FR2474205A1 - Appareil pour la realisation de diapositives photographiques - Google Patents
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Abstract
L'INVENTION CONCERNE UN APPAREIL EN VUE DE REALISER AUTOMATIQUEMENT DES IMAGES PHOTOGRAPHIQUES TELLES QUE DES DIAPOSITIVES DE 35MM. CET APPAREIL COMPREND PLUSIEURS TERMINAUX A MICRO-ORDINATEUR DISPERSES, UN ORDINATEUR CENTRAL SITUE A UN ENDROIT ELOIGNE DE CES TERMINAUX, AINSI QU'UN DISPOSITIF DESTINE A CREER DES IMAGES PHOTOGRAPHIQUES D'APRES LES DONNEES FOURNIES PAR L'ORDINATEUR. LES TERMINAUX SONT MUNIS CHACUN D'UN DISPOSITIF D'AFFICHAGE EN COULEURS ET D'UN CLAVIER D'ENTREE POUR PERMETTRE L'INTRODUCTION DE DONNEES PAR L'UTILISATEUR. LES TERMINAUX SONT PROGRAMMES POUR ENGENDRER ET AFFICHER, EN COULEURS, UN CERTAIN NOMBRE DE REPRESENTATIONS GRAPHIQUES NORMALISEES AYANT CERTAINES CARACTERISTIQUES VARIABLES.
Description
* 2474105
La présente invention concerne un appareil en vue de former automatiquement des images photographiques telles que des diapositives de 35 mm renfermant un texte et/ou
des graphiques disposés selon une des différentes struc-
tures normalisées. Ces images (diapositives) sont utiles,
par exemple, comme auxiliaires visuels dans des présenta-
tions à des conférences commerciales et analogues.
La technique classique adoptée pour réaliser une dia-
positive de 35 mm renfermant un texte et une oeuvre artis-
tique consiste à créer un "travail mécanique" ou un modèle à l'échelle sur un tableau en utilisant une composition de caractères ou des caractères effaçables pour le texte et
en réalisant manuellement des graphiques tels que des or-
ganigrammes, des diagrammes à secteurs circulaires, des graphiques de lignes et analogues. Ces travaux mécaniques sont exécutés par des artistes qui peuvent être employés dans une firme indépendante d'arts graphiques ou dans le département artistique d'une grande entreprise. Après la réalisation du premier travail mécanique conformément aux instructions du "client" ayant commandé la diapositive et qui est normalement la personne utilisant cette dernière lors d'une présentation, une épreuve de la diapositive est présentée à ce client pour être normalement modifiée d'une certaine manière afin de répondre plus exactement à ces exigences et à son goût. Lorsque, après modification, le
travail mécanique a été agréé par le client, il est photo-
graphié pour réaliser une ou plusieurs diapositives de mm. Ce mode de réalisation classique d'une diapositive
exige énormément de temps de la part d'un artiste expéri-
menté, même lorsque celui-ci dispose des divers outils que
l'on trouve dans le commerce. Pour une diapositive spéci-
fique réalisée de cette manière, il peut falloir, en moyen-
ne, à un artiste, 35 minutes pour exécuter le travail mé-
canique. Ensuite, il est nécessaire de transmettre une ou
plusieurs fois l'épreuve à l'utilisateur de la diaposi-
tive en vue de sa révision et d'une approbation définiti-
ve, si bien que l'ensemble du processus peut prendre plu-
sieurs jours depuis la commande par un client jusqu'au mo-
ment o le travail mécanique est agréé.
On a mis au point un certain nombre de systèmes en vue d'automatiser ce procédé de réalisation de graphiques com- merciaux qui sont ensuite photographiés pour réaliser des
diapositives de 35 mm. Par exemple, des "modules" de logi-
ciel ont été enregistrés pour des systèmes à partage de temps en vue de réaliser des dessins linéaires. Dans un
système spécifique à partage de temps, on utilise des télé-
scripteurs comme dispositifs éloignés d'entrée/sortie pour
un grand ordinateur central qui appelle et exécute un cer-
tain nombre de programmes "en connexion" pour plusieurs utilisateurs sur la base d'un partage de temps. On peut
également utiliser les-téléscripteurs simplement comme dis-
positifs d'entrée pour transmettre des données et des in-
structions à l'ordinateur central.
Un service connu pour réaliser des représentations gra-
phiques dans un système à partage de temps est commercia-
lisé par "National CSS", 542 Westport Avenue, Norwalk, Connecticut 06851. Ce service appelé "Graphics/CSS", est capable d'exécuter des tracés linéaires en noir et blanc depuis des diagrammes à barres, des diagrammes à secteurs circulaires, des graphiques de lignes et analogues du type utilisé dans les présentations commerciales, jusqu'à des fonctions complexes à trois dimensions telles que celles utilisées dans les mathématiques, l'étude de produits et
la cartographie. Les graphiques et les diagrammes pour pré-
sentations commerciales, qui peuvent comprendre un texte, sont réalisés en utilisant un logiciel appelé "Tel-A-Graph",
lequel est conçu pour le non-programmeur. Le système "Tel-
A-Graph" fonctionne selon le mode interactif, c'est-à-dire
que les questions de l'utilisateur sont posées à un télé-
scripteur éloigné. Les réponses à ces questions qui sont
introduites par l'utilisateur, définissent la représenta-
tion graphique particulière avec des caractéristiques sé-
lectionnées. Le système de réalisation de graphiques "Tel-A-Graph"
ne permet pas, à l'utilisateur, de visionner les graphi-
ques avant la création du produit final et sa représenta-
tion sous forme d'une image à l'ordinateur central. Il réa-
lise un dessin linéaire qui n'est pas en couleurs. En outre, il nécessite un réseau de transmission à longue portée et à deux voies par lignes téléphoniques, étant donné que les
questions sont posées à l'ordinateur central.
Un autre système permettant de réaliser automatique-
ment des diapositives de 35 mm et qui est appelé "Genigra-
phics", a été mis au point par la "General Electric Com-
pany", Court Street Plant, Syracuse, New York 13201. Le
système "Genigraphics" comprend un mini-ordinateur appro-
prié avec une unité de disques raccordée à un "pupitre de commande" comprenant un tube cathodique couleur à faible pouvoir résolvant et des commandes manuelles permettant,
à un opérateur expérimenté, de composer une image. Le pu-
pitre de commande affiche l'image exacte (ou une partie agrandie de celleci) devant être réalisée sous forme d'une diapositive (c'est-à-dire avec des couleurs, des polices
et des corps de caractères identiques), mais avec un pou-
voir résolvant réduit. Dès-que l'image est composée à la satisfaction de l'opérateur, les données relatives à la trame que contient le fichier sur disques, sont appliquées
à un tube cathodique à haut pouvoir résolvant et à un pos-
te photographique o l'image est affichée et photographiée
pour réaliser la diapositive de 35 mm. Ces données relati-
ves à la trame peuvent éventuellement être transmises, par
des lignes téléphoniques, à un système "Genigraphics" si-
tué à un autre endroit, de telle sorte que la diapositive
puisse être réalisée et captée à cet endroit.
Autant que l'on sache, le mini-ordinateur du système "Genigraphics" ne peut assurer la mise en service que d'un pupitre de commande à la fois, si bien que l'ensemble d'une
machine est "mobilisé" par un seul opérateur qui, en moyen-
ne, est peut-être à même de réaliser une image toutes les dix minutes. Etant donné que le pupitre de commande est 24?42Vf.
relativement complexe et que les données définissant l'ima-
ge sont généralement introduites directement par l'opéra-
teur en utilisant des commandes analogiques, au lieu de
répondre à des questions selon un mode interactif, l'opé-
rateur du système "Genigraphics" doit recevoir une forma- tion approfondie avant d'utiliser la machine. De plus, l'achat de cette machine implique des dépenses importantes qui ne peuvent se justifier que dans des installations d'arts graphiques suffisamment grandes pour maintenir la
machine en service durant toute la journée.
Un objet de la présente invention est de fournir un système géré par ordinateur pour la réalisation d'images photographiques telles que des diapositives de 35 mm, ce
système étant à même (1) de fournir instantanément-une épreu-
ve ou un modèle de l'image (diapositive) sans équipement spécialisé coûteux (comme c'est le cas dans le système
"Genigraphics") et (2) de réaliser des images à haut pou-
voir résolvant (diapositives) en une succession rapide et sans nécessiter un système de dialogue à longue portée -et à deux voies avec un ordinateur de grande puissance (comme
c'est le cas dans le système "Graphics/CSS").
Suivant la présente invention, on réalise cet objet;-
ainsi que d'autres objets qui apparaîtront à la lecture
de la description ci-après, au moyen d'un système compre-
nant un certain nombre de terminaux à micro-ordinateur si-
tués à des endroits dispersés, un ordinateur central pré-
vu à un endroit éloigné de ces terminaux, ainsi qu'un élé-
ment destiné à réaliser des images photographiques à par-
tir de données fournies par cet ordinateur. Les terminaux
à micro-ordinateur sont.munis chacun d'un dispositif d'af-
fichage couleur et d'un élément d'entrée permettant l'in-
troduction de données par l'utilisateur; Les terminaux sont programmés pour créer et afficher, en couleurs, un certain
nombre de représentations graphiques normalisées présen-
tant certaines caractéristiques variables. Une représenta-
tion particulière et ses caractéristiques sont introduites, par l'utilisateur, dans-l'entrée du terminal en guise de réponses à des questions présentées par ce dernier. Les
terminaux sont à même de modifier l'affichage d'une repré-
sentation graphique en réponse à l'introduction de données
par l'utilisateur, données qui modifient les réponses anté-
rieures aux questions afin de fournir un ensemble de ré- ponses finales. Lorsqu'une représentation graphique est
complète et que l'utilisateur en est satisfait, des don-
nées représentant les réponses finales de celui-ci sont
transmises des terminaux à l'ordinateur central. Cet or-
dinateur central est programmé pour fournir des données définissant la trame à partir des informations destinées
aux données du tube cathodique couleurs, lesquelles repré-
sentent les réponses finales de l'utilisateur. Ces données
relatives à la trame définissent une représentation gra-
phique dont le pouvoir résolvant est amélioré vis-à-vis de
celui de l'image composée et affichée par le terminal.
Enfin, l'élément de formation d'images engendre des images
photographiques (diapositives) à partir des données rela-
tives aux points de la trame à plus haut pouvoir résolvant
et qui sont fournies par l'ordinateur central.
Telle qu'elle est utilisée dans la présente spécifi-
cation, l'expression "diapositive" concerne spécifiquement
des diapositives photographiques de 35 mm et, d'une ma-
nière générale, d'autres types d'images photographiques,
notamment des copies qui peuvent être obtenues par traite-
ment ou développement photographique d'une image latente
ou d'un négatif.
Les caractéristiques précitées de la présente inven-
tion, ainsi que d'autres apparaîtront plus clairement à
la lecture de la description détaillée ci-après en se ré-
férant aux dessins annexés qui illustrent une forme de
réalisation de l'invention à titre d'exemple et dans les-
quels la figure 1 est un schéma fonctionnel de l'ensemble du système; la figure 2 est un organigramme pour le programme utilisé dans le terminal de réalisation de diapositives; la figure 3 illustre un diagramme à cases;
la figure 4 est un organigramme de la section de créa-
tion de l'organigramme de la figure 2 pour un programme de formation de diagramme à cases; la figure 5 est un organigramme de la section d'affichage de l'organigramme de la figure 2 pour un programme de formation de diagramme à cases; les figures 6A, 6B, 6C et 6D sont des organigrammes
de la section de modification de l'organigramme de la fi-
gure 2 pour un programme de formation de diagramme à cases; la figure 7 est un tableau illustrant l'organisation des données de spécification de diapositives fournies par le terminal de réalisation de ces dernières; les figures 8A et 8B illustrent des diapositives de
diagrammes à cases réalisées suivant l'invention respec-
tivement lors de l'affichage au terminal et sous forme d'une diapositive définitive; la figure 9 illustre une diapositive à texte réalisée suivant l'invention;
la figure 10 illustre une diapositive réalisée sui-
vant l'invention et représentant un diagramme à barres ver-
ticales;
la figure 11 illustre une diapositive réalisée sui-
vant l'invention et représentant un diagramme à barres ho-
rizontales;
la figure 12 illustre une diapositive réalisée sui-
vant l'invention et représentant un graphique linéaire;
la figure 13 illustre une diapositive réalisée sui-
vant l'invention et représentant un diagramme à texte ta-
bulaire;
la figure 14 illustre une diapositive réalisée sui-
- vant l'invention et représentant un diagramme à secteurs circulaires;.
la figure 15 est un schéma illustrant l'entrée d'ima-
ge de carte pour un certain nombre de diapositives; la figure 16 est un schéma illustrant une partie de l'entrée d'image de carte pour une diapositive;
la figure 17 est un organigramme illustrant le pro-
cédé utilisé dans la création d'une bibliothèque de poli-
ces de caractères; la figure 18 illustre le format des données utilisées pour définir un seul symbole; la figure 19 est un schéma illustrant trois symboles spécifiques localisés par rapport à une ligne de base; la figure 20 est un schéma illustrant la lettre "C" disposée dans un espace de caractère;
la figure 21 illustre un mot à deux groupes de posi-
tions binaires utilisé dans les données à format en chaîne définissant un symbole; la figure 22 illustre la lettre "B" disposée dans un espace de caractère qui est balayé à la ligne L; la figure 23 illustre quatre mots de données à format en chaîne définissant les segments de symbole sur la ligne de balayage L de la figure 22; la figure 24 illustre la façon dont deux caractères "L" et "T" sont crénés;
la figure 25 est un organigramme illustrant les modu-
les de programme utilisés dans le calcul de diapositives par ordinateur; la figure 26 est un organigramme illustrant le module de programme "INITIALISATION"; la figure 27 est une ques hors-texte; la figure 28 est une ques triangulaires; la figure 29 est une ques à lignes de grille; la figure 30 est une ques à barres; la figure 31 est une
illustration d'un dessin graphi-
illustration de dessins graphi-
illustration de dessins graphi-
illustration de dessins graphi-
illustration d'un dessin graphi-
que à secteurs la figure circulaires 32 est une représentant des segments la figure 33 est une
illustration d'une diapositive.
de lignes droites; illustration d'une diapositive
-24742-9S _
représentant des axes de grille; la figure 34 est une illustration d'une diapositive représentant un symbole; la figure 35 est une illustration d'une diapositive représentant des lignes de grille, des barres et des axes de grille; la figure 36 est un organigramme pour le module de programme "ENTREE"; la figure 37 est un organigramme d'un sous-programme représentatif du module de programme "ENTREE"; la figure 38 est un organigramme pour le module de
programme "COMPOSITION"; - - - - -
les figures 39A et 39B sont-des sous-programmes 're- -
présentatifs du module de programme "COMPOSITION" ' la figure 40 est un organigramme pour le module de
programme "PROCEDE"1; - -
la figure 41 est un-schéma illustrant la façon dont
le module de programme.' "PROCEDE"' compose une ligne de ba---
layage;: - -
les figures 41A - 41F sont des schémas illustrant des
parties du schéma de la figure 41; -
la figure 42 illustre le format d'un mot à deux grou-
pes de positions binaires contenant des données de trame dans une ligne de balayage; la figure 43 est un organigramme pour le module -de = programme "SORTIE";
la figure 44 illustre un mot à deux groupes de posi-
tions binaires contenant des "1" et des "O" dans les posi-
tions de bits indiquées dans le mot de la figure 42;
la figure 45 illustre trois mots renfermant des in-
formations relatives à.l-'intensité des couleurs rouge, verte et bleue pour les points de trame identifiés dans le mot de la figure 44; et
la figure 46 est un schéma fonctionnel d'un enregis-
treur de films en couleurs.
On décrira à présent, en se référant aux dessins annexés, les formes de réalisation préférées de l'appareil
24712O5
de réalisation d'images photographiques suivant la pré-
sente invention. Afin de simplifier cette description et
de faciliter l'accès à n'importe quel élément d'informa-
tion spécifique, l'exposé de la présente invention a été subdivisé en titres et sous-titres numérotés qui sont re- pris dans la table des matières ci-après
TABLE DES MATIERES.
1. DESCRIPTION GENERALE DU SYSTEME
1.1 Terminaux d'affichage à micro-ordinateur 1.2 Communication des données 1.3 Réalisation des diapositives
2. FONCTIONNEMENT DES TERMINAUX D'AFFICHAGE A MICRO-
ORDINATEUR
2.1 Capacités du terminal 2.2 Programme général pour le terminal 2.3 Structure générale d'un programme de diagramme à cases 2.4 Programme spécifique de diagramme à cases 2.4.1 Section d'initialisation 2.4.2 Section de création 2.4.3 Section d'affichage 2.4.4 Section de modification 2.4.5 Section d'identification 2.4.6 Section de classification des couleurs 2.4.7 Section de mémorisation de données de diapositives 2.4.8 Section d'acquisition de données de diapositives
3. TRANSMISSION DE DONNEES
3.1 Entrée des diapositives 3.1.1 Identification des diapositives (Partie 1) 3.1.2 Spécification des diapositives (Partie 2) 3.1.3 Spécification des images d'imprimante (Partie 3) 3.1.4 Carte terminale (Partie 4)
4. REALISATION D'IMAGES DIGITALISEES PAR ORDINATEUR
4.1 Traitement de données symboliques 4.2 Format de bibliothèque de symboles 4.3 Format des données symboliques
4.3.1 "TITRE"
24??205
4.3.2 "LENTH"
4.3.3 "-IX"
4.3.4 "IY"
4.3.5 "IYD"
4.3.6 "IAREA1, "IAREA2"
4.3.7 "IXD"
4.3.8 "Données codées de longueurs d'exploitation" 4.3.9 Données de crénage 4.4 Calcul des diapositives par ordinateur
4.4.1 "INITIALISATION"
4.4.2 "ENTREE"
4.4.3 "COMPOSITION"
4.4.4 "PROCEDE"
4.4.5 "SORTIE"
5. AFFICHAGE ET PHOTOGRAPHIE DES IMAGES
5.1 Description générale du matériel
6. ANNEXE
6.1 Matrices et variables du micro-ordinateur de créa-
tion de diagrammes à cases 6.2 Programme de micro-ordinateur représentatif 6.3 Programme représentatif de calcul de diapositives
par ordinateur.
1. DESCRIPTION GENERALE DU SYSTEME.
L'appareil de réalisation de diapositives suivant la présente invention peut comprendre des éléments qui sont spécifiquement "câblés" ou conçus spécialement d'une autre manière, par exemple, au moyen de microinstructions, pour
les fonctions spécifiques qui leur sont attribuées. Toute-
fois, chacun des éléments du système est, de préférence, une unité "disponible immédiatement" dans le commerce et qui peut être achetée ou acquise en location, pour être
ensuite programmée en vue d'effectuer les fonctions dési-
rées, ces éléments étant raccordés l'un à l'autre de la
manière décrite ci-après. De la sorte, ces unités indi-
viduelles peuvent être employées à des fins autres que comme éléments du système suivant la présente invention, lorsque leur utilisation n'est pas indispensable dans ce
24Y4205
il système.
1.1 Terminaux d'affichage à micro-ordinateur.
La figure 1 illustre une forme de réalisation préfé-
rée du système suivant la présente invention dont tous les éléments sont couramment disponibles dans le commerce. Ce
système comprend un certain nombre de terminaux d'afficha-
ge à micro-ordinateur 50 comportant chacun un dispositif d'affichage couleurs 52 et un élément d'entrée tel qu'un
clavier 54 avec une unité de lecture/écriture à mini-dis-
ques souples 56.
Un terminal d'affichage à micro-ordinateur approprié pour une utilisation dans ce système est fabriqué par la "Intelligent Systems Corp.", 5965 Peachtree Corners E., Norcross, Georgie 30071. Cette machine est vendue sous la
dénomination "Intecolor 8051 Desk Top Computer" avec di-
vers accessoires en option. Dans la configuration utilisée
dans le système, elle comprend un "mini-disque souple dou-
ble", deux blocs de mémoires à accès aléatoire supplémen-
taire 8K, ainsi qu'un clavier spécial avec des touches de
couleurs individuelles. La machine est équipée d'un logi-
ciel de commande fourni par la "ISC" et elle peut être pro-
grammée, conformément à la présente invention, pour pro-
duire et afficher, en couleurs, plusieurs représentations graphiques normalisées ou "1modèles"L de diapositives pouvant être réalisées par le système. En raison de l'espace de mémorisation limité que renferme le terminal, on prévoit un programme séparé pour chaque modèle de diapositive. On donnera ci-après certains modèles préférés de diapositives
* que l'on utilise fréquemment dans les présentations commer-
ciales: (1) Diagrammes d'organisation et organigrammes; (2) Différents types de présentations de textes; (3) Diagrammes à barres verticales; (4) Diagrammes à barres horizontales; (5) Graphiques à coordonnées X-Y illustrant des zones ou des fonctions linéaires; (6) Diagrammes à texte tubulaire;
(7) Diagrammes à secteurs circulaires.
Etant donné que de nombreux autres modèles de diaposi-
tives seront évidents pour l'homme de métier, l'invention n'est pas limitée à l'un ou l'autre modèle ou ensemble-de modèles spécifiques. Chaque programme séparé pour un modèle spécifique de
diapositive est mémorisé sur un mini-disque souple. Lors-
qu'un utilisateur désire réaliser une diapositive, il choi-
sit le mini-disque contenant le programme prévu pour le modèle de diapositive qu'il souhaite,-il l'introduit dans
une fente de l'unité de lecture/écriture 56, puis il en-
registre l'ensemble du programme dans la mémoire-du micro-
ordinateur. Auparavant, l'utilisateur introduit également
un mini-disque vierge dans l'autre fente de l'unité de lec-
ture/écriture. Toutefois, on peut également envisager d'uti-
liser un seul mini-disque si le programme est suffisamment succinct pour permettre l'enregistrement de la sortie sur
le même mini-disque.
Le terminal d'affichage à micro-ordinateur est alors
programmé pour réaliser et afficher, en couleurs, la repré-
sentation graphique normalisée ou le "modèle" de diaposi-
tive sélectionné.
L'utilisateur procède alors à la création interactive d'une "spécification de diapositive" qui devient les données
d'entrée pour le calcul ultérieur de l'image réelle par or-
dinateur. Lorsqu'elle est achevée, la spécification de diapositive est enregistrée sur le mini-disque vierge pour
former un fichier de données compact. Le terminal à micro-
ordinateur utilise cette spécification de diapositive pour afficher une trame grossière dont l'aspect correspond
étroitement à celui d'une diapositive définitive.
Chacun des programmes utilisés pour réaliser les di-
verses représentations graphiques normalisées déclenche un échange de questions et de réponses avec l'utilisateur afin de fournir des données initiales de spécification de
diapositive telles que la position des lignes dans un dia-
gramme, l'identité, la police de caractères et le format
d'un texte, les couleurs, etc. Ensuite, le terminal affi-
che la spécification de diapositive courante et permet, à
l'utilisateur, d'en modifier certaines caractéristiques.
Par exemple, après avoir visionné l'affichage initial, l'utilisateur peut souhaiter modifier la grosseur des ca- ractères ou la couleur de certains textes afin d'améliorer
l'aspect de l'image. Cette modification change effective-
ment les réponses aux questions présentées par le terminal
afin de créer une spécification de diapositive finale. Cer-
taines des caractéristiques de la diapositive sont inva-
riables au cours de la création initiale de celle-ci, mais elles peuvent être changées au cours du processus de
modification, par exemple, des ombres tombantes, des hors-
textes, etc.
1.2 Communication de données.
Dès que les données relatives à la spécification de
diapositive et représentant les réponses finales de l'uti-
lisateur ont été enregistr&és sur un mini-disque, elles
doivent être transmises d'une certaine manière à un ordi-
nateur central en vue d'engendrer les données de trame d'image fine requises pour réaliser la diapositive. on peut adopter un certain nombre de techniques de communication à cet effet: (1) Le mini-disque peut être expédié par la poste ou
acheminé par messagerie au lieu d'utilisation de l'ordina-
teur central.
(2) Les données peuvent être transmises directement au lieu d'utilisation de l'ordinateur central par des lignes
téléphoniques régulières.
(3) Les données peuvent être transmises par lignes téléphoniques dans un réseau à partage de temps, pour être ensuite mémorisées dans un ordinateur exploité en partage
de temps. A des intervalles périodiques, l'ordinateur ex-
ploité en partage de temps peut être consulté et toutes les données ainsi accumulées sont alors transmises, par
lignes téléphoniques, au lieu d'utilisation de l'ordina-
teur central.
Ce dernier type de système est illustré en figure 1.
Dans cette forme de réalisation, les terminaux à micro-or-
dinateur 50 transmettent des données à des appareils télé-
phoniques ordinaires 58 à une vitesse relativement réduite (300 bauds). Ces données sont transmises, par les lignes
téléphoniques 60 d'un réseau à partage de temps, à l'or-
dinateur de grande puissance 62 du système à partage de
temps. Cet ordinateur sert simplement de mémoire intermé-
diaire, si bien que les données fournies par les diffé-
rents terminaux peuvent être collectées et retransmises ul-
térieurement par lots à l'appareil de réalisation de dia-
positives. L'ordinateur exploité en partage de temps peut contenir un programme de mise en forme destiné à convertir éventuellement les données en un format différent, ainsi qu'un programme de bureau permettant de suivre l'activité
du système à partage de temps et de conserver un enregis-
trement ou un fichier des spécifications de diapositives
reçues. Sur demande ou à des moments spécifiés de la jour-
née, l'ordinateur exploité en partage de temps transmet les données accumulées à grande vitesse (4.800 bauds) à l'appareil de réalisation de diapositives via des lignes
téléphoniques régulières 60.
Des systèmes à partage de temps existants bien connus
et appropriés pour être utilisés avec le système de la pré-
sente invention, sont ceux fabriqués par les firmes "Boeing Computer Services, Inc." (BSC), "National CSS" et
"University Computing" (UCC).
Qu'elles soient transmises par le système à partage
de temps ou directement via des lignes téléphoniques ré-
gulières, les données précitées sont reçues par un modem émetteurrécepteur 66, pour être ensuite acheminées vers un mini-ordinateur 68. Un modem approprié pour être uti-
lisé dans le système de l'invention est celui vendu par la "General Data Communications", Kennedy Avenue, Danbury, Connecticut 06810. Un miniordinateur approprié est vendu
sous la dénomination commerciale "Micos-Mini" par "Mini-
computer Systems", 525 Executive Boulevard, Elmsford,
New-York 10523. Le modem et le mini-ordinateur sont compa-
tibles en ce qui concerne leur système d'enfichage et ils
peuvent être raccordés directement l'un à l'autre. Toute-
fois, on peut également passer directement par un ordina-
teur de grande puissance qui reçoit les données, exécute
les calculs nécessaires et commande un enregistreur de dia-
positives couleurs.
1.3 Réalisation des diapositives.
Le mini-ordinateur a pour fonctions: (1) de collec-
ter et de mémoriser les données de spécifications de dia-
positives dans un fichier sur disques, (2) de convertir ces données en un format acceptable pour l'ordinateur particulier utilisé en vue de fournir des données de trame d'image à haut pouvoir résolvant et (3) d'enregistrer les
données ainsi converties sur une bande magnétique. Le mini-
ordinateur peut également contenir un programme de bureau
qui établit et conserve un fichier à des fins de compta-
bilité.
La bande magnétique qui peut contenir les spécifica-
tions pour des centaines de diapositives, est lue par un ordinateur de grande puissance 70 tel qu'un ordinateur "IBM 360/75". Cet ordinateur exécute les calculs détaillés nécessaires pour produire des données définissant les
points de trame d'image pour chaque- diapositive. L'ordina-
teur permet d'avoir accès, selon les nécessités, à des caractères alphanumériques et autres symboles utiles tels
que des logotypes et analogues, à partir d'une bibliothè-
que de symboles 72 que renferme un fichier sur disques.
L'ordinateur compose l'image en plaçant les caractères, les cases, les barres et éléments analogues sélectionnés dans leurs positions correctes respectives, il calcule les données de trame pour chacune des lignes.de balayage horizontales, puis il enregistre ces données en format
codé de longueur d'exploitation-sur une bande magnétique.
Dans la forme de réalisation préférée, la trame de l'image
a une hauteur de 1344 éléments et une largeur de 2016 élé-
ments. Cette-trame a un rapport hauteur/largeur de 2/3,
247420$
soit le même rapport que pour une diapositive.
Enfin, la bande magnétique enregistrée par l'ordina-
teur 70 est acheminée'à un enregistreur numérique couleurs 74 pour réaliser la diapositive. Ce dispositif.comprend un tube cathodique à haut pouvoir résolvant, une roue chroma- tique comportant des filtres rouge, vert et bleu, ainsi
qu'une chambre photographique disposée de façon à visuali-
ser le tube cathodique à travers les filtres. Les données de trame que contient la bande magnétique, sont utilisées pour contrôler le tube cathodique et la roue chromatique pour chaque image en couleurs prise par la caméra. Lorsque la chambre photographique a pris une série d'images, la
pellicule exposée en est retirée et soumise à un traite-
ment photographique pour obtenir des diapositives en cou-
leurs.
Une unité de photographie et de réalisation d'images appropriée pour être utilisée dans le système suivant la présente invention est vendue sous ladénomination "Celco CFR 2000" par la "Constantine Electronics Company",, 70
Constantine Drive, Mahwah, New Jersey 07430.
2. FONCTIONNEMENT DES TERMINAUX D'AFFICHAGE A MICRO-
ORDINATEUR.
2.1 Capacités du terminal.
Les terminaux d'affichage 50 peuvent être n'importe
quel type de micro-ordinateur muni d'un dispositif d'affi-
chage en couleurs, mais le terminal préféré est le petit ordinateur de bureau "Intecolor 8051" avec une unité à mini-disque souple double 56, deux blocs de mémoires à accès aléatoire supplémentaires 8K et un clavier spécial
54 comportant des touches de couleurs individuelles. L'or-
dinateur "Intecolor" renferme plusieurs programmes PLOT (représentation graphique) qui permettent l'affichage ou la représentation d'informations graphiques sur l'écran 52 du tube cathodique avec un pouvoir résolvant de 160 x 192 éléments. Les programmes PLOT sont des programmes à microinstructions en ce sens qu'ils sont mémorisés dans
des mémoires permanentes pour être utilisés avec des pro-
grammes créant et affichant une image approximative d'une
diapositive sur l'écran du tube cathodique.
Il existe un programme séparé pour chaque type de diapositive de base. On donnera ci-après des exemples de ces programmes et diapositives de base: Dénomination du programme Type de diapositive 1. BOX (Case) Diagrammes d'organisation et organigrammes (figure 8)
2. WORD (Mot) Différents types de diapo-
sitives à texte (figure 9)
3. V BAR (Barre verticale) Diagrammes à barres verti-
cales (figure 10)
4. H BAR (Barre horizontale) Diagrammes à barres hori-
zontales (figure 11)
5. AREA (Zone) Graphiques linéaires ou dia-
grammes de zones (figure 12)
6. TAB (Tableau) Diagrammes à texte tabulai-
re (figure 13)
7. PIE (Secteurs circulaires) Diagrammes à secteurs cir-
culaires (figure 14).
Les programmes eux-mêmes ont tous la forme illustrée en figure 2. Un programme disposé de la sorte fonctionne selon un mode interactif, c'està-dire qu'il sollicite une
commande ou formule la réponse à une- question pour complé-
ter certaines opérations suite à cette réponse. Il solli-
cite ensuite la commande suivante ou pose la question sui-
vante. En raison de l'interaction, le système est aisé à utiliser, tandis que les résultats peuvent être facilement modifiés.
2.2 Programme général pour le terminal.
Lors de la mise en service, la première partie des programmés de terminaux est une section d'initialisation
qui déclenche le système en réglant les valeurs de cer-
tains paramètres constants. Ces données dépendent du pro-
gramme de diapositive de base choisi. Après l'initialisa-
tion, le programme passe à une section d'interprétation de commande 102. Dans cette section, l'ordinateur demande, à t44t@Z l'utilisateur, ce qu'il désire. A cet effet, l'ordinateur imprime une question en une couleur sur l'écran du tube cathodique, puis il attend que l'utilisateur formule sa réponse sur le clavier, réponse qui est affichée en une couleur différente sur l'écran du tube cathodique. Les couleurs choisies pour cette opération sont définies au
cours des étapes d'initialisation.
A ce moment, l'utilisateur peut introduire, par le clavier, le code "CRE"' pour une section de création 104 du
programme qui permet la réalisation d'une nouvelle diapo-
sitive. A titre de variante, l'utilisateur pourrait appe-
ler les données relatives à la spécification d'une diapo-
sitive réalisée précédemment et qui sont mémorisées sur
un des disques. Cette opération est effectuée avec la com-
mande "GET" (acquisition) qui permet d'avoir accès à une partie d' "acquisition de données de diapositive" 116 du programme. La section de création du programme pose, à
l'utilisateur, une série de questions concernant la dia-
positive qu'il désire. Dès que cette opération est achevée,
le programme repasse à la section d'interprétation de com-
mande 102 et sollicite la commande suivante. Afin d'avoir
une idée approximative de l'aspect de la diapositive dé-
finitive (nouvellement créée ou extraite d'un fichier sur diques), l'utilisateur peut déclencher, par le clavier, la commande "DIS", faisant ainsi passer le programme à une
section d'affichage 106. Le programme contenu dans la sec-
tion 106 utilise les fonctions internes PLOT (représenta-
tion graphique) de l'ordinateur "Intecolor", ainsi que les
réponses aux questions que contient la section de créa-
tion ou les données de diapositive extraites en vue d'af-
ficher une représentation approximative de la diapositive sur l'écran du tube cathodique. Dès que l'affichage est
achevé, le programme repasse à nouveau à la section d'in-
terprétation pour une nouvelle commande.
Il est.probable que l'utilisateur ne soit pas satis-
fait de la première disposition choisie pour la diaposi-
tive. Afin d'apporter les changements souhaités, il pour-
rait déclencher, par le clavier, la commande "MOD" (modi-
fication) qui fait passer l'ordinateur à une section de modification 108 du programme. Cette section est semblable à la section de création 104 en ce sens-qu'elle pose, à l'utilisateur, une série de questions concernant les modi- fications qu'il souhaiterait apporter. De même, tout comme
la section de création, cette section de modification ren-
voie le programme à la section d'interprétation de commande dès qu'il est achevé. En composant à nouveau au clavier le code DIS (affichage), l'utilisateur obtient l'affichage
d'une représentation approximative modifiée de la diaposi-
tive définitive.
Un système d'identification de l'utilisateur et de la
diapositive utilise une section d'identification 110 du pro-
gramme qui est adressée par la commande "IDE" (identifica-
tion). Cette section est interactive et elle questionne l'utilisateur concernant son identité et la désignation de la diapositive. Une section de classification des couleurs 112 du programme permet, à l'utilisateur, d'attribuer une
des 64 couleurs disponibles dans le dispositif de réalisa-
tion de diapositives à haut pouvoir résolvant 74 de la fi-
gure 1, à une des 8 couleurs disponibles au terminal. A chacune des 64 couleurs, est associé un numéro de code et la section de programme 112 demande, à l'utilisateur, d'attribuer un numéro de code à chacune des 8 couleurs de
base utilisées au terminal.
Si la dernière version de la diapositive est accepta-
ble, l'utilisateur peut introduire un code "SAV" (mémori-
sation) qui branche le programme sur une section de "mémo-
risation de données de diapositive" 114 du programme. Cette section du programme mémorise les données relatives aux
spécifications de la diapositive sur un des fichiers à dis-
ques. Ces données sont sous une forme condensée et elles
apparaissent dans la disposition illustrée en figure 7.
Ces données sont les seules requises pour contrôler la réa-
lisation d'une diapositive à haut pouvoir résolvant. Spé-
cifiquement, le fichier de données de la figure 7 comporte 400-500 caractères transmis chacun sous forme d'un mot binaire à 8 bits, c'est-àdire qu'une spécification de diapositive complète spécifique renferme 4. 000 bits de
données. Toutefois, la machine de réalisation de diaposi-
tives définitives à haut pouvoir résolvant crée une image avec 1344 x 2016 éléments ayant une des 64 couleurs (6 chiffres binaires), ce qui représente 16.257.024 bits de données binaires. Dès lors, on peut constater que les données de la figure 7 représentent-un tassement important
des données relatives aux diapositives. En conséquence, -
la transmission de ces données via un système à partage
de temps exige très peu de temps et permet ainsi, à l'uti-
lisateur, de réaliser des économies. De même, il est à no-
ter qu'aucun système à partage de temps n'est utilisé au
cours de la création des données relatives aux diapositi-
ves.- 2.3 Structure générale d'un programme dé diagramme
à cases.
N'importe laquelle des différentes diapositives de base illustrées dans les figures 8-14, ainsi que d'autres peuvent être réalisées en utilisant des programmes du type illustré en figure 2. La création de ces programmes rentre
parfaitement dans les compétences d'un programmeur expêri-
menté pour autant qu'il utilise le manuel fourni-avec l'or-
dinateur "Intecolor" et qu'il étudie l'organigramme de la
figure 2. Néanmoins, à titre d'exemple, on expliquera ci-
après un programme spécifique pour la réalisation d'un diagramme d'organisation en se référant aux organigrammes des figures 2 et 4-6, conjointement avec l'identification des variables et matrices de l'annexe 6.1 et du tableau
de programmation de l'annexe 6.2.
La figure 3 illustre un diagramme à cases pouvant
être utilisé pour l'élaboration d'organigrammes ou de dia-
grammes d'organisation. Un espace 120 est prévu en haut pour le titre, tandis qu'un espace 122 est prévu en dessous pour le sous-titre. En dessous du sous-titre, se trouve
une matrice (I, J) de cases 124. Dans cet exemple, on pré-
voit six rangées (I) et cinq colonnes (J), soit, au to-
tal, 30 cases disponibles. A chaque case, est attribué un
numéro d'identification, tandis que des numéros sont égale-
ment attribués aux points situés entre les cases. Tout en bas du diagramme, est prévu un espace 126 pour des remar-
ques. La grille sur laquelle est tracé ce diagramme corres-
pond à une partie de la grille à 160 x 192 éléments du tube
cathodique du terminal.
Le programme pour ce type de diapositive de base pour-
rait interroger l'utilisateur en ce qui concerne le titre qu'il désire, sa couleur, la police de caractères qui le composent, ses dimensions, ainsi que sa justification (c'est-à-dire à gauche, au centre ou à droite). Les mêmes questions pourraient être posées en ce qui concerne le sous- titre et les remarques. Les cases pour l'organigramme pourraient être désignées en introduisant leur numéro d'identification. Le programme convertit alors le numéro de case en un code de rangées et de colonnes (I, J). On introduit ensuite les données concernant la couleur de la case, le texte que renferme cette case, la couleur de ce texte, ainsi que sa justification. Des lignes de jonction représentant des lignes d'autorisation ou des branches de traitement dans un procédé, sont ensuite spécifiées en désignant des numéros de cases ou des points intermédiaires
au début et à la fin des lignes de jonction.
Le programme renferme des équations qui spécifient
l'emplacement de l'espace du titre en fonction des dimen-
sions et de la justification de ce dernier. La même re-
marque s'applique au sous-titre et aux remarques. Les em-
placements et les dimensions des cases sont également dé-
terminés par des équations contenues dans le programme et ce, en fonction du code (I, J). D'après ce qui précède, on peut constater que n'importe quelle diapositive de base peut être définie en utilisant la présentation illustrée en figure 3 et en faisant appel aux équations que renferme le programme pour obtenir un affichage conforme à cette présentation. Par exemple, un programme pour un diagramme à barres verticales pourrait se présenter sous la forme
illustrée en figure 3. Une disposition et un nombre parti-
culiers de barres pourraient être obtenus conjointement avec les numéros d'identification. Le programme pourrait également renfermer des équations définissant la position
et la hauteur des barres, tandis qu'un texte pourrait occu-
per l'emplacement d'un titre et d'un sous-titre. En outre, un texte pourrait être prévu pour identifier les barres, démontrant ainsi que des modifications rentrant dans les compétences de tout programmeur permettraient de changer le concept de base du programme de diagramme à cases pour
représenter des diagrammes à barres verticales, des dia-
grammes à barres horizontales, etc. Toutefois, on compren-
dra que la présente invention réside dans une combinaison
* exceptionnelle d'équipements de traitement de données pro-
grammés et non dans l'un ou l'autre programme particulier
utilisé pour la mise en oeuvre d'une partie de cette com-
binaison.
2.4 Programme spécifique de diagramme à cases.
2.4.1 Section d'initialisation.
Le programme spécifique de diagramme à cases de l'an-
nexe 6.2 correspond à l'organigramme de la figure 2 et il est à même de réaliser la diapositive illustrée en figure
8. La section d'initialisation principale 100 de ce pro-
gramme commence à la ligne [5] du tableau de programmation comme l'indiquent les crochets en figure 2. Au cours de cette partie du programme, des valeurs normalisées pour ce
dernier, par exemple, les dimensions du titre et du sous-
titre, sont chargées, tandis que sont également définies les couleurs dans lesquelles les questions et les réponses sont affichées. Certaines de ces données sont utilisées
ultérieurement par des sous-programmes de service que ren-
ferme le programme, c'est-à-dire les lignes [2000] à [65009]. Dès que l'initialisation est achevée, le programme tombe dans la section d'interprétation de commandes 102 qui
commence à la ligne [200]. L'utilisateur peut alors intro-
duire une commande par le clavier et ses trois premières
247420S
lettres sont contrôlées pour vérifier si elles représen-
tent une commande valable. Dans la négative, le dispositif d'affichage fait-apparaître l'inscription "TRY AGAIN"
(essayez de nouveau) et donne une liste-des commandes dis-
ponibles. A peu près au terme de ce programme, sont pré- vues des étapes de sécurité permettant de s'assurer qu'une commande d'annulation ou de fin d'opération est réellement envisagée.
2.4.2 Section de création.
S'il suit le processus décrit au paragraphe 2.2 de la présente spécification (c'est-à-dire celui intitulé
"Programme général pour le terminal"), l'utilisateur pour-
rait déclencher, par le clavier, la commande "CRE" (créa-
tion) en faisant ainsi passer le programme à la section
de création 104 qui commence sur la ligne [1300] du pro-
gramme. Un organigramme de cette section de création est illustré en figure 4. Comme le montre cet organigramme, cette section est généralement directe, encore que l'on y utilise un certain nombre de sous- programmes. Les lignes [1300] à [1312] du programme initialisent les variables
utilisées dans cette section et font savoir, à un utili-
sateur tentant de créer un diagramme, s'il y est déjà par-
venu. Aussitôt après, la ligne [1315] appelle un sous-pro-
gramme d'entrée de titre localisé à la ligne [0o.ooo]. Ce sous-programme demande, à l'utilisateur, de composer le titre au clavier. Les questions sont posées en une couleur et les réponses sont affichées en une autre couleur du
fait que le sous-programme d'entrée de texte à deux cou-
leurs prévu à la ligne [20.000] est appelé dans ce pro-
gramme (voir ligne [10020]). De même, le texte est contrô-
lé, par le programme de détection de caractères interdits prévu à la ligne [20600], afin de vérifier s'il renferme
un caractère interdit. Dans l'affirmative, ce sous-pro-
gramme fait apparaître l'inscription "ILLEGAL CHARACTER, TRY AGAIN" (Caractère interdit, essayez de nouveau). Après l'introduction d'un titré valable, le programme d'entrée
de titre saute de la ligne [10040] à la ligné [10250].
24742 'o Les étapes intermédiaires sont utilisées dans la section
de modification 108 du programme. Le reste de ce sous-pro-
gramme sollicite le style ou le numéro de police de carac-
tères et vérifie s'il est disponible.-Le programme incré-
mente alors la variable TV (I) en vue de solliciter les mêmes informations pour le sous-titre (espace 122 de la
figure 3) et, ensuite, pour les remarques (espace 126).
Il est à noter que le format de la police de caractères,
la justification et la couleur de ces informations rela-
tives au texte sont établis au cours de l'initialisation.
Toutefois, au cours d'un processus de modification, ces sections du programme d'entrée de titre sont atteintes et ces valeurs peuvent être modifiées. Dès que le titre, le sous-titre et les remarques ont été spécifiés, le sous-programme branche'l'ordinateur à la ligne [1400] de
la section de création du programme.
En commençant à la ligne [1400] comme le montre la
figure 4, le programme fonctionne en interaction avec l'uti-
lisateur pour spécifier les cases requises parmi celles dis-
ponibles en figure 3. A la ligne [1420], le programme af-
fiche l'inscription "BOXES USED (INPUT O WHEN DONE)" (Ca-
ses utilisées (introduire O après l'opération)). A ce mo-
ment, le programme appelle le sous-programme d'-entrée de cases localisé à la ligne 11.000. L'utilisateur commence alors à introduire, par le clavier, le nombre de cases qu'il désire utiliser en réponse à une question "BOX NO" (nombre de cases) posée-par l'ordinateur. Par exemple,
pour créer le diagramme de la figure 8, l'utilisateur pour-
rait commencer par introduire, au clavier, le nombre 13 pour désigner la case aux coordonnées (I, J) (O, 1). Les lignes [11215] à [11260] du sousprogramme d'entrée de
cases contrôlent le numéro de case composé par l'utili-
sateur afin de vérifier s'il est un numéro légal, pour
le convertir ensuite en coordonnées (I, J). Ensuite,. l'or-
dinateur pose une question formulée comme suit "BOX COLOR (TO DELETE A BOX, TYPE /D/ INSTEAD)" (Couleur de case (Pour
supprimer une case, composez plutôt, au clavier, le sym-
bole /D/)). L'utilisateur introduit la couleur, après quoi les lignes [11345] à [11410] du programme vérifient s'il s'agit d'une couleur légale. Dans la négative, le programme
fait apparaître l'inscription "TRY AGAIN" (Essayez de nou-
veau). Ces étapes servent également à noter le nombre de
cases désigné. Le reste du sous-programme d'entrée de ca-
ses interroge l'utilisateur concernant le texte des pre-
mière et deuxième lignes de la case et l'informe qu'il peut introduire seulement 11 caractères. Dans l'exemple
de la figure 8, l'utilisateur pourrait composer, au cla-
vier, les mots "1modèle" pour la ligne 1 et "définition" pour la ligne 2. Ce processus se répète jusqu'à ce que l'utilisateur ait spécifié l'emplacement, la couleur et le texte de toutes les cases qu'il désire utiliser. Dans l'exemple de la figure 8, il pourrait s'agir de cases 13,
17, 35, 75 et 115 de la figure 3. Moyennant l'introduc-
tion d'un "0" par le clavier, l'ordinateur est branché
sur la ligne [1780o de la section de création 104 du pro-
gramme. A partir de cette étape, l'ordinateur est branché sur le sousprogramme d'entrée de lignes de jonction à la
ligne [12.000] du programme. Dans un autre procédé inter-
actif, l'ordinateur demande, à l'utilisateur, d'introduire la phrase "CONNECTING LINES (ENTER O WHEN DONE)", "FROM"
and "TO" (Lignes de jonction (Introduire O après l'opéra-
tion)), "DEPUIS" et "JUSQU'A". Les points de début et de
fin pour les lignes de jonction sont spécifiés par inscrip-
tion au clavier. En se référant à la figure 3, les points des lignes de jonction pour la figure 8 sont (13, 33), (33, 37), (17, 37), (35, 75), (74, 76), (74, 114), (76, 116) et (114, 116). Même si les lignes de jonction pénètrent dans et traversent certaines cases, cela n'apparaîtra pas dans la version finale, étant donné que la couleur de fond pour la case recouvrira toute ligne de jonction contenue dans une case, si bien que cette ligne semblera se terminer au
bord de cette dernière. Les lignes [12140] à [1220] du pro-
gramme vérifient si les paires de points sont légales;
des lignes diagonales ne sont pas admises. Ce sous-pro-
247420s gramme se répète jusqu'à ce qu'un "0" ait été inscrit au
clavier ou jusqu'à ce que 50 lignes aient été spécifiées.
Ensuite, le contrôle de programmation repasse à la sec-
tion de création du programme à la ligne [1784]. Dès ce moment et jusqu'à la fin de la section de création, l'or- dinateur interroge l'utilisateur en ce qui concerne la
couleur des titres, le texte des cases, les lignes de jonc-
tion et la couleur de fond. Dès que ces données ont été
spécifiées en appuyant sur les touches de couleurs du cla-
vier 54, le contrôle de programmation repasse à la sec-
tion d'interprétation de commandes 102 du programme (fi-
gure 2) à l'étape [200].
2.4.3 Section d'affichage.
Toutes les étapes requises pour créer la diapositive à ce stade ont été effectuées avec le micro-ordinateur sans faire appel au système à partage de temps, permettant ainsi de réaliser des économies considérables dans le coût de création de la diapositive. Normalement, à ce stade,
l'utilisateur souhaite avoir une représentation approxima-
tive (telle que celle illustrée en figure 8A) de la dia-
positive définitive qu'il a spécifiée. A cet effet, il fait
intervenir la commande "DIS" (affichage).
Comme on peut le constater à la ligne [224] du tableau
de programmation de l'Annexe 6.A, la commande "DIS" (affi-
chage) provoque un branchement à la ligne [1945] qui est la section d'affichage 106 du programme. Un organigramme de
cette section est illustré en figure 5. Le programme ini-
tialise tout d'abord l'ordinateur en réglant le terminal en mode page par page, en définissant la couleur de fond et en effaçant les informations affichées sur l'écran. De même, une décision est prise (ligne [1952]) quant à savoir
si un contour blanc doit être peint pour délimiter la sur-
face de la diapositive. Ce contour blanc n'est envisagé que si le fond est noir. Si ce fond est d'une certaine couleur, l'étendue de cette dernière définira les limites de la diapositive. Les lignes horizontales pour les cases
sont tracées par les étapes [2000] à [2105] du programme.
Les côtés verticaux de chaque case sont tracés par les étapes [2120] à [2220] du programme. Ensuite, le programme ajoute les lignes de jonction au cours des étapes [2290] à [2440]. Les étapes [2490] à [2600] du programme remplissent le centre des cases avec les couleurs spécifiées par l'uti-
lisateur. Moyennant l'utilisation d'un sous-programme d'af-
fichage de titre commençant à la ligne [13.000], les lignes [2990] à [3410] du programme agissent pour localiser et afficher, chaque fois dans les couleurs appropriées, le texte inséré dans la case, le titre, le soustitre et les remarques.
Le reste de la section d'affichage du programme véri-
fie si un tableau de couleurs a été spécifié (ligne [3499]), il ajoute un tableau de couleurs en haut de la diapositive
et il affiche les numéros choisis pour chaque couleur affi-
chée, si le tableau de couleurs est présent. Cette partie
du programme vérifie également si un numéro d'identifica-
tion d'utilisateur a été spécifié (ligne [3810]) et, dans
l'affirmative, elle imprime ce numéro. Ces fonctions se-
ront décrites ci-après plus en détail en se référant aux
sections 110 et 112 du programme.
A la fin de la section d'affichage du programme, le contrôle de programmation revient à l'étape [200] de la
section d'interprétation de commandes 102.
Etant donné que, à ce stade, il n'y a eu aucune in- troduction.de données en dessous de la section d'identifi-
cation 110 et de la section de classification des couleurs 112 du programme, ces informations ne sont pas affichées sur l'écran du tube cathodique. S'il a été ajouté, le code
d'identification 130 pourrait apparaître dans le coin su-
périeur droit de l'écran et le tableau des couleurs 132,
dans le coin supérieur gauche comme le montre la figure 8A.
En tout cas, l'utilisateur apercevra les cases qu'il a sé-
lectionnées dans les emplacements appropriés et avec les lignes de jonction correctes. Les titres, sous-titres et remarques seront affichés dans une police de caractères et une dimension normalisées et non sous la forme définitive illustrée en figure 8B, tout comme le texte figurant dans
les cases. Des zones rectangulaires 134 et 135 seront dé-
limitées pour indiquer l'espace requis par le titre et le sous-titre réels dans la diapositive définitive (comparer avec la figure 8B). Si des remarques figurent dans la dia-
positive de la figure 8, une zone rectangulaire supplémen-
taire pourrait également être affichée. Toutes les couleurs
sélectionnées seront utilisées dans leurs emplacements cor-
rects.
2.4.4 Section de modification.
Il peut arriver que l'utilisateur ne soit pas satis-
fait de la diapositive et qu'il souhaite la modifier. A- cet
effet, il introduit, par le clavier, la commande "MOD" (Mo-
dification), ce qui a pour effet de brancher le programme prévu à la ligne [228] à la section de modification 108 du
programme localisé à la ligne-[4000]. Un organigramme géné-
ral de cette section de modification est illustré en figure 6A. Dans la section de modification du programme, il est demandé, à l'utilisateur, d' "INTRODUIRE UNE MODIFICATION"1 dans une couleur, sa réponse étant affichée en une autre couleur grâce au sous-programme de service prévu à la ligne [20.000]. Suivant la commande introduite, le programme est
branché dans plusieurs directions. S'il s'agit d'une com-
mande "BOX" (Case), le contrôle de programmation passe à
la ligne (5200) qui est le point de départ du sous-pro-
gramme d'entrée de cases- localisé à l'étape (11.000), ainsi
qu'on l'a décrit en se référant à la section de création.
Avec ce sous-programme, l'utilisateur peut ajouter ou sup-
primer des cases qui ont été spécifiées dans la section de
création. Aussitôt après, le contrôle de programmation re-
vient à l'étape (4.000) pour la commande suivante.
Une commande "CON" (Jonction) branche la section de modification sur l'étape (5600) qui est le point de départ
d'un sous-programme interactif (illustré en figure 6B) per-
mettant la suppression ou l'addition de lignes de jonc-
tion. Les étapes (5600)-à (5690) ajoutent de nouvelles lignes de jonction, tandis que les étapes (5700) à (5994) en suppriment. La décision quant à savoir s'il convient de procéder à une addition ou une suppression, est prise
par l'utilisateur qui introduit à cet effet, par le cla-
vier, la lettre "A" (Addition) ou "D" (Suppression), bran- chant ainsi le programme sur la section d'addition ou la section de suppression. L'addition de lignes s'effectue sous le contrôle du sous-programme d'entrée de lignes de jonction localisé à la ligne (12.000) et qui a été décrit en se référant à la section de création. Lorsque toutes
les lignes prévues ont été ajoutées ou supprimées, l'uti-
lisateur introduit, par le clavier, un "0", ramenant ain-
si le programme à l'étape (4000). La section de suppres-
sion interroge tout d'abord l'utilisateur sur les "LIGNES A SUPPRIMER, DEPUIS, JUSQU'A". Si la réponse "depuis le point" ou "jusqu'au point" est zéro, le programme repasse à la ligne (4000), c'est-à-dire le point de départ de la section de modification 108. Si aucune des réponses n'est
zéro, le programme vérifie, à la ligne (5750), s'il exis-
te une paire de ce type. En absence de cette dernière, le programme le signale à l'utilisateur et énumère les lignes qui ont été sélectionnées, permettant ainsi d'effectuer un choix adéquat. Ensuite, le programme sollicite une nouvelle sélection. Lorsque le choix des points représente une ligne
existante, le programme supprime cette dernière en une sé-
rie d'étapes partant de la ligne [5910]. Après la suppres-
sion de la ligne, le programme repasse à la ligne [5700] et
interroge l'utilisateur en ce qui concerne la paire suivan-
te de points définissant une ligne à supprimer. Lorsque toutes les lignes ont été supprimées, l'utilisateur peut
repasser à la section d'interprétation de commandes du pro-
gramme en introduisant un "Q" au clavier.
Une commande "DON" (figure 6A) indique qu'aucune mo-
dification complémentaire ne doit être apportée et le pro-
gramme repasse alors à la section d'interprétation de com-
mandes. En variante, l'utilisateur peut déclencher la com-
mande "DIS" criui envoie.e programme à la section d'affi-
chage 106 sans passer par la section d'interprétation de commandes. En dehors des commandes spéciales (à savoir BOX, CON, DON et DIS), la section de modification peut également agir sur des commandes générales de la forme: XY = Z. La lettre
X est un préfixe à un seul caractère qui spécifie les ca-
ractéristiques à modifier, c'est-à-dire, "C" pour couleur, "T" pour texte, "FI' pour police de caractères, "J" pour
justification et "S" pour "dimension". La lettre Y repré-
sente plusieurs caractères indiquant l'objet et l'article
à modifier, par exemple, BX15L2 pour ligne 2, case 15.
D'autres objets sont "T" pour titre, "L" pour ligne, "CL"
pour ligne de jonction et "BG" pour fond. Dans la comman-
de, Z représente la nouvelle valeur de l'objet et de l'ar-
ticle. En conséquence, la commande générale "TBX13Ll = "ECHANTILLON" pourrait modifier la première ligne du texte de la case 13 comme suit: "Sample Definition" (Définition
de l'Echantillon) au lieu de "Model Definition" (Défini-
tion du Modèle). (Voir figure 8A).
Lorsqu'une commande générale est introduite par le clavier, la section de modification du programme appelle
un sous-programme de service d'analyse de commande de chan-
gement qui commence à la ligne [20.700] et se termine à la ligne [20.790]. Ce sous-programme qui est illustré dans les
figures 6C et 6D, initialise tout d'abord certaines va-
riables, puis vérifie l'existence du signe "=" à la ligne [20715]. En absence de ce signe, le sous-programme prend
fin tandis que, en présence de ce signe, la nouvelle va-
leur et le préfixe sont mémorisés. Essentiellement, ce
sous-programme décompose la commande en ses parties con-
stitutives moyennant l'utilisation d'une variable J et d'in-
structions de branchement présentes sur les lignes [20734],
[20736] et [20742]. La variable J représente successive-
ment chaque caractère de la commande précédant le signe "=". Ce J fait l'objet d'un contrôle pour vérifier s'il
est un nombre ou un symbole alphabétique et s'il consti-
tue la fin du code. En conséquence, le préfixe, l'objet et l'article sont identifiés. Ensuite, dans la partie du sous-programme illustrée en figure 6D, les parties de la commande sont séparées aux lignes (20754) à (20760). La validité du préfixe et de la dénomination de l'objet est contrôlée par la partie du sous-programme située aux lignes (20766-20775) et (2078220785) respectivement. Toutefois, la validité du numéro de l'article n'est pas vérifiée à ce point. De ce sous-programme, le programme passe à l'étape (4050) (figure 6A) gui vérifie si la commande s'est avérée valable. Dans la négative, le programme passe à la
ligne (4060), puis à la ligne (4995) qui imprime le messa-
ge d'erreur "NO SUCH OBJECT! TRY AGAIN" (Pas d'objet de ce type! Essayez de nouveau), pour retourner ensuite au début de la section de modification. Si la commande est valable, le programme passe à la ligne (4070) o se trouve
une instruction de branchement contrôlée par le préfixe.
La figure 6A illustre le sous-programme après une instruction de branchement pour un préfixe "C". Les autres sous-programmes sont semblables et renvoient le contrôle
de programmation à l'étape (4000) lorsqu'ils sont achevés.
En particulier, un l'T" (texte) branche le sous-programme -
sur la section de modification de texte à la ligne (4200),
un "F" (police de caractères), sur la section de modifica-
tion de police de caractères de la-ligne (4300), un "J" (justification), sur la ligne (4400) et un "S" (dimension), sur la section de modification de dimension à la ligne (4500). Le préfixe "C" branche le programme sur la ligne
(4100) o une décision est prise quant à savoir si la nou-
velle couleur est légale. Dans la négative, le message
d'erreur à la ligne (4108) est imprimé et le programme re-
passe à l'étape (4000). Lorsque la couleur est légale, le programme passe à la ligne (4109) qui est une commande de
branchement pour l'objet, c'est-à-dire que, suivant l'ob-
jet, le contrôle de programmation est branché sur diffé-
rentes parties du programme. A titre d'exemple, le pro-
gramme passe à l'étape (4120) si l'objet est une case c'est-
à-dire une commande contenant le symbole BX. Cette partie
24742O5
du programme vérifie si le numéro de l'article est légal, puis elle attribue la nouvelle couleur à la case à l'étape
(4125). Ensuite, le programme- revient à la ligne de com-
mande de modification d'entrée (4000). Les autres aiguilla-
ges partant de la ligne (4109) fonctionnent de la même ma- nière et renvoient le programme à la ligne (4000) dès qu'une commande a été exécutée. Si l'utilisateur introduit, au clavier, la commande "DON" (Pas de modification) ou "O",
le programme revient à la section d'interprétation de com-
mandes 102 (figure 2) et attend une nouvelle commande.
Etant donné que la diapositive a été modifiée, l'uti-
lisateur souhaitera probablement visualiser les résultats
et, à cet effet, il introduit, au clavier, la commande -
"DIS" grâce à laquelle la diapositive modifiée sera affi-
chée sur l'écran du tube cathodique ainsi qu'on l'a décrit.
précédemment. Si l'utilisateur est à présent satisfait, il peut procéder aux opérations finales de préparation en vue
de transmettre les données à un appareil de réalisation de -
diapositives éloigné.
2.4.5 Section d'identification.
Afin d'assurer une identification correcte à l'appa-
reil de réalisation de diapositives,-l'utilisateur peut in-
troduire un code d'identification. Ce code apparaîtra sur la diapositive, mais il occupera une position telle qu'il n'apparaîtra pas sur l'écran lorsque la diapositive est
visionnée à l'aide d'un projecteur de diapositives ordi-
naire. Afin d'introduire ces informations, l'utilisateur compose, au clavier, le code "IDE" (Identification) qui branche le programme sur la section d'identification 110 (figure 2) commençant à la ligne (6000). Il s'agit ici d'un sous-programme interactif direct qui pose des questions concernant les données suivantes: "CUSTOMER ID" (Identité du client), "CUSTOMER SEQ NO." (Numéro d'ordre du client), "SLIDE TYPE NO." (Numéro du type de diapositive) et "FILE
NAME" (Nom de fichier). Des conventions peuvent être éta-
blies par l'appareil de réalisation de diapositives en ce qui concerne le type de-réponse qu'il convient de formuler à chacune de ces questions. Toutefois, la caractéristique
importante réside dans le fait que les informations d'iden-
tification font partie du format de données illustré en
figure 7 et spécifiant l'ensemble de la diapositive.
* 2.4.6 Section de classification des couleurs.
Etant donné que le micro-ordinateur est à même d'affi-
cher seulement 8 couleurs et que le tube cathodique à haut
pouvoir résolvant de l'appareil enregistreur de diaposi-
tives 74 (figure 1) peut afficher 64 couleurs, l'utilisa-
teur peut choisir de faire apparaître, sous forme d'une
couleur différente dans la diapositive définitive, n'impor-
te laquelle ou toutes les couleurs affichées sur le tube cathodique 52. A cet effet, l'utilisateur introduit la
commande "TAB" (Classification) qui fait passer l'ordina-
teur à la section de classification des couleurs 112 du programme à la ligne [7000]. Le programme localisé à la ligne [7005] demande alors, à l'utilisateur, s'il désire l'assortiment de couleurs normalisées, c'est-àdire les couleurs disponibles sur le mini-ordinateur et qui sont
i-e.1ntifiées par les chiffres 1-8. Si l'utilisateur intro-
duit, au clavier, des informations autres que "Y" ou "N", le programme répète la question. Si l'utilisateur indique qu'il désire les couleurs normalisées, les couleurs 1 à 8 sont attribuées à la ligne [7015]. -Au cas o les couleurs normalisées ne sont pas souhaitées, le programme passe à la ligne [7021]. et demande, à l'utilisateur, d' "INTRODUIRE,
AU CLAVIER, UN NUMERO DE COULEUR POUR CHAQUE TOUCHE DE COU-
LEUR". Pour chaque couleur de l'assortiment normalisé pré-
vu sur le clavier du terminal, l'utilisateur introduit alors, par ce clavier, un nombre de 1 à 64, faisant ainsi
apparaître la couleur normalisée dans la diapositive défi-
nitive avec la couleur spécifiée. Afin de rappeler, à l'uti-
lisateur, le choix qu'il a effectué, un tableau de couleurs
apparaîtra avec de petits échantillons des couleurs norma-
lisées, suivis du nombre que l'utilisateur à choisi, cha-
que fois que la diapositive est affichée sur le tube ca-
thodioue. Il est à noter que le choix de l'utilisateur
n'est pas limité à la modification d'une des couleurs nor-
malisées en une nuance différente de cette couleur. Il peut la modifier en une couleur totalement différente. C'est ainsi que le système présente une souplesse d'utilisation supplémentaire grâce à laquelle on peut procéder à un chan-
gement de couleur sans passer par la section de modifica-
tion du programme.
2.4.7 Section de mémorisation de données de diaposi-
tives. Dès que toutes les valeurs pour la diapositive ont été introduites, les données telles que celles illustrées en
figure 7, peuvent être mémorisées, c'est-à-dire enregis-
trées sur un petit disque souple avec une commande "SAV" (Mémorisation). Cette commande fait passer le programme à
la section de mémorisation 114 à la ligne [8000]. Initiale-
ment, cette section du programme contrôle les données pour
s'assurer qu'une diapositive complète a été spécifiée. En-
suite, elle calcule la longueur de la chaîne de données
spécifiant la diapositive, puis elle imprime le résultat.
Le programme convertit les données en "code numérique
ASCII" et les mémorise ensuite dans une partie de la mé-
moire utilisée comme mémoire tampon. Ces opérations sont effectuées à l'aide d'une instruction du micro-ordinateur appelée "POKE" qui est une commande de mémorisation. Ces
commandes "POKE" sont sous la forme (adresse, valeur à mé-
moriser). L'adresse est spécifiée dans cette section du programme sous forme de la variable J (ligne [8105]) qui
désigne l'emplacement de mémorisation suivant disponible.
Dès que les données sont mémorisées, elles sont transfé-
rées de la mémoire tampon sur le petit disque à la ligne
- [8460] et le contrôle de programmation revient à la sec-
- tion d'interprétation du programme à la ligne [200]. Si
les informations doivent être transmises du micro-ordina-
teur au système à partage de temps, puis à l'appareil de réalisation-de diapositives éloigné, on utilise deux autres programmes, à savoir des programmes "PREP" (Préparation) et "SENDER" (Transmission). Ces programmes appartiennent
au micro-ordinateur et ne sont pas représentés. Le pro-
gramme PREPARATION pose, à l'utilisateur, des questions
concernant l'emplacement qu'il a choisi et les spécifi-
cations de la diapositive qui doivent être transmises. Le programme TRANSMISSION lit les données enregistrées sur le
disque, il les traduit et les transmet sur le réseau.
2.4.8 Section d'acquisition de données de diapositives.
La diapositive créée dont les données ont été mémori-
sées de la manière décrite ci-dessus, est alors accessible
à l'utilisateur. Celui-ci peut obtenir ces données en in-
troduisant la commande "1GET"' (Acquisition) qui branche le programme sur la ligne [9000], soit le début de la section
d' "acquisition de données de diapositives" 116 du pro-
gramme. Au début de ce programme, l'utilisateur est inter-
rogé concernant le nom de fichier et le numéro de version du fichier de données qu'il désire. Le programme vérifie
alors si le disque approprié est disponible. Dans l'affir-
mative, le micro-ordinateur utilise une instruction de la forme: A = PEEK (adresse). Il s'agit d'une instruction de lecture qui transfère les informations du disque dans la mémoire active du micro-ordinateur. Aussitôt après, ces informations peuvent être affichées et/ou modifiées, puis
réenregistrées sur le disque.
Les données compactes de la figure 7 fournissent, à
l'utilisateur, un numéro d'identification dans les 17 pre-
miers caractères. Chacun de ces caractères est dans un code binaire à six bits. Les caractères 18-33 sont utilisés pour
spécifier les couleurs choisies dans la section de classi-
fication des couleurs du programme. La couleur de fond de la diapositive suit ces informations de classification des couleurs. Dans les trois sections suivantes, sont définis la justification, la police de caractères, la dimension, la couleur, le nombre de caractères, ainsi que le texte pour le titre, le sous-titre et les remarques. La couleur
des lignes de jonction et les paires de points qui défi-
nissent ces dernières, sont spécifiées dans la section sui-
vante. Sont ensuite définis, les paramètres des cases, c'est-à-dire la justification de leur texte, la police de
caractères et la dimension, ainsi que la couleur de la bor-
dure et le nombre de cases. Suivent alors les spécifica-
tions pour chaque case, lesquelles comprennent le nombre de noeuds pour la case, la couleur et la dimension de celle-ci, le nombre de caractères pour le texte, ainsi que le texte lui-même. La fin de la transmission est indiquée
par un délimiteur final.
A ce stade, il est à noter que la diapositive affichée sur le tube cathodique du terminal-(figure 8A) diffère de
la diapositive définitive sous un certain nombre d'aspects.
En particulier, le pouvoir résolvant des éléments d'image de la diapositive définitive est de loin supérieur à celui
de la diapositive affichée au terminal. De même, la dia-
positive définitive présente une plus grande variété de cou-
leurs, de polices de caractères et de dimensions. En outre, des éléments auxiliaires tels que les rectangles 134 et 135 de la figure 8A qui indiquent la dimension approximative du titre et du sous-titre définitifs, n'apparaissent pas
sur la diapositive définitive. Dès lors, lorsqu'il est spé-
cifié, dans la présente spécification, que la diapositive définitive possède un "meilleur" pouvoir résolvant ou un pouvoir résolvant "supérieur" vis-à-vis de la diapositive affichée au terminal, cela signifie non seulement que la
diapositive définitive comporte un plus grand nombre d'élé-
ments d'image (points de trame), mais également qu'elle renferme des caractères en un plus grand nombre de styles
et de dimensions, ainsi qu'un plus grand nombre de cou-
leurs.
3. TRANSMISSION DE DONNEES.
Ainsi qu'on l'a décrit précédemment en se référant à la figure 1, les données de spécification de diapositives
peuvent être acheminées des terminaux d'affichage à micro-
ordinateur 50 à l'ordinateur central de grande puissance 70
de diverses manières et par différents moyens. Dans la for-
me de réalisation préférée, on utilise un système d'ordi-
nateur "IBM" de "traitement par lots" pour le calcul des diapositives, si bien que les données doivent également être converties du format produit aux terminaux d'affichage
à micro-ordinateur en un format acceptable pour cet ordina-
teur. En particulier, tous les enregistrements fournis à l'or-
dinateur "IBM" doivent être recomposés en "images de cartes" c'est-à-dire qu'ils doivent être des enregistrements de
longueur fixe avec 80 caractères (groupes de positions binai-
res) par enregistrement en code EBCDIC.
En conséquence, que ce soit dans l'ordinateur exploité en partage de temps 62 ou dans le mini-ordinateur 68 (figure 1), les données doivent être traduites dans le format décrit
ci-après. Etant donné que cette traduction nécessite simple-
ment une réorganisation des bits définissant chaque carac-
tère, ainsi que des caractères définissant les données, la créaction d'un programme d'ordinateur permettant d'effectuer cette traduction rentre parfaitement dans les compétences de
tout programmeur.
3.1 Entres de diapositive Chaque fichier d'entrée transmis à l'ordinateur "IBM"
et qui est un paquet de cartes, un fichier sur bande perfo-
rée ou un fichier sur bande magnétique, est constitué d'une
ou plusieurs "entrées de diapositives". Dans le cas d'en-
trées de diapositives multiples, celles-ci sont simplement classées l'une à la suite de l'autre comme illustré en
figure 15.
Chaque entrée de diapositive comporte quatre parties, à savoir: (1) une identification de diapositive; (2) une spécification de diapositive;
(3) une spécification d'image d'imprimante (faculta-
tive); et
(4) une carte TERMINALE.
Ces quatre parties seront décrites en détail dans les paragraphes ciaprès en utilisant un diagramme à cases
comme exemple.
24*4205
3.1.1 Identification de diapositive (Partie 1) Cette partie ne comporte qu'une carte. Elle contient le nombre de types de diapositives, la couleur du fond, le nombre de copies, les limites de fenêtre d'image, ainsi que des informations de comptabilisation. Cette carte apparaît
tout d'abord dans l'entrée de diapositive.
Plus particulièrement, le format de la carte d'iden-
tification de diapositive est le suivant:
ITYPE, KLBKGD, NCOPY, LMTX1, LMTX2, LMTY1, LMTY2
IHEAD, (315,5X,415,40A)
ITYPE - Numéro de type pour cette diapositive; par exemple, 01 signifie un diagramme à 5 - 10 cases en une
seule couleur disposées en deux rangées ou niveaux.
Le tableau 1 ci-après donne une liste d'échantil-
lons de numéros de types de diapositives pour un
diagramme à cases.
KLBKGD - Numéro de couleur pour le fond; ce numéro peut
être un nombre allant de 1 à 64.
NCOPY - Nombre de copies pour cette diapositive. Le blanc
représente une copie.
LMTXl - Définit les limites gauche,droite, inférieure et
LMTX2 supérieure des points de trame pour cette diaposi-
tive. LMTY1 - Les limites de blanc sont 73,1944,49, avec 1296
LMTY2 points de trame. En réglant correctement ces limi-
tes, l'utilisateur a la possibilité de relocali-
ser et de recadrer la diapositive à l'intérieur
de l'image de 2016 x 1344 points de trame.
IHEAD - Informations de comptabilisation pour cette diapo-
sitive, jusqu'à 40 caractères, y compris les
blancs. Ces informations peuvent contenir l'iden-
tité du terminal d'affichage à micro-ordinateur
qui fournit la spécification de la diapositive.
24?4205
ITYPE (Type de tive 1 Diagramme à 2 il 3 Il Il 4 if Il 6 Il! l Il Il Il Il tI i1!1 Ilf Il il il
TABLEAU 1
diaposi- Nombre de cases cases 5-10
" 5-10
" - 15-20
" 15-20
-30 -30 ETC.
Description
2 niveaux, une couleur 2 niveaux, deux couleurs 3-4 niveaux, une couleur
3-4 niveaux, deux cou-
leurs niveaux, une couleur niveaux, deux cou- leurs il II 3.1.2 Spécification de diapositive (Partie 2) Cette partie d'entrée spécifie les détails de cette diapositive courante: positions, couleurs, textes, etc.
Etant donné que les différents types de diapositives ren-
ferment des données d'entrée différentes, la nature de
la spécification de diapositive dépendra du numéro défi-
ni par ITYPE. Le tableau 2 ci-après illustre tous les
types de diapositives avec-leur numéro ITYPE correspondant.
TABLEAU 2
Type de diapositive Diagrammes à cases Diagrammes.à barres verticales Diagrammes à barres horizontales Graphiques, Diagrammes de zones - ITYPE No 1 - 9 - 19 - 39 - 29 - 49 Diagrammes à secteurs circulaires 50 Diapositives à texte 56 - 69 - 89 Diagrammes tabulaires 90 - 99
Pour un diagramme à cases (c'est-à-dire lorsque le.
numéro ITYPE figurant sur la carte d'identification de dia-
positive se situe entre 1 et 9), les cartes d'entrée ci-
après comprennent les spécifications de diapositives sui-
vantes:-
Carte nO 1: Carte de titre
ICLR, IFNT, ISIZ, KOLOR, NSTRNG, ITEXT (513, 3X,62A1)
ICLR - Paramètre indiquant si le titre doit être
cadré à gauche, cadré à droite ou centré.
ICLR = 1 cadré à gauche = 2 centré = 3 cadré à droite Le blanc est ICLR = 2 IFNT - Type de police de caractères dans cette
chaîne de textes de titre.
Par exemple:
IFNT = 1 Helvetica moyen = 2 Helvetica mince = 3 Helvetica mi-gras Le blanc est IFNT = 1 ISIZ - Dimension des caractères dans cette chaîne de textes de titre. Cette dimension peut
être un nombre allant de 1 à 8.
Le blanc est ISIZ = 6 (4 sur 48 lignes d'écran. Le tableau 4 ci-après donne une
description complète de l'ensemble des 8
dimensions). KOLOR - Numéro de couleur pour le titre: n'importe
quel nombre allant de 1 à 64.
NSTRNG - Nombre de chaînes de textes dans le titre
(doit être 1). Aucune valeur de blanc.
ITEXT - Chaîne de textes pour le titre; pas plus de 60 caractères. Cette chaine de textes doit être entamée et interrompue par un "délimiteur". Ce délimiteur est défini comme
le premier caractère de cette chaîne de tex-
tes. Par exemple, la chaîne de textes sui-
vante: /This is an example /, (Ceci est un exemple) signifie-le titre pourrait-être "This is an example " (total de 21 caractères), o
le signe / est défini comme le délimiteur.
Le blanc s'étend sur une ligne.
N2: Carte de sous-titre.
ICLR, IFNT, ISIZ, KOLOR, NSTRNG, ITEXT (513,3X,62A1)
ICLR - Ce paramètre est ignoré pour le sous-titre.
Le programme règle intérieurement ce paramè-
tre à une valeur égale au paramètre corres-
pondant du titre. En d'autres termes,si le titre est centré (ou cadré à gauche/droite),
il en est de même pour le sous-titre.
IFNT - Type de police de caractères pour le sous-
titre. Tout nombre allant de 1 à 3. Le blanc est le type de police decaractères pour le titre. ISIZ - Dimension des caractères pour le soustitre: tout nombre allant de 1 à 8. Le blanc est 4
(2 sur 48 lignes d'écran).
KOLOR - Couleur pour le sous-titre: tout nombre al-
lant de 1 à 64. Le blanc est la couleur pour
le titre.
NSTRNG - Nombre de chaînes de textes pour le sous-
titre (doit être 1): Aucune valeur de blanc.
ITEXT - Chaîne de textes pour le sous-titre; pas
plus de 60 caractères.
N 3: Carte de remarques
ICLR, IFNT, ISIZ, KOLOR, NSTRNG, ITEXT (513, 3X 62A1)
ICLR - Ignoré pour les remarques. La valeur est ré-
glée de façon à être la même que pour le sous-titre.
IFNT - Type de police de caractères pour les remar-
ques. N'importe quel nombre désignant une police de caractères. Le blanc est le type
de police de caractères pour le sous-titre.
ISIZ - Dimension des caractères pour les remarques; tout nombre se situant entre 1 et 8. Le Carte Carte
blanc est 1 (1 sur 48 lignes d'écran).
KOLOR - Couleur pour les remarques; tout nombre al-
lant de 1 à 64. Le blanc représente la couleur
pour le sous-titre.
NSTRNG - Nombre de chaînes de textes pour les remarques
(doit être 1).
ITEXT - Chaîne de textes pour les remarques; pas
plus de 60 caractères.
Carte N04 Police de caractères, dimension des textes des cases, couleurs des lignes de jonction et des
lignes de délimitation des cases.
LFNT, LSIZ, LCOL (3110)
LFNT - Type de police de caractères des chaînes de textes dans toutes les cases; peut être n'importe quel nombre désignant une police de caractères. Le blanc représente le type
de police de caractères pour les remarques.
LSIZ - Dimension des caractères pour les chaînes de
textes dans toutes les cases; peut être n'im-
porte quel nombre allant de 1 à 8. Le blanc
est 1.
LCOL - Numéro de couleur pour les lignes de jonction et les lignes de délimitation des cases; peut
être n'importe quel nombre allant de 1 à 64.
Le blanc représente la couleur pour les re-
marques. Carte N05 Lignes de jonction
(KLINE(1,K), KLINE(2,K), K=1,4) (8Z10)
KLINE(1,K),KLINE(2,K) - Specifie les points nodaux de départ et de terminaison pour
les lignes de jonction.
Chaque carte peut comporter 4 lignes de jonction (2 nombres
pour chaque ligne de jonction). Cette carte est répétée au-
tant de fois qu'il est nécessaire. Les données sont termi-
nées par une ligne de jonction en blanc (c'est-à-dire en
laissant en blanc deux entrées consécutives).
Carte N06: Identification de case, couleur de case, couleur
de texte, texte.
IDBOX, KLBOX, NLINE, (KLIBOX(I),I=1,2),ITEXT (Z3,
*413,3X,25A1)
IDBOX - Numéro de noeud de la case (Voir figure 3). KLBOX - Couleur de la case; peut être n'importe quel nombre allant de 1 à 64. Le blanc représente
la couleur du fond.
NLINE - Nombre de lignes de texte dans cette case
(1 ou 2). Le blanc est 1.
(KLIBOX(I),I=1,2) - Couleur de la ligne de texte 1 et de la ligne de texte 2 (s'il y a
lieu); tout nombre allant de 1 à 64.
Le blanc pour la ligne 1 représente
la couleur des lignes de jonction.
Le blanc pour la ligne 2 représente
la couleur pour la ligne 1.
ITEXT - Texte pour cette case, l ou 2 chaînes. Chaque
chaîne doit être entourée par un délimiteur.
Blanc.
Cette carte est répétée autant de fois qu'il est nécessaire.
Une carte vierge termine la spécification de la diapositive.
3.1.3 Spécification d'image d'imprimante (Partie 3)
Cette partie d'entrée offre, à l'utilisateur, la facul-
té d'obtenir des "images" d'imprimante ligne par ligne de cette diapositive. L'utilisateur spécifie la zone de vision
de cette image d'imprimante sur une diapositive donnée.
Il peut obtenir autant d'images d'imprimante qu'il le désire
à partir de différentes zones de cette diapositive.
Le format des données pour chaque image d'imprimante est le suivant:
IXl, IX2, MYl, IY2 (4I10).
IXl, IX2 - spécifie les limites de gauche et de droite
de la zone de vision.
IYI, IY2 - spécifie les limites inférieure et supérieure.
Les unités pour toutes les limites sont des unités de points de trame. Par exemple, la carte suivante:
- 2474205
1 2016 1 1344
illustre-l'ensemble de la diapositive sur l'imprimante.
Toutefois, étant donné qu'une image d'imprimante ne compor-
te que 96 x 64 points, l'imprimante imprime seulement tous les 2016/96=21 points. Autre exemple - la carte ci-après
1008 2016 672 1344
représente le quart supérieur droit de cette diapositive pour cette image d'imprimante. Elle imprime tous les
1008/96 = 10 points.
L'utilisateur peut spécifier n'importe quelle zone de vision autant de fois qu'il le désire (en répétant cet-te carte). Cette partie d'entrée est terminée par une carte vierge. Un exemple spécifique est illustré en figure 16. La première carte spécifie une image d'imprimante couvrant la zone de vision de 1 à 2016 (de gauche à droite) et de 1 à
1344(de bas en haut). La deuxième carte (carte vierge) ter-
mine cette partie d'entrée.
Il est à noter que, si l'utilisateur ne désire aucune image d'imprimante, il doit toujours utiliser une car-te
vierge pour terminer cette partie d'entrée.
3.1.4 Carte terminale (Partie 4) Cette partie d'entrée indique la fin de l'entrée de diapositive pour la diapositive courante. Elle comporte une seule carte sur laquelle est inscrit le mot "END" (Fin) dans les colonnes 1 à 3. Le format des données pour cette carte est le suivant lEND (A4) Cette carte doit être suivie immédiatement de la carte
d'identification de la diapositive suivante.
4. REALISATION D'IMAGES DIGITALISEES PAR ORDINATEUR
On utilise un ordinateur "IBM 360/75 pour calculer la
couleur de chaque point de trame de l'image en vue de réa-
liser la diapositive. Ainsi qu'on l'-a mentionné ci-dessus, cette image a un pouvoir résolvant de 1344 unités de trame
en hauteur et de 2016 unités de trame en largeur. L'ordina-
teur fournit une bande sortie sur laquelle est mémorisée l'intensité de chaque point de trame pour les trois couleurs
primaires, à savoir le rouge, le vert et le bleu respecti-
vement. L'ordinateur reçoit l'entrée de diapositive dans le format décrit ci-dessus et il a accès, selon les nécessités,
aux données codées numériquement qui définissent chaque carac-
tère ou symbole devant être inclus dans la diapositive. Ces
données codées sont conservées dans une "bibliothèque de sym-
boles" sur un fichier à disques pour un accès aisé par l'or-
dinateur. On peut utiliser n'importe quel code connu pour la production et le codage des données symboliques (certains codes connus sont décrits dans les brevets des Etats-Unis d'Amérique 3.305.841, 3.471.848 et 4.029. 947); la technique préférée pour la création de la bibliothèque de symboles sera
décrite ci-après.
4.1 Traitement des données symboliques La figure 17 illustre les étapes requises pour coder numériquement chaque caractère ou symbole. Les données pour tous les caractères ou symboles sont mémorisées sur le fichier
à disques 214, si bien que ce dernier sera appelé "bibliothè-
que de symboles".
Afin de créer une bibliothèque de symboles, une image réelle de chaque symbole sur support en papier, c'est-à-dire des "représentations graphiques des symboles" 202, est balayée
par un lecteur optique 204 pour enregistrer des données "bru-
tes" sur une bande magnétique 206. Cette bande magnétique est lue par l'ordinateur "IBM", puis traitée par un programme de
logiciel 208 appelé "BANDE" afin de convertir les données ba-
layées par le lecteur optique en un format de points de trame normalisé. Chaque point que renferme l'image, est représenté par une donnée élémentaire, c'est-à-dire "présent" ou "absent"
(1 ou 0). Les données normalisées de points de trame sont en-
registrées sur une bande magnétique 210 puis retraitées par un programme de logiciel 212 appelé "BIBLIOTHEQUE". Cette "BIBLIOTHEQUE"@ comprime les données en groupant, sur une ligne,
les points adjacents ayant les mêmes caractéristiques (c'est-
à-dire "présents" ou "absents"). Il s'agit là d'une technique
habituelle connue sous le nom de "codage en longueur d'exploi-
tation".-Le format précis de ces données sera décrit ci-après.
Ensuite, les données codées en longueur d'exploitation sont
enregistrées sur un fichier à disques 214.
- Ensuite, chaque symbole figurant dans le fichier sur disques est imprimé, au moyen d'un programme de logiciel 216 apelé "PRNT", sur une imprimante ligne par ligne 218 afin de
permettre une analyse des données par des travaux de bureau.
Si une correction est requise, des cartes de correction 220
sont préparées et fournies à la machine. Un programme de lo-
giciel 222 appelé "CORR" accepte ces cartes de correction et modifie les données codées en longueur d'exploitation pour le
symbole spécifié. La sortie est une bande magnétique tempo-
raire 224. Dans la pratique réelle, l'utilisateur repasse
alors le programme PRNT et répète le cycle de correction jus-
qu'à ce que le symbole soit codé correctement.
Un programme de logiciel 226 appelé "RDBK" lit alors la bande magnétique 224 et met à jour -le fichier sur disques
pour constituer un fichier sur disques "corrigé" 228. Un au-
tre programme "ADHC" 230 lit le fichier sur disques et per-
met un réglage arbitraire de la position et de la largeur des caractères. Ces paramètres de largeur et de position sont
désignés par "IX" et "IYD" dans les données codées en lon-
gueur d'exploitation qui seront décrites ci-après. Les don-
nées codées en longueur d'exploitation ainsi réglées sont ensuite réenregistrées sur un disque pour constituer un
fichier sur disques réglé 232.
Enfin, un programme de logiciel 234 appelé "GAPE" ajou-
te des données de-crénage aux données symboliques codées en longueur d'exploitation et renvoit le symbole à présent
créné au fichier sur disques 236 qui renferme la "biblio-
- thèque de symboles" finale.
Dès que le format des données codées en longueur d'ex-
ploitation est connu, tous les programmes de logiciel utilisés dans le traitement des données de police de caractères sont directes et rentrent parfaitement dans les compétences de
tout programmeur.
2474205.
4.2. Format de bibliothèque de symboles La bibliothèque de symboles est un fichier sur disques IBM 2314, appelé "RANDDS". Ce fichier contient les données codées en longueur d'exploitation de tous les symboles (un symbole peut être une lettre, un nombre, un symbole spécial,
un sigle commercial, etc..).
Afin que le programme de réalisation de diapositives
puisse avoir rapidement accès au fichier sur disques, la bi-
bliothèque de symboles est conçue à la manière d'un fichier à accès direct, c'est-à-dire qu'elle occupe des blocs contigus dans le disque "RANDDS". A titre d'exemple, trois polices de caractères peuvent être mémorisées dans 350 enregistrements
avec 2240 groupes de positions binaires par enregistrement.
La bibliothèque de symboles est désignée, par le pro-
gramme de réalisation de diapositives, par "unité 2". En utilisant le système "IBM JCL",elle peut être spécifiée de la manière suivante:
//GO.FT02F001 DD UNIT=DISK,VOL=(PRIVATE,RETAIN,SER=RANDDS),
// DISP=OLD,DCB=BLKSIZE=2240
Dans un programme FORTRAN, la bibliothèque de polices de caractères est consultée en utilisant:
DEFINE FILE 2 (350,2240,L,LOC)
READ(2'LOC) IBUF
WRITE(2'LOC) IBUF
o IBUF est une rangée de 2240 groupes de positions binaires.
Trois polices de caractères spécifiques pouvant être
mémorisées dans la bibliothèque de symboles sont les carac-
tères Helvetica moyen, Helvetica mince et Helvetica mi-gras.
Chaque police de caractères comporte 86 symboles, à savoir 26 lettres majuscules, 26 lettres minuscules, 10 nombres et 24
symboles spéciaux.
Les données codées en longueur d'exploitation de cha-
que symbole occupent un.ou plusieurs enregistrements, mais
chacun de ces derniers ne peut être partagé par plus d'un sym-
bole. Chaque symbole sevoit attribué un numéro d'identifica-
tion unique, ainsi qu'une valeur décimale. Il peut être appe-
lé en recherchant son emplacement dans le fichier sur disques
(numéro d'enregistrement du disque) d'après un tableau.
4.3. Format des données symboliques La structure de chaque symbole est illustrée en figure
18. Chaque donnée décrite dans ce paragraphe comporte un-
format de mot à 2 groupes de positions binaires (si bien que chaque enregistrement comporte 1120 mots).
Il y a huit éléments de données pour chaque symbole.
Ces éléments sont décrits individuellement dans les subdi-
visions ci-après.
4.3.1 I"TITLE"
TITLE est une description littérale du symbole et occu--
pe les deux premiers mots (4 groupes de positions binaires).
Par exemple, le TITLE pour Helvetica moyen majucqules-.A est
"UA0I" (majuscules A, type de police de caractères 1}.
4.3.2 "-LENTHF"
LENTH est le nombre de groupes de positions binaires
que l'on utilise pour les données codées en longueur d'ex-
ploitation en vue de décrire ce symbole. LENTE occupe le
troisième mot du symbole.
4.3.3 "IX"i IX est la largeur de ce symbole en unités de points
de trame et occupe le quatrième mot du symbole.
Normalement, IX est mesuré de la bordure d'extrême gauche à la bordure d'extrême droite de ce symbole. Par
exemple, pour le signe 1l/If, IX est mesuré de la pointe d'ex-
trême gauche à la pointe d'extrême droite. Toutefois, il y a des exceptions; par exemple, la largeur de 1 est inférieure à celle de 9 mais, étant donné que tous les numéros ont, de préférence, la même largeur (de telle sorte qu'ils puissent
être alignés en colonnes), la largeur de 1 est accrue arti-
ficiellement pour correspondre à la plus grande largeur de tous les numéros (en l'occurrence, la largeur de 11011). En fait, les largeurs de tous les numéros de-0 à 9 sont accrues
pour correspondre à la largeur maximum.
4.3.4 "IY"
IY est la hauteur de ce symbole en unités de points
de trame et occupe le cinquième mot du symbole.
IY est mesuré entre le sommet et la base de ce symbole; par exemple, pour " j", IY est mesuré du sommet du point à
la base de la queue.
4.3.5 "IYD"
IYD est le déplacement vertical de ce symbole en unités de points de trame et occupe le sixième mot du symbole. Normalement, IYD est zéro, c'est-à-dire qu'il n'y a aucun déplacement vertical. Lorsque IYD est positif, cela
signifie un déplacement vers le haut et, lorsqu'il est néga-
tif, cela signifie un déplacement vers le bas. Par exemple, pour "A", IYD est zéro (aucun mouvement vertical). Pour "g" IYD est un nombre négatif, étant donné que la base de g doit
s'étendre en dessous de la ligne de base (voir figure 19).
Pour " ", IYD est un nombre positif, étant donné que ce
signe s'étend au-dessus de la ligne de base.
4.3.6 "1IAREA1", " IAREA21"
IAERAI, IAREA2 sont les zones de blanc de gauche et de droite de ce symbole, respectivement (voir figure 20). Ces zones sont destinées à être utilisées pour le crenage afin
d'évaluer 1' "espace blanc" entre des symboles, mais le pro-
gramme ne doit pas nécessairement les employer si l'espace-
ment entre les lettres est maintenu constant.
IAREAl, IAREA2 occupent les septième et huitième mots
du symbole respectivement.
4.3.7 "IXD"-
IXD est le déplacement horizontal en unités de points
de trame et occupe le neuvième mot du symbole.
Dans la subdivision 4.3.3, il est à noter que la lar-
geur réelle de certains symboles est portée à une pseudo-
largeur. Dans ce cas, on applique également un déplacement
horizontal afin de maintenir ce symbole au centre. On suppo-
sera que IX est la largeur réelle et que IX est la lar-
geur accrue. IXM est alors calculé conformément à la for-
mule: (IX - IX)/2.
4.3.8 "Données codées en longueur d'exploitation" Les données à format en chaînes commencent au onzième
mot de ce symbole et se terminent au (10 + LENTH/2)ème mot.
Elles sont constituées de nombreuses paires de mots. Chaque paire (ISTART, IEND) représente le point de départ et le
point de terminaison d'un segment linéaire visible.
Comme le montre la figure 21, les 11 premiers bits de
chaque mot contiennent l'emplacement (pour ISTART ou IEND).
Pour IEND, si le douzième bit est positionné, il signifie une fin de ligne. Si le treizième bit est positionné, il
signifie une fin de symbole.
Par exemple, en figure 22, il y a deux paires de mots
à la ligne L pour représenter deux segments linéaires visi-
bles. Ces quatre mots sont illustrés en figure 23. Il est
à noter que le douzième bit (bit - 11) du mot 4 est posi-
tionné pour représenter la fin de ligne.
Dans le cas d'une ligne de blanc à l'intérieur du sym-
bole, par exemple, celle se trouvant juste en dessous du
"point" de la lettre minuscule "i", une valeur de 1 est at-
tribuée à ISTART, tandis qu'une valeur de 2048 est attribuée
à IEND (soit les emplacements 0 et de fin de ligne).
4.3.9 Données de crénage Des données de crénage sont utilisées par le programme de réalisation de diapositives pour le chevauchement de deux lettres. Ces données commencent au (lO+LENTH/2+1)ème mot et
se terminent au (lO+LENTH/2+52)ème mot.
La définition des données de crénage est le réglage requis pour que deux lettres adjacentes se touchent. Par
exemple, la figure 24 montre le réglage (désigné par d) pro-
voquant un contact entre les lettres L et T. Après le créna-
ge éventuel, un autre réglage est effectué afin d'établir une
distance minimum constante pour la dimension de symbole don-
née. Ce réglage est désigné par d en figure 24.
En règle générale, pour une lettre donnée i, il y a 52 numéros correspondant aux données de crénage entre cette lettre et les 52 autres lettres. C'est ainsi que les données de crénage Dii entre les lettres i et j sont définies par la formule: D.-. =.MIN (Di) i-1,............,52 j=l,.....,52 ijk K
o K couvre les hauteurs de la lettre i et de la lettre j.
t41'4305
Cette distance D.j pour la paire de lettre i et j est mémo-
risée pour chacune des 52 autres lettres.
4.4. Calcul des diapositives par ordinateur
La structure de programmation pour le calcul des dia-
positives par ordinateur est illustrée en figure 25. Le calcul des diapositives par ordinateur est effectué à l'aide de cinq "modules" de programmation qui sont mémorisés sur le
fichier sur disques pour être ensuite successivement "trans-
férés"l dans et hors de la mémoire à tores magnétiques de l'ordinateur selon les nécessités. Un programme de contrôle appelé "MAIN" (Principal) et qui réside en permanence dans
cette mémoire à tores magnétiques, appelle le module de pro-
grammation approprié au moment voulu. Afin de calculer les données de trame pour chaque diapositive, les cinq modules de programmation doivent être tous exécutés dans l'ordinateur
dans l'ordre adéquat.
Le premier module de programmation appelé "INITIALISA-
TION", initialise le bloc commun de la mémoire à tores magné-
tiques de l'ordinateur qui contient les données pour la spéci-
fication de la diapositive suivante. Tous les compteurs uti-
lisés dans le calcul des diapositives par ordinateur sont vidés, tandis qu'un "code d'erreur' est remis à zéro. Le code d'erreur sera positionné à un nombre différent de zéro si une erreur est détectée au cours du déroulement d'un des modules ultérieurs. Lors de la détection d'une erreur, le
calcul de la di-apositive en cours est interrompu et le pro-
gramme repasse à la section INITIALISATION pour traiter la
diapositive suivante.
Le module de programmation suivant appelé "ENTREE" introduit le type de diapositive de la première image de
carte, puis appelle un sous-programme approprié pour intro--
duire le reste des données concernant la diapositive. Par
exemple, si le type de la diapositive est un diagramme à ca-
ses, un sous-programme est appelé pour recevoir et mémori-
ser, dans le bloc commun, la spécification particulière pour
ce type de diapositive. Les données sont également contrô-
lées pour en vérifier la validité et, si une erreur est dé-
- - 2474205
celée, le code d'erreur est positionné à un nombre différent
de zéro. Le premier module (INITIALISATION) est ensuite appe-
lé pour entamer immédiatement le traitement de la diapositive suivante. Le troisième module de programmation appelé "COMPOSI- TION" compose la diapositive en utilisant un sous-programme
à usage spécial pour chaque type de diapositive. Cette com-
position consiste à placer tous les modèles graphiques spé-
cifiés dans des emplacements déterminés du bloc commun en vue d'un traitement ultérieur. Lorsqu'elles sont requises
pour la spécification de la diapositive, les données symboli-
ques sont accessibles à partir de la bibliothèque de symbo-
les pour être introduites dans le bloc commun. Si une erreur survient lors du déroulement de la COMPOSITION, le code d'erreur est positionné à un nombre différent de zéro et le
module INITIALISATION est appelé pour entamer le traitement-
de la diapositive suivante.
Le quatrième module de programmation appelé "PROCEDE" convertit les modèles graphiques mémorisés dans le bloc
* commun en données de lignes de trame à format "codé en lon-
gueur d'exploitation". Ces données codées en longueur-d'ex-
ploitation sont momentanément mémorisées sur le-fichier
à disques de l'ordinateur. Si une erreur est à nouveau dé-
tectée lors du fonctionnement de ce module, le code d'erreur est positionné à un nombre différent de zéro et le module INITIALISATION est appelé pour entamer le traitement de la
diapositive suivante.
Le cinquième module de programmation appelé "SORTIE"
lit trois fois le fichier sur disques temporaires pour pro-
duire des données de sortie définissant une image rouge, une image verte et une image bleue dans le format codé en longueur d'exploitation. Le fichier de couleurs définitif
ainsi constitué est enregistré sur une bande magnétique.
Lorsque le module SORTIE a été exécuté, le programme de contrôle PRINCIPAL appelle le module INITIALISATION pour
entamer le traitement de la diapositive suivante.
Avec l'ordinateur "IBM 360/75", le calcul d'une seule diapositive demande à peu près 30 secondes. Les modules INITIALISATION et ENTREE prennent, ensemble, une seconde ou moins pour leur déroulement; le module COMPOSITION exige à peu près 45% du temps de calcul total de la diapositive, soit 13 secondes. Le module PROCEDE exige à peu près 20% de ce temps total (6 secondes), tandis que le module SORTIE
absorbe les 35% restants de ce temps (10 secondes).
On donnera ci-après une description détaillée de cha-
cun des cinq modules de programmation utilisés dans le cal-
cul de diapositives par ordinateur.
4.4.1 "'INITIALISATION"1
L'INITIALISATION a pour but de remettre à l'état ini-
tial tous les compteurs, le tableau de couleurs et le code
d'erreur dans le bloc commun de la mémoire de l'ordinateur.
A cet effet, on prévoit essentiellemnt trois étapes qui sont
illustrées en figure 26.
Le programme de calcul de diapositives par ordinateur est capable d'engendrer huit modèles graphiques distincts pour une diapositive. Les modèles graphiques particuliers d'une diapositive donnée seront superposés l'un sur l'autre dans une hiérarchie établie par le module de programmation PROCEDE lorsqu'une ligne de trame est traitée. Ces configurations ou modèles graphiques sont les suivants: (1) Hors-texte-: Un hors-texte est une configuration rectangulaire d'une dimension établie pouvant avoir une des dix couleurs différentes spécifiées par l'utilisateur. La figure 27 illustre un hors-texte spécifique 300 d'une couleur
disposé sur un fond 302 d'une autre couleur.
(2) Zone triangulaire: ce modèle graphique est une con-
figuration triangulaire ayant une base horizontale que l'on utilise pour le traitement de la zone située en dessous d'une fonction du type en dents de scie sur un graphique. La figure 28 illustre la façon dont on utilise plusieurs triangles 304-310 conjointement avec des configurations en barres
312-318 pour définir la zone située en dessous d'une fonc-
tion 320.
(3) Lignes de grille: Des lignes de grille sont des
configurations rectangulaires d'une couleur et d'une épais-
seur spécifiées auxquelles on peut faire appel pour former des lignes de référence horizontales ou verticales sur un graphique, ou encore pour créer des lignes de jonction dans
un diagramme à cases. La figure 29 illustre un certain nom-
bre de lignes de grille horizontales 322.
(4) Barres: Les barres sont des configurations rectan-
gulaires d'une couleur et d'une épaisseur spécifiées que
l'on peut utiliser dans un diagramme à barres ou dans n'im-
porte quelle situation nécessitant une configuration rec-
tangulaire arbitraire. La figure 30 illustre trois barres spécifiques 324 de différentes hauteurs dans un diagramme à
barres; la figure 28 illustre des barres 312-318.
(5) Secteurs circulaires: Il s'agit d'un modèle gra-
phique circulaire utilisé pour un diagramme à secteurs cir-
culaires. La figure 31 illustre une configuration spécifi-
que 326 divisée en trois secteurs colorés 330, 332 et 334.
Les bordures 328 entre les secteurs peuvent être définies par
des segments de lignes droites.
(6) Segment de ligne droite: Un segment de ligne droi-
te est une ligne d'une couleur et d'une épaisseur spécifiées
pouvant s'étendre dans n'importe quelle direction sur un gra-
phique. La figure 32 illustre la façon dont on utilise des-
segments de lignes 336-342 dans un diagramme linéaire pour
représenter une fonction graphique.
(7) Axe de grille: Un axe de grille (également appe-
lé "case") est une configuration rectangulaire d'une couleur
et d'une épaisseur prédéterminées pouvant être disposée ver-
ticalement ou horizontalement sur un graphique pour former un axe. La figure 33 illustre un axe vertical 344 et un axe
horizontal 346.
(8) Symbole: Un symbole est un modèle spécifique que l'on utilise toujours dans son intégralité, encore que ses
dimensions et sa position sur la diapositive puissent varier.
Des données définissant les symboles sont mémorisées dans
la bibliothèque de symboles. La figure 34 illustre un symbo- le "A" spécifique 348 disposé dans un diapositive.
Ainsi qu'on l'a mentionné ci-dessus, les huit modèles graphiques sont appelés par le module PROCEDE selon un ordre de priorité fixe, en l'occurrence, la priorité (1) - (8)
donné ci-dessus. C'est ainsi que, par exemple, lors du trai-
tement d'un diagramme à barres, on trace tout d'abord les lignes de grille, puis on y superpose les barres et, enfin, on superpose les axes de grille sur les barres et les lignes de grille comme indiqué en figure 35. Avant de considérer l'un ou l'autre des modèles graphiques, le module PROCEDE -définit le fond de là diapositive en fonction de la couleur de fond. En conséquence, on peut estimer que le fond a la première priorité, encore qu'il ne soit pas considéré comme
un modèle graphique.
Le module PROCEDE fonctionne en contrôlant des compteurs prévus dans le bloc commun de la mémoire de l'ordinateur afin de déterminer si un premier type de modèle graphique (hors-texte) intersecte la ligne de trame courante. Dans l'affirmative, les couleurs des points de trame respectifs sont définies. Dans la négative ou après la définition des points de trame, le module PROCEDE contrôle les compteurs
du bloc commun pour déterminer si des seconds types de modè-
les graphiques (triangles) intersectent la ligne de trame
courante, etc. Ce processus se poursuit jusqu'à ce que l'en-
semble des huit types de configurations ait été traité pour la ligne. En conséquence, le module PROCEDE doit savoir si des modèles graphiques d'un type spécifique sont requis pour
une diapositive donnée et, si c'est le cas, il doit égale-
ment connaître leur nombre. Afin de permettre cette déter-
mination, un compteur est prévu dans le bloc commun pour chacun des huit modèles graphiques. Ce sont ces compteurs que le module INITIALISATION remet à zéro au cours de la
première étape 350 illustrée en figure 26.
La deuxième étape 352 de l'INITIALISATION consiste à remettre le "tableau des couleurs" à l'état initial. Bien que l'on dispose d'un choix de 64 couleurs différentes, seules
huit de ces dernières peuvent être utilisées pour une dia-
positive donnée. Dé la sorte, les informations relatives aux couleurs pour une diapositive peuvent être définies en trois
- 2414205
bits, dès qu'un tableau de couleurs est constitué pour éta-
blir la correspondance entre les huit couleurs initiales (ou moins) et ce code à trois bits. C'est ainsi que, par
exemple, si un utilisateur spécifie seulement conq couleurs---
pour une diapositive donnée, ces couleurs pourraient être
positionnées de la manière suivante dans le tableau de cou-
leurs mémorisé dans le bloc commun de la mémoire de l'or-
dinateur
TABLEAU 3
Ordre dans lequel Numéro de cou- Code à trois les couleurs sont leur bits
choisies (O - 63) _ _-
1 23 000
2 5 001
3 32 010
4 45 011
12 100
6 O 101
7 O 110
8 O 111
Les nombres figurant dans la colonne centrale du tableau 3 sont effacés, ce qui signifie qu'aucune couleur ne doit
encore être utilisée à ce stade.
La troisième étape 354 de l'INITIALISATION consiste à remettre le code d'erreur à zéro. Au terme de cette étape,
le contrôle de programmation revient au programme de contrô-
le PRINCIPAL qui appelle le deuxième module de programmation
ENTREE.
4.4.2 "ENTREE"-
Les étapes effectuées par le module de programmation ENTREE sont illustrées en figure 36. Au cours de la première
étape 356, la première image de carte d'entrée de diapositi-
ve (en l'occurrence, l'image de carte d'identification) est lue, tandis que le numéro du'type de diapositive, la couleur
de fond, le nombre de copies et les informations de compta-
bilisation sont mémorisés dans le bloc commun de la mémoire
de l'ordinateur.
Comme indiqué à l'étape 358 étant donné que les différents types de diapositives renferment des informations d'entrée
différentes, le programme est branché sur un des huit sous-
programmes suivant le numéro de type ITYPE de cette diaposi-
tive. Comme le montre le tableau 2, si ITYPE est un nombre
de 1 à 9, la diapositive sera un diagramme à cases nécessi-
tant le sous-programme 360. Si ITYPE est un nombre se situant dans les intervalles allant de 10 à 19 et de 30 à 39, la diapositive est un diagramme à barres verticales nécessitant le sous-programme 362. Les sousprogrammes 364, 366, 368, 370 et 372 sont appelés de la même manière si ITYPE est un nombre se situant dans les intervalles indiqués. Lorsque
le sous-programme respectif prend fin, le contrôle de pro-
grammation revient au programme de contrôle PRINCIPAL qui
appelle le module de programmation "COMPOSITION".
Le sous-programme 360 pour un diagramme à cases est il-
lustré à titre d'exemple en figure 37. Au cours de la pre-
mière étape 374 ce sous-programme lit l'image de carte ren-
fermant les informations relatives au titre, à savoir le type de police de caractères, la dimension, la couleur et le mode de justification (cadrage à gauche, au centre ou à droite), ainsi que la chaîne de caractères du titre. Ensuite,
au cours de l'étape 376 le sous-programme lit les deux ima-
ges de cartes suivantes contenant les informations relati-
ves au sous-titre et aux remarques, respectivement. Ces informations sont semblables à celles figurant sur la carte
de titre. Pour les informations spécifiques lues par ce sous-
programme, on se référera au format de spécification de dia-
positive décrit dans le paragraphe 3.1.2 ci-dessus.
Ensuite, au cours de l'étape 378, le sous-programme lit la quatrième image de carte contenant les informations relatives au type de police.de caractères, à la dimension
des caractères utilisés dans les cases, ainsi qu'à la cou-
leur des lignes de jonction et des lignes de délimitation de cases. Au cours de l'étape 380, le sous-programme lit
la cinquième image de carte contenant les informations rela-
tives aux lignes de jonction, c'est-à-dire les points no-
daux de départ et de terminaison pour chaque ligne. Par exemple, ces points nodaux peuvent être les points 15, ; 52, 58; 52, 82; etc. Ensuite, au cours de l'étape 382, le sous-programme lit les images de cartes pour chaque case (une image de carte par case). Les données que constituent ces images de cartes, renferment le numéro de noeud de case, la couleur des cases, le texte que renferment ces dernières, ainsi que la couleur de ce texte. Lors de la lecture d'une
image de carte vierge, le sous-programme sait qu'il a enre-
gistré toutes les données.
Enfin, au cours de l'étape 384, le sous-programme mémo-
rise toutes les données introduites, par le module de pro-
grammation ENTREE 0, dans le bloc commun de la mémoire de
l'ordinateur, c'est-à-dire /ENTREE/. Le module de programma-
tion suivant, c'est-à-dire le module "COMPOSITION" utilise
ces données.
4.4.3 "COMPOSITION"
Les étapes effectuées par le module de programmation
"Composition" sont décrites en figure 38. Le terme "composi-
tion" est utilisé dans le sens général pour désigner la con-
version des données d'entrée mémorisées dans le bloc commun
/ENTREE/, en modèles graphiques qui sont à leur tour posi-
tionnés correctement dans la trame de l'image. Etant donné
que les différentes diapositives ont à nouveau des structu-
res différentes, le module COMPOSITION est branché sur un des huit sousprogrammes suivant le type de diapositive. En conséquence, au cours de la première étape 386 le module
COMPOSITION vérifie le numéro ITYPE et appelle le sous-pro-
gramme approprié parmi ceux indiqués en 388-402.
Les figures 39A et 39B illustrent, à titre d'exemple, les étapes du sousprogramme pour un diagramme à cases. La - première étape 404 de ce sousprogramme consiste à extraire,
de la bibliothèque à fichier sur disques, les données défi-
nissant chacun des symboles qui constituent le titre de la diapositive.; Si deux symboles ou plus apparaissent à deux reprises ou plus comme c'est le cas, par exemple, dans le mot "bookkeeping" (Comptabilité), les données pour chaque 247420e symbole sont extraites une seule fois. C'est ainsi que, par exemple, les lettres b, o, k, e, p. i, n, g pourraient être
extraites du disque.
Les données symboliques sont mémorisées dans le bloc commun de la manière suivante: En premier lieu, une zone
appelée /TEMP/ est établie pour la mémorisation de l'iden-
tité, de la police de caractères et de la dimension de cha-
cun des caractères extraits du disque. Cette section du
bloc commun est utilisée pour déterminer si le symbole sui-
vant du texte a été préalablement extrait de la bibliothèque de polices de caractères et introduit dans la mémoire. Dès lors, les paramètres mémorisés dans la zone /TEMP/ sont les suivants: ID() - Matrice fournissant une liste de l'identité de
chaque symbole mémorisé dans le bloc commun.
IFONT() - Matrice définissant la police de caractères
de chaque symbole identifié dans la matrice ID().
ISIZE() - Matrice définissant la dimension de chaque
symbole identifié dans la matrice ID().
La notation () signifie que le paramètre donné ren-
ferme un ensemble de données (dans ce cas, un numéro diffé-
rent pour chacun des différents symboles).
Outre la zone /TEMP/, des données supplémentaires
concernant les symboles extraits de la bibliothèque de sym-
boles sont mémorisées dans le bloc commun dans une zone appelée /TEXT/.. Les informations mémorisées dans cette zone renferment les paramètres suivants:
NTLINES - Nombre de lignes de texte que renferme le dia-
gramme à cases. Par exemple, un diagramme comportant un titre, un soustitre, quatre cases et une remarque peut renfermer
sept lignes de texte.
LOCMEM() - Matrice contenant l'emplacement prévu dans
le bloc commun pour les données codées en longueur d'exploi-
tation et concernant chaque symbole. Cette matrice constitue
dès lors un "indicateur" pour chaque symbole.
NCHAR() - Matrice contenant le nombre de symboles que renferme chaque ligne de texte. Par exemple, s'il y a sept lignes de texte, cette matrice contiendra sept nombres
différents, un pour chaque ligne de texte.
XCHAR() - Matrice contenant l'emplacement horizontal
ou "X" de chaque symbole, en uni-tés de points de trame.
YCHAR() - Matrice contenant l'emplacement vertical
ou "Y" de chaque symbole, en unités de points de trame.
COLOR() - Matrice contenant la couleur (en utilisant
le code de couleurs à trois bits) de chaque ligne de texte.
Les données codées en longueur d'exploitation pour
tous les symboles utilisés dans la diapositive sont mémo-
risées à n'importe quel autre endroit du bloc commun.
L'emplacement de départ pour ces données définissant chaque
symbole est mémorisé dans la matrice LOCMEM().
A ce stade, il est utile d'introduire le mode de trai-
tement de la dimension du symbole dans le calcul de la
diapositive par ordinateur.
Pour des raisons de commodité, la trame d'image est divisée en "unités de référence" équivalent chacune à 28 unités de points de trame. C'est ainsi qu'une diapositive comportant 1344 x 2016 unités de points de trame aura une hauteur de 48 unités de référence et une largeur de 72 unités
de référence.
En conséquence, chaque diapositive peut être visuali-
sée sous forme d'une grille de 48 x 72 unités de référence.
Un espace est toujours ménagé de chaque côté, ainsi qu'en haut et en bas de telle sorte que les modèles graphiques figurant sur la diapositive n'atteignent pas le bord de l'image. L'utilisateur dispose de huit dimensions de symboles différentes pour la composition. Ces dimensions peuvent être numérotées de 1 à 8 (par ordre croissant), la plus petite dimension étant une hauteur d'une unité de référence et la plus grande, une hauteur de huit unités de référence. Dès lors, la dimension du plus petit symbole est égale à 1/48
de la hauteur de la diapositive. Les dimensions 2, 3, 4...
7 ne sont pas réparties de manière linéaire entre la plus petite et la plus grande dimension. Le tableau ci-après illustre les relations entre les différentes dimensions
TABLEAU 4
Dimension Nombre d'uni- Nombre maxi- nombre maxi- "points" No tés de réfémum de lig- mum de ca- sur une rence nes/diaposi- ractères/ image tive ligne de 5,44 x 8,16
8 8 3 8 96
7 6 4 il 72
6 4 7 17 48
2;67 10 25 32
4 2 14 34 24
3 1,6 18 42 19,2
2 1,33 22 51 16
1 1 29 68 12
Le format des données permet de mémorisér un nombre différent de lignes de balayage pour chaque symbole. Dès
lors, un grand caractère engendrera une plus grande quanti-
té de données qu'un petit caractère. Par exemple, les données définissant un symbole peuvent être composées en tenant
compte de l'hypothèse selon laquelle les plus grandes let-
tres (par exemple, "B" et "W")rempliront un carré ayant approximativement une hauteur de 225 lignes de balayage et une largeur maximum de 2048 points-de trame. Un symbole relativement petit tel que 'i' peut avoir une hauteur de 58 lignes de balayage seulement avec, pour résultat, une plus
faible quantité de données codées en longueur d'exploita-
tion que pour une symbole plus grand. En comptant les indi-
cateurs de fin de ligne dans le bit 11 des données codées en longueur d'exploitation, il est possible de déterminer
le nombre de lignes de balayage que contient un symbole.
Ces informations sont également contenues dans le numéro
de hauteur de symbole 11"IY".
Pour des symboles devant être affichés dans la plus grande dimension (dimension 8), les données définissant chacun d'eux, de même que chaque ligne de balayage pour le symbole sont extraites de la bibliothèque de symboles et mémorisées dans le bloc commun de l'ordinateur. C'est ainsi que, par- exemple, pour un "BI', 225 lignes de données sont extraites et mémorisées. En supposant une moyenne de deux segments de symbole pour chaque ligne de-balayage (chaque segment nécessitant la définition d'un point de départ et d'un point de terminaison, chacun dans un mot à deux groupes
de positions binaires), le symbole "B" nécessitera approxi-
mativement 225 (lignes) x 2 (segments) x 2 (points par seg-
ment) x 2 (groupes de positions binaires par point), soit à peu près 2K groupes de positions binaires qui doivent
être extraits et mémorisés dans le bloc commun.
Pour des dimensions inférieures à la dimension 8, il
faut extraire moins que la quantité maximum de données co-
dées en longueur d'exploitation. Pour la dimension 6 (qui est la moitié de la dimension 8), on extrait une ligne sur
deux. Pour la dimension 7, on extrait trois lignes sur qua-
tre et, pour la dimension 1 (qui est le 1/8 de la dimension
8), on extrait seulement une ligne sur huit.
Bien qu'une zone de 140K groupes de positions binaires soit réservée à la mémorisation des données symboliques dans le bloc commun de la mémoire d l'ordinateur, il faut moins
de la moitié de cet espace total de la mémoire pour la dia-
positive moyenne.
Après l'extraction de chacun des symboles constituant le titre, la mémorisation des données concernant le format des chaînes pour chaque symbole différent dans l'espace qui
leur est attribué dans le bloc commun, ainsi que la mémori-
sation des données requises dans les zones /TEMP/ et /TEXT/, le sousprogramme détermine et-mémorise l'emplacement X,Y exact de chaue symbole. Pour des symboles cadrés à gauche, le bord de gauche du premier symbole figurant dans le titre est positionné à deux unités de référence (56 unités de points de trame) du bord de gauche de la diapositive. Pour des symboles cadrés à droite, le bord de droite du dernier symbole figurant dans le titre est positionné à 56 unités de points de trame du bord de droite de la diapositive. Dans ce cas, étant donné qu'il y a 2016 unités de points de trame t414205 dans une ligne de balayage horizontale, le bord de gauche
du premier symbole du titre sera positionné à 2016 - 56 -
TW (en unités de points de trame), TW étant la largeur tota-
le de la ligne de texte (titre). La largeur totale TW de la ligne de texte est égale à la somme des largeurs individuel- les des symboles moins la somme des distances de crénage entre ces derniers. Par exemple, si la ligne de texte de "VAN", la largeur totale est définie par la formule
TW = INX + IXA + IXN - KERNVA - AN
* Pour un texte centré, le bord de gauche du premier symbole est positionné à (2016 - TW)/2. Les positions des
symboles venant à la suite du premier peuvent être détermi-
nées en ajoutant simplement la largeur des symboles précédents à la position de départ et en soustrayant les distances de
crénage entre ces symboles. C'est ainsi que, dans l'exem-
ple donné ci-dessus, la position de "N" est définie par la formule: XN = Xv + IXV + IXA - KernVA - KERNAN!
o X est la position du symbole indiqué.
Après avoir achevé le texte du titre, le sous-programme répète le processus pour les symboles du sous-titre et de la remarque. Cette opération est représentée par l'étape
406 en figure 39A.
En passant à l'étape 408, le sous-programme considère et mémorise alors des données définissant les lignes de jonction dans un emplacement du bloc commun de la mémoire d'ordinateur appelé /GRID/ et qui contient les paramètres suivants: NGLINE - Nombre total de lignes de grille dans une diapositive. Ce compteur est remis à zéro par le module
INITIALISATION.
X,Y1i() - Coordonnée du coin inférieur gauche de cha-
que ligne de grille en unités de points de trame.
XYur() - Coordonnée du coin supérieur droit de cha-
que ligne de grille en unités de points de trame.
COLOR() - Couleur de chaque ligne de grille. Bien
qu'il y ait huit couleurs différentes pouvant être utili-
sées pour les lignes de jonction, on supposera que toutes
les lignes de jonction ont la même couleur.
Les paramètres contenus dans l'emplacement /GRID/ sont déterminés de la manière suivante: Chaque fois qu'une nouvelle ligne de jonction est traitée, NGLINE est augmenté de "1". La couleur des lignes de jonction est spécifiée dans les données que contient le module /INPUT/,
tout comme les points terminaux de chaque ligne qui sont dé-
signés par Il, I2. Le sous-programme convertit les points terminaux I en unités de points de trame horizontaux et
verticaux pour calculer ensuite les coordonnées (X, Y) du-
coin inférieur gauche et du coin supérieur droit de la
ligne de grille.
Par exemple, si Il = 15 et I2 = 55, le sous-programme
convertit ces nombres en unités de points de trame verti-
caux et horizontaux respectivement, de telle sorte que Il devienne 500, 1008 et que I2 devienne 900,1008. Etant donné que Il et I2 définissent le point central terminal de la ligne, deux unités de points de trame doivent être ajoutées
à l'adresse horizontale du point terminal supérieur, tan-
dis que deux unités de points de trame doivent être sous-
traites de l'adresse horizontale du point terminal infé-' reur. En conséquence, les valeurs X,Y pour Il et I2 sont les suivantes XIYur = 500, 1010;
XYll = 900,1006.
Comme indiqué dans l'étape 410 de la figue 39B, cha-
que case du diagramme à cases est formée d'une "barre" ou d'un rectangle servant de limite extérieure pour la case, ainsi que d'une "case" (également un rectangle) servant de limite intérieure pour la case. Dès lors, la différence
entre la barre et la case réside dans l'épaisseur du con-
tour de la case. Le sous-programme calcule et mémorise le coin inférieur gauche et le coin supérieur droit de chaque barre et de chaque case dans des zones du bloc commun de la
mémoire d'ordinateur appelées /BLOCK/ et /BOX/, respective-
ment. Les paramètres contenus dans ces deux emplacements de mémorisation sont à peu près identiques et, en fait, ils sont semblables aux paramètres contenus dans la zone /GRID/. Ces paramètres sont les suivants: NBLOCK Nombre de cases d'un diagramme à cases, ce nombre étant déterminé par le nombre d'images de cartes
de cases, à l'exclusion de la dernière carte vierge.
NBAR - Même définition que pour NBLOCK, c'est-à-dire
que le nombre est le même.
X,Y () Coordonnées X et Y du coin supérieur droit de chaque case dans le cas de /BLOCK/ et de chaque
barre dans le cas de /BOX/.
X,Yl() - Coordonnées X et Y du coin inférieur gauche de chaque case dans le cas de /BLOCK/ et de chaque barre
dans le cas de /BOX/.
COLOR() - Couleur de la ligne définissant la case du diagramme d'organisation dans le cas de /BLOCK/ et la couleur de la zone située à l'intérieur de la case de ce
diagramme dans le cas de /BOX/.
Ces paramètres sont déterminés et calculés par ordi-
nateur de la même manière que les paramètres pour /GRID/.
NBLOCK et NBAR sont des compteurs (vidés par le module de programmation INITIALISATION) qui sont indexés chaque fois qu'une case d'un diagramme à cases est traitée. Les données
concernant les couleurs se trouvent dans le module de pro-
grammation /INPUT/, tout comme les points centraux de chaque case et de chaque barre. Dès lors, étant donné que le point central d'une case est indiqué sous forme de nombres I,J
(I étant la position verticale et J, la position horizon-
tale), les positions verticale et horizontale de la case dans les unités de points de trame du point central sont définies par les formules: position verticale = 1344 - (9,5 + 3I) x 28; et
Position horizontale = (1,5 + 7J) x 28.
Etant donné que la limite extérieure d'une case d'un
diagramme d'organisation a une hauteur de 3 unités de ré-
férence et une largeur de 1l unités de référence, la po-
sition verticale de la limite supérieure est déterminée en
ajoutant 1,5 x 28 à la position verticale du point central.
De la même manière, la position horizontale de la limite de droite est déterminée en ajoutant 5,5 x 28 à la position horizontale du point central. En procédant de la sorte, il est possible de calculer X,Y pour le coin supérieur droit et le coin inférieur gauche de chaque case et de chaque barre. Enfin, au cours de l'étape 412, les chaînes de textes
pour chaque case du diagramme d'organisation sont extrai-
tes du disque et mémorisées dans des zones appropriées du bloc commun de la mémoire de l'ordinateur en utilisant le
même procédé que pour le titre, le sous-titre et la remar-
que. Au terme de cette étape, le module de programmation
COMPOSITION prend fin et le contrôle de programmation re-
vient au programme PRINCIPAL.
4.4.4. "PROCEDE"
Les étapes effectuées par le module de programmation
PROCEDE sont illustrées en figure 40.
Ainsi qu'on l'a mentionné à l'étape 414, le module de programmation PROCEDE détermine la-couleur des 2016 points de trame que renferme chacune des 1344 lignes horizontales d'une diapositive. Le procédé utilisé pour chaque ligne de balayage est indiqué pour les étapes 416-446 ci-après. Ces
étapes 416-446 sont effectuées 1344 fois avant que la dia-
positive soit achevée.
Avant de procéder au balayage de chaque ligne, tous
les points de trame que renferme la diapositive, sont défi-
nis par rapport à la couleur de fond. Ensuite, si le comp-
teur "hors-texte" est indexé (étape 416) après avoir été
vidé par le module de programmation INITIALISATION, le pro-
gramme introduit l'étape 418 et la couleur des points de trame contenus dans le champ du hors-texte est modifiée en une couleur que vient recouvrir celle du hors-texte. Si le compteur "hors-texte" n'est pas indexé, le programme
passe directement à l'étape 420.
Ensuite, le compteur prévu pour des zones triangulai-
res est contrôlé à l'étape 420 pour déterminer s'il existe
des zones de ce type dans la diapositive. Dans l'affirma-
tive, la couleur des points de trame de la ligne courante
qui se situent dans la ou les zones triangulaires, est modi-
fiée selon les conditions requises. Dans la négative, le programme passe immédiatement à l'étape 424 et se poursuit
de la sorte.
Il est à noter qu'aucun calcul n'est nécessaire pour la mise en oeuvre de ce procédé, étant donné que toutes les données requises pour déterminer la couleur de chaque point de trame d'une ligne sont mémorisées dans le bloc commun de la mémoire de l'ordinateur. Essentiellement, le module de programmation PROCEDE extrait simplement les données du bloc commun dans un ordre prédéterminé, en mettant à jour la couleur de chacun des 2016 points de trame que renferme la ligne de balayage courante et, après avoir effectué les étapes 416-446, il enregistre les données de couleurs pour cette ligne en un format prédéterminé dans un fichier sur
disques temporaire.
Lors de la mise en oeuvre du processus de recouvrement,
le module de programmation PROCEDE met à jour à plusieurs re-
prises trois paramètres, à savoir: NSEG - Nombre entier pouvant aller de 1 à 500 et donnant le nombre de "segments" contenus
dans la ligne de trame ou de balayage cou-
rante. Un "segment" est défini comme une par-
tie de la ligne de balayage dans laquelle
tous le points adjacents ont la même cou-
leur. En tant que limite supérieure, une
ligne de balayage peut comporter 500 seg-
ments.
KOLOR() - Matrice spécifiant la couleur de chaque segment de la ligne de balayage. Il y a un maximum de 8 couleurs différentes et un
maximum de 500 entrées dans cette matrice.
KOUNT() - Matrice spécifiant le nombre de points de trame que renferme chaque segment de la
ligne de balayage. Cette matrice peut com-
2474205 -
porter, au maximum, 500 entrées.
On décrira à présent un exemple du processus effectué par le module de programmation PROCEDE en se référant à la
figure 41 et aux figures 41A-41F. On supposera que, en tra-
vaillant sur une diapositive 448, le module de programmation PROCEDE a déjà balayé la moitié de l'image et se trouve à présent à la ligne de trame 450. Cette diapositive est un
diagramme d'organisation comprenant un fond 452, un hors-
texte 454, ainsi qu'un certain nombre de cases 456 dont une
(458) est intersectée-par la ligne de balayage. La diaposi-
tive comporte également une ligne horizontale de jonction 460 et trois lignes verticales de jonction 462. Les cases 456
renferment un texte 464; en particulier, la case 458 con-
tient les lettres "C" et "D" 466 qui sont interséctées par
la ligne de balayage 450.
Au cours de l'étape 414 du PROCEDE, l'ensemble de la ligne de balayage 450 est défini par rapport à la couleur de
fond. On obtient ainsi un segment de couleur de fond com-
portant 2016 points de trame. Dès lors.:
NSEG = 1
KOLOR(1) = BKGD KOUNT(l) = 2016 La ligne de balayage 450 est illustrée en figure.41A con-
jointement avec le segment individuel.
Au cours de l'étape 416, le module PROCEDE détermine si un hors-texte est présent et il procède à la mise-à
jour de la description de la ligne de balayage à l'étape
418. Comme le montre la figure 41B, il y a à présent trois segments de lignes de fond, de hors-texte et de couleur de fond respectivement. En conséquence, les paramètres sont modifiés de la manière suivante
NSEG = 3
KOLOR (1) = BKGD KOUNT(l) = 100
(2) = INSET (2) = 1816
(3) = BKGD (3) 100
Les informations pour la mise à jour de ces paramètres se trouvent dans une zone appelée /INSET/ du bloc commun, informations qui sont engendrées à partir des données
mémorisées dans la zone /INPUT/ par le module de program-
mation COMPOSITION. Les paramètres mémorisés dans la zone /INSE triar ET/ sont les suivants: NINSET - Nombre de hors-texte contenus dans la
diapositive (en l'occurrence, 1).
X,Yll() - Coordonnées du coin inférieur gauche
du hors-texte.
X,Y () - Coordonnées du coin supérieur droit du ur hors-texte. KOLOR() Couleur du hors-texte Etant donné que la diapositive est dépourvue de zone
igulaire, le module de programmation PROCEDE passe di-
rectement à l'étape 424, puis à l'étape 426. Au cours de l'étape 426, le module de programmation PROCEDE contrôle la zone /GRID/ du bloc commun et détermine l'absence de
lignes de grille horizontale intersectant la ligne de ba-
layage. Ce contrôle est effectué en comparant les coordon-
nées supérieure et inférieure Y de la ligne horizontale 460
avec la coordonnée Y de la ligne de trame courante 450.
Etant donné que la ligne de trame se situe en deça de l'in-
tervalle des valeurs Y de la ligne horizontale 460, cette
dernière est ignorée.
Le module de programmation PROCEDE détermine, de la
même manière, que les trois lignes-verticales 462 inter-
sectent la ligne de balayage 450. D'après les informations contenues dansla zone /GRID/, les paramètres NSEG, KOLOR et KOUNT sont mis à jour de la manière suivante:
NSEG = 9
KOLOR(1) = BKGD KOUNT(1) = 100
(2) = INSET (2) = 500
(3) = GRID (3) = 6
(4) = INSET (4) = 399
(5) = GRID (5) = 6
(6) = INSET (6) = 399
(7) = GRID (7) = 6
(8) = INSET (8) = 500
(9) = BKDG (9) = 100
Les neuf segments déterminés à ce stade sont illustrés en
figure 41C.
Le module de programmation PROCEDE passe alors à l'é-
tape 428 et détermine la présence de "barres" dans la dia-
positive. En conséquence, le programme passe à l'étape 430 qui procède à la mise à jour des paramètres NSEG, KOLOR et KOUNT d'après les informations contenues dans la zone /BAR/ du bloc commun. Comme le montre la figure 41D, une seule barre 457 intersecte la ligne de balayage. Bien qu'il y ait toujours neuf segments seulement dans la ligne de balayage, les paramètres PROCEDE sont modifiés de la manière suivante:
NSEG = 9
KOLOR(1) = BKGD KOUNT(1) = 100
(2) = INSET (2) = 500
(3) = GRID (3) = 6
(4) = INSET (4) = 202
(5) = BAR (5) = 400
(6) = INSET (6) = 202
(7) = GRID (7) = - 6
(8) = INSET (8) = 500
(9) = BKGD (9) = 100
Au terme de la réalisation des barres, le module de'
programmation PROCEDE détermine l'absence de secteurs cir-
culaires (étape 432) ou de lignes droites (étape 436) dans
la diapositive. Toutefois, au cours de l'étape 440, la pré-
sence d'au moins une case est détectée dans la diapositive.
En conséquence, le module PROCEDE effectue l'étape 442 et détermine la présence d'une seule case 459 intersectant la ligne de balayage comme le montre la figure 41E. D'après les informations contenues dans la zone /BLOCK/ du bloc
commun (cette zone étant également appelée /BOX/), les pa-
ramètres PROCEDE sont mis à jour de la manière suivante:
NSEG = 11
KOLOR(1) = BKGD KOUNT(1) = 100
(2) = INSET (2) = 500
(3) = GRID (3) = 6
(4) = INSET (4) = 202
24 4205
(5) = BAR (5) = 6
(6) = BLOCK (6) = 388
(7) = BAR (7) = 6
(8) = INSET (8) = 202
(9) = GRID (9) = 6
(10)= INSET (10)= 500
(11)= BKGD (11)= 100
Au terme de l'étape 442, le module PROCEDE détermine, au cours de l'étape 444, la présence de symboles dans la
diapositive. En conséquence, le module PROCEDE passe à l'é-
tape finale 446 pour cette ligne de balayage, o il détecte la présence de deux symboles "C" et "D" intersectant cette ligne. Comme le montre la figure 41F qui illustre une partie agrandie de la diapositive, il y a à présent 17 segments
dans la ligne de balayage avec, en plus, les symboles 466.
Ainsi qu'on l'a décrit précédemment, les données co-
dées en longueur d'exploitation (figure 18) et qui définis-
sent les lettres "C" et "D", sont mémorisées dans une zone non identifiée spéciale du bloc commun. Pour chacune des
lettres "C" et "D" utilisées dans la diapositive, on pré-
voit un indicateur séparé LOCMEM qui est mis à jour à me-
sure que le module PROCEDE passe par les 1344 lignes de balayage. C'est ainsi que l'indicateur LOCMEM pour chacune des lettres "C" et "D" est orienté vers les emplacements respectifs du bloc commun renfermant les mots "ISTART" pour la ligne de balayage courante. Ces mots, ainsi que les mots suivants pour la même ligne de balayage sont utilisés en vue de déterminer les positions des segments définissant les
lettres "C" et "D" sur cette ligne.
Par exemple, pour la lettre "C", la position du segment 7 est définie par la formule: Position de départ: IXCHARc + ISTARTc, o LOCMEM(C) est dirigé vers ISTART c
Position terminale: IXCHARC + IENDC.
Après la détermination du ou des segments d'un carac-
tère sur la ligne de balayage, l'indicateur LOCMEM pour ce caractèreest mis à jour pour la ligne de balayage suivante.
Avec ce processus d'obtention d'informations, le modu-
le de programmation PROCEDE met à jour les paramètres du procédé de la manière suivante:
NSEG = 17
KOLOR(1) = BKGD KOUNT(1) = 100
(2) = INSET (2) = 500
(3) = GRID (3) = 6
(4) = INSET (4) = 202
(5) =BAR (5) = 6
(6) = BLOCK (6) = 40
(7) =CHARC (7) = 20
(8) = BLOCK (8) = 218
(9) =CHARD (9) = 20
(10) = BLOCK (10) = 30
(11) = CHARD (11) 20
(12) = BLOCK (12) = 40
(13) = BAR (13) = 6
(14) = INSET (14) = 202
(15) = GRID (15)= 6
(16) = INSET (16) = 500
(17) = BKGD (17) = 100
Au terme de l'étape 446, le module de programmation PROCEDE convertit les paramètres NSEG, KOLOR et KOUNT en données de sortie, pour passer ensuite au traitement de la
ligne de balayage suivante.
La figure 42 illustre le format des données enregistre-
trées dans le fichier sur disques. Chaque ligne de trame est constituée d'un ou plusieurs "segments" de points de trame ayant la même couleur. Par exemple, les points 1-16 peuvent être de couleur bleue, les points 172000, de couleur rouge
- et les points 2001-2016, de couleur bleue. Cette ligne ren-
ferme alors trois segments colorés comprenant 16, 1984 et 16 points de trame respectivement. Si tous les points de trame d'une ligne de balayage ont la même couleur (fond), la ligne est constituée d'un segment coloré. Bien que l'on puisse avoir jusqu'à 500 segments colorés dans une ligne de
balayage, il est à noter que huit couleurs différentes -
seulement sont admises.
On utilise un mot à 16 bits pour décrire chaque seg-
ment coloré comme le montre la figure 42. Les bits de ce mot sont attribués de la manière suivante: Bit O à bit 10 - Cette chaîne de 11 bits définit le nombre de points de trame que renferme ce segment coloré,
c'est-à-dire la longueur de ce dernier.
Bit 11 à bit 13 - Ces trois bits définissent la cou-
leur (une des huit couleurs disponibles) de ce segment
coloré.
Bit 1k - Lorsqu'il est positionné, ce bit indique que ce segment coloré est le dernier de la ligne (signal de
fin de ligne).
Bit 15 - Lorsqu'il est positionné, ce bit indique que le segment coloré est le dernier de cette trame d'image
(signal de fin de diapositive).
4.4.5 "SORTIE"
* Le module de programmation SORTIE illustré en figure 43 convertit simplement les données ayant le format illustré
en figure 42 et qui sont mémorisées dans le fichier sur dis-
anes temporaire, en un format mieux approprié pour la pho-
tographie en couleurs, pour enregistrer ensuite ces nouvel-
les données sur une bande magnétique. Le format de sortie
final est illustré en figure 45. -
Chaque couleur peut être représentée par l'addition des trois couleurs primaires, chacune avec une intensité
spécifique. En conséquence, chacune des huit couleurs repré-
sentées dans les données mémorisées dans le fichier sur dis-
ques temporaire peut être convertie en intensités respec-
tives de rouge, de vert et de bleu. Etant donné que l'on
dispose d'un nombre limité de couleurs (64 couleurs diffé-
rentes), on utilise un processus de consultation de tableau pour définir les intensités de rouge, de vert et de bleu
pour chacune des couleurs (jusqu'à 8) sur une diapositive.
En conséquence, pour chaque mot à 16 bits mémorisé
dans le fichier sur disques temporaire, le module de pro-
grammation SORTIE crée et enregistre, sur une bande magné-
tique, trois mots à 16 bits au cours de l'étape 468 de la figure 43. Cette conversion peut être le mieux décrite par
un exemple:
on supposera qu'un mot ayant le format illustré en figure 42 définit un segment de couleur pourpre de 11 points
de trame et que cette couleur pourpre est la troisième cou-
leur utilisée dans cette diapositive. En conséquence, la représentation de ce segment coloré par un mot à 16 bits dans le fichier sur disques temporaire contiendra les bits
illustrés en figure 44. Les bits 0-10 renfermeront la re-
présentation binaire du nombre onze, tandis que les bits 11-13 contiendront la représentation binaire de deux, soit le troisième chiffre en comptant à partir de zéro. D'après le tableau de classification des couleurs, on sait qu'une couleur pourpre a des intensités de rouge, de vert et de bleu de 24, 7 et 30 respectivement. En conséquence, le mot illustré en figure 44 sera converti pour obtenir les
trois mots illustrés en figure 45.
5. AFFICHAGE ET PHOTOGRAPHIE DES IMAGES
L'étape finale du processus de réalisation d'images
suivant la présente invention consiste à réaliser des dia-
positives de 35 mm d'après les informations d'images digï-
talisées enregistrées sur bande magnétique. La bande magné-
tique contenant ces informations est repassée via un dis-
positif de photographie et de réalisation d'image qui dé-
code les informations et affiche l'image sur l'écran d'un
tube cathodique à haut pouvoir résolvant. Une chambre photo-
graphique montée devant cet écran enregistre alors l'image sur une pellicule. Des images en couleurs sont prises en exposant une seule image de la pellicule de la chambre
photographique à trois images séparées en noir et blanc re-
présentant chacune l'intensité d'une des couleurs primai-
res, à travers des filtres rouge, vert et bleu respective-
ment.
5.1 Description générale du matériel
La figure 46 illustre le dispositif utilisé pour l'affichage et la photographie des images élaborées par
2474205-
ordinateur. Ce dispositif comprend une unité d'entrée à clavier
470 pour la transmission d'informations de contrôle in-
troduites au clavier par un opérateur, ainsi qu'un dérou-
leur de bande magnétique 472 pour la lecture des données co dées en longueur d'exploitation pour chaque diapositive. Les
ionformations de contrôle et les données relatives aux dia-
psitives sont reçues par un mini-ordinateur 474 tel que le
modèle "PDP 11" comportant une mémoire d'une capacité ap-
propriée pour mémoriser les données codées en longueur
d'exploitation pour l'ensemble d'une diapositive.
L'ordinateur 474 reçoit les données codées en longueur d'exploitation de la bande magnétique (une diapositive à la fois), il les convertit en intensités de niveaux de gris de points de trame, puis il transmet ces niveaux de gris
(un point de trame à la fois) à une unité de contrôle 476.
Entre ces niveaux de gris, l'ordinateur transmet également, à l'unité de contrôle, des commandes destinées à actionner un système photographique indiqué d'une manière générale en 478. L'unité de contrôle 476 accepte les données numériques d'intensités de niveaux de gris provenant de l'ordinateur et elles les convertit en signaux analogiques de balayage
de ligne et de modulation d'intensité destinés à faire fonc-
tionner un.tube cathodique à haut pouvoir résolvant 480.
L'unité de controle émet également des signaux destinés à mettre en service une chambre photographique 482 et une roue chromatique 484 montée dans le système photographique
478.
Le tube cathodique 480 a un pouvoir résolvant de 4080 x 4080 points de trame. Ce tube cathodique comporte un fond plat d'un diamètre.de 127 mm afin de fournir une image
claire pour le système photographique 478.
Le système photographique 478 visualise l'écran du tube cathodique et il enregistre les images affichées sur
ce dernier. La chambre photographique 482 est à même d'ex-
poser une seule image à la fois, l'obturateur et.le mécanis-
me d'avance de pellicule étant sous le contrôle de l'unité 476. Sur-la roue chromatique 484, sont adaptés des filtres photographiques rouge, vert, bleu et transparent. Cette roue
chromatique est utilisée pour produire des images en cou-
leurs moyennant l'addition des couleurs primaires. Trois
images en noir et blanc sont affichées sur le tube cathodi-
que, chacune donnant l'intensité d'une des couleurs primai-'
res. On fait passer-chaque image à travers un filtre appro-
prié et on l'enregistre sur une pellicule couleurs, l'image en couleurs étant obtenue en superposant les trois images en couleurs primaires sur la même image de la pellicule. Le filtre transparent est utilisé pour la photographie en
noir et blanc. La position dé la roue chromatique est modi-
fiée à des moments appropriés par l'unité de contrôle 476.
La roue chromatique et la chambre photographique sont toutes
deux enfermées dans une enceinte étanche à la lumière 486.
Ainsi qu'on l'a expliqué précédemment, des disposi-
tifs de photographie et de réalisation d'images appropriés pour l'utilisation du système suivant la présente invention sont disponibles dans le commerce. Un dispositif préféré
est le modèle "Celco CFR 2000".
Comme le comprendra l'homme de métier à la lecture'
de la description ci-dessus, diverses modifications et adap-
tations peuvent être apportées au système automatique de réalisation d'images suivant la présente invention. Bien que l'appareil ait été décrit en se référant à certaines de - ses formes de réalisaton préférées, il est entendu que le cadre de la présente invention est limité uniquement par les
revendications ci-après.
6. ANNEXE
Cette annexe donne toutes les instructions relatives aux programmes d'ordinateur décrits ci-dessus en vue d'une
utilisation dans l'appareil suivant la présente invention.
Le paragraphe 6.1 donne une description des matrices
et variables de micro-ordinateur que l'on utilise dans le
programme de ce dernier pour créer un diagramme à cases.
Le paragraphe 6.2 donne une description d'.un programme de
micro-ordinateur, écrit en langage BASIC (langage de program-
mation symbolique), pour la création d'un diagramme à ca-
ses. Le paragraphe 6.3 donne une description d'un programme
de calcul de diapositive par ordinateur, écrit en langage FORTRAN (langage de programmation synthétique), pour la
réalisation d'une diapositive renfermant un diagramme d'or-
ganisation. Dans les deux paragraphes 6.2 et 6.3, les sous-
programmes sont classés séparément à la suite du programme
de contrôle principal.
6.1 Matrices et variables du micro-ordinateur de création de diagrammes à cases CN$ Cl (7) Llà(5,4)
L2$(5,4)
Cl$(5,4)
C24(5,4)
BX(5,4)
BC*(5,4)
Pl(30)
P2(30)
- Dénominations des couleurs, c'est-à-dire "noir",
"rouge",... "blanc". Ces dénominations sont char-
gées à partir d'une instruction de données (Les
matrices $ sont des caractères).
- Numéros des couleurs de la pellicule qui corres-
pondent aux touches de couleurs "ISC". Par exem-
ple, C1(O) est utilisé pour mémoriser la couleur de la pellicule qui correspond à la touche noire, Cl(l), pour la touche rouge, etc. L'introduction
est effectuée par l'utilisateur.
- ligne 1 du texte de la case. Par exemple, Ll$(O,O contient le texte de la case située dans
la première colonne de la première rangée, tan-
dis que Ll$(5,1) contient le texte de la case située dans la deuxième colonne de la sixième rangée.
- Ligne 2 du texte de la case.
- Couleur de la ligne 1 du texte de la case.
- Couleur de la ligne 2 du texte de la case.
- Indicateur de case. Si on a "O", la case n'est
pas utilisée, si.on a "1", la case est utilisée.
- Couleur de la case.
-'Points terminaux des sections de lignes de jonc-
tion. - Sélectionné par l'utilisateur. Par exemple, si P1(6) contient "22" et si P2(6) contient "27",
TT (3)
F(7)
TZ$(3)
KT$(3)
TY(3) Yl(3,3)
Y2(3,3)
CH(100)
BD(30)
TVà (3)
D$(3)
BT(2) Q$(2) ils pourraient indiquer une ligne horizontale
située entre les "points nodaux" 22 et 27.
(Voir format normalisé de CASE en figure 3).
- Texte de titre (1), de sous-titre-(2), de remar-
ques (3).
- F(l): Numéro de police de caractères pour l'en-
semble d'une diapositive.
F(2):dimension du titre
F(3):dimension du sous-titre.
F(4):dimension des remarques F(5):justification du titre F(6) :justification du sous-titre
F(7):justification des remarques.
- Non utilisé.
- Couleur du titre, du sous-titre, des remarques.
- Positions verticales des blancs du titre, du sous-titre et des remarques. Lecture à partir
d'une instruction de données au cours de l'ini-
tialisation.
- Positions verticales pour des cases de délimi-
tation de titre, de sous-titre et de remarques.
- Largeurs des caractères de la police sélection-
née par l'utilisateur. Lecture à partir d'un
minidisque dans un sous-programme (18000).
- Non utilisé.
- Contient les chaînes de textes "TITRE", "SOUS-
TITRE" et "REMARQUES". Lecture à partir d'une
instruction de données au cours de l'initialisa-
tion. - Contient les numéros des unités de mini-disques choisies par l'utilisateur pour le "programme"
et les "données".
- Mémorisation temporaire de la couleur de texte de case sélectionnée par l'utilisateur dans la
section de création 104 du programme (figure 2).
- "Objets" des commandes de changement attribuées
par le "programme d'analyse de commandes de chan-
Q(2)
NN(2)
QQ$(5,5)
PP$ (5)
NQ(5)
NP
gement" (sous-programme à la ligne (20700)).
Voir description connexe du programme d'analyse
dans la section de modification 108 du programme.
- Numéros des objets dans QS.
- Numéros des articles pour les objets mémorisés
dans QS.
- Tableau des dénominations légales d'objets pour
chaque préfixe légal MOD.
- Tableau de préfixes légaux MOD - Nombre d'objets légaux pour chaque préfixe MOD
- Nombre de préfixes légaux.
Claims (41)
- 2.- Appareil suivant la revendication 1, caractérisé en ce que l'image à plus haut pouvoir résolvant élaborée par l'ordinateur renferme un plus grand nombre de points detrame que les images affichées par les terminaux.
- 3.- Appareil suivant la revendication 2, caractérisé en ce que les images élaborées par l'ordinateur ont une hauteur d'au moins 1000 points de trame et une largeur d'au moins 1500 points de trame. 4.- Appareil suivant la revendication 2, caractériséen ce que les images élaborées par l'ordinateur ont une hau-teur allant jusqu'à 1344 points de trame et une largeur al-lant jusqu'à 2016 points de trame.
- 5.- Appareil suivant la revendication 2, caractérisé en ce que le pouvoir résolvant des images affichées par les terminaux n'est pas supérieur à celui d'une trame d'imagede télévision ordinaire.
- 6.- Appareil suivant la revendication 5, caractérisé en ce que les images affichées par les terminaux ont une hauteur allant jusqu'à 160 points de trame et une largeurallant jusqu'à 192 points de trame.
- 7.- Appareil suivant la revendication 1, caractérisé en ce que les images à plus haut pouvoir résolvant élaboréespar l'ordinateur renferment une plus grande gamme de cou-leurs que l'image affichée par les terminaux.
- 8.- Appareil suivant la revendication 7, caractériséen ce que les images élaborées par l'ordinateur sont réali-sées à partir d'une gamme de 64 couleurs différentes.
- 9.- Appareil suivant la revendication 7, caractériséen ce que les images affichées par les terminaux sont réali-sées à partir d'une gamme de 8 couleurs différentes.
- 10.- Appareil suivant la revendication 1, caractériséen ce que les représentations graphiques normalisées renfer-ment un texte composé de plusieurs symboles, tandis que les caractéristiques variables comprennent l'identité de ces symboles. 11.Appareil suivant la revendication 10, caractériséen ce que les caractéristiques variables comprennent la di-mension de ces symboles.
- 12.- Appareil suivant la revendication 11, caractériséen ce que les caractéristiques variables comprennent la sé-lection d'une dimension parmi 8 dimensions différentes.
- 13.- Appareil suivant la revendication 10, caractérisé en ce que les caractéristiques variables comprennent le typede police de caractères pour ces symboles.
- 14.- Appareil suivant la revendication 10, caractériséen ce que les caractéristiques variables comprennent la po-sition de ces symboles.
- 15.- Appareil suivant la revendication 14, caractérisé en ce que cette position est définie par un des trois modes de justification choisis parmi la classe comprenant un cadrageà gauche, un centrage et un cadrage à droite.
- 16.- Appareil suivant la revendication 1, caractériséen ce que les différentes représentations graphiques normali-sées comprennent au moins une représentation choisie parmi le groupe comprenant un diagramme à cases, un diagramme à texte,un diagramme à barres verticales, un diagramme à barres ho-rizontales, un diagramme linéaire, un diagramme à texte ta-bulaire et un diagramme à secteurs circulaires.
- 17.- Appareil suivant la revendication 10, caractérisé en ce que les données représentant les réponses définitivesde l'utilisateur renferment les symboles du texte sélection-né, ainsi que la dimension, la couleur, la police de caractè-res et l'emplacement de ces symboles.
- 18.- Appareil suivant la revendication 1, caractérisé en ce que les données représentant les réponses définitivesde l'utilisateur renferment la couleur du fond de la repré-sentation graphique.
- 19.- Appareil suivant la revendication 1, caractérisé en ce que les données représentant les réponses définitivesde l'utilisateur renferment une sélection de caractéristi-ques graphiques associées à la représentation particulière.
- 20.- Appareil suivant la revendication 19, caractérisé en ce que les données représentant les réponses définitivesde l'utilisateur renferment les couleurs des caractéristi-ques, la couleur des bordures pour ces dernières, ainsi quel'emplacement de ces caractéristiques.
- 21.- Appareil suivant la revendication 1, caractérisé en ce que l'utilisateur introduit également, via l'élémentd'entrée, des informations d'identification destinées à ré-pondre aux questions, les données représentant les réponses définitives de l'utilisateur renfermant ces informations d'identification. 22.- Appareil suivant la revendication 7, caractérisé en ce que l'utilisateur introduit également une sélection de couleurs disponibles à l'ordinateur central et correspondant aux couleurs disponibles au terminal, cette sélection decouleurs étant introduite par l'élément d'entrée pour ré-pondre aux questions, tandis que les données représentant les réponses définitives de l'utilisateur renferment cettesélection de couleurs.
- 23.- Appareil suivant la revendication 1, caractérisé en ce que l'élément de transmission de données comprend unréseau à partage de temps.
- 24.- Appareil suivant la revendication 1, caractérisé en ce que les caractéristiques variables des représentationsgraphiques normalisées comprennent un texte composé de plu-sieurs symboles, l'ordinateur central renferme un système demémorisation de polices de caractères dans lequel sont mémo-risées des informations numériques définissant plusieurssymboles de la qualité des arts graphiques, tandis que l'or-dinateur central est programmé pour renfermer des symbolessélectionnés parmi ceux de la représentation graphique défi-nie par les points de trame suite à l'introduction des don-nées représentant les réponses définitives de l'utilisateur.
- 25.- Appareil suivant la revendication 24, caractériséen ce que le système de mémorisation de polices de caractè-res comprend un fichier sur disques connecté à l'ordinateur-central. 26.- Appareil suivant la revendication 24, caractérisé en ce que les informations numériques définissant chaque symbole que contient le système de mémorisation de polices de caractères, comprennent, pour chaque ligne de balayage, un premier nombre numérique définissant le nombre de pointsde trame d'espacement depuis le début de la trame de sym-boles jusqu'au point de départ du premier segment du symbole, ainsi qu'un deuxième nombre numérique définissant le nombrede points de trame de symbole que contient ce premier seg-ment. 27.- Appareil suivant la revendication 24, caractérisé en ce que les informations numériques renferment des nombres numériques définissant la longueur d'exploitation de chacun des espaces et segments successifs de plusieurs lignes debalayage de symboles.
- 28.- Appareil suivant la revendication 24, caractérisé en ce que les informations numériques renferment des nombres numériques définissant la distance minimum comprise entre chaque symbole d'une police de caractères et tous les autressymboles de cette dernière, l'ordinateur central étant pro-grammé pour définir, entre un symbole et le bord de droite du symbole précédent du texte, un espace correspondant àcette distance.
- 29.- Appareil suivant la revendication 1, caractériséen ce que l'ordinateur central est programmé pour faire che-vaucher des modèles graphiques successifs prédéterminés--dansun ordre préétabli.
- 30.- Appareil suivant la revendication 29,-caractérisé en ce que l'ordinateur central est programmé pour régler les points de trame d'une ligne de balayage donnée par rapport à la couleur de fond avant de procéder-au chevauchement des,modèles graphiques.
- 31.- Appareil suivant la revendication 29, caractériséen ce qu'un modèle graphique est un hors-texte.
- 32.- Appareil suivant la revendication 29, caractériséen ce qu'un modèle graphique est une zone triangulaire.
- 33.- Appareil suivant la revendication 29, caractériséen ce qu'un modèle graphique est une ligne de grille.
- 34.- Appareil suivant la revendication 29, caractériséen ce qu'un modèle graphique est une barre.
- 35.- Appareil suivant la revendication 29, caractériséen ce qu'un modèle graphique est un diagramme à secteurs cir-culaires. 36.- Appareil suivant la revendication 29, caractériséen ce qu'un modèle graphique est un segment de ligne droite.
- 37.- Appareil suivant la revendication 29, caractérisé en ce qu'un modèle graphique est une case. 38.- Appareil suivant la revendication 29, caractériséen ce qu'un modèle graphique est un symbole.
- 39.- Appareil suivant la revendication 29, caractérisé en ce que les modèles graphiques comprennent au moins deux des modèles suivants: un hors-texte, une zone triangulaire,une ligne de grille, une barre, un diagramme à secteurs cir-culaires, un segment de ligne droite, une case et un symbole, ces modèles graphiques se chevauchant dans l'ordre suivant: hors-texte, zones triangulaires, lignes de grille, barres, diagramme à secteurs circulaires, segments de lignes droites,cases, symboles.
- 40.- Appareil suivant la revendication 1, caractérisé en ce que l'ordinateur central est programmé pour revenir aupoint de départ de la production de données pour l'image sui-vante lorsqu'un cas d'erreur se présente au cours de la pro-duction des données d'images.
- 41.- Appareil suivant la revendication 1, caractérisé en ce que l'ordinateur central est programmé pour exécuterplusieurs modules de programmation-dans un ordre prédéter-miné afin de calculer les données de trame pour chaque image.
- 42.- Appareil suivant la revendication 41, caractérisé en ce que les modules de programmation sont transférés dans et hors de la mémoire de l'ordinateur sous le contrôle d'unprogramme principal.
- 43.- Appareil suivant la revendication 41, caractérisé en ce qu'un des modules de programmation initialise tous les compteurs, codes et tableaug utilisés par les autres modulesde programmation avant l'exécution de ceux-ci.
- 44.- Appareil suivant la revendication 41, caractériséen ce qu'un des modules de programmation enregistre les don-nées d'entrée définissant les réponses définitives de l'uti-lisateur, pour mémoriser ensuite ces données d'entrée dans des emplacements prédéterminés du bloc commun de la mémoirede l'ordinateur.
- 45.- Appareil suivant la revendication 41, caractériséen ce qu'un des modules de programmation convertit les don-nées d'entrée définissant les réponses définitives de l'utili- sateur en données définissant l'identité, l'emplacement et la couleur de plusieurs modèles graphiques contenus dans latrame d'image.
- 46.- Appareil en ce qu'un de ces 47.- Appareil en ce qu'un modèle 48.Appareil en ce qu'un modèle 49.- Appareil en ce qu'un modèle 50.- Appareil en ce qu'un modèle circulaires. 51.- Appareil en ce qu'un modèle 52.Appareil en ce qu'un modèle 53.- Appareil en ce qu'un modèle 54.- Appareil suivant la revendication 45, caractérisémodèles graphiques est un hors-texte.suivant la revendication 45, caractériségraphique est une zone triangulaire.suivant la revendication 45, caractériségraphique est une ligne de grille.suivant la revendication 45, caractériségraphique est une barre.suivant la revendication 45, caractérisé graphique est un diagramme à secteurs suivant la revendication 45, caractériségraphique est un segment de ligne droite.suivant la revendication 45, caractériségraphique est une case.suivant la revendication 45, caractériségraphique est un symbole.suivant la revendication 45, caractériséen ce qu'un autre module de programmation superpose succes-sivement plusieurs de ces modèles graphiques dans un ordreprédéterminé pour former l'image. -
- 55.- Appareil suivant la revendication 54, caractérisé en ce que le module de programmation précité détermine la couleur de chaque point de trame de l'ensemble d'une lignede balayage de trame, pour mémoriser ensuite les informa-tions relatives à la couleur de cette ligne, après quoi ilrepète-le procédé pour chacune des lignes de balayage sui-vantes de l'image.
- 56.- Appareil suivant la revendication 55, caractérisé en ce que les données définissant les points de trame d'une image renfermant une représentation graphique comprennent, pour chacun des segments de lignes de trame successifs dans lesquels tous les points de trame ont la même couleur: un premier nombre numérique définissant la couleur des points de trame, ainsi qu'un deuxième nombre numérique définissantle nombre de points de trame que contient le segment.
- 57.- Appareil suivant la revendication 56, caractérisé en ce que l'ordinateur central est programmé pour convertirle premier nombre numérique en trois nombres numériques dé-finissant les intensités des trois couleurs primaires qui engendrent la couleur de ces points de trame par adjonctiond'une couleur.
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