CH650160A5

CH650160A5 - Fixation de securite pour ski.

Info

Publication number: CH650160A5
Application number: CH3204/82A
Authority: CH
Inventors: Roger Pascal; Jean-Pierre Dimier
Original assignee: Salomon Sa
Priority date: 1981-06-05
Filing date: 1982-05-25
Publication date: 1985-07-15
Also published as: FR2507093A1; FR2507093B1; DE3221251A1

Description

La présente invention concerne une fixation de sécurité pour ski destinée à maintenir une chaussure sur un ski. Bien que le dispositif selon l'invention puisse être utilisé pour maintenir au ski l'une quelconque des parties de la chaussure, il est cependant plus spécialement conçu pour maintenir l'une des extrémités de la chaussure et notamment l'arrière de celle-ci.

La présente invention a pour but de perfectionner les fixations existantes et plus particulièrement les fixations du type à genouillère. A cet effet, elle propose une fixation dont le déclenchement est particulièrement sûr et fiable. D'autre part, la fixation selon l'invention olïre l'avantage de pouvoir se déchausser manuellement et de se rechausser en automatique sans être obligé de fournir un gros effort. La fixation selon l'invention est donc plus sûre et plus confortable.

La fixation selon l'invention est caractérisée par le fait qu'elle comprend un ensemble de retenue actionné par un ensemble mobile d'application de force élastique; ledit ensemble de retenue comprenant une mâchoire destinée à maintenir la chaussure au ski est disposé articulé sur un corps autour d'un axe transversal pour pivoter entre une position de retenue et une position de libération de la chaussure; ledit ensemble mobile d'application de force élastique comprend un système élastique et est du type à genouillère constitué par deux éléments mobiles articulés l'un à l'autre par l'une de leurs extrémités en un point de liaison tandis que l'extrémité libre de l'un est articulée sur le corps en un point d'accrochage et que l'extrémité libre de l'autre est articulée sur l'ensemble de retenue en un point de pression, le point de liaison, le point d'accrochage et le point de pression constituant ainsi les trois points de la genouillère, et le cercle centré sur l'axe d'articulation de l'ensemble de retenue et passant par le point de pression coupe la droite joignant le point d'accrochage et le point de liaison quand la fixation est dans sa position de retenue de la chaussure.

• Grâce à une telle disposition, le point de déclenchement est déterminé avec précision, ce qui rend la sécurité plus sûre et fiable. D'autre part, cette disposition permet de maintenir la chaussure, même avec une certaine épaisseur de neige sous le talon.

Les caractéristiques et avantages de l'invention se dégageront de la description qui va suivre en regard des dessins annexés qui ne sont donnés qu'à titre d'exemples non limitatifs.

Les fig. 1 à 10 représentent un mode de réalisation de la fixation selon l'invention.

La fig. 1 est une vue latérale de la fixation en position de retenue de la chaussure.

La fig. 2 est une vue de dessus de la fig. 1.

La fig. 3 est une vue latérale de la fixation en position déchaussée prête à être rechaussée.

La fig. 4 est une vue en coupe longitudinale selon IV-IV de la fig.

2.

La fig. 5 est une vue en perspective éclatée.

La fig. 6 est une vue montant une phase du déclenchement en sécurité.

La fig. 7 est une vue montrant une phase du déchaussage volontaire.

Les fig. 8 et 9 sont des vues montrant des phases successives du chaussage.

La fig. 10 est une vue schématique.

Les fig. 11 à 18 sont des vues schématiques représentant des variantes.

3

650 160

La fixation selon l'invention comprend un ensemble de retenue 1 actionné par un ensemble mobile d'application de force élastique 2. L'ensemble de retenue 1 est destiné à maintenir en sécurité l'une des extrémités de la chaussure 3, par exemple le talon 4, et est articulé sur un corps 5 autour d'un axe XX' transversal et parallèle au ski. D'autre part, l'ensemble de retenue 1 comprend une mâchoire 7 solidaire d'un support 8 et une pédale de rechaussage 9.

Selon le mode de réalisation représenté aux fig. 1 à 10, la mâchoire 7, le support 8 et la pédale 9 forment un ensemble monobloc de retenue 1 solidaire en déplacement. L'ensemble de retenue 1 est monté pivotant autour des axes 6, et peut évoluer par pivotement entre une position de retenue de la chaussure (fig. 1) et une position de libération de la chaussure (fig. 3). De plus, l'ensemble de retenue 1 est sollicité dans sa position de retenue par un ensemble mobile d'application de force élastique 2 s'étendant avantageusement vers le haut et servant de levier de déchaussage manuel. En effet, l'ensemble mobile d'application de force élastique 2 est manœuvrable manuellement et peut évoluer entre une position de retenue (fig. 1) et une position de libération (fig. 3). Ledit ensemble mobile d'application de force élastique 2 est du type à genouillère et comprend deux éléments mobiles 10 et 11. L'un des éléments 10 est constitué par au moins une biellette rigide 12 tandis que l'autre comprend un système élastique, par exemple un ressort 13. L'élément mobile 10 de la genouillère est constitué avantageusement par deux biellettes rigides 12 disposées symétriquement par rapport au plan longitudinal de symétrie du ski. Lesdites biellettes 12 sont articulées par l'une de leurs extrémités 14 sur le corps 5 autour d'un axe YY' transversal, parallèle au ski. L'articulation est réalisée par des axes 15 passant dans des trous 16 des biellettes 12, les axes 15 prenant par ailleurs place dans des trous 17 réalisés dans des pattes verticales 18 du corps 5. L'autre extrémité 19 de l'élément mobile 10 est articulée sur l'autre élément mobile 11 autour d'un axe ZZ'. Par ailleurs, l'extrémité inférieure 20 de l'élément mobile 11 est articulée sur l'ensemble de retenue 1 autour d'un axe TT' matérialisé par un axe 21 prenant place dans un trou 22 de l'ensemble 1 et dans un trou 23 de l'élément 11. Le deuxième élément mobile est constitué par une tige 24 présentant à sa partie inférieure une tête 25 comprenant le trou 23 d'articulation et une collerette 26 destinée à servir d'appui pour le ressort 13. Par ailleurs, le ressort 13 prend appui contre le fond 27 d'un logement 28 réalisé dans un bouchon de réglage 29. D'autre part, la tige 24 traverse le bouchon 29 par un trou 30 et ledit bouchon est vissé dans une pièce-support 310 de forme sensiblement parallélépipédique comprenant latéralement des trous filetés coaxiaux 320 destinés à recevoir les vis 33 qui définissent l'axe ZZ'. A cet effet, les vis 33 comprennent une partie filetée 34, une partie cylindrique 35 et une tête 36. La partie filetée 34 est destinée à être vissée dans le trou 320, tandis que la partie 35 est destinée à prendre place dans les trous 37 des biellettes 12. Comme nous l'avons vu précédemment, l'ensemble mobile d'application de force élastique 2 constitue un système d'ac-tionnement du type dit à genouillère. Les trois points de ladite genouillère d'application de force élastique étant le point d'accrochage a, le point de liaison b et le point de pression c. Le point d'accrochage a est sur l'axe de pivotement des biellettes 12 par rapport au corps 5. Le point de pression c est sur l'axe de pivotement de la tige 24 par rapport à l'ensemble de retenue 1. Le point de liaison b est sur l'axe de pivotement entre les deux éléments mobiles 10 et 11. La genouillère d'énergisation est dite au point mort quand le point de pression c est situé sur la droite joignant les points a et b. La grenouillère est dite cassée quand le point c passe de l'autre côté de la droite joignant les points a et b. On appellera d le point de pivotement de l'ensemble de retenue, et l'on constate que le cercle 38 centré au point d et passant par le point c coupe avantageusement le segment ab en un point e. Lors du déclenchement en sécurité, fig. 6, l'ensemble mobile de retenue 1 pivote vers le haut selon F4 et entraîne avec lui le point de pression c qui se déplace sur le cercle 38. Lorsque le point c arrive sur la droite ab, la genouillère est dite au point d'équilibre; il y a alors déclenchement et le point c passe de lui-même de l'autre cêté de la droite ab, et l'ensemble d'application de force élastique 2 bascule de lui-même selon Fs pour libérer totalement la chaussure. Le déclenchement est donc particulièrement sûr et fiable. Le corps 5 est avantageusement, comme cela est bien connu en soi, monté coulissant dans une glissière 31 fixée au ski 32 et sollicité axialement par un ou plusieurs ressorts de poussée 330.

Les fig. 1, 2 et 4 montrent la fixation dans la position de retenue de la chaussure, et on constate que l'ensemble mobile de retenue se dresse vers le haut et que son action sur l'ensemble de retenue est l'effort P appliqué au point c. Le moment de retenue est donc le produit Pl. D'autre part, dans cette même position de retenue, l'ensemble mobile d'énergisation est sollicité vers l'avant selon F, et ce mouvement est limité avantageusement par appui du ressort 13 contre la butée 34 réalisée sur l'ensemble de retenue 1. Notons qu'il pourrait en être tout autrement, comme cela est représenté à la fig.

13.

La fig. 6 montre une phase de déclenchement en sécurité et sur laquelle on voit que le talon 4 de la chaussure se soulève verticalement selon F3 en forçant l'ensemble de retenue à pivoter autour de d selon F4, et cela contre l'action du système élastique. En effet, on constate qu'au cours de ce mouvement il se passe deux choses: premièrement, l'ensemble mobile d'application de force élastique bascule vers l'arrière, selon F5, par coopération de la butée 34 qui force ce mouvement et, deuxièmement, le point c se déplace vers le haut sur le cercle 38. La fig. 6 montre la position juste avant le déclenchement. On constate en effet que le point c se trouve sur la droite joignant les points ab, et la genouillère est dite au point d'équilibre et est prête à être cassée pour libérer totalement la chaussure. D'autre part, on constate aussi que, pour passer de la position de la fig. 1 à la position de la fig. 6, il y a eu compression du ressort d'une valeur h2— hj.

La fig. 7 montre une phase du déchaussage volontaire. Comme nous l'avons vu précédemment, l'ensemble mobile d'application de force élastique 2 est mobile et est destiné à servir de levier de déchaussage volontaire. Pour cette opération, il suffit de faire basculer ledit ensemble vers l'arrière selon F5 avec le bâton, la main, le ski ou la chaussure jusqu'à ce que le ressort 13, donc l'élément mobile 11, vienne prendre appui sur la butée 39 réalisée sur l'ensemble mobile de retenue 1. Cette position est celle représentée à la fig. 7 et l'on constate que l'axe de l'effort Pt appliqué sur l'ensemble mobile de retenue passe avantageusement par le point d et ledit ensemble mobile de retenue n'est donc plus sollicité, et il est alors très facile de soulever le talon selon F3 pour quitter la fixation. On constate aussi que le ressort 13 vient en appui sur la butée 39 avant que les trois points a, b, c ne soient alignés. Nous verrons plus loin que c'est grâce à une telle disposition que la fixation se chausse automatiquement en step-in. Le déchaussage volontaire et manuel s'accompagne d'une compression de ressort égale à h3—ht. On constate que h3—hi est inférieur à h2—hj, ce qui signifie que l'on comprime moins le ressort lors d'un déchaussage volontaire que pour un déclenchement en sécurité. Le déchaussage volontaire est donc très facile, ce qui est un avantage particulièrement intéressant. Après un déchaussage volontaire, la fixation se trouve dans la position représentée à la fig. 3. Dans cette position, la genouillère est cassée et l'ensemble mobile de retenue reste en position ouverte prêt à être rechaussé. On constate aussi que l'effort P2 agissant sur ledit ensemble mobile de retenue passe par d.

Les fig. 8 et 9 montrent des phases du chaussage automatique en step-in. Lors de cette opération, la fixation passe de la position représentée fig. 8 à la position représentée fig. 1 en passant par les positions représentées à la fig. 9. Lors du chaussage en step-in, la chaussure, par action selon F6 sur la pédale 9, entraîne l'ensemble de retenue 1 à pivoter autour du point d selon F7. Dans un premier temps, l'ensemble de retenue 1 pivote en entraînant avec lui dans ce mouvement l'ensemble mobile d'application de force élastique 2. Comme on peut le voir aux fig. 3, 8 et 9, mais plus particulièrement à la fig. 8, c'est grâce à la butée 39 que l'ensemble mobile d'énergisation est entraîné. La butée 39 coopère avec l'un des éléments mobiles 11 de l'ensemble mobile d'application de force élastique 2. On cons-

5

10

15

20

25

30

35

40

45

50

55

60

65

650 160

4

tate en effet, à la fig. 8, que l'élément 11 est soumis à un couple P3 x 13 qui provoque son basculement selon F,. Notons de plus que cette même butée 39 sert aussi lors de la remise de la fixation dans sa position prête à être rechaussée, c'est-à-dire dans le cas où l'on veut faire passer la fixation de la position fig. 4, mais sans chaussure, à la 5 position de la fig. 3, c'est-à-dire dans la position prête à être rechaussée. En effet, l'élément 11 prenant appui sur la butée 39 forcera l'élément de retenue 1 à pivoter selon F4. Dans le mode de réalisation représenté aux fig. 1 à 10, la butée 39 est solidaire de l'ensemble de retenue 1 et coopère avec le ressort 13 de l'élément mobile 11. Nous io verrons plus loin qu'il peut en être autrement. Dans la position de la fig. 3, on voit que le point c se trouve au-dessus de la droite ab. Au cours du chaussage, le point c descend tandis que le segment ab pivote autour de a. Dans la position représentée à la fig. 9, on voit que le point c se trouve sur la droite ab et la genouillère est prête à 15 être recassée.

A partir de cette position, l'ensemble mobile d'application de force élastique redevient autonome et quitte la butée 39 pour basculer vers l'avant selon Fl pour verrouiller et solliciter l'ensemble de retenue 1 sur la chaussure dans la position représentée aux fig. 1 et 4. 20

La fig. 11 est une vue schématique représentant un autre mode de réalisation de l'ensemble mobile d'application de force élastique 2, dans lequel la ou les biellettes rigides 12 relient les points b et c tandis que l'autre élément 11 est réalisé par un ressort de traction 110 reliant les points a et b. 25

La fig. 12 est une vue schématique représentant un autre mode de réalisation de l'ensemble mobile d'application de force élastique 2 dans lequel les deux éléments mobiles 10 et 11 sont des biellettes rigides. L'extrémité 19 de la biellette 12 est alors disposée coulissante dans une lumière 40 de l'autre élément mobile 11, les deux éléments étant associés l'un à l'autre par un ressort de traction 41. On pourrait aussi remplacer ledit ressort de traction 41 par un ressort de compression 42 tel qu'il est représenté en pointillé.

La fig. 13 montre de façon schématique comment peut être aussi réalisée la butée vers l'avant de l'ensemble mobile d'application de force élastique 2. Dans ce mode de réalisation, c'est la biellette 12 qui, en position de retenue de la chaussure, vient en contact avec une butée 340 réalisée sur l'élément de retenue 1.

On voit selon les fig. 1 à 13 que la butée 39 est solidaire de l'ensemble de retenue 1, mais il peut en être, autrement et les fig. 14 à 16 représentent des variantes.

Selon la fig. 14, la butée 390 est solidaire du corps 5 et est destinée à coopérer avec l'élément mobile 11.

Selon la fig. 15, la butée 391 est solidaire du ski 32 ou de la glissière 31 et coopère aussi avec l'élément 11.

Bien entendu, on ne sortirait pas du cadre de l'invention si les butées 390 et 391 coopéraient avec l'élément mobile 12.

La fig. 16 montre une variante dans laquelle la butée 392 est solidaire du corps 5 et coopère avec une partie 120 de l'élément mobile 12.

Dans les réalisations précédentes, la pédale 9 est associée à l'ensemble de retenue, mais il pourrait en être autrement, par exemple comme selon les réalisations représentées fig. 17 et 18. En effet, selon ces figures, la pédale 90 est solidaire de l'un des éléments mobiles de l'ensemble d'application de force élastique. La réalisation propose une construction où la pédale 90 est solidaire des biellettes 12 de l'élément mobile 10. Mais la pédale 90 pourrait tout aussi bien être solidaire de l'élément mobile 11.

R

8 feuilles dessins

Claims

650 160

2

REVENDICATIONS

1. Fixation de sécurité pour ski, caractérisée par le fait qu'elle comprend un ensemble de retenue (1) actionné par un ensemble mobile d'application de force élastique (2); ledit ensemble de retenue 5 comprenant une mâchoire (7) destinée à maintenir la chaussure est disposé articulé sur un corps (5) autour d'un axe transversal (6) pour pivoter entre une position de retenue et une position de libération de la chaussure; ledit ensemble mobile d'application de force élastique

(2) comprend un système élastique (13,41,42, 110) et est du type à io genouillère constitué par deux éléments mobiles (10,11) articulés l'un à l'autre par l'une de leurs extrémités en un point de liaison (b) tandis que l'extrémité libre de l'un (10) est articulée sur le corps (5)

en un point d'accrochage (a) et que l'extrémité libre de l'autre (11) est articulée sur l'ensemble de retenue (1) en un point de pression (c), is le point de liaison (b), le point d'accrochage (a) et le point de pression (c) constituant ainsi les trois points (a, b, c) de la genouillère, et le cercle centré sur l'axe d'articulation de l'ensemble de retenue (1) et passant par le point de pression (c) coupe la droite joignant le point d'accrochage (a) et le point de liaison (b) quand la fixation est dans 20 sa position de retenue de la chaussure.
2. Fixation de sécurité pour ski selon la revendication 1, caractérisée par le fait que l'un des éléments mobiles (10 ou 11) comprend un système élastique (13, 41, 42, 110) tel qu'un ressort.
3. Fixation de sécurité pour ski selon la revendication 2, caracté- 25 risée par le fait que l'élément mobile (11) reliant le point de pression (c) et le point de liaison (b) comprend un ressort de compression (13-42).
4. Fixation de sécurité pour ski selon la revendication 2, caractérisée par le fait que l'élément mobile (10) reliant le point d'accro- 3° chage (a) au point de liaison (b) est constitué par un ressort de traction (110).
5. Fixation de sécurité pour ski selon l'une des revendications précédentes, caractérisée par le fait que l'ensemble mobile d'applica- , tion de force élastique (2) s'étend vers le haut dans sa position de 3s retenue.
6. Fixation de sécurité pour ski selon la revendication 5, caractérisée par le fait que l'ensemble mobile d'application de force élastique (2) constitue un levier de déchaussage.
7. Fixation de sécurité pour ski selon l'une des revendications 40 précédentes, caractérisée par le fait qu'elle comprend une butée (34, 340) coopérant avec l'un des éléments de l'ensemble mobile d'application de force élastique (2) pour déterminer sa position de retenue.
8. Fixation de sécurité pour ski selon la revendication 7, caractérisée par le fait que la butée (34, 340) est disposée sur l'ensemble de 45 retenue (1).
9. Fixation de sécurité pour ski selon l'une des revendications précédentes, caractérisée par le fait qu'elle comprend une butée (39, 390, 391, 392) coopérant avec l'un des éléments de l'ensemble mobile -d'application de force élastique (2) pour déterminer sa position de so libération.
10. Fixation de sécurité pour ski selon la revendication 9, caractérisée par le fait que l'élément mobile (10) reliant le point d'accrochage (a) au point de liaison (b) comprend au moins une biellette rigide (12) et l'autre élément mobile (11) reliant le point de liaison 55 (b) au point de pression (c) comprend une tige (24) articulée par son extrémité inférieure à l'élément de retenue et dont l'extrémité supérieure coulisse dans un trou (30) réalisé dans un bouchon (29) vissé dans une pièce-support (31) sur laquelle est articulée la biellette (12),

le ressort (13) prenant appui d'une part sur le bouchon (29) et 60

d'autre part sur une collerette (26) de la tige (24) pour solliciter le point de liaison (b).
11. Fixation de sécurité pour ski selon l'une des revendications précédentes, caractérisée par le fait qu'elle comprend une pédale (9, 90) de rechaussage. 65
12. Fixation de sécurité pour ski selon la revendication 11, caractérisée par le fait que la pédale de rechaussage (9) est solidaire de l'ensemble de retenue (1).
13. Fixation de sécurité pour ski selon la revendication 12, caractérisée par le fait que la pédale de rechaussage (90) est solidaire de l'un des éléments mobiles (10, 11) de l'ensemble d'application de force élastique (2).
14. Fixation de sécurité pour ski selon la revendication 13, caractérisée par le fait que la pédale (90) est solidaire des biellettes (12).