FR2510373A2 - Fauteuil perfectionne a deux positions - Google Patents

Abstract

LE PIETEMENT 2 COMPORTE DEUX CADRES 18 ET 19 DANS L'INTERIEUR DE CHACUN DESQUELS EST MENAGEE UNE GLISSIERE 35 COMPORTANT UN CRAN SUPERIEUR 37 ET UN CRAN INFERIEUR 39 TANDIS QUE LE PROLONGEMENT 18E, 19E DE CHAQUE CADRE EST POURVU D'UN TENON HORIZONTAL 34 ORIENTE VERS L'INTERIEUR. LA SURFACE DE SIEGE 3 DU SIEGE 1 EST POURVUE SUR CHACUN DE SES BORDS LATERAUX 3A, 3B D'UN GOUJON 40 DESTINE A VENIR COOPERER AVEC LA GLISSIERE 35, C'EST-A-DIRE AVEC L'UN OU L'AUTRE DES CRANS 37, 39 SUIVANT LA POSITION QUE L'ON DESIRE POUR CETTE SURFACE DE SIEGE. LES REBORDS LATERAUX 4A, 4B DU DOSSIER 4 SONT CHACUN POURVUS DE DEUX ENCOCHES 41, 42 DANS LESQUELLES VIENNENT S'ENGAGER LES TENONS 34 DU PIETEMENT 2 POUR DETERMINER LES DEUX POSITIONS DE CE DOSSIER. AMEUBLEMENT.

Description

On a décrit au brevet principal un fauteuil du genre comportant d'une part un siège articulé pourvu d'un dossier et d'une surface de siège, et d'autre part un piétement, celui-ci comprenant des moyens de soutien des deux parties articulées du siège à deux positions différentes de celui-ci soit d'abord avec la surface de siège basse et le dossier renversé, et ensuite avec la surface de siège haute et le dossier plus redressé.

Certaines des entretoises horizontales placées entre les deux cadres formant le piétement étaient prévues pour supporter soit la surface de siège, soit le dossier dans l'une ou l'autre des positions évoques plus haut.

Le fauteuil réalisé conformément au brevet principal présentait l'inconvénient que le siège articulé pouvait être séparé du piétement.

De plus les différents agencements prévus pour le maintien du siege articulé dans ses deux positions se sont avérés complexes donc entrainant un prix de revient relativement élevé.

Les perfectionnements qui font l'objet de la présente addition visent à remddier à ces inconvénients et à permettre la réalisation d'un fauteuil du genre de celui décrit au brevet principal mais dont les moyens de maintien dans ses deux positions soient plus simples et donc plus économiques.

Le dessin annexé, donné à titre d'exemple, permettra de mieux comprendre l'addition, les caractéristiques qu'elle présente et les avantages qu'elle est susceptible de procurer
Fig. 1 est une vue en perspective éclatée d'un fauteuil réalisé conformément à la présente addition.

Fig. 2 est une vue de détail montrant comment la surface de siège est retenue par le piétement dans ses deux positions haute et basse.

Fig. 3 et 4 en sont des coupes suivant III-III et IV-IV (fig. 2).

Fig. 5 et 6 illustrent le fauteuil établi conformément à la présente addition à Ses deux positions en association avec un pouf tel que celui décrit dans le brevet principal.

Les éléments correspondant à ceux du brevet principal on été référencés par les même chiffres et les même indices.

On a illustré en fig. 1 les pièces principales du fauteuil suivant la présente addition, ctest-à-dire le siège articulé 1 et le pictement 2. Le siège 1 comprend une surface de siège 3 prévue d'une seule pince et pouvant comporter éventuellement des parties ajourées non représentées.

Sa partie arrière supporte les deux axes 10 autour desquels le dossier 4 est articulé. Celui-ci est réalisé comme la surface de siège, ctest-à- dire en une seule pièce dont les deux rebords latéraux 4a et 4b se prolongent par des oreilles 4c, 4d tourillonnant autour des axes i0.

Le piétement est comme dans le brevet principal, réalisé au moyen de deux cadres 18, 19 assemblés au moyen de trois entretoises horizontales 20, 21 et 22 qui les maintiennent rigidement l'un par rapport à l'autre.

Afin de permettre l'empilage des piétements les deux cadres sont prévus légèrement divergents en direction du bas. Chacun des cadres présente en section tranversale la forme d'un double T dont le voile est contenu dans le plan général de chaque cadre, ses ailes s'entendant de manière substantiellement horizontale. Le voile de chacun des cadres 18, 19 se prolonge vers le haut pour constituer un gousset 18e, 19e de forme en gros trapezoldale et dont la face interne porte un tenon horizontal 34.

A chacun des angles supérieurs avant des cadres on a ménagé une glissière 35 disposée sur leur face intérieure. Une cloison verticale 36 réunissant les deux parties correspondantes des ailes des profilés constitue l'extrémité de la glissière. Le bas de cette cloison 36 se prolonge par un cran arrondi 37 qui se termine par un rebord 37a auquel fait suite une rampe oblique 38 formant avec l'aile du profilé un cran inférieur 39. La rampe est réalisée au moyen d'une cloison perpendiculaire au voile du profilé constituant chaque cadre et dont la hauteur est égale à celle de l'aile correspondante de ce profilé.

On observe que les bords latéraux 3a, 3b de la surface de siège portent chacun un goujon 40 orienté à l'horizontale et qui est destiné à venir coopérer avec la glissière 35 de chacun des cadres 18, 19. On remarque en outre que les rebords latéraux 4a, 4b du dossier 4 sont chacun pourvus de deux encoches 41, 42 qui sont destinées à coopérer avec les deux tenons 34 du piétement 2.

Fig. 4 montre la manière dont les extrémités des entretoises 20, 21, 22 sont assemblées aux cadres 18, 19. L'extrémité 21a de l'entretoise 21 présente la forme d'un cavalier ouvert vers le bas de manière qu'elle puisse s'engager autour d'un boulon 43 passé dans une perforation ménagée dans le voile du cadre correspondant.

Les goujons 40 du siège 1 sont engagés dans des glissières 35 des deux cadres 18, 19 avant la mise en place et le serrage des écrous des boulons d'assemblage des entretoises de telle sorte que la surface de siège est emprisonnée entre les deux cadres, son seul déplacement ne pouvant s'effectuer qu'A l'intérieur de la gouttière, c'est-à-dire en faisant passer les goujons 40 des crans inférieurs 39 à ceux supérieurs 37 ou vice et versa.

Pour déterminer l'une ou l'autre des positions du dossier 4 on place les bords latéraux du dossier 4 de manière que les tenons 34 viennent s'engager dans les encoches 41 lorsque les goujons 40 de la surface de siège sont dans les crans inférieurs 39 des glissières 35 pour obtenir la position basse du fauteuil comme illustré en fig. 5.

Au contraire lorsqu'on désire que le fauteuil soit en position haute on amène les goujons 40 dans les crans supérieurs 37 en soulevant la surface de siège 3 tout en dégageant les encoches 41 des tenons 34 pour faire engager ceux-ci dans les encoches 42 comme illustré en fig. 6.

On observe que la forme des encoches est symétrique ctest-à-dire que chacune d'elles comporte une entrée 41a dont la largeur est très légèrement supérieure au diamètre du tenon 34 correspondant laquelle qui aboutit dans une ouverture oblongue 41b s'entendant symétriquement de part et d'autre de l'entrée 41a. Ainsi si l'utilisateur s'assied à l'extrémité avant de la surface de siège 3 il produit son basculement autour des goujons 40 de telle sorte que le dossier à tendance à remonter.

Les tenons 34 viennent alors coopérer avec le fond de l'ouverture 41b alors qu'en position normale c'est le dessus de celle-ci qui repose contre ces tenons.

Comme dans le brevet principal on peut utiliser un pouf 29 dont les deux positions déterminent deux hauteurs respectivement égales à la distance au sol de la surface de siège 3 suivant que le siège articulé se trouve en position haute ou basse.

I1 doit d'ailleurs être entendu que la description qui précède n'a été donnée qutä titre d'exemple et qu'elle ne limite nullement le domaine de l'addition dont on ne sortirait pas en remplaçant les details d'exécution décrits par tous autres équivalents.

Claims (3)

REVENDICATIONS

1. Fauteuil suivant la première revendication du brevet principal, caractérisé en ce que le piétement (2) comporte deux cadres (18, 19) réunis par des entretoises horizontales (20, 21, 22) dont la face intérieure de chacun d'eux est pourvue d'une part d'un tenon horizontal (34) et d'autre part d'une glissière (35) comportant deux crans extrêmes (37, 39).

2. Fauteuil suivant la revendication 1, caractérisé en ce que deux encoches (41, 42) sont ménagées dans chacun des rebords latéraux (4a, 4b) du dossier (4) de manière que l'engagement des tenons correspondants (34) du piétement (2) dans ces encoches (41, 42) déterminent les deux positions dudit dossier (4), tandis que les bords lateraux (3a, 3b) de la surface de siège (3) comprennent chacun un goujon horizontal (40) qui s'engage dans la glissière (35) du cadre correspondant et coopere avec ses deux crans (37, 39) en vue de déterminer les deux hauteurs de la surface de siège (3).

3. Fauteuil suivant la revendication 2, caractérisé en ce que les encoches (41, 42) comprennent une entrée (41a, 42a) et une ouverture (41b, 42b) qui s'entend de part et d'autre de ladite entrée.