CH703892A1

CH703892A1 - Connecteur pour appareil électrique.

Info

Publication number: CH703892A1
Application number: CH01551/10A
Authority: CH
Inventors: Christian Pignolet
Original assignee: Christian Pignolet
Priority date: 2010-09-24
Filing date: 2010-09-24
Publication date: 2012-03-30
Also published as: WO2012038189A1; CH703892B1

Abstract

La présente invention concerne un connecteur mural pour appareil électrique, p. ex. une lampe, comprenant: – une première pièce (10) pour être fixée à demeure dans une paroi murale prévue à cet effet, – une deuxième pièce (12), pour être solidaire et connectée à un appareil électrique. Les pièces comportent chacune des éléments d’un contacteur électrique et d’un organe d’accrochage à baïonnette. Le tout est agencé pour permettre le montage de l’appareil électrique, p. ex. une lampe, en toute sécurité, sans outil et sans dégradation de la paroi murale.

Description

Domaine technique

[0001] La présente invention se rapporte au domaine des appareils électriques. Elle concerne, plus particulièrement, un connecteur permettant d’installer un appareil électrique sur un support mural, ce terme incluant tant les murs en tant que tels, que les plafonds ou les planchers.

Etat de la technique

[0002] L’installation de lampes dans un logement est toujours une tâche délicate pour tout un chacun qui n’est pas un professionnel du bâtiment ou de l’électricité. Il est nécessaire de percer le plafond en des emplacements précis, puis connecter les fils électriques dépassant du plafond et installés dans la construction. Enfin, il faut fixer le support ou la base de la lampe en le vissant dans les trous préalablement ménagés. Non seulement, une telle opération peut se révéler relativement délicate pour une personne qui n’est pas habile en bricolage, ou qui n’est pas équipée correctement, mais en outre, le remplacement des lampes peut entraîner des dégradations dans les plafonds lorsqu’il est nécessaire de refaire des trous, les emplacements effectués précédemment pouvant rarement être réutilisés. La multiplication des trous peut être un problème pour des logements en location, dans lesquels les locataires installent leurs lampes et les retirent en quittant le logement. Après quelques opérations successives, les propriétaires peuvent être obligés de refaire les plafonds ou les murs endommagés.

[0003] Evidemment, la connexion électrique de la lampe au réseau peut présenter des risques si les fils restent alimentés pendant la manipulation.

[0004] L’installation d’autres appareils électriques, destinés à être installés à demeure, peuvent présenter les mêmes inconvénients. Par exemple, des ventilateurs, des caméras de surveillance, des installations de climatisation requièrent les mêmes exigences.

[0005] La présente invention a pour but de proposer un connecteur permettant de résoudre les problèmes susmentionnés.

Divulgation de l’invention

[0006] De façon plus précise, l’invention concerne un connecteur mural pour appareil électrique tel que défini dans les revendications. L’invention concerne également un ensemble constitué d’une partie du connecteur et d’un cache. Enfin, l’invention se rapporte également à un kit comprenant une partie du connecteur et, le cas échéant, un appareil électrique.

Brève description des dessins

[0007] D’autres détails de l’invention apparaîtront plus clairement à la lecture de la description qui suit, faite en référence au dessin annexé dans lequel: <tb>- les fig. 1 et 2<sep>montrent en perspective la première et la deuxième pièces d’un connecteur selon l’invention, avec des vues de détail agrandies des contacteurs, <tb>- la fig. 3<sep>représente une vue en coupe d’un connecteur selon l’invention, relié à la base d’une lampe, et <tb>- la fig. 4<sep>montre un cache pouvant être utilisé dans le cadre de l’invention.

Mode(s) de réalisation de l’invention

[0008] Le connecteur selon l’invention comprend deux pièces principales. Une première pièce 10 pour être fixée à demeure dans une paroi murale 9 prévue à cet effet, et une deuxième pièce 12, pour être solidaire et connectée électriquement à un appareil électrique.

[0009] Plus précisément, la première pièce 10 comporte un logement 14 cylindrique définissant un fût de diamètre intérieur D. Ce logement 14 est muni d’un fond 14a, percé, typiquement en son centre, d’une ouverture 14b. Cette dernière permet le passage d’une première partie 18 d’un contacteur électrique, destinée à être reliée à une source d’électricité. Le contacteur est monté solidaire dans l’ouverture 14b, par exemple par vissage grâce à des ouvertures prévues à cet effet ou par chassage et collage.

[0010] Ce contacteur peut être de différents types. On préférera, pour disposer dans la première pièce 10, un contacteur femelle, avantageux en termes de sécurité, car il empêche tout contact avec une zone connectée électriquement. Le contacteur peut être un contacteur à quatre fiches. La première partie 18 comporte une première portion 18a engagée dans l’ouverture 14b et recevant quatre plots de connexion non visibles au dessin, avec les orifices et les vis de serrage requis et connus de l’homme du métier. Il comporte une deuxième portion 18c, séparée de la première 18a par une collerette 18d plus grande que l’ouverture du fond 14a, la collerette 18d prenant appui sur le fond 14a, de sorte que la deuxième portion 18c prend place dans le logement 14, sans toutefois dépasser de celui-ci. La collerette reçoit des trous pour le vissage du connecteur. La deuxième portion 18c est essentiellement cylindrique. Elle comprend quatre trous 18e munis chacun d’une portion conductrice, respectivement reliée électriquement à l’un des plots de connexion. La première partie 18 du contacteur et les trous 18e sont perpendiculaires au plan défini par le fond 14a de la première pièce 10. Sur son pourtour extérieur, la deuxième portion 18c de la première partie 18 du contacteur comprend une gorge 18f, ménagée longitudinalement, dans l’axe du contacteur, dont le rôle apparaîtra plus loin.

[0011] Le fond 14a peut encore comporter des trous de fixation 20, pour permettre son installation à demeure dans une paroi murale. Cette dernière est avantageusement munie d’une cavité dans laquelle débouchent des fils électriques du réseau du logement. La cavité est dimensionnée pour accueillir la première pièce 10 qui, de préférence, sera installée par un professionnel du bâtiment, idéalement lors de la construction du logement. La cavité est alors réalisée, par exemple, en coulant la paroi murale autour d’un gabarit aux dimensions adéquates. Une fois le gabarit retiré, la première pièce 10 peut être installée dans la cavité, la première partie 18 du contacteur étant relié électriquement aux fils électriques du réseau. La première pièce 10 peut être vissée dans la cavité aux travers des trous de fixation 20.

[0012] La première pièce 10 comporte encore un premier élément 22a d’un organe d’accrochage à baïonnette situé sur le fût du logement 14 (voir la fig. 3). Dans le mode de réalisation proposé au dessin, le premier élément 22a est un élément mâle, prenant la forme de deux ergots situés en saillie sur le fût du logement. Ces ergots sont typiquement agencés à 180° l’un de l’autre, mais d’autres arrangements sont possibles, notamment pour autoriser ou non plusieurs positions à la deuxième pièce 12 qui,, comme on le comprendra ci-après, est destinée à s’engager sur les ergots.

[0013] La deuxième pièce 12, visible en détail sur la figure 2, comporte une portion circulaire 24 de diamètre extérieur d, avec d<D. Ainsi, la deuxième pièce 12 peut s’engager à l’intérieur du logement cylindrique 14 de la première pièce 10. Il n’est pas nécessaire que les diamètres d et D soient parfaitement ajustés, un léger jeu peut être laissé entre les deux, afin de faciliter l’insertion de la deuxième pièce 12 dans la première 10, sans coincement.

[0014] La deuxième pièce 12 comporte encore une deuxième partie 26 d’un contacteur électrique. De préférence, la deuxième pièce 12 définit également un logement 28 similaire à celui décrit ci-dessus à propos de la première pièce 10. Ainsi, ce logement 28 est muni d’un fond 28a, percé, typiquement en son centre, d’une ouverture 28b. Cette dernière permet le passage de la deuxième partie 26 du contacteur électrique.

[0015] Comme on le comprendra par la suite, cette deuxième partie 26 est montée à rotation sur la deuxième pièce 12. La deuxième partie 26 du contacteur peut être avantageusement vissée gras sur la deuxième pièce 12. Dans ce but, cette dernière comprend également une collerette 26f munie de trous permettant le passage de vis, qui traversent des ouvertures en arc concentrique à l’ouverture 28b, ménagées dans le fond 28a. Des écrous freinés sont montés sur les vis, de manière à enserrer, entre les écrous et la tête de vis, le fond 28a. Le serrage des écrous permet d’ajuster le frottement qui s’exerce entre la deuxième partie 26 du contacteur et la deuxième pièce 12, permettant ainsi de maintenir une position angulaire du contacteur en référence à la deuxième pièce 12, tout en autorisant la rotation relative de ces pièces.

[0016] La deuxième partie 26 du contacteur comprend: - une première extrémité 26a située dans le logement 28 de la deuxième pièce 12 et adaptée pour coopérer avec la première partie 18 du contacteur située sur la première pièce 10, et - une deuxième extrémité 26b destinée à être fixée et connectée à un appareil électrique.

[0017] Pour coopérer avec la première partie 18 du contacteur, la deuxième partie 26 est, de préférence, de type mâle. Etant donné que, lorsque cette deuxième partie du contacteur est accessible, elle n’est pas connectée électriquement, il n’y a donc pas de risque à ce qu’une personne reçoive une décharge électrique par contact avec la partie mâle.

[0018] Le contacteur peut donc être un contacteur à quatre fiches. Il comporte une première portion 26c montée à rotation, par frottement, dans l’ouverture 28b et recevant quatre plots de connexion non visibles au dessin, avec les orifices et les vis de serrage requis et connus de l’homme du métier. Il comporte une deuxième portion 26e, séparée de la première 26c par une collerette 26f plus grande que l’ouverture 28b du fond 28a, la collerette 26f prenant appui sur le fond 28a, de sorte que la deuxième portion 26e prend place dans le logement 28, sans toutefois dépasser de celui-ci. Jouxtant la collerette 26f, du côté inséré dans la deuxième pièce 12, la deuxième partie du contacteur 12 peut comprendre une rainure annulaire non visible au dessin coopérant avec le bord de l’ouverture 28b de la deuxième pièce 12, permettant un meilleur engagement et une meilleure rotation de la première portion 26c dans l’ouverture 28b. La deuxième portion 26e est essentiellement cylindrique. Elle comprend quatre fiches 26h, respectivement reliées à l’un des plots de connexion. La deuxième partie 26 du contacteur et les fiches sont perpendiculaires au plan défini par le fond 28a de la deuxième pièce 12.

[0019] Sur son pourtour extérieur, la deuxième portion 26e du contacteur comprend une arête 26i, ménagée longitudinalement, dans l’axe du contacteur. Cette arête 26i est destinée à coopérer avec la gorge 18f de la première partie 10, afin de guider le déplacement des deux parties du contacteur lors de l’insertion des fiches dans les trous. Cette insertion entraîne un serrage des fiches 26h dans les trous 18e, permettant un bon maintien, quasiment sans jeu, des deux parties du contacteur.

[0020] La deuxième pièce 12 comprend encore un deuxième élément 22b d’un organe d’accrochage à baïonnette agencé pour coopérer avec ledit premier élément 22a de la première pièce 10. Dans le mode de réalisation proposé au dessin, le deuxième élément 22b est un élément femelle prenant la forme de deux rainures ménagées sur la face extérieure de la portion circulaire 24. Chaque rainure comprenant une première portion 22c située perpendiculairement au plan défini par la deuxième pièce 12 et une deuxième portion 22d, prolongeant la première, orientée parallèlement audit plan. Les rainures sont positionnées et dimensionnées de manière à permettre l’engagement des ergots. On pourrait n’avoir qu’un ergot, capable de coopérer avec une ou plusieurs rainures, offrant, si le contacteur le permet, la possibilité que les première et deuxième pièces puissent être assemblées dans plusieurs positions angulaires relatives.

[0021] Naturellement, les première 18 et deuxième 26 parties du contacteur électrique, d’une part, et les premier 22a et deuxième 22b éléments de l’organe d’accrochage, d’autre part, sont agencés de manière à ce que la deuxième pièce 12 puisse être assemblée sur la première 10. En d’autres termes, les première 18 et deuxième 26 parties du contacteur électrique doivent pouvoir s’assembler lors de l’assemblage des premier 22a et deuxième 22b éléments de l’organe d’accrochage. Les fiches 26h sont donc positionnées en face des trous 18e lorsque les ergots sont situés en regard de la première portion 22c des rainures.

[0022] Ainsi donc, pour assembler la deuxième pièce 12 sur la première 10, on introduit la portion circulaire 24 de la deuxième pièce 12 dans le logement cylindrique 14 de la première 10, en alignant les ergots et les première portions 22c des rainures de l’organe d’accrochage à baïonnette. Si la deuxième partie du contacteur est indexée (ce qui est normalement le cas grâce à son montage libre en rotation, mais à frottement), les fiches 26h se trouvent alors en face des trous 18e. D’ailleurs, des repères peuvent être prévus pour indexer la position angulaire de la deuxième partie du contacteur. Le cas échéant, il peut être nécessaire de réindexer la position de la deuxième partie du contacteur. Simultanément, on insère donc la partie cylindrique de la deuxième pièce 12 dans le logement 14 de la première, on insère les fiches dans les trous du contacteur et les ergots dans la première portion de la rainure. La longueur de la première portion est au moins égale à l’enfoncement des deux parties du connecteur, c’est-à-dire à la course de la deuxième pièce 12 pour permettre un contact suffisant entre les fiches 26h et les trous 18e du contacteur.

[0023] Puis, pour sécuriser l’assemblage, la deuxième pièce 12 est pivotée en référence à la première 10 de manière à ce que les ergots se déplacent dans la deuxième portion 22d de la rainure. Ce pivotement peut se faire sans endommager le connecteur, grâce au montage à rotation de la deuxième partie 26. Cette dernière pivote lors du mouvement de la deuxième pièce 12, afin de ne pas déformer les fiches 26h. Lors du désassemblage, la deuxième partie 26 du contacteur pivote également et revient à sa position indexée initiale, permettant de conserver la bonne orientation de la deuxième partie du contacteur en référence à l’organe d’accrochage.

[0024] De manière avantageuse, la deuxième pièce 12 est solidaire d’un appareil électrique à installer. La fig. 3 montre l’assemblage de la deuxième pièce 12 et d’une lampe. Le support de cette dernière est fixé, par exemple par vissage, à la deuxième pièce 12. Le cas échéant, on peut avoir un adaptateur 30 permettant de relier la deuxième pièce 12 et l’appareil. L’assemblage de l’appareil et de la deuxième pièce 12 se fait, de préférence, par le fabricant de l’appareil, afin de simplifier au maximum le travail à effectuer par l’utilisateur final. Le cas échéant, un kit comportant une deuxième pièce 12 et, éventuellement, un adaptateur 30, peut être commercialisé, afin de permettre son montage sur un appareil existant et dépourvu de ces éléments.

[0025] En outre, la première pièce 10 du connecteur selon l’invention peut avantageusement être utilisée pour recevoir un cache 31, visible sur la figure 4 lorsque la source de courant électrique n’est pas utilisée. Le cache peut ainsi reprendre les dimensions de la deuxième pièce 12, telle que décrite ci-dessus, particulièrement au niveau de la portion circulaire 24 de diamètre extérieur d, avec d<D. Le cache comprend également un deuxième élément d’un organe d’accrochage à baïonnette agencé pour coopérer avec ledit premier élément de la première pièce. En l’occurrence, selon l’exemple, le cache comprend des rainures similaires à celles qui ont été décrites ci-dessus. La face du cache destinée à être située du côté de la première pièce 10 est dépourvue de contacteur électrique. L’autre face du cache propose, par exemple, un disque uniforme, de couleurs et d’aspects variés. Ainsi, lorsqu’aucun appareil électrique n’est connecté, il n’y a pas de fils qui dépassent, ni même de cavités disgracieuses.

[0026] Ainsi est proposé un connecteur électrique permettant un montage particulièrement simple et aisé de tout appareil électrique destiné à être installé à demeure sur un support mural. Les opérations à effectuer par l’utilisateur final sont des plus simples. Grâce à l’utilisation d’un organe d’accrochage à baïonnette, aucun outil n’est nécessaire. En outre, la sécurité au niveau de la connexion électrique est améliorée. Le remplacement de lampes est très aisé et n’entraîne aucune dégradation à la paroi murale qui supporte l’appareil. L’interchangeabilité procurée peut permettre le montage d’un ventilateur en été que l’on remplace par une lampe ou que l’on retire simplement, lorsqu’il devient inutile.

Claims

1. Connecteur mural pour appareil électrique comprenant: - une première pièce (10) pour être fixée à demeure dans une paroi murale prévue à cet effet, ladite première pièce (10) comportant: - un logement (14) cylindrique définissant un fût de diamètre intérieur D, - une première partie (18) d’un contacteur électrique, destinée à être reliée à une source d’électricité, et - un premier élément (22a) d’un organe d’accrochage à baïonnette situé sur le fût du logement, - une deuxième pièce (12), pour être solidaire et connectée à un appareil électrique, comportant - une portion circulaire (24) de diamètre extérieur d, avec d<D, - une deuxième partie (26) d’un contacteur électrique, montée à rotation sur ladite deuxième pièce (12), et comportant une première extrémité (26a) adaptée pour coopérer avec la première partie (16) du contacteur située sur la première pièce (10) et une deuxième extrémité (26b) destinée à être solidaire d’un appareil électrique, et - un deuxième élément (22b) d’un organe d’accrochage à baïonnette agencé pour coopérer avec ledit premier élément de la première pièce, lesdites première (18) et deuxième (26) parties du contacteur électrique, d’une part, et lesdits premier (22a) et deuxième (22b) éléments de l’organe d’accrochage, d’autre part, sont agencés de manière à ce que les première et deuxième parties du contacteur électrique s’assemblent lors de l’assemblage des premier et deuxième éléments de l’organe d’accrochage.

2. Connecteur selon la revendication 1, caractérisé en ce que la première partie (18) du contacteur ne dépasse pas du logement (14) cylindrique.

3. Connecteur selon l’une des revendications 1 et 2, caractérisé en ce que le deuxième élément (22b) de l’organe d’accrochage comprend au moins une rainure ménagée sur la face extérieure de la portion circulaire (24), le premier élément de l’organe d’accrochage comprenant au moins un ergot en saillie, situé sur la face intérieure du logement cylindrique, la rainure comprenant une première portion (22c) située perpendiculairement au plan défini par la deuxième pièce (12) et une deuxième portion (22d), prolongeant la première, orientée parallèlement audit plan, ladite rainure étant dimensionnée de manière à permettre l’engagement du dudit ergot.

4. Connecteur selon la revendication 3, caractérisé en ce que la longueur de la première portion (22c) est au moins égale à l’enfoncement nécessaire pour permettre un contact électrique des deux parties du connecteur.

5. Connecteur selon l’une des revendications précédentes, caractérisé en ce que la position angulaire de la deuxième partie (26) du connecteur en référence à la deuxième pièce (12), est indexée.

6. Connecteur selon l’une des revendications précédentes, caractérisé en ce que la première partie (18) du contacteur est la partie femelle du contacteur et en ce que la deuxième partie (26) du contacteur est la partie mâle.

7. Connecteur selon la revendication 6, caractérisé en ce que le contacteur est un contacteur à quatre fiches.

8. Connecteur selon l’une des revendications précédentes, caractérisé en ce que la deuxième portion (26) du contacteur comprend, sur son pourtour extérieur, une arête (26i), ménagée longitudinalement, dans l’axe du contacteur, ladite arête étant destinée à coopérer avec une gorge (18f) que comporte la première partie (18) du contacteur, afin de guider le déplacement des deux parties du contacteur lors de l’insertion des fiches dans les trous.

9. Connecteur selon l’une des revendications précédentes, caractérisé en ce que la deuxième partie (26) du contacteur comprend une rainure annulaire coopérant avec le bord d’une ouverture (28b) que comporte la deuxième pièce (26), permettant un meilleur engagement et une meilleure rotation de la première portion dans ladite ouverture.

10. Ensemble comprenant - une première pièce (10) d’un connecteur mural pour appareil électrique, pour être fixée à demeure dans une paroi murale prévue à cet effet, ladite première pièce (10) comportant: - un logement cylindrique définissant un fût de diamètre intérieur D, - une première partie (18) d’un contacteur électrique, destinée à être reliée à une source d’électricité, et - un premier élément (22a) d’un organe d’accrochage à baïonnette situé sur le fût du logement, - un cache (31) destiné à masque ledit logement, comportant - une portion circulaire (24) de diamètre extérieur d, avec d<D, et - un deuxième élément (22b) d’un organe d’accrochage à baïonnette agencé pour coopérer avec ledit premier élément de la première pièce.

11. Kit de montage d’un connecteur mural, comprenant une deuxième pièce (12) telle que définie à la revendication 1.

12. Kit de montage selon la revendication 11, comprenant, en outre, un appareil électrique, éventuellement déjà solidaire et connecté à ladite deuxième pièce (12).