FR2621952A1 - Dispositif compensateur de niveau pour echelle - Google Patents

Abstract

L'invention a trait à un dispositif compensateur de niveau pour échelle, comprenant, essentiellement, une embase de forme curviligne sur laquelle peuvent évoluer les extrémités inférieures des montants de ladite échelle. Ce dispositif compensateur de niveau est caractérisé par le fait qu'il comporte un support d'échelle 9 monté coulissant sur l'embase curviligne 2 et pourvu de moyens de verrouillage 37 qui, en position de blocage, immobilisent ledit support d'échelle 9 sur ladite embase curviligne 2. Cette invention concerne l'industrie spécialisée dans la fabrication des échelles.

Description

L'invention concerne un dispositif compensateur de niveau pour échelle, comprenant, essentiellement, une embase de forme curviligne sur laquelle peuvent évoluer les extrémités inférieures des montants de ladite échelle.

Cette invention concerne le domaine de la-mécanique en général et, plus particulièrement, l'industrie spécialisée dans la fabrication des échelles.

On utilise fréquemment des échelles pour grimper le long d'édifices, tels que murs de bâtiment, poteaux ou autres, dans le but d'accéder à un élément situé à une certaine hauteur du sol.

De ce fait, elles trouvent leur utilité dans de nombreuses situations.

Toutefois, il est à remarquer que pour conférer une certaine stabilité à ces échelles et éviter les risques d'accident, il est indispensable que l'assise sur laquelle reposent les extrémités inférieures des montants soit parfaitement nivelée et horizontale.

Or, un usager peut avoir besoin d'une telle échelle sur un terrain plus ou moins en pente ou largement accidenté. Dans ces conditions, il est nécessaire d'adapter la partie inférieure de ces échelles à l'état du sol.

A cet effet, on a conçu un dispositif compensateur de niveau pour échelle qui consiste, essentiellement, à donner à l'extrémité inférieure des montants de cette dernière un caractère téléscopique. Plus précisément, ce dispositif est composé de deux rallonges dont la longueur saillante par rapport à l'extrémité inférieure des montants est réglable grâce à des moyens appropriés.

Ce dispositif compensateur de niveau présente de multiples inconvénients qui rendent son utilisation peu fiable et augmentent les risques d'accident.

En effet, les moyens, permettant de régler la longueur saillante des rallonges par rapport aux montants, peuvent, à tout moment, faillir à leur fonction de blocage et provoquer lteffondrement de l'échelle. Par ailleurs, l'utilisation de ce dispositif compensateur de niveau est peu commode et oblige l'usager à faire des manoeuvres complexes.

On connaît également d'autres dispositifs compensateur de niveau pour échelle, comprenant, une embase de forme curviligne sur laquelle évoluent les extrémités inférieures des montants de cette échelle. Fréquemment, cette embase curviligne est formée par un arceau dont les deux extrémités sont amenées à reposer au sol, quels que soient la dénivélation ou 11 état de ce dernier. Les extrémités inférieures des montants viennent, quant à eux, reposer sur la périphérie de cet arceau, l'échelle étant disposée à la verticale.

Habituellement, l'immobilité de cette échelle sur l'embase curviligne est assurée par des pointes rapportées à l'extrémité inférieure des montants et venant s incruster, très faiblement, dans le métal que constitue l'arceau.

En somme et sur un point de vue mécanique, cette immobilité est assurée en raison d'importantes forces de frottement entre les pointes et la périphérie de l'arceau, ces forces de frottement étant proportionnelles au poids de l'échelle et à la charge qu'elle supporte.

Les principaux inconvénients de ce dispositif compensateur de niveau connu résident, d'une part, dans le caractère incertain de la liaison embase curviligne- échelle et, d'autre part, dans la manipulation difficile de cette dernière.

En effet, pour permettre à l'arceau de se positionner en fonction de l'état du terrain, il est indispensable de soulever l'échelle sans quoi les pointes, solidaires de l'extrémité inférieure des montants, viendraient immobiliser ledit arceau et à s'opposer à tout réglage.

En contrepartie, lors du transport de cette échelle, cet arceau est mobile et crée des bruits métalliques particulièrement gênants dans certaines conditions.

La présente invention a pour but de remédier à l'ensemble des inconvénients précités en proposant un dispositif compensateur de niveau pour échelle d'une fiabilité incontestable et de manipulation facile.

A cet effet, l'invention concerne un dispositif compensateur de niveau pour échelle comprenant, essentiellement, une embase de forme curviligne sur laquelle peuvent évoluer les extrémités inférieures des montants de ladite échelle, caractérisé par le fait qu'il comporte un support d'échelle monté coulissant sur embase curviligne et pourvu de moyens de verrouillage qui, en position de blocage, immobilisent ledit support d'échelle sur ladite embase curviligne.

Les avantages obtenus grâce à cette invention consistent, essentiellement, en ce que les moyens de verrouillage contribuent, de manière considérable, à la sécurité de l'échelle munie de son dispositif compensateur de niveau. De plus, le positionnement de ce dernier par rapport à l'état du sol est simplifié et n'oblige plus l'usager à soulever échelle.

Un autre avantage est dû à la structure particulière des moyens de verrouillage dont la commande s'effectue de manière naturelle à l'aide du pied et permet à l'usager de maintenir l'échelle des deux mains au cours des ré glages.

D'autres buts et avantages de la présente invention apparaitront au cours de la description suivante faite à titre d'exemple non limitatif et au dessin ci-annexé dans lequel - la figure 1 est une vue schématisée en élévation et en coupe partielle du dispositif compensateur de niveau, conforme à l'invention.

- la figure 2 est une vue en plan du dispositif compensateur de niveau tel que représenté dans la figure 1.

- la figure 3 est une vue agrandie, schématisée et en coupe selon III-IIi de la figure 1.

On se réfère aux différentes figures.

Tel que représenté dans la figure 1, le dispositif compensateur de niveau 1 pour échelle, conforme à l'invention, comporte, essentiellement, une embase 2 de forme curviligne sur laquelle peuvent évoluer les extrémités inférieures des montants de l'échelle (non représentées).

Selon un mode de réalisation préférentiel, ladite embase 2 de forme curviligne est composée de deux arceaux 3,4 juxtaposés et rendus solidaires l'un de l'autre par des moyens de fixation 5 tels que vis, rivets ou autres.

Lors de l'utilisation du dispositif compensateur de niveau 1, ces arceaux 3,4 sont généralement disposés dans un plan sensiblement vertical et reposent au sol au niveau de leur extrémité 6,7. Préférentiellement, ces extrémités 6,7 des arceaux 3,4 sont pourvues d'éléments de protection 8 en matériau souple ousemi-rigide qui, non seulement évitent les détériorations rapides du matériel au contact avec le sol, mais confèrent également une meilleure stabilité à 11 échelle.

Selon une caractéristique de l'invention, le dispositif compensateur de niveau 1 comporte, en outre, un support d'échelle 9 monté coulissant sur l'em- base curviligne 2 formée par les deux arceaux 3,4. Ce support d'échelle 9 est essentiellement constitué d'une structure rigide 10 sensiblement symétrique par rapport à un plan médian vertical 11 et comportant des moyens d'attache 12 auxquels peuvent être rapportées les extrémités inférieures des montants de l'échelle.

Un mode d'exécution des moyens d'attache 12 assurant la liaison des montants au support d'échelle 9 est représenté, plus en détail, dans la figure 2.

Ainsi, ces moyens d'attache 12 présentent un épaulement 13 dans lequel est insérée l'extrémité inférieure d'un montant 14, des moyens de fixation 15 assu rant leur liaison de manière rigide.

Le support d'échelle 9 est également pourvu d'au moins deux étriers 16, 17 assurant sa liaison coulissante sur les arceaux 3,4. Ces étriers 16,17 sont formés, préférentiellement, de deux éléments 18,19 dissociables dont l'un 18 présente une structure en forme de "U" et vient s'emboîter latéralement sur les arceaux 3,4.

En ce qui concerne l'élément noté 19, celui-ci est solidaire de la structure rigide 10 du support d'échelle 9 et coopère avec l'élément 18 pour refermer lesdits étriers 16,17 sur les arceaux 3,4.

Préférentiellement, ces étriers 16,17 comportent des moyens de roulement 28 facilitant leur coulissement sur les arceaux 3,4. Ces moyens de roulement 28 sont constitués par deux galets 29,30 coopérant, respectivement, avec la périphérie externe 23 et interne 24 des arceaux 3,4. Les galets 29,30 sont montés en libre rotation sur un axe 31 rendu solidaire à ses extrémités des deux éléments 18,19.

Tel que visible dans la figure 3, les étriers 16,17 présentent sur leurs parois latérales 20 un décrochement 32,33 -permettant de définir des espaces libres 34 par rapport aux faces externes 35,36 des arceaux 3,4. Ces espaces libres 34 assurent le passage des moyens de fixation 5 reliant lesdits arceaux 3,4 et, ce, lors du coulissement des étriers 16,17.

Ainsi, lorsque l'usager vient à se servir de l'échelle, il maintient cette dernière sensiblement verticale, ce qui provoque le déplacement des étriers 16,17 sur les arceaux 3,4 dont les extrémités 6,7 coopèrent avec le sol en fonction de l'état de ce dernier.

Conformément à l'invention, le dispositif compensateur de niveau 1 comporte, en outre, des moyens de verrouillage 37 permettant de bloquer l'élément support 9 sur l'embase curviligne 2 formée par les arceaux 3,4. Ainsi, lorsque l'échelle est parfaitement positionnée contre l'édifice sur lequel l'usager désire intervenir, la commande des moyens de verrouillage 37 permet d'obtenir une liaison mécanique rigide entre le support d'échelle 9 et les arceaux 3,4.

Selon un mode d'exécution préférentiel, ces moyens de verrouillage 37 sont constitués de moyens de commande 38 solidaires du support d'échelle 9 et agissant sur un élément de blocage 39 qui est en mesure de coopérer avec les arceaux 3,4. Plus précisément, ces derniers comportent sur leur face interne 41 des bossages 21 jouant le rôle d'entretoises et leur permettant de respecter un intervalle 40 constant sur toute leur longueur. Cette disposition autorise, à au moins l'un de ces arceaux 3,4, de présenter, sur sa face interne 41 et à proximité de la périphérie externe 23, une crémaillère 42 sur laquelle peut intervenir l'élément de blocage 39, celui-ci comportant, à cet effet, une denture 43.

Ainsi, sous l'action des moyens de commande 38, l'élément de blocage 39 est, soit dégagé, soit inséré entre les arceaux 3,4 provoquant le déblocage du support d'échelle 9 ou son blocage en raison de l'engagement de la denture 43 dans la crémaillère 32.

Dans le cadre du mode de réalisation représenté dans les différentes figures, les arceaux 3,4 sont pourvus, chacun, d'une crémaillère 42,421, ltélé- ment de blocage 30 étant pourvu, en contrepartie, d'une double denture 43, 431 apte à coopérer avec les crémaillères 42,421 précitées.

Les moyens de verrouillage 37 sont rendus solidaires du support d'échelle 9 au moyen d'un étrier 44 semblable aux étriers 16,17 décrits ci-dessus. Ainsi, cet étrier 44 est composé de deux éléments 45,46 dissociables, l'un 45 présentant une structure en forme de "U" dont les deux ailes 47,48 coopèrent, respectivement, avec la périphérie externe 23 et interne 24 des arceaux 3,4. Quant à l'élément 46, celui-ci est rendu solidaire de l'élément 45 et vient refermer l'étrier 44 sur lesdits arceaux
Tout comme précédemment, cet étrier 44 peut comporter des moyens de roulement 28 facilitant son déplacement sur les arceaux 3,4. Toutefois, en raison de l'encombrement de l'élément de blocage 39 et de ses moyens de commande 38, ces moyens de roulement 28 ne sont constitués, dans ce cas, que d'un seul galet 30 coopérant avec la périphérie interne 24 des arceaux 3,4.

Par ailleurs, l'aile 47, correspondant à l'élément 45 et venant se situer au-dessus des arceaux 3,4, présente, en outre, une lumière 50 dans laquelle se déplace l'élément de blocage 39. Préférentiellement, cette lumière 50 est ajustée aux dimensions de ce dernier de manière à remplir une fonction de guidage pour faciliter l'engagement dudit élément de blocage 39 et, notamment, de ses dentures 43t431 dans les crémaillères 42,421.

De plus, cette meme aile 47 sert de support aux moyens de commande 38.

Avantageusement, ces derniers sont constitués par une pédale de manoeuvre 51 montée en rotation sur un axe 52 maintenu horizontalement et à ses extrémités par deux branches 53,54 prolongeant l'aile 47 dans sa partie avant 55.

La transmission de l'action exercée sur la pédale de manoeuvre 51 à l'élé- ment de blocage 39 est assurée au moyen d'un levier de commande 56 prolongeant de manière sensiblement perpendiculaire, ladite pédale de manoeuvre 51 dans sa partie supérieure 57. Avantageusement, ce levier de commande 56 est relié audit élément de blocage 39 au moyen d'une articulation 58 garantissant le maintien de ce dernier dans un plan sensiblement vertical pour faciliter sa coopération avec les crémaillères 42, 421.

Préférentiellement, les moyens de verrouillage 37 comportent des moyens de rappel élastique en position de blocage 59 contribuant à la sécurité du dispositif compensateur de niveau 1. En effet, en raison de cette caractéristique, l'usager n'est plus dans l'obligation d'actionner manuellement les moyens de verrouillage 37 pour bloquer le support d'échelle 9 sur l'embase curviligne 2. Ceci évite les oublis éventuels de cette commande et annule les risques d'accident.

Selon un mode d'exécution préférentiel, ces moyens de rappel élastique en position de blocage 59 sont constitués par un élément élastique 60 agissant sur la pédale de manoeuvre 51 de manière à repousser, par l'intermédiaire du levier de commande 56, l'élément de blocage 39 entre les arceaux 3,4. Plus exactement, l'élément élastique 60 est constitué par un ressort en spirale coopérant, simultanément, avec l'axe 52, sur lequel est montée la pédale de manoeuvre 51 et avec cette dernière. Ainsi, en exerçant une pression sur cette pédale de manoeuvre 51, on provoque la compression de l'élément élastique 60 ayant tendance, lors du relâchement de la pression, de ramener ladite pédale de manoeuvre 51 dans sa position initiale.

Il est à remarquer que, selon le mode de réalisation représenté dans les différentes figures, les moyens de verrouillage 37 sont situés, sensiblement, dans le plan médian vertical du support d'échelle 9. Cette disposition facilite à l'usager l'action des moyens de commande 38.

Les avantages que présente ce dispositif compensateur de niveau 1 pour échelle, conforme à l'invention, se résument, essentiellement, à un accroissement de la fiabilité qui a des conséquences indéniables sur la sécurité des échelles en général.

Bien que l'invention ait été décrite à propos d'une forme de réalisation particulière, il est bien entendu qu'elle n'y est nullement limitée et qu'on peut y apporter diverses modifications de formes, de matériaux et de combinaisons de ces divers éléments, sans pour cela s'éloigner du cadre et de l'esprit de l'invention.

Claims (11)

Revendications

1. Dispositif compensateur de niveau pour échelle, comprenant, essentiellement, une embase (2) de forme curviligne sur laquelle peuvent évoluer les extrémités inférieures des montants de ladite échelle, caractérisé par le fait qu'il comporte un support d'échelle (9) monté coulissant sur l'em- base curviligne (2) et pourvu de moyens de verrouillage (37) qui, en position de blocage, immobilisent ledit support d'échelle (9) sur ladite embase curviligne (2).

2. Dispositif compensateur de niveau selon la revendication 1, caractérisé par le fait que l'embase curviligne (2) est formée de deux arceaux (3, 4) juxtaposés et rendus solidaires l'un de l'autre par des moyens de fixation (5), ces arceaux (3,4) comportant sur leur face interne (41) des bossages (21) servant d'entretoise et leur permettant de respecter un intervalle (40) constant sur toute leur longueur.

3. Dispositif compensateur de niveau selon les revendications 1 et 2, caractérisé par le fait que le support d'échelle (9) est constitué d'une structure rigide (10), sensiblement symétrique par rapport à un plan médian vertical (11) et comportant, d'une part, des moyens d'attache (12) auxquels peuvent être rapportées les extrémités inférieures des montants (14) de l'échelle et, d'autre part, au moins deux étriers (16,17) assurant à ce support d'échelle (9) sa liaison coulissante sur les arceaux (3,4).

4. Dispositif compensateur de niveau selon la revendication 3, caractérisé par le fait que les étriers (16,17) sont composés, chacun, de deux éléments (18,19) dissociables dont l'un présente une structure en forme de "U" et vient s'emboîter latéralement sur les arceaux (3,4), l'élément (19) étant solidaire de la structure rigide (10) du support d'échelle (9) et coopérant avec l'élé- ment (18) pour refermer lesdits étriers (16,17) sur ces arceaux (3,4).

5. Dispositif compensateur de niveau selon les revendications 3 et 4, caractérisé par le fait que les étriers (16,17) comportent des moyens de roulement (28) constitués par deux galets (29,30) coopérant, respectivement, avec la périphérie externe (23) et interne (24) des arceaux (3,4) et facilitant le coulissement du support d'échelle (9) sur ces derniers.

6. Dispositif compensateur de niveau selon les revendications 1 et 2, caractérisé par le fait que les moyens de verrouillage (37) sont constitués de moyens de commande (38) solidaires du support d'échelle (9) et agissant sur un élément de blocage (39) coopérant avec les arceaux (3,4) pour bloquer ledit support d'échelle (9) sur ces derniers.

7. Dispositif compensateur de niveau selon les revendications 2 et 6, caractérisé par le fait qu'au moins un des arceaux (3,4) comporte, sur sa face interne (41) et à proximité de la périphérie externe (23), une crémaillère (42,421) qui soit en mesure de coopérer avec une denture (43t431) de l'élément de blocage (39) des moyens de verrouillage (37).

8. Dispositif compensateur de niveau selon les revendications 1 et 2, caractérisé par le fait que les moyens de verrouillage (37) sont rendus solidaires du support d'échelle (9) au moyen d'un étrier (44) composé de deux éléments (45,46) dissociables, l'un (45) présentant une structure en forme de "U" dont les deux ailes (47,48) coopèrent, respectivement, avec la périphérie externe (23) et interne (24) des arceaux (3,4), l'autre élément (46) étant fixé à l'élément (45) pour refermer l'étrier (44) sur lesdits arceaux (3,4), ledit étrier (44) étant pourvu, en outre, de moyens de roulement (28).

9. Dispositif compensateur de niveau selon la revendication 8, caractérisé par le fait que l'aile (47), correspondant à l'élément (45) et venant se situer au-dessus des arceaux (3,4), présente une lumière (50) ajustée aux dimensions de l'élément de blocage (39) et assurant le guidage de ce dernier, cette aile (47) étant pourvue, en outre, dans sa partie avant (55), de deux branches (53,54) maintenant, horizontalement, un axe (52) sur lequel est monté, en libre rotation, une pédale de manoeuvre (51) constituant les moyens de commande (38).

10. Dispositif compensateur de niveau selon la revendication 1, caractérisé par le fait que les moyens de verrouillage (37) comportent des moyens de rappel élastique en position de blocage (59).

11. Dispositif compensateur de niveau selon les revendications 9 et 10, caractérisé par le fait que les moyens de verrouillage (37) comportent un élément élastique (60) agissant sur la pédale de manoeuvre (51) de manière à repousser, par l'intermédiaire d'un levier de commande (56) solidaire de cette dernière, l'élément de blocage (39) entre les arceaux (3,4) et immobiliser le support d'échelle (9) sur ces derniers.