Machine destinée à reproduire par impression des plans, dessins, écritures etc. au moyen de clichés obtenus, par exemple, par le procédé photoferrogélatinographique. L'invention a pour objet une machine à l'aide de laquelle sont reproduits des plans, dessins, écritures, etc, par application d'une feuille (de papier par exemple) sur un cliché préalablement obtenu, par exemple, par le procédé photoferrogélatinographique.
Une forme d'exécution de cette machine est représentée, à titre d'exemple, sur le des sin ci-joint dans lequel: La fig. 1, représente en élévation, un dis positif mobile d'encrage et un dispositif mo bile lisseur placés l'un à côté de l'autre, à la position -de repos.
Cette figure correspond à la. partie de la machine comprise dans le cadre < 1 tracé en traits mixtes fig. 6; Les fig. 2, 3 et 4 montrent certains organes appartenant aux dispositifs représentés fig. 1; La fig. 5 correspond à la partie de la ma chine comprise dans le cadre B, fig. 6, et re présente les dispositifs destinés à limiter la course des dispositifs mobiles; La fi-. 6 est une vue schématique d'en semble, à très petite échelle, de la machine montrée en élévation; La fig. 7 est une vue de côté du dispositif mobile d'encrage;
La fig. 8 est une vue semblable du dis positif mobile lisseur; La fig. 9 montre l'extrémité de la mani velle de manoeuvre qui n'a pu être indiquée en entier fig. 8; La fig. 10 est une vue en élévation d'un mécanisme de commande des rouleaux du dis positif mobile d'encrage; La fig. 11 est un plan du dispositif montré fig. 10; La fig. 12 est une coupe transversale faite suivant 1a ligne a-b, fig. 10;
Les fig. 13 et 14 montrent en perspective, les tiges de commandes des rouleaux du dis positif mobile d'encrage; La fig. 15 est une coupe transversale, faite suivant la ligne c-d de la fig. 5, montrant un dispositif de refroidissement; La fig. 16 est un plan schématique du re froidisseur; La fig. 17 représente un autre genre de dispositif mobile d'encrage; Les fil-. 18 à 21 sont des schémas destinés à faciliter la description du fonctionnement du mécanisme d'entraînement des feuilles à imprimer.
La machine représentée est constituée par un bâti formé de deux fers plats 1, 2 (fig. 6) dont les extrémités sont recourbées pour servir de pieds à la machine. Les fers 1, 2 sont solidement entretoisés par des barres trans versales 3 fixées au moyen d'écrous.
Sur chacun des fers, 1 et 2 est fixé un prolongement 4 servant à supporter les plan ches 5 et 6 destinées à recevoir les feuilles de papier. Une table 7 sert à préparer l'encre; cette table est articulée sur une des entretoises 3 et maintenue à l'aide de bras 8.
Le dispositif mobile d'encrage est désigné clans ce qui suit sous le nom de train-baladeur encreur TBE. Le dispositif mobile lisseur, destiné à. l'application de la feuille sur le cliché est désigné dans ce qui suit sous le nom de train baladeur lisseur TBL. Ces trains se déplacent sur la partie horizontale des fers 1 et 2.
Le -dispositif TBE (fig. 1, 3 et 7) est cons titué par deux flasques 9, 10 disposés chacun < < , l'extérieur du bâti de la machine et entre- toisés par une plaque transversale 11, un axe 12, et une plaque 13. Sur chacun (les flasques 9 et 10 sont montés des galets de roulement 14, 15 et 16 tournant sur des goujons 17 bou lonnés aux flasques 9 et 10.
Les galets portent des boudins 18 qui assu rent le guidage du TBE dans le sens transver sal. Les galets supérieurs 14 et 15 roulent sur les fers 1, 2 qui leur servent de rails. Les galets inférieurs 16 roulent au-dessous et contre les fers 1, 2. Cette disposition main tient le TBE -dans la position verticale en même temps qu'elle s'oppose à tout déplace ment du TBE dans le sens vertical.
Afin d'assurer au TBE un déplacement exactement parallèle à, l'axe de la, machine, les flasques 9 et 10 sont traversés par un axe 19 sur lequel sont clavetées deux roues dentées 20 engrenant. chacune avec une crémaillère 21 fixée sur le fer correspondant 1, 2. Ces cré maillères sont d'une longeur telle que les roues dentées 20 soient toujours en prise quelle que soit la place occupée par le TBE le long du bâti 4-le la machine.
Les flasques 9, 10 présentent chacun une rainure verticale 22 (fi g. 1) dans lesquelles peuvent coulisser l'axe 23 d'un rouleau en creur 24 et l'axe 25 d'un rouleau encrier 26. Les extrémités de l'axe 23 sont décolletées en 27 afin d'empêcher tout déplacement longitu dinal de cet axe et, par suite, du rouleau 2:1-. Les extrémités de l'axe 25 dépassent largement les flasques 9 et 10 et une de ces extrémités est entaillée de manière à permettre de faire tourner l'axe 25 au moyen d'une manivelle amovible 28.
A l'intérieur du TBE, et sur le flasque 9, est fixée à l'aide de boulons 29, une pièce en cuivre 30 dans des rainures de laquelle peu vent coulisser des plaquettes 31 et 32 (fig. 10 à 12). La plaquette 31 est légèrement pressée contre la monture 30 au moyen d'un petit ressort 33 maintenu par une vis 34 passant à travers une coulisse 35 ménagée clans la plaquette 31 et vissée ensuite dans l'épaisseur de la monture 30. Un dispositif analogue, avec ressort 36, sert à presser la plaquette 32. Cette disposition a pour but de maintenir les plaquettes et d'éviter leur déplacement par inertie.
<B>El</B> n des points déterminés (le la monture 30 sont percés verticalement. deux trous des tinés à. permettre le passage à. frottement très doux de tiges 3 7 et 38. Ces trous sont percés de manière que le tracé des rainures de gui dage (les plaquettes 31 et 32 coupe le tracé des trous suivant un segment de cylindre (fig. 11.).
Les tiges 37 et 38 sont de forme générale cylindrique. Elles sont guidées, vers le haut, clans des projections 39 et 40 du flasque 9 et, dans le bas, .dans la pièce 30. La tige 38 est commandée par un ressort 41 entourant l'extrrémi@é s>?périeure de la tige et prenant a.r.pui, l'une part, sur la projection 40 et, d'autre part. sur une goupille 42 (fig. 1) tra versant la tige 38.
Ainsi montées, la. tige 37 tend constam ment à descendre par son propre poids alors que la, tige 38 tend constamment à monter sous l'action du ressort 41.
Au-dessus de la tige 37 est disposé un petit levier 43 qui est claveté sur l'axe 12. Sur les extrémités de cet axe 12 sont égale ment clavetés des bras de levier 44 assez longs pour qu'ils dépassent légèrement l'axe 25 en passant au-dessous de cet 'axe.
Sur chaque levier 44 est articulée, en 45, une tige 46 terminée à la partie inférieure en forme -de crochet 47 destiné à s'engager clans un décolletage 48 pratiqué sur l'axe 23.
On comprend que ce montage puisse per mettre en soulevant la tige 37, d'obtenir par l'intermédiaire du levier 43, de l'axe 12, des leviers 44 et des tiges 46, le soulèvement si multané des rouleaux 24 et 26 avec cette par ticularité que, grâce à la différence de lon- sueur du bras de levier situé entre 12 et 45 par rapport à la longueur du bras de levier pris entre l'axe 12 et le point de contact des leviers 44 avec l'axe 25; ce dernier est sou levé d'une quantité plus grande que ne l'est le rouleau 24.
Au-dessus de la tige 38 est .disposé un bras de levier 49 solidaire d'un tube 50 entourant l'axe 12. Sur l'autre extrémité (le ce tube 50 est également fixé un levier 51 analogue au levier 49 et placé au-dessous de l'axe<B>9-5.</B> Par suite de l'effort constant du ressort 41 sur la tige 38, cette dernière applique constamment les leviers 49 et 51 contre l'axe 25, et ce qûelle que soit la. position occupée par cet axe.
Sur le côté extérieur .du fer 1, est fixée, au moyen de vis 52 (fig. 1), une pièce 53 don une extrémité est recourbée en 54 à angle droit et dont l'autre extrémité est façonnée de manière à former une rampe 55.
En un point correspondant à la tige 37 quand le TBE est au repos (fig. 1), la: pièce 53 est percée d'un trou vertical dans lequel est logée, à frottement très léger; une tige 56 qui repose par son propre poids, sur un excentrique 57 calé sur une extrémité d'un axe 58 traversant le fer 1 et supporté par une pièce 59 .fixée à ce fer par des vis 60. Un levier de manoeüvre 61 est claveté sur l'autre extrémité de l'axe 58. Lorsque l'excentrique 57 présente à la tige 56 son plus grand rayon, la partie supérieure -de la tige 56 se trouve dans le plan de la partie horizontale 64 de la pièce 53; quand il présente son plus petit rayon la tige 56 des cend d'une certaine quantité.
La tige 37 re posant sur la tige 56, la descente de cette der nière détermine un mouvement vers le bas des rouleaux 24 et 26 ainsi que de la tige 38 dont le ressort 41 cède sous le poids des deux rou leaux.
Dans le but de maintenir le TBE <I>à la</I> place qu'il occupe sur la fig. 1, une tige 62 est articulée en 63 à l'extérieur et sur le flasque 9. A l'une de ses extrémités, la tige 62 porte un ergot 65 dont l'extrémité se trouve placée au-dessus de la pièce 53 clans une rainure 66 de laquelle l'ergot 65 est maintenu appliqué grâce à un ressort de rappel 67 (fig. 1 et 7).
0 L'ergot 65 est maintenu appliqué contre l'arête verticale de droite de la rainure 66 grâce à un ressort 71 montré sur la tige 72, qui est terminée, à une extrémité en forme de tampon 73 e+ à. l'extrémité opposée, par un écrou 74. Le ressort 71 tend à se développer entre le guide 54 et le tampon 73 qui est ainsi appliqué sur le goujon 17 chi galet 14. Un tampon amortisseur identique pourrait être disposé sur un support approprié placé sur le fer 2 de manière à presser symétriquement contre le TBE, mais l'emploi des engrenages 20 peut rendre cette disposition non néces saire.
Deux autres tiges 75 et 76 (fig. 1, 10 et 11) sont supportées et façonnées comme la, t;ge 72 et également entourées chacune par un ressort antagoniste; le rôle de ces tiges est d'agir élastiquement sur les plaquettes 31 et 32.
La plaquette 31 est façonnée de manière à présenter une encoche 77 qui est placée en regard de la tige 37 dans laquelle est taillée une encoche 78 (fig. 13) -dont la, lon.geur cor respond à la. pleine largeur de la. plaquette 31. Suivant que l'encoche 77 est ou n'est pas placée devant l'encoche 78, il s'ensuit que la tige 37 est ou n'est pas bloquée, car la pla- queue joue ici le rôle d'une targette. En tout cas, la tige 37 ne peut descendre que d'une quantité qui est égale au plus, à la profondeur de l'encoche 77.
Une disposition analogue existe pour la plaquette 32 qui comporte une encoche 80, mais dont la partie utile 32' (fig. 10) est plus large et correspond à la longueur de l'encoche 79 (fig. 14) .de la tige 38.
Suivant la position occupée par la pla quette 32, la tige 38 peut donc coulisser ou être verrouillée.
En se référant aux fig. 5 et 6, on voit sur le fer 1, -et articulée en 81, une pièce 82 ter minée par une queue 83 inclinée de manière à constituer une rampe 84.
La pièce 82 présente une partie 85 dans laquelle sont montés une tige à ressort-tam- pon 86 et deux butoirs élastiques 87 et 88. La pièce 82 est soutenue dans la. position abaissée au moyen de la partie débordante 89 d'une vis de montage.
Lorsque la pièce 82 occupe la position montrée en traits mixtes, les tiges 86, 87 et 88 se trouvent exactement en regard des tiges correspondantes 72, 75 et 76.
Le rôle du tampon 86 et des tiges butoirs 8 7 et 88 est le même que celui des tiges 72, 75 et 76.
Pour expliquer le fonctionnement du TBE, il faut d'abord supposer que le TBL, occupe la position indiquée par la ligne 1. Mais il faut faire remarquer que, quand le TBL occupe ee\te position, un des galets (le roulement du TBL maintient élevée la pièce 82 après l'avoir amenée dans cette position (traits mixtes, fig. <B>5).</B> C'est alors qu'il est possible de déplacer le TBE entre les pièces 5 < 3 et 82.
Le cliché ferrogéla.tinographique 92 est porté par une plaque métallique qui est posée sur la partie dressée d'un appareil refroidis seur 94 logé dans une caisse en bois 95. Cette caisse est posée sur les traverses 96 fixées aux fers 1 et 2.
Afin de maintenir le cliché clans une po- déterminée et fixe, des clavettes amo vibles 97 (fig. 1 et 8) sont disposées à l'une des extrémités du cliché. Ces clavettes passent dans des ouvertures ménagées dans la plaque métallique qui porte le cliché et dans la caisse 95.
Le TBE et tous ses organes étant placés à la position représentée fig. 1, et le TBL étant maintenu en 1, il va être procédé à l'en crage du cliché et ensuite à son nettoyage.
Il faut, bien entendu, supposer que les rou leaux 24 et 26 sont chargés d'encre. L'ouvrier saisit la. poignée 69 fixée sur le flasque 9 et, après avoir appuyé sur le ma- neton 70 pour dégager l'ergot 65 de l'encoche 66, il dirige le TBE vers la droite. Pendant les premiers centimètres de la course du TBE, la tige 37 glisse sur la surface horizontale 64, puis suit la rampe descendante 55. Les rou leaux 24 et 26 viennent en contact et le rou leau encreur 24 vient se poser sur le cliché 92. Le contact entre le rouleau 24 et le cliché n'a lieu qu'après avoir dépassé la tête saillante des clavettes 97. .
L'ouvrier continue à conduire le TBE jusqu'au point marqué par la ligne e (fig. 6), les tiges 37 et 38 sont maintenues par les plaquettes 31 et 32, les arêtes supérieures des encoches 78 et 79 de ces tiges venant res pectivement reposer sur le fond des encoches 77 et 80 des plaquettes.
Lorsque le TBE arrive à quelques centi mètres du point e, la tige 37 rencontre une rampe ascendante 98 ménagée sur la pièce 82 puis la partie horizontale 99 de cette même pièce; la tige 37 est remontée et maintenue jusqu'à ce que les plaquettes 31, 32 viennent respectivement rencontrer les butoirs 87 et 88 qui obligent ces plaquettes à se déplacer par rapport à la monture 30 qui les porte et à, verrouiller les tiges 37 et 38 dans la position élevée à, laquelle ces tiges se trouvent. Le butoir 87 doit occuper une position semblable à celle du butoir 88 et non pas être tiré comme le montré fig. 5.
Le soulèvement de la tige 37 a. déterminé l'éloignement du rouleau 26 du rouleaû 25, lequel, en même temps, s'est éloigné du cliché 92.
L'opération de l'encrage du cliché est ter minée et si l'ouvrier ramène le TBE au point de départ, le TBE passe au-dessus du cliché sans que le rouleau encreur 24 le touche; quand les plaquettes 31 et 32 viennent rencon trer les butoirs 75, 76 de la pièce 53, elles sont déplacées par ces butoirs de manière que les encoches 77 et 80 arrivent en face des tiges 37 et 38, ce qui fait reposer la tige 37 sur la pièce 56.
Le TBE et tous ses organes se trouvent alors placés à la position montrée fig. 1.
A la fin<B>de</B> chaque course -du TBE, ce dernier vient rencontrer .soit le tampon 86 soit le tampon 72 qui arrêtent le TBE d'une ma nière élastique.
Le tampon 72 applique l'ergot 65 du levier 62 contre le côté vertical de la rainure d'arrêt 66 .dans laquelle l'ergot 65 est tombé après avoir été soulevé par la rampe 55.
Afin de permettre les diverses combinai sons suivantes: le rouleau encreur 24 prend ou ne reprend pas contact avec le cliché pen dant le retour ,du TBE à la position initiale, ou le rouleau encrier 26 et le rouleau encreur 24 sont ou ne sont pas en contact, et ce pen- ila.nt l'aller ou pendant le retour du TBE, les pièces 53 et 82 sont traversées par des pièces 100 placées de manière à pouvoir coulisser verticalement au-dessous des butoirs 75, 76 et 87, 88.
Si le cliché doit être simplement encré pen dant l'aller du TBE, toutes les pièces ou ver rous 100 sont abaissés.
Si, après l'encrage, le cliché, en vue de son nettoyage doit être à nouveau touché par le rouleau encreur 24, mais sans que le rouleau encrier 26 soit en contact avec le rouleau en creur, le butoir 87 est tiré à la main et bloqué au moyen du verrou 100 correspondant, comme cela est représenté fig. 5.
Le réezltat désiré sera alors obtenu par le fait que, quand le TBE arrivera à fin de course "aller", la pla quette 32 sera seule déplacée par le butoir 88, et verrouillera la tige 38; cette tige 38 ne pouvant descendre, les leviers 49 et 51 et, par suite le rouleau encrier 26 seront maintenus élevés par cette tige; et ce jusqu'au moment où, le TBE arrivant à la position initiale, rencontrera les butoirs 75 et 76 qui placeront à nouveau tous les organes à la position ini tiale montrée fig. 1.
Si l'on désire que, pendant le "retour" du TBE, les rouleaux encreur et encrier soient maintenus en contact entre eux et avec le cliché, les deux butoirs 87 et 88 doivent être bloqués par les verrous 100. De cette manière, aucune action de ces butoirs ne peut se pro duite sur les plaquettes 31 et 32 et, par con séquent, quand le TBE retourne vers les bu toirs 75, 76 la tige 37, en descendant la rampe 98, permet aux rouleaux 24 et 26 de reprendre. la position primitive.
Enfin, si l'on veut .obtenir que, pendant "l'aller" du TBE, l'encrage .du cliché soit effectué par le rouleau 24 sans que ce dernier soit en contact avec le rouleau encrier 26, le butoir 76 doit être bloqué par son verrou 100, en prenant soin de faire cette opération avant que le TBE n'ait repris la position initiale et en s'assurant que les butoirs 8 7 et 88 ont préalablement déterminé le verrouillage des tiges 37 et 38. Dans ces conditions, la tige 38 restant seule verrouillée pendant "l'aller\' du TBE, le rouleau encreur 24 descend seul -dès que la tige 37 passe sur la rampe 55.
Comme on vient de le voir on peut, suivant que tel ou tel butoir est bloqué, .obtenir toutes les combinaisons désirées et que nécessite sou vent l'opération délicate de l'encrage d'un cliché ferrogélatinographique.
Pour charger d'encre les rouleaux 24 et 26, le TBE comporte le dispositif suivant: Sur chaque flasque 9 et 10 sont articulées deux pièces semblables 101 ayant la forme d'un<B>T.</B> Chacune de ces pièces 101 est percée d'un trou 102 et porte un doigt 103 dirigé vers le rouleau 26. Sur chaque flasque 9 et 10, un petit verrou amovible 104 est engagé clans un orifice pratiqué dans les flasques.
Pour encrer le rouleau 26, l'ouvrier doit d'abord relever le levier 61 à excentrique afin de faire descendre les tiges 56 et 37 et, par suite, les deux rouleaux qui viennent en con tact l'un avec l'autre. L'ouvrier fait ensuite basculer les pièces 101 de manière que les trous 102 puissent être traversés par les ver rous 104 qui sont retirés au préalable. Dans cette position, les pièces 101 présen tent leur partie 105 au-dessus de l'axe 25 qui ne peut ainsi plus remonter. En même temps, chacun des doigts 103 se trouve placé en face du tracé d'une rampe 106 fixée sur le côté du rouleau 26.- L'une de ces rampes est décalée de 1811 par rapport à l'autre et le sommet de l'une correspond à la base -de l'autre (fig. 1 et 7).
L'ouvrier fait ensuite basculer une pièce <B>107,</B> articulée sur l'axe 12. Cette pièce 107 re posait précédemment dans une rainure circu laire<B>108</B> pratiquée autour clé l'axe 25 du rou.. leau et s'opposait à tout déplacement longi- tuclinal de l'axe 25.
Enfin, après avoir placé de l'encre sur la périphérie du rouleau 26 à l'aide d'une spa tule. l'ouvrier fait tourner le rouleau 26 au moyen de la manivelle amovible 28.
Grâce aux rampes 106 qui viennent frotter contre l'extrémité des doigts 103, un mouve ment longitudinal dans le sens axial est im primé ai! rouleau 26 en même temps que ce dernier roule sur le rouleau 24. L'encre est ainsi parfaitement répartie sur toute la. surface des deux rouleaux. Cette opération étant ter minée, l'ouvrier place les pièces 61, 101, et <B>107</B> clans leur position primitive, .et le TBE peut servir pour l'encrage du cliché.
Lorsque l'encre des rouleaux doit être en levé, l'ouvrier doit d'abord relever le levier 61 pour établir le contact entre les deux rouleaux et placer ensuite une règle 109 dans les rai nures 22 clés flasques, puis, en appuyant sur la règle 109 avec la main gauche, faire tourner le rouleau 26 au moyen .de la manivelle 28.
Le train-baladeur-lisseur (fig. 1, 2, 4 et 8) est essentiellement constitué par deux flas ques 110 et 111 placés de chaque côté du bâti de la machine et entretoisés par des barres 112 et 113. Des galets de roulement 114 montés sur des axes 115 et clés roues dentées 116 cla- vetées sur un axe 117 assurent un déplacement par roulement sur les fers 1, et 2 et les cré maillères 21 dans des conditions de solidité e! de guidage parfaits.
Dans chaque flasque<B>110</B> et 111 est mé nagée une rainure verticale 118. Dans ces rainures peuvent coulisser deux axes 119 et 120.
Le rouleau lisseur 121 en caoutchouc est logé entre les flasques 110 et 1l1., au-dessus du cliché 92.
Son axe 119 traverse les flasques 110, 111, il est porté par -des demi-coussinets 123 sus ceptibles de coulisser dans les rainures 118.
Au-dessus de l'axe 120 sont placés des demi-.coussinets 124 qui peuvent également coulisser dans les rainures 118. A chaque ex trémité de l'axe 119 est emboîté un disque 125 qu'une goupille 126 maintient en place; ces disques l25 tournent librement autour de l'axe 119.
Sur chaque extémité de l'axe 120 est cla- veté un excentrique 128 de manière que cet excentrique se trouve placé dans le même plan que celui du disque 125 correspondant.
A l'extrémité de l'axe 120 correspondant au flasque 110, est clavetée une manivelle l29 portant .deux poignées 130 et 131 et deux bu tées 132 et 133. La manivelle 129 est calée sur l'axe 120 de manière que l'axe de cette manivelle coïncide avec le plus grand rayon des excentriques 128, et les butées 132, 133 sont placées de manière à venir rencontrer l'axe 119. Suivant que les excentriques 128 offrent aux disques 125 leur plus petit ou leur plus grand rayon, l'axe 119 est rapproché ou éloigné de l'axe 120 .d'une quantité égale à la différence d'excentricité de l'excen trique 128.
En effet, le rouleau lisseur 121 est poussé constamment vers le haut par des ressorts 134 qui tendent à se développer entre le fond des rainures 118 et les coussinets 123. La, pression des ressorts 134 est transmise par l'axe 119, les disques 125, les excentriques 128 et l'axe 120 aux coussinets 124 -dont la position peut être réglée au moyen de vis de butée 136, ma noeuvrées par les volants<B>189,</B> dont le but est de permettre le réglage de la. pression du rou leau lisseur 121 sur la. feuille à imprimer et sur le cliché.
Sur chaque flasque 110 et<B>111</B> est fixée au moyen clé boulons 137, une longue barre 138 (fig. 1, 5, 6 et 15). Chaque barre 138 porte un galet 140 roulant sur le fer corres pondant 1, 2 et 4 du bâti. De place en place, des barres transversales 141 sont placées entre les grandes barres 138 et servent de support < i, une plaque de zinc ou d'aluminium 142 ser vant de table à marger, sur laquelle est dis posé un système quelconque de margeur 143 à. positioiï réglable (fig. 5). Une partie 144 débordant la plaque 142 sert de règle à marger.
L'ensemble rigide 138, 141 et 1.42 se dé place avec le TBL en roulant sur le bâti de la machine. Cet ensemble recouvre les organes 95, 94 et 93 portant le cliché 92, fig. 15.
Sur chaque flasque 110, 111 et en un point 145, est articulé un levier en équerre 146 dont une extrémité est attachée en 147, à une bagne 1.48 entourant l'axe 119. L'autre extrémité de chaque levier 146 est façonnée en forme de fourche 149. Par leur fourche 149, les deux leviers 146 sont en prise avec une barre trans versale 150 à laquelle est fixée une plaque 151 coulissant, sous la plaque 142, entre cette plaque et une barre 141. Les extrémités de la barre 150 sont guidées par des coulisses 152 tracées dans l'épaisseur des barres 138.
Cette disposition a; pour but, quand le rou leau 121 est soulevé, d'obliger la plaquette 151 à venir se placer au-dessous -du rou leau 121.
Sur l'axe 119, de chaque côté du rouleau 121., est disposée une pièce 153 qui, vue de face, a la forme générale d'un U et, vue de côté, celle d'un L. Les pièces 153 sont engagées sur l'axe 119 de manière que ce dernier soit placé entre les branches de l'U. Un demi coussinet coulissant 154 est placé entre les branches de l'U puis ensuitF un ressort an tagoniste 155 est enfin une pièce 156 fixée sur les extrémités des branches de<B>VU</B> au moyen de vis à tête noyée. Chaque pièce 156 présente un bossage 157. La pièce 153 cor respondant au flasque 110 présente, à sa partie inférieure un bossage 158.
Les deux pièces 153 sont réunies par une barre <B>159.</B>
Sur la pièce 153, côté du flasque 110, sont venues de fonte deux saillies 160 et 161. Sur le flasque<B>110</B> est fixé un téton 162 dont l'ex tr6mité est placée à l'aplomb du plan commun aux saillies 160 et 161. Sur chaque flasque 110 et 111 est également montée une pièce fixe 163 dont la partie inférieure présente une courbure appropriée. Un léger creux de repos 164 est pratiqué sur les pièces 163, dans le plan commun aux axes 119 et 120.
A l'extrémité d'un axe 165 dont l'autre extrémité est fixée au flasque<B>110,</B> est arti culé un levier 166 portant un axe<B>167</B> sur le quel sont montés fous deux galets 168 et 169. Le plus petit galet, 168, est placé dans le plan de rotation du bossage 158 de la pièce 153. Le galet 169 est placé au-dessus du bord du rouleau 121 -et est maintenu appliqué sur ce rouleau au moyen d'un ressort de torsion 170 s'appuyant, d'une part, au flasque 110 et, d'autre part, au levier 166.
Le rôle clés pièces 153 à 170 est de saisir la feuille de papier à imprimer, de l'obliger à passer autour. du rouleau 121 et enfin d'a bandonner cette feuille à un moment déter miné.
Entre le flasque 110 et le rouleau 121 est disposée une tige 171 guidée à sa partie in férieure dans la projection 135 et à sa partie supérieure dans l'entretoise 112. L'extrémité inférieure de la tige 171 est arrondie de ma nière à pénétrer plus facilement dans les en coches 177, 178, pratiquées dans le fer 1 (fig. 1 et 6); un ressort 172 s'appuie, d'une part, sur l'entretoise 112 et, -d'autre part, sur l'ex trémité en forme de fourche d'un petit levier 173 articulé sur un axe 174 fixé au flasque 110 -et portant un prologement de manceuvre 175.
La tige 171 est traversée par une gou- rille 176 passant à travers une coulisse pra tiquée dans les branches du levier 173.
La tige 171 sert à bloquer le TBL par l'engagement -de l'extrémité inférieure de cette tige dans l'encoche 177 ou dans l'encoche 178.
A l'extérieur et sur le côté de chaque fer 1 et 2 -est fixée une longue barre 90 fixée par des vis 91. Les barres 90 présentent, à une extémité, une rampe 179 et, à l'autre ex trémité, une rampe l80. Les parties 135 des flasques 110, 111 sont traversées chacune par une pièce 181 placée à l'aplomb du plan de rotation de la grande branche de Il formée par chaque pièce 153. La partie inférieure des pièces 181 dépasse les projections 135 de manière que, quand le TBL est déplacé d'un bout à l'autre de la machine, ces pièces 181 rencontrant les rampes 179 (ou 180) et étant maintenues élevées par la partie droite des barres 90, viennent et demeu rent en contact avec les pièces 153 dans des conditions qui seront indiquées plus loin.
Le prolongement de l'axe du galet de rou lement supérieur 114 du flasque 110 prend forme d'un maneton 182 dont la longueur et la position sont telles que, quand le TBL est déplacé vers le point 1, ce maneton vienne rencontrer l'extrémité d'une tige 183 qu'un fort ressort 184 maintient dans la position indi quée fig. 5 et 6. Le ressort 184 est placé, au- tourde la tige 183, entre un guide 185 fixé à. l'un des fers 4, et une bague 186 fixée sur la. tige 183 au moyen d'une vis de pression et appliquée par le ressort 184, contre une pro jection 187 d'un des montants supportant les planches 5 et 6.
Les organes 182 à 187 ont pour but de renvoyer le TBL de la position<I>1.</I> vers la po sition initiale.
Le fonctionnement du TBL est le suivant: Sur la fig. 1, le TBL est montré légère ment déplacé vers la droite par rapport à la position qu'il doit occuper au moment où l'ouvrier engage une feuille de papier sous le rouleau 121.A ce moment, lange 171 doit être engagée dans l'encoche<B>177,</B> ce qui implique que le TBL et le TBE sont légèrement dépla cés vers la gauche contre la résistance du res sort 71 du tampon 73. Le contact entre le TBL et le TBE a lieu des deux côtés, en 1.88, sur l'épaisseur des flasques.
Il faut partir de la position dans laquelle la poignée 130 se trouve en haut, l'axe 119 remonté et les pièces 153 occupent la position verticale, fig. 18, la tige 171 étant engagée dans l'encoche 177.
L'ouvrier prend une feuille de papier vierge sur la planche 5 et l'introduit entre le rouleau 121 et la barre 159 en la faisant glisser sur la table 142 puis sur la plaquette 151 que le levier 146 applique contre la barre 159 de manière à éviter que la feuille F ne s'engage entre le cliché 92 et la barre 159.
Les pièces 153, et par conséquent la barre 159, sont maintenues abaissées grâce aux pièces 163 dans le repos 164 desquelles les bossages 157 sont maintenus appliqués par l'effort des ressorts 13.1 qui, tout en mainte nant l'axe 119 dans sa position de repos par rapport aux flasques 110, 111 provoquent la compression des ressorts 155 et l'éloignement de la barre 159 du rouleau 121.
L'ouvrier, saisissant ensuite les deux poignées 130 et 131, fait tourner de<B>180'</B> la manivelle 129, ce qui amène tous les organes dans la position montrée fig. 1, 8 et 19. Grâce à la butée 132 qui vient rencontrer le bout de l'axe 119, la manivelle 129 ne peut pas faire plus d'un demi-tour.
Le rouleau lisseur 121 est venu appliquer la feuille F contre le cliché 92. L'abaissement de l'axe 119, sous la poussée des excentriques 128, détermine l'inclinaison des pièces 153, et ce grâce au fait que, le téton 162 étant fixe dans l'espace et la saillie 160 étant en contact avec le téton 162, les pièces 153 ne peuvent s'abaisser qu'en oscillant par rapport au téton 162. Pendant ce mouvement des pièces 153, les ressorts 155, qui se détendent au moment où les pièces 153 sont dégagées des pièces 163, appliquent la barre 159 et la feuille F contre le rouleau 121. La feuille est alors pincée. Il faut remarquer que, pendant la descente de l'axe 119, la plaquette 151 a été éloignée du rouleau 121.
L'ouvrier tout en maintenant une main sur la poignée 130, abaisse avec l'autre main la manette 175, ce qui soulève la tige 171 et lui fait quitter l'encoèhe 177. L'ouvrier peut alors, en tirant sur la poignée 130 de gauche à. droite, faire rouler le TBL vers l'autre extré mité de la machine.
Par suite du réglage obtenu à l'aide des vis 139, la pression excer- cée par le rouleau de caoutchouc 121 sur le cliché est suffisante pour que, quand le TBL est déplacé, ce rouleau 121 soit obligé (le tourner autour de son axe 119 et, grâce aux ressorts 155 qui appliquent la barre 159 contre le papier et le rouleau, les pièces 153 suivent, par adhérence de la barre 159, le mouvement de rotation du rouleau 121 jusqu'au moment où les pièces 181, étant venues.
en contact avec les rampes 179, sont soulevées et, comme à ce moment le bossage 157 se trouvait au- dessus de la tête des pièces 181, ces dernières soulèvent à leur tour les pièces 153 et, par conséquent, la barre 159 qui, en s'éloignant du rouleau, fig. 20, met fin au mouvement de rotation des pièces 1.53.
Avant que les pièces 153 n'aient atteint la position fig. 20, le bossage 158 porté par l'une -de ces pièces 153 est venu, en s'appli quant sur le galet 168, soulever l'axe 167 qui porte les galets 168 et 169, et ceci a lieu au moment où la barre 159 passe au point de contact du rouleau 121 avec le galet 169 qui reprend ce contact, par dessus la feuille P qu'il maintient, dès que le bossage 158 est passé.
L'ouvrier saisit l'extrémité supérieure de la feuille avec la main droite alors que, avec la. main gauche, il continue à diriger le TBL vers le point Z. Pendant ce temps, la. feuille F est appliquée par succession de lignes sur 'le cliché 92 par le rouleau 121, c'est-à-dire que la feuille ne séjourne pas sur le cliché. L'im pression de la feuille est ainsi opérée. L'ou vrier place la feuille imprimée sur la planche 6. Les pièces 181 descendent les rampes 180 des barres 90, ce qui détermine le contact de la. barre 159 avec le rouleau, fig. 21.
L'ouvrier après avoir légèrement amorcé un mouvement de rotation de la manivelle 129, abandonne alors la poignée 130; la mani velle fait un demi-tour et la butée 133 vient contre l'axe 119; l'axe. 119 est monté. Son mouvement vers le haut oblige la butée 161 à venir rencontrer le téton 162 qui oblige à son tour les pièces 1.53 à osciller de droite à gauche en entraînant avec elles le rouleau Tis seur, et ce avec une certaine énergie due à l'effet d'expansion des ressorts 134, auquel s'ajoute l'action de la pesanteur de la barre 159. Le maneton 182 vient alors rencontrer la tige 188.
L'ouvrier tire sur le mancton 182 et force le TBL à venir occuper la position l en comprimant le ressort 184 jusqu'au moment où la tige 171 tombe dans l'encoche 178. Le TBL est bloqué.
Tout le dispositif -reprend alors la posi tion fi-. 18.
Le TBL bloqué en 1, l'ouvrir reprend la manoeuvre du TBE. L'encrage terminé, il ren voie le TBL, en pressant sur la manette 175, la tige 171 est ainsi retirée de l'encoche 178, le ressort 184 se détend et chasse le TBL vers le TBE (fig. 1) où la tige 171 vient tomber dans l'encoche 177.
C'est de cette position des organes du TBL que la description du TBL est partie.
Les fig. 15 et 1.6 montrent que le disposi tif de refroidissement par eau du cliché 92 est constitué par une boîte métallique 94 compor tant des chicanes 189 et un fond 190 boulonné ou soudé sur la boîte 94. L'eau arrive et sort par des conduits 191 qui vont au plancher en suivant chacun un des pieds gauche du bâti de la machine. L'un .de ces conduits porte un robinet 192 d'arrêt et de réglage.
Le refroidisseur 94 est placé .dans un coffre en bois qui le supporte tout en.l'isolant de la chaleur.
La fig. 17 montre un dispositif de TBE qui est donné comme variante pouvant être utilisée en combinaison avec un TBL du genre de celui qui vient d'être décrit.
Ce système <I>de</I> TBE comprend essentielle ment deux flasques sur chacun .desquels sont montés trois galets de roulement. L'extrémité supérieure des flasques' supporte un axe 193 sur lequel sont clavetées deux roues dentées 194 roulant sur les crémaillères 21..
Une poignée de manceuvre 195 est fixée sur l'extrémité de l'axe 193. Le rouleau en creur 196 est constitué par un manchon mé tallique garni extérieurement de gélatine. Le diamètre intérieur du manchon est d'environ 4 millimètres supérieur à celui de l'axe 193 autour duquel est placé le manchon. Cela donne une certaine liberté au rouleau encreur et lui permet de. s'appliquer par son propre poids, sur les tables à encrer et sur le cliché 92. A chaque extrémité de ce :cliché 92 est disposée une table à encrer 197 articulée sur un axe 198 fixé au bâti de la machine.
Les tables 197 peuvent occuper .deux positions: l'une (traits pleins fig. 17) pour permettre au rou leau -de prendre l'encre que l'ouvrier a préa lablement étendue sur la table 197 à l'aide d'un rouleau ordinaire à main, et .l'autre (traits mixtes) pour faciliter la mise en place du cliché 92 et pour laisser le rouleau 196 reposer sur l'axe 193 et non plus sur la table 197. Un organe d'arrêt quelconque 199 arti culé sur da. tablette 7 à préparer l'encre, per met de maintenir la table 197 dans la posi tion relevée.
Pour encrer le cliché, il suffit, après avoir à l'aide de la poignée 195, passé le rouleau 196 sur la table 197 préalablement chargée d'encre, de diriger le TBE vers l'autre extré mité du cliché, après lequel le rouleau ren contre l'autre table à encrer où il se recharge d'encre. Le TBE est alors ramené à la posi tion inhale en passant à nouveau sur le cliché.
Si l'on .admet que le passage du TBE sur le cliché se fasse avec rapidité, on remarque que le passage à chaque bout du cliché du rou leau 196 sur la table à. encrer 197, détermine un freinage du TBE qui est de cette manière, arrêté sans choc violent.