FR2524926A1 - Revetement isolant exterieur destine a des murs ou parois de batiments - Google Patents

Abstract

REVETEMENT ISOLANT EXTERIEUR DESTINE A DES MURS OU PAROIS DE BATIMENTS, COMPRENANT UN ISOLANT THERMIQUE 3 APPLIQUE SUR LE MUR 4 ET UN ENSEMBLE DE PLAQUES 1 EN BETON FIXEES AU MUR. CHAQUE PLAQUE 1 EST FIXEE AU MUR 4 PAR UNE PIECE 5 EN PARTIE NOYEE DANS LA PLAQUE ET POURVUE D'UNE PINCE ELASTIQUE 9 DANS LAQUELLE PEUT VENIR S'ENCLIQUETER UN REBORD SAILLANT 14 D'UN SUPPORT 6 POUVANT ETRE ANCRE AU MUR 4 PAR UN BOULON 7 OU UNE CHEVILLE EXTENSIBLE, L'ETANCHEITE ENTRE LES PLAQUES ETANT ASSUREE PAR DES JOINTS 24 ENCASTRES DANS DES GORGES DES PLAQUES. CE REVETEMENT EST PARTICULIEREMENT RESISTANT AUX DEGRADATIONS ET PEUT ETRE ENTRETENU FACILEMENT GRACE A L'INTERCHANGEABILITE DES PLAQUES DE BETON ET A LEUR FACILITE DE MONTAGE PAR CLIPSAGE.

Description

la présente invention a pour objet un revêtement isolant extérieur destiné à des murs ou parois de bâtiments.

On sait qu'il est pratiquement impossible de réaliser des revêtements isolants intérieurs à des bâtiments d'habitation ou industriels sans pouvoir éviter la formation de ponts thermiques entre l'intérieur et l'extérieur du bâtiment, et ce au niveau des cloisons et des planchers.

Ces ponts thermiques sont particulièrement gênants non seulement par la perte de chaleur qu'ils entrainent, mais par le fait qu'ils provoquent l'apparition de moisissures.

C'est pourquoi on cherche plus volontiers à réaliser une isolation extérieure du bâtiment, qui permet de résoudre ce problème.

On connaft divers procédés en matière d'isolation extérieure. Ainsi, selon un premier procédé, on pose un isolant tel que laine de verre ou polystyrène, avec ventilation, et on réalise sur cet isolant un habillage de plaques, de pierres ou d'ardoises, ou plus généralement de matériaux naturels ou reconstitués. La mise en place de cet habillage est longue, compliquée et par conséquent onéreuse. De plus, ces parements sont fragiles, et ils ne sont pas interchangeables, ce qui entraine des difficultés lorsqu'il faut démonter une partie endommagée de l'habillage et la remplacer.

Suivant un second procédé connu, on eolle 11 isolant sur une façade lisse qui doit être préalablement nettoyée, puis on applique sur cet isolant un enduit ou un grillage.

Ce deuxième type de revêtement présente l'ineon- vénient d'être fragile et donc particulièrement sensible aux dégradations, notamment dans le cas où il est appliqué sur les façades d'immeubles de logements sociaux, parti culièrement susceptibles d'être dégradés au niveau des rezde-chaussées. En outre, le collage de l'isolant pose parfois des problèmes car son efficacité n'est pas toujours garantie, et enfin le remplacement des parties endommagées de ce type de revêtement se heurte à des difficultés du fait qu'il n'est pas constitué d'éléments interchangeables.

L'invention a pour but de résoudre ces problèmes en réalisant un revêtement isolant extérieur dont la pose soit simple, qui soit très solide donc résistant aux dégradations,et dont des parties éventuellement endommagées puissent être aisément remplacées.

Le revêtement isolant visé par l'invention comprend une couche d'isolant thermique devant être appliquée sur le mur, un ensemble de plaques en un matériau dur tel que le béton recouvrant l'isolant thermique, et des moyens de fixation au mur des plaques de béton.

Suivant l'invention, les moyens de fixation des plaques comprennent pour chaque plaque, une pièce en partie noyée dans la plaque et qui comporte une branche saillante dirigée vers le haut, terminée par une pince élastique, ainsi qu'un organe complémentaire adapté pour être ancré au mur par tout élément approprié et qui est pourvu d'une extension apte à venir s'encliqueter élastiquement à travers l'isolant dans la pince de la pièce noyée dans la plaque.

L'utilisation de plaques de béton rend le revêtement extrêmement résistant aux dégradations. D'autre part, la pose des plaques de ces revêtementsF par exemple des plaques de béton se fait avec facilité puisqu'elle est exécutée-par simple encliquetage d'une pince solidaire de la plaque sur llorgane de support ancré dans le mur. Cet ancrage peut lui-même être réalisé avec la solidité suffisante pour soutenir la plaque de béton, par exemple au moyen de boulons ou de chevilles gonflables.

Pour que les plaques de béton ne soient pas trop lourdes, on peut utiliser avantageusement un béton léger (jusqu'à une densité de 0,4 environ), ce qui diminue le poids des plaques, facilite leur manutention et garantit qu'elles ne risquent donc pas de se décrocher de leur support.

Suivant un mode de réalisation de l'invention, la pièce noyée dans la plaque est profilée en T, avec l'ex- trémité libre de sa branche transversale perpendiculaire au mur, conformée en pince ou clip élastique pour recevoir et emprisonnerle bord terminal correspondant de l'extension de l'organe complémentaire, qui est profilé par exemple en L, et ancré au mur par un boulon ou une cheville.

Suivant une autre particularité, l'invention prévoit que la pince élastique s'étend horizontalement en passant par le centre de gravité de la plaque correspondante, afin d'assurer à la plaque la stabilité voulue dans son plan vertical.

D'autres particularités et avantages de l'invention apparaitront au cours de la description qui va suivre, faite en référence aux dessins annexés sur lesquels on a représenté plusieurs formes de réalisation non limitatives de l'invention.

- La figure 1 est une vue en élévation schématique d'un premier mode de réalisation du rev & ement isolant extérieur visé par l'invention.

- La figure 2 est une vue en coupe verticale partielle du rev & ement isolant de la figure 1, à échelle agrandie.

- La figure 3 est une vue en perspective des moyens de fixation d'une plaque au mur, à savoir de la pièce partiellement noyée dans la plaque et qui porte une pince ou clip, et de l'organe complémentaire d'accrochage de cette pince.

- La figure 4 est une vue en élévation latérale d'une plaque de rev8tement conforme à l'invention.

- La figure 5 est une vue en coupe partielle horizontale du revêtement selon l'invention, sur les côtés d'un angle d'mn mur.

- La figure 6 est ure vuc en coupe verticale partielle d'une variante de réalisation du revêtement isolait à la base d'une paroi a isoler.

- La figure 7 est une vue on élévation schématique momtrant mie variante du revêtement pour assurer du pourtour d'une ouverture telle que entre.

- La figure 8 est une vue en coupe verticale partielle d'une au-tre variante do réalisation du revêtement pour l'isolation du sommet d'un mur.

- Les figures 9 et 10 sont des vues en élévation partielle de deux variantes d'exécution des croisements des joints entre les plaques du revttement selon l'invention.

- La figure 11 est une vue en élévation schématique analogue à la figure 1, illustrant une variante de la disposition relative des plaques du revêtement.

On a représenté à la figure 1 un revêtement isolant extérieur, destiné à des murs ou parois de bâtiments, comportant un ensemble de plaques carrées 1 en un matériau dur tel que de préférence du béton, disposées de façon que leurs côtés soient dans le prolongement les uns des autres.

Mais comme représenté dans la variante de la figure 11, ee revêtement peut aussi bien être constitué par un ensemble de plaques rectangulaires 2 disposées en quinconce les unes par rapport aux autres.

En se reportant à la figure 2, on voit que les plaques 1 (ou 2) de béton recouvrent une couche d'isolant 3 appliquée sur la surface extérieure d'un mur 4. L'isolant 3 peut être par exemple de la laine de verre ou du polystyrène, de la mousse phénolique ou de polyuréthane etc...

Suivant l'invention, chaque plaque 1 est fixée au mur 4 par des moyens constitués par la combinaison d'une pièce 5 en partie noyée dans la plaque associée 1, et d'un organe complémentaire 6 adapté pour être solidement ancré au mur 4 par tout élément approprié, tel qu'un boulon 7.

La pièce 5 est profilée en T et comporte une branche saillante 8 dirigée vers le-mur 4 perpendiculairement à celui-ci,terminée par une pince élastique 9.

Plus précisément dans cet exemple d'exécution, la pièce 5 est constituée par deux cornières métalliques, par exemple en acier à ressort, soudées l'une à l'autre le long d'une aile 11 terminée par une patte 12 coudée en S, les deux autres ailes 13 des cornières 8, situées dans le même plan, étant noyées dans le béton de la plaque 1. Les deux pattes 12 forment une pince ou clip élastique présentant entre leurs bords terminaux un intervalle de largeur x, adapté pour recevoir un bord recourbé 14 d'une extension 15 de l'organe 6 de support, lequel a un profil en X, avec sa branche verticale 16 percée d'un trou 17 destiné à recevoir le boulon 7, ou tout autre élément d'ancrage approprié tel qu'une cheville extensible.

On voit sur la figure 3 que la branche verticale 16 a une hauteur variable en fonction des besoins et du positionnement de l'organe 6 sur le mur à revêtir. L'organe 6 peut ainsi présenter une hauteur réduite h dans une variante d'exécution, percée d'un trou oblong 10 pour ltélément d'ancrage au mur autorisant a possibilité d'un jeu vertical à la pose. La pince ou clip 9, ainsi que le bord recourbé 14 destiné à venir s'encliqueter élastiquement dans 7.e clip 9 s'étendent horizontalement en passant par le centre de gravité de la plaque correspondante 1 (ou 2). D'autre part, l'invention prévoit que des évidements 18 sont ménagés aux angles des plaques 1, c'est-à-dire aux croisements de leurs joints (figure 10) et sur les faces intérieures desdites plaques 1 (figure 2).De ce fait, lorsque les plaques 1 sont disposées à la façon d'un quadrillage comme dans la réalisation de la figure 1, quatre évidements contigus 18 forment un logement unique qui reçoit une clavette carrée 21, dont la fonction est d'assurer la stabilité des plaques 1 dans leur plan vertical, avec un léger jeu à l'intérieur des logements 18 comme on s'en rend compte d'après la figure 10.

Le maintien en place correct des plaques 1 une fois accrochées aux supports 6 est donc assuré conjointement par le fait que les clips 9 passent par le centre de gravité des plaques 1, et par les- clavettes 21 encastrées dans les logements 18 aux sommets des plaques 1.

Dans la variante de la figure 9, où les plaques 2 sont rectangulaires et disposées en quinconce, la plaque inférieure 2 présente un logement interne 19 au milieu de son bord supérieur,-et cet évidement 19 fait vis-à-vis des deux logements supérieurs accolés 18 des plaques supérieures 2. On obtient de la sorte trois logements 18, 19 contigus délimitant un volume analogue à celui des quatre logements 18 de la figure 10, et susceptible de recevoir également une clavette 21 de positionnement.

Suivant uiie autre particularité, l'invention prévoit d'assurer l'étanchéité entre les plaques 1 ou 2 par des gorges 22, 23 (figure 4) formées sur les côtés des plaques. Les deux gorges horizontales 22 sont ménagées au milieu de l'épaisseur de la plaque 1 correspondante, tandis que les gorges latérales verticales 23 sont légèrement inclinées comme on le voit à la figure 4, en présentant une disposition "en écaille" par rapport aux gorges longitudinales 22.

Dans ces différentes gorges qui viennent se placer en regard deux à deux, sont encastrés des joints d'étanchéité 24 (figure 2).

Pour assurer l'isolement de l'angle 25 d'un mur (figure 5) le revêtement comporte des plaques 26 pourvues d'un rebord 26a coudé à angle droit venant se placer en vis-à-vis du chant d'une plaque contiguë 1 o-u 2, et ce évidemment sur toute la hauteur de l'angle 25. Sur les chants en vis-à-vis de la plaque 1 et du rebord coudé 26a, sont formées deux gorges complémentaires 23 qui contiennent un joint d'étanchéité 27.

Dans la variante de la figure 6, l'isolation de la partie inférieure 28 du mur est assurée d'une manière similaire par une série de plaques 29 munies chacune d'un retour coudé 29a à angle droit, dirigé vers le mur, et dont le chant présente une gorge horiaontale 31 destinée à recevoir un joint d'étanchéité.

On a représenté à la figure 7 un mode de réalisation du revêtement sur le pourtour d'une ouverture 32 telle qu'une fenêtre. Sur ce pourtour, les plaques sont complétées par deux profilés en U 33a, 33b, qui recouvrent chacun la moitié du pourtour de l'ouverture 32.Chacun des profilés 33a, 33b comporte un retour à angle droit similaire au retour coudé 29a de la figure 6, qui vient stappliquer contre la surface de mur et retient la couche d'isolant. Par ailleurs, le profilé supérieur 33a est pourvu, à ses extrémités, de deux goujons 34 noyés partiellement dans le béton et qui présentent des parties saillantes adaptées à venir engager dans des logements correspondants des extrémités supérieures du profilé 33b, afin d'assurer un positionnement réciproque convenable des profilés 33a et 33b.Enfin chaque profilé est supporté à ses extrémités supérieures par une paire d'organes 6 de support ancrés au mur.

Le bord supérieur 36 d'un mur (figure 8) peut étire isolé au moyen d'une série de profilés 37 coudés à angle droit de façon à recouvrir l'isolant 3, chaque face terminale de ce profilé présentant une gorge DE recevant un joint d'étanchéité.

Il convient de noter qu'un tel profilé 37 peut aussi bien autre celui des éléments 3a et 33b (figure 7).

La pose du revetement isolant qui vient d'être décrit s'effectue de mani-re très simple comme suit.

On ancre dans le mur les organes de support 6 de la rangée inférieure de plaques 1, puis on met en place les plaques 1 l'une après l'autre par clipsage de leurs pinces9 sur les bords recourbés 14 des supports 6. Au fur et à mesure du montage des plaques, on met également en place les joints d'étanchéité 24 dans les gorges 22, 23 afin de réaliser un cordon étanche "filant". rugis on présente une plaque 1 de la rangée supérieure en appui sur la plaque correspondante de la rangée inférieure. Pour ce faire, il est nécessaire que chaque clip 9 et chaque support 6 de la rangée inférieure puissent résister à un effort momentané égal au poids de deux plaques en béton 1. La plaque supérieure se présente à son emplacement final avec son support 6, ce qui permet de repérer l'emplacement du trou de réception de la cheville ou du boulon correspondant d'ancrage du support 6. Ensuite la plaque est retirée, la cheville est mise en place, le support 6 est fixé au mur, et la plaque est "clipsée1, élastiquement par sa pince 9 sur le support associé 6.

On répète cette opération pour les autres plaques et ainsi de suite pour les rangées successives de plaques.

Les clavettes 21 sont également posées au fur et à mesure de la mise en place des plaques, et le revêtement est terminé le long des bords supérieur et inférieur du mur par des profilés tels que 29 et 37, et autour des ouvertures par des profilés tels que 33a et 33b.

Le montage d'un revêtement à plaques rectangulaires décalées 2 telles qutillustrées à la figure 11 s'effectue de manière similaire.

Les plaques en béton peuvent avoir une épaisseur variable, par exemple 4, 5cm, leur surface maximum étant déterminée par la nature du béton employé, etest-à-dire par sa densité, qui peut varier de 2,5 à 0,4 selon les techniques de fabrication mises en oeuvre, de manière que le poids d'une plaque ne dépasse pas sensiblement 40 kilos 2 (leur surface étant d'environ 0,33 m pour un béton de densité 2,5 ).

Le poids de chaque plaque est important pour la manutention de celle-ci et sa mise en place, mais aussi pour la réalisation du "clip" 9, 14 solidarisant cette plaque avec le mur à isoler.

Le montage de ce revêtement ne fait appel qutà des techniques simples, aussi bien au niveau de la préfabrication des plaques que de leur pose in situ : Il suffit en effet de diposer d'une perceuse, d'un échafaudage ou d'une nacelle, et d'un engin élévateur pour la distribution des plaques.

Ce rev8tement est particulièrement résistant aux dégradations grâce aux plaques 1, 2, de préférence réalisées en béton. De plus, les plaques sont interchan- geables de sorte que le remplacement d'une plaque endommagée peut se faire de manière très simple et aisée:on introduit dans les joints au pourtour de cette plaque détériorée, un couteau afin de couper les clavettes 21 (réalisées de préférence en matière plastique), et de retirer la plaque de son support 6 à l'aide de petits crochets introduits dans les joints dégagés du cordon d'étanchéité.

L'invention n'est pas limitée aux formes d'exécution décrites et peut comporter de nombreuses variantes de réalisation. On remarquera que les logements 18 des plaques sont délimités sur l'arrière par des platines 30 ancrées dans les plaques (figures 2 et 4).

Claims (7)

REVENDICATIONS

1 - Revetement isolant extérieur destiné à des murs ou parois de bâtiments, comprenant une couche d'isolant thermique (3) devant etre appliquée sur le mur (4), un ensemble de plaques (1, 2) en un matériau dur tel que du béton recouvrant l'isolant thermique (3), et des moyens de fixation au mur des plaques (1, 2) de béton, caractérisé en ce que les moyens de fixation des plaques (1, 2) comprennent, pour chaque plaque, une pièce (5) en partie noyée dans la plaque (1, 2) et qui comporte une branche saillante dirigée vers le mur, terminée par une pince élastique (9), ainsi qu'won organe complémentaire (6) adapté pour être ancré au mur (4) par tout élément (7) approprié et qui est pourvu d'une extension (15) apte à venir s'encliqueter élastiquement à travers l'isolant (3) dans la pince (9) de la pièce (5) noyée dans la plaque (1, 2).

2 - Rev8tement selon la revendication 1, caractérisé en ce que la pièce (5) noyée dans la plaque est profilée en T avec l'extrémité libre de sa branche transversale (8), perpendiculaire au mur (4), conformée en pince ou clip élastique (9) pour recevoir e-t emprisonner le bord terminal (14) de l'extension (15) de l'organe complémentaire de support (6) qui est profilé par exemple en L, son élément d'ancrage au mur pouvant être un boulon (7) ou une cheville expansible.

3 - Revetement selon l'une des revendications 1 et 2, caractérisé en ce que la pince élastique (9) s'étend horizontalement en passant par le centre de gravité de la plaque (1, 2) correspondante.

4 - Revêtement selon l'une des revendications 1 à 3, caractérisé en ce que des évidements (18, 19), sont ménagés aux angles des plaques (1, 2), c'est-à-dire aux croisements de leurs joints et sur les faces intérieures desdites plaques, pour recevoir une clavette (21) qui ü nour fonction d'assurer la stabilité des plaques dans le plan vertical de celles-ci.

5 - Revêtement selon l'une des revendieafiolì 1 à 4, caractérisé en ce que le pourtour de chn-lle plaque (7, 2) présente des gorges (22, 23) dans lesquelles sont logés des joints d'étanchéité (24), les gorges (23) des côtés verticaux étant de préférence décalées et inclinées "en écaille par rapport à celles (22) des côtés horizontaux.

6 - Revêtement selon l'une quelconque des revendications 1 à 5, caractérisé en ce que pour encadrer des ouvertures (32) telles que des fenêtres, les plaques sont complétées par des profilés en U (33a, 33b) munis d'organes (6) d'ancrage au mur et dont les extrémités comportent des goujons saillants (34) adaptés à venir s'engager dans des logements correspondants des extrémités associées du profilé complémentaire, ou vice-versa.

7 - Revêtement selon l'une des revendications 1 à 6, caractérisé en ce que, pour isoler les bords supérieurs et inférieurs (28) du mur, les plaques terminales (29) sont munies de rebords coudés (29a) assurant la retenue de l'isolant et de même les plaques d'angle (26) comportent des rebords coudés (26a).