FR2565778A1 - Installation de maintien des animaux pendant la traite - Google Patents

Abstract

INSTALLATION DE MAINTIEN DES ANIMAUX PENDANT LA TRAITE. ENTRE LES MURS 2, 3 D'UN BATIMENT, DE PART ET D'AUTRE D'UNE ALLEE CENTRALE 4 DE CIRCULATION DU PERSONNEL DE TRAITE, IL EXISTE UN COULOIR D'ACCES ET DE TRAITE 9 OU LES ANIMAUX A SONT RETENUS PAR UNE BARRE HORIZONTALE 19 RELIEE A UN ARBRE HORIZONTAL 15 QUI, POUR LIBERER LES ANIMAUX APRES LA TRAITE, TOURNE EN ELEVANT LA BARRE 19 EN AVANT DE CES ANIMAUX POUR LA FAIRE DESCENDRE DERRIERE EUX ET EVENTUELLEMENT LES POUSSER DE SORTE QU'ILS PASSENT SIMULTANEMENT DANS UN COULOIR DE SORTIE 12.

Description

L'invention a pour objet une installation dont le rôle est de maintenir à une position convenable et à un degré d'immobilisation suffisant des animaux, tels que des vaches, par exemple, pendant une opération de traite, et à les libérer quand cette opération est terminée.

On connaît déjà de nombreuses installations qui ont la même utilisation. Dans le dispositif de l'invention, les animaux sont immobilisés parallèlement les uns aux autres, de préférence selon une direction qui est en oblique par rapport à un couloir que les animaux empruntent en se suivant pour arriver a leurs positions respectives. Cette disposition générale en oblique est une préférence avantageuse qui n'est pas obligatoire dans l'esprit de l'invention.

Elle est connue en soi. Sur ce point l'état de la technique peut être illustré par le document FR-A-1 564 793 dans lequel le dispositif de maintien en position de traite est disposé le long d'un couloir en contrebas, en retrait par rapport à une ligne de mangeoires ; il existe alors un mécanisme comprenant des bielles, des béquilles à roulettes, des bat -flanc que l'on emploie pour contraindre les animaux à reculer à partir de leur mangeoire jusqu'à leur position de traite, en épi le long du couloir en contrebas.

Ce dernier est conçu pour faciliter l'accès aux pis. Après la traite, les animaux sont libérés et peuvent accéder librement à leur mangeoire proche.

Il s'agit plutôt, selon ce document, d'un équipement pour une étable dans laquelle les animaux sont constamment enfermés et ne peuvent se déplacer qu'entre leur mangeoire et leur position de traite.

Le document FR-A-2 288 460 décrit une installation de traite dans laquelle les animaux entrent par un couloir d'accès jusqu'à leur rencontre avec un passage transversal mobile qui conduit successivement à une stalle faisant partie d'une rangée de stalles accolées en oblique. Chaque stalle est fermée par un portillon individuel qui s'ouvre sur un couloir de sortie. Le passage transversal est mobile parce qu'il fait partie d'un véhicule qui supporte le trayeur et qui est déplaçable entre le couloir d'accès et la rangée des stalles. Les animaux ne peuvent être admis que successivement à leur stalle respective individuelle en empruntant l'un après l'autre le couloir transversal quand celui-ci a été déplacé avec le véhicule et mis en face de chacune des stalles successivement.

L'invention se distingue des installations décrites dans les documents rappelés ci-dessus par son but principal qui est de parvenir, en employant des moyens simples entrée nant un investissement modéré, à introduire des animaux dans une salle de traite par groupes successifs et à leur faire évacuer cette salle après la traite, avec le temps le plus court réservé aux déplacements des animaux.

Une installation de maintien des animaux en vue d'une opération de traite comprend une allée de circulation du personnel de traite, de préférence en contrebas par rapport au sol avoisinant, des moyens d'entrée des animaux dans un couloir d'accès et de guidage de ces derniers jusqu' à des positions individuelles déterminées, des moyens d'arrêt déplaçables entre une position d'arrêt des animaux et une position de libération des animaux, un espace de dégagement situé à la suite des moyens d'arrêt pour la sortie des animaux ; selon l'invention, le couloir d'acces est situé entre l'allée de circulation du personnel et l'espace de dégagement et il constitue un couloir de traite dans lequel les animaux sont retenus pour l'opération de traite, les moyens d'arrêt déplaçables étant montés entre ce couloir et l'espace de dégagement.

Dans un mode de réalisation de l'invention, les moyens d'arrêt déplaçables comprennent au moins une barre d'arrêt tenue parallèlement à la dimension longitudinale du couloir d'accès quand elle se trouve à sa position d'arrêt des animaux, entre ce couloir et l'espacement de dégagement.

De préférence, les moyens d'arrêt déplaçables sont supportés pour être mobiles par un mouvement de pivotement autour d'un axe de rotation.

Avantageusement, l'axe de rotation est celui d'un arbre horizontal supporté au-dessus des animaux, de préférence sensiblement a l'aplomb de leur tête, la barre étant réunie par des bras à cet arbre.

Selon un mode préféré de réalisation de l'invention, le sens de rotation de l'arbre et de la barre est tel que, pour libérer les animaux à partir de sa position d'arrêt, la barre s'éloigne en s'élevant en avant de ceuxci puis redescend en poursuivant son mouvement de rotation vers l'arrière des animaux jusqu'a reprendre sa position d'arrêt.

Des moyens de blocage sont prévus pour immobiliser à volonté les moyens d'arrêt à leur position d'arrêt contre la poussée des animaux.

Les moyens de guidage fixes comprennent au moins une lisse horizontale fixe, supportée le long de l'allée de circulation du personnel et disposée parallèlement à la barre des moyens d'arrêt pour limiter avec cette barre quand ces moyens d'arrêt sont a leur position d'arrêt le couloir d'accès qui sert aussi de couloir de traite l'extrémité finale de ce dernier est limitée par un élément de guidage fixé en oblique et obligeant les animaux à se ranger en épi dans le couloir de traite, tandis que l'extrémité d'entrée de ce même couloir est équipée d'un portillon ou d'un élément équivalent permettant de façon connue en soi d'interdire ou d'autoriser l'entrée des animaux dans le couloir d'accès et de traite.

L'installation de l'invention est réalisable sous un aspect simple comprenant une allée en contrebas pour le personnel de traite, séparé par la lisse horizontale fixe du couloir d'accès et de trame ; ce dernier est limite par une barre ou par plusieurs barres en prolongement du moyen d'arrêt mis en position d'arrêt des animaux ; après cette barre ou ces barres en prolongement se trouve l'espace de dégagement qui peut être constitué par un couloir de sortie limité, si on le désire, par une barrière ou par un mur d'une construction.

L'installation de l'invention est réalisable sous un aspect double comprenant allée en contrebas située en position centrale et, symétriquement de part et d'autre de celle-ci, un couloir d'accès et de traite, un moyen d'arrêt, un espace de dégagement limité de chaque côté, par exemple par un mur d'un bâtiment, dans lequel est réalisée l'installation double. De cette façon, avec deux couloirs d'accès et de traite desservis par l'allée centrale en contrebas, l'installation de l'invention occupe une largeur minimum.

On donnera maintenant, sans intention limitative et sans exclure aucune variante, une description d'un exemple préféré de réalisation de l'invention. On se reportera aux dessins annexés dans lesquels
- la figure 1 est une vue schématique de dessus d'une installation double, conforme à l'invention, réalisée à l'intérieur d'un bâtiment,
- la figure 2 est une vue de côté suivant F de l'installation de la figure 1.

A l'intérieur d'un bâtiment 1, ayant deux murs parallèles opposés 2,3, est ménagée entre ces murs une allée centrale 4 qui leur est parallèle et qui est en contrebas à une profondeur de 0,85 m environ, par rapport à la surface 5 du sol de ce bâtiment.

Sur chacun de ses côtés longitudinaux, l'allée centrale 4 est limitée par une lisse horizontale fixe 6 soutenue par des montants 7. Ces derniers sont reliés, de préférence, par des arceaux transversaux 8. Après chaque lisse fixe 6 se trouve un couloir d'accès et de traite 9 qui est limité à l'opposé de la lisse 6 par un moyen d'arrêt mobile, désigné par la référence générale 11, que l'on décrira en détail plus loin. Sur les figures 1 et 2 les moyens d'arrêt 11 sont représentés à leur position d'arrêt à laquelle ils empêchent des animaux A (figure 1) d'arriver à un couloir de sortie 12. Ce dernier est finalement délimité par le mur correspondant 2, 3 respectivement, du bâtiment.

L'installation de l'invention pourrait être réalisée à l'air libre ou simplement en-dessous d'une toiture. Dans ce cas, les murs 2, 3 n'existeraient pas et les couloirs de sortie 12 deviendraient un espace de dégagement.

Chaque couloir d'accès 9 est limité à une extrémité finale par un élément de guidage 13 disposé en oblique, environ à 450, de sorte que le premier animal A1 qui arrive à cette extrémité se met en position oblique et que l'ensemble des animaux se met en épi, dans le sens du couloir d'accès 9, par rapport à l'allée centrale. Ainsi les pis des animaux sont facilement accessibles à partir de cette allée centrale de circulation. A son extrémité opposée, ou extrémité d'entrée, chaque couloir de traite 9 est équipé d'un portillon 14 à mouvements commandés à volonté à l'aide de moyens de manoeuvre non représentés.

Chaque moyen d'arrêt 11 comprend un arbre 15 s'étendant parallèlement à l'allée centrale 4, supporté au-dessus du sol 5 à un niveau supérieur à la tête des animaux, permettant le passage d'un homme, par exemple à une hauteur de 1,80 m environ. Dans un bâtiment 1 de grande longueur des poutres 16 s'étendent entre les murs opposés 2,3 et sont munis de paliers qui portent l'arbre 15. Si on le juge utile, des poteaux verticaux 17 (visibles sur la figure 2 seulement) soutiennent les poutres 16. Ces poteaux 17 sont situés avantageusement à la limite qui sépare le couloir d'accès et de traite 9 du couloir de sortie 12 sur chacun des côtés de l'allée centrale 4.

Dans les intervalles des poutres 16 plusieurs bras 18 s'étendent radialement à partir de l'arbre 15 auquel ils sont fixés par une de leurs extrémités. A leur extré mité libre, les bras 18 sont réunis par une barre d'arrêt 19.

Quand les moyens d'arrêt 11 sont mis à leur position d'arrêt, comme on le voit sur les figures 1 et 2, chaque barre d'arrêt 19 est placée horizontalement à une distance de 0,85 m environ au-dessus du sol 5 et à une distance de 1 m environ de la lisse 6 la plus proche, à laquelle elle est parallèle et avec laquelle elle limite le couloir d'accès et de traite 9. Quand elle occupe cette position d'arrêt chaque barre 19 est à la hauteur du poitrail des animaux (quand ceux-ci sont des vaches) et elle empêche ces derniers de s'avancer dans le couloir de sortie 12.

I1 est avantageux de ne pas donner aux bras 18 une configuration rectiligne mais, au contraire, de les incurver dans leur moitié inférieure d'un angle de 1000 environ, en tournant leur concavité vers le couloir de traite 9. Cette configuration des bras 18 oblige à éloigner l'arbre 15 vers le couloir de sortie 12 par rapport au plan vertical qui passe par la barre 19 mise à sa position d'arrêt des animaux, ainsi qu'on le voit sur la figure 2. Cette disposition facilite la circulation des animaux dont les cornes risqueraient de s'accrocher dans les bras 18 si ceux-ci n'étaient incurvés comme on l'a décrit.

Dans certaines circonstances, les poteaux 17 ne sont pas nécessaires pour soutenir les poutres 16. Même dans ce cas, les barres d'arrêt 19 ne sont pas d'un seul tenant sur toute la longueur du bâtiment 1 comme le sont les arbres 15 de chaque côté de l'allée centrale 4. Les barres 19 sont divisées en tronçons successifs distincts 19A,19B,19C disposées en prolongement coaxial dans les intervalles qui séparent les poutres 16. I1 est souhaitable de réunir de la même façon, entre les poutres 16, les bras 18 par au moins une barre auxiliaire 20 qui se trouve sensiblement au niveau du mufle des vaches quand les moyens d'arrêt 11 sont à leur position d'arrêt.

Sur chaque arbre 15 est calée en rotation une poulie ou une roue dentée 21 qui est reliée par une courroie ou une chaîne 22 à une poulie ou un pignon denté 23 d'un groupe moto-réducteur 24. Ce dernier est fixé à une poutre 16.

Chaque groupe moto-réducteur 24 permet de faire tourner les moyens d'arrêt ll autour de l'arbre horizontal 15 afin de déplacer les barres d'arrêt 19 et 20 de leur position d'arrêt jusqu'à une position qui autorise les passages des animaux du couloir de traite 9 au couloir de sortie 12.

L'installation de l'invention fonctionne de la façon suivante.

L'ouverture du portillon 14 permet aux animaux de s'avancer dans le couloir de traite 9 ; le premier animal
A1 se met en oblique quand il rencontre l'élément de guidage terminal 13. Les animaux qui suivent se pressent et se mettent aussi en oblique. Quand le couloir de traite 9 est occupé sur toute sa longueur, le portillon 14 est fermé et empêche l'entrée d'autres animaux.

Les animaux sont retenus dans le couloir de traite 9 par les moyens d'arrêt 11 dont ils rencontrent les barres horizontales 19 et 20 mises à leur position d'arrêt. Des moyens de verrouillage quelconques appropriés sont prévus sur les moyens d'arrêt 11 pour que ceux-ci résistent à la poussée des animaux contre la barre d'arrêt 19. Ces moyens de verrouillage peuvent être constitués, par exemple, par un élément rigide 25 s'étendant à partir de la zone médiane de chaque bras 18, sur le côté oppose à celui ou se trouve les barres 19,20. Chaque élément 25 est solidement relié au bras 18 par une entretoise 26. Quand les moyens d'arrêt 11 sont à leur position d'arret, les éléments rigides 25 se terminent au niveau d'une face horizontale des poutres 16.

Sur cette même face de ce dernieres poutres 16 sont montées des plaques pivotantes (non représentées) commandées par une tringlerie.Celle-ci permet de mettre ces plaques à une position parallèle à la dimension longitudinale des poutres 16 dans laquelle elles libèrent les moyens d'arrêt 11 et une position transversale aux poutres 16, dans laquelle elles servent de butée aux extrémités libres des éléments rigides 25 quand les animaux poussent contre les barres d'arrêt 19.

Dans la position ou ils sont maintenus dans le couloir 9 par lequel ils sont arrivés, entre la lisse 7 et les barres d'arrêt 19, 20, les animaux peuvent subir l'ope- ration de traite sans difficulté pour l'opérateur qui circule librement dans l'allée centrale en contrebas 4. Quand la traite est terminée, les moyens d'arrêt 11 sont débloqués et chaque groupe moto-réducteur 24 fait tourner l'arbre 15 correspondant, comme indiqué par des flèches F1 sur la figure 2, dans un sens qui éloigne les barres d'arrêt 19, 29 en avant des animaux, du couloir de traite 9 vers le couloir de sortie 12, qui élève ensuite ces barres audessus du niveau des poutres 16 et des animaux, de sorte que ceux-ci peuvent s'avancer tous ensemble dans le couloir de sortie 12 où ils se mettent en file. En poursuivant sa rotation l'arbre 15 fait redescendre les barres 19,20 en arrière des animaux. Ceux de ces animaux qui traînent à sortir sentent la poussée des barres et sortent plus rapidement La rotation est arrêtée quand les barres 19,20 sont revenues à leur position d'arrêt. Les moyens de blocage à cette position des moyens d'arrêt l1 sont mis à leur position de service et le portillon 14 est ouvert pour I'entrée d'un nouveau groupe d'animaux.

On remarquera que dans une installation selon l'invention, les animaux effectuent un trajet réduit au minimum puisqu'ils sont immobilisés pour la traite dans le couloir même ou ils arrivent. En outre, comme on l'a dit, ils peuvent passeur presque tous en même temps en dehors du couloir de traite. Ainsi le temps nécessaire aux mouvements des animaux, qui se déplacent plutôt lentement, est notablement réduit alors que les moyens utilisés restent simples et économiques.

Claims (10)

REVENDICATIONS

1. Installation de maintien d'animaux pour l'exé- cution d'une opération de traite comprenant une allée de circulation (4) du personnel de traite située de préférence en contrebas par rapport au sol (5), des moyens d'entrée (14) des animaux dans un couloir d'accès (9) et de guidage (6) des animaux jusqu'à des positions individuelles déterminées, des moyens d'arrêt (11) déplaçables entre une position d'arrêt des animaux et une position de libération des animaux, un espace de dégagement (12) situé en arrière des moyens d'arrêt (11), caractérisée en ce que le couloir d'accès (9) est situé entre l'allée de circulation (4) du personnel et l'espace de dégagement (12) et il constitue un couloir de traite dans lequel les animaux sont retenus pour l'opération de traite, les moyens d'arrêt déplaçables (11) étant montés entre ledit couloir d'accès et de traite (9) et l'espace de dégagement (12).

2. Installation selon la revendication 1, caractérisée en ce que les moyens d'arrêt déplaçables (11) comprennent au moins une barre d'arrêt (19) tenue horizontalement et parallèlement à la dimension longitudinale du couloir d'accès et de traite (9) à la hauteur du poitrail des animaux, entre ce couloir (9) et l'espace de dégagement (12) quand les moyens d'arrêt 1) sont mis à leur position d'arrêt.

3, Installation selon la revendication 2, caractérisée en ce que les moyens d'arrêt (11) sont déplaçables par un mouvement de pivotement autour d'un axe de rotation.

4. Installation selon la revendication 3, caractérisée en ce que l'axe de rotation est celui d'un arbre horizontal (15) supporté au-dessus des animaux et la barre d'arrêt (19) est réunie par des bras radiaux (18) à cet arbre (15), des moyens de blocage manoeuvrables àvolonté étant prévus pour empêcher la rotation de l'arbre (15).

5. Installation selon la revendication 1, caractérisée en ce que le couloir d'accès et de traite (9 > est limité à son extrémité finale par un élément de guidage fixe (13) disposé en oblique et obligeant les animaux à se mettre en épi par rapport à l'allée de circulation du personnel (4), tandis que son extrémité d'entrée est équipée d'un portillon (14).

6. Installation selon la revendication 4, carac térisée en ce que l'arbre horizontal (15) est suspendu par des paliers fixés à des poutres (16) disposees transversal lement à l'allée de circulation (4) et au couloir d' accès et de traite (9) cependant que la barre d'arrêt tel9) est composée de plusieurs barres (l9A, l9B, 19C) qui s'étendent chacune entre deux poutres (lui, qui sont mises coasialement en prolongement et qui sont réunies chacune par des bras radiaux (18) à l'arbre horizontal (15).

7. Installation selon l'une quelconque des revendications 1, 6, caractérisée en ce que le sens de rotation de l'arbre horizontal (15) est tel que, pour libérer les animaux, à partir de sa position d'arrêt la barre (19) ou chaque barre (19A, 19B, l9C) s'éloigne des animaux en s'élevant en direction de l'espace de dégagement (12), en avant de ces animaux, puis redescend en poursuivant son mouvement de rotation en arrière des animaux jusqu'à sa position d'arrêt.

8. Installation selon la revendication 4, caractérisée en ce que chaque bras (18) reliant l'arbre horizontal (15) à la barre (19) présente une incurvation avec sa concavité tournée vers le couloir d'accès et de traite (9).

9. Installation selon la revendication 1, caractérisée en ce que l'espace de dégagement est un couloir de sortie limité par un mur (2) d'un bâtiment et par les moyens d'arrêt déplaçables (11) quand ceux-ci sont mis à leur position d'arrêt.

10. InstallatIon selon la revendication 1, carac térisée en ce que l'allée de circulation (4) du personnel est une allée centrale de part et d'autre de laquelle on trouve, symétriquement, un couloir d'accès et de traite (9), des moyens d'arrêt déplaçables (11), un espace de dégagement constitué de préférence par un couloir de sortie (12) délimité par un mur (2,3) d'un bâtiment à l'intérieur duquel est réalisée l'installation.