FR2493763A1 - Chassis de tension d'un ecran pour l'impression en serigraphie - Google Patents

Abstract

A APPAREIL CONSTITUE D'UN CHASSIS DE TENSION D'UN ECRAN EN TISSU POUR L'IMPRESSION EN SERIGRAPHIE, CE CHASSIS COMPRENANT DES ROULEAUX DE TENSION 20 RELIES PAR DES CORNIERES D'ANGLE, ET DES ELEMENTS DE RETENUE ASSOCIES A CHACUN DE CES ROULEAUX POUR EMPECHER QU'ILS SE COURBENT SOUS LA TENSION DE L'ECRAN. B APPAREIL CARACTERISE EN CE QU'IL COMPORTE DES MOYENS SEPARES46 DISPOSES VERS L'INTERIEUR DE CHAQUE ROULEAU20 POUR EMPECHER SA FLEXION INDESIRABLE VERS L'INTERIEUR, CES MOYENS COMPRENANT UN ELEMENT DE RETENUE44 ET UNE BUTEE DE LIMITATION50 ASSOCIEE A CHAQUE ROULEAU. C L'INVENTION S'APPLIQUE AUX CHASSIS D'ECRANS DE GRANDES DIMENSIONS

Description

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L'invention concerne un châssis de

tension d'un écran pour l'impression en sérigraphie, et se rap-

porte plus particulièrement à un perfectionnement du châssis décrit dans le brevet USA n0 3.908.293. Le châssis décrit dans ce brevet présente d'exellentes performances lorsqu'aucun de ses côtés ne dépasse 1,5 mètre de longueur, lorsque le diamètre des rouleaux est de l'ordre de 16 à 25 mm et lorsque l'épaisseur de paroi des rouleaux est de l'ordre de 1,6 mm. Lorsque la longueur d'un côté du châssis atteint une valeur de 4I,3 mètres par

-exemple, il faut augmenter progressivement le diamètre des rou-

leaux jusqu'à environ 127 mm et/ou augmenter l'épaisseur de paroi de ces rouleaux, sinon les rouleaux risquent de s'incurver

à un point excessif vers l'intérieur du châssis.

Il existe une limite d'épaisseur des châssis au-delà de laquelle ceux-ci ne peuvent plus entrer dans les presses d'impression classiques des écrans. Ainsi, la plupart des presses à imprimer ne peuvent plus recevoir uni

châssis lorsque l'épaisseur des rouleaux ou d'une pièce quel-

conque de ceux-ci dépasse une valeur de l'ordre de 44 à 57 mm.

Certains types d'impression se font mieux avec une légère courbure des rouleaux, alors que d'autres types d'impression

ne supportent aucune courbure des rouleaux.

L'invention a pour but de résoudre le problème consistant à empêcher les rouleaux de s'incurver à un point excessif sur des châssis de grandes dimensions dont l'un des côtés atteint une longueur supérieure à environ 1,5 mètre, tout en conservant un profil de châssis suffisamment mince pour qu'il puisse entrer dans des presses classiques

d'impression sérigraphique.

A cet effet, l'invention concerne un

appareil constitué d'un châssis de tension d'un écran pour l'im-

pression en sérigraphie, ce châssis comprenant un certain nombre de rouleaux reliés ensemble par des cornières d'angle supportant ces rouleaux de façon qu'ils puissent tourner autodr de leur axe 35. longitudinal, chaque rouleau comportant un dispositif de retenue d'un bord du tissu constituant l'écran, des moyens associés à chaque cornière d'angle de manière à verrouiller chaque rouleau dans une position de rotation prédéterminée pour tendre - le tissu d'écran à une tension voulue, un élément de retenue 4O associé à chaque rouleau, chaque élément de retenue se situa nt

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vers l'intérieur de son rouleau associée et se montant entre cornières d'angle adjacentes, de façon que ces éléments puissent former un dispositif de retenue pour un moyen d'impression à

appliquer par l'intermédiaire du tissu d'écran, appareil carac-

térisé en ce qu'il comporte des moyens séparés disposés vers l'intérieur de chaque rouleau pour s'opposer, au moins en partie, à la flexion vers l'intérieur indésirable du rouleau associé, et comprenant une butée de limitation séparée se situant entre chaque rouleau et son élément de retenue associé, chaque butée de limitation comportant une palmure s'étendant vers l'intérieur

en direction de son élément de retenue associé.

*L'invention présente ainsi l'avantage de

créer un châssis de tension d'un. écran pour l'impression en séri-

graphie, présentant un profil de faible épaisseur et une-structure montée de telle manière qu'un ou plusieurs côtés puissent avoir

une longueur supérieure à 1,5 mètre environ, sans la moindre cour-

bure des rouleaux, ou du moins sans que la courbure des rouleaux.

vers l'intérieur dépasse une valeur acceptable.

L'invention permet également d'obtenir un châssis de tension d'un écran pour l'impression en sérigraphie dans lequel la solidité de l'élément de retenue ou de raidissement

est plus importante et fait partie intégrante d'une poutre résis-

tant à la flexion vers l'intérieur du rouleau associé.

D'autre part l'invention présente l'avantage de fournir un châssis d'impression dont la structure est conçue de façon qu'on puisse l'utiliser aussi bien sur des

petites presses à imprimer que sur des grandes, tout en présen-

tant en même temps une surface horizontale de blocage dans la presse, ce qui permet ainsi de supprimer l'utilisation d'un adaptateur de blocage souvent nécessaire sur beaucoup de types

de presses.

L'invention sera décrite sur les des-

sins ci-joints dans lesquels: - la figure 1 est une vue en plan d'un châssis selon l'invention, la figure 2 est une vue de détail, à plus grande échelle, d'une partie du châssis de la figure 1, - la figure 3 est une vue en coupe suivant la ligne 3-3 de la figure 2,

Ot) - La figure a est une vue en perspec-

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tive d'une partie d'un élément de retenue et de sa butée asso-

ciée, - la figure 5 est une vue en coupe, semblable à celle de la figure 3, mais représentant une autre forme de réalisation, - la figure 6 est une vue en coupe, semblable à celle de la figure 3, mais représentant une autre forme encore de réalisation, - la figure 7 est une vue en plan d'une extrémité d'une autre forme de poutre, - la figure 8 est une vue en coupe suivant la ligne 8-8 de la figure 7; et - la figure 9 est une vue en plan d'ui

variante de réalisation de la cornière d'angle.

Sur les dessins dans lesquels les mêmes éléments sont repérés par les mêmes références, la figure 1 repré sente un chassis 10 de tension d'un 6cran 12 selon l'invention po l'impression en, sérigraphie. Un écran de tissu 12 est appliqué su une face du châssis 10, d'une manière qui sera décrite plus en

détail ci-après.

Le châssis 10 utilise, comme Eléments de structure principaux, un certain nombre de rouleaux constiti plus précisément par les rouleaux parallèles 14 et 18, et par les rouleaux parallèles 16 et 20. Les rouleaux 14, 16, 18, 20 sont supportés en rotation, à leurs extrémités, par des cornièe

d'angle en forme de L 22, 24, 26, 28.

Les rouleaux 14, 16, 18, 20 sont de préférence des rouleaux creux réalisés dans un matériau léger anti-corrosion tel que de l'aluminium par exemple, bien qu'on

puisse également utiliser de l'acier ou autre matériau conve-

nable. Les cornières d'angle 22, 24, 26, 28 sont des éléments

rigides réalisés dans un matériau léger anti-corrosion, ou en-

core en acier ou autre. Chaque extrémité de chacun des rouleau-

est montée sur sa cornière d'angle associée par un dispositif de verrouillage 30. Chaque dispositif de verrouillage 30 applique une force de blocage axiale sur son rouleau associe, et se trouve de préférence constitué par un élément de blocage à friction. Chaque dispositif de verrouillage 30 permet de

bloquer chaque rouleau dans une position de rotation prdctcer-

i) irinee, le façon qu'on puisse appliquer la tension zol.', un bord latéral du tissu 12 de l'écran. Chacun de ces dispositifs de verrouillage 30 peut être du type décrit dans le brevet

mentionné ci-dessus.

Chacun des rouleaux peut également être du type décrit plus en détail dans le brevet ci-dessus, et chacun de ces rouleaux peut être muni d'une rainure de réception

d'une partie de bord latéral du tissu d'écran 12, avec utilisa-

tion d'un élément de serrage 36 du type de celui décrit dans le

brevet ci-dessus.

Un élément de retenue 38 est associé au rouleau 14. Un élément de retenue 40 est associé au rouleau 16. Un élément de retenue 42 est associé au rouleau 18. Un élément de retenue 44 est associé au rouleau 20. La relation de liaison entre chaque rouleau et son élément de retenue associé est la même, de sorte què l'on ne décrira ci-après en détail que la relation de liaison entre le rouleau 20 et son élément

de retenue associé 44.

Un dispositif séparé est associé à chaque élément de retenue pour empêcher son rouleau associé de

s'incurver vers l'intérieur. Dans la forme préférée de réali-

sation de l'invention, chaque dispositif séparé est constitué par une poutre en forme générale de I 46 dont l'élément de retenue 44 constitue une patte verticale. L'élément de retenue 44 comporte des rebords extérieurs 48, 50. La distance séparant les surfaces extérieures des rebords 48, 50 peut être supérieure ou égale au diamètre du rouleau 20, mais de préférence cette distance doit être légèrement inférieure au diamètre du rouleau pour éviter ou réduire le frottement du tissu 12. Une autre patte de la poutre 46 est formée par la butée de limitation 50 comportant des rebords 52, 54 dirigés vers l'intérieur. Les rebords 48, 50, 52, 54 sont disposés horizontatlement. Le tissu 12 peut 4tre fixé à l'élément 44 de n'importe quelle manière classique en utilisant par exemple une bande 53, comme indiqué

sur la figure 3.

La butée de limitation 50 est courbe et son rayon de courbure est égal, légèrement supérieur, ou

légèrement inférieur à celui du rouleau 20. La butée de limita-

tion 50 est reliée, à mi-chemin de ses extrémités supérieure et inférieure, et au même niveau que lIte du rouleau 20, à l'élément de retenue 44 par l'intermédiaire d'une palmure

horizontale 56.

A mi-chemin de ses extrémités, la palmure 56 est munie d'une partie cylindrique 58 faisant corps avec

elle et filetée intérieurement. Une extrémité de la partie cylin-

drique 58 est reliée à la cornière d'angle 26 par un boulon 60.

Un boulon identique 62 relie la cornière d'angle 28 à la partie cylindrique 58. Ainsi la poutre 46 est reliée aux cornières d'angle 26 et 28 par les boulons 60, 62. Les extrémités de la palmure 56 situées entre la partie cylindrique 58 et la butée de limitation 50, sont munies d'encoches 64 et 66, comme on peut le voir sur les figures 2 et 4. Ces encoches 64 et 66 facilitent le passage d'une clef pouvant se tourner pour régler la tension

du tissu d'écran 12 par rotation du rouleau 20.

La poutre 46 utilise la rigidité de la structure en I pour résister à la flexion vers l'intérieur du rouleau 20, l'élément de retenue 44 constituant une patte de la poutre en I et la palmure de cette poutre en I faisant partie

des moyens de fixation de la poutre aux cornières d'angle.

D'autres configurations de la poutre en I sont représentées sur

les figures 5 et 6.

La figure 5 représente une autre forme

de réalisation de l'invention, identique à celle décrite ci-

dessus sauf en ce qui concerne les variantes de configuration de la poutre en I. La poutre 70 présente généralement la forme

d'un I dont l'élément de retenue 72 constitue l'une des pattes.

L'élément de retenue 72 fait corps avec la partie cylindrique 74 et se relie directement à celle-ci. La partie cylindrique 74 correspondant à la partie 58, mais la palmure 76 ne comporte aucune partie comprise entre l'élément de retenue 72 et la partie cylindrique 74. La butée de limitation 78 est identique à la

butée de limitation 50, et se relie à une extrémité de la pal-

mure 76. La poutre 70 est plus étroite que la poutre 46 et facilite l'utilisation de l'invention pour des châssis de plus petites dimensions, en fournissant une plus grande surface

intérieure d'impression.

La figure 6 illustre une autre forme

de réalisation de l'invention, identique à celle décrite ci-

dessus, sauf en ce qui concerne la configuration de la poutre.

La poutre 80 peut être réalisée d'une seule pièce ou en deux pièces séparées. Comme illustré sur la figure 6, la poutre 80 est réalisée en deux pièces et comporte une section de poutre en I munie de pattes 82, 84 reliées par une palmure 86. Cette palmure 86 contient la partie cylindrique 88. La patte 82 constitue l'élément de retenue. Une seconde pièce de la poutre comprend une butée de limitation 90 faisant corps avec une palmure 92 se terminant par des rebords convergents 94, 96. La patte 84 comporte une projection 98 définie par des surfaces

convergentes destinées à s'adapter dans les surfaces correspon-

dantes des rebords 94, 96.

L'utilisation d'une poutre 80 constituée de deux sections 85 et 91 permet de stocker différentes sections et de monter couramment une section de poutre 91 avec des sections de poutre 85 présentant des palmures 85 de différentes longueurs, suivant la rigidité voulue. En utilisant une poutre en deux sections, on peut couper la section 91 de façon qu'elle ait une longueur plus courte que celle de la section 85, ce qui permet d'obtenir des encoches analogues aux encoches 66, sans avoir à scier, à estamper ou à réaliser ces encoches de toute autre manière. Les figures 7 et 8 représentent une autre forme de réalisation de l'invention, identique à celles décrites ci-dessus, sauf sur les points ci-après. La poutre 100 présente une section générale rectangulaire et l'élément de retenue 102 constitue un pied de cette poutre. La butée de limitation courbe 104 est reliée à l'élément de retenue 102 par des joues 106, 108. Chaque extrémité de la poutre 100 est fermée par un bouchon de matière plastique 110, de préférence

enfoncé à force dans celle-ci.

Le bouchon 110 comporte une encoche 112 correspondant aux encoches 64, 66. Le bouchon 110 est coulé ou moulé de manière à noyer un écrou 114 aligné avec un trou destiné à recevoir un boulon 116. Si on le désire, l'écrou 114 peut être enfoncé à force dans le trou du bouchon, ou encore ce trou de bouchon peut être taraudé. Le boulon 116 passe dans le trou du bouchon et se visse dans l'écrou 114 pour fixer la poutre 100 à la cornière d'angle 120. Le rouleau 122 est relié

en rotation à la cornière d'angle 120, comme décrit ci-dessus.

La surface supérieure de la joue 106 forme une surface de

blocage avec le rebord 52, comme décrit ci-dessus.

Sur les grands châssis, les forces

mises en jeu peuvent tendre à déformer les cornières d'angle.

Ce problème est résolu en utilisant une jambe de force 124 entre les côtés 126 et 128 de la cornière d'angle 130, comme on peut le voir sur la figure 9. Les côtés 126, 128 comportent une fente en queue d'aronde 127 destinée à recevoir une projection en queue d'aronde correspondante prévue à chaque extrémité de la jambe de force 124. Cette jambe de force 124 peut se démonter facilement pour faciliter l'accès aux boulons tels que le boulon 132. Les projections en queue d'aronde de la jambe de force 124 sont de préférence concaves sur leur surface extérieure, comme indiqué sur la figure 9. Une projection triangulaire tronquée 134 peut être prévue à l'intersection des côtés 126, 128 pour venir en contact avec l'extrémité d'un élément de retenue, de

manière à empêcher toute torsion de cet élément de retenue.

On peut encore, si on le désire, prévoir des fentes en queue d'aronde 127 aux extrémités de la jambe de force 124, avec des projections en queue d'aronde correspondantes faisant saillie

sur les côtés 126, 128.

Dans chacune des formes de réalisation de l'invention décrites ci-dessus, on remarquera que les poutres sont de section constante, de sorte que ces poutres peuvent être extrudées puis coupées ensuite à la longueur voulue. Cela facilite la fabrication et le montage, et permet de réduire les coûts de production car l'usinage est réduit au minimum. La fabrication mise en oeuvre comporte la réalisation des encoches

62, 64 et des pas de vis à tarauder dans les éléments cylindri-

ques 58, 74 ou 88.

L'uniformité de la tension du tissu 12

dépend de la flexion des rouleaux. Les poutres décrites ci-

dessus s'opposent, en grande partie au moins, à la flexion des rouleaux, c'est-à-dire qu'une certaine flexion des rouleaux est tolérable, mais que toute flexion excessive indésirable

est évitée.

Ainsi, les caractéristiques des poutres de chacune des formes de réalisation ci-dessus contribuent à augmenter la rigidité du châssis pour empêcher les rouleaux de

s'incurver vers l'intérieur et/ou pour leur permettre une cer-

taine flexion modérée, tout en augmentant la rigidité de la structure contre les déformations tendant à modifier la forme carrée du châssis en charge. De plus, ces caractéristiques contribuent à maintenir le châssis plan, sans augmentation du diamètre des rouleaux ou des dimensions de tout autre élément, ce qui permet à ce châssis de rentrer dans les presses classiques

d'impression sérigraphique.

Chaque forme de réalisation ci-dessus facilite l'obtention d'une surface horizontale au voisinage de la butée de limitation, de-sorte que le châssis peut se

bloquer dans de nombreux types de presses sans nécessiter l'uti-

lisation d'un adaptateur. Dans chaque forme de réalisation, l'élément de retenue présente la caractéristique supplémentaire de faire partie intégrante de la poutre. Dans chaque forme de réalisation, enfin, la poutre ne gène pas la projection ou l'application de produits de nettoyage du châssis, et il n'existe aucun recoin o des solvants ou des produits de

nettoyage risquent de s'accumuler.

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Claims (10)

REVENDICATIONS

1.- Appareil constitué d'un châssis (10) de tension d'un écran (12) pour l'impression en sérigraphie ce châssis comprenant un certain nombre de rouleaux (20) reliés ensemble par des cornières d'angle (22) supportant ces rouleaux façon qu'ils puissent tourner autour de leur axe longitudinal, chaque rouleau comportant un dispositif de retenue d'un bord du tissu constituant l'écran, des moyens associés à chaque cornière d'angle de manière à verrouiller chaque rouleau dans une position de rotation prédéterminée pour tendre le tissu d'écran à une tension voulue, un élément de retenue associé à chaque rouleau, chaque élément de retenue se situant vers -l'intérieur de son rouleau associé et se montant entre corniè] d'angle adjacentes, de façon que ces éléments puissent former un dispositif de retenue pour un moyen d'impression à applique par l'intermédiaire du tis su d'écran, appareil caractérisé en ce qu'il comporte des moyens séparés (46, 70, 80, 100) dispost vers l'intérieur de chaque rouleau pour s'opposer, au moins en partie, à la flexion vers l'intérieur indésirable du roulea associé, et comprenant une butée de limitation séparée (50, 78, 90, 104) se situant entre chaque rouleau et son élément dE retenue associé, chaque butée de limitation comportant une palmure (56, 76, 86, 92, 106) s'étendant vers l'intérieur-en

direction de son élément de retenue associé.

2.- Appareil selon la revendication 1 caractérisé en ce que chaque moyen séparé est constitué par une poutre en forme générale de I (46, 70, 80) dont l'élément

de retenue forme une patte verticale (44, 72, 82).

3.- Appareil selon l'une quelconque.

revendications 1 et 2, caractérisé en ce que chaque butée de

limitation (50) présente une section courbe de manière à comporter une surface concave juxtaposée au pourtour de son

rouleau associé.

4.- Appareil selon l'une quelconque d

revendications 1 à 3, caractérisé en ce que la butée de limi-

tation (50) comporte à son extrémité supérieure un rebord hori zontal (52) destiné à venir en contact de blocage avec une

partie d'une presse à imprimer.

5.- Appareil selon l'une quelconque d

4) revendications 1i à 4, caractériseé en ce ':ue chaique p.lImur

comporte une partie cylindrique (58, 74, 88) taraudée intérieure-

ment, et boulonnée par ses extrémités opposées, à une cornière

d'angle adjacente.

6.- Appareil selon l'une quelconque

des revendications 1 à 5, caractérisé en ce que chaque moyen

séparé est constitué de deux éléments séparables (85, 91) dont l'un constitue la butée de limitation et comporte des surfaces d'adaptation (94, 96) destinées à venir en contact avec l'autre

élément séparable (98).

7.- Appareil selon l'une quelconque

des revendications 1 à 6, caractérisé en ce que chaque palmure

(56) se situe dans un plan horizontal contenant l'axe de son

rouleau associé.

8.- Appareil selon l'une queconque

des revendications 1 à 7, caractérisé en ce que chaque butée

de limitation est reliée à son élément de retenue associé (102)

par au moins deux palmures ou joues (106, 108).

9.- Appareil selon l'une quelconque

des revendications 1 à 8, caractérisé en ce que les cornières

d'angle sont des éléments en L comportant deux c8tés entre

lesquels vient se placer une jambe de force (124).

10.- Appareil selon l'une quelconque

des revendications 1 à 9, caractériséen ce que les eifr*titês

des jambes de force sont reliées aux c8tés des cornières d'angle en L par des projections et des fentes saadaptant par

un assemblage en queue d'aronde.