusement un écran à cristaux liquides dont les fonctions très évoluées permettront de simplifier sa commande par le microprocesseur 100. Cet écran 28 affiche des messages pour l'utilisateur en fonction des touches 14 à 26 actionnées au clavier 27, lesquels messages le guident pour définir notamment la structure musicale de la partition qu'il désire exécuter.
L'écran de visualisation 29, qui comporte le réseau de diodes 30, est la partie principale du dispositif, c'est en effet ces diodes qui permettent de positionner un point lumineux sur la partition et ainsi de visualiser l'écoulement du temps.
La figure 3 montre plus en détail les divers éléments de commande des diodes 30 constituant l'interface 33 de l'écran de visualisation 29.
Le câblage des diodes est matriciel. Les diodes d'une même ligne 290 ont leur anode reliée ensemble et les cathodes des diodes d'une colonne 291 sont reliées ensemble. L'allumage d'une diode se fait en mettant un niveau de tension haut sur la ligne désirée et un niveau bas sur la colonne désirée.
L'extinction de l'ensemble de la matrice ne peut être obtenue que par demande d'allumage d'une diode inexistante qui aura pour effet d'éteindre la diode précédemment allumée. Il est possible de régler l'intensité lumineuse par contrôle du générateur de courant, ce contrôle pouvant être accessible par l'utilisateur.
Deux décodeurs d'adresses 293 et 294 servant à sélectionner respectivement la ligne et la colonne et qui ne peuvent laisser passer le courant nécessaire nécessitent l'utilisation de transistors 295a à 2951 et 296a à 296p comme commutateurs.
Les adresses lignes 297a à 297d et les adresses colonnes 298a à 298d (il a été supposé que l'écran comportait 12 lignes et 16 colonnes) seront fournies par le circuit logique programmable 101.
La figure 4 représente l'interface 34 des liaisons MIDI 32. Celle-ci comporte trois prises, l'une l'entrée IN 320 reçoit les données de l'extérieur et permet d'asservir le dispositif à d'autres dispositifs analogues, à un ordinateur, à un séquenceur ou bien plus simplement de charger sa mémoire vive 102. Une autre prise est la sortie DUT 321 qui permet de synchroniser un élément extérieur avec le dispositif, il peut s'agir d'un dispositif analogue, mais aussi un ordinateur ou un séquenceur. Cette sortie peut également. servir pour sauvegarder la mémoire du dispositif. Enfin, une dernière prise, la sortie THRU 322, est une prise de "passage" qui est une recopie de l'entrée IN 320 par le dispositif qu'elle peut alors diriger vers un appareil extérieur.
Il faut signaler que le réseau MIDI étant un réseau monté en boucle de courant, il est important d'isoler galvaniquement l'entrée IN 320 du dispositif, une sortie 323 de l'unité de traitement à microprocesseur 100, par un optocoupleur 324. Les sorties OUT et THRU émettent un signal 325 pris en sortie du microprocesseur et réamplifié chacun par deux inverseurs, respectivement 326 et 327.
L'élément central du dispositif selon l'invention sera décrit en regard de la figure 5. Les entrées/sorties qui ont été évoquées précédemment seront référencées de la même manière.
L'interface clavier 35 et l'interface audio 36 qui sont réalisées par le circuit logique programmable 101 seront décrites plus avant en référence aux figures 7 et 8.
L'unité de traitement à microprocesseur 100 est un microcontrôleur muni d'un programme d'exploitation qui est particulièrement adapté à un tel dispositif de par ses nombreuses entrées/sorties, il possède quatre ports d'E/S, mais aussi de par sa propre horloge interne.
Dans le mode particulier de réalisation mis en oeuvre, il s'agit d'un microcontrôleur de 8 bits possédant un espace adressable de 128 kilo-octets de mémoire.
Au niveau des E/S, deux ports parallèles de 8 bits 105 et 106 (l'un pour les adresses basses et l'autre pour les adresses hautes) sont utilisés pour l'adressage de la mémoire vive 102 et de la mémoire morte 103. L'un d'eux 105 sert aussi de bus de données (Multiplexage). Un autre port parallèle 107 permet de recevoir ou d'émettre des bits de contrôle des périphériques (son aigu, son grave, allumage d'une diode, envoi des informations sur l'écran à cristaux liquides, indication de l'appui d'une touche, remise à zéro des états mémorisés du clavier).
Enfin, un dernier port sera reconfiguré en port série 108 afin de pouvoir émettre 325 et recevoir 323 les messages MIDI.
Différents signaux de service gD, WR, PSEN permettent de réaliser des écritures ou lectures au niveau du circuit logique 101 ou de sélectionner les mémoires 102 ou 103.
Le circuit logique programmable 101 regroupe sur un même circuit toute l'interface logique du dispositif et a donc plusieurs rôles particuliers.
En premier lieu, du fait des spécificités propres du microcontrôleur 100, il lui incombe la tâche de gérer le bus d'adresses et le bus de données constitués des ports 105 et 107 du microcontrôleur 100. En effet, le port 105 est utilisé, durant le même cycle du microcontrôleur, comme sortie du bus d'adresses véhiculant les poids faibles de celles-ci (AO à A7), mais aussi comme bus de données, les circuits des mémoires faisant la distinction entre adresseset données au niveau du brochage. Ensuite, cette interface logique 101 doit permettre la communication entre le microcontrôleur 100 et les différents périphériques. Ces périphériques (matrice de diodes 29, écran de contrôle 27) n'étant pas commandés de la même manière, l'interface rend leur contrôle homogène vis-à-vis du microcontrôleur 100.
Outre son rôle de gestion des bus d'adresses et de données, l'interface 101 effectue la sélection des mémoires vive 102 et morte 103 et la sélection des périphériques qui seront con sidérés comme une mémoire vive à accès unique (lecture ou écriture selon l'adresse demandée).
La distinction entre la mémoire vive 102 et la mémoire morte 103 se fait au niveau des signaux RD, WR et PSEN et la distinction entre mémoire vive 102 et le périphérique au niveau du bit de poids fort du bus d'adresses 106.
Le microcontrôleur 100 utilise l'interface logique 101 pour contrôler les périphériques suivants : écran de visualisation 29 ; clavier de commande 27 ; écran à cristaux liquides 28 sortie audio 31.
Certains nécessitent des données et des signaux de validation pour accepter ces données alors que d'autres fournissent données et signaux.
Ainsi, pour l'écran de visualisation 29, le microcontrôleur 100 envoie d'abord les coordonnées de la diode à allumer puis un front de validation. L'interface 101 stocke les coordonnées dans des bascules (non représentées). On accède à ces bascules par deux adresses qui sont décodées par cette interface. Celle-ci les met à la disposition 297, 298 de l'écran de visualisation 29 quand elle reçoit le signal de validation.
Pour le clavier de saisie 27, l'appui d'une touche va, après le codage de la touche appuyée par l'interface 101, provoquer l'émission d'un signal d'état 270 qui sera mis à la disposition du microcontrôleur 100 sur le port 107 de celui-ci.
Quand celui-ci aura lu la donnée, il acquittera sa lecture en réinitialisant les bascules par le signal de visualisation 281.
Chaque touche appuyée aura un code propre, de même que l'appui simultané de deux touches précises ou l'action de la pédale extérieure 39 d'interruption momentanée du jeu ou de redémarrage ou continuation du jeu (voir figure 7, la délivrance du signal d'état 271).
L'écran de contrôle 28 nécessite plusieurs informations à deux signaux qui servent à déterminer le mode de fonctionnement (commande ou écriture) et 8 bits de données qui transportent l'information, que ce soit une commande ou un caractère à écrire.
I1 a besoin aussi d'un signal de validation qui sera fourni direc tement par le microcontrôleur 100. Les signaux et les données seront stockés dans des bascules (non représentées) par l'interface 101 pour être en permanence à la disposition 280 de l'écran. On accède à ces bascules par deux adresses qui sont décodées par l'interface 101.
Pour la sortie audio 31, l'interface 101 fabrique en permanence les deux fréquences nécessaires (LA 440 Hz et LA 880 Hz) pour les tops sonores et pour le diapason à partir de l'horloge 110 du dispositif. L'émission 318 d'une de ces fréquences sur le dispositif amplificateur du haut-parleur est déterminée par deux signaux de type niveau envoyés par le microcontrâleur 100, un pour émettre la fréquence haute (LA 880 Hz) et l'autre pour la fréquence basse (LA 440 Hz).
Le circuit 101 est programmable, mais celui-ci devant charger sa configuration à chaque mise sous tension, celle-ci doit être sauvegardée dans une mémoire morte 103 qui, étant programmable et effaçable, permettra ultérieurement l'amélioration de la structure logique sans transformation radicale des circuits du dispositif. Cette mémoire 103 qui est d'un type standard, par exemple une EPROM 27512 de INTEL, contiendra en outre le programme de gestion du dispositif. Elle reçoit des signaux de service E et CE, lebus de données 105 et le bus d'adresses décomposé en adresses hautes 106 et adresses basses 107, ces dernières provennant de l'interface 101 et non du microcontrôleur 100 du fait du multiplexage données/adresses de ce circuit.
Enfin, le dispositif comporte également une mémoire vive 102 reliée comme la précédente aux bus de données 105 et d'adresses 106 et 107 et comportant également des signaux de services CS, DE,
WE. Cette mémoire 102 qui est la mémoire de travail du dispositif contient la structure musicale des différentes partitions que l'exécutant désire jouer. C'est une mémoire standard, par exemple une RAM 51256 de INTEL.
Pour permettre une utilisation autonome du dispositif, sans recours à une source d'énergie externe, l'alimentation 115, illustrée à la figure 6, comportera un ensemble de batteries 116 destiné à suppléer cette source d'énergie extérieure.
L'alimentation 115 comporte un régulateur 117, muni d'un radiateur, pour réduire et réguler la tension venant des batteries 116 ou de la sortie d'un transformateur 118, externe au dispositif, alimenté par le réseau alternatif. La commutation batterie-transformateur se fait automatiquement par deux diodes 119, un interrupteur bipolaire 120 permettant de couper entièrement cette alimentation. Le dispositif pourra comporter en outre un ensemble de piles en lithium (non représenté) pour assurer la sauvegarde de ses mémoires en cas de coupure de cette alimentation autonome 115.
L'interface 36 de la sortie audio 31 sera maintenant décrite en regard de la figure 7. Cette sortie audio 31 sert à indiquer les tops sonores du tempo à partir de deux fréquences 310, 311, LA 440 Hz et LA 880 Hz. Le LA 880 Hz indiquera le premier temps de la mesure, les autres seront indiqués par le LA 440 Hz qui sera aussi utilisé comme diapason pour accorder les instruments.
Les deux fréquences LA 440 Hz et LA 880 Hz sont créés à partir de l'horloge 110 du dispositif qui délivre le signal à haute fréquence 312 à l'interface logique 101 qui élaborera alors le signal de commande 318 pour un haut-parleur ou un casque d'écoute.
Un premier diviseur 313 permet d'obtenir la fréquence de 880 Hz et un second diviseur 314 (diviseur par 2) la fréquence de 440 Hz, lesquelles fréquences constituent les entrées d'un multiplexeur 315 commandé par deux signaux 316 et 317 provenant du microcontrâleur 100. La durée du niveau de ces signaux commande la durée du top sonore émis par le haut-parleur 318. Cette durée comme précédement la luminosité de l'écran de visualisation peut être réglée par l'utilisateur.
La figure 8 précise l'interface clavier 35. Celle-ci comme l'interface audio 36 est réalisée au niveau du circuit logique programmable 101 qui reçoit les signaux d'état 270 des différentes touches 14 à 26 du clavier et le signal d'état 271 de la pédale-interrupteur 39. Le codage de la touche ou de la pédale appuyée est effectué par le décodeur 272 qui émet sur le port 107 le code correspondant à destination du microcontrôleur 100.
L'action sur une touche donnée est mémorisée par une série de bascules 273a à 273n du type RS par exemple, dont la remise à zéro 274 est effectuée depuis le microcontrôleur 100 après que celui-ci ait lu le code de la touche actionnée. L'action de deux touches particulières qui peuvent par exemple être deux des touches de déplacement 23 à 26 provoquera l'émission d'un code particulier qui permettra l'éclairement de plusieurs diodes (au niveau par exemple de la première et de la dernière mesure et d'une mesure intermédiaire) pour permettre et faciliter un positionnement correct de la partition avant l'exécution. La fixation de cette partition pourra être réalisée par exemple au moyen d'aimant.
Les figures 9 et 9a illustrent un deuxième mode de réalisation de l'invention dans lequel l'écran de visualisation 29 n'est plus constitué par un réseau de diodes 30, mais plus simplement par un écran à cristaux liquides 35 intégré dans un cadre 36. Les autres éléments restant identiques ne seront pas à nouveau détaillés. Le cadre 36 de l'écran à cristaux liquides 35 est monté sur des charnières 37, ce qui permet le pivotement de l'écran pour placer la partition en dessous. De par la définition actuelle des écrans à cristaux liquides qui peuvent dépasser les 4000 points par centimètres carrés, un tel mode de réalisation permet une adaptation particulièrement simple à tout type de partition.Le signal lumineux, une LED dans le premier mode de réalisation, sera dans ce cas matérialisé par l'éclairement de cristaux liquides déterminés 38 dont le déplacement visualisera l'écoulement du temps. Les différents éléments électroniques définis précédemment sont identiques à l'exception de l'interface de visualisation qui, dans ce mode de réalisation, est interne au circuit logique programmable 101 qui délivre directement, à partir des données de structure musicale programmées dans la mémoire vive 102, les signaux de commande pour l'écran à cristaux liquides 35.
La figure 9a montre plus précisément une coupe transversale du dispositif de la figure 9. L'ensemble des circuits électroniques, interfaces, mémoires et microcontrâleur sont disposés sur une plaque 50 de circuit imprimé qui est solidarisé du fond 51 du boitier 11 par deux ensembles vis-écrous 52. Un connecteur, par exemple le connecteur audio 31, est avantageusement disposé sur un des côtés de ce boitier 11. Des connexions 53 et 54 permettent les liaisons entre respectivement le connecteur représenté et l'écran de visualisation à cristaux liquides 35 (bien évidement, il existe des connections identiques pour les autres connecteurs non représentés). Le pivotement de l'écran 35 laisse apparaître le plan de pose de la partition 55, celle-ci étant maintenue par les rebords 36 de cet écran lorsque celui-ci est refermé.
L'emplacement du connecteur représenté n'est bien évidemment pas limitatif et il peut être intéressant de le placer par exemple sur les dessus du boitier 11.
Les figures 10 et 10a illustrent un troisième mode de réalisation de l'invention dans lequel la visualisation de l'écou- lement du temps est obtenue par projection, sur la face avant principale 12 du dispositif sur lequel repose la partition maintenue par exemple au moyen d'aimants, du signal lumineux 40 élaboré, au travers d'une optique à focale réglable manuellement 41, depuis une source lumineuse 42 éclairant un écran à cristaux liquides transparent 43. Cet écran 43 sera commandé comme dans le mode de réalisation précédent directement par l'interface logique programmable 101 qui commandera le noircissement de l'écran, sauf dans la zone correspondant au signal lumineux à projeter sur la partition.
L'écran à cristaux liquides 43, la source lumineuse 42 et l'optique à focale réglable 41 sont contenus dans un ensemble optique 44, dont les éléments constitutifs ont été détaillés en regard de la figure 10a qui est une vue éclatée schématique de cet ensemble optique , relié au boitier en forme de tablette 11 par un bras 45. Le bras articulé permet de placer l'ensemble optique 44 à une hauteur variable de la tablette 11 et donc de la partition posée sur sa face principale 12.
Si l'on considère à nouveau la figure 1, on voit que le dispositif comporte 9 touches de fonction et 4 touches de déplacement. Les touches de fonction 14 à 22 permettent de définir la structure musicale du morceau à exécuter. Le déchiffrement d'une partition suppose la connaissance préalable de sa structure musicale qui repose sur un certain nombre de règles et de paramètres que sont la mesure, la reprise ou le renvoi, le capo, les signes, le saut de mesure et les chiffres indicateurs de rythme - la mesure
La mesure organise la notation musicale en cellules comportant un nombre d'unités rythmiques préétabli au moyen d'un chiffre indicateur. Elle comporte un début et une fin matérialisés par les barres de mesure qui limitent sur la portée un espace correspondant à une certaine durée.Ces barres divisent la portée en parties de temps égales et non d'espace. I1 en résulte que les mesures peuvent être de dimensions différentes. Ainsi, une mesure peut être de même durée que la précédente ou la suivante, mais occupe beaucoup plus de place car elle contiendra plus de notes.
La mesure est aussi caractérisée par son emplacement physique dans la partition.
- La reprise ou renvoi
C'est un code musical qui permet de créer des bouclages inconditionnels. Elle est composée d'une marque de début et d'une autre de fin. Elle se joue ainsi : quand on rencontre pour la première fois une marque de début de reprise on sait que l'on reviendra sur cette mesure par la suite. Quand est rencontrée pour la première fois une marque de fin de reprise, il faut revenir en arrière jusqu'au point de bouclage. Pour trouver celui-ci1 on lit la partition à rebours jusqu'à ce que l'on trouve une marque de début de reprise sur laquelle on n'est encore jamais revenu.
Lorsqu'on l'a trouvée on reprend le jeu à cet endroit.
- Le capo
C'est, associé avec le dacapo, une boucle conditionnelle fonctionnant de la même façon que la reprise mais avec des différences. Ainsi le point de bouclage est unique, c'est le capo, alors que les endroits où l'on démarre la boucle, les dacapo, sont multiples mais ne peuvent être exécutés qu'une fois. De plus, une information supplémentaire est donnée par le dacapo, c'est le signe qui lui est associé, embranchement à prendre dans la suite du jeu ou bien la fin du morceau.
- Le signe
C'est un signe spécial qui se retrouve deux fois sur la partition. I1 signale un embranchement. Le signe placé en fin de mesure est le point de départ, et donc, celui placé en début de mesure, est le point d'arrivée. l'exécution se fait ainsi : si on a rencontré un dacapo signalant ce signe comme étant l'embranchement à prendre ultérieurement, la rencontre avec le signe marquant la fin de la mesure provoquera la recherche vers la fin de la partition du signe correspondant placé, lui, au début de la mesure.
C'est à cet endroit que l'on reprendra le jeu. S'il n(y a pas de capo et de dacapo, les signes sont ignorés.
- La fin
C'est une marque qui signale la fin d'un morceau. S'il n'y a pas de capo oude dacepo, sa rencontre provoque l'arrêt de la lecture, sinon, on joue jusqu'à ce qu'un dacapo signale qu'on doit maintenant en tenir compte.
- Le saut de mesure
C'est un numéro qui permet de jouer, en association avec une structure de reprise, des séquences différentes de mesures.
Cela se joue par numéro croissant. Ainsi, si l'on a joué le numéro n-l et si l'on rencontre une fin de reprise, on l'exécute et, quand on re-rencontre un numéro, on recherche vers la fin de la partition le numéro n et on le joue ainsi de suite.
Un saut de mesure est en général associé à un signe de reprise, et voire à un dacapo.
- L'indicateur de rythme ou signature
Il donne des informations sur la façon dont est organisée temporellement une mesure. C'est-à-dire le nombre de battements ou temps qu'elle comporte, ainsi que la note qui correspond à un battement (noire, blanche, croche ou autre). Le temps étant l'unité de base donnée par le tempo qui est le nombre d'unités de temps par minute. Ainsi, un tempo de 120 donnera unbattement toutes les 0,5 s.
A chacune de ces notions classiques correspondant une touche de fonction. La touche 14 correspond à la mesure et permet la détermination du début du premier temps et du début du dernier temps de la mesure. La touche 15 correspond à la reprise, la touche 16 au chiffre indicateur de rytme et la touche 17 au saut de mesure. La touche 18 est une touche de validation qui permet de valider une fonction précédemment effectuée et la touche 19 une touche de correction/annulation. La touche 20 correspondant au dacapo, la touche 21 au signe et la touche 22 au signe particu- lierde FIN. Il peut être noté que la pédale 39 joue à la fois de la touche de validation et de la touche d'annulation.
A coté de ces notions classiques, l'exercice de différents types de musique nécessite la connaissance de notions plus avancées notamment utilisées dans la musique jazz. Il s'agit du dédoublement qui consiste à n'indiquer qu'un temps sur deux ou trois temps selon le type de mesure (très utile en cas de jeu rapide) ou bien encore de l'afterbeat qui consiste dans l'accentuation des temps faibles, le deuxième temps ou les deuxième et quatrième temps selon ici encore le type de mesure (à 3 ou 4 temps).
L'action des touches de fonction 14 à 22 combinée avec celles des touches de déplacement 23 à 26 permettra donc de définir la structure musicale correspondant à la partition à jouer. Cette définition de la structure musicale sera facilitée par les quatre touches de déplacement 23 à 26. Les touches 24 et 26 permettent le déplacement du point lumineux et les touches 23 et 25 le déroulement des informations à l'écran de contrôle 28 , lesquelles informations permettront de faciliter la définition de cette structure et renseigneront sur une incohérence éventuelle de la saisie (comme par exemple : début de mesure sans fin, saut ou
reprise à un numéro inexistant, saut ou signe déjà utilisé, fin de jeu non présente, decapo sans capo ou sans signe, des sauts de mesures non continues etc.). I1 peut être noté que cette définition suppose un déchiffrement préalable de la partition, ce qui est particulièrement profitable pour l'exécutant débutant qui pratiquera ainsi mieux l'instrument.
La structure musicale ainsi connue du dispositif, celui-ci pourra visualiser l'écoulement du temps musical en éclairant un point précis de la partition correspondant à la ou les notes à jouer. Ce point lumineux qui sera matérialisé par une LED ou un point élémentaire d'un écran à cristaux liquides se déplacera au rythme du temps musical en suivant la structure musicale. Ainsi, il pourra revenir en arrière ou bien sauter des mesures. En définitive,ce dispositif permettra à l'exécutant d'acquérir une totale maîtrise de son instrument qu'il en joue seul ou à plusieurs, la synchronisation de nombreux dispositifs entre eux (par des liaisons MIDI) permettant par exemple de définir une convension de temps entre les différents musiciens et par la même occasion de simplifier le travail de coordination du chef d'orchestre.
La figure 11 montre l'organisation fonctionnelle générale du logiciel utilisé dans les différents dispositifs précédents. Après une phase d'initialisation 500, l'un au moins des programmes suivants, correspondant chacun à un mode de fonctionnement différent, est mis en oeuvre
- le programme de lecture 501 qui permet l'exécution d'un morceau débute par le choix d'un morceau 502 puis se poursuit par le choix du jeu de l'ensemble 503 ou simplement d'une partie 504 de ce morceau, définie alors par sa première 505 et sa dernière mesure 506. Enfin, les différents paramètres du jeu peuvent être modifiés : le temps 507, la répétition du morceau 508, la prise en compte des informations du réseau MIDI 509, l'afterbeat 510, le dédoublement 511, la définition de la note d'accord (LA 440 Hz par exemple) 512, le lancement 513 ou l'arrêt de la lecture 514.
- le programme de saisie 515 qui permet la programmation de la structure musicale nécessite comme précédemment le choix d'un morceau 502 puis la saisie de cette structure au fur et à mesure du déplacement 516 du point lumineux. Après saisie du début d'une mesure 517 et indication des paramètres correspondant à ce début de mesure comme un chiffre indicateur 518, une indication de reprise 519, un saut 520, un signe 521 ou un dacapo 522, il est procédé à nouveau au déplacement du point lumineux 516 pour venir le placer en fin de cette mesure 523 et parallèlement indiquer les paramètres qui lui correspondent comme une reprise 524, un signe 521, une fin de morceau 525 ou un dacapo au signe spécifique FIN 526.
A tout moment, ou lorsqu'une erreur est signalée à écran de contraire 27, il est possible de procéder à des corrections 527 des paramètres précédents : chiffre indicateur, signe, reprise, saut, dacapo pour la mesure alors saisie ou une autre mesure 528.
- le programme de modification 529 qui nécessite le choix du morceau 502 que l'on désire corriger, puis pour chaque mesure 528 à modifier, l'indication des paramètres à enlever, ou rajouter chiffre indicateur, reprise, saut, signe ou dacapo.
- le programme de transfert des données 530 qui permet soit la sauvegarde des structures musicales des partitions saisies 531 soit le chargement depuis des organes extérieurs 532 de structures définies par exemple au niveau d'autres dispositifs.
L'organigramme des figures 12 et 13 montre plus en détail le programme de lecture de la partition dans lequel est faite notamment la recherche de la mesure suivante qui est une difficulté importante compte tenu du grand nombre de structures musicales possibles.
Tout d'abord, il est nécessaire de venir se placer sur la première mesure à jouer 540 puis de jouer l'introduction 541.
Celle-ci consiste en deux mesures, sur lesquelles le musicien va pouvoir juger du temps de la partition, qui se situent en début de partition ou s'il s'agit d'une exécution partielle deux mesures avant la première mesure choisie pour la partie de morceau à exécuter. Ensuite, tant que la fin du morceau à jouer n'est pas repérée 542 et donc la lecture terminée 543, il est procédé au jeu de la mesure analysée 544 puis à la recherche de La mesure suivante 545 et alors à la lecture de cette nouvelle mesure 546. La recherche de la mesure suivante 545 consiste en l'analyse des codes associés à une mesure donnée et en leur exécution.
Ainsi, après lecture d'un premier code 547, tant qu'un code de début de mesure n'est pas détecté 548, cette détection déclenchant la lecture de la mesure 546, il est procédé aux opérations suivantes selon la nature du code rencontré - le code est une reprise non déjà faite 549, il est décompté (voir figure 13), le nombre de passage associé à cette reprise 550 puis recherché le début qui lui est associé 551 et, si tous les sauts ont bien été faits 552, il est procédé à la réinitialisation des reprises situées dans la reprise au cours 553.
- le code est un dacapo non déjà fait 554, il est procédé au marquage de ce dacapo 555 afin d 'indiquer qu'il est en cours d'exécution puis il est fait retour au capo 556. L'ensemble de la partition est alors réinitialisé 557 (notamment les sauts et les reprises sont renumérotés dans un ordre croissant) du dacapo à la finde la partition. Le signe associé au dacapo à jouer ultérieurement est aussi mémorisé 558.
- le code est un signe attendu 559, alors il est fait saut à ce signe 560.
- le code est une fin de morceau ou une fin d'une partie de morceau définie préalablement 561, alors il est procédé à l'arrêt de la lecture 543.
Après exécution de chacune de ces opérations, il est fait retour à la suite naturelle du programme de recherche qui se termine par la lecture du code suivant 562 qui, s'il s'avère être le code de début, achèvera cette phase de recherche de la mesure suivante 545.
La figure 14 donne un organigramme particulier relatif à l'affichage de l'écoulement du temps. Il s'agit ici encore d'un élément très important puisque le dispositif est utilisable avec des partitions standards. Aussi, notamment dans le cas du premier mode de réalisation, il peut être nécessaire de faire clignoter une
LED (battement) pour indiquer les temps lorsque, la mesure étant petite, le nombre de diodes est insuffisant pour indiquer tous les temps. Il est à noter que ce problème ne se pose plus si le nombre de diodes est élevé (voir par exemple l'exemple de saisie d'une partition donné plus avant) ou bien s'il est recouru au deuxième et troisième mode de réalisation de l'invention dans lesquels ces
LED sont remplacés par les points élémentaires d'un écran à cristaux liquides. Inversement, il est possible que ce soit le nombre de diodes qui soit plus important que les temps nécessaires.
Il est procédé en premier lieu au contrôle de l'afterbeet et du dédoublement 570 puis, si le nombre de diodes est supérieur au nombre de battements à afficher 571, il est procédé au calcul du nombre de diodes utilisées par battement 572 et pour tous les battements 573 un bip aigü est délivré au premier temps 574 et un bip grave aux autres temps 575. Ensuite, si l'afterbeat ou le dédoublement est activé 576, la diode est allumée 577 (allumage des temps faibles pour l'efterbeat et des temps forts pour le dédoublements) puis la nouvelle position à allumer est calculée 578.Au contraire, si le nombre de battements à afficher est supérieur au nombre de diodes à allumer 571, il est procédé au calcul du nombre de battements par diode 579 et pour toutes les diodes 580 avant le calcul de la nouvelle position à allumer 581 et cela pour tous les battements 582 un bip aigü est délivré pour le premier temps 583 et un bip grave pour les autres temps 584 et, ensuite, si l'afterbeat ou le dédoublement est activé 585, la diode concernée est alors allumée 586.
On décrira maintenant en regard des figures 16 à 19 un exemple d'utilisation du dispositif selon l'invention pour saisir la structure musicale d'une partition modèle, donnée à titre d'exemple, et illustrée à la figure 15.
Cette partition 600 est écrite sur 3 portées 601 et comporte 12 mesures 602 à 613 de longueur variable. Dans un but explicatif, cette partition modèle 600 possède l'ensemble des paramètres évoqués précédement et les valeurs qui y sont inscrites sont très variables : ronde, blanche, noire, croche, double croche, etc. Les altérations dièse et bémol sont aussi représentées.
Après mise sous tension du dispositif, l'écran de contrôle 28 affiche l'indication 1000 suivante sur deux lignes
MUSIC POINTER (première ligne), LECTURE (seconde ligne). Après la mise sous tension, le dispositif sera donc positionné par défaut dans le mode lecture de partition. Le passage dans les quatre autres modes se fera par l'action sur la touche de déplacement vers le haut 23 ou vers le bas 25, les messages étant bouclés.
Une première action valide le mode transfert de donnée et une seconde action le mode programme (une troisième action aurait validé le mode effacement, une quatrième le mode modification et une cinquième à nouveau le mode lecture), l'écran affiche alors l'indication 1001 suivante : MUSIC POINTER (père ligne),
PROGRAMME (2e ligne). Une action sur la touche validation 18 donne accès à ce mode particulier et affiche l'indication 1002
PROGRAMME (première ligne), NOM : (2e ligne). A cet instant, le programme est en attente de l'entrée d'un nom qui référencera le morceau qui sera ensuite saisi. L'écran de contrôle 28 est choisi avec 2 lignes de 16 caractères et il est possible de donner des noms comportant au plus 7 caractères, chaque caractère pouvant être pris parmi les lettres de l'alphabet et les chiffres de O à 9.
Avant toute inscription, un premier curseur 1003 est positionné sur le premier emplacement à inscrire. L'action des touches de déplacement vers le bas 25 ou vers le haut 23 permet de dérouler les multiples caractères possibles et donc de pouvoir indiquer le nom désiré. Dans cet exemple démonstratif, le nom choisi est DEMO. Après l'inscription de la première lettre, l'action sur la touche de déplacement vers la droite 24 permet de positionner le curseur sous la seconde lettre, ou chiffre à écrire.
Successivement, les indications 1004, 1005, 1006 et 1007 feront apparaître les lettres D, DE, DEM puis enfin DEMO à la suite de la seconde ligne de l'écran de contrôle 28. Une nouvelle action sur la touche de validation donnera l'indication 1007 suivante : PROG
DEMO (père ligne), DEBUT MORCEAU (2e ligne).
La partition 600 ayant été préalablement correctement positionnée sur la face avant principale 12, les différentes LED 30 se retrouvent disposées en dessous de chaque portée et dans l'exemple cité au nombre de 39 par ligne.
Seules les LED immédiatement en dessous des portées écrites 601 de la partition seront concernées par la définition de la structure musicale du morceau modèle. Au départ, seule la première LED est allumée signalant la position du curseur de l'écran de visualisation 29. Afin de débuter la définition de la structure, le curseur est déplacé de 5 pas vers la droite par la touche 24 pour venir se placer au-dessous et à droite de la première barre de mesure 615. L'action sur la touche de mesure 14 valide alors le début de la mesure, et l'indication 1008 apparaît
MESURE OUVERTE (père ligne), IND : (seconde ligne) demandant le chiffrage de la mesure.C'est à la fois la quantité (de 1 à 9) et la nature de la valeur prise en référence, les dix valeurs de référence étant les suivantes : ronde pointée, ronde, blanche pointée, blanche, noire pointée, noir, croche pointée, croche, double croche pointée, double croche. L'action sur la touche de chiffre indicateur 16 suivie de celle des touches de déplacement vers le bas 25, une première fois pour faire apparaître le chiffre 4, une seconde fois, après avoir préalablement déplacé le curseur vers la droite par la touche 24, pour faire apparaître les caractères NOIRE parmi les dix valeurs de référence, permet de rentrer, pour l'exemple cité, quatre noire1 indication 616 correspondant au symbole 4/4, porté sur la partition en avant de la première mesure. L'écran de contrôle 28 affiche successivement 1009 IND : 4 et 1010IND : 4 NOIRE sur sa seconde ligne.
Les autres symboles présents au niveau de ce début de mesure 615 sont ensuite entrés dans le dispositif : la reprise 617 par l'action sur la touche 15, déplacement du curseur par la touche 24 et indication du numéro de reprise, ici 1, par déroulement des chiffres avec la touche 25, il est alors affiché 1011 : MESURE
OUVERTE (père ligne) REPRISE DEBUT 1, puis le dacapo 618 par action sur la touche 20, l'indication 1012 étant : MESURE OUVERTE (père ligne) dacapo (2e ligne).
Ces symboles de début de mesure étant validés, le curseur de l'écran de visualisation 29 sera déplacé vers la fin de mesure 619 par un déplacement de 9 pas vers la droite par la touche 24 pour venir se placer en avant de cette fin de mesure la dernère note 620 de cette première mesure 602. L'action sur la touche de mesure 14 validera cette fin de mesure et il apparaîtra l'indication 1013 : MESURE FERMEE. Le curseur est encore déplacé de 7 pas vers la droite pour venir se fixer à droite et en dessous de cette fin de mesure 619 qui constitue aussi le début de la seconde mesure 603. L'action sur la touche de mesure 14 affiche à nouveau 1014
MESURE OUVERTE, puis comme il n'existe pas de symbole particulier attaché à ce début de mesure, il est procédé au déplacement du curseur vers la fin de la mesure 621, l'action sur la touche 14 affichant 1015 : MESURE FERMEE. Une seconde action sur la touche désigné 21 permet de valider le symbole de signe 622 qui sera référencé en 1 par action sur la touche 25 qui permet ensuite le déroulement des chiffres O à 9, l'affichage sur la seconde ligne de l'écran de contrôle 28 étant alors : SIGNE N 1.
Pour définir la mesure suivante 604, un déplacement de 2 pas permet de venir se placer à droite de la fin de mesure 621, l'action sur la touche 14 indiquant 1016 : MESURE OUVERTE et, après un nouveau déplacement de 9 pas, pour venir au niveau de la dernière note 623 de cette mesure en avant de la fin de mesure 624, entraînera l'indication 1017 : MESURE FERMEE, après une nouvelle action sur la touche 14. Ainsi s'achève la validation de cette mesure 604 et celle de la première portée de la partition modèle.
I1 a pu être observé le maniement simple et répétitif du clavier 27, les messages apparaissant à l'écran de contrôle permettant de suivre parfaitement le déroulement du processus de validation. L'action d'une touche de fonction provoque l'affichage de message correspondant et, lorsqu'une lettre ou un chiffre doit ëtre affiché, l'action sur les touches de déplacement donne accès à un alphabet déroulant qui permet alors d'inscrire les caractères désirés. On a noté aussi que l'ouverture d'une mesure se fait en positionnant le curseur à l'endroit du début du premier temps de la mesure etla fermeture en le positionnant à l'endroit du début du dernier temps de mesure.Ainsi, le processus de validation d'une mesure peut se décrire comme suit : positionnement du curseur sous la première note à droite du début de mesure, validation de ce début de mesure, affichage de l'indication MESURE OUVERTE, entrée éventuelle d'un premier symbole pris parmi les différents symboles possibles, affichage de l'indication MESURE OUVERTE avec une seconde ligne comportent le symbole choisi, entrée éventuelle d'un autre symbole suivie de l'affichage correspondant, déplacement du curseur à gauche de la fin de mesure sous la dernière note, validation de cettefin de mesure, affichage de l'indication : MESURE FERMEE, entrée éventuelle d'un symbole pris parmi les différents symboles possibles et affichage correspondant sur la seconde ligne de l'écran de contrôle, puis autre entrée éventuelle d'un autre symbole avec affichage correspondant.
Dans la description de la saisie des deux autres portées 601 de la partition modèle 600, l'affichage des deux lignes de l'écran de contrôle 27 sera représenté sur une seule ligne en séparant les inscriptions par une barre diagonale. De même, il ne sera pas répété les placements du curseur à droite ou à gauche d'un début ou d'une fin de mesure. Pareillement, lorsque le dispositif attend l'entrée d'un caractère, il ne sera pas à nouveaux précisé que l'action sur une touche de déplacement vertical 23 ou 25 provoque le déroulement des chiffres de 1 à 9 à moins que cette action n'autorise une manipulation plus grande ou différente.
Pour la saisie des mesures suivantes, il est procédé selon les étapes suivantes
Pour la mesure 605, déplacement du curseur de deux lignes (1 portée étant non utilisé et on supposera un nombre de lignes de
LED égal au nombre de portées) vers le bas et retour à gauche de la partition (touches 25 et 26) à droite du début de mesure 625 (identique à la fin de mesure 624) action sur la touche 14 pour validation du début de la mesure 605 affichage 1018 MESURE OUVERTE action sur la touche 17 pour validation d'un saut de mesure 626 (premier saut) puis action sur la touche de déplacement 25 affichage 1018 MESURE OUVERTE/SAUT N1 déplacement de 1 pas, action sur la touche 14 pour validation de la fin de la mesure 605 affichage 1019 MESURE FERMEE action sur la touche 22 pour validation de la fin du morceau 627 affichage 1019 MESURE FERMEE/FIN DE MORCEAU action sur la touche 15 pour validation de la fin de reprise 628 puis action sur la touche de déplacement 25 affichage 1020 MESURE FERMEE/REPRISE NI
Pour la mesure 606, déplacement de 2 pas action sur la touche 14 pour validation du début de la mesure 628 affichage 1021 MESURE OUVERTE action sur la touche 17 pour validation d'un saut de mesure 629 (second saut) puis action sur la touche de déplacement 25, les chiffres se déroulant del à 99 affichage 1021 MESURE OUVERTE/SAUT N2 déplacement de 8 pas, action sur la touche 14 pour validation de la fin de la mesure 630 affichage 1022 MESURE FERMEE
Pour la mesure 607, déplacement de 5 pas action sur la touche 14 pour validation du début de la mesure 630 affichage 1023 MESURE OUVERTE action sur la touche 15 pour validation du début de reprise 631 et action sur la touche de déplacement 25 affichage 1023 MESURE OUVERTE/REPRISE DEBUT 1 action sur la touche de chiffrage 16 pour validation du chiffre 632 correspondant à une référence de 3 NOIRE, action successive sur les touches de déplacement 24, 25, 24, 25, l'action de la dernière touche laissant le choix entre les dix valeurs de référence précédemment définies affichage successif 1024 MESURE OUVERTE : IND, 1025 MESURE
OUVERTE : IND 3, 1026 MESURE OUVERTE : IND 3 NOIRE déplacement de 2 pas, action sur la touche 14 de validation de la fin de mesure 633 affichage 1027 :MESURE FERMEE
Pour la mesure 608, déplacement de 2 pas action sur la touche 14 pour validation du début de la mesure 633 affichage 1028 MESURE OUVERTE déplacement de 2 pas action sur la touche 14 pour validation de la fin de mesure 634 affichage 1029 MESURE FERMEE
Pour la mesure 609, déplacement de 2 pas action sur la touche 14 pour la validation du début de mesure 634 affichage 1030 MESURE OUVERTE déplacement de 7 pas action sur la touche 14 de validation de fin de mesure 635 affichage 1031 MESURE FERMEE
Pour la mesure 610, déplacement de 3 pas action sur la touche 14 pour validation début de mesure 635 affichage 1032 MESURE OUVERTE action sur la touche 17 de validation d'un saut 636 puis action sur la touche de déplacement 25, les chiffres se déroulant de 1 à 99 (on retrouve le premier saut rencontré) affichage 1032 MESURE OUVERTE/SAUT NI déplacement de 2 pas action sur la touche 14 de validation de la fin de mesure 637 affichage 1033 MESURE FERMEE action sur la touche 15 pour validation de fin de reprise 638 et action sur la touche de déplacement 25 affichage 1033 MESURE FERMEE/REPRISE FIN N1
Pour la mesure 611, déplacement de deux lignes par la touche 25 et retour à gauche sous la première note par la touche 24 action sur la touche 14 pour validation du début de mesure 639 (qui est la même mesure que la 637) affichage 1034 MESURE OUVERTE action sur la touche 17 de validation d'un saut 640 puis action sur la touche 25 de déplacement, les chiffres se déroulant de 1 à 99 (il s'agit du second saut) affichage 1034 MESURE OUVERTE/SAUT N2 action sur la touche de chiffrage 16 pour validation du chiffre 641 qui attribue à nouveau une référence de 4 noire aux mesures à suivre affichage 1035 MESURE OUVERTE/IND action de la touche de déplacement 24, choix du chiffre 4 par la touche 25 affichage 1036 MESURE OUVERTE/IND 4 action de la touche de déplacement du curseur 24, choix de la valeur NOIRE parmi les dix possibles par l'action de la touche 25 affichage 1037 MESURE OUVERTE/IND 4 NOIRE déplacement de 11 pas action sur la touche 14 de validation de fin de mesure 642 affichage 1038 MESURE FERMEE action sur la touche 20 de validation d'un symbole 643 de dacapo accompagné de son signe qui sera validé par l'action de la touche 24 puis de la touche 25 qui permet le choix entre les deux branchements FIN et SIGNE, le choix du second autorisant après une nouvelle action sur la touche un nombre de signes de 1 à 9 affichage 1038 MESURE FERMEE/DC AL SIGNE N1
Pour la mesure 612, déplacement de 13 pas action sur la touche 14 de validation du début de la mesure 644 affichage 1039 MESURE OUVERTE action sur la touche 21 de validation d'un signe 645 identique à celui référencé 622, le premier constituant le signe départ, le second le signe arrivé, puis action sur la touche 25 de déplacement pour indiquer le numéro du signe de 1 à 9 affichage 1039 MESURE OUVERTE/SIGNE N1 déplacement de 4 pas action sur la touche 14 de validation de la fin de mesure 646 affichage 1040 MESURE FERMEE
Dour la mesure 613, déplacement de 3 pas action sur la touche 14 de validation du début de la mesure 646 affichage 1041 MESURE OUVERTE déplacement de 2 pas action sur la touche 14 de validation de la fin de mesure 647 affichage 1042 MESURE FERMEE action sur la touche 20 de validation d'un dacapo 648, la référence au signe FIN apparaissant après une seconde action, sur la touche de déplacement 25, qui donne alors le choix entre FIN et SIGNE affichage 1042 MESURE FERMEE/DC AL FIN
L'ensemble des étapes précédentes a permis la saisie de la structure musicale de la partition de la figure 15 qui peut maintenant être jouée.
Une action sur la touche 18 de validation clot la saisie et, en redonnant accès au programme général, affiche l'indication 1043 suivante : MUSIC POINTER/PROGRAMME, une nouvelle action sur la touche 25 de déplacement permet en déroulant les cinq modes de fonctionnement de choisir le mode de lecture, il s'affichera alors 1044 : MUSIC POINTER/LECTURE.
Une nouvelle action sur la touche de validation 18 en assurera la validation, l'affichage étant alors 1045 : MUSIC
POINTER/LECTURE : DEMO, le nom affiché étant le dernier saisi et mémorisé par le dispositif ou celui précédement utilisé (dans notre exemple, une seule partition ayant été saisie, son nom réapparaîtra automatiquement à toute lecture). Encore une action de validation et il est demandé de choisir entre une exécution totale ou partielle de la partition : affichage 1046 LECTURE
DEMO/ > TOUT ou PARTIE.
L'action de la touche 24 provoquerait le déplacement du signe > devant PARTIE validant cette seconde possibilité et nécessiterait alors la désignation d'un début de mesure en tant que départ et d'une fin de mesure en tant que fin . Le curseur se déplacera de début de mesure ou début de mesure jusqu'à validation, par la touche 18 et de fin de mesure en fin de mesure jusqu'à une nouvelle validation, définissant ainsi le morceau désiré.
Ensuite, les actions successives de la touche 25 de déplacement feront apparaître les conditions de lecture et les paramètres du jeu, à chaque fois une action sur les touches de déplacement 24 et 26 permettra de choisir entre les différents choix offerts, mais on peut décider de lancer à tout moment l'exécution en appuyant sur la touche 18 de validation ou en actionnant la pédale 39.
Première action de la touche de déplacement affichage 1037 DEMO TOUT/PLAY TEMPO 120 l'action sur la touche 24 permet de choisir le tempo entre 30 et 285 (ici par exemple 120) deuxième action de déplacement affichage 1048 DEMO TOUT/PLAY REP ON > OFF l'action sur la touche 25 provoquerait le déplacement du signe devant ON autorisant la répétition du morceau troisème action affichage 1049 DEMO TOUT/PLAY MIDI IN > OUT l'action de la touche 25 provoquerait le déplacement du signe devant IN autorisant la synchronisation avec d'autres dispositifs quatrième action affichage 1050 DEMO TOUT/PLAY AFTERBEAT
v cinquième action affichage 1051 DEMO TOUT/PLAY DEDOUBLE l'action de la touche 24 provoquerait l'apparition du signe > devant AFTERBEAT ou DEDOUBLE validant l'une de l'autre de ces techniques de jeu dernière action de la touche de déplacement 25 affichage 1052 DEMO TOUT/PLAY LA = 440 Hz le choix de cette fonction provoque l'émission par le haut-parleur d'une note LA 440 Hz pour permettre l'accord des instruments.
L'action suivante sur la touche 18 provoque le lancement du dispositif qui commence par jouer deux mesures de décompte de la longueur du premier chiffre indicateur, dans notre exemple, deux mesures définis lors de la saisie de quatre temps puis c'est le démarrage du programme DEMO proprement dit, le dispositif décidant seul du choix des signaux lumineux à visualiser (autres bien sûr que ceux de début ou de fin de mesure). Pour certains, il peut choisir, comme le montre la figure 15, de provoquer deux 649 ou trois 650 battements d'une même diodepour mieux visualiser l'écoulement du temps.
Cet exemple d'utilisation nous a montré les principales fonctions du dispositif. La figure 20 montrera en outre la fonction de tranfert des données et la figure 21 la fonction d'effacement de données.
Revenons à la figure 20, nous savons qu'après la mise sous tension l'action sur les touches de déplacement 23 et 25 permet de choisir le mode de fonctionnement désiré. Il est possible également par l'action sur la touche d'annulation 19 de retourner à tout instant à l'indication première 1000 de laquelle on pourra choisir le mode désiré. Ainsi, après une action sur la touche 25, il apparaît l'indication 1060 MUSIC POINTER/DATA
TRANSFERT. une action sur la touche de validation 18 donnera accès à la sauvegarde des données du dispositif. L'affichage donnera alors l'indication 1061 DATA TRANSFERT/SAUVEGARDE MIDI, une nouvelle action de validation 18 lançant cette sauvegarde. Lorsque celle-ci est achevée, le message 1062 DATA TRANSFERT/FIN
SAUVEGARDE s'affiche temporairement.Si, à la place de l'action sur la touche 18, il est actionné la touche de déplacement 23, il est procédé au contraire au chargement de données en provenance d'organes externes et le message affiché 1063 est alors DATA
TRANSFERT/CHARGEMENT MIDI. Comme précédemment, le chargement est effectué sur l'action de la touche de validation 18 et un message 1064 temporaire apparaît alors en fin de chargement DATA
TRANSFERT/FINCHARGEMENT.
Avant toute validation, l'action sur la touche 19 d'annulation provoque l'arrêt du transfert avec l'indication 1065 DATA
TRANSFERT/ANNULE.
La figure 21 décrit le processus d'effacement qui démarre sur l'indication 1070 MUSIC POINTER/EFFACEMENT puis, après action sur la touche de validation 18, demande le nom de la structure musicale à effacer. Comme pour la saisie ou la lecture, un choix est possible entre trente noms différents, les touches de défilement 23 et 25 permettant la sélection du nom désiré, il estalors affiché 107-1 EFFACEMENT/NOM 1.
Une action sur la touche de validation 18 invite l'exécutant à valider cet effacement, l'indication 1072 apparaissant alors EFFACEMENT O/N < /NOM 1.
L'action sur une touche de déplacement 26 déplacera et inversera le signe < devant le O validant cet effacement et indiquant 1073 EFFACEMENT > O/N/NOM 1. Une annulation reste possible que l'effacementait été demandé ou non par l'action soit de la touche de validation 18 (effacement non demandé), soit de la touche d'annulation 19(effacement demandé).
Le dispositif tel que décrit précédemment et illustré par un exemple d'utilisation est particulièrement performant tant par le recours à tout type de partition standard qu'autorise son organisation matérielle que par son aptitude à la définition des structures musicales qu'offrent les nombreuses fonctions de son organisation logicielle.

Claims (13)

REVENDICATIONS
1. Dispositif pour la saisie d'une structure musicale et la visualisation du temps musical d'une partition standard, caractérisé en ce qu'il comporte une unité de traitement à microprocesseur (100), au moins une mémoire vive (102), au moins une mémoire morte (103) et au moins une interface d'entrées/sorties (101) disposés dans un boîtier (11) présentant une face avant (12) sur laquelle sont disposés un clavier de saisie (27), un écran de contrôle (28) et un écran de visualisation (29, 35, 43) constitué d'un réseau de signaux lumineux (30, 38, 40), le déplacement de chacun de ces signaux étant effectué en fonction de l'écoulement du temps musical défini selon une structure musicale prédéterminée, et en correspondance avec les notes de la partition.
2. Dispositif selon la revendication 1, caractérisé en ce qu'il comporte en outre une alimentation en énergie (115) autonome.
3. Dispositif selon la revendication 1 ou la revendication 2, caractérisé en ce que les signaux lumineux sont des diodes électroluminescentes (30) et en ce que, la partition étant placée juste au-dessus de l'écran de visualisation (29), la visualisation du temps musical est effectuée par transparence.
4. Dispositif selon la revendication 1 ou la revendication 2, caractérisé en ce que les signaux lumineux sont des points élémentaires (38) d'un écran à cristaux liquides transparent (35) et en ce que la visualisation du temps musical est effectuée sur cet écran (35), la partition placée juste en dessous étant visible par transparence.
5. Dispositif selon la revendication 1 ou la revendication 2, caractérisé en ce que les signaux lumineux sont des points de lumière (40) obtenus par éclairement d'un écran à cristaux liquides transparent (43) par une source lumineuse (42) et focalisation par une optique (41), l'écran (43) étant éteint, sauf dans la zone définissant le point de lumière (40) et en ce que, la partition étant placée sur la face avant (12) du boîtier (11), la visualisation du temps musical est effectuée par projection de cette zone de l'écran (43) sur la partition.
6. Dispositif selon l'une quelconque des revendications 1 à 5, caractérisé en ce que l'écran de contrôle (28) est un écran de signalisation de caractères alphanumériques.
7. Dispositif selon l'une quelconque des revendications 1 à 6, caractérisé en ce que le clavier de saisie (27) comporte des touches de fonction (14 à 22) pour l'analyse de la structure musicale et des touches de déplacement (23 à 26) pour le déplacement des signaux lumineux (30, 38, 40) sur la partition.
8. Dispositif selon l'une quelconque des revendications 1 à 7, caractérisé en ce qu'il comporte en outre une pédale (39) destinée à l'interruption momentanée de la visualisation du temps musical et à son redémarrage.
9. Dispositif selon la revendication 7, caractérisé en ce que les touches de fonction (14 à 22) comprennent au moins une touche (14) de saisie des début et fin de mesure, une touche (15) de saisie des barres de réponse, une touche (16) de saisie du chiffrage de la mesure, une touche (17) de saisie des sauts de mesure, une touche (18) de validation des saisies, une touche (19) d'annulation des saisies, une touche (20) de saisie de DA LAPO, une touche (21) de saisie des signes et une touche (22) de saisie de la fin de morceau.
10. Dispositif selon la revendication 7, caractérisé en ce que les touches de déplacement (23 à 26) comprennent en outre au moins une touche (24, 26) de déplacement du curseur de l'écran de contrôle (28) et au moins une touche (23, 25) de défilement des indications apparaissant sur cet écran (28).
11. Dispositif selon l'une quelconque des revendications 1 à 10, caractérisé en ce que l'interface (101) élabore des signaux de commande pour l'écran de visualisation (29, 35, 43), l'écran de contrôle (28) une sortie audio (31), et reçoit des signaux d'états du clavier (27).
12. Dispositif selon l'une quelconque des revendications 1 à 11, caractérisé en ce qu'il comprend une interface (34) pour l'élaboration de signaux de synchronisation pour des dispositifs externes reliés au dispositif par trois connecteurs de liaison (32).
13. Dispositif selon l'une quelconque des revendications 1 à 12, caractérisé en ce que la sortie audio (31) est un haut-parleur ou un casque d'écoute pour la perception auditive des temps musicaux.
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