EP3551816B1

EP3551816B1 - Toiture avec accessoire métallique de couverture

Info

Publication number: EP3551816B1
Application number: EP17825894.3A
Authority: EP
Inventors: Jean-Christophe VIGOUROUX
Original assignee: Bacacier Industries You Steel
Current assignee: Bacacier Industries You Steel
Priority date: 2016-12-07
Filing date: 2017-12-04
Publication date: 2024-05-15
Anticipated expiration: 2037-12-04
Also published as: WO2018104638A1; FR3059688A1; EP3551816A1; FR3059688B1

Description

La présente invention concerne une toiture comprenant des tôles métalliques et un accessoire métallique de couverture
Des tôles sont utilisées pour réaliser une toiture métallique d'un bâtiment. Par la suite, elles seront désignées sous l'expression de « tôle de couverture ». Pour réaliser une toiture, plusieurs tôles de couverture métalliques sont assemblées en recouvrement partiel. Les bords d'une telle toiture sont terminés par une bande de rive.
Une bande de rive est un accessoire de couverture destiné à assurer la protection contre les intempéries, en particulier contre les infiltrations d'eau, du bord d'une toiture, au niveau de la zone de jonction entre l'extrémité supérieure du mur et la toiture. Ainsi, une bande de rive court le long du mur, sous la ligne de toit. Dans le cas d'une toiture, mono-pente ou multi-pente, les bandes de rive équipent au moins les bords de la toiture où cette dernière est à l'aplomb du mur, sans débord. Une bande de rive peut avantageusement équiper aussi un mur dont l'extrémité est protégée par un débord de la toiture, cela pour renforcer la protection contre les intempéries. Par ailleurs, la présence d'une bande de rive permet de limiter les entrées de rongeurs par la toiture.
Pour une toiture réalisée en tuiles, béton ou en terre cuite, on connait des tuiles, globalement en forme de L, adaptées pour être posées aux bords de la toiture et formées une bande de rive. Lorsque la toiture est réalisée avec des tôles de couverture métalliques, planes, ondulées ou avec des reliefs complexes, on constate une contrainte supplémentaire dans la réalisation de la toiture, due aux dimensions standards de telles tôles. En effet, il est fréquent que les dimensions finales de la toiture, en longueur et/ou en largeur, ne correspondent pas à un multiple entier de la dimension correspondante d'une tôle métallique telle que couramment employée pour réaliser une toiture. De telles tôles métalliques ont généralement une forme rectangulaire de 1 m à 6 m de long par 0,5 m à 1,5 m de large.
En d'autres termes, pour réaliser la toiture, en respectant les zones de recouvrement minimales prescrites entre deux tôles de couverture voisines, il est fréquent que l'utilisateur soit obligé de découper une tôle pour obtenir une bande de finition de la toiture. Au niveau de cette bande de finition, il conviendra ensuite de fixer une bande de rive. On connait par US-A-3 992 827 une pièce comportant une partie en U adaptée pour former une bande de rive. Un tel mode de réalisation est long et malaisé à réaliser, l'utilisateur devant disposer sur site des outils nécessaires à la découpe, en sécurité, d'une tôle pour former une bande de finition.
EP 2525012 concerne un dispositif de protection permettant de coiffer au moins une partie du dessus d'une construction et installation correspondante.
DE 19606442 concerne une toiture en plastique ou en aluminium.
EP 0380281 concerne un profilé de raccord.
GB 2441054 concerne un composant d'une toiture.
AU 2004202598 concerne des éléments de construction d'un building et divulgue une toiture métallique avec accessoire de rive partiellement recouvert par une tôle de couverture.
FR 3002253 concerne une toiture pour construction de préférence modulaire.
C'est à ces inconvénients qu'entend plus particulièrement remédier l'invention en proposant une toiture comprenant un accessoire métallique de couverture permettant une utilisation optimale du nombre de tôles de couverture nécessaire pour réaliser une toiture, tout en étant d'une mise en oeuvre simplifiée et limitant la durée des opérations de réalisation d'un toiture métallique.
La présente invention est mentionnée dans le jeu de revendications 1 à 6.
A cet effet, l'invention a pour objet une toiture d'un bâtiment selon la revendication 1, formée de plusieurs tôles de couverture métalliques comprenant un accessoire métallique de couverture , ledit accessoire étant rectangulaire, comprenant, selon sa largeur, deux parties dont les plans principaux forment entre eux un angle compris entre 75° et 105° , une première partie dudit accessoire étant pourvue d'au moins une zone de contact par recouvrement par une partie d'une tôle constitutive de la toiture, une deuxième partie dudit accessoire définissant une bande de rive, telle que la zone de contact comprend plusieurs organes de contact, formés par des reliefs ménagés sur une face de l'accessoire, parallèles entre eux, et disposés selon une direction parallèle à la longueur de l'accessoire et telle que la largeur de la première partie est au moins égale à la moitié de la distance séparant deux reliefs d'une tôle constitutive de la toiture.
La première partie, pourvue d'au moins une zone de contact permet, du fait de son recouvrement par une partie d'une tôle de couverture constitutive de la toiture, de prolonger de facto cette dernière jusqu'au bord de la toiture. Pour cela, les dimensions de la zone de contact sont adaptées pour assurer le recouvrement par une tôle de couverture, quel que soit la largeur à recouvrir par la tôle de couverture. Il est ainsi possible de réaliser une toiture, quelle que soit sa dimension, prise perpendiculairement à la pente du toit, en modulant les dimensions des zones de recouvrement entre des tôles de couverture constitutives de la toiture et entre une tôle disposée sur au moins un des bords de la toiture. Il n'est plus nécessaire de découper une tôle de couverture pour réaliser la toiture et assurer la jonction avec la bande de rive. L'accessoire de la toiture
selon l'invention assure également un rôle de bande de rive
Selon des aspects avantageux mais non obligatoires de l'invention, une telle toiture peut comprendre une ou plusieurs des caractéristiques suivantes:

les plans principaux de la première et de la deuxième parties forment entre eux un angle compris entre 89° et 91°.
Les première et deuxième parties s'étendent de part et d'autre d'une troisième partie définissant un espace de réception d'une extrémité d'un mur, couverte ou non par une planche de rive.
Les reliefs sont de formes similaires et/ou complémentaires à celles des reliefs ménagés sur les tôles constitutives de la toiture.
Les reliefs sont d'une autre forme que celle des reliefs ménagés sur les tôles constitutives de la toiture.
L'extrémité libre de la seconde partie est orientée angulairement par rapport au plan principal de cette seconde partie.

L'invention sera mieux comprise et d'autres avantages de celle-ci apparaitront plus clairement à la lecture de la description qui va suivre, donnée à titre d'exemple non limitatif et faite en référence aux dessins suivants dans lesquels:

La figure 1 est une vue en perspective d'un accessoire conforme à un mode de réalisation d'une toiture de l'invention,
la figure 2 est une vue de face, selon la flèche II, à plus grande échelle, de l'accessoire de la figure 1,
la figure 3 est une vue en perspective, à une autre échelle, de l'accessoire de la figure 1 en position sur la charpente d'un toit, les tôles de couverture constitutives de la toiture n'étant pas illustrées,
la figure 4 est une vue en perspective d'un accessoire conforme à une utilisation dans une toiture conforme à l'invention en position de contact avec une tôle de couverture constitutive de la toiture selon un mode de réalisation,
les figures 5 à 7 sont des vues de face, partielles, de toiture avec l'accessoire de la figure 1 dans différentes configurations de contact avec différentes tôles de couverture constitutives d'une toiture et
les figures 8 à 10 illustrent, en vue de face et à une autre échelle, d'autres modes de réalisation d'un accessoire utilisé dans une toiture conforme à l invention, la figure 11 illustrant une variante sortant du cadre de l'invention.

La figure 1 illustre un accessoire métallique de couverture 1, conforme à un premier mode de réalisation d'une toiture selon l'invention, avant son utilisation, à savoir sa mise en place sur une toiture. L'accessoire 1 se présente sous la forme d'une pièce allongée, dont la longueur L est généralement comprise entre 0,5 m et 4 m. En d'autres termes, l'accessoire 1 peut être d'une longueur inférieure à celle d'une tôle de couverture constitutive de la toiture.
Un tel accessoire 1 est, par exemple en acier, en aluminium ou un alliage de métaux. Avantageusement, lorsque le métal n'est pas en lui-même insensible à la corrosion, l'accessoire 1 est peint, galvanisé ou revêtu d'une couche protectrice connue en soi. Selon sa largeur, l'accessoire 1 a, globalement, une forme en L. En d'autres termes, un accessoire 1 utilisé dans une toiture conforme à l'invention n'est pas défini dans un seul plan, son aire étant répartie sur deux plans P2, P3 non parallèles. L'angle α formé par les deux plans P2, P3 est compris entre 75° et 105°, de préférence entre 89° et 91°. En d'autres termes, les plans P2, P3 sont globalement orthogonaux.
Une première partie 2 s'étend sur toute la longueur L de l'accessoire 1. La largeur L2 de la première partie est généralement comprise entre 5 cm et 30 cm. Ici, la largeur de la partie 2 est supérieure à celle L3 d'une seconde partie 3. En variante, les deux parties sont de même largeur ou la largeur de la partie 3 est supérieure à celle de la partie 2. Un espace de réception V1 d'un bord de la toiture, au niveau de sa jonction avec le sommet d'un mur, est défini entre les parties 2 et 3. Il est à noter que si un accessoire 1, tel qu'illustré aux différentes figures, est particulièrement adapté à une utilisation avec une tôle de couverture pourvue de reliefs, son usage est possible avec une tôle de couverture plane, cette seconde utilisation n'étant cependant pas l'objet de la toiture revendiquée. En effet, la zone de contact définie sur la première partie 2 de l'accessoire 1 est configurée en fonction de la tôle de couverture qui la recouvrira.
Dans l'exemple, la zone de contact de la partie 2 n'est pas plane mais comporte des reliefs 4, allongés et arrondis, qui sont régulièrement répartis sur toute la largeur L2 de la partie 2. Les reliefs 4 s'étendent sur toute la longueur L de l'accessoire 1 et ils sont parallèles entre eux. Ainsi, la partie 2 comprend une zone de contact qui est configurée en tôle ondulée. Les reliefs 4 forment des organes de contact destinés à coopérer avec une tôle de couverture, constitutive d'une toiture, comme cela apparaitra plus clairement par la suite. Dans un autre mode de réalisation, représenté à la figure 11, et qui sort du cadre de la présente invention, la partie 2 présente une zone de contact dépourvue de reliefs. La partie 2 est plane sur au moins la zone de contact, avantageusement sur toute sa surface.
La partie 3 est, ici, globalement plane sur la majeure partie 5 de sa largeur L3. Sa partie terminale libre 6 est plane et orientée angulairement par rapport à la partie 5. La partie 6 est orientée de sorte à être en position distale par rapport aux parties 2 et 5. En d'autres termes, la partie 6 est orientée de sorte à être éloignée des parties 2 et 5, ce qui, de facto, implique que la partie 6 est éloignée de la face externe du mur sur lequel est montée la tôle 1. Avantageusement, mais non obligatoirement, l'extrémité 7 de la partie 6 est pliée vers l'intérieur, donc sur la face 8 de la partie 7, en direction de l'espace V1, ce qui correspond à une position proximale par rapport au parties 2 et 5.
Comme cela ressort particulièrement aux figures 3, 5 à 7, la zone de jonction 9 entre les parties 2 et 3 est, dans ce mode de réalisation, de forme globalement tronconique. Une telle forme définit un espace V1, destiné à recevoir la partie sommital d'un mur, selon un mode de réalisation et de mise en oeuvre de l'invention. On note que la partie 2 prolonge, de facto un plan incliné 10 constitutif du relief 9. Une telle disposition induit que le plan principal P2 de la partie 2 passe perpendiculairement par le plan principal P3 de la partie 3, entre les deux extrémités 7 et 11 de la partie 3.
La figure 3 illustre la mise en place, lors d'une première étape, de l'accessoire 1, tel qu'illustré aux figures précédentes, sur un bord 12 de deux plaques 13 aboutées. Les plaques 13, planes, représentent une sous toiture ou une partie de la charpente de la toiture. En d'autres termes, les plaques 13 forment un support de réception de tôles de couverture. On conçoit qu'en variante, le support n'est pas continu, les plaques 13 n'étant pas jointives ou sont remplacées, dans le cas d'une charpente de type fermette, par des liteaux, des pannes ou autres.
La figure 4 illustre une telle tôle de couverture 14. Ici, la tôle 14 est ondulée avec des reliefs orientés selon ses deux dimensions. Comme cela apparait aux figures 4 et 5, une telle tôle 14 reproduit, sur sa face visible 15 lorsque la tôle 14 est en place sur les plaques 13, une toiture formée par des tuiles plates. Avantageusement la tôle 14 est en une couleur reproduisant celle des tuiles en terre cuite ou en béton, des ardoises ou autres éléments de toiture.
Le bord 16 de la tôle 14 est posé sur la partie 2 de l'accessoire 1. Comme illustré à la figure 5, l'épaisseur de la partie 2 est très inférieure à celle de la tôle 14. Typiquement, l'épaisseur de la partie 2, et avantageusement de tout l'accessoire 1, est comprise entre 2 mm et 15 mm, préférentiellement voisin de 5 mm, alors que l'épaisseur moyenne d'une tôle de couverture, telle la tôle 14 est compris entre 10 mm et 60 mm. Ainsi, lorsque le bord 16 de la tôle 14 repose sur la partie 2, il n'y a pas de surépaisseur significative de la toiture finale. On note que la surface de recouvrement S de la partie 2 par le bord 16 est plus ou moins large. De facto, la surface S correspond à la zone de contact de la partie 2 de l'accessoire 1. Du fait que la largeur L2 de la partie 2 est au moins égale à la moitié de la distance D séparant deux reliefs 140 de la tôle 14, il est aisé de régler la largeur de la surface de recouvrement S, selon le nombre de tôles 14 utilisées pour former la toiture. On réalise ainsi un recouvrement optimal, en assurant l'étanchéité de la toiture.
Par ailleurs, la forme des reliefs 4 de la partie 2 assure un drainage efficace du bord 16, par complémentarité de formes avec les reliefs 140. Le recouvrement est suffisant pour que l'eau s'écoule selon la pente du toit et, surtout, ne pénètre pas sous la toiture, donc ne s'infiltre pas sous l'accessoire 1 et sous la tôle 14. Par ailleurs, la complémentarité de formes entre les tôles participe au contact de la tôle de toiture sur l'accessoire 1, au niveau de la surface de recouvrement S, sans qu'il soit nécessaire de fixer ces dernières mutuellement, par exemple par vissage. Un tel contact optimal est également observé lorsque la partie 2 est plane et que la partie correspondante de la tôle de couverture est aussi plane. Une telle tôle de couverture, une fois posée sur la partie 2, ne glisse pas sur celle-ci.
La figure 6 illustre un autre mode de réalisation de l'invention. Ici, une tôle de couverture 14A est pourvue de reliefs 17, à section transversale tronconique. En d'autres termes, la tôle 14A est une tôle dite nervurée. La figure 6 illustre un recouvrement, avec une surface de recouvrement S minimale, de la partie 2 par un relief 17 constitutif du bord 18 de la tôle 14A. De manière préférée, le recouvrement est au minimum de la moitié de la distance séparant deux reliefs 17 et, avantageusement, voisin de la largeur d'un relief 17, étant entendu que deux reliefs 17 voisins sont séparés par une bande plane 19.
En variante, le recouvrement, et donc la surface de recouvrement S, est plus important. Par exemple, la surface de recouvrement S correspond à la largeur d'un relief 17, de la bande 19 et d'un demi-relief 17, comme illustré à la figure 7. Dans ce cas, il est possible, de façon connue en soi, de fixer par vissage ou rivetage la bande 19 sur la partie 2 et sur la charpente 13.
Les figures 8 à 11 sont des vues similaires à la figure 2 illustrant respectivement des accessoires 1A à 1D. Ici, la partie 2 des accessoires 1A à 1C est toujours la même que la partie 2 de la tôle 1. A la figure 11 qui représente un accessoire qui n'a pas les reliefs nécessaires pour être un accessoire d'une toiture selon la revendication 1, la partie 2D est plane, alors que la partie 3 est identique à celle de l'accessoire 1.
En revanche, la forme des reliefs 9A à 9C diffère de celle du relief 9. Il est ainsi aisé d'adapter la forme de l'espace défini par ce relief à celui de la partie sommital du mur et/ou du bord de la toiture. En d'autres termes, selon la forme de ce relief 9A à 9C, les plans P2, P3 forme un angle α inférieur ou supérieur à 90°. Dans le cas où l'angle α est inférieur à 90°, le montage sur l'extrémité du mur se fait en force. A l'inverse lorsque l'angle α est supérieur à 90° on rabat et on fixe la deuxième partie sur le mur.
On note également que la partie 3A de l'accessoire 1A a une extrémité 7A d'une forme différente de celle des autres accessoires 1, 1B et 1C. En l'espèce, l'extrémité 7A a, en section, une forme triangulaire. Les extrémités 7B et 7C des accessoires 1B et 1C sont orientées vers l'extérieur. Elles sont inclinées angulairement par rapport au plan principal P3 des deuxièmes parties des accessoires 1B, 1C. Dans tous les cas, on conçoit que la forme de l'extrémité 7, 7A à 7D est adaptée pour assurer l'évacuation de l'eau et protéger le bord de la toiture et le mur des intempéries.
Grâce à l'invention on peut recouvrir par des tôles de couverture une toiture, sans avoir besoin de découper une des tôles. Par ailleurs, il est aisé d'adapter l'accessoire de la toiture de l'invention aux différentes formes et dimensions rencontrées.

Claims

Toiture d'un bâtiment formée de plusieurs tôles (14 ; 14A) de couverture métalliques comprenant un accessoire métallique de couverture (1 ; 1A à 1D), ledit accessoire (1 ; 1A à 1D) étant rectangulaire et comprenant, selon sa largeur, deux parties (2, 3 ; 3A ; 2D) dont les plans principaux (P2, P3) forment entre eux un angle (α) compris entre 75° et 105°, une première partie (2 ; 2D) dudit accessoire (1 ; 1A à 1D) étant pourvue d'au moins une zone de contact par recouvrement (S) par une partie d'une tôle (14) constitutive de la toiture, une deuxième partie (3 ; 3A) dudit accessoire (1 ; 1A à 1D) définissant une bande de rive, telle que la largeur (L2) de la première partie (2) est au moins égale à la moitié de la distance (D) séparant deux reliefs (140) d'une tôle (14) constitutive de la toiture, caractérisée en ce que la zone de contact comprend plusieurs organes de contact, formés par des reliefs (4) ménagés sur une face de l'accessoire (1 ; 1A à 1C), parallèles entre eux, et disposés selon une direction parallèle à la longueur (L) de l'accessoire (1 ; 1A à 1C) et en ce que les reliefs (4) forment des organes de contact destinés à coopérer avec la tôle de couverture, constitutive de la toiture.
Toiture selon la revendication 1, caractérisée en ce que les plans principaux (P2, P3) forment entre eux un angle (α) compris entre 89° et 91°.
Toiture selon la revendication 1 ou 2, caractérisée en ce que les première (2 ; 2D) et deuxième (3 ; 3A) parties s'étendent de part et d'autre d'une troisième partie (9 ; 9A à 9C) définissant un espace de réception (V1) d'une extrémité d'un mur.
Toiture selon la revendication 1, caractérisée en ce que les reliefs (4) sont de formes similaires et/ou complémentaires à celles des reliefs (140 ; 17) ménagés sur des tôles (14 ; 14A) constitutives de la toiture.
Toiture selon la revendication 1, caractérisée en ce que les reliefs (4) sont d'une autre forme que celle des reliefs (140 ; 17) ménagés sur les tôles (14 ; 14A) constitutives de la toiture.
Toiture selon la revendication 1, caractérisée en ce que l'extrémité libre (7B ; 7C) de la seconde partie (3 ; 3A) est orientée angulairement par rapport au plan principal de cette seconde partie (3 ; 3A).