FR2495744A1 - Chaudiere de chauffage pouvant adapter la longueur du trajet des gaz chauds a la puissance du bruleur et a la qualite de la cheminee - Google Patents

Chaudiere de chauffage pouvant adapter la longueur du trajet des gaz chauds a la puissance du bruleur et a la qualite de la cheminee Download PDF

Info

Publication number
FR2495744A1
FR2495744A1 FR8122937A FR8122937A FR2495744A1 FR 2495744 A1 FR2495744 A1 FR 2495744A1 FR 8122937 A FR8122937 A FR 8122937A FR 8122937 A FR8122937 A FR 8122937A FR 2495744 A1 FR2495744 A1 FR 2495744A1
Authority
FR
France
Prior art keywords
water
combustion chamber
hot
heating
hot gases
Prior art date
Legal status (The legal status is an assumption and is not a legal conclusion. Google has not performed a legal analysis and makes no representation as to the accuracy of the status listed.)
Pending
Application number
FR8122937A
Other languages
English (en)
Current Assignee (The listed assignees may be inaccurate. Google has not performed a legal analysis and makes no representation or warranty as to the accuracy of the list.)
Individual
Original Assignee
Individual
Priority date (The priority date is an assumption and is not a legal conclusion. Google has not performed a legal analysis and makes no representation as to the accuracy of the date listed.)
Filing date
Publication date
Application filed by Individual filed Critical Individual
Publication of FR2495744A1 publication Critical patent/FR2495744A1/fr
Pending legal-status Critical Current

Links

Classifications

    • FMECHANICAL ENGINEERING; LIGHTING; HEATING; WEAPONS; BLASTING
    • F24HEATING; RANGES; VENTILATING
    • F24HFLUID HEATERS, e.g. WATER OR AIR HEATERS, HAVING HEAT-GENERATING MEANS, e.g. HEAT PUMPS, IN GENERAL
    • F24H1/00Water heaters, e.g. boilers, continuous-flow heaters or water-storage heaters
    • F24H1/22Water heaters other than continuous-flow or water-storage heaters, e.g. water heaters for central heating
    • F24H1/24Water heaters other than continuous-flow or water-storage heaters, e.g. water heaters for central heating with water mantle surrounding the combustion chamber or chambers
    • F24H1/26Water heaters other than continuous-flow or water-storage heaters, e.g. water heaters for central heating with water mantle surrounding the combustion chamber or chambers the water mantle forming an integral body
    • F24H1/28Water heaters other than continuous-flow or water-storage heaters, e.g. water heaters for central heating with water mantle surrounding the combustion chamber or chambers the water mantle forming an integral body including one or more furnace or fire tubes
    • FMECHANICAL ENGINEERING; LIGHTING; HEATING; WEAPONS; BLASTING
    • F24HEATING; RANGES; VENTILATING
    • F24HFLUID HEATERS, e.g. WATER OR AIR HEATERS, HAVING HEAT-GENERATING MEANS, e.g. HEAT PUMPS, IN GENERAL
    • F24H1/00Water heaters, e.g. boilers, continuous-flow heaters or water-storage heaters
    • F24H1/48Water heaters for central heating incorporating heaters for domestic water
    • F24H1/52Water heaters for central heating incorporating heaters for domestic water incorporating heat exchangers for domestic water
    • FMECHANICAL ENGINEERING; LIGHTING; HEATING; WEAPONS; BLASTING
    • F24HEATING; RANGES; VENTILATING
    • F24HFLUID HEATERS, e.g. WATER OR AIR HEATERS, HAVING HEAT-GENERATING MEANS, e.g. HEAT PUMPS, IN GENERAL
    • F24H9/00Details
    • F24H9/0005Details for water heaters
    • F24H9/001Guiding means
    • F24H9/0026Guiding means in combustion gas channels

Landscapes

  • Engineering & Computer Science (AREA)
  • Physics & Mathematics (AREA)
  • Thermal Sciences (AREA)
  • Chemical & Material Sciences (AREA)
  • Combustion & Propulsion (AREA)
  • Mechanical Engineering (AREA)
  • General Engineering & Computer Science (AREA)
  • Incineration Of Waste (AREA)

Abstract

LA CHAUDIERE EST CONSTITUEE D'UNE CHAMBRE DE COMBUSTION 20 ENTOUREE D'UN VOLUME D'EAU PERIPHERIQUE 30. UN CERTAIN NOMBRE DE CONDUITS POUR GAZ CHAUDS 16.1, 16.2, 16.3, 16.4, 16.5, QUE L'ON PEUT OU NON OBTURER, REUNISSENT OU NON DIFFERENTES CHAMBRES POUR GAZCHAUDS 25.1, 25.2, 25.3. SELON LEUR TRAJET LES GAZ CHAUDS PEUVENT SORTIR PAR L'UNE DES DEUX CAGES D'EVACUATION DES GAZ CHAUDS 27.1, ET 27.2. LA CHAUDIERE COMPORTE EGALEMENT UN CHAUFFE-EAU INSTANTANE D'EAU CHAUDE SANITAIRE CONSTITUE D'UN SERPENTIN CREUX 49 PLONGE DANS UN CYLINDRE CREUX 45 FAISANT PARTIE DU VOLUME D'EAU PERIPHERIQUE.

Description

La présente invention se rapporte à une chaudière de chauffage d'eau chaude, comportant un corps de chaudière isolé thermiquement et qui comprend une chambre de combustion dans laquelle sont produite, par la combustion, des gaz chauds qui quittent le corps de la chaudière par un trajet des gaz chauds passant par des chambres pour gaz chauds, des tronçons pour gaz chaude et une tubulure d'évacuation des gaz, qui comprend de plus un volume d'eau périphérique qui entoure au moins partiellement la chambre de combustion, les chambres pour gaz chauds et les tronçons pour gaz chauds.
Dans des chaudières de chauffage de ce type on représente généralement comme face avant la face où la chambre de combustion est ouverte pour l'alimentation en combustible.
Depuis que les installations de chauffage central sont devenues courantes, on utilise en grande quantité des chaudières de ce type. Pour des installations de chauffage de différentes tailles, il est offert des chaudières d'une puissance nominale allant d'environ 12 kW à 130 kW pour le chauffage au fuel ou au gaz. on ne connaît pourtant pas encore de chaudière qui, de part sont mode de construction, convienne pour travailler sur la totalité de cette plage de puissance0
Les chaudières de chauffage sont le plus souvent off er- tes avec un échelonnement de puissance d'environ 10 à 15 kW. Lorsque la puissance nominale de la chaudière augmente, ses dimensions augmentent.
Lorsque l'on change le brûleur, la température des gaz évacués produits dans la chaudière se modifie.
pour des motifs de protection de l'environnement, pour les chaudières de chauffage il est prescrit des valeurs maxima déterminées pour la température des gaz chauds i la tubulure d'évacuation des gaz et pour la formation de suie. La température maxima des gaz chauds à la tu bulure d'évacuation des gaz et pour la formation de suie.
La température maxima des gaz chauds à la tubulure d'évacuation des gaz est fixée à 2000C.Les chaudières de chauffage connues sont généralement conçues pour ne pas dépasser cette température des gaz évacués de 200*C, mais également pour ne pas venir en-dessous de cette température. On garantit ainsi que les chaudières peuvent être raccordées même à une cheminée qui tire mal ou qui est mal isolée. Dans une cheminée mal isolée, les gaz d'évacuation refroidissent. fortement. Si les tempdratures passent en-dessous d'environ 90-C, il se forme des condensats qui conduisent à des dépôts importants dans la cheminée.
Si une chaudière de chauffage doit être raccordée à une cheminée bien isolée, il suffit à proprement parler de disposer d'une température des gaz évacués de par exemple 12O0C. Avec les chaudières de chauffage traditionnelles, ceci peut s'obtenir par le moyen que par exemple on monte un brûleur de plus faible puissance dans une grande chaudière étudiée en fait pour des puissances plus élevées. Ceci permet d'abaisser comme on le désire la température des gaz évacués, mais il subsiste le problème de la plus forte formation de suie. Pour toute flamme de fuel ou de gaz dans une chambre de combustion, il existe en effet le risque que dans les zones extérieures de la flamme, la température ne suffise pas pour une combustion complète, ce qui conduit à la formation d'une fine suie.
On s'efforce d'éviter cet effet en garnissant les chambres pour gaz chauds d'un matériau bien isolant, par exemple des briques de chamotte qui, après quelques minutes de marche, commencent à être portées au rouge et favorisent donc la combustion des particules de suie qui ont tendance à se déposer sur ces briques. Une autre possibilité de créer des parois de chambre portées au rouge consiste à fabriquer la chambre de combustion en acier très réfractaire et à ne pas refroidir directement la paroi de la chambre avec de l'eau de sorte que la paroi de la totalité de la chambre commence à rougir. Si alors on monte un brûleur plus petit dans une chambre de combustion en réalité prévue pour un brûleur de plus forte puissance, l'effet de paroi portée au rouge, que l'on recherchait, ne se produit plus correctement.L'accroissement de la formation de suie conduit à une notable diminution du rendement de la chaudière.
On connaît également de nombreux types de chaudières de chauffage qui ne servent pas seulement au réchauffage de l'eau chaude pour l'installation de chauffage central mais avec lesquels on peut également et simultanément chauffer l'eau sanitaire. Des chaudières de chauffage de ce type disposent soit d'un réservoir d'eau sanitaire soit d'un chauffe-eau instatané. Le réservoir ou le chauffe-eau instantané se trouvent généralement à l'intérieur d'un volume périphérique d'eau situé au-dessus de la chambre de combustion, puisque c'est là que l'eau chaude présente la température la plus élevée à l'intérieur du volume d'eau périphérique. Récemment on a cependant construit également des chaudières de chauffage où le réservoir est disposé en-dessous de la chambre de combustion et où l'eau chaude est envoyée dans le volume d'eau périphérique au moyen d'une pompe de circulation.Ce moyen permet de réchauffer l'eau chaude qui se trouve dans la zone supérieure du volume d'eau périphérique à environ 8O9c pour le chauffage proprement dit et par ailleurs d'obtenir dans la zone intérieure du volume d'eau périphérique une température d'environ 600C grâce à la circulation de l'eau. Ceci permet de garantir que l'eau sanitaire ne peut pas être chauffée au-dessus de 60"C, ce qui permet d'éviter, même avec de l'eau calcaire, un dépôt de calcaire dans le réservoir et dans les conduites d'eau sanitaire.Dans les chaudières de chauffage connues jusqu'ici, le chauffe-eau instantané est toujours disposé au-dessus de la chambre de combustion et donc dans la zone de l'eau chaude la plus chaude, car il faut garantir même dans ce cas, malgré l'absence du réservoir d'eau sanitaire, que dans le cas d'une consommation d'eau sanitaire soudainement élevée, on peut encore suffisamment réchauffer cette eau sanitaire.
Dans la zone inférieure plus froide du volume d'eau périphérique, il n'est pas passible de réchauffer suffisamment, sans autres, l'eau sanitaire dans un chauffeeau instantané.
Toutes ces chaudières ont en commun une structure du type indiqué au début. Une telle chaudière de chauffage doit être conçue de façon à permettre d'utiliser encore mieux que jusqu'ici pour la production de chaleur le combustible que l'on introduit.
I1 est prévu que, dans une chaudière tradiw tionnelle, la chambre de combustion est une chambre de combustion à surpression et que il existe un grand nombre de tronçons pour gaz chauds, séparés l'un de 11 autre par des parois de séparation qui présentent des ouvertures de liaison partiellement obturables,
Avec une chaudière de ce type, il est par exemple pos- sible d'utiliser dans une seule taille de corps de chaudière des brûleurs de différentes plages de puissance, ou de se relier au choix à une cheminée bien ou mal isolée tout en ayant toujours une température optima des gaz évacués.
Dans les chaudieres de chauffage connues jusqu'ici, les corps de chaudières et les brûleurs étaient adaptés de façon optima l'un à l'autre. Pour le brûleur de qualité optima on avait par exemple une température des gaz évacués de 200*C. Dans le cas de l'utilisation d'un brûleur de plus forte puissance, la température des gaz évacués s'accroissait au-delà de la valeur autorisée et pour un brûleur de plus faible puissance1 c'est une formation plus importante de suie qu'il fallait craindre et de plus il n'était plus possible de relier à une cheminée mal isolée la chaudière de chauffage.Avec la chaudière de chauffage proposée, il est maintenant possible de fixer la température des gaz évacués en ne faisant parcourir, à priori, qu'une certaine quantité des gaz chauds par le plus grand nombre des tronçons pour gaz chauds. Le trajet des gaz chauds est choisi de façon que si on se raccorde à une cheminée bien isolée dans laquelle il ne se produit pas de dépôt même pour une faible température des gaz évacués, les gaz chauds parcourent davantage de tronçons pour gaz chauds que si on se raccorde à une cheminée mal isolée.
De même, si on marche avec un brûleur de plus forte puissance on laisse les gaz chauds passer par davantage de tronçons pour gaz chauds que si on marche avec un brûleur de plus faible puissance. On garantit ainsi que la température des gaz évacués ne dépasse la valeur maxima autorisée de 2000C.
Avec la chaudière de chauffage indiquée, il est possible de choisir aussi basse que possible la température des gaz évacués pour chaque cheminée existante à laquelle on doit raccorder la chaudière de chauffage. La plus faible température des gaz évacués augmente le rendement de la chaudière. De plus il est possible de fabriquer avec une construction unique du corps de la chaudière1 des chaudières qui peuvent fonctionner aussi bien avec des brûleurs de plus faible puissance qu'avec des brûleurs de forte puissance.
Cette standardisation conduit à abaisser les coûts de fabrication des chaudières de chauffage. Si dans une chambre de combustion on utilise un brûleur de très faible puissance, ceci peut conduire, comme on l'a expliqué ci-dessus, à ce que les parois de la chambre ne rougissent plus suffisamment pour garantir la combustion résiduelle des particules de suie qui arrivent. Mais comme on l'a expliqué précédemment, il peut être également souhaitable d'utiliser dans un unique type de corps de chaudières des brûleurs de différentes puissances et même de très faible puissance.La chaudière de chauffage proposée remplit ces conditions par le fait qu'elle présente une chambre de combustion à la face avant de laquelle on fixe un brûleur fonctionnant au fuel ou au gaz ; par le fait que la chambre de combustion est conçue sous forme de chambre de combustion à
inversion de direction de la flamme, avec une paroi arrière de chambre contre laquelle la direction de la flamme s'inverse ; et par le fait qu'une tôle à porter au rouge est fixée à la paroi arrière de la chambre.
Par rapport aux parois portées au rouge en pierre ou en acier, une tôle portée au rouge de ce type présente l'avantage qu'il ne faut pas plusieurs minutes pour que le rouge apparaisse, mais que la tôle rougit déjà après quelques secondes et que l'on s'oppose donc à la formation de suie sur le trajet des gaz chauds déjà après un temps assez bref après la mise en route du brûleur.
Après le délai habituel plus long, pour les parois de chambre qui ne sont pas refroidies directement, les parois de la chambre sont également portées au rouge.
Si l'on utilise un brûleur d'une puissance plus faible dans une chambre de combustion précisément conçue pour un brûleur de puissance plus forte, même dans le cas d'une paroi de chambre mal refroidie, on n'obtient plus l'incandescence de la paroi et la suppression de la suie que l'on recherche. Tandis que dans ce cas la tôle prévue parvient encore au rouge et assure une combustion suffisante de la suie.
Mais ce n'est pas seulement par des faibles températures des gaz évacués et une faible formation de suie que l'on obtient une meilleure utilisation du combustible utilisé, mais également par une meilleure isolation. On prévoit maintenant que ce n'est pas seulement le corps de la chaudière qui est utilisé, comme il est habituel jusqu'ici, le brûleur et- la robinetterie restant par contre à l'extérieur, mais que l'isolation entoure le corps de la chaudière y compris le brûleur et l'essentiel de la robinetterie de l'installation de chauffage. Il est ici particulièrement avantageux que la robinetterie et le brûleur se trouvent sur la même face du corps de chaudière. L'air aspiré par le brûleur passe alors directement devant les robinets chauds et s'y réchauffe.Ceci favorise notablement la combustion du combustible, ce qui participe à un abaissement important du risque de formation de suie.
I1 est par ailleurs possible d'accroitre le rendement d'une chaudière de combustion par le moyen que cette chaudière comporte un volume d'eau périphérique dans la partie la plus basse duquel sont disposés un thermomètre sur l'eau chaude et un échangeur thermique parcouru par un fluide caloporteur réchauffé par le rayonnement solaire. La température du fluide caloporteur est mesurée par un thermomètre sur ce fluide et elle est comparée, dans un élément de comparaison, à la température du thermomètre sur l'eau chaude. Si la température indiquée par le thermomètre sur le fluide caloporteur est supérieure à celle indiquée par le thermomètre sur l'eau chaude, une pompe de circulation se met en route pour faire circuler le fluide caloporteur à travers l'échangeur thermique.Cette disposition d'un échangeur thermique parcouru par un fluide caloporteur réchauffé par le rayonnement solaire, dans la partie inférieure, froide, du volume d'eau périphérique d'une chaudière de chauffage, présente l'avantage que ceci permet d'augmenter encore le réchauffage de l'eau chaude par la combustion du combustible dans la chambre de combustion. Dans la partie supérieure, chaude, du volume d'eau périphérique l'énergie est donc transmise à l'eau chaude par la combustion et, dans la partie inférieure, froide, par échange thermique.
On peut de plus accroire encore le rendement d'une chaudière de chauffage en diminuant les pertes par rayonnement soit gracie à des surfaces extérieures plus petites soit à des températures de chaudière plus faibles. Dans le cas d:une chaudière de chauffage qui réchauffe en même temps l'eau sanitaire, on a genéralement une surface totale assez importante du fait de l'incorporation d'un réservoir d'eau chaude sanitaire.
L'utilisation d'un chauffe-eau instatané permet de réduire la taille de la chaudière et donc la surface de rayonnement thermique, mais avec les formes d'exécution connues jusqu'ici, il faut choisir des températures élevées d'eau chaude, de façon que même dans le cas d'un débit élevé d'eau à travers le chauffe eau instantané, il soit encore possible de chauffer suffisamment l'eau sanitaire. On propose maintenant qu'une chaudière de chauffage traditionnelle comporte un volume d'eau périphérique dans lequel un chauffe-eau, pour chauffer l'eau sanitaire soit prévu sous forme d'un cylindre creux fermé, à l'exception des ouvertures d'entrée et de sortie et dans lequel on fasse circuler par pompage de l'eau chaude prélevée dans Je volume d'eau pér9phé- rique et dans lequel se trouve un serpentin creux, parcouru par l'eau sanitaire et qui remplit largement le cylindre creux. Cette disposition est très compaete et garantit une température d'eau sanitaire qui reste élevée même pour une forte consommation d'eau sanitaire et sans température excessive de la chaudière.
Dans le cas des chaudières traditionnelles, de nombreuses conduites tubulaires chaudes courent habituellement à l'extérieur du corps de chaudière, c'est le cas par exemple des conduites permettant la circulation de l'eau chaude depuis la partie supérieure chaude du volume d'eau périphérique vers la partie inférieure plus froide de ce volume d'eau périphérique dans laquelle se trouve un réservoir d'eau sanitaire.
Une autre conduite tubulaire chaude se trouve par exemple entre la tubulure du circuit de retour, par laquelle l'eau chaude refroidie et provenant de l'installation de chauffage central pénètre dans la chaudière, et un robinet mélangeur assurant le mélange sur le circuit de retour et dans lequel l'eau chaude, réchauffée, est prélevée pour alimenter ie circuit de retour.
I1 est alors possible d'améliorer le rendement d'une chaudière traditionnelle én incorporant dans le corps de la chaudière ces conduites d'eau chaude qui courent à l'extérieur, ceci en prévoyant, dans un corps de chaudière à peu près rectangulaire de forme, que deux des zones formant les bords verticaux du corps de la chaudière, au moins, soient conçus sous forme de conduites d'eau, en liaison avec l'eau de la zone supérieure du volume d'eau périphérique. Cette incorporation de ces conduites d'eau dans le corps de la chaudière réduit au minimum les pertes par rayonnement dans l'ambiance.
D'autres caractéristiques et avantages de l'invention seront mieux compris à la lecture de la description qui va suivre d'un exemple de réalisation et en se référant aux dessins annexés, sur lesquels
la figure 1 représente une coupe verticale d'un corps de chaudière le long des lignes 1-1 des figures 2 et 3
la figure 2 représente une vue partielle de devant et une coupe verticale partielle d'un corps de chaudière selon la ligne 2-2 des figures 1 et 3
la figure 3 représente une coupe horizontale selon la ligne 3-3 des figures 1 et 2
la figure 4 représente une coupe d'un corps de chaudière selon la figure 1 et comportant un trajet court pour les gaz chauds, obtenu par fermeture des ouvertures de liaison entre les chambres pour gaz chauds avec évacuation par un piquage supérieur d'évacuation des gaz
la figure 5 représente une coupe d'un corps de chaudière selon la figure 1 et comportant un trajet des gaz chauds de longueur moyenne avec évacuation par un piquage supérieur
la figure 6 représente une coupe d'un corps de chaudière selon la figure 1 comportant un trajet des gaz chauds de grande longueur avec évacuation par un piquage inférieur
la figure 7 représente une coupe d'un corps de chaudière selon la figure 1 avec retour partiel des gaz chauds dans la chambre de combustion ;
la figure 8 représente une vue perspective d'un corps de chaudière avec brûleur et robinetterie et revêtement isolant.
Les figures 1, 2 et 3 représentent un corps de chaudière en coupe. Ce corps de chaudière 10 peut se partager, au point de vue fonction, en trois zones et, de façon plus précise, une zone supérieure formant chambre de combustion 11, une zone inférieure 12 de tronçons pour gaz chauds et une zone de l'eau extérieure 13, qui constituent la partie la plus basse du corps de chaudière 10. L'ensemble du corps de chaudière est conçu sous forme d'une construction en acier soudé.
La structure du corps de chaudière 10 repré senté est à peu près la suivante. Dans deux tôles, de taille à peu près identique, en acier pour chaudière, par exemple en acier St 37-2R, (acier de résistance 37 daN/mm2, qualité 2, c'est-à-dire pour conditions sévères, type R, c'est-à-dire coulé calmé), à savoir une tôle avant 14 et une tôle arrière 15, on découpe des trous ronds situés en face l'un de l'autre. Ces toles présentent à pu près une hauteur de 1.25 m et une largeur de So cm. Le diamètre des trous est d'environ 5 cm.
Dans les trous on introduit des tubes d'une longueur d'environ 50 cm et on les soude avec les deux tôles au moyen de cordons de soudure bien accessibles et situés à l'extérieur-, de façon telle qu'après soudure, la tôle avant 14 et la tOle arrière 15 se trouvent à une distance l'une de l'autre à peu près égale à la longueur dea tubes. Ces tubes forment les tronçons pour gaz chauds 16. Dans la zone de la chambre de combustion 11 de la tôle avant 14 on découpe encore une ouverture 17 pour la chambre de combustion, d'un grand diamètre, par exemple d'un diamètre de 40 cm, dans laquelle on introduit un cylindre formant chambre de combustion 18, fermé par une paroi arrière de chambre 19.La profondeur de la chambre de combustion est un peu plus faible que X distance entre la tôle avant 14 et la tôle arrière 15 et se monte par exemple à environ 40 cm.
La portion que l'on a décrit jusqu'ici du corps de chaudière 10 présente dans la zone de la chambre de combustion li des tronçons supérieurs pour gaz chauds coté chambre, 16.1, tronçons qui se trouvent audessus de la chambre de combustion 20 et des tronçons inférieurs pour gaz chauds 16.2, qui se trouvent sous la chambre 20. Dans la zone 12 des tronçons pour gaz chauds sont disposées deux files, situées lune en dessous de l'autre, deux tronçons supérieurs 16.3 et par-dessous deux files, situées lune au-dessous de l'autre, de tronçons intérieurs 16.4.
Vers l'avant la tôle avant 14 est entourée d'une tôle de bordure 21 avant, à peu près perpendioulaire à la tôle avant 14. De la même façon, la tôle arrière 15 est entourée vers l'arrière rière par une tOle de bordure arrière 22. Entre les tronçons inférieurs pour gaz chauds côté chambre 16.2 et les tronçons supérieurs pour gaz chauds 16.3 se trouve une entretoise avant de séparation 23, creuse, et qui est en liaison vers l'arrière avec le volume interne qui se trouve entre la tôle avant 14 et la tôle arrière 15. Dans cette entretoise de séparation avant 23 disposée horizontalement, sont insérés trois tronçons de liaison pour gaz chauds, disposés verticalement, 16.5, sous forme de tubes cylindriques.
La bordure avant de la tole de bordure avant 21 et la bordure avant de l'entretoise de séparation avant 23 se trouvent toutes dans le môme plan et sont fermées, par rapport à l'extérieur, par des plaques isolantes à la chaleur 24 et ceci de façon essentiellement étanche au gaz.De cette façon on a formé entre la partie supérieure de la tole avant 14, la tôle de bordure avant 21, l'entretoise de séparation avant 23 et une plaque supérieure 2Z,1 d'isolation thermique, une chambre supérieure avant pour gaz chauds 25.1. De la même façon il apparat une chambre inférieure avant pour gaz chauds 25.2 entre la partie inférieure de la tôle avant 14, la tole de bordure avant 21, 1'entretoia de séparation avant 23 et une plaque inférieure d'iso- lation thermique 24.2.
A la tôle arrière 15, entre les tronçons supérieurs pour gaz chauds 16.3.et les tronçons inférieurs 16.4 est rapportée une entretoise de séparation arrière 26, également creuse et qui est en liaison le volume situé entre la tble avant 14 et la tôle arrière 15. Cette entretoise de séparation 26 réalise une division en une chambre arrière supérieure pour gaz chauds 25.3 et une chambre arrière inférieure 25.4. Les chambres pour gaz chauds 25.3 et 25.4 sont fermées vers l'arrière, par rapport à l'environnement, par une plaque d'isolation thermique commune 24.3 et ceci de façon essentiellement étanche au gaz. L'étanchéité se fait entre d'une part la plaque d'isolation thermique arrière 24.3 et d'autre part la t61e de bordure arrière 22 et l'entretoise de séparation arrière 26.
A travers la plaque d'isolation thermique arrière 24.3 pénètrent une tubulure supérieure pour l'évacuation des gaz 27.1 et une tubulure inférieure 27.2. La tubulure supérieure pour l'évacuation des gaz 27.1 se trouve à hauteur des tronçons supérieurs pour gaz chauds 16.3 et la tubulure inférieure d'évacuation des gaz 27.2 se trouve à hauteur des tronçons inférieurs pour gaz chauds 16.4.
Dans la plaque supérieure d'isolation thermi- que 24.1 se trouve une découpe 28 pour le brûleur, à travers laquelle pénètre, dans la chambre de combustion 20, un brûleur 29 fixé extérieurement sur la plaque d'isolation thermique. Cette chambre de combustion est conçue sous forme d'une chambre de combustion à inversion de direction de la flamme, ce qui permet la conception constructive avantageuse décrite comportant des chambres pour gaz chauds à l'avant et à l'arrière.
Les plaques d'isolation thermique 24 sont constituées d'un couvercle rectangulaire 74 en acier et d'un cadre en t61e 73 perpendiculaire au couvercle et qu'il l'entoure. Le volume situé à l'intérieur du cadre 73 est rempli par différentes couches isolantes.
I1 vient tout d'abord une couche d'un matériau isolant 76, par exemple de la laine artificielle. Cette couche a par exemple une épaisseur d'environ 5 cm. A la suite vient une plaque d'amiante 77 d'une épaisseur d'environ 1 cm sur laquelle est posée, sur le bord extérieur, une bande d'amiante 78 qui a une épaisseur et une largeur d'environ 5 cm. Cette bande d'amiante appuie, en assurant l'étanchéité, sur la tôle de bordure 22 et 23 et sur les entretoises 23 ou 26.
pour leur fixation, les plaques d'isolation thermique 24 présentent à l'extérieur, contre le cadre 73, des oreilles de fixation 81. Comme on peut le voir sur la figure 3, des oreilles correspondantes 81 sont également rapportées à l'extérieur sur le corps de chaudière 10 et spécialement sur une cornière 38. Les plaques d'isolation 28 sont alors fixées à l'aide de bou1onsenfilés à travers les oreilles de fixation 81.
Lorsque l'on bloque les boulons, la bande d'amiante 78 posée sur la plaque d'amiante 77 lache un peu élastiquement, ce qui garantit toujours une bonne étanchéité des chambres pour gaz chauds 25 même lors du refroidissement et du réchauffage du corps de chaudière.
Dans l'exemple d'exécution représenté, on améliore encore l'isolation thermique des chambres pour gaz chauds 25 à l'égard de l'extérieur par le moyen que, avant les plaques isolantes 24, pour clore tout d'abord les chambres 25, on insère encore des écrans thermiques, en tele d'acier réfractaire, à l'aide de boulons 80 dans les tales de bordure 22 ou 23.
Sur la tôle arrière 15, dans la zone des conduits supérieurs pour gaz chauds côté chambre 16.1 et des conduits inférieurs 16.2 sont rapportées des tolets de guidage 72 disposées verticalement et qui remplissent presque complètement dans sa profondeur la chambre arrière supérieure pour gaz chauds 25.3. Les tôles de guidage 72 sont en tole d'acier d'une épaisseur de quelques millimètres. Elles permettent d'agrandir la surface qui entoure le volume d'eau périphérique 30, surface par laquelle la chaleur des gaz chauds est transmise à l'eau qui se trouve dans le volume d'eau périphérique. De plus, les tales de guidage 72 contri buent à régulariser ltécoulement des gaz chauds et donc à abaisser la résistance de traversée de chaudière pour les gaz chauds qui s'écoulent.On peut également rapporter des tôles de guidage correspondantes dans les chaud bres pour gaz chauds 25.
Du fait des mesures décrites jusqu'ici, le volume du corps de chaudière 10 dans lequel se déplacent les gaz chauds, est complètement fermé. Le gaz ou le fuel et l'air pénètrent dans la chambre de combustion 20 par le brûleur 29 et y brûlent. Les gaz chauds quittent alors le corps de chaudière 10 par un piquage d'évacuation des gaz 27 en passant par différents conduits pour gaz chauds 16 et différentes chambres pour gaz chauds 25. Les figures 4 à 7 représentent en détail l'écoulement des gaz chauds.
Les gaz chauds doivent céder leur chaleur à l'eau dans un volume d'eau périphérique 30 qui entoure partiellement la chambre de combustion 20 et les conduits pour gaz chauds 16. L'eau qui se trouve dans le volume deau périphérique est indiquée par un hachurage en traits pleins et en traits interrompus.
Pour fermer le volume d'eau périphérique 30 vers l'extérieur, il faut rapporter à la structure déjà décrite différentes parois extérieures étanches à l'eau et résistant à la pression. Vers le bas, on rapporte à la structure déjà décrite une pièce, étanche à l'eau vers l'avant, vers l'arrière et vers le bas, qui forme la zone de l'eau extérieure 13. Pour une hauteur d'environ 1.45 m de la structure décrite jusqu'ici, la hauteur de cette zone d'eau extérieure atteint par exemple environ 45 cm. Vers la gauche et vers la droite l'ensemble de la structure est fermée de façon étanche par des parois latérales cintrées 31. Vers le haut le volume d'eau périphérique est fermé par un couvercle cintré 32.
Dans les zones formant les bords verticaux du corps de chaudière 10 on rapporte encore des cornib- res 38 de façon qu'entre les tales de bord 21 et 22 et une paroi extérieure 31 se forme respectivement une conduite de bord 33 qui sert de conduite d'eau. Chaque conduite de bord 33 est en liaison ave la zone supérieure du volume d'eau périphérique 30. Les conduites de bord arrière 33.1 sont de plus en liaison avec la zone inférieure du volume d'eau périphérique, et, pour la forme d'exécution existante, également avec la zone de l'eau extérieure 13.Les conduites de bord avant 33.2 sont en liaison avec des tubulures de circuit aller 34 rapportées en bas et en avant contre le corps de chaudière 10 et, dans l'exemple dlexécution présent, dans la zone de l'eau extérieure 13. On peut voir sur la figure 2 que les conduites de bord avant 33,2 courent vers le bas à gauche et à droite des tales de bord avant 21 et quelles sont fermées vers le bas, en-dessous des tubulures de circuit aller 34 par une tole de fermeture 35 représentée en tireté.
L'eau de chauffage, rerroidie,e amende au corps de chaudière par les tubulures du circuit retour.
Des tubulures de circuit retour de e type 36 sont rapportées, sur le corps de chaudière repreE-nte 10, tout à fait en bas et en avants LJeau de chavàge refroidie pénètre, par ces tubulures ae circuit retour 36 (figure 2), dans le volume d'eau pssripherique 30, elle s'écoule autour des conduits pour gaz chaud 16 et autour de la chambre de combustion 20 et elle pénètre alors, sous forme d'eau réchauffée, dans les conduites de bord 33. C'est à celà que servent les conduites de bord arrière 33.1, qui sont reliées aussi bien à la partie supérieure, chaude, qu'à la partie inférieure, froide, du volume d'eau périphérique, pour assurer une circulation de l'eau à l'intérieur du corps de chaudière 10. L'eau de chauffage une fois réchauffée, que l'on doit donc amener à un ou plusieurs radiateurs, s'écoule vers le bas dans une conduite de bord avant 33.2 et quitte alors le corps de chaudière 10 par une tubulure de circuit aller 34.1.
Le corps de chaudière représenté 10 comporte dans sa zone inférieure, respectivement à gauche et à droite une tubulure de circuit aller et deux tubulures de circuit retour, disposées l'une au-dessus de l'autre.
Cette construction est en exécution symétrique, pour donner une souplesse aux possibilités de raccordement dans le cas du raccordement à un réseau de chauffage.
Dans ce but il peut également exister plusieurs tubulures de circuit aller 34 et tubulures de circuit retour 36 utilisées simultanément, selon les circonstances.
Dans l'exemple représenté il est par exemple possible de raccorder un réseau de chauffage, par l'intermédiaire d'une tubulure de circuit aller 34 et d'une tubulure de circuit retour 36, ou bien deux réseaux de chauffage, par l'intermédiaire d'une tubulure de circuit aller et de deux tubulures de circuit retour ou par 1' intermé- diaire de deux tubulures de circuit aller 34 et de deux tubulures de circuit retour 36. A l'endroit le plus bas du volume d'eau périphérique 30, sont disposées de plus, en avant, à gauche et à droite, des ouvertures de vidange 37 pour permettre la vidange de 1'eau qui se trouve dans le volume d'eau périphérique en cas de travaux de réparation.
Dans les constructions de corps de chaudière traditionnels, le manchon de circuit retour 36 se trouve, comme dans l'exemple d'exécution, en bas du corps de chaudière. Par contre1 une tubulure de circuit aller est généralement disposée en haut du corps de chaudière.
Dans la construction présente, par contre, les tubulures de circuit aller 34 et les tubulures de circuit retour 36 sont disposées près lune de l'autre, ce qui contribue à une pose mieux disposée des tubes de liaison dans cette zone. Encore plus essentiel est l'avantage que l'eau chaude du circuit aller est tout d'abord conduite à l'intérieur du corps de chaudière 10, de sorte qu'il n'y a pas de perte par rayonnement. Dans les autres constructions de corps de chaudière, comportant des conduites d'eau qui courent à l'extérieur, il se produit des pertes par rayonnement sur la longueur de conduite située entre la tubulure de circuit aller et l'endroit où la conduite de circuit aller et la conduite de circuit retour se regroupent pour autre ensuite posées à peu près parallèlement.Les conduites de bord 33 incorporées dans le corps de chaudière 10 participent de plus à augmenter la rigidité de la construction. Dans ie cas présent la rigidité est encore augmentée par les boulons 39 (figure 3) bloqués entre les tales de bord 21 et 22 et les cornières 38.
Les figures 4 à 7 représentent différentes possibilités de la façon dont on peut conduire les gaz chauds dans un corps de chaudière 10 de la forme d'exé- cution décrite jusqu'ici. Dans le cas de la figure 4, on part tout d'abord du fait que l'on utilise un brûleur 29 de faible puissance. Dans ce cas les conduits pour gaz chauds de liaison 16.5 sont fermés par des caches de toile 40 qu'il est facile de poser sur les conduits pour gaz chauds de liaison lorsque la plaque isolante supérieure 24.1 est enlevée. Mais il est également possible de fermer les conduits pour gaz chauds de liaison au moyen de clapets manoeuvrables de l'extérieur, ce que l'on a pas représenté en détail ici. Dans le cas de la figure 4, de plus, le piquage inférieur d'évacuation des gaz 27.2 est fermé par un cache de fermeture 41.
Dans ce cas les gaz chauds 42 sortent de la chambre de combustion 20 pour venir tout d'abord dans la chambre avant supérieure 25.1. Par les conduits pour gaz chauds supérieurs et inférieurs, 16.1 et 16.2, les gaz chauds 42 atteignent la chambre arrière supérieure 25.3 et quittent le corps de chaudière 10 en passant le piquage supérieur d'évacuation des gaz 27.1.
Ce trajet court pour gaz chauds, selon figure 4, s'utilise par exemple dans le cas de l'utilisation d'un brûleur d'une faible puissance, par exemple 25 kW.
La température des gaz évacués au piquage supérieur 27.1 atteint alors environ 200*C. Si l'on utilise un brûleur plus puissant, par exemple d'une puissance de 30 kW, la température des gaz évacués monterait au-delà de la valeur autorisée de 200-C. Dans ce cas on choisit un trajet des gaz chauds selon la figure 5. Les conduits pour gaz chauds de liaison 16.5 sont alors ouverts, par ailleurs le piquago inérieur d'évacuation des gaz 27.2 est fermé par le cache 41. Les gaz chauds 42 qui sortent de la chambre de combustion 20 disposent maintenant, en dehors du trajet selon la figure 4, en plus, du trajet qui passe par les conduits de liaison 16.5 et les conduits supérieurs 16.3 dans la chambre arrière supérieure 25.3, conduisant au piquage supérieur d'évacuation des gaz 27.1.Du fait du refroidissement supplémentaire qui se produit dans les conduits supérieurs 16.3, les gaz chauds se refroidissent davantage que s'ils ne disposaient que du trajet selon la figure 4.
Le trajet pour gaz chauds selon la figure 5 peut toutefois s'utiliser non seulementaavec un brûleur 29 d'une puissance de par exemple 30 kW, permettant d'obtenir à nouveau une température d'évacuation des gaz de 2000C au piquage supérieur d'évacuation des gaz 27.1, mais on a également la possibilité d'utiliser le même trajet pour gaz chauds selon la figure 5 avec un brûleur plus faible d'une puissance de par exemple 20 kW. Dans ce cas, la température d'évacuation des gaz n'atteint encore que par exemple 1000C, ce qui augmente environ 5 % le rendement global de la chaudière.
La possibilité d'utiliser des trajets pour gaz chauds de différentes longueurs comportant un nom bre différent de conduits pour gaz chauds 16 permet donc également de pouvoir utiliser avec une unique dimension de corps de chaudière des brûleurs de différentes puissances ou, en utilisant un unique brûleur de pouvoir adapter la chaudière à des cheminées de différente qualité d'isolation.Dans le cas d'une cheminée mal isolée, on peut utiliser le trajet le plus court pour les gaz chauds, avec une température élevée d'évacuation des gaz et dans le cas d'une cheminée bien isolée1 on peut utiliser le trajet le plus long, avec la plus basse température d'évacuation des gaz chauds et le rendement le plus élevé de la chaudière, On connait déjà depuis longtemps pour des fours la possibilité d'obtenir par réglage des trajets de différentes longueurs pour les gaz chauds.Par exemple on a rapporté au raccordement du piquage d'évacuation des gaz a'un four une botte pour gaz chauds, crue l'on peut shunter grSce à la position correspondante d'un clapet, pour pouvoir relier le piquage dlévePuation des gaz à la cheminée, au choix, soit directement soit en passant par cette boîte de gaz chauds.Ce type de ccnstruction est utilise en mettant en service la conduite de shuntage tout d'abord, pour le rechauffage du four lorsque la cheminée tire encore mal, puis, lorsque la cheminée réchauffée tire bien, on utilise le detour par la boite à gaz chauds Ceci pernet un rêchauffage facile à faible rendement et une marche permanente à rendement élevé.
Dans le cas present d'un chauffage a eau chaude avec chambre de combustion en surpression, il n'y a pourtant aucune nécessité de créer une telle po8- sibilité de conmutation pour le trajet des gaz chauds au début du chauffage ou en marche permanente.En effet, du fait de la surpression qui règne dans la chambre de combustion et du fait que l'air de combustion est amené sous pression, la mise en route du chauffage est indé- pendante d'un bon tirage de la cheminée, pour les chaudières pour chauffage à eau chaude avec chambre de combustion en surpression, que lon utilise déjà depuis des dizaines d'années, il n'était donc pas nécessaire de prévoir une possibilité de commande pour des trajets de différentes longueurs pour les gaz chauds. Une telle commande n'est pas nécessaire non plus dans le cas présent. Néanmoins, elle serait possible si les fermetures des conduits de liaison pour gaz chauds 16.5 étaient conçues sous forme de clapets.
Mais l'avantage principal du corps de chaudière représenté apparat également, même sans cette exécution à réglage de l'extérieur. L'avantage important est plu tbt que pour la même dimension de corps de chaudière on puisse utiliser des brûleurs sur une très large gamin de la plage de puissance pratiquement nécessaire, et que l'on puisse néanmoins toujours atteindre des rendements élevés de la chaudière. De plus, pour chacun des brûleurs que désire le client et selon la cheminée qui existe chez le client on peut choisir les conduits 16 qui seront traversés par les gaz chauds 42, de façon à obtenir le rendement optima.
La figure 6 représente un autre trajet des gaz chauds. La différence par rapport à la figure 4 consiste en ce que maintenant, au lieu du piquage inférieur d'évacuation des gaz 27.2, c'est le piquage supérieur 27.1 qui est fermé par un cache 41. Les gaz de four 42 qui pénètrent dans la chambre arrière supérieure traversent dans ce cas les conduits supérieurs 16.3 et pénètrent dans la chambre avant inférieure 25.2. De là ils gagnent, en traversant les conduits inférieurs 16.4, la chambre arrière inférieure 25.4 et de là ils parviennent à la cheminée en passant par le piquage inférieur 27.2. On utilise le corps de chaudière 10 de cette façon lorsque l'on y monte un brûleur de très haute puissance par exemple 110 kW.La température d'évacuation des gaz au piquage inférieur 27.2 est alors 2000C. Si l'on a une cheminée bien isolée an point de vue thermique, on peut également utiliser un brûleur de par exemple 80 kW, ce qui donne alors une température d'évacuation des gaz de par exemple 120-C.
I1 est possible de réaliser d'autres trajets des gaz chauds, non représentés. Par exemple, si ce sont les conduits de liaison 16.5 selon figure 5 qui sont ouverts, on peut fermer par le cache 41 le piquage
Supérieur 27.1 au lieu du piquage inférieur 27.2. Par ce moyen les gaz chauds 42 parcourent la totalité de la chambre avant inférieure 25.2 et abandonnent leur chaleur à l'eau dans le volume d'eau périphérique 30.
On peut par exemple utiliser un tel trajet des gaz chauds pour un brûleur de moyenne puissance de par exemple 50 kw.
Dans les exemples d'utilisation selon les figures 4, 5 et 6, on est parti de l'idée que soit on ferme tous les conduits de liaison 16.5 soit on n'en ferme aucun, au moyen de caches 40 ou autrement. Mais la question de savoir quels sont les conduits de liaison 16.5 qu'il convient d'ouvrir ou de fermer dépend de la position géométrique respective entre les conduits de liaison 16.5 et la chambre de combustion 20.
De la chambre de combustion sort en effet un courant de gaz. On sait que dans un tube maintenu verticalement dans un jet de gaz. il se produit une dépression et donc que du gaz ou du liquide est aspiré à partir de ce tube (c'est le principe du brûleur (bunsen). Mais si par contre le tube ne pénètre pas dans le jet gazeux, mais est par ailleurs en liaison avec la zone de pression plus élevée, il n'apparat pas de dépression dans le tube ainsi placé, mais , comme dans la zone du gaz sous pression, il apparaît une surpression, de sorte qu'au lieu d'être aspiré, le gaz ou le liquide est refoulé hors du tube. I1 faut tenir compte de cette loi générale pour la disposition des conduits de liaison de gaz chauds.Dans l'exemple d'exécution, il est prévu trois conduits de liaison de gaz chaud 16.5 et, de façon plus précise, un conduit moyen 16.51 et deux conduits extérieurs 16.52. Le conduit moyen 16.51 se trouve dans la zone de bord prolongée du cylindre 18 de la chambre de combustion. Les deux autres conduits de liaison 16.52 se trouvent en-dessous de cette zone, près du bord inférieur de la chambre avant supérieure25.1.
Si maintenant des gaz chauds 42 s'écoulent le long de la paroi du cylindre de chambre de combustion 18 dans la chambre avant supérieure 25.1, il apparat, 8i les conduits de liaison 16.5 sont ouverts, une dépression dans le conduit moyen 16.51 et une surpression dans les conduits extérieurs. Dans le cas de la figure 7, les conditions sont représentées pour le conduit moyen 16.51. Les gaz chauds 42 parcourent sensiblement le chemin décrit sur la figure 6. Une partie des gaz chauds 42 pénètrent pourtant venant de la chambre arrière supérieure 25.3 dans la chambre avant inférieure 25.2 en passant par les conduits supérieurs 16.3 et de là revient à nouveau, en passant par le conduit moyen 16.51, dans la chambre avant supérieure, où elle se mélange avec le combustible et avec l'air frais de combustion qui vient d'arriver.
Dans ce cas d'une entrée supplémentaire de gaz chauds dans la chambre de combustion il faut amener moins d'air frais. Ceci conduit au total à une augmentation de la teneur en C02 des gaz évacués. Cette teneur devrait être de 11 à 13 %. Si cette teneur est trop faible, on applique la mesure qu-3 lion vient de décrire et on ouvre le conduit moyen 16.51. Si la teneur en
C02 est suffisante, le conduit moyen 16.51 reste fermé.
La chambre de combustion 20 selon l'exemple d'exécution est conçue sous forme de chambre de combustion à inversion de direction de la flamme. Sur la figure 7 la flamme à direction inversée 43 est indiquée par des traits en tireté La flamme 43 est sabord soufflée depuis le brûleur 29 en direction de la paroi arrière 19 de la chambre de combustion à inversion de direction de flamme.Contre la paroi arrière, la flamme 43 change de direction et s'étend alors le long de la paroi du cylindre 18 de la chambre de combustion, en direction inverse, pour repartir depuis la chambre de combustion 20 dans la chambre avant supérieure de gaz chauds 25.1
Dans une telle chambre de combustion à inversion de direction de la flamme, les conditions d'éva- cuation de la chaleur sont souvent, au point de vue constructif, réalisées de façon qu'après quelques minutes le cylindre 18 de la chambre de combustion com- mence à rougir, ce qui favorise la combustion de la suie qui arrive ou interdit même totalement cette formation de suie.Si l'on doit utiliser une unique cham- bre de combustion, au choix, pour des brûleur de différente puissance, il n'est pas possible d'optimiser les conditions de température, au point de vue constractif, uniquement pour un type de brûleur donné.
Lorsque l'on utilisera un brûleur de plus faible puissance que celui de la puissance optima, selon les circonstances il est possible que le cylindre 18 de la chambre de combustion ne puisse plus rougir, ce qui ne permet pas de résoudre le problème de la postcombustion de la suie qui arrive.
gour pouvoir néanmoins utiliser une unique chambre de combustion pour des brûleurs de puissance différente, il est prévu que contre la paroi arrière de la chambre 19 est fixée une tale de forme circulaire 44 à peu près du diamètre de la paroi arrière de la chambre. Lorsque la section de la flamme s'écarte de la forme circulaire, il est possible d'adapter la tale à la forme correspondante de la flamme, de façon à garantir que cette toile va être régulièrement portée au rouge.
Cette tole 44 destinée à être portée au rouge est reliée en son centre à la paroi arrière de la chambre 19 au moyen d'une vis 82 bonne conductrice de la chaleur. Après quelques secondes déjà de fonctionnement cette tilLe commence à rougir, de sorte que l'on obtient la postcombustion de la suie déjà après quelques secondes et non pas uniquement après quelques minutes comme dans les chaudières traditionnelles. Si l'on utilise un brûleur de plus faible puissance, il est facile de remplacer une totale plus grande par une plus petite, de sorte que même pour une faible puissance elle rougisse rapidement. Cette tôle, destinée à rougir, se fabrique en acier réfractaire, comme celui que l'on utilise pour les chambres de combustion.
L'évacuation de chaleur dans le milieu de la tale permet d'éviter une surchauffe de cette tôle.
Jusqu'ici en ce qui concerne la chaudière représentée, on a fourni des explications qui se rapportent à un accroissement de son rendement par abaissement de la température d'évacuation des gaz ou abaissement de la formation de suie. Mais la forme dexécu- tion représentée possède encore un autre avantage, du point de vue du rendement élevé, c'est la possibilité de pouvoir mettre à disposition de l'eau sanitaire en grosse quantité et à des températures élevées. Dans les chaudières déjà connues, ceci nest pas possible du fait qu'un réservoir important est logé dans la chaudière. Ceci conduit à des surfaces importantes de rayonnement thermique.Dans les chaudières qui travaillent avec des chauffe-eau instantanés pour le chauffage de l'eau sanitaire, il faut utiliser des températures d'eau chaude élevées, pour pouvoir suffisamment chauffer l'eau sanitaire. Ceci conduit également à des pertes importantes par rayonnement thermique.
Pour le chauffage de l'eau sanitaire, la forme d'exécution représentée du corps de chaudière 10 d'une chaudière de chauffage dispose d'un cylindre creux 45 qui s'étend, dans la zone de l'eau extérieure 13 du corps de chaudière 10, depuis l'avant jusque presque entièrement vers l'arrière et qui est complètement fermé à l'exception d'une ouverture d'entrée 46 sur sa face avant et d'une ouverture de sortie 47 sur sa face arrière. L'ouverture d'entrée 46 est en liaison avec la tubulure de circuit aller 34 par l'intermédiaire d'une pompe de circulation 48. Par l'intermédiaire de la tubulure gauche de circuit aller 34, on peut alors prélever l'eau de chauffage pour l'installation de chauffage central. L'ouverture de sortie 47 est directement ouverte dans le volume d'eau périphérique 30.
Dans le cylindre creux 45 est disposé un serpentin creux 49. Ce serpentin comporte une partie qui va tout droit de l'avant vers l'arrière et qui est en liaison avec une ouverture d'entrée de l'eau sanitaire SO et une partie en spirale allant de l'arrière vers l'avant, reliée à la partie droite et reliée à une ouverture de sortie de l'eau sanitaire sur la face avant du corps de chaudière. Le serpentin creux 49 remplit largement le cylindre creux 45. La portée de cette dernière condition apparalt comme suit
Pour créer une chaudière de chauffage d'un rendement particulièrement élevé il doit être possible de pouvoir réchauffer d'importantes quantités d'eau sanitaire sans qu'il soit nécessaire d'avoir des températures élevées de l'eau de chauffage ni d'avoir des réserves importantes.Dans la forme d'exécution décrite, ceci est possible par le moyen qu'au lieu d'utiliser un chauffe-eau avec une réserve importante, on utilise un chauffe-eau sanitaire selon le principe du chauffe-eau instantané et que l'on peut tenir la température de l'eau de chauffage assez basse, l'eau de chauffage étant rapidement pompée pour s'écouler le long d'un échangeur thermique, dans le cas présent le serpentin creux 49.
Cette condition est remplie par le moyen que le serpentin creux 49 présente une surface suffisamment importante pour garantir une bonne transmission thermique. Si le serpentin creux n'occupait qu'un très faible volume à l'intérieur du cylindre creux 45, il serait relativement court et, sur cette faible longueur qu'il aurait à l'intérieur du cylindre creux 45, il ne pourrait pas recevoir suffisamment de chaleur. Partant de ce point de vue, le serpentin creux 49 doit donc être le plus long possible.
Un serpentin creux de grande longueur pourrait alors soit être placé dans un grand cylindre creux soit être placé dans un cylindre creux 45 que le serpentin remplit largement. Si l'on utilisait un grand cylindre creux, on aurait le problème qu'une partie importante de la totalité de l'eau qui se trouve dans le volume d'eau périphérique 30 se trouverait dans le cylindre creux 45 ce grand volume deau dans le cylindre creux transmettrait au serpentin creux une certaine quantité de chaleur et, du fait de son volume important, ceci ne la refroidirait que faiblement. I1 ne faudrait alors réchauffer également que faiblement l'eau ainsi refroidie.Le processus travaille de façon beaucoup plus efficace si l'eau pompée à travers le cylindre creux 45 se refroidit fortement en transmettant sa chaleur au serpentin creux 49 et s'il faut alors la réchauffer à nouveau fortement Du fit de la plus grande différence de température entre l'eau refroidie et l'eau réchauffée, la régénération d'une certaine quantité de chaleur transmise se fait notablement plus vite que si l'on introduit cette quantité de chaleur simplement à différence de température plus faible.
Mais si la quantité de chaleur peut être regénérée pins rapidement, il est alors possible de faire passer à travers le serpentin creux un débit plus important d'eau sanitaire et de maintenir néanmoins constante la température de cette eau sanitaire. Le serpentin creux 49 remplit donc largement le cylindre creux 45 Si l'on atteint au mieux le processus décrit ci-dessus avec une importante différence de température. Dans le cas représenté, l'eau de chauffage chaude pénètre dans l'ouverture d'entrée 46 et s'écoule contre le serpentin creux 49 avec une vitesse relaçizement élevée, puisqu' elle ne dispose que de faibles sections de passage.
L'eau de chauffage se refroidit donc fortement et pénètre à nouveau dans le volume d'eau périphérique 30 en passant par l'ouverture de sortie 47, à une tempéra- ture qui correspond à peu près > la température à laquelle on envoie l'eau sanitaire dans le serpentin creux. On obtient alors une transmission de chaleur optima si l'eau de chauffage et eau sanitaire coulent à contre-courant.Dans l'exemple dtexécution, c'est alors le cas si l'eau de chaumage qui abandonne sa chaleur s'écoule dans le cylindre creux 45 de 1' avant vers l'arrière et Si l'eau sanitaire qui reçoit cette chaleur s'écoule dans le serpentin creux 46 de l'ar- rière vers l'avant. A la place d'wi serpentin creux on peut également utiliser tout autre chauffe-eau instantané connu. Comme cylindre creux, au lieu d'un cylindre de forme circulaire, on peut également utiliser des cylindres d'autres sections de forme quelconque, I1 est essentiel que le chauffe-eau instantané remplisse largement le cylindre creux, au sens que l'on dispose alors d'une vitesse d'écoulement élevée de l'eau de chauffage entre le chauffe-eau instantané et le cylindre creux avec une importante chute de température entre l'ouverture d'entrée et l'ouverture de sortie pour une grande surface de transmission thermique du chauffe-eau instantané.
I1 n'est pas nécessaire non plus de disposer le cylindre creux contenant le chauffe-eau instantané en-dessous du corps de chauffe, comme celà est représenté sur les figures. Du fait que l'eau de chauffage chaude est pompée rapidement pour passer à travers le cylindre creux, il est sans importance de savoir où ce cylindre creux se trouve à l'intérieur du corps de chaudière. Ce qui est important c'est seulement que l'on amène de l'eau de chauffage le plus chaud possible et que l'eau de chauffage refroidie et pompée soit amenée dans la partie la plus froide du volage d'eau périphérique 30.La disposition dans la zone inférieure est néanmoins particulièrement avantageuse car cette zone reste la plus froide à l'intérieur du volume d'eau périphérique 30, aussi longtemps que la pompe de circulation 48 n'est pas mise en circuit et que de ce fait on ne chauffe pas inutilement l'eau sanitaire dans le chauffe-eau instantané.
On obtient une autre diminution de la consommation de combustible et donc une augmentation du rendement de l'énergie thermique obtenue par rapport à 11 énergie du combustible introduite si, comme cela est représenté sur les figures 1 et 2, le chauffage de l'eau qui se trouve dans le volume d'eau périphérique 30 se fait par un chauffage supplémentaire au moyen d'un fluide caloporteur chauffé par le rayonnement solaire. On est alors parti de la solution connue que l'eau qui se trouve à la partie inférieure du volume d'eau périphérique d'une chaudière de chauffage est plus froide que celle qui se trouve à la partie supérieure.Si donc on dispose une chambre de combustion à la partie la plus haute, il est alors possible de préchauffer la zone inférieure la plus froide du volume de l'eau périphérique par un fluide caloporteur réchauffé par le rayonnement solaire. On dispose alors dans la partie la plus élevée du volume d'eau périphérique une chambre de combustion 20 et dans la partie la plus basse un échangeur thermique parcouru par un fluide caloporteur échauffé par le rayonnement solaire.
Dans les chaudières connues jusqu'ici, qui utilisent le principe du chauffage par combustion à la partie supérieure et par énergie solaire à la partie inférieure, il ne se produit pas directement dans la partie la plus basse un réchauffage de l'eau de chauffage, mais un réchauffage de la partie inférieure d'un réservoir d'eau sanitaire disposé sous le brûleur. Dans les chaudières de chauffage du type proposé ici, au contraire, l'énergie solaire sert directement à chauffer la partie inférieure, froide, du volume de l'eau de chauffage. En été, lorsque l'on ne fait pas fonctionner le brûleur qui se trouve à la partie supérieure, l'eau de la totalité du volume d'eau périphérique 30 sert avant tout, si l'on ne met pas en route la pompe de circulation 48, d'accumulateur de chaleur.Dans les chaudières connues jusqu'ici, on ne pouvait utiliser comme accumulateur de chaleur qu'un réservoir d'eau spécialement conçu et non pas en plus, la totalité d'eau de chauffage.
Dans l'exemple d'exécution représenté, l'échangeur thermique est constitué d'un tube cylindrique extérieur 52 et d'un tube cylindrique intérieur constitué par le cylindre creux 45. Ce cylindre creux 45 et le tube cylindrique extérieur 52 sont soudés l'un à autre à leurs extrémités les plus en arrière par l'intermédiaire d'une tele arrière 53. De meme le volume situé entre les deux cylindres est fermé vers l'avant et ne s'ouvre vers l'extérieur que par une ouverture supérieure de passage 54.1 et une ouverture inférieure de passage 54.2. Par l'ouverture supérieure de passage le fluide caloporteur chauffé par le rayonnement solaire pénètre dans le volume qui se trouve entre les deux cylindres 45 et 52.et il quitte ce volume intermédiaire par l'ouverture inférieure de passage 54.2.Le fluide caloporteur chauffe les tubes cylindriques 45 et 52 qui à leur tour abandonnent leur chaleur à l'eau qui se trouve dans la partie la plus basse du volume d'eau périphérique 30.
Il faut maintenant garantir que l'on ne pompe pas de fluide caloporteur à travers le volume intermédiaire 55 qui se trouve entre les tubes cylin driques 45 et r2 lorsque la température de ce fluide caloporteur est inférieure à celle de l'eau de chauffage qui se trouve dans la partie la plus basse du volume d'eau périphérique 30. On décrit ci-dessous comment cela se produit.
Dans l'exemple d'exécution représenté comme on le voit sur les figures 1 et 2, un barreau chauffant électrique 84 est encore introduit, de l'avant, dans l'axe du cylindre creux 45. L'utilisation d'un tel barreau chauffant électrique 84 donne différents avantages. Dans le cas d'un faible éclairement solaire, le réchauffage du fluide caloporteur par le soleil, selon les circonstances ne permet que de porter la température de l'eau qui se trouve dans le volume d'eau périphérique, et donc également celle de l'eau sanitaire, que par exemple à 40ex. Mais la température de l'eau sanitaire devrait atteindre au moins environ 450C. on peut alors mettre en circuit la barreau chauffant électrique pour continuer à chauffer, da 5*C encore, l'eau qui se trouve dans le volume d'eau périphérique.Au total ce processus est moins coûteux que Si 1 l'on devait dans ce but mettre en service le brûleur 29. De plus on peut également utiliser le barreau chauffant électrique 84 comme chauffage de secours si par exemple il y a un incident sur le barreau 29.
Pour remplir la condition mentionnée ci-dessus, dans la partie la plus basse du volume d'eau périphérique 30 on dispose un thermomètre sur l'eau de chauffage 56 et un thermomètre 57 sur le circuit du fluide caloporteur. Un élément de comparaison 58 compare la température des deux thermomètres 56 et 57. Si la tem pérature du fluide caloporteur est supérieure à celle de l'eau de chauffage qui se trouve dans la zone la plus basse du volume d'eau périphérique 30, alors une pompa de circulation 59 est mise en route dans le circuit du fluide caloporteur. Cette pompe tourne jusqu'à ce que le fluide caloporteur soit plus chaud que l'eau qui se trouve dans la zone la plus basse du volume d'eau périphérique 30.Ce n'est lorsque l'on a obtenu l'égalité de température que la pompe de circulation 59 est mise hors circuit par l'élément de comparaison 58
La forme d'exécution representée du réchaufv fauge de l'eau de chauffage dans la zone la plus basse du volume d'eau périphérique 30 est particulièrement avantageuse si par ailleurs il existe déjà un cylindre creux 45 pour un réchauffage avartageux de l'eau sanitaire. Mais l'échangeur thermique pour la transmission de l'énergie thermique du fluide caloporteur à l'eau de chauffage peut également s'effectuer autrement, par exemple sous forme d'un chauffe-eau instantané ce qui est essentiel ici, ce sont des formes d'exécution qui tendent à ce que l'eau de chauffage qui se trouve dans une chaudière d'installation de chauffage se réchauffe directement dans la zone la plus basse, froide, du volume de l'eau de chauffage, sous l'action de l'éner- gie solaire, en plus du chauffage par suite de la combustion dans la zone supérieure, ou que l'on puisse utiliser comme accumulateur d'énergie solaire la totalité de la chaudière qui existe de toute façon.
La figure 8 représente schématiquement en perspective une chaudière de chauffage 61 constituée d'un corps de chaudière 10 et d'un revêtement isolant 62 partiellement découpé. Une telle structure représente également une mesure pour augmenter le rendement d'une chaudière de chauffage par diminution des pertes par rayonnement thermique.
Dans les chaudières connues jusqu'ici, le corps de chaudière 10 est bien isolé, tandis que la robinetterie de l'installation de chauffage, par exemple les tuyaux de circulation, les tubulures du circuit aller, les mélangeurs et autres semblables, restent à l'extérieur du revêtement isolant. Sur la figure 8 la robinetterie de l'installation de chauffage de ce genre est représentée contre le corps de chaudière 10, en bas et à droite. A la tubulure de circuit aller droite 34 est relié, par un filetage 63, un tuyau de circuit aller 64 et à la tubulure de circuit retour inférieuredroit 36 est relié, par un filetage 63, un tuyau de circuit retour 65. Le tuyau de circuit aller 64 et le tuyau de circuit retour 65 sont regroupés dans un mélangeur 66 avec pompe indiqué schématiquement.L'eau chaude mélangée quitte le circuit aller 67 et l'eau refroidie provenant de l'installation de chauffage central pénètre à nouveau dans le mélangeur par le circuit de retour 68. Parmi les éléments décrits, ce sont le tuyau de circuit aller 64, le mélangeur 66 et le circuit aller 67 qui présentent une température élevée.
Si, comme dans le cas proposé, le revêtement isolant 62 entoure le corps de chaudière 10 y compris la robinetterie de l'installation de chauffage qui est chaude par nature, on obtient alors l'avantage que ce n'est pas seulement comme on le connait déjà jusqu'ici, le corps de chaudière 10 qui est isolé, mais également en plus la robinetterie de l'installation de chauffage chaude par nature, ce qui donne à nouveau une diminution des pertes par rayonnement thermique.
Il est particulièrement avantageux de loger également le brûleur 29 à l'intérieur de revêtement isolant 62. En effet le brûleur 29 aspire ålors de 11 air qui a été notablement réchauffé en passant le long de la robinetterie chaude dans l'installation de chauffage. De même la conduite de combustible 69 qui amène le combustible au brûleur 29 est déjà préchauf fée.Ceci conduit à une combustion notablement améliorée du combustible amené. Si le brûleur fonctionne au gaz, l'élévation de température de l'air aspiré sert à abaisser la formation de suie.
Dans l'exemple d'exécution de la figure 8, le revêtement isolant 62 est exécuté de façon à entourer, par derrière et sur les deux côtés, le corps de chaudière 10 jusqu'au sol. La face avant du revêtement isolant 62 est conçue sous forme d'une porte 70 dont l'arête inférieure 71 ne va pas tout à fait jusqu'au sol mais s'arrête à environ 5 cm du sol pour une hauteur totale du revêtement isolant d'environ 1.90 m.
Sous la porte l'air ne peut être aspiré que par l'avant et il s'écoule alors le long des éléments chauds 64, 66 et 67 de l'installation de chauffage. Par des découpes convenablement disposées dans le revêtement isolant 62, par exemple par des joints non étanches aux emplacements de traversée des piquages d'évacuation des gaz 27 à travers le revêtement isolant 62, il est également possible d'admettre de l'air en le faisant passer le long d'autres éléments chauds de la chaudière et donc de le préchauffer.
La chaudière de chauffage représentée sur les figures présente une combinaison de différentes mesures avantageuses pour augmenter le rendement d'une chaudière de chauffage. Ces mesures sont toutes relatives à la construction. Mais il est également possible de prendre, indépendamment, d'autres mesures, qui se rapportent plutôt à l'utilisation des lois fondamentales de la thermique, comme par exemple l'utilisation de surfaces métalliques noires ou polies, selon la position dans le four, ou bien le choix de métaux ayant des caractéristiques déterminées au point de vue conductibilité thermique, et il est possible de prendre ces mesures en plus des mesures constructives que l'on vient de décrire.
Au contraire des chaudieres de chauffage connues jusqu'ici, construites en éléments en fonte ou en tôles de forme, la chaudière de chauffage que l'on vient de décrire se compose exclusivement de tales à bords rabattus, ainsi que de cornières et de tubes que l'on peut souder les uns aux autres sans qu'il soit nécessaire de leur donner une forme spéciale. Comme on l'a décrit, la tôle avant 14 et la t81e arrière 15 sont constituées de simples tales planes dont les bords sont rabattus pour former la tele de bord avant 21 et la ttle de bord arrière 22.Ces tales à bords rabattus participent au raidissement de la construction de la chaudière, ce sont elles qui forment les chambres pour gaz chauds 25 et elles forment en même temps une paroi des conduites de bord 33. Les conduits de forme tubulaire pour gaz chauds 16 sont soudés de la façon la plus simple de l'extérieur ; la forme tubulaire des conduits permet de les nettoyer facilement. Ce qui est important c'est également que tous les cordons de soudure de la chaudière sont accessibles de l'exçérieur.
Les cornières 38 rapportées contre les tues de bord 21 et 22 et contre les parois extérieures 31 part ici pent également à raidir la construction. Les cornières 38 forment deux autres parois des conduites de bord 33 et les faces extérieures des cornières 38 constituent les surfaces d'appui des plaques d'lsolation thermique 24. La totalité de la chaudière de chauffage n'est donc pas seulement simple à monter à partir de pièces standard , mais ce montage se fait de façon telle que la plupart des pièces exercent simultanément plusieurs fonctions.
Les caractéristiques constructives de la construction des trajets des gaz chauds garantissent la réalisation de trajet de gaz chauds de différentes longueurs et donc une adaptation optima, du point de vue rendement, aux différentes cheminées et aux diffe- rents types de brûleurs.Le montage d'une telle 44, destinée à être portée au rouge, dans la chambre de combustion 20, garantit une postcombustion parfaite de toutes les particules de suie qui arrivent0 On évite ainsi, ou tout au moins on réduit notablement, le dépôt de suie contre les parois des conduits de gaz chauds, dépôt quoi interdisent la transrnision thermique des gaz chauds à l'eau de chauffage. GrSce à la mesure consistant à utiliser pour le chauffage de l'eau sanitaire un chauffe-eau instantané autour duquel l'eau de chauffage chaude circule rapidement permet d'obtenir un chauffage de l'eau sanitaire d'un rendement élevé avec de faibles surfaces extérieures chauffées et une faible température de 11 eau de chauffage, ce qui accroît encore le rendement de la chaudière par abaissement des pertes thermiques. Le fait que le corps de chaudière 10 soit entièrement revêtu, y compris la robinetterie essentielle du chauffage et le brûleur 29, participe également à l'abaissement des pertes thermiques. Cette dernière mesure permet egalement de préchauffer de façon simple l'air aspiré et elle exerce donc également une action préventive contre la formation de suie qui abaisserait notablement le rendement de la chaudière. Un rendement élevé signifie une faible consommation de combustible pour élever une quantité donnée d'eau de chauffage à une température donnée.Avec la chaudière représentée et décrite, on réduit également la quantité de combustible nécessaire pour élever la quantité donnée d'eau de chauffage à la température donnée du fait que le chauffage par le processus de combustion est assisté par un processus d'échange thermique dans lequel on utilise la chaleur d'un fluide caloporteur chauffé par le rayonnement solaire.
I1 résulte cependant des explications précédentes que pour améliorer le rendement d'une chaudière de chauffage il suffit de remplir simplement l'une des conditions constructives décrites. En utilisant simultanément plusieurs de ces caractéristiques, on augmente le rendement de façon correspondante.
Bien entendu, diverses modifications peuvent être apportées par l'homme de l'Art aux dispositifs et procédés qui viennent d'être décrits uniquement à titre d'exemples non limitatifs sans sortir du cadre de l'invention.

Claims (23)

REVENDICATIONS
1. Chaudière de chauffage d'eau chaude comportant un corps de chaudière isolé thermiquement et présentant une chambre de combustion alimentée par sa face avant et dans laquelle sont produits par combustion, des gaz chauds qui quittent le corps de chaudière en passant par un trajet qui traverse les chambres pour gaz chauds, les conduits pour gaz chauds et un piquage d'évacuation des gaz, comportant également un volume d'eau périphérique qui entoure au moins partiellement la chambre de combustion, les chambres pour gaz chauds et les conduits pour gaz chauds, caractérisée en ce que la chambre de combustion (20) est une chambre de combustion en surpression et en ce qu'il existe un nombre important de conduits pour gaz chauds (16) et/ou de chambres pour gaz chauds (25) séparés l'un de 1'au- tre par des parois de séparation (14, 15, 23) qui comportent des ouvertures de liaison (16.51, 16.52) partiellement obturables.
2. Chaudière de chauffage selon la revendication 1, caractérisée en cé qu'il existe au moins deux piquages d'évacuation des gaz (27) superposés et en ce que le piquage d'évacuation des gaz supérieur (27.1) appartient au trajet le plus court des gaz chauds et que le piquage inférieur (27.2) appartient au trajet le plus long des gaz chauds.
3. Chaudière de chauffage selon la revendication 1 ou la revendication 2, caractérisée en ce que le corps de chaudière comporte une zone supérieure (11) comprenant la chambre de combustion et une zone inférieure (12) comprenant les conduits pour gaz chauds en ce que la zone (11) comprenant la chambre de combustion y comprend une chambre avant supérieure pour gaz chauds (25.1) dans laquelle s'ouvrent la chambre de combustion (20) et les conduits pour gaz chauds (16.1, 16.2) qui l'entourent et une chambre arrière supérieure (25.3) pour gaz chauds qui est reliée à ces conduits (16.1, 16.2) pour gaz chauds et à un piquage supérieur pour évacuation des gaz (27.1) ; en ce que la zone des conduits pour gaz chauds (12) comporte une chambre avant inférieure (25.2) et une chambre arrière inférieure (25.4) pour gaz chauds, reliée à un piquage inférieur pour évacuation des gaz (27.2) ; en ce que la chambre avant inférieure pour gaz chauds (25.2) est reliée, par l'intermédiaire des conduits supérieurs pour gaz chauds (16.3), à la chambre arrière supérieure (25.3) pour gaz chauds et par l'intermédiaire des conduits inférieurs pour gaz chauds tel6.4), à la chambre arrière inférieure (25.4) pour gaz chauds en ce que la chambre avant supérieure et la chambre avant inférieure pour gaz chauds sont reliées l'une à l'autre par l'intermédiaire de conduits de liaison pour gaz chauds (16.51, 16.52) obturables ; et en ce que les chambres inférieures pour gaz chauds (25.3, 25.4) sont séparées l'une de l'autre de façon essentiellement étanche au gaz par une entretoise arrière de séparation (26).
4. Chaudière de chauffage selon la revendication 3, caractérisée en ce que les conduits de liaison pour gaz chauds (16.51, 16.52) peuvent être obturés par des caches de tole (40) que l'on peut y placer.
5. Chaudière de chauffage selon la revendication 3 ou la revendication 4, caractérisée en ce qu'au moins un conduit de liaison pour gaz chauds (16.51), dont l'ouverture est orientée côté chambre de combustion (20), pénètre dans la zone du bord de l'ouverture de la chambre de combustion (17) ou dans sa zone de bord prolongée.
6. Chaudière de chauffage selon l'une quel conque des revendications précédentes, caractérisée en ce que la chambre de combustion (20) est conçue sous forme de chambre de combustion à inversion de direction de flamme.
7. Chaudière de chauffage selon l'une quelconque des revendications 3 à 5, caractérisée en ce que les chambres supérieures pour gaz chauds (25.1, 25.2) sont closes par au moins une plaque thermiquement isolante (24.2) étanche et que l'on peut enlever par l'avant et les chambres arrière pour gaz chauds (25.3, 25.4) le sont par au moins une plaque thermiquement isolante (24.3) étanche que l'on peut enlever par l'arrière.
8. Chaudière de chauffage selon la revendications 7, caractérisée en ce ue chaque plaque thermiquement isolante (24)est constituée d'un couvercle rectangulaire en tole (74) et dtun cadre en tole (73) qui lui est perpendiculaire et qui l'entoure ; en ce que le volume interne du cadre en tole (73) est rempli par du matériau isolant (76) et au moins une plaque d'amiante (77) et en ce que sur la plaque d'amiante (77) est rapportée, le long des bords d'étanchéité, une couche d'une bande d'amiante souple (78)
9.Chaudière de chauffage selon l'une quel- conque des revendications précedentes, caracteriaee en ce qu'elle comporte une chambre de combustion (20) à la face avant de laquelle est fixé un brûleur qui peut fonctionner au fuel ou au gaz (29) ; en ce que la chambre de combustion (20) est conçue sous forme de chambre de combustion à inversion de direction de flamme comportant une paroi arrière de chambre (19) contre laquelle la flamme change de dirsction ; et en ce qu'd la paroi arrière de chambre (l.9) est fixée une tole (44) destinée à être portée au rouge.
10. Chaudière de chauffage selon la revendi cation 9, caractérisée en ce que la tole (44) destinée à être portée au rouge est en acier réfractaire et est fixée en son milieu à la paroi arrière de la chambre (19) par un élément conducteur de la chaleur.
11. Chaudière de chauffage selon la revendication 10, caractérisée en ce que la tole (44) destinée à être portée au rouge est fixée à la paroi arrière de la chambre (19) au moyen d'une vis (82) et de façon à pouvoir être facilement échangée.
12. Chaudière de chauffage selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisée en ce qu'elle comporte un volume d'eau périphérique (30) dans lequel est placé un chauffe-eau sanitaire sous la forme d'un cylindre creux (45) fermé, à l'exception des ouvertures-d'entrée et de sortie (46, 47) dans lequel on fait passer par pompage de l'eau de chauffage chaude provenant du volume d'eau périphérique (30) et dans lequel s'étend une batterie de circulation parcourue par l'eau sanitaire et qui remplit largement le cylindre creux (45).
13. Chaudière de chauffage selon la revendication 12, caractérisée en ce que le cylindre creux (45) est logé dans la partie inférieure du volume d'eau périphérique (30) , en ce que l'ouverture d'entrée t46) du cylindre creux (45) est relié, par l'intermédiaire d'une conduite d'eau (33, 83) dans laquelle est insérée une pompe de circulation (48) avec la partie supérieure (11) du volume d'eau périphérique (30) et en ce que l'ouverture de sortie 147) s'ouvre dans la partie inférieure (13) du volume d'eau périphérique (30).
14. Chaudière de chauffage selon la revendication 12 ou la revendication 13, caractérisée en ce que la batterie de circulation est conçue sous forme de serpentin creux (49).
15. Chaudière de chauffage selon l'une quelconque des revendications 1 à 14, caractérisée en ce qu'elle comporte un volume d'eau périphérique (30) dans la partie supérieure duquel (11) se trouve une chambre de combustion (20), dans la partie inférieure duquel (13) sont logés un thermomètre pour l'eau de chauffage (56) et un échangeur thermique (45, 52) parcouru par un fluide caloporteur chauffé par rayonnement solaire en ce que l'échangeur thermique est en liaison avec une pompe de circulation (59) et comporte un thermomètre pour le fluide caloporteur (57) ; en ce quten outre il existe un élément de comparaison (58) qui met en circuit la pompe de circulation (59) lorsque la température indiquée au thermomètre pour le fluide caloporteur (57) est supérieure à celle indiquée sur le thermomètre pour l'eau de chauffage (56).
16. Chaudière de chauffage selon la revendication 15, caractérisée en ce que l'échangeur thermique est constitué d'un tube cylindrique interne (45) et d'un tube cylindrique externe (52) fermé à l'exception des ouvertures de passage (54).
17. Chaudière de chauffage selon la revendication 16 et selon l'une quelconque des revendications 11 ou 12, caractérisée en ce que le tube cylindrique interne de l'échangeur thermique constitue le cylindre creux (45) du chauffe-eau sanitaire.
18. Chaudière de chauffage selon l'une quelconque des revendications 1 à 17, caractérisée en ce qu'elle comporte un corps de chaudière (10) de forme à peu près rectangulaire comprenant un volume d'eau périphérique (30) et en ce qu'au moins deux des zones verticales de bord ou d'arête du corps de chaudière (10) sont conçues sous forme de conduites d'eau (33) reliées à l'eau de la zone supérieure du volume d'eau périphérique (30).
19. Chaudière de chauffage selon la revendication 16, caractérisée en ce que toutes les quatre zones verticales de bord ou d'arête sont conçues sous forme de conduites d'eau (33); en ce que les deux qui se trouvent à lavant (33.2) de ces conduites de bord (33) sont reliées en bas à au moins une tubulure du circuit aller (34) et en ce que les conduites de bord arrière (33.1) sont reliées à la zone inférieure du volume d'eau périphérique (30).
20. Chaudière de chauffage selon la revendications 18 ou la revendication 19 et la revendication 7 ou la revendication 8, caractérisée en ce que les surfaces extérieures des conduites de bord (33) constituent les surfaces d'étanchéité des plaques d'isole met thermique (24).
21. Chaudière de chauffage selon l'une quelconque des revendications 1 à 20, caractérisée en ce qu'elle comporte un corps de chaudière (10) comprenant un brûleur (20) et des accessoires de robinetterie (63, 68) comme par exemple des pompes et des robinets, et un revêtement isolant extérieur (62) qui entoure le corps de chaudière (10) y compris les éléments de robinetterie de l'installation de chauffage (64, 66, 67) qui sont essentiellement chauds.
22. Chaudière de chauffage selon la revendication 21, caractérisée en ce que le brûleur (20i se trouve également à l'intérieur du revêtement isolant (62) et en ce que les éléments de robinetterie (63, 68) se trouvent sur le corps de chaudière (10) du côté où est rapporté le brûleur (20).
23. Chaudière de chauffage selon l'une quelconque des revendications 1 à 22, caractérisée en ce que le corps de chaudière (10) comporte une tôle avant (14) et unetOle arrière (15) qui sont verticales et dans lesquelles sont découpés des trous dans lesquels sont soudés les conduits pour gaz chauds (16) qui courent sous forme de tubes horizontaux et un cylindre de chambre de combustion (18) à l'aide de cordons de soudure situés à l'extérieur.
FR8122937A 1980-12-10 1981-12-08 Chaudiere de chauffage pouvant adapter la longueur du trajet des gaz chauds a la puissance du bruleur et a la qualite de la cheminee Pending FR2495744A1 (fr)

Applications Claiming Priority (1)

Application Number Priority Date Filing Date Title
DE19803046454 DE3046454A1 (de) 1980-12-10 1980-12-10 Heizungskessel

Publications (1)

Publication Number Publication Date
FR2495744A1 true FR2495744A1 (fr) 1982-06-11

Family

ID=6118756

Family Applications (1)

Application Number Title Priority Date Filing Date
FR8122937A Pending FR2495744A1 (fr) 1980-12-10 1981-12-08 Chaudiere de chauffage pouvant adapter la longueur du trajet des gaz chauds a la puissance du bruleur et a la qualite de la cheminee

Country Status (4)

Country Link
BE (1) BE891409A (fr)
DE (1) DE3046454A1 (fr)
FR (1) FR2495744A1 (fr)
LU (1) LU83824A1 (fr)

Cited By (2)

* Cited by examiner, † Cited by third party
Publication number Priority date Publication date Assignee Title
EP1722172A1 (fr) * 2005-05-10 2006-11-15 Remeha B.V. Elément d'un échangeur de chaleur et système de chauffage avec un tel élément
US7784434B2 (en) 2006-11-09 2010-08-31 Remeha B.V. Heat exchange element and heating system provided with such heat exchange element

Families Citing this family (3)

* Cited by examiner, † Cited by third party
Publication number Priority date Publication date Assignee Title
DE3318468A1 (de) * 1983-05-20 1984-11-22 Richard 3150 Peine Vetter Geraet zum erwaermen von wasser, insb. warmwasserheizkessel
DE3318467A1 (de) * 1983-05-20 1984-11-22 Richard 3150 Peine Vetter Geraet zum erwaermen von wasser, insb. warmwasserkessel od. dgl.
DE102019133771A1 (de) * 2019-12-10 2021-06-10 Wolf Gmbh Heizgerät, insbesondere Gasbrennwertgerät

Citations (6)

* Cited by examiner, † Cited by third party
Publication number Priority date Publication date Assignee Title
US2633107A (en) * 1950-04-15 1953-03-31 Benedict W Mandelburg Heating boiler with vertical undulating flue
BE680153A (fr) * 1965-06-09 1966-10-03
DE7442076U (de) * 1975-04-24 Capito C Kg Heizkessel
DE2656798B2 (de) * 1975-12-23 1979-03-15 Constant Grone Valais Vuissoz-De-Preux (Schweiz) Brennkammer für einen Heizungskessel
DE2909720A1 (de) * 1979-03-13 1980-09-18 Hdg Kessel & App Mit feststoffen und mit fluessigbrennstoffen beheizbarer mehrbereichsverbrennungsofen
DE2911880A1 (de) * 1979-03-26 1980-10-02 Streuber Sulo Eisenwerk F Waermespeicher

Family Cites Families (1)

* Cited by examiner, † Cited by third party
Publication number Priority date Publication date Assignee Title
FI61571C (fi) * 1975-12-03 1982-08-10 Karl Gunnar Malmstroem Anordning vid vaermepannor foer att moejliggoera en foerbaettrad vattensotning

Patent Citations (6)

* Cited by examiner, † Cited by third party
Publication number Priority date Publication date Assignee Title
DE7442076U (de) * 1975-04-24 Capito C Kg Heizkessel
US2633107A (en) * 1950-04-15 1953-03-31 Benedict W Mandelburg Heating boiler with vertical undulating flue
BE680153A (fr) * 1965-06-09 1966-10-03
DE2656798B2 (de) * 1975-12-23 1979-03-15 Constant Grone Valais Vuissoz-De-Preux (Schweiz) Brennkammer für einen Heizungskessel
DE2909720A1 (de) * 1979-03-13 1980-09-18 Hdg Kessel & App Mit feststoffen und mit fluessigbrennstoffen beheizbarer mehrbereichsverbrennungsofen
DE2911880A1 (de) * 1979-03-26 1980-10-02 Streuber Sulo Eisenwerk F Waermespeicher

Cited By (2)

* Cited by examiner, † Cited by third party
Publication number Priority date Publication date Assignee Title
EP1722172A1 (fr) * 2005-05-10 2006-11-15 Remeha B.V. Elément d'un échangeur de chaleur et système de chauffage avec un tel élément
US7784434B2 (en) 2006-11-09 2010-08-31 Remeha B.V. Heat exchange element and heating system provided with such heat exchange element

Also Published As

Publication number Publication date
LU83824A1 (de) 1982-05-07
BE891409A (fr) 1982-03-31
DE3046454A1 (de) 1982-07-15

Similar Documents

Publication Publication Date Title
EP1965146B1 (fr) Echangeur de chaleur à condensation comprenant deux faisceaux primaires et un faisceau secondaire
CA2535220C (fr) Echangeur de chaleur a condensation
EP3405723B1 (fr) Echangeur de chaleur à condensation muni d'un dispositif d'échanges thermiques
CA2493393C (fr) Echangeur de chaleur a condensation a double faisceau de tubes
EP0037333A1 (fr) Chaudière à gaz pouvant fonctionner en circuit de combustion étanche
FR2546287A1 (fr) Echangeur de chaleur, notamment pour le chauffage de l'habitacle de voitures de tourisme
FR2955929A1 (fr) Echangeur de chaleur a condensation pour plusieurs fluides et dispositif de production de fluides chauds comprenant un tel echangeur
CH639187A5 (fr) Chaudiere, notamment pour installation de chauffage.
EP1947394A1 (fr) Installation de chauffage domestique et/ou de production d'eau chaude sanitaire
FR2495744A1 (fr) Chaudiere de chauffage pouvant adapter la longueur du trajet des gaz chauds a la puissance du bruleur et a la qualite de la cheminee
FR2913106A1 (fr) Dispositif d'echange de chaleur entre des fluides appartenant a deux circuits
FR2896306A1 (fr) Installation de chauffage domestique et/ou de production d'eau chaude sanitaire
FR2636125A1 (fr) Generateur de fluide chaud, notamment d'eau chaude
CA1156113A (fr) Cheminee domiciliaire avec chauffe-eau incorpores
EP0062573B1 (fr) Chaudière à combustible solide
WO2009050396A2 (fr) Installation de chauffage comportant un ballon de distribution
EP0051036B1 (fr) Echangeur thermique à surface pour la récupération de chaleur
EP1021687B1 (fr) Chauffe-eau à gaz
WO2021198612A1 (fr) Murs et plafonds chauffants-rafraichissants
FR2607227A1 (fr) Chaudiere a combustible solide et, plus particulierement, chaudiere a bois
FR2529648A1 (fr) Chaudiere a foyer refractaire
FR2515321A1 (fr) Chaudiere a gaz
BE559099A (fr)
EP0870998A1 (fr) Chaudière à injection basse d'eau de retour dans le corps de chauffe
WO2005111515A1 (fr) Element terminal echangeur de chaleur a double compartiment, corps de chauffe et chaudiere le comprenant