FR2507093A1 - Fixation de securite pour ski - Google Patents

Abstract

FIXATION DE SECURITE POUR SKI COMPRENANT UN ENSEMBLE DE RETENUE ARTICULE SUR UN CORPS ET ENERGISE PAR UN ENSEMBLE MOBILE D'ENERGISATION DU TYPE A GENOUILLERE COMPRENANT DEUX ELEMENTS MOBILES ARTICULES L'UN A L'AUTRE EN UN POINT DE LIAISON DONT L'UN EST RELIE AU CORPS EN UN POINT D'ACCROCHAGE TANDIS QUE L'AUTRE EST RELIE A L'ENSEMBLE DE RETENUE EN UN POINT DE PRESSION, LA FIXATION DANS SA POSITION DE RETENUE, ETANT TELLE QUE LE CERCLE CENTRE SUR L'ARTICULATION DE L'ENSEMBLE DE RETENUE ET PASSANT PAR LE POINT DE PRESSION COUPE LA DROITE JOIGNANT LE POINT DE LIAISON AU POINT D'ACCROCHAGE.

Description

La présente invention concerne une fixation de sécurité pour ski destinée à maintenir une chaussure sur un ski. Bien que le dispositif selon l'invention puisse etre utilisé pour maintenir au ski l'une quelconque des parties de la chaussure, il est cependant plus spécialement conçu pour maintenir l'une des extrémités de la chaussure et notamment l'arrière de celle-ci.

La présente invention a pour but de perfectionner les fixations existantes et plus particulièrement les fixations du type à genouil ibère. A cet effet, elle propose une fixation dont le déclenchement est particulièrement sûr et fiable. D'autre part, la fixation selon l'invention offre l'avantage de pouvoir se déchausser manuellement et de se rechausser en automatique sans être obligé de fournir un gros effort. La fixation selon l'invention est donc plus sûre et plus confortable.

La fixation selon l'invention est caractérisée par le fait qu'elle comprend un ensemble de retenue (1) énergisé par un ensemble mobile d'énergisation (2), ledit ensemble de retenue comprenant une mâchoire (7) destinée à maintenir la chaussure au ski est disposé articulé sur un corps (5) autour d'un axe transversal (6) pour pivoter entre une position de retenue et une position de libération de la chaussure.Ledit ensemble mobile d'énergisation comprend un sys tème élastique (13,41,42,110) et est du type à genouillère constitué par deux éléments mobiles (10,11) articulés l'un â autre par l'une de leurs extrémités en un point de liaison (b) tandis que l'extrémité libre de l'un (10) est articulée sur le corps (5) en un point d'accrochage (a) et que l'extrémité libre de l'autre (11) est articulée sur l'ensemble de retenue (1) en un point de pression (c), le point de liaison (b), le point d'accrochage (å) et le point de pression (c) constituant ainsi les trois points (abc) de la genouillère, et le cercle centré sur l'axe d'articulation de l'ensemble de retenue (1) et passant par le point de pression (c) coupe la droite joignant le point d'accrochage (a) et le point de liaison (b) quand la fixation est dans sa position de retenue de la chaussure.

Grâce à une telle disposition, le point de déclenchement est déterminé avec précision, ce qui rend plus sûr et fiable la sécurité.

D'autre part, cette disposition permet de maintenir la chaussure, même avec une certaine épaisseur de neige sous le talon.

D'autres caractéristiques et avantages de l'invention se dégageront de la description qui va suivre en regard des dessins annexés qui ne sont donnés qu'a' titre d'exemples non limitatifs.

Les figures l à 10 représentent un mode de réalisation de la fixation selon l'invention.

La figure 1 est une vue latérale de la fixation en position de retenue de la chaussure.

La figure 2 est une vue de dessus de la figure 1.

La figure 3 est une vue latérale de la fixation en position déchaussée prête à être rechaussée.

La figure 4 est une vue en coupe longitudinale selon IV-IV de la figure 2.

La figure 5 est une vue en perspective éclatée.

La figure 6 est une vue montrant une phase du déclenchement en sécurité.

La figure 7 est une vue montrant une phase du déchaussage volontaire.

Les figures 8 et 9 sont des vues montrant des phases successives du chaussage.

La figure 10 est une vue schématique.

Les figures Il à 18 sont des vues schématiques représentant des variantes.

La fixation selon l'invention comprend un ensemble de retenue l énergisé par un ensemble mobile d'énergisation 2. L'ensemble de retenue l est destiné à maintenir en sécurité l'une des extrémités de la chaussure 3 par exemple le talon 4, et est articulé sur un corps 5 autour d'un axe XX' transversal et parallèle au ski. D'autre part, l'ensemble de retenue 1 comprend une mâchoire 7 solidaire d'un support 8 et une pédale de rechaussage 9.

Selon le mode de réalisation représenté aux figures l à 10, la mâchoire 7, le support 8 et la pédale 9 forment un ensemble monobloc de retenue l solidaire en déplacement. L'ensemble de retenue l est monté pivotant autour des axes 6, et peut évoluer par pivotement entre une position de retenue de la chaussure (figure i) et une position de libération de la chaussure (figure 3). De plus, l'ensemble de retenue 1 est sollicité dans sa position de retenue par un ensemble mobile d'énergisation 2 s'étendant avantageusement vers le haut et servant de levier de déchaussage manuel. En effet, l'ensemble mobile d'énergisation 2 est manoeuvrable manuellement et peut évoluer entre une position de retenue (fiv.1) et une position de libération (fig.3).Ledit ensemble mobile d'énergisation 2 est du type à genouillère et comprend deux éléments mobiles 10 et 11. L'un des éléments 19 est constitué par au moins une biellette rigide 12 tan dis que l'autre comprend un système élastique, par exemple un ressort 13. L'élément mobile 10 de la genouillère est constitué avantageusement par deux biellettes rigides 12 disposées symétriquement par rapport au plan longitudinal de symétrie du ski. Lesdites biellettes 12 sont articulées par l'une de leurs extrémités 14 sur le corps 5 autour d'un axe YY' transversal, parallèle au ski. L'articulation est réalisée par des axes 15 passant dans des trous 16 des biellettes 12. Les axes 15 prenant par ailleurs place dans des trous 17 réalisés dans des pattes verticales 18 du corps 5.L'autre extrémité 19 de l'élément mobile 10 est articulée sur l'autre élément mobile Il autour d'un axe ZZ'. Par ailleurs, l'extrémité inférieure 20 de l'élément mobile li est articulée sur l'ensemble de retenue l autour d'un axe TT' matérialisé par un axe 21 prenant place dans un trou 22 de l'ensemble l et dans un trou 23 de l'élément li. Le deuxième élément mobile est constitué par une tige 24 présentant à sa partie inférieure une tête 25 comprenant le trou 23 d'articulation et une collerette 26 destinée à servir d'appui pour le ressort 13. Px ailleurs, le ressort 13 prend appui contre le fond 27 d'un logement 28 réalisé dans un bouchon de réglage 29.D'autre part, la tige 24 traverse le bouchon 29 par un trou 30 et ledit bouchon est vissé dans une pièce support 310 de forme sensiblement parallélépipèdique et comprenant latéralement des trous filetés coaxiaux 320 destinés à recevoir les vis 33 qui définissent l'axe ZZ'. A cet effet, les vis 33 comprennent une partie filetée 34, une partie cylindrique 35 et une tête 36. La partie filetée 34 est destinée à être vissée dans le trou 320, tandis que la partie 35 est destinée à prendre place dans les trous 37 des biellettes 12. Comme nous l'avons vu précédemment, l'ensemble mobile d'énergisation 2 constitue un système d'énergisation du type dit à genouillère. Les trois points de ladite genouillère d'énergisation étant le point d'accrochage a, le point de liaison b et le point de pression c.

Le point d accrochage a est sur l'axe de pivotement des biellettes 12 par rapport au corps 5. Le point de pression c est sur l'axe de pivotement de la tige 24 par rapport à l'ensemble de retenue i. Le point de liaison b est sur l'axe de pivotement entre les deux éléments mobiles 10 et 11. La genouillère d'énergisation est dite au point mort quand le point de pression c est situé sur la droite joignant les points a et b. La genouillère est dite cassée quand le point c passe de l'autre côté de la droite joignant les points a et b. On appellera d le point de pivotement de l'ensemble de retenue, et l'on constate que le cercle 38 centré au point d et passant par le point c coupe avantageusement le segment ab en un point e.Lors du déclenchement en sécurité figure 6, l'ensemble mobile d'énergisation 1 pivote vers le haut selon F4 et entraine avec lui le point de pression c qui se déplace sur le cercle 38.

Lorsque le point c arrive sur la droite ab, la genouillère est dite au point d'équilibre, il y a alors déclenchement et le point c passe de lui-même de l'autre côté de la droite ab et l'ensemble d'énergisation 2 bascule de lui-même selon F5 pour libérer totalement la chaussure. Le déclenchement est donc particulièrement sûr et fiable. Le corps 5 est avantageusement, comme cela est bien connu en soi, monté coulissant dans une glissière 31 fixée au ski 32 et sollicité axialement par un ou plusieurs ressorts de poussée 330.

Les figures l, 2 et 4 montrent la fixation dans la position de retenue de la chaussure et on constate que l'ensemble mobile de retenue se dresse vers le haut et que son action sur l'ensemble de retenue est l'effort P appliqué au point c. Le moment dé retenue est donc le produit Pe. D'autre part, dans cette même position de retenue, l'ensemble mobile d'énergisation est sollicité vers l'avant selon F1 et ce mouvement est limité avantageusement par appui du ressort 13 contre la butée 34 réalisée sur l'ensemble de retenue 1.

Notons qu'il pourrait en être tout autrement comme cela est représenté à la figure 13.

La figure 6 montre une phase de déclenchement en sécurité et sur laquelle on voit que le talon 4 de la chaussure se souleve verticalement selon F3 en forçant l'ensemble de retenue à pivoter autour de d selon F4 et ceci contre l'action du système élastique. En effet on constate qu'au cours de ce mouvement, il se passe deux choses : premièrement, l'ensemble mobile d'énergisation bascule vers l'arrière selon F5 par coopération de la butée 34 qui force ce mouvement, et deuxièmement, le point c se déplace vers le haut sur le cercle 38. La figure 6 montre la position juste avant le déclenchement. On constate en effet que le point c se trouve sur la droite joignant les points ab et la genouillère est dite au point d'équilibre et est prête à être -cassée pour libérer totalement la chaussure.D'autre part, on constate aussi que pour passer de la position de la figure i à la position de la figure 6, il y a eu compression du ressort d'une valeur h2 moins hl.

La figure 7 montre une phase du déchaussage volontaire. Comme nous l'avons vu précédemment, l'ensemble mobile d 'énergisation 2 est mobile et est destiné à servir de levier de déchaussage volontaire. Pour cette opération, il suffit de faire basculer ledit ensemble vers l'arrière selon F5 avec le bâton, la main, le ski ou la chaussure jusqu'à ce que le ressort 13, donc l'élément mobile Il vienne prendre appui sur la butée 39 réalisée sur l'ensemble mobile de retenue 1. Cette position est celle représentée à la figure 7 et l'on constate que l'axe de l'effort P1 appliqué sur l'ensemble mobile de retenue passe avantageusement par le point d et ledit ensemble mobile de retenue n'est donc plus sollicité et il est alors très facile de soulever le talon selon F3 pour quitter la fixation.

3
On constate aussi que le ressort 13 vient en appui sur la butée 39 avant que les trois points a b c soient alignés. Nous verrons plus loin que c'est grâce à une telle disposition que la fixation se chausse automatiquement en step in". Le déchaussage volontaire et manuel s'accompagne d'une compression de ressort égale à h3 moins hl. On constate que h moins h1 est inférieur à h2 moins hl, ce qui
3 signifie que l'on comprime moins le ressort lors d'un déchaussage volontaire que pour un déclenchement en sécurité. Le déchaussage volontaire est donc très facile, ce qui est un avantage particulièrement intéressant. Après un déchaussage volontaire, la fixation se trouve dans la position représentée à la figure 3.Dans cette position1 la genouillère est cassée et l'ensemble mobile de retenue reste en position ouverte prêt à être rechaussé. On constate aussi que l'effort P2 agissant sur ledit ensemble mobile de retenue passe par d.

Les figures 8 et 9 montrent des phases du chaussage automatique en step in. Lors de cette opération, la fixation passe de la position représentée figure 8 à la position représentée figure l en passant par les positions représentées à la figure 9. Lors du chaussage en step in: la chaussure, par action selon F6 sur la pédale 9, entraine l'ensemble de retenue 1 à pivoter autour du point d selon F7. Dans un premier temps, l'ensemble de retenue l pivote en entrainant avec lui dans ce mouvement l'ensemble mobile d'énergisation 2. Comme on peut le voir aux figures 3, 8 et 9, mais plus particulièrement à la figure 8, c'est grâce à la butée 39 que l'ensemble mobile d'énergisation est entrainé. La butée 39 coopère avec l'un des éléments mobiles Il de l'ensemble mobile d!énergisation 2.On constate en effet figure 8 que l'élément Il est soumis à un couple P xe qui provoque 33 son basculement selon F1. Notons de plus que cette même butée 39 sert aussi lors de la remise de la fixation dans sa position prête à être rechaussée; c'est à dire dans le cas où l'on veut faire passer la fixation de la position figure 4, mais sans chaussure, à la position de la figure, 3, c'est à dire dans la position prête à être rechaussée. En effet, l'élément 11 prenant appui sur la butée 39 forcera l'élément de retenue l à pivoter selon F4.Dans le mode de réalisation représenté aux figures l à 10, la butée 39 est solidaire de l'ensemble de retenue 1 et co-père avec le ressort 13 de l'élément mobile 11. Nous verrons plus loin qu'il peut en être autrement. Dans la position de la figure 3, on voit que le point c se trouve au-dessus de la droite ab. Au cours du chaussage, le point c descend tandis que le segment ab pivote autour de a. Dans la position représentée à la figure 9, on voit que le point c se trouve sur la droite ab et la genouillère est prête à être recassée.

A partir de cette position, l'ensemble mobibile d'énergisation redevient autonome et quitte la butée 39 pour basculer vers l'avant selon F1 pour verrouiller et solliciter l'ensemble de retenue 1 sur la chaussure dans la position représentée aux figures l et 4.

La figure 11 est une vue schématique représentant un autre mode de réalisation de l'ensemble mobile d'énergisation 2, dans lequel la ou les biellettes rigides 12 relient les points b et c tandis que l'autre élément Il est réalisé par un ressort de traction 110 reliant les points a et b.

La figure 12 est une vue schématique représentant un autre mode de réalisation de l'ensemble mobile d'énergisation 2 dans lequel les deux éléments mobiles 10 et Il sont des biellettes rigides. L'extrémité 19 de la biellette 12 est alors disposée coulissante dans une lumière 40 de l'autre élément mobile ll, les deux éléments étant associés l'un à l'autre par un ressort de traction 41. On pourrait aussi remplacer ledit ressort de traction 41 par un ressort de comme pression 42 tel qu'il est représenté en pointillé.

La figure 13 montre de façon schématique comment peut être aussi réalisée la butée vers l'avant de l'ensemble mobile d'énergisation 2.

Dans ce mode de réalisation, c'est la biellette 12 qui, en position de retenue de la chaussure, vient en contact avec une butée 340 réalisée sur l'élément de retenue 1.

On voit selon les figures 1 à 13 que la butée 39 est solidaire de l'ensemble de retenue l, mais il peut en être autrement et les figures 14 à 16 représentent des variantes.

Selon la figure 14, la butée 390 est solidaire du corps 5 et est destinée à coopérer avec l'élément mobile ll.

Selon la figure 15, la Dutée 391 est solidaire du ski 32 ou de la glissière 31 et coopère aussi avec l'élément ll.

Bien entendu on ne sortirait pas du cadre de l'invention si les butées 390 et 391 coopéraient avec l'élément mobile 12.

La figure 16 montre une variante dans laquelle la butée 392 est solidaire du corps 5 et coopère avec une partie 120 de l'élément mobile 12.

Dans les réalisations précédentes, la pédale 9 est associée à l'ensemble de retenue1 mais il pourrait en être autrement, par exemple comme selon les réalisations représentées figures 17 et 18.

En effet, selon ces figures1 la pédale 90 est solidaire de l'un des éléments mobiles de l'ensemble d'énergisation. La réalisation propose une construction où la pédale 90 est solidaire des biellettes 12 de l'élément mobile 10. Mais la pédale 90 pourrait tout aussi bien être solidaire de l'élément mobile 11.

Bien entendu l'invention n'est pas limitée aux modes de réalisations décrits et représentés à titre d'exemples, mais elle comprend aussi tous les équivalents techniques ainsi que leurs combinaisons.

Claims (14)

Revendications

1. Fixation de sécurité pour ski caractérisée par le fait qu'elle comprend un ensemble de retenue (1) énergisé par un ensemble mobile d'énergisation (2), ledit ensemble de retenue comprenant une ma- choire (7) destinée à maintenir la chaussure est disposé articulé sur un corps (5) autour crun axe transversal (6) pour pivoter entre une position de retenue et une position de libération de la chaussure, ledit ensemble mobile d'énergisation (2) comprend un système élastique (13,41,42,110) et est du type à genouillère constitué par deux éléments mobiles (10,11) articulés l'un à l'autre par l'une de leurs extrémités en un point de liaison (b) tandis que l'extrémité libre de l'un (10) est articulée sur le corps (5) en un point d'accrochage (a) et que l'extrémité libre de l'autre (11) est articulée sur l'ensemble de retenue (1) en un point de pression (c), le point de liaison (b), le point d'accrochage (a) et le point de pression (c) constituant ainsi les trois points (abc) de la genouillère, et le cercle centré sur l'axe d articulation de l'ensemble de retenue (1) et passant par le point de pression (c) coupe la droite joignant le point d'accrochage (a) et le point de liaison (b) quand la fixation est dans sa position de retenue de la chaussure.

2. Fixation de sécurité pour ski selon la revendication 1, caractérisée par le fait que l'un des éléments mobiles (10 ou 11) comprend un système élastique (13,41,42,110) tel qu'un ressort.

3. Fixation de sécurité pour ski selon la revendication 2, caractérisée par le fait que l'élément mobile (11) reliant le point de pression (c) et le point de liaison (b) comprend un ressort de compression (13-42).

4. Fixation de sécurité pour ski selon la revendication 2, caractérisée par le fait que l'élément mobile (10) reliant le point d'accrochage (a) au point de liaison (b) est constitué par un ressort de traction (110).

5. Fixation de sécurité pour ski selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisée par le fait que l'ensemble mobile d'énergisation (2) s'étend vers le haut dans sa position de retenue.

6. Fixation de sécurité pour ski selon la revendication 5, caractérisée par le fait que l'ensemble mobile d'énergisation (2) constitue le levier de déchaussage.

7. Fixation de sécurité pour ski selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisée par le fait que la fixation comprend une butée (34,340) coopérant avec l'un des éléments de l'ensemble mobile d'énergisation (2) pour déterminer sa position de retenue.

8. Fixation de sécurité pour ski selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisée par le fait que la butée (34,340) est disposée sur l'ensemble de retenue (1).

9. Fixation de sécurité pour ski selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisée par le fait que la fixation comprend une butée (39,390,391,392) coopérant avec l'un des éléments de l'ensemble mobile d'énergisation (2) pour déterminer sa position de libération.

10. Fixation de sécurité pour ski selon la revendication 9, caractérisée par le fait que l'élément mobile (10) reliant le point d'accrochage (a) au point de liaison (b) comprend au moins une biellette rigide (12) et l'autre élément mobile (11) reliant le point de liaison (b) au point de pression (c) comprend une tige (24) articulée par son extrémité inférieure à ltélément de retenue et dont l'extrémité supérieure coulisse dans un trou (30) réalisé dans un bouchon (29) vissé dans une pièce support (31) sur laquelle est articulée la biellette (12), le ressort (13) prenant appui d'une part sur le bouchon (29) et d'autre part sur une collerette (26) de la tige (24) pour solliciter le point de liaison (b).

11. Fixation de sécurité pour ski selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisée par le fait que la fixation comprend une pédale (9,90) de rechaussage.

12. Fixation de sécurité pour ski selon la revendication ll, caractérisée par le fait que la pédale de rechaussage (9! est solidaire de l'ensemble de retenue (1).

13. Fixation de sécurité pour ski selon la revendication 12, caractérisée par le fait que la pédale de rechaussage (90) est solidaire de l'un des éléments mobiles (lO,il) de l'ensemble d'énergisation (2).

14. Fixation de sécurité pour ski selon la revendication 13, caractérisée par le fait que la pédale (90) est solidaire des biellettes (12).