EP0754442A1

EP0754442A1 - Fauteuil particulièrement destiné aux malades à mobilité réduite

Info

Publication number: EP0754442A1
Application number: EP96401595A
Authority: EP
Inventors: Jean-Pierre Chevalier
Original assignee: Individual
Current assignee: Individual
Priority date: 1995-07-21
Filing date: 1996-07-18
Publication date: 1997-01-22
Also published as: FR2736821B1; FR2736821A1

Abstract

Un tel fauteuil comporte un châssis (1) composé d'un bâti vertical (11) globalement rectangulaire et d'une embase (10) portant des roulettes (12) et un siège (2) constitué d'au moins une assise (20) et un dossier (21). Suivant l'invention, le siège (2) est amovible pour pouvoir être séparé du châssis 1 et peut être mis à plat pour être posé sur un lit. <IMAGE>

Description

La présente invention concerne d'une manière générale un appareil permettant de soulever et de transporter une personne à mobilité réduite. Un tel appareil est usuellement dénommé fauteuil lève-malade.
Lorsqu'une personne ne peut plus se lever et se déplacer, ses proches, si elle est à son domicile, ou le personnel soignant, si elle est hospitalisée, doivent la porter chaque fois qu'elle doit changer de position, par exemple pour la faire passer de son lit à son fauteuil.
Ceci nécessite une grande force et une grande habitude car il faut soulever le malade, le porter et se déplacer, au minimum faire un quart de tour sur soi-même pour le déposer.
Il existe de nombreux équipements conçus de manière à apporter une aide aux personnes en charge de malades à mobilité réduite.
Certains équipements se présentent globalement sous la forme d'une potence à laquelle l'on accroche un harnais ou des sangles que l'on a disposé sous le corps du malade alité. Ces dispositifs permettent de soulever un malade de son lit et de le transporter.
Ces équipements présentent de nombreux inconvénients. Ils sont généralement encombrants ce qui limite leur utilisation au milieu hospitalier où il est prévu de l'espace en-dessous et autour des lits, fauteuils, baignoires. La mise en place et l'enlèvement du harnais ou des sangles sont peu faciles. Le malade est plus ou moins recroquevillé sur lui-même dans une position inconfortable au cours du transfert et subit un mouvement de balancier désagréable.
Il a été proposé un équipement permettant de résoudre certains inconvénients des dispositifs à harnais ou sangles.
Il s'agit d'un fauteuil constitué d'un châssis portant, de manière mobile en translation dans la direction verticale, un siège sur lequel est assis le malade.
Le châssis comporte une embase portant quatre roulettes et une poutre verticale. L'embase est de faible hauteur afin de passer sous des lits ou des fauteuils disposés près du sol comme ceux dont on dispose généralement à domicile, ladite embase est de plus conformée en U de manière à pouvoir disposer le siège au-dessus d'une cuvette de W.-C.
Pour lever un malade, l'on approche le fauteuil du lit et on règle la hauteur du siège de manière à le faire reposer sur le lit à côté du malade. Celui-ci s'assied sur le siège sur lequel il peut être maintenu si nécessaire par une ceinture, un dossier et une barre d'appui sont disposés respectivement derrière et devant le malade. Le siège est ensuite soulevé de manière à l'éloigner du lit et à permettre le déplacement du fauteuil.
Le malade ainsi assis sur le fauteuil peut être transporté vers tout autre lieu.
Ce fauteuil résout les problèmes d'encombrement, de facilité d'utilisation et d'inconfort des dispositifs précédents mais n'apporte pas une réponse complète aux problèmes rencontrés par les personnes en charge de malades à mobilité réduite.
Pour pouvoir être transporté à l'aide d'un tel fauteuil, le malade doit être suffisamment tonique pour pouvoir se soulever et s'asseoir par lui même sinon il est nécessaire de le porter. Il doit également être capable de se tenir assis car le dossier ne procure qu'un soutien et ne peut maintenir le malade en position assise. Ceci limite les possibilités d'utilisation du fauteuil.
Par ailleurs, la poutre verticale se trouve sur le côté du malade lorsque celui-ci est assis sur le siège ce qui interdit certaines utilisations, à titre d'exemple, l'on ne peut approcher le fauteuil d'une table pour la prise des repas et il est nécessaire de transférer le malade sur un autre fauteuil ou une chaise.
La présente invention tend à proposer un fauteuil de faible encombrement, d'utilisation aisée même pour un malade ne pouvant pas se mouvoir par lui-même, et qui puisse être utilisé dans un grand nombre de circonstances de manière à éviter le transfert du malade sur un autre support.
A cet effet l'invention propose un fauteuil particulièrement destiné aux malades à mobilité réduite, comportant un châssis composé d'un bâti vertical globalement rectangulaire et d'une embase portant des roulettes, et un siège constitué d'au moins une assise et un dossier, caractérisé en ce que ledit siège est amovible pour être séparable dit châssis 1 et susceptible d'être mis à plat pour être posé sur un lit.
Le fauteuil selon l'invention est encore remarquable en ce que

l'assise du siège comporte une plaque de support et un coussin montés l'un sur l'autre de façon à être mobiles en rotation l'un par rapport à l'autre autour d'un axe, vertical, qui leur est perpendiculaire, ledit coussin constituant la partie supérieure de l'assise sur laquelle est assis le malade,
l'ensemble constitué par le coussin et le dossier est pivotant par rapport à la plaque de support,
un dispositif de blocage du dossier assure le maintien de celui-ci au moins dans la position pour laquelle il est perpendiculaire à l'assise,
des accoudoirs sont montés de part et d'autre du dossier en étant mobiles en rotation entre une position pour laquelle ils sont globalement disposés dans le plan dudit dossier, et une position pour laquelle ils sont perpendiculaires audit dossier, lesdits accoudoirs pouvant être bloqués dans la position pour laquelle ils sont perpendiculaires au dossier,
la plaque de support est montée sur le châssis par l'intermédiaire d'un étrier de support,
l'étrier de support présente des moyens se fixant à la plaque de support et des moyens se fixant au bâti du fauteuil,
l'étrier de support se fixe sur des embouts du châssis faisant partie d'un dispositif de levage du siège permettant de régler à volonté la hauteur dudit siège par rapport au sol,
le dispositif de levage est constitué d'un cadre monté mobile en translation sur le bâti vertical et d'un moyen de commande assurant le déplacement dudit cadre vers le haut ou vers le bas,
la plaque de support est mobile par rapport au coussin par la mise en place d'un montage comportant des rainures circulaires formées dans la surface supérieure de la plaque de support et dans la surface inférieure du coussin.

L'invention sera mieux comprise grâce à la description qui va suivre donnée à titre d'exemple non limitatif en référence aux dessins annexés dans lesquels :

la figure 1 est une vue schématique en perspective du fauteuil selon l'invention,
la figure 2 est une vue schématique en perspective du châssis du fauteuil selon l'invention,
la figure 3 est une vue de dessus de l'étrier de support du siège,
la figure 4 est une vue de dessus du siège mis à plat.

Le fauteuil selon l'invention est globalement constitué d'un châssis 1 et d'un siège 2. Le châssis se compose d'un bâti vertical 11 globalement rectangulaire et d'une embase 10 en forme de U portant des roulettes 12 dont l'une au moins est équipée d'un frein.
Pour des raisons qui seront mieux comprises plus loin, l'embase 10 en U présente une première branche 13 confondue avec le bas du bâti vertical, une seconde branche 14 disposée parallèlement audit bâti et à distance de celui-ci et une troisième branche 15 reliant lesdites première et seconde branches disposée perpendiculairement à celles-ci ainsi qu'au bâti. Cette troisième branche relie lesdites première et deuxième branches à l'une de leurs extrémités ce qui procure à l'embase 10 sa forme en U.
Le bâti vertical 11 et l'embase 10 peuvent être conçus sous forme de deux pièces séparées que l'on relie l'une à l'autre, par exemple par emmanchement de doigts prévus à cet effet avec la mise en place d'un moyen de sécurité évitant un démontage intempestif. Une telle réalisation permet de démonter le fauteuil afin de le ranger, par exemple dans un coffre de voiture.
Pour faciliter la compréhension de la description l'on définit par avant du fauteuil l'espace situé du côté du siège par rapport au bâti vertical, arrière du fauteuil l'espace situé du côté du bâti vertical opposé au fauteuil. La gauche et la droite seront définies par rapport à ces directions en regardant de l'arrière vers l'avant du fauteuil.
Dans l'exemple de réalisation représenté au dessin, la troisième branche 15 de l'embase 10 est disposée sur la gauche du fauteuil.
Un siège 2 est porté par le châssis. Suivant l'invention, le montage dudit siège 2 sur le châssis est tel que ledit siège soit amovible, c'est-à-dire qu'il puisse être séparé du châssis 1.
Le siège 2 se compose d'une assise 20, d'un dossier 21 et, dans l'exemple de réalisation représenté au dessin, de deux accoudoirs 22 de préférence ergonomiques.
Suivant l'invention, l'assise 20 du siège est composée de deux parties, une plaque de support 23 et un coussin 26 constituant la partie supérieure de l'assise sur laquelle est assis le malade. La plaque de support 23 et le coussin 26 sont montés l'un sur l'autre de façon à être mobiles en rotation l'un par rapport à l'autre autour d'un axe, vertical, qui leur est perpendiculaire.
Le dossier 21 est porté par le coussin 26 de l'assise. Il est articulé par rapport audit coussin 26 par des moyens non représentés au dessin de manière à être mobile en rotation par rapport audit coussin 26 et à pouvoir passer d'une position pour laquelle il est perpendiculaire au coussin 26 comme représenté à la figure 1, à une position pour laquelle il est dans le même plan que le coussin 26 comme représenté à la figure 4. Les moyens assurant le montage mobile en rotation du dossier 21 par rapport au coussin 26 comportent un dispositif de blocage dudit dossier dans la position pour laquelle il est perpendiculaire au coussin 26, éventuellement avec au moins une position stable de blocage intermédiaire, à 60° environ.
Lorsque des accoudoirs 22 sont prévus, ils sont montés de part et d'autre du dossier 21 en étant mobiles en rotation entre une position pour laquelle ils sont globalement disposés dans le plan dudit dossier soit vers le haut comme représenté à la figure 4 soit vers le bas, et une position pour laquelle ils sont perpendiculaires audit dossier comme représenté à la figure 1. Lesdits accoudoirs peuvent être bloqués dans la position pour laquelle ils sont perpendiculaires au dossier.
Le siège 2 peut ainsi être mis à plat avec le dossier et les accoudoirs dans le même plan que l'assise.
Le montage du coussin 26 sur la plaque de support 23 avec possibilité de rotation peut utiliser tout montage de type connu, par exemple un montage comportant des rainures circulaires, schématisées par le cercle 24 en pointillés à la figure 4, formées dans la surface supérieure de la plaque de support 23 et dans la surface inférieure du coussin 26 entre lesquelles peuvent par exemple circuler des billes.
Un tel montage utilisant des rainures circulaires de grand diamètre est de préférence choisi de manière à libérer un large espace central symbolisé par le cercle 25 à la figure 4. Cet espace central peut alors être évidé pour permettre le positionnement d'un garde-robe.
Dans ce cas, la plaque de support 23 est découpée de manière à présenter une large ouverture dans cet espace central tandis que l'assise 20 comporte des portions amovibles permettant de libérer cet espace central. Il est alors possible de positionner un seau hygiénique sous le siège ou de positionner le fauteuil au-dessus d'une cuvette de W.-C.
La disposition particulière de l'embase 10 permet, après avoir fait tourner le coussin de l'assise pour que le malade soit dirigé vers la gauche du fauteuil, de positionner l'assise au-dessus de la cuvette de W.-C. en disposant les branches 13 et 14 de l'embase de part et; d'autre de cette cuvette.
Cette possibilité permet de préserver l'intimité du malade qui peut être installé convenablement et en toute sécurité et laissé seul.
Grâce aux moyens décrits plus haut, l'on crée un ensemble constitué du coussin 26, du dossier 21 et des accoudoirs 22 lorsqu'ils sont prévus, pouvant pivoter par rapport à la plaque de support 23. Cet ensemble est également pivotant par rapport au châssis du fauteuil lorsque le siège est monté sur ledit châssis, la plaque de support restant fixe en position par rapport audit châssis. L'on prendra bien entendu soin de dimensionner et conformer les divers éléments du siège pour permettre cette rotation.
La plaque de support 23 est montée sur le châssis 1 par l'intermédiaire d'un étrier de support 4 présentant des moyens se fixant à la plaque de support formés de deux branches 42 parallèles entre elles et des moyens se fixant au bâti 11 du fauteuil formés de deux branches 41 parallèles entre elles. Les branches 42 et 41 sont disposées de part et d'autre d'un montant 40.
Différents moyens de fixation des branches 42 à la plaque de support peuvent être utilisés, tels que l'insertion dans des alésages percés dans l'épaisseur de ladite plaque de support ou dans des brides fixées à ladite plaque.
Les branches 41 se fixent au bâti par tout moyen connu, par exemple comme représenté au dessin en s'insérant dans des embouts 31 portés par ledit bâti.
Lesdits embouts 31 font partie d'un dispositif 3 de levage du siège permettant de régler à volonté la hauteur dudit siège par rapport au sol.
Ce dispositif de levage est constitué d'un cadre 30 monté mobile en translation sur deux barreaux 16 du bâti vertical 11.
Le cadre 30 porte lesdits embouts 31. Un moyen de commande 32 tel qu'un ensemble manuel, un moteur électrique, un vérin hydraulique ou pneumatique est disposé entre la branche 13 du bâti 11 et le cadre 30 de manière à assurer le déplacement dudit cadre 30 vers le haut ou vers le bas le long des barreaux 16.
Lorsque l'on désire positionner un malade alité sur le fauteuil, il faut tout d'abord faire tourner l'ensemble coussin - dossier - accoudoirs par rapport à la plaque de support de manière à positionner le dossier 21 perpendiculairement au bâti vertical 11. Le fauteuil est ensuite approché du lit tout en réglant la hauteur de la plaque de support 23 par rapport au sol de manière à ce que ladite plaque de support repose sur le lit du malade.
Le dossier et les accoudoirs sont ensuite amenés dans la position pour laquelle ils sont dans le même plan que l'assise 20.
Le siège étant ainsi posé à plat sur le lit, l'on peut faire glisser le malade de manière à ce qu'il soit convenablement positionné par rapport à l'assise et au dossier, cette opération est facilitée lorsque les accoudoirs sont ergonomiques et présentent une surface supérieure inclinée vers l'extérieur.
Les accoudoirs 22 sont alors ramenés dans leur position perpendiculaire au dossier et bloqués dans cette position ce qui assure un premier maintien du malade.
Le dossier 21 est ensuite ramené et bloqué dans sa position perpendiculaire à l'assise 20, éventuellement avec un blocage intermédiaire à 60° environ. Cette phase peut être réalisée en s'aidant de la tête inclinable du lit si elle existe.
A cet instant, le malade est assis dans le siège et maintenu par le dossier et les accoudoirs en ayant les jambes encore allongées sur son lit. Une ceinture de maintien du malade sur le siège peut être mise en place si celui-ci n'est pas capable de se maintenir convenablement par lui-même.
Le moyen de commande 3 est alors utilisé pour soulever le siège et l'écarter du matelas, puis le fauteuil est écarté du lit.
Le malade est ainsi assis dans son fauteuil en étant tourné vers la droite ou vers la gauche, il ne reste plus qu'à faire à nouveau tourner le coussin 26 de l'assise par rapport à la plaque de support pour ramener le siège dans la position représentée à la figure 1 pour laquelle le malade regarde vers l'avant. Un moyen non représenté au dessin assure le blocage du siège dans les différentes positions utiles.
Une variante de réalisation de la présente invention consiste à permettre la dêsolidarisation de l'étrier de support 4, de la plaque de support 23 et des embouts 31.
Cette variante de réalisation permet une utilisation plus souple dit fauteuil selon l'invention.
Le siège 2 peut être désolidarisé du châssis ce qui permet de le poser aisément sur le lit. Le fauteuil est ensuite remonté en fixant les embouts 31 sur l'étrier de support 4 après avoir monté celui-ci sur la plaque de support 23.
Le siège désolidarisé du châssis peut être utilisé comme moyen de maintien du malade en position assise et être posé sur un lit, une banquette, un siège de voiture.
Cette variante de réalisation du fauteuil selon l'invention est le seul moyen permettant d'installer un malade dans un véhicule sans devoir le porter dans les bras et se contorsionner pour lui faire passer la porte.
Cette variante présente de plus l'avantage de permettre le déplacement de plusieurs malades en utilisant un seul châssis sur lequel l'on fixe à tour de rôle le siège d'un malade. L'on peut ainsi limiter les besoins de matériel dans les maisons de retraite, les hôpitaux, etc ...
Un autre avantage du fauteuil selon l'invention est qu'il peut être utilisé pour positionner le malade devant une table, en disposant éventuellement les accoudoirs dans le plan du dossier pour ne pas entraver les mouvements du malade.
Le siège du fauteuil selon l'invention peut être réalisé de différentes manières, plus ou moins confortables.
L'on pourra ainsi fournir un siège en matière plastique pour permettre son utilisation sous la douche.
Un cadre portant des pieds peut être fourni comme accessoire pour transformer le fauteuil mobile en fauteuil fixe. Ce cadre est disposé et fixé au siège 2 et le châssis 1 est retiré.
De manière connue, il est possible d'adapter au fauteuil selon l'invention de grandes roues avec mains courantes pour permettre au malade de se déplacer seul.
Il est également possible d'adapter des repose-pieds.
Comme on aura pu le comprendre, le fauteuil selon l'invention permet une manipulation très aisée d'un malade même gravement atteint par toute personne de son entourage sans nécessiter d'efforts importants.

Claims

Fauteuil particulièrement destiné aux malades à mobilité réduite, comportant un châssis (1) composé d'un bâti vertical (11) globalement rectangulaire et d'une embase (10) portant des roulettes (12), et un siège (2) constitué d'au moins une assise (20) et un dossier (21), caractérisé en ce que ledit siège (2) est amovible pour être séparable dit châssis 1 et susceptible d'être mis à plat pour être posé sur un lit.
Fauteuil selon la revendication 1, caractérisé en ce que l'assise (20) dit siège comporte une plaque de support (23) et un coussin (26) montés l'un sur l'autre de façon à être mobiles en rotation l'un par rapport à l'autre autour d'un axe, vertical, qui leur est perpendiculaire, ledit coussin (26) constituant la partie supérieure de l'assise (20) sur laquelle est assis le malade.
Fauteuil selon la revendication 2, caractérisé en ce que l'ensemble constitué par le coussin (26) et le dossier (21) est pivotant par rapport à la plaque de support (23).
Fauteuil selon l'une quelconque des revendications 1 à 3, caractérisé en ce qu'un dispositif de blocage du dossier assure le maintien de celui-ci au moins dans la position pour laquelle il est perpendiculaire à l'assise (20).
Fauteuil selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que des accoudoirs (22) sont montés de part et d'autre dit dossier (21) en étant mobiles en rotation entre une position pour laquelle ils sont globalement disposés dans le plan dudit dossier, et une position pour laquelle ils sont perpendiculaires audit dossier, lesdits accoudoirs (22) pouvant être bloqués dans la position pour laquelle ils sont perpendiculaires au dossier.
Fauteuil selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que la plaque de support (23) est montée sur le châssis (1) par l'intermédiaire d'un étrier de support (4).
Fauteuil selon la revendication 6, caractérisé en ce que l'étrier de support (4) présente des moyens (42) se fixant à la plaque de support (23) et des moyens (41) se fixant au bâti (11) du fauteuil.
Fauteuil selon la revendication 7, caractérisé en ce que l'étrier de support (4) se fixe sur des embouts (31) du châssis faisant partie d'un dispositif (3) de levage du siège permettant de régler à volonté la hauteur dudit siège par rapport au sol.
Fauteuil selon la revendication 8, caractérisé en ce que le dispositif de levage (3) est constitué d'un cadre (30) monté mobile en translation sur le bâti vertical (11) et d'un moyen de commande (32) assurant le déplacement dudit cadre (30) vers le haut ou vers le bas.
Fauteuil selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que la plaque de support (23) est mobile par rapport au coussin (26) par la mise en place d'un montage comportant des rainures circulaires (24) formées dans la surface supérieure de la plaque de support (23) et dans la surface inférieure du coussin (26).