FR2555857A1 - Procede pour former des balles de vegetaux ainsi que dispositif et agrafe pour la mise en oeuvre de ce procede - Google Patents

Abstract

DISPOSITIF 1 POUR FORMER DES BALLES DE VEGETAUX COMPORTANT UN RAMASSEUR 3 POUR LES VEGETAUX DU SOL ET UNE CHAMBRE DE COMPRESSION 5. CE DISPOSITIF EST AMENAGE DE TELLE SORTE QUE LE DISPOSITIF DE LIAGE POUR L'ENROULEMENT DES BALLES PAR DU FIL, DU CORDON, DE LA TOILE OU ANALOGUE SOIT SUPPRIME.

Description

L'invention concerne un dispositif pour former des balles de végétaux

comportant un dispositif ramasseur pour

ramasser les végétaux sur le sol et une chambre de compres-

sion. Dans les dispositifs connus de ce genre, les balles formées par le dispositif sont maintenues serrées par de la ficelle, de la corde, de la toile artificielle ou des moyens analogues à leur pourtour. Un tel fil ou cordon, en particulier lorsqu'il est en fil de fer, est difficile à enlever et peut s'introduire dans les végétaux et ainsi

se retrouver dans l'estomac du bétail, ce qui peut provo-

quer des embarras corporels pour le bétail. De plus, le liage

des balles dans les dispositifs connus prend un temps rela-

tivement important, ledit temps étant perdu lors de l'opéra-

tion d'enroulement des balles, parce que le déplacement dudispositif sur le champ doit être interrompu pendant le liage. Pour éviter ces inconvénients, le dispositif selon l'invention est aménagé de telle sorte que le dispositif de liage pour l'enroulement de fil, de cordon ou de toile

ou analogue autour des balles est superflu.

D'autres objets et caractéristiques de l'invention

ressortiront de la description ci-dessus, en se référant

aux dessins annexés qui représentent à titre d'exemples non limitatifs quelques formes de réalisation du dispositif selon l'invention. Sur ces dessins: La figure 1 est une vue de profil d'un dispositif

selon l'invention.

La figure 2 est une vue de face du dispositif selon

la flèche II de la figure 1.

La figure 3 est une vue selon les lignes III-III de

la figure 2.

La figure 4 est une coupe selon les lignes IV-IV

de la figure 2 pour un premier exemple de réalisation.

La figure 5 est une vue selon la flèche V de la

figure 4.

La figure 6 est une vue selon la flèche VI de la

figure 5.

La figure 7 est une vue de profil d'une seconde SSS57

forme de réalisation d'un dispositif selon l'invention.

La figure 8 est une vue de face selon les flèches

VIII de la figure 7.

La figure 10 est une coupe selon les lignes X-X de la figure 9. La forme de réalisation dessinée sur les figures 1 et 2 comprend un dispositif avec un châssis 1, qui porte l'autre partie du dispositif, supporté par des roues de

roulement 2 disposées de part et d'autre du dispositif.

Près de sa partie avant basse, le dispositif comporte un ramasseur 3, connu en soi, pour les végétaux se trouvant sur le sol, qui sont amenés à une chambre d'enroulement et de compression 5, qui se trouve à l'intérieur de deux

parois latérales mutuellement parallèles 4 qui sont dispo-

sées à quelque distance l'une de l'autre sensiblement ver-

ticalement. La chambre d'enroulement 5 comporte une autre paroi qui peut avoir une forme sensiblement cylindrique,

l'axe de cette forme de cylindre étant sensiblement horizon-

tal et situé transversalement au sens de l'avancement A.

Cette paroi est munie d'une pluralité d'organes pour dépla-

cer des végétaux sous forme de rouleaux cylindriques 6, qui peuvent être entraînés autour d'axe mutuellement parallèles

7, qui sont disposés sensiblement horizontalement et verti-

calement au sens de l'avancement A. L'entraînement de ces rouleaux est réalisé à partir d'un axe de prise de force

d'un tracteur, qui propulse le dispositif et qui est accou-

plé, à l'aide d'un arbre intermédiaire non dessiné, à l'ar-

bre entrant 8 d'une boîte d'entraînement 9, placée dans le milieu et à l'avant du dispositif. La boite d'entraînement 9 possède un arbre sortant 10 horizontal,disposé en

direction des parois latérales 4.

Le rapport de transmission entre la vitesse de rota-

tion de l'arbre entrant 8 et celle de l'arbre sortant 10 est réglable à de nombreuses valeurs à l'aide de la boîte d'entraînement 9.Comme le montre la figure 3, l'arbre entrant porte à son arrière un engrenage 11, qui est en prise avec un engrenage 12 solidaire d'un arbre 13, parallèle à l'arbre 8. L'axe 13 est accouplé à l'arbre sortant 10 par une transmission à engrenages conique. Les engrenages 11 et 12 sont fixes en rotation par rapport aux arbres respectifs 8 et 13, mais sont amovibles en coulissant

le long de cannelures pratiquées sur ces arbres 8 et 13.

A cet effet,les engrenages 11 et 12 sont logés dans une partie de la boite d'engrenages 9, qui est fermée par un couvercle amovible 14. Lorsque le couvercle 14 est enlevé, les engrenages 11il et 12, dont les cercles primitifs ont des diamètres différents, peuvent être retirés de leurs arbres

et permutés, l'engrenage 11 venant sur l'arbre 13 et l'engre-

nage 12 venant sur l'arbre 8. On crée ainsi un autre rapport de transmission entre les vitesses de rotation respectives de l'arbre entrant 8 et de l'arbre sortant 10. De plus, les engrenages 11l et 12 peuvent être remplacés par une autre paire d'engrenages, dont les cercles primitifs définissent un autre rapport que celui des engrenages 11 et 12. Ces

engrenages sont également permutables, de sorte qu'avec dif-

férentes paires d'engrenages, on peut réaliser un grand nombre de rapports de transmission différents entre l'arbre entrant 8 et l'arbre sortant 10. Ainsi qu'on le verra, l'arbre sortant 10 entraîne les rouleaux 6, qui forment

une délimitation de l'enceinte de pressage 5, cette délimi-

tation entraînable de la chambre d'enroulement 5 peut être entraînée à différentes vitesses. Ainsi, l'enroulement des végétaux peut être adapté au genre de végétaux traités, certaines catégories de végétaux devant être enroulées à une vitesse relativement basse, tandis que d'autres peuvent l'être à plus grande vitesse, de sorte que dans le dernier

cas, il n'est pas nécessaire de travailler à cette même vi-

tesse relativement basse et on peut obtenir un gain de temps important. L'entrainement des rouleaux cylindriques 6 qui s'étendent entre les deux parois latérales 6 est le suivant. Sur l'extrémité opposée de la boîte d'entraînement 9, de l'arbre sortant 10 est montée une couronne dentée 15 qui se trouve à l'extérieur du plan de la paroi latérale 4, qui est visible sur la figure 1. Autour de la couronne 15 est montée une chaine 16, reliée par l'intermédiaire d'une couronne 17 à une.couronne 18, montée à rotation autour d'un arbre 19. L'arbre 19 est situé à l'avant et au bas du dispositif et, de même que les arbres d'entraînement dont il sera question ci-après plus en détail, s'étend sur toute la largeur entre les deux parois latérales 4. La chaîne 16 est dirigée ensuite obliquement vers l'avant et vers le haut autour d'une couronne intermédiaire 20, ensuite elle

est ramenée obliquement vers l'arrière et vers le bas au-

tour d'une couronne dentée 21 puis elle revient à la couronne

15. Les couronnes 17, 18, 20 et 21 sont situées à l'exté-

rieur de la paroi latérale correspondante 4. Autour de l'ar-

bre 19 est fixé un rouleau presseur cylindrique 22, qui

s'étend sur toute la largeur entre les parois latérales 4.

La couronne intermédiaire 20 est double et l'une de ses par-

ties porte une chaîne 23, passant autour d'une couronne dentée 24, solisaire d'un arbre 25. Autour de l'arbre 25

est fixé un rouleau presseur 26, dont le diamètre (de préfé-

rence environ 30 cm) est sensiblement le même que celui du rouleau 22. L'arbre 25 de la couronne 24 et du rouleau 26 est fixé sur l'extérieur de la paroi latérale 4, à l'arbre de rotation de la couronne intermédiaire 20 au moyen d'un organe porteur 27. L'arbre de rotation de la couronne

intermédiaire 20 est monté fixe dans la paroi latérale 4.

L'extrémité de l'arbre 25 peut se déplacer dans une rainure 28, pratiquée dans la paroi latérale 4. Ainsi, le rouleau presseur 26 peut débattre vers le haut et vers le bas concentriquement à l'axe de l'arbre de.la roue intermédiaire

20. L'organe porteur 27 est sollicité vers le bas en direc-

tion du rouleau de pression 22 par des ressorts de traction 29,disposés à l'extérieur des parois latérales 4. Le rouleau presseur 26 est situé audessus du rouleau presseur 22 et leurs circonférences extérieures définissent une ouverture

d'admission 30 pour les végétaux, entraînés par le dis-

positif ramasseur 3. Les surfaces des rouleaux presseurs 22

et 26 peuvent être lisses ou légèrement crénelées.

La couronne 21, qui est également double entraîne

une chaîne 31, qui entraîne à son tour une couronne 32.

Autour de l'arbre de rotation 33 de la couronne 32 peuvent

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tourner des leviers 34 situés à l'extérieur des deux parois latérales 4 et qui possèdent chacun un bras 35,

dirigé vers l'arrière, et un bras 36 dirigé vers le bas.

A l'extrémité arrière du bras 35 dirigé vers l'arrière et obliquement vers le bas, visible sur la figure 1, est montée

une couronne 37, qui peut être entrainée à partir de la cou-

ronne 32 qui est double, par l'intermédiaire d'une chaîne 38. La couronne 37 est solidaire d'un arbre 39, qui s'étend

sur toute la largeur entre les parois latérales 4 et paral-

lèlement à l'axe de l'enceinte et est supporté en dehors

de l'autre paroi latérale 4 par l'autre levier 34. A l'ex-

trémité inférieure des bras 36 des deux leviers 34 est montée l'extrémité de vérins hydrauliques 40, dont les autres extrémités reposent contre les bords inférieurs des parois latérales 4. Les vérins 40 peuvent être commandés à partir du tracteur, qui propulse le dispositif. Autour de l'arbre de lacouronne 21 est fixé un rouleau pour déplacer des végétaux 41, qui s'étend entre les parois latérales 4 et peut être entraîné à partir de la couronne 21. Autour

de l'arbre de la couronne 32 est également disposé un rou-

leau 42, quidéplace des végétaux et qui s'étend également entre les parois latérales 4 et peut être entraîné à partir de la couronne 32. Les rouleaux 41 et 42 déterminent une

partie du fond de la chambre d'enroulement 5, le rou-

leau 42 étant disposé derrière et un peu plus bas que le

rouleau 41.

Lorsque le vérin hydraulique 40 est actionné, le levier 34 pivote autour de l'arbre 33, tandis que l'arbre

39, qui s'étend sur toute la largeur entre les parois laté-

rales 4, se déplace dans une rainure 43, pratiquée dans les plaques latérales 4. A la partie, située à l'intérieur des parois latérales 4, de l'arbre 39 est fixé un organe de

poussée 44. L'organe de poussée 44 peut tourner par l'en-

trainement à chaîne, décrit ci-dessus, grâce à la couronne 37 qui est montée sur la partie de l'arbre 39 qui fait saillie

en dehors de la paroi latérale 4 visible sur la figure 1.

A partir de la couronne 15, qui est double, une chaîne 45,qui s'étend vers l'arrière entraîne une couronne 46, située à l'extérieur de la paroi latérale 4. La couronne 46 est double et entraîne, par la voie d'une chalne 47, une pluralité,par exemple sept, de couronnes 48, dont les arbres 49, vus sur la figure 1, sont disposés sur un arc de cercle avec une distance angulaire d'environ 90 . Les arbres 49 s'étendent sur toute la largeur entre les parois

latérales 4 et forment les arbres 7 des rouleaux 6. Le rou-

leau supérieur 6 se trouve pratiquement dans le plan de symé-

trie vertical,transversal au sens de l'avancement A, de la

chambre d'enroulement 5, lorsque celle-ci est de forme cylin-

drique. La couronne 48 du rouleau supérieur 6 est double et à l'aide d'une chalne 50, dirigée vers le bas et obliquement vers l'arrière, entraîne une couronne 51, située à l'extérieur

de la paroi latérale 4 à l'arrière et au bas du dispositif.

La couronne 51 est montée sur un arbre 52, qui s'étend sur toute la largeur entre les parois latérales 4 et porte un rouleau 53, qui déplace des végétaux et qui est situé entre les parois latérales 4. Entre les parois latérales 4, on

a disposé sur l'arbre 52 une autre couronne qui, par l'in-

termédiaire d'une chaîne 54 est en prise avec des couronnes qui sont situées dans la paroi latérale 4 et qui sont solidaires des arbres 7, qui portent le groupe arrière 56 de rouleaux 6. Dans l'exemple de réalisation selon la figure 1, le groupe 56 compte huit rouleaux 6. Les arbres 7 du groupe 56 sont tenus dans un organe porteur creux 57, qui est monté également sur le côté intérieur de l'autre

paroi latérale 4 et qui -vu de profil selon la figure 1-

est courbé en arc de cercle sur environ 90 . L'organe

porteur 57 finit près du rouleau supérieur du groupe 56.

La chaîne 54, qui entraine les rouleaux 6 du groupe 56, est située à l'intérieur de l'organe porteur creux 57 et

entre les arbres 7 du côté tourné vers la chambre d'enrou-

lement 5, elle est supportée par des rouleaux de support, qui reposent dans l'organe porteur 57. Les rouleaux 6 du groupe 56 sont entraînés par conséquent par la chaîne 50 à partir de la couronne 47 du rouleau supérieur 6 du groupe

de rouleaux avant.

Les rouleaux 6 du groupe arrière 56 peuvent basculer ensemble d'un bloc avec leurs organes porteurs 57 autour de l'arbre 7 du rouleau inférieur 53 par rapport aux parois latérales 4 vers l'avant jusqu'à la position indiquée en pointillé sur la figure 1. La longueur du groupe pivotant 56 est telle que son extrémité libre se trouve, dans la posi-

tion basculée vers l'avant, près du bord de l'enceinte d'en-

roulement, qui est présente de l'autre côté de cette encein-

te. Les rouleaux 6, qui sont disposes à l'avant et du côté supérieur de la chambre d'enroulement 5, possèdent des

axes 7, qui reposent fixement dans les parois latérales 4.

A partir de la couronne 51, on entraîne encore par

une chaîne 58, deux rouleaux 59 et 60 qui s'étendent égale-

lement entre les parois latérales 4 sur toute la largeur de l'enceinte d'enroulement et qui reposent fixement dans les parois latérales. Les rouleaux 59 et 60 et le groupe de rouleaux 56, qui s'y raccorde, peuvent tourner ensemble avec des parties arrière 61 des parois latérales 4 autour de l'axe du rouleau supérieur 6 dans le sens B vers l'arrière et vers le haut et forment ainsi une porte,qui en position relevée, constitue une ouverture d'évacuation pour expulser une balle achevée. Le groupe de rouleaux 56, qui fait partie de la porte, peut par conséquent, pivoter séparément par rapport à l'autre partie de la porte autour de l'arbre 52 dans la position indiquée par les pointillés sur la figure 1. Le rouleau 60 est le rouleau inférieur, solidaire de la porte. Entre le rouleau 60 et l'organe de poussée 44 repose dans la partie fixe 62 des parois latérales 4 un rouleau 63, qui peut

tourner librement.

La porte 56, 59, 60, 61 peut être ouverte à partir du tracteur qui propulse le dispositif par actionnement des vérins hydrauliques 64, disposés de part et d'autre des parois latérales 4 et dont à chaque fois une extrémité est fixée dans la partie pivotante 61 de la paroi latérale 4 et l'autre extrémité est fixée à la partie fixe 62 des parois latérales. Tous les rouleaux entraînables, ainsi que l'organe de poussée 44 peuvent être entraînés dans le sens C (figure 1),à l'exception du rouleau de pression supérieur 26, qui

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peut être entraîné dans le sens de rotation D. En fonction de cela, la surface du rouleau presseur 26 se trouve en dehors de l'enceinte cylindrique, qui est définie par les surfaces des autres rouleaux, de sorte que la surface d'une balle, qui est enroulée dans la chambre 5, n'est pas en contact avec la surface du rouleau presseur 26. Ceci vaut également pour le rouleau presseur 22. L'organe de poussée 44 (figures 4, 5 et 6), qui peut se déplacer vers le haut et vers le bas à l'aide du vérin hydraulique 40, comporte une pluralité d'éléments pousseurs en forme d'étoile 65, qui sont placés fixement à courte distance l'un à côté de

l'autre sur l'arbre 39 et qui s'étendent chacun perpendicu-

lairement au sens longitudinal de l'arbre 39 et à l'axe de la chambre 5. Chaque élément de poussée 65 est composé de deux plaques en acier, légèrement espacées l'une de l'autre et parallèlement l'une à l'autre et qui possèdent la forme d'étoile visible sur la figure 6. Sur certaines parties 66 de leur pourtour les plaques sont rabattues l'une vers l'autre et fixées ensemble. Près de leurs quatre points faisant saillie, les deux plaques ne sont pas fixées l'une à l'autre, de sorte que les deux plaques font saillie près de

ces points librement sur des parties 67 (figure 5). Les élé-

ments de poussée 65 sont fixes l'un à côté de l'autre sur l'arbre 39, de telle sorte que chaque élément pousseur soit

décalé angulairement d'environ 20 par rapport à son voisin.

La rangée d'éléments pousseurs s'étendent sur toute la lar-

geur entre les parois latérales 4. La distance entre deux éléments pousseurs 65 de l'organe de poussée 44 (figure 5)

est d'environ 10 cm.

Pendant le fonctionnement, le dispositif esttrainé

par un tracteur sur le champ, l'arbre entrant 8 étant accou-

plé, à l'aide d'un arbre intermédiaire, à l'arbre de prise de force du tracteur. Auparavant, on a disposé dans la boite

d'entraînement 9 une paire d'engrenages 11 et 12, qui pro-

cure entre l'arbre entrant 8 et l'arbre sortant 10 un support de transmission convenable pour enrouler des végétaux se

trouvant sur le champ. Selon la description ci-dessus de

l'entraînement des rouleaux pour déplacer des végétaux

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à l'aide destransmissions à chaine nommées, les rouleaux 6, 41, 42, 59 et 60 sont entrainés dans le sens C, ainsi que l'organe pousseur 44. Les végétaux, ramassés sur le champ par le dispositif ramasseur 3, sont amenés aux rouleaux de pression 22 et 26, qui sont entraînés dans les sens C respec- tivement D. A l'aide des ressorts 29, le rouleau presseur 26 est pressé avec force en direction du rouleau de presseur 22, par quoi les brins, qui sont saisis par les rouleaux presseurs, sont laminés les uns dans les autres pendant leur passage entre ces rouleaux et par l'ouverture d'admission 30, de sorte que les végétaux entrent sous forme d'un tapis dans

la chambre d'enroulement 5.

Les rouleaux arrière,qui forment le groupe 56, sont pivotés autour de l'arbre 52 et se trouvent dans la

position indiquée par les pointillés sur la figure 1, l'ex-

trémité libre du groupe 56 s'étendant jusqu'au-dessus de l'ouverture d'admission 30. Les végétaux sont guidés vers l'intérieur surle fond de la chambre d'enroulement 5 à l'aide des rouleaux entraînés 41 et 42 et se déplacent plus vers l'arrière sous l'effet de l'organe pousseur 44, du rouleau 63 et des rouleaux entraînés 60 et 59. Les végétaux butent donc contre le rouleau situé au-dessus de l'axe 52 du groupe 56 et sont rabattues vers le haut et vers l'avant. De cette manière, le noyau de la balle à enrouler est formé. Au fur et à mesure de l'introduction des végétaux, ce noyeu s'agrandit et fait pression contre le côté inférieur du

groupe 56, qui est tourné vers l'avant, et qui est alors re-

poussé vers le haut autour de l'axe 52, tout en reposant de tout son poids sur la balle qui augmente, ce qui durcit la

structure de couche de la balle. Ceci comprime la balle.

La taille de la balle s'accroit, jusqu'à ce que le groupe 56 atteint sa position dessinée en lignes pleines sur la figure 1, le groupe 56 se raccordant à la délimitation cylindrique, qui est réalisée par les autres rouleaux. Le groupe 56

est délimité dans son mouvement par une butée non dessinée.

Pendant l'enroulement de la balle, les végétaux sont liés

d'une manière qui sera décrite ci-après.

Lorsque la balle est terminée, le conducteur en actionnant les vérins hydrauliques 64 ouvre la porte

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qui comprend le groupe 56 et les rouleaux 60, qui sont mutuellement reliés par les parties arrière 61 des parois latérales 4.La porte s'ouvre dans le sens B, par quoi les végétaux enserrés entre les parties de paroi latérale 61 sortent de l'enceinte d'enroulement vers l'arrière et tombent ensuite sur le sol, lorsque la porte tournant autour de l'axe 49 du rouleau supérieur 6 est-ouverte sur un angle suffisant. Lorsque la balle quitte la porte, le groupe 56 bascule automatiquement vers l'avant, autour de l'arbre 52, si la porte est ouverte. La position basculée vers l'avant du groupe peut être limitée par une butée non dessinée. En actionnant les vérins hydrauliques 64 en sens inverse, on referme la porte alors que le groupe 56 prend la position

indiquée par des pointillés sur la figure 1.

Pendant le commencement de l'enroulement de la balle, décrit ci-dessus, le conducteur à l'aide du vérin hydraulique 40 a déplacé l'organe pousseur 44 vers le bas, de telle sorte que les éléments pousseurs 65 ne viennent pas ou à peine en contact avec les végétaux qui s'enroulent etn'agissent pas sur eux. Lorsque la balle est prête d'être achevée,par exemple lorsqu'il reste encore cinq couches à former, le conducteur actionne les vérins hydrauliques pour déplacer vers le haut l'organe pousseur 44 jusqu'à la chambre d'enroulement 5, l'organe pousseur tournant dans

le sens C. Les pointes des éléments pousseurs en forme d'é-

toile 65 s'enfoncent ainsi complètement dans la chambre

d'enroulement cylindrique 5. Les pointes en forme de pla-

que 67 poussent alors (tandis que le poids de la balle presse positivement en direction de l'organe pousseur 44) les tiges de végétaux de la dernière couche de végétaux formée vers l'intérieur entre les brins de végétaux des couches précédentes. Pendant ce temps, la balle continue à s'enrouler

et de nouvelles couches sont enroulées autour de la balle.

(ès nouvelles couches passent également l'organe pousseur 44 et de la même façon, les tiges des végétaux de ces couches

nouvelles sont pressées entre-les brins de ces couches in-

férieures. On remarque qu'à ce stade, l'enceinte d'enrou-

lement 5 est parvenue à sa dimension maximale de sorte que il 2555857

la balle toute entière est comprimée également fortement.

Ce processus se poursuit jusqu'à l'achèvement complet de la balle. Les autres,cinq,ou plus, de couches extérieures de la balle sont donc tressées l'une dans l'autre dans le sens radial sur toute la largeur de la balle et sur toute sa circonférence, de sorte que la balle peut être évacuée sans autres opérations de la chambre d'enroulement 5, sans que sur le champ, la balle perde des parties de ses couches de végétaux. De même, pendant le transport ultérieur de la balle vers une enceinte de stockage, la balle peut être

transportée sans perte de végétaux.

De cette manière, on évite le ficelage de la balle à l'aide d'un dispositif de ficelage et à l'aide de par exemple, de la ficelle ou du fil de fer. Dans lesprocessus habituels, il est difficile d'enlever la ficelle de liaison ou le fil et celui-ci peut venir facilement entre le fourrage,

et l'on risque que le bétail mange le fil, ce qui peut provo-

quer des embarras graves pour le bétail.- Les empreintes des

pointes en forme d'étoile de l'organe pousseur 44, qui provo-

quent l'entrelacement des couches extérieures, sont repré-

sentées sur la figure 4 avec le chiffre de référence 68.

Onremarque, que par liaison de végétaux, on entend traitement tel qu'une balle achevée peut être laissée

sur le champ ou être transportée sans perte de végétaux.

Sur la figure 7 est représenté un autre exemple de réalisation pour lier les végétaux sans que de la ficelle,

du fil ou des moyens de liaison analogues, qui sont diffi-

ciles à enlever, soient serrés autour de la balle. Les organes utilisés à cet effet et qui sont également utilisés dans l'exemple de réalisation selon la figure 1, sont indiqués

sur la figure 7 avec le même chiffre de référence. L'entrai-

nement des rouleaux,qui déplacent les végétaux autour de la chambre d'enroulement 5, est réalisé de la même manière que dans l'exemple de réalisation précédent. Dans l'exemple de réalisation de la figure 7, on utilise également le groupe derouleaux basculant 56. L'organe pousseur 44 est remplacé cependant dans l'exemple de réalisation selon la figure 7 par

un dispositif ou mécanisme 69, qui lie la balle autrement.

Le dispositif 69 (figure 7) est monté en double (figure 8)

de manière symétrique par rapport au plan de symétrie longi-

tudinal vertical du dispositif et à une hauteur, qui est plus grande que la distance du côté supérieur de la boite d'en-

traînement 9 au-dessus du sol. Les deux dispositifs de liai-

son 69 sont disposés de telle manière que vu dans le sens de la largeur et parallèlement au sens de l'avancement A, chaque dispositif de liaison 69 soit placé devant le milieu

d'une moitié de l'enceinte d'enroulement 5. Chaque disposi-

tif de liaison 69est constitué de la manière représentée sur les figures 9 et 10 et se trouve au moins partiellement entre les rouleaux du groupe de rouleaux avant 6. A cet effet, l'un des rouleaux de la série de rouleaux 6 est omis ou décalé par rapport à l'exemple de réalisation de la figure 1. Ainsi

qu'on peut le voir sur la figure 7, dans cet exemple de réali-

sation, les deux premiers rouleaux inférieurs de la série de

rouleaux 6 ont été décalés vers le bas pour permettre l'adap-

tation du dispositif de liaison 69.

Le dispositif de liaison 69 est muni d'un vérin hy-

draulique 70 à double effet, qui est relié au système hydrau-

lique du tracteur par les conduites 71 et 72. Le vérin 70 est fixé sur le chAssis du dispositif d'enroulement et est disposé de telle manière que son axe coupe pratiquement l'axe

du dispositif d'enroulement perpendiculairement à la direc-

tion d'avancement A. La tige de piston 73 du vérin 70 est prolongée en dire,

tion de la chambre d'enroulement 5 et dans sa position d'ex-

tension maximale fait saillie en dehors du cylindre 70 sur

une longueur égale à environ 1,3 fois la longueur du cylin-

dre 70 lui-même. La tige 73 porte à son extrémité une butée cylindrique 74. Autour de la tige 73 est située une cuvette de ressort annulaire, sur laquelle appuie un fort ressort

de pression 76, dont l'autre extrémité repose contre l'ex-

trémité adjacente du vérin 70. La cuvette de ressort 75 est maintenue en place dans la position représentée sur la figure 9 à l'aide d'un verrou en forme de levier 77, qui peut être commandé, à l'aide d'un câble 78, à partir du siège sur le tracteur. Le verrou 77 est chargé par le ressort de traction 79 dans un sens tel qu'il a tendance à tourner autour de son axe 80 de manière à maintenir le verrouillage de la cuvette de ressort 75. La force du ressort 76 est reçue directement par l'axe 80 par l'intermédiaire 77 du verrou. Au-dessus un dispositif d'éjection en forme de coulisse 81 est

fixé rigidement à la cuvette de ressort. La coulisse 81 s'é-

tend à partir de la cuvette de ressort 75 en direction du

vérin 70 et est située partiellement au-dessus et parallèle-

ment audit vérin. La coulisse 81 possède à ses extrémités, dirigées vers le tracteur, une partie 82 qui est dirigée vers le haut et qui est visibleà partir du siège du conducteur sur le tracteur. Dans la position représentée sur la figure 9, un réservoir 83 en forme de colonne est disposé partiellement au-dessus de la coulisse 81 et dans l'espace entre la butée

74 et l'extrémité de la coulisse qui lui fait face. Le réser-

voir est dirigé vers le haut et de préférence est légèrement incliné obliquement vers l'avant. Le réservoir en forme de colonne 83 définit une enceinte rectangulaire, dans laquelle

les moyens de liaison 84 sont stockés en position couchée.

Chaque moyen de liaison 84 en plan (figure 10) a la forme de la lettre U et est en métal ou en matière plastique

rigide. Ces moyens de liaison 84 possèdent deux pattes mutuel-

lement parallèles 85 de section ronde, qui sont situées à quelque distance l'une de l'autre et qui, à leurs extrémités libres,sont munies de pointes acérées. Les pattes 85 sont reliées entre elles par une pièce intermédiaire 86, qui forme un tout avec elles. Le tout est disposé de telle manière que les moyens de liaison 84, qui sont contenus avec un faible jeu à l'intérieur des parois du réservoir 83, soient empilés l'un sur l'autre en position légèrement oblique, les pointes de leurs pattes 85 étant orientées vers la chambre d'enroulement 5. On peut imaginer d'utiliser en variante des tiges rectilignes spéciales 85, dont l'extrémité arrière est munie d'un talon transversal. Le réservoir 83 possède un fond 87,qui n'est pas complètement fermé, mais comporte dans son milieu une ouverture en forme de rainure dans laquelle le coté supérieur de la cuvette de ressort 75 peut se déplacer

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La pile de moyens de liaison 84 peut être chargée de son côté supérieur par un poids amovible 88, qui s'ajuste étroitement dans le réservoir 83 et qui empêche, que les moyens de liaison sousjacents ou pattes 84 tressautent lorsqu'on passe sur un terrain inégal. - Comme le montre la figure 7, la porte 56, 59, 60, 61 est munie, près de l'arbre 49 situé au sommet du dispositif, d'un levier 89 auquel se raccorde un système de tringles articulés 90, 91, 92 s'étendant à partir du levier 89 vers l'avant et le côté supérieur du dispositif, l'extrémité de la tringle 92 aboutissant près de la base du réservoir 83. La tringle 92 se trouve juste à côté d'un plan latéral du réservoir 83 et à sa base elle est articulée à un cliquet de sécurité 93 lui-même articulé par son extrémité avant à un côté latéral du réservoir 83. Lorsque la porte 56, 59, 60, 61 est fermée, le cliquet de sécurité 93 se trouve dans la position dessinée en lignes pleines sur la figure 7, tandis que lorsque la porte est ouverte (lignes pointillés sur la figure 7), le cliquet de sécurité 93 est basculé vers le bas, dans la position indiquée par des pointillés sur la figure 9. A l'extrémité avant du cliquet de sécurité 93 est soudée une plaque 94 qui est dirigée vers le bas et qui dans sa position indiquée en pointillés (figure 9) obture une rainure horizontale 95

disposée dans le côté inférieur du plan arrière du réser-

voir 83. La rainure 95 s'étend sur toute la largeur du réservoir 83 et est fermée à sa base par le fond 87 du réservoir, la hauteur de l'ouverture 95 est au moins égale et de préférence légèrement supérieure à l'épaisseur

d'un moyen de liaison 84.

Lorsqu'une balle, enroulée dans la chambre de compres-

sion et d'enroulement 5, est achevée ou presque prête, et lorsque le dispositif de liaison 69 se trouve dans la position dessinée sur les figures 9 et 10, le conducteur de tracteur tire sur le cable 78, de sorte que le verrou 77 de la cuvette de ressort 75 est libéré. Par suite de la force du rapport de pression comprimé 75, la cuvette de ressort 75 est propulsée avec la coulisse 81 qui y est fixée en direction de la butée 74. L'extrémité, située près près de la cuvette de ressort 75 du dispositif éjecteur ou coulisse 81 pénètre dans le réservoir 83 par la rainure de la paroi avant orientée vers le vérin 70 du réservoir 83 et percute par son extrémité inférieure le moyen de liaison 84 reposant au fond 87 du réservoir, ledit moyen de liai- son étant propulsé avec force à travers l'ouverture 95 dans la balle qui se trouve dans la chambre d'enroulement 5. Les pattes 85 du moyen de liaison 84 traversent avec leurs extrémités pointues les fibres de la balle, jusqu'à ce que la pièce intermédiaire 86 viennent en butée contre la circonférence extérieure de la balle, ce qui freine l'agrafe. Les pattes 85, qui s'enfoncent dans la balle, emprisonnent fermement sur plusieurs couches les fibres l'une contre l'autre, ce qui procure une liaison de la balle etl'empêche de perdre des parties de végétaux

sur le champ, lorsqu'elle est ou qu'elle est transportée.

Les agrafes 84 peuvent être lancées par les deux disposi-

tifs de liaison 89 par paires l'une à côté de l'autre dans la balle ou l'une après l'autre. Comme la balle,qui se trouve dans la chambre d'enroulement 5, tourne pendant le lancement des agrafes 84, le conducteur peut de cette maR nière lancer quatre paires d'agrafes ou plus, réparties sur le pourtour de la balle, de sorte qu'il est évité par les moyens d'attache 84, 85,que des parties de végétaux

se détachent.

On remarque que les dimensions des moyens de liaison 84 sont telles que les agrafes qui sont dans le fourrage ne peuvent pas être avalées par le bétail. Les agrafes qui sont lancées dans les balles de végétaux peuvent être

retirées des balles et réutilisées.

Lorsqu'on lance un moyen de liaison par un des dis-

positifs de liaison 69 dans une balle, on envoie par l'in-

termédiaire de la canalisation 71 du liquide sous pression au vérin 70. Il en résulte que la tringle 73,avec la butée 74 et la cuvette de ressort 75 en appui contre la butée 74, est déplacde en direction du vérin 70, jusqu'à ce que la cuvette de ressort 75 presse le verrou 77 vers le bas et retombe derrière le verrou 77 sous l'influence du ressort de traction 79. Puis le liquide hydraulique est envoyé par la canalisation 72 et la tringle 73 avec sa butée 74

ressortent vers la position dessinée sur la figure 9.

Dans cette position, le dispositif est de nouveau prêt à l'usage. Grâce à la position de la partie 82 de la coulisse 81, le conducteur peut voir à partir de son siège si le

dispositif est prêt au lancement ou s'il doit être réarmé.

Lorsque la porte 56, 59, 60, 61 est en position ouver-

te, le cliquet de sécurité 93 est basculé avec sa plaque 94

devant l'ouverture 95 du réservoir 83 -comme expliqué ci-

dessus. On évite ainsi que lorsque la balle est éjectée du

dispositif, les personnes qui se trouvent derrière l'ouver-

* ture de la chambre d'enroulement 5 puissent être frappées par des moyens de liaison qui pourraient être lancés par

erreur par un dispositif de liaison 69.

Dans les formes de réalisation décrites ci-dessus, on a décrit des procédés dans lesquels les tiges de végétaux sont pressées, de telle sorte l'une contre l'autre pendant

la compression de la balle, que des moyens de liage entou-

rant la balle soient superflus.

Un avantage important des dispositifs de liaison selon l'invention est le liage des balles, il n'exige pas de temps par opposition aux méthodes dans les dispositifs connus, dans lesquels l'avancement sur le champ doit être arrêté pour lier la balle et une perte de temps importante

se présente.

Il est de plus imaginable, que les moyens de liaison selon les figures 1 à 6 (organe pousseur) et ceux selon les figures 7 à 10 (agrafes) soient appliqués ensemble dans le

même dispositif.

Les rouleaux pour déplacer les végétaux et qui délimi-

tent la chambre d'enroulement 5 du dispositif selon la figure 7, peuvent être entraînés avec différentes vitesses à l'aide des roues de renvoi mentionnées ci-dessus 11 et 12, mais selon une seconde forme de réalisation (figure 7), onpeut avoir disposé à l'avant du dispositif une boite de vitesses 96, dont le fonctionnement correspond dans ses grandes lignes à celui d'une boite de vitesses manuelle d'automobile. La boite de vitesses 96 peut être actionnée au moyen d'un câble Bowden 97 à l'aide d'un levier 98

qui se trouve à portée de main du conducteur du tracteur.

Le levier 98 est disposé sur l'extrémité avant d'un organe porteur 99, qui fait saillie vers l'avant du dispositif. Les moyens de liaison décrits 44 des figures 1 b 6 et 84, 85 des figures 7 à 10 possèdent des dimensions qui sont en ordre de grandeur plus petit que celles

des dispositifs connus, tels que la ficelle enroulée plu-

sieurs fois autour de la balle. Les moyens de liaison selon l'invention réalisent une suture multiple mais locale

de brins de végétaux l'un à l'autre.

De préférence, les dispositifs décrits permettent de former des balles d'un diamètre compris entre 150 et

180 cm et d'une largeur comprise entre 120 et 150 cm.

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Claims (41)

REVENDICATIONS.

1. Dispositif pour former des balles de végétaux com-

portant un ramasseur pour les végétaux du sol et une chambre de compression, caractérisé en ce qu'il est aménagé de telle sorte que le dispositif de liage pour l'enroulement des balles par du fil, du cordon, de la toile ou analogue

soit supprimé.

2. Dispositif selon la revendication 1, caractérisé en cequ'il comporte au moins un dispositif de liaison, qui comprend des organes pousseurs (44, 69) qui sont réalisés de telle manière que les brins d'une couche de végétaux,qui appartient b une balle, puissent être déplacés

en direction d'une autre couche de végétaux de la balle.

3. Dispositif selon la revendication 2, caractérisé en ce que l'organe pousseur (44) déplace des brins

en direction du milieu de la balle.

4. Dispositif selon l'une quelconque des revendications

2 ou 3, caractérisé en ce que l'organe pousseur (44)

possède des saillies (67) en forme de dents.

5. Dispositif selon l'une quelconque des revendica-

tions 2 à 4, caractérisé en ce que l'organe (44) pousseur

est mobile.

6. Dispositif selon l'une quelconque des revendica-

tions 2 à 5, caractérisé en ce que l'organe pousseur (44) possède des éléments pousseurs (67), qui se composent chacun de deux plaques sensiblement parallèles fixées

l'une à l'autre.

7. Dispositif selon l'une quelconque des revendica-

tions 2 à 6, caractérisé en ce que l'organe pousseur (44) comprend des éléments pousseurs (67) en forme de plaque,

qui sont réalisés chacun en forme d'étoile.

8. Dispositif selon la revendication 7, caractérisé

en ce que les plaques font saillie librement près des par-

ties anguleuses de leur pourtour.

9. Dispositif selon l'une quelconque des revendica-

tions 7 et 8, caractérisé en ce que les éléments pousseurs (65) sont fixés autour d'un arbre entrainable (39) l'un

à côté de l'autre et sont dirigés sensiblement perpendi-

culairement à l'axe et à l'axe de la chambre (5).

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10. Dispositif selon la revendication 9, caractérisé en ce que, vus parallèlement à l'arbre (31), les éléments pousseurs (65) sont décalés angulairement les uns par rapport

aux autres.

11. Dispositif selon l'une quelconque des revendi- cations 2 à 10, caractérisé en ce que l'organe pousseur

(44) peut être déplacé à partir de sa position de travail.

12. Dispositif selon la revendication 11, caractérisé en ce que l'organe pousseur (44) peut être déplacé à l'aide d'un vérin hydraulique (40) jusqu'à une position de travail danslaquelle il pénètre au moins partiellement dans la

chambre de compression et d'enroulement (5).

13. Dispositif selon l'une quelconque des revendica-

tions précédentes, caractérisé en ce qu'au dispositif sont ajoutées des agrafes (84) qui peuvent être placées dans une balle de végétaux pour fixer mutuellement des couches

de végétaux.

14. Dispositif selon la revendication 13, caractérisé en ce qu'une agrafe (84) possède une section ronde et

une extrémité pointue.

15. Dispositif selon l'une des revendications 13 ou

14, caractérisé en ce que deux pattes (85) d'une agrafe

(84) sont reliées l'une à l'autre par une pièce intermé-

diaire (86).

16. Dispositif selon la revendication 15, caractérisé en ce que deux pattes (85) et la pièce intermédiaire appartenante (86) forment un moyen de liaison (84) en forme de U pour attacher des couches de végétaux l'une

à l'autre.

17. Dispositif selon l'une quelconque des revendica-

tions précédentes, caractérisé en ce qu'il comporte un mécanisme (69) avec lequel un moyen de liaison (84) pour attacher des végétaux les uns aux autres peut être lancé

en direction du noyau de la balle.

18. Dispositif selon la revendication 17, caractérisé en ce que le mécanisme (69) comprend un ressort (76) ou

autre source d'énergie, à l'aide duquel le moyen de liai-

son (84) peut être lancé dans une balle de végétaux.

19. Dispositif selon la revendication 18, caractérisé en ce que le ressort peut être tendu a l'aide d'un vérin hydraulique (70) et en ce qu'un dispositif d'éjection (81) déplaçable sous l'effet du ressort (76), repose contre un moyen de liaison (84). 20. Dispositif selon la revendication 19, caractérisé en ce que ledispositif éjecteur (81) indique en outre pour la position du mécanisme (69) et parce que le mécanisme (69) peut être commandé à partir d'un tracteur, qui propulse

le dispositif.

21. Dispositif selon l'une quelconque des revendica-

tions 19 ou 20, caractérisé en ce que le dispositif éjec-

teur (81) repose contre le moyen de liaison inférieur (84) d'une pile de moyen de liaison (84), et en ce que la pile est logée dans une enceinte de stockage (83) qui possède une ouverture de sortie (95) pour les moyens de liaison (84). 22. Dispositif selon la revendication 21, caractérisé en cequ'il est muni d'une porte (56, 61) qui peut s'ouvrir en tournant et à l'aide de laquelle la balle peut être évacuée du dispositif et en ce que la porte (56, 61) est accouplée à un mécanisme de sécurité (90 à 94) qui obture l'ouverutre (95) d'éjection des moyens de liaison (84)

lorsque la porte (56, 61) est ouverte.

23. Dispositif selon la revendication 22, caractérisé en ce que le mécanisme de sécurité (90 à 94) est disposé

à l'avant du dispositif.

24. Dispositif selon l'une quelconque des revendica-

tions 17 à 23, caractérisé en ce que deux mécanismes

(69) sont disposés à quelque distance l'un à côté de l'autre.

25. Dispositif selon l'une quelconque des revendica-

tions 13 à 24, caractérisé en ce que les agrafes (84) sont dirigées avec leurs extrémités libres vers le noyau

de la balle.

26. Dispositif selon l'une quelconque des revendica-

tions précédentes, caractérisé en ce que le dispositif comprend deux rouleaux (25, 26) coopérants et entraînés qui sont disposés près du dispositif ramasseur (3) et

entre lesquels des végétaux peuvent être déplacés.

27. Dispositif selon la revendication 26, caractérisé

en ce que l'un (22) des deux rouleaux mutuellement paral-

lèles est sollicité par un ressort (29) en direction de l'autre rouleau (26).

28. Dispositif selon l'une quelconque des revendica-

tions 26 ou 27, caractérisé en ce que les rouleaux (22 à 26) se raccordent directement au dispositif rammasseur (3) et définissent une entrée des végétaux et en ce que leur

diamètre est d'environ 30 cm.

29. Dispositif selon l'une quelconque des revendica-

tions précédentes, caractérisé en ce que le dispositif

permet d'enrouler des végétaux pour former des balles cylin-

driques.

30. Dispositif selon l'une quelconque des revendica-

tions 1 à 29, caractérisé en ce que le dispositif permet

de comprimer des végétaux pour former des balles cylindri-

ques.

31. Dispositif selon l'une quelconque des revendications

précédentes, caractérisé en ce que le dispositif possède une chambre de formation des balles (5), dont au moins une partie du pourtour est formée par des organes pour

déplacer des végétaux (6, 41, 42, 56, 59, 60, 63).

32. Dispositif selon l'une quelconque des revendica-

tions précédentes, caractérisé en ce qu'il permet de former des balles d'un diamètre d'environ 150 à 180 cm ou plus et

d'une largeur d'environ 120 à 150 cm ou plus.

34. Dispositif selon l'une quelconque des revendica-

tions précédentes, caractérisé en ce que les organes pour déplacer des végétaux (6, 41, 42, 56, 59, 60, 63) peuvent

être entraînés selon deux vitesses différentes ou plus.

35. Agrafe (84) pour lier une balle de végétaux.

36. Agrafe selon la revendication 35, caractérisée en ce qu'elle est de section ronde et comporte au moins

une extrémité pointue.

37. Agrafe selon la revendication 35 ou 36, caractérisée

en ce qu'elle est en métal.

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38.Agrafe selon la revendication 35 ou 36, caractérisée

en ce qu'elle est en matière plastique.

39. Agrafe selon l'une quelconque des revendications

à 38, caractérisée en ce qu'elle est en forme de U et comporte deux pattes (85) mutuellement reliées par une

pièce intermédiaire (86).

40. Procédé pour réaliser des grandes balles de végétaux ramassés sur le sol pendant l'avancement puis conformés en une balle dans une chambre de compression, caractérise en ce qu'au cours de la formation de la balle, les tiges des végétaux sont pressées de manière telle l'une contre l'autre, que des moyens de liaison pour

ficeler la balle soient inutiles.

41. Procédé selon la revendication 40, caractérisé en ce que les tiges des végétaux ne sont pressées que

localement l'une contre l'autre.

42. Procédé selon la revendication 40 ou 41, carac-

térisé en ce que les tiges des végétaux sont comprimées par des moyens (44, 84) dont les dimensions sont d'un ordre

de grandeur plus petit que celles de la balle.

43. Procédé selon la revendication 42, caractérise

ence que les moyens (84) restent dans une balle achevée.

44. Méthode selon-la revendication 42, caractérisée en ce que les moyens (42), font partie d'un dispositif de pression.