FR2556976A1 - Perfectionnements aux fixations de securite pour ski a plaque pivotante - Google Patents

Abstract

FIXATION DE SECURITE POUR FIXER UNE CHAUSSURE 6 A UN SKI 1 COMPRENANT: UN PREMIER ELEMENT DE RETENUE OU BUTEE AVANT 2 MONTE A PIVOTEMENT SUR LE SKI 1, MUNI D'UNE MACHOIRE 7 DESTINEE A RETENIR L'AVANT DE LA CHAUSSURE 6A ET MOBILE, AU MOINS LATERALEMENT, CONTRE L'ACTION D'UN SYSTEME ELASTIQUE 9; UN DEUXIEME ELEMENT DE RETENUE OU TALONNIERE 3 DESTINE A RETENIR L'ARRIERE DE LA CHAUSSURE 6B AU MOINS AUTOUR D'UN AXE HORIZONTAL 11 CONTRE L'ACTION D'UN SYSTEME ELASTIQUE; UNE PLAQUE 4 DISPOSEE ENTRE LA BUTEE AVANT 2 ET LA TALONNIERE ARRIERE 3, MONTEE A PIVOTEMENT AUTOUR D'UN PIVOT VERTICAL 5, SUR LAQUELLE REPOSE LA SEMELLE DE LA CHAUSSURE 6. LA PLAQUE PIVOTANTE 4 COMPORTE A SON EXTREMITE AVANT, UN ELEMENT VERTICAL D'APPUI FRONTAL 15 CONTRE LEQUEL S'APPUIE L'EXTREMITE FRONTALE AVANT DE LA CHAUSSURE 6.

Description

La présente invention concerne un dispositif pour fixer de façon déclenchable une chaussure à un ski.

On connaît déjà de nombreux dispositifs comprenant une fixation avant appelée encore "butée" destinée à maintenir l'extrémité avant de la chaussure, tandis que l'extrémité arrière est retenue sur le ski par une fixation arrière appelée encore "talonnière".Généralement, la mâchoire de la butée pivote au moins latéralement, tandis que la mâchoire de la talonnière pivote au moins verticalement pour libérer la chaussure lors d'une chute ou d'une sollicitation dépassant un seuil de déclenchement déterminé par la tension du ou des systemes élastiques d'énergisation.

On peut citer pour mémoire et par exemple les butees ou talonnières décrites dans les demandes françaises n" 2.420.359, 2.478.476, 2.314.742 et 2.338.060.

Des dispositifs de ce genre sont largement connus et ont été, par exemple décrits dans les brevets français 2.314.742, 2.420.359, 2.478.476 en ce qui concerne la butée avant et dans le brevet français n" 2.338.060 en ce qui concerne la talonnière.

On connaît aussi des talonnieres du type multidirectionnel dont la mâchoire permet non seulement de libérer verticalement le talon de la chaussure, mais aussi de libérer latéralement celui-ci lors d'une torsion de la jambe. Des fixations de ce type sont décrites dans les demandes de brevets français n" 82.04947 et nO 82.04948.

Ce type de réalisation présente néanmoins un certain nombre d' inconvénients.

Notons,par exemple, le manque de fiabilité et la faible tenue aux chocs latéraux ainsi que les modifications des efforts de déclenchement en fonction de la qualité ou de l'état des semelles de chaussure.

Pour remédier à ces inconvénients, les constructeurs ont cherché d'autres réalisations et ont mis au point des dispositifs du type dit "à plaque pivotante" et dans lesquels la chaussure est maintenue sur le ski par l'intermédiaire d'une plaque disposée mobile en rotation autour d'un pivot fixé au ski.Selon certaines réalisations, la plaque ne quitte pas le ski et c'est la chaussure seule, qui est libérée tandis que selon d'autres réalisations, la chaussure reste associée à la plaque et l'ensemble est libéré. Le pivot est destiné à imposer une rotation définie pour la chaussure, et à encaisser les chocs latéraux qui ne seront alors pas ou que partiellement transmis aux éléments de retenue de la chaussure. D'autre part, les frottements avec le ski sont contrôlés par la plaque qui est alors en contact avec le ski.Pour ce type de réalisation, on peut citer par exemple celui décrit dans le brevet français n" 2.279.433 et dans lequel la plaque est reliée au ski de façon à pouvoir pivoter et comprend à son extrémité avant, un élément de retenue non déclenchable pour l'extrémité avant de la chaussure et à son extrémité arrière, un élément de retenue déclenchable pour le talon.Ce type de réalisation est particulièrement complexe et la libération de la chaussure en torsion ne se fait qu'au niveau de l'arrière de la chaussure, ce qui présente un inconvénient sérieux.

De plus, le rapport entre l'effort de déclenchement vertical et l'effort de déclenchement latéral est choisi au départ par le constructeur et il n'est pas forcément valable pour tous les skieurs.

On connaît aussi le dispositif décrit dans le brevet français n" 2.198.762 et qui comprend aussi une plaque pivotante comprenant un élément de retenue fixe pour maintenir l'avant de la chaussure et un autre élément déverrouillable pour retenir le talon de ladite chaussure. C'est alors la plaque qui est libérée et quitte le ski avec la chaussure, ce qui impose au skieur d'avoir à remettre la plaque en position verrouillée sur le ski, et donc d'avoir à rechausser le pivot. Cette opération est parfois très difficile, notamment en neige poudreuse ou dans une pente accentuée.

On connaît aussi la plaque décrite dans le brevet français nO 2.305.208 qui comprend un mécanisme particulièrement complexe, donc comateux peu fiable et sensible aux conditions de l'environnement (boue, glace, gel, etc.).

Pour remedier à ces inconvénients, on a déjà proposé la fixation décrite dans notre demande n" 83.10819 selon laquelle un élément de retenue avant est fixé au ski devant la plaque, tandis que l'élément de retenue arrière est fixé sur la plaque à l'arriere de celle-ci et au-delà du pivot. On connaît aussi notre demande française nO 83.10989 selon laquelle une plaque ou pièce intermédiaire pivotante relie l'élément de retenue avant à l'élément de retenue arrière. Mais ces réalisations, bien que satisfaisantes sur le plan général, présentent un certain nombre d'inconvénients. En effet, la poussée longitudinale de la chaussure crée des frottements qui perturbent le bon fonctionnement de l'élément avant de retenue.La poussée longitudinale est due à la poussée longitudinale de l'élément de retenue arrière qui devient très importante quand il y a flexion du ski ou que le réglage en longueur n'est pas correct.

La présente invention se propose de remédier à ces inconvénients.

La présente invention concerne une fixation de sécurité pour fixer une chaussure à un ski comprenant un premier élément de retenue ou butée avant, monté à pivotement sur le ski, comprenant une mâchoire destinée à retenir l'avant de la -chaussure et mobile, au moins latéralement contre l'action d'un système élastique ; un deuxième élément de retenue ou talonnière, destiné à retenir l'arrière de la chaussure et mobile au moins autour d'un axe horizontal contre l'action d'un système élastique ; une plaque disposée entre la butée avant et la talonnière arrière, montée à pivotement autour d'un axe ou pivot vertical, sur laquelle repose la semelle de la chaussure, caractérisée par le fait que ladite plaque comporte, à son extrémité avant, un appui frontal sur lequel s'appuie l'extrémité frontale avant de la chaussure.

A titre d'exemples non limitatifs et pour faciliter la compréhension de l'invention, on a représenté aux dessins annexes
Figure 1, une vue en élévation latérale en coupe longitudinale d'un premier exemple de réalisation
Figure 2, une vue en plan du dispositif de la figure 1, avec demi-coupe longitudinale;;
Figure 3, une vue partielle de la figure 2, en coupe selonA-A
Figure 4, une vue en élévation latérale, en coupe longitudinale partielle, d'un deuxième exemple de réalisation
Figure 5, une vue schématique d'une variante de réalisation du dispositif de recentrage de la plaque pivotante
Figure 6, une vue schématique d'une autre variante de réalisation du dispositif de recentrage de la plaque pivotante
Figures 7 et 8, deux vues schématiques illustrant une troisième variante de réalisation du dispositif de recentrage de la plaque. pivotante
Figure 9, une vue schématique partielle d'une variante de réalisation de l'élément d'appui frontal de la plaque.

En se reportant aux figures 1 et 2, on voit que sur un ski 1 sont disposés un élément avant de retenue ou butée 2, un élément arrière de retenue 3 et, entre les deux, une plaque 4 montée à pivotement sur le ski 1 par un pivot 5.

La butée avant 2, peut être de tout type et n'est pas décrite en détail. Elle peut être par exemple comme celle décrite dans les demandes françaises n" 2.419.737-2.478.476 ou 81.22577. Elle comporte notamment une mâchoire 7 dont les deux branches enserrent les deux côtés de l'avant 6a de la chaussure 6 ; un pivot 8 autour duquel elle peut tourner, et un système élastique d 'énergisation 9 qui tend à s'opposer à ce mouvemént de pivotement et qui ramène la butée 2 en position centrée sur l'axe longitudinal XX'.

Dans cet exemple de réalisation, la butée 2 maintient la chaussure latéralement et la maintient également vers le haut par les deux rebords 7a des deux branches de la mâchoire 7.

La talonnière arrière 3 étant également connue n'est pas, non plus, décrite en détail. Elle comporte notamment, une mâchoire 10 prenant appui sur le dessus du talon 6b de la chaussure 6 ; un pivot horizontal 11 à l'encontre d'un système d'énergisation (non représenté) qui tend à s'opposer à ce mouvement de pivotement.

La plaque 4 comporte un plateau 12, monté à rotation sur le pivot 5, solidaire du ski et un deuxième plateau 13, situé à l'avant, relié au plateau 12 par deux barres de liaison parallèles et de mêmes longueurs 14.

Cette disposition permet d'ajuster à volonté la longueur de la plaque 4. Le plateau 13 a la forme générale d'un triangle et comporte à son extrémité avant, un élément vertical 15 s'étendant vers le haut et contre lequel l'extrémité frontale de la semelle de la chaussure 6 vient en appui. Le plateau 13 comporte également à sa face inférieure un ergot 16 qui s'engage entre les deux branches d'une fourche 17 reliée par une biellette 18 à la butée avant 2.

De préférence, comme cela est représenté, le pivot 5 comporte un rebord 5a d'un diamètre supérieur de façon que le plateau 12 puisse pivoter sans pouvoir se soulever et donc sans pouvoir se détacher du ski 1.

Comme cela est représenté aux figures 1 et 2, la talonnière 3 est reliée par un étrier 19 au plateau 12, de sorte que la talonnière 3 est portée par la plaque pivotante 4 et tourne avec celle-ci.

Lorsque la chaussure 6 est soumise à un effort de torsion supérieur au réglage du système d'énergisation 9 de la butée avant 2, elle pivote avec la plaque pivotante 4 autour du pivot 5 en appuyant sur l'un des côtés de la mâchoire 7 de la butée 2, à l'encontre du système d'énergisation. Mais, la pointe de la chaussure 6 n'exerce aucune poussée vers l'avant dans le sens de l'axe XX' contre la butée 2.En effet, la poussée longitudinale vers l'avant exercée par la talonnière 3 est entièrement encaissée par l'élément vertical d'appui 15 situé à l'avant de la plaque 4 et cela aussi bien lorsque le skieur chausse son ski que lorsque le ski subit une flexion importante. Cette disposition élimine donc toute action parasite de la chaussure 6 sur le fonctionnement de la butée avant 2.

La plaque pivotante 4 est ensuite ramenée en position centrée par la butée avant 2. En effet, cette dernière est ramenée en position centrée selon l'axe XX' par son système d'énergisation 9 et par la fourchette ou élément de liaison 17, elle entraîne ladite plaque pivotante en agissant sur l'ergot 16.

La figure 4 représente un deuxième exemple de réalisation dans lequel les mêmes éléments portent les mêmes références. Dans ce cas, la talonnière 3 n'est plus portée par la plaque pivotante 4, mais est fixée directement sur le ski 1. Ce genre de talonnière étant connue, celle-ci n'est pas décrite en détail. Le fonctionnement est le même que dans l'exemple représenté aux figures 1 et 2.

Dans ce cas, la plaque pivotante 4 peut être ramenée en position centrée sur l'axe XX' soit par le système d'énergisation 9 de la butée avant, comme cela est représenté, soit par le système d'énergisation de la talonnière arrière (figure 5), soit par un système de rappel propre à la plaque pivotante 4 (figure 6).

En effet, la talonnière 3 peut -comme cela est connu en soi- être mobile à l'encontre d'un système élastique selon un axe horizontal 11 et en plus mobile autour d'un axe vertical 20, également à l'encontre d'un système élastique d'énergisation ayant tendance à la maintenir et à la ramener en position centrée sur l'axe XX', comme cela est décrit, par exemple, dans les demandes françaises 2.508.806-2.508.807. On peut alors, comme cela est représenté à la figure 5, relier l'une à l'autre la plaque pivotante 4 et la talonnière pivotante 3 par une bielle telle que 21 et un ergot tel que 22 coulissant dans une fenêtre oblongue 23 ménagée dans la bielle 21. Lorsque la talonnière 3 est ramenée en position centrée par son système d'énergisation, elle entraîne la plaque pivotante 4 qui elle alors est également ramenée en position centrée.

On peut également disposer un système de rappel propre à la plaque pivotante qui, comme cela est représenté à titre d'exemple non limitatif à la figure 6, peut être constitué par une patte 24 disposée sur l'axe longitudinal de la plaque pivotante 4, cette plaque étant maintenue en position centrée sur l'axe XX' par deux ressorts antagonistes 25.

Dans les exemples de réalisation, représentés aux figures 1, 2 et 4, la plaque pivotante 4 est reliée à la butée 2, afin d'être ramenée en position centrée sur celle-ci, par l'intermédiaire d'un ergot 16, d'une fourche 17 et d'une biellette de liaison 18. Selon la variante de réalisation représentée aux figures 7 et 8, l'élément vertical 15 de la plaque pivotante 4 qui sert d'appui à l'extrémité avant de la chaussure 6 peut être conformé de telle façon qu'il soit en contact à ses deux extrémités latérales (en position centrée) avec les deux branches de la mâchoire 7 de la butée 2. Il en résulte que le système d'énergisation 9 de la butée 2 ramène la plaque pivotante 4 en position centrée par l'intermédiaire de la mâchoire 7.En disposant à chaque extrémité latérale de l'élément 15 des pièces 26 ayant un bon coefficient de frottement, on obtient ainsi un bon fonctionnement de la fixation.

La figure 9 représente une variante de réalisation du dispositif représenté aux figures 1 à 4. Dans ces figures, la pointe avant 6a de la chaussure est maintenue vers le haut par les rebords 7a des deux branches latérales de la mâchoire 7 (figure 3). Selon la variante représentée à la figure 9, ceci peut être obtenue par un rebord 15 ménagé à la partie supérieure de l'élément vertical d'appui frontal 15 de la plaque 4, les rebords 7a de la mâchoire 7 étant, alors, supprimés.

Il est bien évident que la liaison entre la butée avant 2 et la plaque pivotante 4 peut être réalisée par tout moyen approprié par exemple par une biellette;munie d'une fenêtre analogue à la biellette 21 de la figure 5.

Toutes les dispositions décrites ci-dessus ont pour effet de supprimer tout ou partie de l'appui de la chaussure 6 contre la butée 2 dans le sens longitudinal vers l'avant, ce qui améliore le fonctionnement de la butée 2 et supprime également tout ou partie des réactions de la chaussure sur la butée en cas de flexion du ski.

Claims (15)

REVENDICATIONS

1. Fixation de sécurité pour fixer une chaussure (6) à un ski (1) comprenant : un premier élément de retenue ou butee avant (2) monté à pivotement sur le ski (1), muni d'une mâchoire (7) destinée à retenir l'avant de la chaussure (6a) et mobile, au moins latéralement contre l'action d'un système élastique (9) ; un deuxième élément de retenue ou talonnière (3) destiné à retenir l'arrière de la chaussure (6b) au moins autour d'un axe horizontal (11) contre l'action d'un système élastique ; une plaque (4) ou similaire disposée entre la butée avant (2) et la talonnière arrière (3) montée à pivotement autour d'un pivot vertical (5), sur laquelle repose la semelle de la chaussure (6), caractérisée par le fait que ladite plaque pivotante (4) comporte à son extrémité avant, un élément vertical d'appui frontal (15) contre lequel s'appuie l'extrémité frontale avant de la chaussure (6).

2. Fixation selon la revendication 1, dans laquelle la talonnière (3) est portee par la plaque pivotante (4).

3. Fixation selon la revendication 1, dans laquelle la talonnière (3) est fixée directement sur la ski (1) et est donc indépendante de la plaque pivotante (4).

4. Fixation selon l'une quelconque des revendications 2 et 3, dans laquelle la plaque pivotante est ramenée en position centrée sur l'axe longitudinal (XX') du ski (1) par l'intermédiaire du système élastique d'énergisation (9) de la butée avant (2).

5. Fixation selon la revendication 4, dans laquelle la plaque pivotante (4) est reliée à la butée avant par une biellette de liaison (18).

6. Fixation selon la revendication 5, dans laquelle la biellette de liaison (18) est reliée à une fourche (17) dont les branches encadrent un ergot (16) solidaire de la plaque (4).

7. Fixation selon la revendication 5, dans laquelle la biellette de liaison (18) comporte une fenêtre oblongue dans laquelle se déplace un ergot solidaire de la plaque pivotante (4).

8. Fixation selon la revendication 4, dans laquelle l'élément vertical frontal d'appui (15) de la plaque pivotante (4) est conformé de façon à être, en position centrée, en appui par ses deux extrémités latérales contre les deux branches de la mâchoire (7) de la butée avant (2).

9. Fixation selon la revendication 8, dans laquelle les deux extrémités latérales de l'élément frontal d'appui (15)sont munies de pièces (26) ayant un bon coefficient de frottement.

10. Fixation selon l'une quelconque des revendications 2 et 3, dans laquelle la plaque pivotante (4) est ramenée,en position centrée ,sur l'axe longitudinal (XX') par un système élastique agissant directement sur ladite plaque (4).

11. Fixation selon la revendication 10, dans laquelle la plaque pivotante (4) est munie d'une patte centrale (24) contretenue par deux ressorts antagonistes (25).

12. Fixation selon la revendication 3, dans laquelle la talonnière (3) peut pivoter autour d'un axe vertical contre un système élastique, la plaque pivotante (4) étant reliée à ladite talonnière (3) de façon à être ramenée par celle-ci,en position centrée,sur l'axe longi- tudinal (XX') du ski (1).

13. Fixation selon la revendication 12, dans laquelle la plaque pivotante (4) est reliée à la talonnière (3) par une biellette (21) comportant une fenêtre oblongue (23) dans laquelle se déplace un ergot (22).

14. Fixation selon l'une quelconque des revendications 1 à 13, dans laquelle la partie avant de la chaussure (6a) est retenue dans le sens vertical par des rebords (7a) disposés sur les branches latérales de la mâchoire (7).

15. Fixation selon l'une quelconque des revendications 1 à 13, dans laquelle la partie avant de la chaussure (6a) est retenue dans le sens vertical par un rebord (15a) disposé sur l'élément vertical frontal d'appui (15).