FR2629690A1 - Dispositif de montage automatique de parties de bas de collants semi-finis - Google Patents

Abstract

L'invention concerne un dispositif de montage automatique de parties de bas de collants semi-finis. Le problème à résoudre consiste notamment à permettre des économies de main d'oeuvre en simplifiant la transmission des parties de bas à une ou plusieurs machines à coudre de parties de culotte. Le dispositif est caractérisé en ce qu'il comporte un mécanisme d'avance 1, 2, 3 transportant les parties de bordure 7 des parties de bas qui sont transférées par un organe de transfert 9 à une table arrière mobile et inclinable 13, des moyens d'élargissement facilitant le transfert à une machine à coudre de parties de culotte. L'invention est applicable au montage des collants semi-finis.

Description

i "Dispositif de montage automatique de parties

de bas de collants semi-finis".

La présente invention a pour objet un dispositif de montage automatique de parties de bas de collants semi-finis, notamment un dispositif de montage automatique pour envoyer deux parties de bas d'un collant semi- fini à une machine à coudre de parties de culotte qui assemble par couture la partie de bordure (cette partie devenant la partie de culotte quand elle est assemblée par couture). Il s'agit habituellement de deux parties en tricot circulaire. Ainsi, le dispositif automatique suivant l'invention peut être utilisé dans une chaine de fabrication intégrée de collants réunissant une machine à coudre de parties de culotte

et une machine à coudre de parties inférieures.

D'une façon générale, dans la chaîne de fabrication de collants, deux bas en fil, habituellement deux bas en tricot circulaire, sont d'abord assemblés côte à côte par couture suivant la partie de bordure avec une machine à coudre de parties de culotte, puis leurs deux extrémités ouvertes sont cousues pour obtenir une partie inférieure par une machine à coudre de parties inférieures. On fabrique

ainsi un collant complet.

Après l'achèvement de ces opérations de couture, les collants doivent encore être soumis à des opérations telles que teinture, pliage et emballage

pour devenir des produits finis.

Comme il ressort de ce qui précède, un collant est fabriqué au moyen de deux opérations de couture distinctes: opération de couture de la partie de culotte et opération de couture de la partie inférieure. A cet égard, la machine à coudre

automatique de parties de culotte (brevet des E.U.A.

n*3 777 681) et la machine à coudre des parties inférieures (brevet des E. U.A. n 4 133 280) mises au point par le présent demandeur ont été largement

utilisées en pratique.

De plus, le procédé de couture et le

dispositif pour mettre ce procédé en pratique ayant.

pour but de limiter les opérations de couture de collants et de faire des économies sur la main d'oeuvre correspondante en réunissant ces deux machines & coudre ont été bien connues dans l'industrie de la bonneterie

d'après le brevet européen n 126 800.

En faisant usage de l'invention ci-dessus suivant le brevet européen n 126 800, on a obtenu des résultats caractéristiques remarquables tels que la réduction du nombre des ouvrières de deux à une. Mais un problème est encore resté sans solution en ce qu'un travail fastidieux est encore demandé à chaque ouvrière dans l'atelier pour monter la partie de bordure de la partie de bas tubulaire, après l'avoir.élargie à la

main, sur des moyens de serrage (deux plaques de-

serrage à droite et à gauche situées en un emplacement supérieur et un emplacement inférieur) d'une machine à

coudre de parties de culotte.

De plus, cette opération de montage doit être effectuée de façon précise et prend beaucoup de temps parce qu'elle comprend des opérations élémentaires telles que le positionnement régulier de parties d'ourlet des parties de bordure et de parties de ligne de jarretière (ligne définie entre la partie de culotte et la partie de bas), ce qui provoque une diminution du

rendement de la machine à coudre.

En conséquence, un premier but de l'invention est de créer un dispositif de montage automatique au moyen duquel les parties de bas des collants sont aisément et effectivement envoyées à une machine à coudre de parties de culotte, de façon à effectuer des

économies de main d'oeuvre importantes.

Un deuxième but de l'invention est de créer un dispositif de montage automatique au moyen duquel les parties de bas sont envoyées à une machine à coudre de parties de culotte avec la condition que les parties d'ourlet des parties de bordure et les parties de ligne de jarretière soient positionnées de façon régulière

pour obtenir des collants de qualité supérieure.

Un troisième but de l'invention est de créer un dispositif de montage automatique avec lequel une opératrice puisse envoyer des parties de bas à

plusieurs machines à coudre de parties de culotte.

A cet effet, l'invention concerne un dispositif de montage automatique de parties de bas de collants caractérisé en ce qu'il comporte: un mécanisme d'avance pour transporter en les maintenant, des parties de bordure de parties de bas de collants, un organe pour transférer ces parties de bordure à une table arrière après leur réception à partir du mécanisme d'avance, cette table pouvant se déplacer et s'incliner et étant munie de deux fentes pour recevoir les parties de bordure, un élément d'aspiration disposé entre les fentes pour aspirer les parties de bas d'un côté de part et d'autre, des organes d'aspiration disposés en opposition à l'élément d'aspiration intermédiaire et aux fentes de manière à aspirer l'autre côté des parties de bordure aspirées, des moyens pour commander la table dans les positions relevées et latérales, des moyens d'élargissement des parties de bordure après qu'elles aient été approchées, les parties de bordure étant élargies en position côte à côté en liaison avec la table mobile pour effectuer un élargissement complémentaire et pour assurer le maintien par l'intérieur, les moyens d'élargissement étant déplacés avec les parties de bordure élargies pour effectuer la transmission de ces parties aux

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organes de serrage d'une machine à coudre de parties de culotte.

L'invention est décrite plus en détail ci-

après en se référant à des exemples de réalisation représentés sur les dessins annexés, dans lesquels: - la figure 1 est une vue en plan schématique d'un dispositif suivant l'invention pour le montage automatique de parties de bas de collants, - la figure 2 est une vue en plan d'un premier exemple de réalisation du dispositif de montage automatique suivant l'invention, - la figures 3 à 7 sont des vues en

perspective du dispositif de montage automatique ci-

dessus, - la figure 8 est une vue en perspective agrandie représentant des détails des moyens d'élargissement, - les figures 9A, 9B, 9C sont des vues montrant l'action des moyens d'élargissement, - la figure 10 est une vue en perspective agrandie représentant les moyens de positionnement, - la figure 11 est une vue en plan montrant l'action des moyens de positionnement, - la figure 12A et la figure 12B sont des vues frontales longitudinales prises suivant la ligne XII-XII de la figure 11 montrant l'action de positionnement.des moyens de positionnement pour la partie de bordure, - la figure 13 est une vue en plan représentant un exemple de réalisation dans lequel plusieurs dispositifs de montage automatique sont prévus pour les parties de bas, - la figure 14 est une vue en élévation de la courroie transporteuse utilisée pour les dispositifs de montage,

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- la figure 15 est une vue en plan partiellement découpée montrant le dispositif de montage automatique et la courroie transporteuse disposée devant lui, - la figure 16 est une vue latérale du dispositif et de la courroie transporteuse représentés sur la figure 15, - la figure 17 est une coupe verticale effectuée suivant la ligne XVII-XVII de la figure 16, - la figure 18 et la figure 19 sont des vues latérales montrant l'action du dispositif de serrage, - la figure 20 est une coupe verticale représentant un deuxième exemple de réalisation du mécanisme d'avance et du dispositif de transfert du dispositif de montage automatique, - la figure 21 est une vue en plan du

mécanisme d'avance et du dispositif de transfert ci-

dessus, - la figure 22 est une vue latérale verticale

du mécanisme d'avance et du dispositif de transfert ci-

dessus, - la figure 23 est une vue en perspective représentant des éléments essentiels du mécanisme d'avance, - la figure 24 est une vue en perspective pour expliquer la transmission des parties de bas par le mécanisme de transport au dispositif de transfert, - la figure 25 est une vue en plan représentant un exemple utilisé dans le cas de

plusieurs dispositifs de montage automatique.

On va commencer par décrire ci-dessous le premier exemple de réalisation représenté sur les

figures 1 à 12.

La figure 1 est une vue schématique représentant un dispositif pour la mise en oeuvre de la présente invention. Sur cette figure, on a désigné par

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A une partie essentielle de l'invention, par B une machine à coudre automatique pour les parties de culotte, par C des moyens d'élargissement, par D des moyens de serrage et par E des moyens de positionnement. Conformément aux figures 1 à 6, un dispositif de montage automatique A est muni de plaques de guidage de droite et de gauche, 1i 2 fixées à un châssis non représenté. L'espace entre les plaques 1 et 2 forme une

fente de transport 3.

Sur l'une des plaques de guidage, à savoir la

plaque 2, sont montées à rotation deux poulies 4, 4.

Une courroie transporteuse sans fin 5 est engagée en avant et en arrière sur les poulies 4, un côté de cette

courroie étant dirigé vers un côté de la fente 3.

L'une ou l'autre des poulies 4, 4 est munie de moyens d'entraînement constitués d'un moteur et d'un réducteur de vitesse. La courroie 5 est ainsi entraînée

dans le sens de la flèche quand cela est nécessaire.

L'ensemble ainsi construit constitue le mécanisme d'avance. En conséquence, quand la partie de bordure 7 est introduite dans la fente 3 avec aplatissement de la forme de cette partie, comme représenté sur la figure 3, la partie de bas 6 est transportée en condition suspendue dans la partie arrière de la fente 3 au moyen de la courroie 5 se déplaçant dans le sens indiqué par

la flèche, comme indiqué sur la figure 2.

Un élément mobile 8 se déplace sur la fente de transport 3 suivant un mouvement de va-et-vient conformément aux flèches de la figure 2. Un organe de transfert 9 est disposé sur la partie inférieure de l'élément mobile 8 pour transférer à la table inclinable 13 la partie de bordure 7 transportée par la courroie 5. Cette opération est effectuée par aspiration sous vide d'un côté de la partie de bordure

7 ou par prise de cette partie.

La table mobile 13 peut non seulement être déplacée par le bloc mobile 11 dans les deux sens indiqués par la flèche double de la figure 2, mais elle peut aussi tourner sur l'arbre 12. En outre, deux fentes réceptrices de droite et de gauche 14, 15 sont formées dans la table 13, un élément tubulaire carré d'aspiration 18 par le vide étant disposé entre ces fentes. Une série d'orifices d'aspiration par le vide sont formés d'un côté et de l'autre de l'élément 18, comme représenté sur la figure 4. La partie arrière de l'élément 18 est fixée sur une table d'aspiration 19 sur laquelle sont montés, d'un côté et de l'autre, des

organes d'aspiration mobiles 20, 21.

Les organes d'aspiration 20, 21 s'étendent le long de chaque côté de l'élément 18. Ces organes 20, 21 sont munis vers l'intérieur de plusieurs parties d'aspiration en saillie 22, 23 qui sont dirigées vers

l'élément 18.

Quand la partie de bordure 7 de la partie de bas 6 pénètre dans la fente 14, en étant maintenue par l'organe de transfert 9 de l'élément mobile 8, en admettant que la table 13 soit en position horizontale et que la fente réceptrice 14 soit en face de la fente de transport 3, la surface latérale de la partie de bordure 7 est aspirée par les orifices d'aspiration de l'élément d'aspiration 18. Ensuite, l'organe de transfert 9 libère le maintien de la partie de bordure 7 et l'élément mobile 8 est ramené dans sa position initiale. L'organe de transfert 9 qui était dans sa position initiale revient à la table 13 avec une partie de bordure 7. A ce moment, la fente 15 de la table 13 est en face de la fente 3, de sorte que la partie de bordure 7 est conduite dans la fente 15 o elle est aspirée par l'élément d'aspiration 18. L'organe de transfert 9 revient dans sa position initiale après avoir relâché la partie de bordure. De cette façon, à condition que la partie de bordure ait été aspirée d'un côté et de l'autre de l'élément d'aspiration 18, quand les organes d'aspiration 20, 21 s'approchent de la partie de bordure 7 d'un côté et de l'autre de l'élément d'aspiration 18 et que leurs parties d'aspiration 22, 23 viennent en contact avec la partie de bordure, l'opération d'aspiration commence. Les organes d'aspiration 20, 21 se déplacent alors en s'éloignant de l'élément 18, ce qui provoque

l'élargissement de la partie de bordure.

Lorsque, comme décrit ci-dessus, les deux parties de bordure 7 ont été élargies, la table 13 s'incline de 90 sur l'arbre 12, ce qui place chaque partie de bordure en position latérale et a pour résultat que chaque partie est en face de griffes 25

des moyens d'élargissement C (voir figure 7).

Ensuite, deux paires de griffes 25 pour chaque partie de bordure, en haut et en bas ainsi qu'à droite et à gauche, disposées dans les moyens d'élargissement C, sont introduites dans chaque partie de bordure 7, à savoir la partie supérieure et la partie inférieure respectivement, qui sont maintenant

côte à côte et élargies.

Comme représenté sur la figure 8, chaque griffe 25 est calée sur une tige tournante 28 pouvant se déplacer vers le haut et vers le bas en direction verticale à travers l'évidement de consoles coulissantes 104, 105 disposées sous un châssis 27 mobile en va-et-vient le long d'un guide 26. Chaque tige 28 est munie de deux paires de griffes 25 en position haute et en position basse. La griffe d'extrémité supérieure 25 et la troisième griffe 25 à partir du haut sont fixées à leurs parties arrière sur la tige 28 au moyen d'une plaque de liaison 29. La deuxième griffe 25 à partir du haut et la griffe d'extrémité inférieure 25 sont fixées sur deux tiges , à droite et à gauche, pouvant se déplacer vers le haut et vers le bas. Le mouvement vers le haut et vers le bas des deuxième griffes et des griffes d'extrémité inférieures 25 par rapport aux griffes d'extrémité supérieures et des troisièmes griffes provoque l'ouverture et la fermeture des paires de griffes 25,

supérieures et inférieures.

Par suite de l'action.d'un ressort 100, les griffes supérieures et inférieures sont habituellement en position de fermeture. Quand le châssis mobile 27 se déplace de la position représentée en trait plein dans une position indiquée en trait mixte sur la figure 8 (immédiatement avant chaque plaque de serrage des moyens de serrage D), un galet 101 disposé à l'extrémité supérieure de la tige 28 vient en contact avec la surface inférieure d'une plaque à came 102, de sorte que la tige 28 s'abaisse contre l'action du ressort 100, ce qui provoque l'ouverture des griffes supérieures et inférieures. En outre, chaque griffe est construite de manière à s'ouvrir et à se fermer latéralement. C'est à dire que sous la surface du châssis mobile 27 est prévu un rail de guidage 103 le long duquel peuvent se déplacer les deux consoles

coulissantes 104, 105.

De plus, deux crémaillères 106, 107 sont disposées parallèlement entre les consoles coulissantes 104, 105 et engagées à travers ces consoles. Une extrémité de la crémaillère 107 est fixée à la console 104, tandis que l'autre crémaillère 106 et la console coulissante 104 ne sont pas fixées l'une à l'autre. De même, une extrémité de la crémaillère 106 est fixée à la console 105, tandis que la console coulissante 105 et la crémaillère 107 ne sont pas fixées l'une à l'autre. Un pignon 108 est disposé entre les crémaillères 106 et 107 de manière à 'engrener avec elles en pouvant être entrainé dans un sens et dans l'autre par un moteur 109. En conséquence, -quand le pignon est entraîné en rotation dans le sens des aiguilles d'une montre (sur la figure 8), les consoles coulissantes se rapprochent l'une de l'autre. En revanche, quand le pignon est entraîné -en sens

inverse, les consoles s'éloignent l'une de l'autre.

Ainsi, chacune des griffes 25 de droite et de gauche s'ouvre et se ferme latéralement. Les griffes 25 de droite et de gauche sont habituellement en position de fermeture. Chaque griffe 25 des moyens d'élargissement C, décrite ci-dessus, se déplace vers des parties de bordure 7 supérieure et inférieure, maintenues ouvertes et côte à côte comme représenté sur la figure 7. Ces griffes pénètrent dans chaque partie de bordure comme

représenté en traité plein sur la figure 8 (Figure 9A).

Ensuite, quand les consoles coulissantes 104, sont éloignées par force l'une de l'autre du moyen du pignon 108 et des crémaillères 106, 107 par l'action du moteur 109 tournant en sens inverse du sens des aiguilles d'une montre, chaque griffe 25 à droite et à gauche, est déplacée latéralement dans le sens de l'élargissement à partir de la position de fermeture pour maintenir intérieurement chaque partie de bordure

élargie (figure 9B).

Puis, lorsque le châssis mobile 27 se déplace vers les moyens de serrage D pour amener le galet 101 en contact avec la came 102, la deuxième griffe et la quatrième griffe s'abaissent en agrandissant la partie de bordure 7 en direction longitudinale (figure 9C). En se déplaçant dans cet état, la partie de bordure 7 est engagée sur des plaques de serrage 32 qui sont en haut et en bas ainsi qu'à droite et à gauche des moyens de serrage D. Il en résulte que la partie de bordure est transmise des griffes 25 aux moyens de serrage D. Apres cela, chaque griffe 25 tourne comme représenté en trait mixte (dans une position située sur la figure 8 à l'arrière de chaque plaque de serrage 32 des moyens de serrage D). Les griffes se dégagent ainsi de la partie de bordure 7. Apres avoir été relevée, chaque griffe 25 revient dans sa position initiale pour être prête en vue de l'opération suivante. Après que les moyens d'élargissement C se soient dégagés de la partie de bordure 7 et soient partis vers le haut, les moyens de serrage D, qui sont dans la position des moyens d'élargissement C sur la figure 1, se déplacent avec la partie de bordure dans la position occupée par les moyens de positionnement E. Les moyens de positionnement décrits plus haut sont munis de châssis mobiles 35, 36 qui se déplacent indépendamment le long de deux tiges de guidage 31, à droite et à gauche, comme représenté sur la figure 10 et la figure 11. Ces châssis sont commandés indépendamment par des moteurs distincts 37, 38 au moyen de mécanismes à bielle et manivelle et similaires. A chacune des deux extrémités des châssis mobiles est prévu un levier 41, 42 qui tourne surla tige de guidage respective 31. Une rainure pratiquée en direction axiale dans le moyeu des leviers 41, 42 engrène avec une saillie de la tige de guidage 31. Il en résulte que les leviers tournent concurremment avec

la tige de guidage 31.

Sur les leviers avant 41, à droite et à gauche, sont fixés deux organes de commande supérieur et inférieur 43, 45 par exemple des vérins pneumatiques et similaires. Des tampons 44, 46 peuvent être ainsi commandés en va-et-vient de façon indépendante. De même, sur les leviers arrière 42, à droite et à gauche, sont fixés deux organes de commande supérieur et

inférieur 47, 49 commandant des tampons 48, 50 en va-

et-vient de façon indépendante.

Ces tampons 44, 46, 48 et 50 sont constitués en matériaux tels que le caoutchouc ayant un coefficient de frottement élevé et provoquant le moins possible de dommages à la partie de bas 6. Leurs surfaces de contact avec les parties de bas sont constituées pour n'être pas lisses. Les références numériques 51, 52 désignent des détecteurs pour

détecter les parties d'ourlet des parties de bordure 7.

Les références numériques 55, 56 désignent d'autres détecteurs pour détecter la ligne de jarretière 7'. Une partie de bas est alors en position supérieure, tandis que l'autre est en position inférieure. Tous ces détecteurs sont fixés en des emplacements fixes des moyens de positionnement E. Chacun de ces détecteurs commande indépendamment les moteurs 37, 38 mentionnés plus haut ainsi que chacun des organes de commande 43, 45, 47 et 49. Les moyens de positionnement E fonctionnent comme suit: Quand la plaque de serrage 32 se déplaçant vers cet emplacement avec la partie de bordure 7 s'arrête, la tige de guidage 31 est tournée par des moyens de commande non représentés pour faire tourner vers le bas

chacun des leviers avant et arrière 41, 42.

Puis, comme représenté sur la figure 12A, l'organe de commande supérieur 43 et l'organe de commande inférieur 45 agissent en même temps de manière que les tampons 44, 46, à droite et à gauche, soient appliques contre les parties de bordure supérieure et inférieure, le châssis 35 étant alors déplacé par le

moteur 37.

Dans ce cas, les détecteurs 51, 52 sont

disposés sur le côté supérieur et le côté inférieur.

Par exemple, si le détecteur 51 détecte une partie d'ourlet de la partie de bordure 7, l'organe de commande supérieur 43 relâche sa pression, comme représenté sur la figure 12B. Si le détecteur inférieur 52 ne détecte pas une telle partie d'ourlet, il

maintient sa pression.

En résumé, l'organe de commande supérieur 43 et l'organe de commande inférieur 45 agissent concurremment pour mettre les tampons 44, 46 en pression contre les parties de bordure supérieure et inférieure 7, 7. La détection effectuée par les détecteurs 51, 52 conduit à un relâchement indépendant

de la pression exercée par chaque organe de commande.

En outre, le châssis mobile 35 est ramené dans sa

position initiale par le moteur 37.

Par de telles actions, les parties d'ourlet des parties de bordure supérieure et inférieure sont positionnées de façon régulière. De même, le moteur arrière 38 ainsi que les organes de commande supérieur et inférieur 47, 49 des leviers 42, à droite et à gauche, sont déplacés par les organes de commande 43, à l'emplacement o les lignes de jarretière 7' sont

détectées par les détecteurs 55, 56.

Comme décrit plus haut, après que les parties de bordure supérieure et inférieure ainsi que la partie 7' de ligne de jarretière aient été correctement ajustées sur chaque plaque de serrage 32 des moyens de serrage D, ces moyens D se déplacent pour des opérations de montage ultérieures de chaque partie de

bas 6.

La figure 13 représente un cas dans lequel on utilise plusieurs dispositifs A de montage automatique de parties de bas. Pour chaque dispositif A, on dispose, de la même manière que celle qui a été décrite plus haut, une machine à coudre automatique B de parties de culotte, des moyens d'élargissement C, des moyens de serrage D et des moyens de positionnement E. Une courroie transporteuse 60 est disposée du côté approprié de chaque dispositif A. Comme représenté sur la figure 14, la courroie 60 est entrainée par intermittence dans le sens indiqué par les flèches par

des poulies supérieures et inférieures 61 portant des.

brins avant et arrière. Des paires de plaques transporteuses de droite et de gauche 62 sont fixées à intervalles réguliers à l'extérieur de la courroie

transporteuse 60.

Sur la plaque de guidage 2 de chaque dispositif de montage A, sont disposés des moyens de

transfert 63, comme représenté sur les figures 15 à 17.

Dans les moyens de transfert 63, le cylindre ou vérin sans tige 65 est fixé au moyen de la console 64. Un élément coulissant 66 est déplacé en va-et-vient par chaque cylindre 65. Un cylindre 67 est fixé sur l'élément coulissant 66. Une tige de guidage 69 est fixée sur un corps 68 mobile vers le haut et vers le bas en étant entraîné par le cylindre 67. La tige de guidage 69 est introduite dans un guide vertical de l'élément 66, de façon à fonctionner comme un organe de retenue pour que cet élément se déplace correctement

vers le haut et vers le bas en direction verticale.

Deux tiges tournantes 70 sont disposées dans ce corps 68, un organe de serrage 71 étant disposé sur la partie

d'extrémité de chacune de ces tiges.

Un engrenage 72 est calé sur chaque tige tournante 70, ces engrenages étant en prise mutuelle pour commander l'ouverture et la fermeture des deux organes de serrage 71. L'une des tiges tournantes 70 est entraînée par un organe moteur rotatif 74 fixé sur

le corps 68.

Chaque organe de serrage 71 est plié en forme de L dans la direction de la courroie transporteuse 60,

comme représenté sur la figure 16.

Chaque organe 71 est revêtu extérieurement

avec du caoutchouc.

Dans cet exemple, une opératrice 75 se place à une extrémité de la courroie transporteuse 60 pour fixer une partie de bordure 7 sur le côté extérieur des

plaques transporteuses de droite et de gauche 62.

La partie de bas 6 ainsi montée comme un balancier se déplace avec la partie de bordure 7 maintenue comme représenté sur la figure 14. Lorsqu'il y a deux dispositifs de montage, comme dans l'exemple considéré, la courroie 60 est déplacée par intermittence avec un pas égal au double du pas P de la

plaque transporteuse 62, c'est-à-dire avec un pas 2P.

La courroie 60 est construite pour s'arrêter de manière que la plaque transporteuse 62 munie de la partie de bas 6 soit placée immédiatement avant chaque fente 3 de chaque dispositif de montage A. Etant donné que chaque corps 68 mobile vers le haut et vers le bas dans le dispositif A est dans une position haute, chaque organe de serrage 71 est opposé à chaque partie de bordure 7 en position

élargie, comme représenté sur les figures 13, 14, 17.

Ensuite, le cylindre sans tige 65 fait avancer l'élément coulissant 66, ce qui place chaque organe de serrage 71 d'un côté et de l'autre de chaque partie de bordure en avant et en arrière, comme représenté en trait mixte sur la figure 18. Dans ces conditions, l'organe moteur rotatif 74 agit pour faire tourner chaque engrenage 72 et pour fermer les organes de serrage 71 de droite et de gauche. Il en résulte que les parties de bordure 7 de deux parties de bas 6 sont

maintenues entre deux organes de serrage 71.

Dans ces conditions, chaque cylindre 67 est actionné pour abaisser chaque corps 68, ce qui libère complètement des plaques transporteuses 62 les parties de bas 6 maintenues par les organes de serrage 71, comme indiqué sur la figure 19. Les parties de bas sont

ainsi transmises aux organes de serrage 71.

Puis lorsque chaque élément coulissant 66 est rappelé par l'action du cylindre sans tige 65, les parties de bas 6 maintenues par les organes de serrage sont introduites dans chaque fente 3 de chaque dispositif A, comme représenté en trait mixte sur la

figure 19.

De cette façon, après que chaque partie de bas 6 ait été introduite dans chaque fente 3, l'organe moteur rotatif 74 provoque l'ouverture de chaque organe de serrage 71. Ensuite, le cylindre 67 agit pour relever le corps 68 et dégager les organes de serrage

71 des parties de bas 6 dans la fente 3.

Après cela, chaque dispositif de montage automatique A effectue les opération décrites en liaison avec les figures 4 à 12. La courroie 60 munie des plaques transporteuses d'o les parties de bas 6 ont été retirées par les opérations décrites plus en haut et représentées sur la figure 18 et la figure 19 est déplacée avec un pas 2P, comme indiqué sur la

figure 14.

Ainsi, le déplacement de la courroie avec un pas égal à 2P permet de positionner à chaque fois la plaque transporteuse 62 avec les parties debas 6 suspendues devant la fente 3 de chaque dispositif de montage A. Après avoir transporté le deuxième dispositif A, la plaque transporteuse 66 est libérée des parties de bas 6; elle revient vers l'opératrice 75. Cet exemple correspond au cas o l'on utilise deux dispositifs de montage automatique A. Mais on peut utiliser trois dispositifs ou davantage. Danp un tel cas, le pas de déplacement doit être égal à la longueur obtenue en "multipliant le pas de la plaque transporteuse 62 par le nombre de dispositifs de

montage A".

On va maintenant décrire un deuxième exemple de réalisation de dispositif de montage automatique, représenté sur les figures 20 à 24, dans lequel un mécanisme d'avance transporte des parties de bas 6 au moyen de supports et un organe de transport 9 transfère deux parties de bas à une table 13 pouvant être

déplacée et inclinée.

Le mécanisme d'avance est constitué du support 201 maintenant la partie de bordure 7 de la partie de bas 6 ainsi que du transporteur 202 auquel sont suspendus plusieurs supports 201. Comme représenté sur les figures 20 à 24, le support 201 est constitué de deux plaques flexibles 203, 203 opposées l'une à l'autre définissant un espace entre elles et reliées à leur partie supérieure par une plaque 204. Les parties inférieures des plaques 203, 203 sont en forme d'arcs de cercle et sont rapprochées l'une de l'autre, de sorte que l'opération d'introduction de la partie de bordure 7 peut être effectuée aisément. De plus, des saillies 205 sont prévues sur la surface extérieure de la plaque 203 de manière à assurer le positionnement de la limite supérieure de la partie de bordure 7 lorsque

celle-ci est mise en place.

Au centre de la surface supérieure de la partie de liaison 204 est disposé un guide 206 de forme carrée sur lequel est en saillie une tige 207. Des appuis 208, 208 sont fixés sur chaque tige 207 en un

emplacement supérieur et en un emplacement inférieur.

Les rainures incurvées 210, 210 formées sur la surface extérieure du corps 209 du transporteur 202 sont prévues dans ce transporteur pour recevoir les appuis 208, 208. Une rainure de guidage 211 est prévue pour le guide 206. Une courroie 213, dont la partie inférieure est portée par une plaque porteuse 212 à l'extérieur des appuis 208, 208 dans la rainure

incurvée 210, 210, est poussée par un ressort 214.

Ainsi quand la courroie commence à se déplacer, les appuis 208, 208 circulent avec elle en provoquant le déplacement du support 201 dans le sens de déplacement de la courroie 213 le long de la rainure incurvée 210, 210. Lors de son déplacement circulaire, le guide 206 du support 201 vient si près de la rainure de guidage 211, que le support cesse presque de se déplacer, ce qui fait que la plaque de celui-ci tourne dans le sens du déplacement. En outre, juste avant et juste après l'emplacement de montage de la partie de bas, des encoches 215, 216 sont formées dans la rainure de guidage 211, comme représenté sur la figure 21, de sorte que la plaque 203 soit dirigée correctement vers une opératrice. Il en résulte que l'opération de

montage peut être effectuée en douceur.

Comme représenté sur la figure 23, le support 201 avançant vers la position de montage tourne de 90 par suite de la présence de l'encoche 215 dans laquelle est maintenu un angle de guidage 206. De même, le support 201 muni de la partie de bas tourne en arrière de 90 et revient dans sa situation initiale par la coopération de l'encoche 216 et du guide 206. L'organe de transfert 9 est disposé, entre le support 201, qui est arrêté en un emplacement prédéterminé par le mécanisme décrit plus haut, et la table 13, de façon telle qu'il reçoit en même temps des parties de bas 6 provenant de deux supports 201, 201, pour les transmettre à la table 13. Cette table peut se déplacer et s'incliner en ayant la même structure que celle qui

est représentée sur les figures 2 à 6.

Dans l'organe de transfert 9 sont prévues deux tiges de guidage 222, une en haut et une en bas, ces tiges étant disposées parallèlement l'une à l'autre

en direction horizontale devant une console fixe 221.

Une chaîne sans fin 225 est engagée autour de deux roues dentées 223, 224 calées aux deux extrémités de la console fixe 221, à sa partie avant. La roue dentée

223 est entraînée par un moteur 226.

Un corps mobile 227, porté par les tiges de guidage supérieure et inférieure 222, 222 présente sur sa surface arrière une rainure longitudinale 228 dans laquelle passe un galet de guidage 229 fixé sur la chaîne sans fin 225. Le corps mobile 227 est ainsi déplacé en va-et-vient le long des tiges de guidage 222, 222 par le mouvement de circulation de la chaîne 225. Un vérin 231 est fixé sur un bloc plat 230 en saillie audessus de la surface frontale du corps mobile 227. Juste au-dessous de ce bloc plat est disposé un corps carré 232 qui peut être déplacé en direction verticale au moyen du vérin 231 et de la tige

de guidage 233.

Deux plaques 234, 234 sont fixées horizontalement sur les deux surfaces latérales du corps 232 mobile vers le haut et vers le bas, de manière à être en saillie vers l'avant en considérant le sens de déplacement du corps mobile 227. Des paires de griffes 235, 236 sont montées à pivot sur les deux plaques 234, 234 sur les côtés qui ne sont pas en face

l'un de l'autre, en haut et en bas.

Les paires de griffes 235, 236 sont montées à pivot sur les plaques 234 par un axe 237. L'extrémité supérieure de la griffe 235 et la partie médiane de la griffe 236 sont liées par une tige 238 de manière que les mouvements d'oscillation soient liés pour les deux griffes 235, 236 soient dirigées vers le bas en considérant la position élevée dans laquelle elles sont

en face.

A l'extrémité arrière du corps 232, la tige de piston d'un vérin 240, fixé par une console 239, et un bras 242 de l'axe 241, monté à pivot à l'arrière du

corps 232, sont reliés à pivot.

Des bras 243 fixés à chacune des extrémités de l'axe 241 et l'extrémité supérieure de la griffe 236 décrite plus haut sont reliés par une bielle 244. Quand le vérin 240 est à l'état contracté, comme représenté en trait plein sur la figure 20, deux griffes 235, 236 sont dirigées vers le bas. Quand le vérin 240 est à l'état étendu, les griffes 235, 236 basculent sous l'action du vérin 240, de sorte -que ces griffes se déplacent vers le haut, comme indiqué en trait mixte

sur la figure 20.

Comme on le voit sur la figure 21, quand le corps mobile 227 commence à avancer vers le côté droit de la figure 21 et que le corps 232 est encore en position élevée, les positions des plaques 234, 234 sont des positions de transmission des parties de bas 6 dans le mécanisme d'avance. Dans ce mécanisme d'avance, deux supports 201, 201 sont maintenus à l'arrêt et attendent dans cette position de transmission. En conséquence, les positions relatives sont telles que les plaques 234, 234 s'abaissent, dans la position de transmission, dans la partie supérieure du support correspondant 201, entre les plaques 203, 203 de ce support. Comme représenté sur la figure 20, deux griffes 235, 236 sont disposées de manière que lorsqu'elles basculent vers le bas, l'intervalle entre ces griffes 235, 236 est, du côté extérieur, légèrement plus grand que la largeur d'une plaque 203 du support 201, pour élargir les deux côtés d'une partie de bordure 7 engagée sur la plaque 203 et pour maintenir

cette partie de bordure.

Quand les griffes 235, 236 basculent vers le bas, un épaulement de positionnement 245 formé sur le bord extérieur des griffes est disposé à la même hauteur que la saillie 205 de la plaque 203. On assure ainsi le positionnement du haut de la partie d'ourlet

de la partie de la bordure 7.

Quand une opératrice a mis en place sur le support 201 la partie de bordure 7 d'une partie de bas dans la position de montage du mécanisme d'avance, le support 201 se déplace dans la position de transmission. Quand deux supports 201 s'arrêtent côte à côte, le corps mobile 227 de l'organe de transfert 9 avance. Les plaques 234, 234, en position relevée pénètrent dans les supports 201, 201 et sont prêts à la réception en position de transmission. A ce moment, comme représenté en trait plein sur la figure 20, le vérin 240 est contracté et les griffes 235, 236 basculent vers le bas pour élargir et maintenir les

deux côtés de la partie de bordure 7.

Dans ces conditions, le corps 232 mobile vers le haut et vers le bas est déplacé vers le bas pour retirer vers le bas la partie de bordure 7 de la

plaque 203, qui était retenue par les griffes 235, 236.

A ce moment, la plaque 234 et les griffes 235, 236 se déplacent sans difficulté vers le bas à l'intérieur du support 201 car les plaques 203, 203 peuvent être écartées par force vers l'extérieur en raison de leur flexibilité. Apres que les plaques 234, 234 aient été déplacées vers le bas, le corps mobile 227 est rappelé pour transmettre les parties de bas 6 de deux support 201, 201 à la table 13. L'arrêt est supprimé pour les supports 201 desquels les parties de bas ont été retirées. Apres qu'un support vide ait été déplacé dans la position de montage, le support 201 suivant est

amené dans la position de transmission.

Quand le corps mobile 227 a été déplacé en position rétractée, deux parties de bas, retenues par les griffes 235, 236, comme représenté en trait mixte sur la figure 20 et la figure 24, pénètrent par leurs parties de bordure dans les deux fentes' 14, 15 de la

table 13, prêtes à la réception en position relevée.

Les parties de bordure 7 sont aspirées d'un côté et de l'autre au moyen de l'élément d'aspiration 18 et des

organes d'aspiration 20, 21.

Après cela, l'action du vérin 240, qui s'étend, déplace les griffes 235, 236 vers le haut, de sorte que ces griffes se dégagent des parties de bordure 7 pour libérer le maintien. Ensuite, le corps 232 mobile vers le haut et vers le bas est ramené en position élevée et maintenu dans cette position en attente. Comme il ressort de ce qui précède, en utilisant le mécanisme d'avance et l'organe de transfert 9 du deuxième exemple de réalisation, deux parties de bas 6 d'un collant peuvent être transmises en même temps à la table 13. Cependant, on ne demande à l'opératrice qu'une opération simple telle que l'engagement d'une partie de bordure 7 sur le support 201 à partir du bas. Par conséquent, le dispositif diminue beaucoup le travail fastidieux et améliore la

productivité du travail.

De plus, le mécanisme d'avance du deuxième exemple est construit de manière que deux parties de bas 6 transmises à partir de deux supports 201, 201 soient, comme représenté sur la figure 24, portées par des griffes 235, 236 à l'état élargi, d'un côté et de l'autre de leurs parties de bordure, de manière à les ouvrir dans la mesure de l'épaisseur des griffes 235, 236. Dans ces conditions, les parties de bordure 7 sont placées dans les fentes 14, 15 de la table mobile 13, de manière que ces parties 7 soient aspirées dans des positions correctes par l'élément d'aspiration de la

table.

On voit sur la figure 25 que les parties de bas 6 sont transmises à plusieurs machines à coudre B pour parties de culotte au moyen du mécanisme d'avance et de l'organe de transfert 9 suivant le deuxième exemple dans le but d'améliorer l'efficacité du travail. Dans cet exemple, un transporteur sans fin 202 du mécanisme d'avance, conçu pour le montage préliminaire des parties de bas 6 sur les supports 201, est disposé de façon à venir en face de chacune des machines à coudre B pour parties de culotte. Une position de transmission est définie quand un support 201 vient en face de chaque machine B de manière que deux parties de bas 6 puissent être transmises à la

machine B en même temps.

Claims (3)

REVENDICATIONS.

1) Dispositif de montage automatique de parties de bas de collants caractérisé en ce qu'il comporte: un mécanisme d'avance (1, 2, 3, 201, 202) pour transporter en les maintenant, des parties de bordure (7) de parties de bas (6) de collants, un organe (9) pour transférer ces parties de bordure à une table arrière (13) après leur réception à partir du mécanisme d'avance, cette table pouvant se déplacer et s'incliner et étant munie de deux fentes (14, 15) pour recevoir les parties de bordure, un élément d'aspiration (18) disposé entre les fentes pour aspirer les parties de bordure d'un côté de part et d'autre, des organes d'aspiration (20, 21) disposés en opposition à l'élément d'aspiration intermédiaire et aux fentes de manière à aspirer l'autre côté des parties de bordure aspirées, des moyens (11) pour commander la table dans les positions relevées et latérales, des moyens d'élargissement (C) des parties de bordure après qu'elles aient été rapprochées, les parties de bordure étant élargies en position côte à côte en liaison avec la table mobile pour effectuer un élargissement complémentaire et pour assurer le maintien par l'intérieur, les moyens d'élargissement étant déplacés avec les parties de bordure élargies pour effectuer la transmission de ces parties à des organes de serrage (D) d'une machine à coudre de parties de culotte (B)

2) Dispositif de montage automatique de parties de bas de collants selon la revendication 1, caractérisé en ce que le mécanisme d'avance est construit de manière à former une fente (3) entre deux plaques de guidage (1, 2) à droite et à gauche pour l'introduction d'une partie de bordure (7) d'une partie de bas (6), une courroie sans fin (5) étant disposée dans la fente, une partie de cette courroie étant en contact avec un côté de la partie de bordure introduite pour transporter cette partie de bordure vers l'arrière, l'organe de transfert (9) étant disposé pour pouvoir se déplacer en va-et-vient en arrière et au-dessus de la fente pour maintenir la partie de bordure transportée par la courroie et la transférer dans l'une de deux fentes réceptrices (14, 15) de la

table (13), à droite et à gauche.

3) Dispositif de montage automatique de parties de bas de collant selon la revendication 1, caractérisé en ce que le mécanisme d'avance est constitué de supports (201) sur lesquels les parties de bordure (7) sont montées et d'un transporteur (202) pour transférer, à l'état suspendu, plusieurs supports (201) fixes sur lui, ces supports étant constitués de deux plaques (203) à caractère flexible se faisant face de façon opposée avec une ouverture entre elles, les parties inférieures des plaques étant constituées pour être rapprochées l'une de l'autre, des saillies (205) étant disposées sur la surface extérieure de chaque plaque à des fins de positionnement, des appuis (208) et un guide (206) étant formés à la partie supérieure des plaques (203) à des fins de transmission, le transporteur étant muni sur sa phériphérie de rainures concaves (210) pour maintenir les appuis (208) et d'une rainure de guidage (211) le long de laquelle glissent les guides (206), les transporteurs étant également munis d'une courroie (213) pour exercer une pression

sur les appuis (208) à déplacer.