CH679636A5

CH679636A5 -

Info

Publication number: CH679636A5
Application number: CH1302/89A
Authority: CH
Inventors: Noboru Ubukata; Hisao Iizuka
Original assignee: G C Dental Ind Corp; Niimi Kagaku Kogyo Kk
Priority date: 1988-04-07
Filing date: 1989-04-07
Publication date: 1992-03-31
Also published as: GB8907701D0; ES2014599A6; GB2217649B; DE3911170C2; NL192774B; US5061411A; US5028228A; NL8900873A; IT1228804B; BE1003121A3; KR900015707A; FR2629752B1; IT8919999A0; DE3911170A1; CA1318094C; GB2217649A; KR0123461B1; FR2629752A1; NL192774C; BR8901734A

Description

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Description

L'invention se rapporte à un procédé convenant au mieux pour la fabrication de cônes d'obturation pour canaux radiculaires dentaires, ces cônes étant en un matériau thermoplastique et se présentant sous la forme de cônes allongés et étant utilisés comme produits d'obturation ou comme produits de scellage pour les cavités pulpaires formées après pulpectomie ou pour la désinfection de canaux radiculaires infectés au cours de traitements dentaires, notamment pour la fabrication de cônes d'obturation pour canaux radiculaires dentaires, désignés habituellement sous le nom de «cônes en gut-ta-percha», ainsi qu'à un appareil de fabrication de ces cônes.

Les cônes d'obturation pour canaux radiculaires dentaires conventionnels, désignés habituellement sous le nom de «cônes en gutta-percha» et se présentant sous ia forme de cônes allongés sont fabriqués en découpant sous la forme d'un coin un matériau mince, allongé et aplati, d'une composition renfermant généralement 60 à 70% d'oxyde de zinc, 20 à 25% de gutta-percha raffinée, un sel de métal lourd destiné à améliorer la radio-opacité et une petite quantité de cire, résine et analogue, puis en chauffant et en ramollissant le matériau à environ 80°C, et enfin, en façonnant le matériau ramolli pour lui conférer la forme d'un cône allongé, tout en le roulant manuellement sur une plaque de malaxage à l'aide d'une spatule.

Etant donné que les cônes en gutta-percha habituellement utilisés sont de dimensions et de formes présentes en fonction de normes d'instruments employés pour la préparation des canaux dentaires, leurs types sont au nombre de 19, en particulier pour ce qui est des normes internationales relatives aux dimensions, des tolérances dimensionnelles sévères, de l'ordre de ± 0,04 mm, étant par ailleurs requises pour leurs diamètres. De plus, de nombreux types de produits, de diamètres variant entre 0,1 mm minimum et 1,5 mm maximum, pour des longueurs comprises entre 10 et 35 mm, sont disponibles dans le commerce, du fait que de nombreux fabricants de cônes d'obturation pour canaux radiculaires dentaires confectionnent de leur propre chef des produits non normalisés, lesquels viennent s'ajouter aux produits normalisés. Pour la fabrication de cônes d'obturation pour canaux radiculaires dentaires, il y avait donc lieu jusqu'à présent de se fier ni plus ni moins à des spécialistes en la matière. Ceci impliquait la nécessité de former du personnel non qualifié et a posé des problèmes pour satisfaire une demande accrue résultant des récents progrès réalisés en matière de traitements dentaires.

En vue de simplifier la production des cônes d'obturation pour canaux radiculaires dentaires et d'accroître le rendement des produits par des moyens mécaniques, on a tenté de recourir à des procédés de moulage mettant en œuvre des extrudeuses et des matrices de moulage sous pression. Toutefois, compte tenu des précisions de plus en plus sévères exigées pour les dimensions et les formes des cônes d'obturation pour canaux radiculaires dentaires, comme mentionné précédemment, il se pose un problème de coût consécutif à l'ébavurage ou aux défauts éventuels des produits lorsqu'ils sont détachés des moules. Jusqu'à présent, on n'a donc pas disposé d'une méthode capable d'assurer une production en série, par des moyens mécaniques, de cônes destinés à l'obturation des canaux radiculaires dentaires. En conséquence, la production des cônes d'obturation pour canaux radiculaires est encore effectuée en ayant recours à une certaine main d'œuvre. Dans ce cas, l'efficacité du contrôle des produits est très faible, du fait que tous les produits devraient être contrôlés individuellement après avoir été dissociés en d'aussi nombreux types normalisés que ceux mentionnés précédemment. Plus grave encore est le fait qu'à peine environ 65% des produits sont acceptés, en raison d'une forte probabilité qu'ont certains produits à ne pas être classés et rejetés, même par les spécialistes en la matière, ce qui se traduit par une perte de production, de sorte que les problèmes ont été difficiles à résoudre dans la technique antérieure.

Les présents inventeurs ont en conséquence effectué des études intensives et poussées sur la matière de réaliser la production de cônes d'obturation pour canaux radiculaires dentaires, par des moyens mécaniques simples, avec maintien de la stabilité di-mensionnelle, ce qui a été considéré comme difficile à réaliser par des moyens autres que des moyens manuels, et ont trouvé en définitive que le procédé décrit ci-après permettait une fabrication de tels cônes de façon rentable et en recourant à des moyens mécaniques.

L'invention a en conséquence pour objet un procédé de fabrication d'un cône d'obturation pour canaux radiculaires dentaires, caractérisé en ce qu'il est prévu un élément rotatif ayant sa surface extérieure de travail sous forme d'un plan incurvé parallèle à sa direction axiale et adapté pour être entraîné en rotation à une vitesse prédéterminée et un élément mobile dans lequel au moins sa surface de travail est disposée parallèlement à ladite surface de travail dudit élément rotatif et adapté pour se déplacer à une vitesse sensiblement identique à une vitesse périphérique dudit élément rotatif, dans le même sens que le sens de rotation dudit élément rotatif, dans une portion d'intervalle dans laquelle une distance minimale est définie entre lesdites surfaces de travail desdits éléments rotatif et mobile, cependant qu'au moins ledit élément rotatif est monté oscillant dans sa direction axiale et que ladite portion d'intervalle se trouve dans un plan sensiblement identique, un matériau se présentant sous forme d'une tige pour ledit cône d'obturation pour canaux radiculaires dentaires étant amené dans ladite portion d'intervalle comprise entre lesdites surfaces de travail desdits éléments rotatif et mobile, de manière à placer l'extrémité avant dudit matériau dans ladite portion d'intervalle, dans une direction perpendiculaire à ladite direction axiale dudit élément rotatif, et en ce qu'un rapport d'une vitesse de déplacement de l'extrémité avant dudit matériau introduit, à une vitesse de déplacement à laquelle lesdites surfaces de travail desdits éléments rotatif et mobile sont à distance l'une de l'autre, varie en continu de façon qu'il soit conforme à une conicité dudit

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cône d'obturation pour canaux radiculaires dentaires, de manière à réaliser ledit cône d'obturation ayant la conicité désirée.

Le dessin annexé représente schématiquement et à titre d'exemple plusieurs modes de mise en œuvre préférés de l'invention. Sur ce dessin:

- la fig. 1 est une vue illustrant un mode de mise en œuvre du procédé de fabrication de cônes d'obturation pour canaux radiculaires dentaires, conformément à l'invention;

- les fig, 2, 3 et 4 sont des vues illustrant un autre mode de mise en œuvre du présent procédé, dans lequel l'élément mobile se présente sous la forme d'un plan incurvé;

- les fig. 5, 6 et 7 sont des vues illustrant encore un autre mode de mise en œuvre, dans lequel l'élément mobile se présente sous la forme d'un plan horizontal;

- la fig. 8 est une vue de face, à plus grande échelle, d'un exemple de cône d'obturation pour canaux radiculaires dentaires à fabriquer;

- la fig. 9 est une vue en perspective d'une forme d'exécution de l'appareil utilisé pour la fabrication des cônes d'obturation pour canaux radiculaires dentaires selon l'invention;

- la fig. 10 est une vue en perspective, à plus grande échelle, d'une partie de cette forme d'exécution;

- la fig. 11 est une vue en perspective d'une autre forme d'exécution de l'élément rotatif oscillant monté en position;

- la fig. 12 est une vue illustrant la phase initiale de la fabrication des cônes d'obturation pour canaux radiculaires dentaires, au moyen de l'appareil représenté à la fig. 9;

- la fig. 13 est une vue en perspective d'une autre forme d'exécution de l'appareil utilisé pour la fabrication des cônes d'obturation pour canaux radiculaires dentaires, conformément à l'invention;

- la fig. 14 est une vue en perspective, à plus grande échelle, d'une partie de cette forme d'exécution;

- la fig. 15 est une vue en perspective d'une autre forme d'exécution de l'appareil utilisé pour la fabrication des cônes d'obturation pour canaux radiculaires dentaires, conformément à l'invention;

- la fig. 16 est une vue en perspective d'une autre variante d'exécution de l'appareil utilisé pour la fabrication des cônes d'obturation pour canaux radiculaires dentaires, conformément à l'invention.

Le procédé de fabrication des cônes d'obturation pour canaux radiculaires dentaires sera maintenant décrit plus en détail.

La fig. 1 est une vue illustrant le procédé de fabrication des cônes d'obturation pour canaux radiculaires dentaires selon l'invention. Les fig. 2, 3 et 4 sont des vues illustrant un autre mode de mise en œuvre du présent procédé, dans lequel l'élément mobile se présente sous la forme d'un plan incurvé. Les fig. 5, 6 et 7 sont des vues illustrant encore un autre mode de mise en œuvre du présent procédé, dans lequel l'élément mobile se présente sous la forme d'un plan horizontal, la fig. 8 étant une vue de face, à plus grande échelle, illustrant un exemple de cône d'obturation pour canaux radiculaires fabriqué selon le présent procédé.

En se référant aux dessins, un cône 1 d'obturation pour canaux radiculaires dentaires, se présentant sous ia forme d'un cône allongé, comme représenté à la fig. 8, est constitué par un matériau thermoplastique se présentant sous forme d'une tige, pour le cône d'obturation, d'une composition comprenant par exemple 60 à 70% d'oxyde de zinc, 20 à 25% de gutta-percha raffinée, un sel de métal lourd destiné à améliorer la radio-opacité et une petite quantité de cire, résine et analogue ou d'une composition comprenant des composants polymères de trans-1,4-polyisoprène et d'une résine copolymère éthylène/acétate de vinyle et une charge inorganique insoluble ou faiblement solubie et pouvant contenir des composants organiques, comme décrit dans la demande de brevet japonaise publiée sous le numéro 62-61 909. Le cône d'obturation 1 est disponible en plusieurs types, dans lesquels d est le diamètre de l'extrémité avant, D est le diamètre de l'extrémité terminale et L est la longueur totale comprise entre d et D. Dans la présente invention, le cône d'obturation 1 est exprimé en fonction de la conicité, laquelle est définie par l'équation suivante: T = (D-d)/L. Un élément rotatif 2 présente une surface extérieure de travail 2a ayant la forme d'un plan incurvé parallèle à une direction axiale X et est prévu pour être entraîné en rotation à une vitesse prédéterminée. L'élément rotatif 2 utilisé peut présenter un corps rotatif cylindrique ayant son centre de rotation coïncidant avec son axe, comme représenté aux fig. 1, 2, 5 et 7, un corps rotatif cylindrique ayant son axe excentré, comme représenté à la fig. 3, ou un corps non cylindrique rotatif, dont la distance de l'axe à la surface de travail 2a varie progressivement. Un élément mobile 3 est prévu de façon qu'au moins sa surface de travail 3a soit disposée parallèlement à la surface de travail 2a dans une portion d'intervalle dans laquelle une distance entre sa surface de travail et la surface de travail 2a est réduite au minimum, cet élément se déplaçant à une vitesse sensiblement égale à la vitesse périphérique de l'élément rotatif 2 (c'est-à-dire la vitesse de déplacement de la surface de travail 2a) et dans le sens de rotation de l'élément rotatif 2. L'élément mobile 3 utilisé peut être un corps rotatif cylindrique ayant son centre de rotation coïncidant avec son axe, comme représenté aux fig. 1, 3 et 4, ou une courroie entraînée le long d'un corps rotatif cylindrique 3b ayant son centre de rotation coïncidant avec son axe, comme représenté à la fig. 2. Lorsque l'élément mobile 2, défini par une telle courroie, comme représenté à la fig. 2, est utilisé, il est maintenu par deux corps rotatifs cylindriques 3b et 3c et est disposé entre ces deux corps. Il est donc préférable, en vue d'empêcher leur déplacement en zigzag, que les corps rotatifs cylindriques 3b et 3c soient rainurés sur leurs surfaces extérieures et que l'élément mobile 3 défini par la courroie présente, de façon correspondante, des nervures s'engageant dans les rainures précitées. Dans une autre forme d'exécution, l'élément mobile 3 utilisé peut avoir sa surface de travail 3a entièrement

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plane, comme représenté aux fig. 5 et 6, ou sa surface de travail 3a définie par un plan horizontal présentant une rainure inclinée par rapport à son sens de déplacement, comme représenté à la fig. 7. Lorsque l'élément mobile 3 se présente sous la forme d'un plan horizontal, comme représenté aux fig. 5 à 7, il peut être constitué par une courroie sans fin, un plan horizontal animé d'un simple mouvement alternatif, ou par un disque ou une roue entraîné en rotation autour de son axe.

Dans la présente invention, il est nécessaire que sur les deux éléments, rotatif 2 et mobile 3, au moins l'élément rotatif 2 soit oscillant dans la direction de son axe X. Il est préférable que les deux éléments, rotatif 2 et mobile 3, soient tous deux montés oscillants, du fait que la course et la vitesse d'oscillation décroissent alors de moitié, l'effet obtenu étant analogue à celui obtenu par rotation d'un seul élément. De plus, les cônes d'obturation obtenus 1 sont stables en position et de forme satisfaisante. Dans la présente invention, alors que la portion d'espace dans laquelle la distance minimale est définie entre les surfaces de travail 2a et 3a de l'élément rotatif 2 et l'élément mobile 3 est située dans un plan sensiblement identique, le matériau se présentant sous forme d'une tige 4, destinée à former le cône d'obturation, est alimenté de façon à être amené dans ledit intervalle entre les surfaces de travail 2a et 3a de l'élément rotatif 2 et de l'élément mobile 3, dans une direction Y perpendiculaire à la direction axiale X de l'élément rotatif 2, la distance de ladite portion d'intervalle variant en continu dans une direction Z perpendiculaire aux deux directions X et Y, de manière que le rapport de vitesse de déplacement de l'extrémité avant du matériau 4 alimenté, avec le déplacement de l'élément rotatif 2 et de l'élément mobile 3 à distance l'un de l'autre, soit égal à la conicité T du cône 1 à fabriquer. Le matériau se présentant sous forme d'une tige 4 destinée au cône d'obturation, alimenté dans la portion d'intervalle dans laquelle la distance minimale est définie entre les surfaces de travail 2a et 3a de l'élément rotatif 2 et de l'élément mobile 3, peut être préalablement immergé dans un bac d'eau chaude en vue de son ramollissement. En vue d'accroître le rendement de production du cône d'obturation 1, il est toutefois préférable d'alimenter le matériau en tige 4 pour le cône d'obturation, comme mentionné précédemment, en le chauffant selon un ou plusieurs moyens produisant un soufflage d'air chaud, un rayonnement d'énergie thermique provenant d'une lampe infrarouge ou encore en chauffant les surfaces de travail 2a et 3a de l'élément rotatif 2 et de l'élément mobile 3 au moyen d'un élément de chauffage, etc., du fait que le matériau 4 se ramollit généralement par chauffage à environ 45°C. En restant ramolli de cette manière, le matériau 4 pour le cône d'obturation est amené sous une forme prédéterminée dans la portion d'intervalle dans laquelle la distance minimale est définie entre les surfaces de travail 2a et 3a de l'élément rotatif 2 et de l'élément mobile 3. De préférence, juste après passage à travers ladite portion d'intervalle, l'extrémité avant du matériau 4 est refroidie pour l'empêcher de rester ramollie et d'être déformée.

En ce qui concerne l'élément rotatif 2 et l'élément mobile 3, il y a lieu de prévoir qu'au moins la surface de travail 3a de l'élément mobile 3 soit disposée parallèlement à la surface de travail 2a de l'élément rotatif 2 et se déplace à une vitesse sensiblement égale à la vitesse périphérique de l'élément rotatif 2 et dans le même sens que le sens de rotation de l'élément rotatif 2 dans la portion d'intervalle dans laquelle la distance minimale est définie entre les surfaces de travail 2a et 3a de l'élément rotatif 2 et de l'élément mobile 3. Lorsqu'au moins l'élément rotatif

2 oscille dans la direction axiale X, le matériau en tige 4 pour le cône d'obturation est alimenté dans la portion d'intervalle qui est disposée dans un plan sensiblement identique et pour laquelle la distance minimale est définie entre les surfaces de travail 2a et 3a de l'élément rotatif 2 et de l'élément mobile 3 et est alors formé dans une section circulaire présentant un diamètre coïncidant avec la distance de cette portion d'intervalle.

La portion d'intervalle dans laquelle la distance minimaie est définie entre les surfaces de travail 2a et 3a de l'élément rotatif 2 et de l'élément mobile 3 est modifiée continuellement, de façon que le rapport de vitesse de déplacement de l'extrémité avant du matériau en tige 4 pour le cône d'obturation amené dans ladite portion d'intervalle à une vitesse sensiblement identique dans le même sens de déplacement de l'élément rotatif 2 et de l'élément mobile

3 à distance l'un de l'autre, soit conforme à la conicité T du cône d'obturation à fabriquer, grâce à quoi le matériau 4 pour le cône d'obturation est conformé en cône d'obturation 1 ayant la conicité désirée T dans son sens longitudinal, tout en conservant une section circulaire. En vue de faire varier en continu la distance de la portion d'intervalle dans laquelle la distance minimale est définie entre les surfaces de travail 2a et 3a de l'élément rotatif 2 et de l'élément mobile 3, il est indispensable de prévoir des moyens permettant de maintenir l'élément rotatif 2 à distance de l'élément mobile 3 et l'élément mobile 3 à distance de l'élément rotatif 2, dans le cas où, comme représenté aux fig. 1, 2 et 5, l'élément rotatif 2 se présente sous ia forme d'un corps rotatif cylindrique dont le centre de rotation coïncide avec son axe et l'élément mobile 3 se présente sous la forme d'un corps rotatif cylindrique dont le centre de rotation coïncide avec son axe, comme dans le cas de l'élément rotatif 2, ou sous la forme d'un plan entièrement horizontal. On peut toutefois se dispenser de tels moyens dans le cas où l'élément rotatif 2 se présente sous la forme d'un corps rotatif non cylindrique 2 dont la distance de l'axe à la surface de travail 2a varie progressivement, comme représenté à la fig. 4 ou 6 ou d'un corps rotatif cylindrique 2 ayant son axe excentré, comme représenté a la fig. 3, ou lorsque l'élément mobile 3 est sous la forme d'un plan horizontal dont la surface de travail 3a comporte une rainure inclinée par rapport à son sens de déplacement, comme représente à la fig. 7. Ceci est dû au fait que la seule rotation de l'élément rotatif 2 autour de son axe de rotation à pour effet d'amener le matériau en tige 4 pour le cône d'obturation, par déplacement relatif des surfaces de travail 2a et 3a de l'élé5

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ment rotatif 2 et de l'élément mobile 3, dans la portion d'intervalle pour laquelle la distance minimale se trouve définie entre elles, ladite portion étant située dans un plan sensiblement identique, de manière à faire varier en continu la distance de ladite portion d'intervalle, de façon que le rapport de vitesse du mouvement de l'extrémité avant du matériau 4 par le mouvement de l'élément rotatif 2 et de l'élément mobile 3 à distance l'un de l'autre, soit en coïncidence avec la conicité T du cône d'obturation 1 produit.

On se réfère maintenant à une forme d'exécution de l'appareil utilisé pour la fabrication des cônes d'obturation pour canaux radiculaires dentaires selon l'invention.

La fig. 9 est une vue en perspective d'une forme d'exécution de l'appareil utilisé pour la fabrication des cônes d'obturation pour canaux radiculaires dentaires selon l'invention.

La fig. 10 est une vue en perspective, à plus grande échelle, d'une partie de cette forme d'exécution.

La fig. 11 est une vue en perspective d'une autre forme d'exécution de l'élément rotatif oscillant qui est monté en position.

La fig. 12 est une vue illustrant la phase initiale de la fabrication des cônes d'obturation pour canaux radiculaires dentaires, au moyen de l'appareil représenté à la fig. 9.

La fig. 13 est une vue en perspective d'une autre forme d'exécution de l'appareil utilisé pour la fabrication des cônes d'obturation pour canaux radiculaires dentaires, conformément à l'invention.

La fig. 14 est une vue en perspective, à plus grande échelle, d'une partie de la seconde forme d'exécution.

La fig. 15 est une vue en perspective d'une autre forme d'exécution de l'appareil utilisé pour la fabrication des cônes d'obturation pour canaux radiculaires dentaires, conformément à l'invention.

La fig. 16 est une vue en perspective d'une autre variante d'exécution de l'appareil utilisé pour la fabrication des cônes d'obturation pour canaux radiculaires dentaires, conformément à l'invention.

Sur les fig. 9 à 16, les références numériques 1, 2, 3 et 4 désignent respectivement le cône d'obturation pour canaux radiculaires dentaires, se présentant sous la forme d'un cône allongé, l'élément rotatif ayant sa surface extérieure de travail 2a sous la forme d'une plaque incurvée parallèle à sa direction axiale X et tournant à une vitesse prédéterminée, l'élément mobile conçu de façon qu'au moins sa surface de travail 3a soit disposée parallèlement à la surface de travail 2a de l'élément rotatif 2 et se déplace à une vitesse sensiblement identique à la vitesse périphérique de l'élément rotatif 2 et dans le même sens que celui dudit élément rotatif 2, dans la portion d'intervalle dans laquelle la distance minimale est définie entre l'élément mobile et la surface de travail 2a de l'élément rotatif 2, et le matériau en tige pour les cônes d'obturation pour canaux radiculaires dentaires, tous les éléments étant de constructions similaires, comme décrit en relation avec ledit procédé de fabrication.

On se réfère maintenant à la construction de la première forme d'exécution du présent appareil, représentée aux fig. 9 à 12.

Sur un socle 5 est fixé un châssis 6 au travers duquel est monté un arbre 7. Une courroie 8 est entraînée en rotation par l'intermédiaire d'une poulie dentée 10 commandée par un moteur 9 monté sur le socle 5, une poulie 11 étant clavetée sur l'arbre 7 et entraînée par le mouvement de la courroie 8. De préférence, les poulies 10 et 11 sont réalisées en prévoyant une fonction antidérapante sur leurs surfaces coopérant avec la courroie 8, en vue d'empêcher la courroie 8 de patiner, assurant ainsi une transmission précise de la force d'entraînement conférée par le moteur 9. De préférence, la fonction antidérapante est assurée par des éléments dentés qui viennent mutuellement en prise avec précision et qui ont un jeu limité. En vue de transmettre la force de rotation de la poulie 11 à l'élément mobile 3, cet élément mobile 3 peut être préalablement formé d'une seule pièce avec la poulie 11. En variante, l'élément mobile 3 peut être formé séparément, puis rendu ultérieurement solidaire de la poulie 11. Selon une autre variante, la poulie 11 et l'élément mobile 3 peuvent être clavetés sur l'arbre 7 ou bien un arbre cannelé peut être utilisé comme arbre 7 auquel sont fixés la poulie 11 et l'élément mobile 3, comme c'est le cas dans la forme d'exécution représentée à la fig. 11. Lorsque l'élément mobile 3 est monté coulissant sur l'arbre 7, on pourra utiliser une tringle de raccordement 12 dont une extrémité est insérée coulissante dans la position excentrée de l'élément mobile 3 et l'autre extrémité est fixée à la position excentrée opposée de la poulie 11, comme représenté aux fig. 9 et 10, ou bien encore on pourra utiliser un arbre cannelé, tel que l'arbre 7, comme dans le cas de la forme d'exécution représentée à la fig. 11. Des pièces de liaison mobiles 13 sont déplaçables des deux côtés du socle 5, dans une direction normale audit arbre 7. Des leviers oscillants 14 sont maintenus pivotants par un arbre 16 fixé à des supports 15 montés verticalement des deux côtés du socle 5, les extrémités supérieures de ces leviers étant sollicités élastiquement en direction du châssis 6 au moyen d'organes élastiques 17, tels que des ressorts hélicoïdaux de traction disposés entre lesdits leviers oscillants et le châssis 6, les extrémités inférieures de ces leviers étant articulées auxdites pièces de liaison 13. Un arbre 18 est monté entre les portions supérieures des leviers oscillants 14 disposées des deux côtés, l'axe de cet arbre étant sensiblement de niveau avec ledit arbre 7. Une courroie 19 est entraînée en rotation par une poulie dentée 20 montée sur un arbre 21 prévu sur le socle 5, ladite poulie 20 étant en prise avec la poulie 10. Une poulie 22 est montée sur l'arbre 18 et est entraînée par la courroie 19. De préférence, les poulies 20 et 22 sont prévues avec une fonction antidérapante sur leurs surfaces, en vue d'engager la courroie 19 tout en empêchant celle-ci de patiner, assurant ainsi une transmission précise de la force d'entraînement du moteur 9. De préférence, la fonction antidérapante est assurée par des éléments dentés qui viennent mutuellement en prise avec précision et qui ont un jeu limité.

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trémité fixée en un emplacement excentré de la poulie 22 et sont autre extrémité insérée coulissante dans l'emplacement excentré opposé de l'élément rotatif 2 monté coulissant sur l'arbre 18, ce qui permet de transmettre la force de rotation de la poulie 22 à l'élément rotatif 2. On peut se dispenser d'utiliser cette tringle de raccordement 23 si l'arbre 18 est un arbre cannelé, comme représenté à la fig. 11. Une came 24 est entraînée en rotation par un moteur 25 monté sur le socle 5. Un suiveur de came 26 est relié à un arbre 27 prévu aux extrémités desdites pièces de liaison 13 opposées aux leviers oscillants 14 et est conçu pour venir en prise avec la came 24, étant ainsi associé lors du fonctionnement à la rotation de ladite came 24 pour assurer le déplacement des pièces de liaison 13 en direction des leviers oscillants 14. Une biellette 28 est articulée à une plaque excentrique 30 montée sur l'arbre d'un moteur 29 disposé sur le châssis 6 (sous la forme d'exécution représentée, cette plaque est montée excentrique sur l'arbre du moteur 29). Un bras oscillant 31 est articulé à une extrémité de la biellette 28 et oscille autour d'un axe de pivotement 32 prévu sur le châssis 6. A des distances égales de l'axe de pivotement 32 du bras oscillant 31 sont prévus des galets d'engagement 31a et 31b venant en prise avec une zone d'engagement 3d formée d'une seule pièce avec l'élément mobile 3 monté coulissant sur l'arbre 7 et avec une zone d'engagement 2b formée d'une seule pièce avec l'élément rotatif 2 monté coulissant sur l'arbre 18, de façon que lorsque le moteur 29 monté sur le châssis 6 fonctionne pour faire pivoter le bras oscillant 31 autour de l'axe 32, l'élément mobile 3 et l'élément rotatif 2 oscillent à la même vitesse, en des sens opposés. Du fait que les résultats désirés sont obtenus en faisant osciller uniquement l'élément rotatif 2, le galet d'engagement 31 a du bras oscillant 31 et la zone d'engagement 3d de l'élément mobile 3 peuvent être supprimés si l'élément mobile 3 n'oscille pas. Un projecteur 33 et un récepteur 34 sont agencés pour fournir une détection exempte de contact du matériau 4 du cône d'obturation pour canaux radiculaires dentaires, lorsque ledit matériau 4 est amené dans la portion d'intervalle dans laquelle la distance minimale est définie entre les surfaces de travail 2a et 3a de l'élément rotatif 2 et de l'élément mobile 3. Une pièce de guidage 35 est prévue pour acheminer le matériau 4 du cône d'obturation pour canaux radiculaires dentaires dans la portion d'intervalle dans laquelle la distance minimale est définie entre les surfaces de travail 2a et 3a de l'élément rotatif 2 et de l'élément mobile 3. Des moyens de chauffage 36 comprenant une buse d'air chaud sont prévus pour injecter une quantité d'air chauffé sur le matériau 4 pour le cône d'obturation pour canaux radiculaires dentaires, cet air parvenant par la pièce de guidage 35, pour le chauffage. Comme déjà mentionné, les moyens de chauffage 36 peuvent être une lampe infrarouge (non représentée) pour le rayonnement de faisceaux d'énergie thermique, un réchauffeur incorporé ou un élément de chauffage annulaire (non représenté) incorporé à l'élément rotatif 2 et à l'élément mobile 3 et amené en contact avec les surfaces de travail 2a et 3a par l'intermédiaire d'un feutre, etc. Une buse d'air froid

37 est prévue pour injecter une quantité d'air froid sur le cône d'obturation formé par passage au travers de la portion d'intervalle dans laquelle la distance minimale est définie entre les surfaces de travail 2a et 3a de l'élément rotatif 2 et de l'élément mobile 3, en vue d'assurer le refroidissement. Si le matériau 4 pour le cône d'obturation est plus long, un élément de préhension 38 est prévu pour saisir des deux côtés le matériau 4 émergeant de ladite portion d'intervalle sur une longueur déterminée, toutes les fois que l'extrémité avant présentant une telle longueur déterminée dudit matériau 4 est détectée par le projecteur 33 et le récepteur 34.

On se réfère maintenant à la construction selon la seconde forme d'exécution représentée aux fig. 13 et 14.

Sur les arbres montés au travers d'un bâti 39 sont clavetées des poulies 40, dont l'une est commandée par un moteur 41 agencé sur le bâti 39. Sur le pourtour des poulies 40 et entre celles-ci, l'élément mobile 3 est disposé, avec sa surface de travail 3a se présentant sous la forme d'une courroie horizontale sans fin, cet élément mobile étant ainsi entraîné en rotation à une vitesse prédéterminée, dans un certain sens. Une courroie 46 est entraînée en rotation par une poulie 45 commandée par un moteur 44 monté sur un châssis 43 positionné sur le bâti 39 par l'intermédiaire d'un ressort 42. Une poulie 47 est montée sur un arbre 48 disposé au travers du châssis 43. Sur cet arbre est monté coulissant l'élément rotatif 2, ayant sa surface de travail 2a sous la forme d'un plan incurvé, parallèlement à son axe X, et étant entraîné en rotation par la courroie 46. De préférence, ces poulies 45 et 47 présentent une fonction antidérapante sur leurs surfaces pour l'engagement de la courroie 46, afin d'empêcher le patinage de cette courroie et d'assurer la transmission précise de la force d'entraînement du moteur 44. De préférence, une telle fonction antidérapante est obtenue par des éléments dentés qui viennent mutuellement en prise avec précision et qui présentent un jeu limité. Une tringle de raccordement 49 présente une extrémité fixée en un emplacement excentré sur la poulie 47 et l'autre extrémité insérée coulissante dans l'emplacement excentré opposé prévu sur l'élément rotatif 2 monté coulissant sur l'arbre 48 et susceptible de se déplacer le long de cet arbre, ladite tringle étant agencée pour transmettre la force de rotation de la poulie 47 à l'élément rotatif 2. Cette tringle de raccordement 49 peut être supprimée si l'arbre 48 est constitué par un arbre cannelé, comme dans le cas de la forme d'exécution représentée à la fig. 11. Une biellette 50 est articulée à une plaque excentrique 52 fixée sur l'arbre d'un moteur 51 disposé sur le châssis 43 (dans la forme d'exécution représentée, cette plaque est fixée excentriquement sur l'arbre du moteur 51). Un bras oscillant 53 est articulé à une extrémité de la biellette 50 et pivote autour d'un axe de pivotement 54 disposé sur le châssis 43. A une extrémité du bras oscillant 53, il est prévu un galet d'engagement 53a coopérant avec la zone d'engagement 2b solidaire de l'élément rotatif 2 monté coulissant sur l'arbre 48, de sorte que lorsque le moteur 51 sur le châssis 43 fonctionne pour faire pi5

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voter le bras oscillant 53 autour de l'axe 54, l'élément rotatif 2 oscille le long de l'arbre 48. Une came 55 est montée sur l'arbre d'un moteur 56 positionné sur ie bâti 39 et est en prise avec le châssis 43 placé sur le bâti 39 par l'intermédiaire du ressort 42. Lorsque la came 55 est entraînée en rotation par le moteur 56, il se produit une variation de la distance de la portion d'intervalle définie entre les surfaces de travail 2a et 3a de l'élément rotatif 2 relié au châssis 43 par l'arbre 48 et l'élément mobile 3.

On se réfère maintenant à la construction selon la troisième forme d'exécution représentée à la fig. 15.

Cette construction présente un bâti 57, un pignon inférieur 58 étant fixé sur l'arbre d'un moteur 59 positionné sur ledit bâti 57 et coopérant avec une denture intérieure prévue dans un élément mobile 3 en forme de roue, comportant une surface de travail plane 3a. L'élément mobile en forme de roue 3 est maintenu rotatif sur un plan concave à frottement réduit, prévu sur le bâti 57 et traité par un résine fluorocarbonée ou formé avec des portées. De cette façon, lorsque le moteur 59 est entraîné, l'élément mobile en forme de roue 3 est entraîné en rotation à une vitesse prédéterminée dans un certain sens. Un pignon supérieur 60 est fixé sur l'arbre du moteur 59, au-dessus du pignon inférieur 58, et est en prise avec une roue dentée 64 fixée sur un arbre 63 monté pivotant sur un châssis 62 reposant sur le bâti 57 par l'intermédiaire d'un ressort 61. Un pignon conique 65 est fixé sur un arbre 66 positionné au travers du châssis 62, l'élément mobile 2 étant monté en rotation sur cet arbre. Le pignon 65 est en prise avec un pignon conique 67 fixé sur ledit arbre 63, ledit pignon conique 65 étant adapté pour être entraîné par ledit moteur 59. Une tringle de raccordement 68 présente une extrémité fixée en un emplacement excentré du pignon conique 65 et l'autre extrémité insérée coulissante dans l'emplacement excentré opposé de l'élément rotatif 2 monté coulissant sur l'arbre 48 et susceptible de se déplacer le long dudit arbre 66, permettant ainsi de transmettre la force de rotation du pignon conique 65 à l'élément rotatif 2.

On peut supprimer cette tringle de raccordement

68 si l'arbre 66 est constitué par un arbre cannelé, comme représenté à la fig. 11. Une biellette 69 est articulée à une plaque excentrique 71 fixée sur l'arbre d'un moteur 70 disposé sur le châssis 62 (dans la forme d'exécution représentée, elle est montée excentrique sur l'arbre du moteur 70). Un bras oscillant 72 est articulé à une extrémité de la biellette

69 et pivote autour d'un axe de pivotement 73 prévu sur le châssis 62. A une extrémité du bras oscillant 72, il est prévu un galet d'engagement 72a coopérant avec la zone d'engagement 2b solidaire de l'élément rotatif 2 coulissant le long dudit arbre 66, de sorte que lorsque le moteur 70 disposé sur le châssis 62 est mis en action pour faire pivoter le bras oscillant 72 autour de son axe 73, l'élément rotatif 2 oscille le long de l'arbre 66. Une came 74 est montée sur l'arbre d'un moteur 75 disposé sur le bâti 57 et est amenée à coopérer avec le châssis 62 maintenu sur le bâti 57 par le ressort 61. Lorsque la came 74

est entraînée par le moteur 75, il se produit une variation de la distance de la portion d'intervalle définie entre les surfaces de travail 2a et 3a de l'élément rotatif 2 et de l'élément mobile 3.

En dernier lieu, on va maintenant décrire la construction selon la quatrième forme d'exécution représentée à la fig. 16.

Un pignon 77 est fixé sur un arbre 78 entraîné en rotation, monté verticalement et rotatif sur un bâti 76. Ce pignon 77 est en prise avec une denture extérieure prévue sur la face externe de l'élément mobile 3 qui se présente maintenant sous la forme d'un disque et qui a sa surface de travail 3a sous la forme d'un plan horizontal. Un arbre 79 est disposé au travers d'un châssis 80 fixé sur le bâti 76, ledit arbre 79 portant coulissant l'élément rotatif 2 ayant sa surface extérieure de travail 2a sous la forme d'un plan incurvé parallèle à sa direction axiale X. Cet arbre 79 est entraîné par un moteur 81 disposé sur le bâti 76. Un pignon conique 82 est fixé audit arbre 78, au-dessus du pignon 77, et est en prise avec un pignon conique 83 fixé sur ledit arbre 79, de façon que lorsque le moteur 81 est en marche, l'élément mobile en forme de disque 3 est entraîné en rotation autour d'un arbre central, à une vitesse prédéterminée, dans un certain sens, ledit arbre central étant adapté pour être entraîné en rotation autour d'une portée coulissante 84, tout en étant déplaçable verticalement le long de ladite portée, laquelle est prévue dans un trou traversant. Il y a lieu de noter qu'on peut se dispenser des pignons coniques 82 et 83 si ledit arbre 78 est commandé directement par un moteur (non représenté) disposé au-dessous du bâti 76. Un moteur 85 est disposé sur la face inférieure du bâti 76 et une came 86 vient en prise avec l'arbre central dudit élément mobile en forme de disque 3, de sorte que lorsque le moteur 85 est en marche, l'élément mobile en forme de disque 3 se déplace verticalement, conformément au profil de la came 86. Une tringle de raccordement 87 est prévue pour transmettre la force de rotation d'un bras 88 fixé sur ledit arbre 79 à l'élément rotatif 2 et présente une extrémité fixée audit bras 88 et l'autre extrémité insérée coulissante dans l'emplacement excentré opposé de l'élément rotatif 2 monté coulissant sur l'arbre 79 et susceptible de se déplacer le long de cet arbre. Cette tringle de raccordement 87 devient inutile si l'arbre 79 est constitué par un arbre cannelé, comme dans le cas de la forme d'exécution représentée à la fig. 11. Une biellette 89 est articulée à une plaque excentrique 91 fixée sur l'arbre d'un moteur 90 disposé sur le bâti 80. Un bras oscillant 92 est articulé à une extrémité de la biellette 89 et pivote autour d'un axe de pivotement 93 formé sur le châssis 80. A une extrémité du bras oscillant 92, il est prévu un galet d'engagement 92a coopérant avec la zone d'engagement 2b solidaire de l'élément rotatif 2 coulissant le long dudit arbre 79. Lorsque le moteur 90 disposé sur le bâti 76 est actionné pour faire pivoter le bras oscillant 92 autour de l'axe de pivotement 93, l'élément rotatif 2 oscille le long de l'arbre 79.

On se réfère maintenant au fonctionnement de l'appareil selon lesdites constructions, permettant de fabriquer les cônes d'obturation pour canaux ra-

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diculaires dentaires, conformément à ia présente invention.

On se réfère tout d'abord au fonctionnement de l'appareil représenté aux fig. 9 à 12.

En premier lieu, les moyens de chauffage 36, par exemple une buse d'air chaud, sont actionnés pour appliquer de la chaleur au matériau 4 du cône d'obturation pour canaux radiculaires dentaires, par injection d'air chauffé, cependant que la buse d'air froid est préalablement actionnée pour injecter de l'air de refroidissement destiné à refroidir le cône d'obturation 1 formé. Les moteurs 9 et 29 sont alors mis en marche, l'alimentation en courant pour le moteur 25 étant alors branchée, ainsi que les alimentations pour le projecteur 33 et le récepteur 34. Ensuite, le bras oscillant 31, articulé à l'extrémité de la biellette 28 articulée à la plaque excentrique 30 fixée sur l'arbre du moteur 29, est entraîné et pivoté par . le moteur 29, autour de l'axe de pivotement 32 formé sur le châssis 6, à une vitesse de l'ordre de 50 à 1400 tours/min., par exemple. Du fait que le bras oscillant 31 est muni d'un galet d'engagement 31b coopérant avec la zone d'engagement 2b solidaire de l'élément rotatif 2 coulissant le long de l'arbre 18, l'élément rotatif 2 oscille le long de l'arbre 18 à la vitesse précitée. Dans ce cas, si le galet d'engagement 31a coopère avec la zone d'engagement 3d solidaire de l'élément mobile 3 coulissant le long de l'arbre 7 est disposé en un emplacement situé à une distance égale à celle comprise entre l'axe de pivotement 32 du bras oscillant 31 et le galet d'engagement 31b, l'élément mobile 3 et l'élément rotatif 2 oscillent alors le long des arbres 7 et 18, à la même vitesse que celle mentionnée précédemment, en des sens opposés. Les résultats désirés sont obtenus si la course d'un tel mouvement oscillant est de 1 mm ou plus. Lorsque le moteur 9 est en marche, la poulie dentée 10 et la poulie dentée 20 sont en prise et, dans leur rotation, entraînent les courroies 8 et 19, de sorte que les poulies 11 et 22 sont entraînées en rotation sur les arbres 7 et 18. Dans ce cas, si les poulies dentées 10, 20 et les poulies 11 et 22 présentent des mécanismes antidérapants, chacune comprenant un élément denté, etc., il n'y a aucun risque qu'un patinage se produise entre les poulies dentées 10 et 20 et les poulies 11 et 22, de sorte que les rotations des poulies dentées 10 et 20 peuvent être transmises avec précision aux poulies 11 et 22. Les poulies 11 et 22 et l'élément mobile 3 et l'élément rotatif 2 sont liés entre eux en vue d'assurer une rotation solidaire par des moyens tels que les tringles de raccordement 12 et 23 ayant leurs extrémités fixées aux poulies 11 et 22 et leurs autres extrémités insérées coulissantes dans les éléments mobile et rotatif 3 et 2 ou lorsque les arbres 7 et 18 auxquels les poulies 11 et 22 sont fixées sont constitués par des arbres cannelés. Ainsi, tout en oscillant le long de l'arbre 18 (et de l'arbre 7) à la vitesse précitée, l'élément rotatif 2 (et l'élément mobile 3) tournent au même nombre de tours/minute que les poulies 11 et 22. Dans ces conditions, lorsque le matériau 4 du cône d'obturation pour canaux radiculaires dentaires est amené par la pièce de guidage 35, ce matériau 4 est chauffé et ramolli par les moyens de chauffage 36 et, tout en restant ramolli, est amené

dans la portion d'intervalle dans laquelle la distance minimale est définie entre les surfaces de travail 2a et 3a de l'élément rotatif 2 et de l'élément mobile 3. Le matériau 4 est alors façonné selon une forme circulaire en section correspondant à la portion d'intervalle dans laquelle la distance minimate est définie entre l'élément rotatif 2 et l'élément mobile 3, par oscillation de l'élément rotatif 2 ayant sa surface de travail 2a parallèle à son axe X, et tournant à peu près à la même vitesse ou que ledit élément rotatif 2 et l'élément mobile 3 ayant de nouveau sa surface de travail 3a parallèle à son axe X et tournant à peu près à la même vitesse.

A ce moment, du fait que la lumière émanant du projecteur 33 est coupée, le récepteur 34 détecte que l'extrémité avant du matériau 4 d'obturation pour canaux radiculaires dentaires est située dans ladite portion d'intervalle. Ceci a pour effet de mettre en marche le moteur 25 pour entraîner en rotation ta came 24, de sorte que le suiveur de came 26 est contraint par la came à coopérer avec celle-ci pour déplacer les pièces de liaison 13 vers les leviers oscillants 14 sur le socle 5 par l'arbre 27. De cette façon, les extrémités supérieures des leviers oscillants 14 articulés aux pièces de liaison 13 se déplacent autour de l'arbre 16 fixé sur les supports 15 disposés verticalement sur les deux côtés du socle 5, à rencontre des forces de traction exercées par les éléments élastiques 17, de sorte que la surface de travail 2a de l'élément rotatif 2 est à distance de la surface de travail 3a de l'élément mobile 3, mais reviennent ensuite à leurs emplacements d'origine, sous l'effet des forces de traction des éléments élastiques 17. Dans ces conditions, le rapport de la vitesse de déplacement de l'extrémité avant du matériau 4 du cône d'obturation introduit par la rotation relative des éléments rotatif et mobile 2 et 3 tournant à une vitesse presque identique, en des sens opposés, à la vitesse de déplacement à laquelle ta surface de travail 2a de l'élément rotatif 2 est à distance de la surface de travail 3a de l'élément mobile 3, varie en continu, tout en se conformant à la conicité T du cône d'obturation 1 à fabriquer. De cette manière, tout en conservant une forme circulaire dans sa section, le matériau 4 du cône d'obturation prend la forme du cône d'obturation 1 ayant ta conicité désirée T dans sa direction longitudinale. Le cône d'obturation 1 formé par passage à travers la portion d'intervalle dans laquelle la distance minimale est définie entre les surfaces de travail 2a et 3a des éléments rotatif et mobile 2 et 3 est immédiatement refroidi et durci par l'air de refroidissement injecté par la buse d'air froid 37, ce qui donne un cône d'obturation 1 qui n'est pas facilement déformé et qui présente la conicité désirée T.

La description qui précède est valable pour l'appareil représenté aux fig. 9 et 12. Si l'élément rotatif 2 est constitué par un corps rotatif cylindrique ayant son axe disposé en un emplacement excentré, comme représenté à la fig. 3, ou par un corps rotatif non cylindrique dont la distance de l'axe à la surface de travail 2a varie progressivement, comme représenté à la fig. 4, plutôt que par le corps rotatif cylindrique comprenant sa surface de travail 2a ayant son centre de rotation coïncidant avec son axe, le

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moteur 25 peut alors ne pas être entraîné. En variante, les pièces de liaison 13, la came 24, le moteur 25, le suiveur de came 26 et l'arbre 27 peuvent être retirés de l'appareil. Toutefois, dans ce cas, il y a iieu de noter que la forme des cônes d'obturation à fabriquer est prédéterminée, en raison du manque de variabilité de la forme de ceux-ci. En conséquence, lorsqu'on désire fabriquer des cônes d'obturation 1 de différentes formes et dimensions, il est préalablement nécessaire de disposer d'un certain nombre de corps rotatifs cylindriques de dimensions variées et ayant leurs axes en des emplacements excentrés et d'un certain nombre de corps rotatifs non cylindriques de dimensions variées, dont la distance de leurs axes aux surfaces de travail 2a varie progressivement.

On va maintenant décrire le mode de fonctionnement de l'appareil représenté aux fig. 13 et 14.

Comme dans le cas de l'appareil représenté aux fig. 9 à 12, des moyens de chauffage tels qu'une buse d'air chaud ou une lampe infrarouge, bien que non représentés, sont mis en action pour appliquer de la chaleur au matériau 4 du cône d'obturation, de l'air de refroidissement étant préalablement injecté par une buse d'air froid, afin de refroidir le cône d'obturation 1. Les moteurs 41, 55 et 44 sont alors mis en marche, l'alimentation en courant pour le moteur 56 étant branchée. Le bras oscillant 53 articulé à l'extrémité de la biellette 50 articulée à la plaque excentrique 52 fixée sur l'arbre du moteur 51 se trouve alors entraîné et pivoté, par le moteur 51, autour de l'axe de pivotement 54 formé sur le châssis 43, par exemple à 50 à 1400 tours/min. Du fait que le bras oscillant 53 est muni du galet d'engagement 53a coopérant avec la zone d'engagement 2b, solidaire de l'élément rotatif 2 coulissant le long de l'arbre 48, l'élément rotatif 2 oscille également, de façon correspondante, le long de l'arbre 48. Des résultats satisfaisants peuvent être obtenus pour une course d'une telle oscillation de l'ordre de 2 mm ou plus. La mise en marche du moteur 41 a pour effet d'entraîner à la vitesse prédéterminée, dans un certain sens, l'élément mobile 3 disposé sur le pourtour et entre les poulies 40 sous la forme d'une courroie sans fin constituant la surface plane de travail 3a. En outre, la poulie 45 est entraînée en rotation par le moteur 44, de manière à entraîner la courroie 46, de sorte que la poulie 47 tourne sur l'arbre 48. Dans ces conditions, si les poulies 45 et 47 présentent des fonctions antidérapantes, comprenant chacune un élément denté, etc., il n'y a aucun risque qu'un patinage se produise entre la courroie 46 et les poulies 45 et 47, de sorte que la rotation de la poulie 45 est transmise avec précision à la poulie 47. La poulie 47 et l'élément rotatif 2 sont reliés mutuellement en vue d'assurer une rotation solidaire par des moyens tels que la tringle de raccordement 49 ayant une extrémité fixée à la poulie 47 et l'autre extrémité insérée coulissante dans l'élément rotatif 2, ou encore un arbre cannelé formant l'arbre 48 sur lequel la poulie 47 est fixée. De cette façon, lorsqu'une oscillation se produit le long de l'arbre 48, l'élément rotatif 2 est entraîné en rotation au même nombre de tours/minute que la poulie 47. Dans ces conditions, lorsque le matériau 4 du cône d'obturation est alimenté à partir d'un guide (non représenté) sur la surface de travail 3a de l'élément mobile 3 dans une direction presque parallèle au sens de déplacement de l'élément mobile 3, ce matériau 4 est chauffé et ramolli par les moyens de chauffage et, tout en restant ramolli, est acheminé dans la portion d'intervalle dans laquelle la distance minimale est définie entre les surfaces de travail 2a et 3a des éléments rotatif et mobile 2 et 3. Le matériau 4 du cône d'obturation est alors façonné de manière à prendre une forme circulaire en section, se conformant à la portion d'intervalle dans laquelle la distance minimale est définie entre les éléments rotatif et mobile 2 et 3, par le mouvement oscillant de l'élément rotatif 2 ayant sa surface de travail 2a sous la forme d'un plan incurvé parallèle à sa direction axiale X. Dans ce cas, le rapport de la vitesse de déplacement de l'extrémité avant du matériau en tige 4 du cône d'obturation introduit par le déplacement relatif des éléments rotatif et mobile 2 et 3, tournant et se déplaçant à une vitesse à peu près identique par rapport à la vitesse de déplacement à laquelle la surface de travail 2a de l'élément rotatif 2 fixé par l'arbre 48 au bâti 43 soulevé par la came 55 entraînée en rotation par un moteur 56 est à distance de la surface de travail 3a de l'élément mobile 3, varie en continu, tout en se conformant à la conicité T du cône d'obturation 1 à fabriquer. De cette façon, tout en conservant une forme circulaire dans sa section, le matériau 4 est façonné de manière à prendre la forme du cône d'obturation 1 pour canaux radiculaires dentaires, ayant la conicité désirée T dans sa direction longitudinale.

La seconde forme d'exécution du présent appareil a été décrite en référence aux fig. 13 et 14. Si l'élément rotatif 2 est constitué par un corps rotatif cylindrique, dont l'axe est disposé en un emplacement excentré, comme représenté à la fig. 3 (bien que l'élément mobile 3 à la fig. 3 soit un corps rotatif cylindrique, il doit être réalisé sous la forme d'un corps mobile plan), plutôt que par le corps rotatif cylindrique présentant sa surface de travail 2a ayant son centre de rotation coïncidant avec son axe, un corps rotatif non cylindrique dont la distance de la surface de travail 2a à l'axe varie progressivement, comme représenté à la fig. 6, ou par un corps rotatif cylindrique présentant sa surface de travail 2a ayant son centre de rotation coïncidant avec son axe, à condition que l'élément mobile 3 associé présente, dans sa surface de travail 3a, une rainure inclinée par rapport à son sens de déplacement, comme représenté à la fig. 7, il n'est alors pas nécessaire d'entraîner le moteur 56. En variante, on peut utiliser un appareil dans lequel le châssis 43 est fixé directement sur le bâti 39, sans prévoir le ressort 42, la came 55 et le moteur 56. Toutefois, avec un tel appareil, la forme du cône d'obturation à fabriquer doit être préalablement choisie, en raison du manque de variabilité de sa forme. En conséquence, si l'on désire fabriquer des cônes d'obturation de diverses formes et dimensions, il est nécessaire de disposer d'un certain nombre de corps rotatifs cylindriques de dimensions variées, dont les axes sont situés en des emplacements excentrés et d'un certain nombre de corps rotatifs non cylin5

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driques de dimensions variées, dont la distance de leurs axes aux surfaces de travail 2a varie progressivement, ou encore d'un certain nombre d'éléments mobiles 3 sous la forme d'une courroie sans fin, lesquels présentent dans leurs surfaces de travail 3a des rainures de dimensions et de formes variées, inclinées par rapport à leur sens de déplacement.

On va maintenant décrire le mode de fonctionnement de l'appareil représenté à la fig. 15.

Comme dans le cas de l'appareil représenté aux fig. 9 à 12, des moyens de chauffage tels qu'une buse d'air chaud ou une lampe infrarouge, bien que non représentés, sont mis en action pour appliquer de la chaleur au matériau 4 du cône d'obturation, de l'air de refroidissement étant injecté par une buse d'air froid, afin de refroidir le cône d'obturation 1 fabriqué. Les moteurs 59 et 70 sont alors mis en marche, l'alimentation en courant pour le monteur 75 étant branchée. Le bras oscillant 72 articulé à l'extrémité de la biellette 69 articulée à la plaque excentrique 71 fixée sur l'arbre du moteur 70 se trouve alors entraîné et pivoté, par le moteur 70, autour de l'axe de pivotement 73 formé sur le châssis 62, par exemple à 50 à 1400 tours/min. Du fait que le bras oscillant 72 est muni du galet d'engagement 72a coopérant avec la zone d'engagement 2b, solidaire de l'élément rotatif 2 coulissant le long de l'arbre 66, l'élément rotatif 2 oscille également, de façon correspondante, le long de l'arbre 66. Des résultats satisfaisants sont obtenus pour une course d'une telle oscillation de l'ordre de 2 mm ou plus. Par mise en marche du moteur 59, l'élément mobile 3 sous forme d'une roue ayant sa denture intérieure en prise avec le pignon inférieur 58 fixé sur l'arbre du moteur 59, est entraîné en rotation à une vitesse prédéterminée dans un certain sens et le pignon conique 67 est entraîné en rotation, ce pignon étant fixé sur l'arbre 63 entraîné par le pignon 64 en prise avec le pignon supérieur 60 fixé sur l'arbre du moteur 59, de sorte que le pignon conique 65 en prise avec le pignon conique 67 tourne autour de l'arbre 66 monté pivotant sur le châssis 62. Le pignon conique 65 et l'élément rotatif 2 sont reliés mutuellement en vue d'assurer leur rotation solidaire, par des moyens tels que la tringle de raccordement 68 ayant une extrémité fixée sur le pignon conique 65 et l'autre extrémité insérée coulissante dans l'élément rotatif 2, ou encore lorsque l'arbre 66 portant le pignon conique 65 est constitué par un arbre cannelé. De cette façon, lorsqu'une oscillation se produit le long de l'arbre 66, l'élément rotatif 2 est entraîné en rotation au même nombre de tours/minute que le pignon conique 65. Dans ces conditions, lorsque le matériau 4 du cône d'obturation est alimenté à partir d'un guide (non représenté) sur la surface de travail 3a de l'élément mobile 3 dans le sens de déplacement de l'élément mobile 3, à savoir dans une direction à peu près parallèle à la direction circonféren-tielle de la roue, ce matériau 4 est chauffé et ramolli par les moyens de chauffage et, tout en restant ramolli, est acheminé dans la portion d'intervalle dans laquelle la distance minimale est définie entre les surfaces de travail 2a et 3a des éléments rotatif et mobile 2 et 3. Le matériau 4 est alors façonné de manière à prendre une forme circulaire en section, se conformant à la portion d'intervalle dans laquelle la distance minimale est définie entre les éléments rotatif et mobile 2 et 3, par le mouvement oscillant de l'élément rotatif 2 ayant sa surface de travail 2a parallèle à sa direction axiale X. Dans ce cas, le rapport de la vitesse de déplacement de l'extrémité avant du matériau en tige 4 du cône d'obturation introduit par le déplacement relatif des éléments rotatif et mobile 2 et 3, tournant et se déplaçant à une vitesse à peu près identique par rapport à la vitesse de déplacement à laquelle la surface de travail 2a de l'élément rotatif 2 fixé par l'arbre 66 au châssis 62 abaissé par la came 74 entraînée en rotation par le moteur 75 est à distance de la surface de travail 3a de l'élément mobile 3, varie en continu, tout en se conformant à la conicité T du cône d'obturation 1 à fabriquer. De cette façon, tout en conservant une forme circulaire dans sa section, le matériau 4 est façonné de manière à prendre la forme du cône d'obturation 1 pour canaux radiculaires dentaires ayant la conicité désirée T dans sa direction longitudinale.

La description qui précède s'applique au mode de fonctionnement de l'appareil décrit à la fig. 15. Si l'élément rotatif- 2 est constitué par un corps rotatif cylindrique, dont l'axe est disposé en un emplacement excentré, comme représenté à la fig. 3 (bien que l'élément mobile 3 à la fig. 3 soit un corps rotatif cylindrique, il doit être réalisé sous la forme d'un corps mobile plan), plutôt que par le corps rotatif cylindrique présentant sa surface de travail 2a ayant son centre de rotation coïncidant avec son axe, un corps rotatif non cylindrique dont la distance de l'axe à la surface de travail 2a varie progressivement, comme représenté à la fig. 6, ou par un corps rotatif cylindrique présentant sa surface de travail 2a ayant son centre de rotation coïncidant avec son axe, à condition que l'élément mobile 3 associé présente, dans sa surface de travail 3a, une rainure inclinée par rapport à son sens de déplacement, comme représenté à la fig. 7, il n'est alors pas nécessaire d'entraîner le moteur 75. En variante, on peut utiliser un appareil dans lequel le châssis 62 est fixé directement sur le bâti 57, sans prévoir le ressort 61, la came 74 et le moteur 75. Toutefois, avec un tel appareil, la forme du cône d'obturation à fabriquer doit être préalablement choisie, en raison du manque de variabilité de cette forme. En conséquence, si l'on désire fabriquer des cônes d'obturation de diverses formes et dimensions, il est nécessaire de disposer d'un certain nombre de corps rotatifs cylindriques de dimensions variées, dont les axes sont situés en des emplacements excentrés et d'un certain nombre de corps rotatifs non cylindriques de dimensions variées, dont la distance de leurs axes aux surfaces de travail 2a varie progressivement, ou encore d'un certain nombre d'éléments mobiles 3 sous la forme d'une roue, lesquels présentent dans leurs surfaces de travail 3a des rainures de dimensions et de formes variées, inclinées par rapport à leur sens de déplacement.

Enfin, dans ce qui suit, on va décrire le mode de fonctionnement de l'appareil représenté à la fig. 16.

Comme dans le cas de l'appareil représenté aux

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fig. 9 à 12, des moyens de chauffage tels qu'une buse d'air chaud ou une lampe infrarouge, bien que non représentés, sont mis en action pour appliquer de la chaleur au matériau 4 du cône d'obturation, de l'air de refroidissement étant injecté par une buse d'air froid, afin de refroidir le cône d'obturation 1 fabriqué.

Les moteurs 81 et 90 sont alors mis en marche, l'alimentation en courant pour le moteur 85 étant branchée. Le bras oscillant 92 articulé à l'extrémité de la biellette 89, elle-même articulée à la plaque excentrique 91 fixée sur l'arbre du moteur 90 se trouve alors entraîné et pivoté par le moteur 90 autour de l'axe de pivotement 93 formé sur le châssis 80, par exemple à 50 à 1400 tours/min. Du fait que ie bras oscillant 92 est muni d'un galet d'engagement 92a coopérant avec la zone d'engagement 2b, solidaire de l'élément rotatif 2 coulissant le long de l'arbre 79, l'élément rotatif 2 oscille également, de façon correspondante, le long de l'arbre 79. Des résultats satisfaisants sont obtenus pour une course d'une telle oscillation de l'ordre de 2 mm ou plus. Dans la forme d'exécution représentée, la mise en marche du moteur 81 a alors pour effet d'entraîner en rotation le pignon conique 83 fixé sur l'arbre 79 entraîné ainsi en rotation, provoquant de son côté la rotation du pignon conique 82 fixé sur l'arbre 78 monté verticalement sur le bâti 76 et en prise avec le pignon conique 83, de sorte que l'élément mobile en forme de disque 3 ayant sa denture extérieure en prise avec le pignon 77 fixé sur l'arbre 78 est entraîné en rotation autour de son axe, à la vitesse prédéterminée, dans un certain sens.

Toutefois, même lorsque l'arbre 78 monté verticalement sur le bâti 76 est entraîné directement par un moteur (non représenté) disposé au-dessous dudit bâti 76, dans les conditions où le pignon conique 82 fixé sur cet arbre 78 et le pignon conique 83 fixé sur l'arbre 79 sont retirés, l'élément mobile en forme de disque 3, ayant sa denture extérieure en prise avec le pignon 77 fixé sur l'arbre 78 est entraîné en rotation autour de son axe, à la vitesse prédéterminée, dans un certain sens. De plus, l'arbre 79 entraîné par le moteur 81 est garni d'un bras 88 monté fixe sur cet arbre. Le bras 88 et l'élément rotatif 2 sont reliés entre eux, de manière à assurer une rotation solidaire, par des moyens tels que la tringle de raccordement 87 ayant une extrémité fixée au bras 88 et l'autre extrémité insérée coulissante dans l'élément rotatif 2, ou bien l'arbre 79 sur lequel l'élément rotatif 2 est monté coulissant, est constitué par un arbre cannelé. De cette façon, lorsqu'une oscillation se produit le long de l'arbre 79, l'élément rotatif 2 est entraîné en rotation à la même vitesse, exprimée en tours/minute, que celle de l'arbre 79. Dans ces conditions, lorsque le matériau 4 du cône d'obturation est alimenté à partir d'un guide (non représenté) sur la surface de travail 3a de l'élément mobile 3, dans le sens de déplacement de l'élément mobile 3, à savoir dans une direction à peu près parallèle à la direction circonférentielle du disque, ce matériau 4 est chauffé et ramolli par les moyens de chauffage et, tout en restant ramolli, est acheminé dans ia portion d'intervalle dans laquelle la distance minimale est définie entre les surfaces de travail 2a et 3a des éléments rotatif 2 et mobile 3. Le matériau 4 est alors façonné de manière à prendre une forme circulaire en section, se conformant à la portion d'intervalle dans laquelle la distance minimale est définie entre les éléments rotatif 2 et mobile 3, par le mouvement oscillant de l'élément rotatif 2 ayant sa surface de travail 2a parallèle à sa direction axiale X. Dans ce cas, le rapport de la vitesse de déplacement de l'extrémité avant du matériau en tige 4 du cône d'obturation introduit par le déplacement relatif de l'élément rotatif 2 et de l'élément mobile 3, tournant et se déplaçant à une vitesse à peu près identique par rapport à la vitesse de déplacement à laquelle la surface de travail 2a de l'élément rotatif 2 fixé en position par l'arbre 79 est à distance de la surface de travail 3a de l'élément mobile 3, ledit élément mobile 3 étant maintenant abaissé, du fait que son arbre central est en prise avec la came 86 entraînée en rotation par le moteur 85, varie en continu tout en se conformant à la conicité T du cône d'obturation 1 à fabriquer. De cette façon, tout en conservant une forme circulaire dans sa section, le matériau 4 est façonné de manière à prendre la forme du cône d'obturation 1 pour canaux radiculaires dentaires ayant ia conicité désirée T dans sa direction longitudinale.

La description qui précède s'applique au mode de fonctionnement de l'appareil décrit à la fig. 16. Si l'élément rotatif 2 est constitué par un corps rotatif cylindrique dont l'axe est disposé en un emplacement excentré, comme représenté à la fig. 3 (bien que l'élément mobile 3 à la fig. 3 soit un corps rotatif cylindrique, il doit être réalisé sous la forme d'un corps mobile plan), plutôt que par le corps rotatif cylindrique présentant sa surface de travail 2a ayant son centre de rotation coïncidant avec son axe, un élément rotatif non cylindrique dont la distance de l'axe à la surface de travail 2a varie progressivement, comme représenté à la fig. 6, ou par un corps rotatif cylindrique présentant sa surface de travail 2a ayant son centre de rotation coïncidant avec son axe, à condition que l'élément mobile 3 associé présente, dans sa surface de travail 3a, une rainure inclinée par rapport à son sens de déplacement, comme représenté à la fig. 7, il n'est alors pas nécessaire d'entraîner le moteur 85. En variante, on peut utiliser un appareil dans lequel ie moteur 85 et la came 86 sont retirés. Toutefois, avec un tel appareil, la forme du cône d'obturation à fabriquer doit être préalablement choisie, en raison du manque de variabilité de cette forme. En conséquence, si l'on désire fabriquer le cône d'obturation 1 de diverses formes et dimensions, il est nécessaire de disposer d'un certain nombre de corps rotatifs cylindriques de dimensions variées, dont les axes sont situés en des emplacements excentrés et d'un certain nombre de corps rotatifs non cylindriques de dimensions variées, dont la distance de leurs axes aux surfaces de travail 2a varie progressivement, ou encore d'un certain nombre d'éléments mobiles en forme de disque 3, lesquels présentent dans leurs surfaces de travail 3a des rainures de dimensions et de formes variées, inclinées par rapport à leur sens de déplacement.

Comme mentionné dans le préambule, il existe de

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nombreux types de cônes d'obturation pour canaux radiculaires dentaires qui seraient en mesure de répondre à des spécifications bien plus sévères en matière de tolérances dimensionnelles de leurs diamètres, les diamètres de ces cônes variant de 0,1 mm minimum à 1,5 mm maximum, pour des longueurs comprises entre 10 et 35 mm. Néanmoins, de tels cônes sont fabriqués conventionnellement par des moyens manuels uniquement par des spécialistes en la matière, ce qui implique la nécessité de former des personnes non spécialisées dans la technique et de répondre à une demande accrue pour tenir compte des récents progrès des traitements dentaires. La présente invention permet toutefois de fabriquer des cônes d'obturation par des moyens mécaniques peu coûteux et efficaces, réalisant ainsi une innovation dans la technique. L'appareil selon l'invention destiné à la fabrication de cônes d'obturation pour canaux radiculaires dentaires, est prévu pour mettre en œuvre le procédé de l'invention, comme exposé en détail précédemment. Spécifiquement, le présent appareil comprend, en combinaison, des sources d'entraînement d'un élément rotatif cylindrique ayant sa surface de travail sous la forme d'un plan incurvé parallèle à sa direction axiale et tournant à une vitesse prédéterminée et un élément mobile ayant sa surface de travail se déplaçant à une vitesse à peu près identique à la vitesse périphérique de l'élément rotatif cylindrique, dans le même sens que le sens de rotation de l'élément rotatif et se présentant sous la forme d'un pian cylindrique ou d'un plan horizontal, une source d'entraînement pour l'oscillation au moins de l'élément rotatif dans sa direction axiale et une source d'entraînement conçue de telle façon que, lorsque qu'une portion d'intervalle dans laquelle une distance minimale est définie entre les surfaces de travail des éléments rotatif et mobile est maintenue dans un plan sensiblement identique, un rapport d'une vitesse de déplacement de l'extrémité avant d'un matériau en tige pour le cône d'obturation acheminé et introduit dans ladite portion d'intervalle, par rotation de l'élément rotatif et déplacement de l'élément mobile par rapport à une vitesse de déplacement à laquelle les éléments rotatif et mobile sont à distance l'un de l'autre, varie en continu, de façon qu'il soit conforme à une conicité dudit cône d'obturation à fabriquer. Lorsque les sources d'entraînement respectives sont conçues de manière à fonctionner séparément, il est facile d'actionner et de régler les éléments d'entraînement respectifs et d'adapter ces moyens à la production de cônes d'obturation variant en formes et en dimensions. Si la source d'entraînement destinée à faire varier en continu le rapport de vitesse tel que précédemment spécifié n'est pas actionnée, un élément rotatif cylindrique ayant son axe disposé en un emplacement excentré, ou dont la distance de l'axe à la surface de travail varie progressivement, peut être utilisé comme élément rotatif tournant à une vitesse prédéterminée, ou bien un élément mobile ayant sa surface de travail comportant une rainure inclinée par rapport à son sens de déplacement peut être utilisé comme élément mobile, ce qui permet de fabriquer des cônes d'obturation de dimensions et de formes déterminées. Avec un tel appareil pour la mise en œuvre du présent procédé, 95% ou plus des produits obtenus peuvent être acceptés, le temps de fabrication par produit pouvant être réduit approximativement de moitié, comparativement aux modes manuels de fabrication. Si la largeur des surfaces de travail des éléments rotatif et mobile est accrue, tout en demeurant parallèles à leurs directions axiales, il est alors possible de fabriquer en une seule fois un certain nombre de cônes d'obturation.

En particulier, lorsqu'une courroie ou un élément plan entraîné le long d'un élément rotatif cylindrique dans une direction tangentielle est utilisé comme élément mobile, le cône d'obturation, une fois fabriqué et acheminé, reste dans un sens de déplacement constant, de sorte que les opérations ultérieures deviennent très simples. S'il est prévu une buse d'air froid pour l'injection d'air de refroidissement sur le cône d'obturation formé par passage à travers la portion d'intervalle dans laquelle la distance minimale est définie entre les surfaces de travail des éléments rotatif et mobile, le produit est déjà durci sans aucun risque de rupture ou de flexion de son extrémité avant dans ledit intervalle. Le présent appareil et le présent procédé étant mis en œuvre sans la présence de personnel de service, ils ne comportent aucun risque pour la santé. La présente invention s'avère donc d'un grand intérêt industriel.

Claims

Revendications

1. Procédé de fabrication d'un cône d'obturation (1) pour canaux radiculaires dentaires, caractérisé en ce qu'il est prévu un élément rotatif (2) ayant sa surface extérieure de travail (2a) sous forme d'un plan incurvé parallèle à sa direction axiale (X) et adapté pour être entraîné en rotation à une vitesse prédéterminée, et un élément mobile (3) dans lequel au moins sa surface de travail (3a) est disposée parallèlement à ladite surface de travail (2a) dudit élément rotatif et adapté pour se déplacer à une vitesse sensiblement identique à une vitesse périphérique dudit élément rotatif (2), dans le même sens que le sens de rotation dudit élément rotatif, dans une portion d'intervalle dans laquelle une distance minimale est définie entre lesdites surfaces de travail (2a et 3a) dudit élément rotatif (2) et dudit élément mobile (3), cependant qu'au moins ledit élément rotatif (2) est monté oscillant dans sa direction axiale et que ladite portion d'intervalle se trouve dans un plan sensiblement identique, un matériau se présentant sous forme d'une tige (4) pour ledit cône d'obturation pour canaux radiculaires dentaires étant amené dans ladite portion d'intervalle comprise entre lesdites surfaces de travail (2a et 3a) desdits éléments rotatif (2) et mobile (3), de manière à placer l'extrémité avant dudit matériau (4) dans ladite portion d'intervalle, dans une direction (Y) perpendiculaire à ladite direction axiale (X) dudit élément rotatif (2), et en ce qu'un rapport d'une vitesse de déplacement de l'extrémité avant dudit matériau (4) introduit, à une vitesse de déplacement à laquelle lesdites surfaces de travail (2a et 3a) desdits

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éléments rotatif (2) et mobile (3) sont à distance l'une de l'autre, varie en continu, de façon qu'il soit conforme à une conicité (T) dudit cône d'obturation (1 ) pour canaux radiculaires dentaires, de manière à réaliser ledit cône d'obturation (1) ayant la conicité désirée (T).

2. Procédé de fabrication de cônes d'obturation selon la revendication 1, caractérisé en ce qu'un corps rotatif cylindrique dont le centre de rotation coïncide avec son axe est utilisé comme élément mobile (3) et en ce qu'un corps rotatif cylindrique dont le centre de rotation coïncide avec son axe est utilisé comme élément rotatif (2).

3. Procédé de fabrication de cônes d'obturation selon la revendication 1, caractérisé en ce qu'un corps rotatif cylindrique dont le centre de rotation coïncide avec son axe est utilisé comme élément mobile (3) et en ce qu'un corps rotatif cylindrique ayant son axe excentré est utilisé comme élément rotatif (2).

4. Procédé de fabrication de cônes d'obturation selon la revendication 1, caractérisé en ce qu'un corps rotatif cylindrique dont le centre de rotation coïncide avec son axe est utilisé comme élément mobile (3) et en ce qu'un corps rotatif non cylindrique dont la distance de l'axe à une surface de travail (2a) varie progressivement est utilisé comme élément rotatif (2).

5. Procédé de fabrication de cônes d'obturation selon la revendication 1, caractérisé en ce qu'une courroie se déplaçant le long d'un corps rotatif cylindrique (3b) est utilisée comme élément mobile (3) et en ce qu'un corps rotatif cylindrique dont le centre de rotation coïncide avec son axe est utilisé comme élément rotatif (2).

6. Procédé de fabrication de cônes d'obturation selon la revendication 1, caractérisé en ce qu'une courroie se déplaçant le long d'un corps rotatif cylindrique (3b) est utilisée comme élément mobile (3) et en ce qu'un corps rotatif cylindrique ayant son axe disposé en un emplacement excentré est utilisé comme élément rotatif (2).

7. Procédé de fabrication de cônes d'obturation selon ia revendication 1, caractérisé en ce qu'une courroie se déplaçant le long d'un corps rotatif cylindrique (3b) est utilisée comme élément mobile (3) et en ce qu'un corps rotatif non cylindrique dont la distance de l'axe à la surface de travail (2a) varie progressivement est utilisé comme élément rotatif (2)-

8. Procédé de fabrication de cônes d'obturation selon la revendication 1, caractérisé en ce qu'un élément ayant sa surface de travail (3a) sous la forme d'un plan horizontal est utilisé comme élément mobile (3) et en ce qu'un corps rotatif cylindrique dont le centre de rotation coïncide avec son axe est utilisé comme élément rotatif (2).

9. Procédé de fabrication de cônes d'obturation selon la revendication 1, caractérisé en ce qu'un élément ayant sa surface de travail (3a) sous la forme d'un plan horizontal est utilisé comme élément mobile (3) et en ce qu'un corps rotatif cylindrique ayant son axe disposé en un emplacement excentré est utilisé comme élément rotatif (2).

10. Procédé de fabrication de cônes d'obturation selon la revendication 1, caractérisé en ce qu'un élément ayant sa surface de travail (3a) sous la forme d'un plan horizontal est utilisé comme élément mobile (3) et en ce qu'un corps rotatif non cylindrique dont la distance de l'axe à la surface de travail (2a) varie progressivement est utilisé comme élément rotatif (2).

11. Procédé de fabrication de cônes d'obturation selon la revendication 8, caractérisé en ce qu'un élément sous la forme d'un plan horizontal et présentant sur sa surface de travail (3a) une rainure inclinée dans son sens de déplacement est utilisé comme élément mobile (3).

12. Procédé de fabrication de cônes d'obturation selon l'une des revendications 1 à 11, caractérisé en ce que ledit matériau (4) pour ledit cône d'obturation pour canaux radiculaires dentaires est amené dans ladite portion d'intervalle, dans laquelle ladite distance minimale est définie entre lesdites surfaces de travail (2a et 3a) desdits éléments rotatif (2) et mobile (3), ledit matériau (4) étant préalablement chauffé pour être amené à un état de ramollissement.

13. Procédé de fabrication de cônes d'obturation selon la revendication 12, caractérisé en ce que le chauffage dudit matériau (4) pour lesdits cônes d'obturation pour canaux radiculaires dentaires s'effectue par soufflage d'air chaud sur ledit matériau (4) introduit.

14. Procédé de fabrication de cônes d'obturation selon la revendication 12, caractérisé en ce que le chauffage dudit matériau (4) d'obturation des canaux radiculaires s'effectue en l'irradiant au moyen d'énergie thermique provenant d'une lampe infrarouge.

15. Procédé de fabrication de cônes d'obturation selon la revendication 12, caractérisé en ce que le chauffage dudit matériau (4) s'effectue par application préalable de chaleur sur lesdites surfaces de travail (2a et 3a) desdits éléments rotatif (2) et mobile (3).

16. Procédé de fabrication de cônes d'obturation selon l'une des revendications 1 à 15, caractérisé en ce que ledit cône d'obturation (1) pour canaux radiculaires dentaires, formé par passage à travers ladite portion d'intervalle dans laquelle ladite distance minimale est définie entre lesdites surfaces de travail (2a et 3a) desdits éléments rotatif (2) et mobile (3) est refroidi par injection d'air de refroidissement sur ce cône.

17. Appareil pour la mise en œuvre du procédé de fabrication d'un cône d'obturation pour canaux radiculaires dentaires selon la revendication 1, caractérisé en ce qu'il comprend:

- une courroie (8) entraînée par une poulie dentée (10) commandée par un moteur (9) monté sur un socle (5);

- une poulie (11) fixée sur un arbre (7) monté au travers d'un châssis (6) fixé sur ledit socle (5) et entraînée par le mouvement de ladite courroie (8);

- un élément mobile (3) fixé sur ledit arbre (7), ayant sa surface de travail extérieure (3a) sous la forme d'un plan incurvé parallèle à sa direction axiale (X), et entraîné en rotation avec ladite poulie (11);

- une courroie (19) entraînée par une poulie dentée

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- des pièces de liaison mobiles (13) contraintes, par un suiveur de came (26), à venir en prise avec une came (24) entraînée en rotation par un moteur (25) monté sur ledit socle (5), en vue d'assurer une oscillation des deux côtés dudit socle (5), dans une direction normale audit arbre (7);

- des leviers oscillants (14) maintenus pivotants par un arbre (16) fixé sur des supports (15) agencés verticalement des deux côtés dudit socle (5), ayant leurs extrémités supérieures sollicitées élastique-ment en direction dudit châssis (6) par des éléments élastiques (17) montés entre ledit châssis (6) et les-dits leviers oscillants (14), un arbre (18) étant monté entre lesdits leviers oscillants (14) articulés à leurs parties inférieures auxdites pièces de liaison (13), une poulie (22) fixée sur ledit arbre (18) étant disposée au centre, à une hauteur sensiblement identique à celle dudit arbre (7), ladite poulie (22) étant entraînée par ladite courroie (19);

- un corps rotatif (2) monté coulissant sur ledit arbre (18) ayant sa surface de travail extérieure (2a) sous la forme d'un plan incurvé parallèle à sa direction axiale (X) et entraîné en rotation avec ladite poulie (22) et

- un galet d'engagement (31b) monté sur un bras oscillant (31) articulé à une extrémité d'une biellette (28) articulée à une plaque excentrique (30) fixée sur l'arbre d'un moteur (29) monté sur ledit châssis (6) et adapté pour pivoter autour d'un point d'appui (32) formé sur ledit châssis (6), ledit galet d'engagement (31b) étant conçu pour venir en prise avec un élément d'engagement (2b) réalisé d'une seule pièce avec ledit élément rotatif (2).

18. Appareil selon la revendication 17, caractérisé en ce que ledit élément rotatif (2) et ledit élément mobile (3) sont des corps rotatifs cylindriques, dont les centres de rotation de chacun coïncident avec leurs axes.

19. Appareil selon la revendication 17, caractérisé en ce que ledit élément rotatif (2) est un corps rotatif cylindrique dont le centre de rotation coïncide avec son axe et en ce que ledit élément mobile (3) est une courroie entraînée le long d'un corps rotatif cylindrique (3b) dont le centre de rotation coïncide avec son axe.

20. Appareil selon la revendication 17, caractérisé en ce que ledit élément rotatif (2) est un corps rotatif cylindrique ayant son axe disposé en un emplacement excentré et en ce que ledit élément mobile (3) est un corps rotatif cylindrique dont le centre de rotation coïncide avec son axe.

21. Appareil selon la revendication 17, caractérisé en ce que ledit élément rotatif (2) est un corps rotatif non cylindrique dont la distance de l'axe à la surface de travail (2a) varie progressivement et en ce que ledit élément mobile (3) est un corps rotatif cylindrique dont le centre de rotation coïncide avec son axe.

22. Appareil selon l'une des revendications 17 à 21, caractérisé en ce que lesdites poulies dentées (10, 20) et lesdites poulies (11, 22) présentent chacune une fonction antidérapante en prise avec un

élément denté formé sur ia face interne de chaque courroie (8 ou 19).

23. Appareil selon l'une des revendications 17 à 22, caractérisé en ce que ledit élément rotatif (2) est un corps rotatif auquel la force de rotation de ladite poulie (22) est transmise par l'intermédiaire d'une tringle de raccordement (23), dont une extrémité est insérée coulissante dans l'emplacement excentré dudit élément rotatif (2) et l'autre extrémité est fixée à l'emplacement excentré opposé de ladite poulie (22).

24. Appareil selon l'une des revendications 17 à 22, caractérisé en ce que ledit élément rotatif (2) est un corps rotatif monté sur l'arbre cannelé (18), de manière à transmettre la force de rotation de ladite poulie (22) à cet élément (2).

25. Appareil selon l'une des revendications 17 à 24, caractérisé en ce que des moyens de chauffage (36) sont prévus pour transmettre de la chaleur audit matériau (4) pour le cône d'obturation des canaux radiculaires dentaires qui doit être introduit dans ladite portion d'intervalle dans laquelle ladite distance minimale est définie entre lesdites surfaces de travail (2a et 3a) des éléments rotatif (2) et mobile (3).

26. Appareil selon la revendication 25, caractérisé en ce que lesdits moyens (36) de chauffage dudit matériau (4) pour le cône d'obturation pour canaux radiculaires dentaires sont constitués par une buse d'air chaud comportant un réchauffeur incorporé pour l'injection d'air chauffé sur ledit matériau (4) introduit.

27. Appareil selon la revendication 25, caractérisé en ce que lesdits moyens (36) de chauffage dudit matériau (4) pour le cône d'obturation pour canaux radiculaires dentaires sont constitués par une lampe infrarouge pour l'application d'énergie thermique audit matériau (4) introduit.

28. Appareil selon la revendication 25, caractérisé en ce que lesdits moyens (36) de chauffage dudit matériau (4) pour le cône d'obturation pour canaux radiculaires dentaires sont constitués par ledit élément rotatif (2) et ledit élément mobile (3), dont les surfaces de travail (2a et 3a) elles-mêmes sont chauffées.

29. Appareil selon l'une des revendications 17 à

28, caractérisé en ce qu'il est prévu une buse d'air froid (37) destinée à injecter de l'air de refroidissement sur ledit cône d'obturation (1) qui a été formé par passage au travers de ladite portion d'intervalle dans laquelle ladite distance minimale est définie entre lesdites surfaces de travail (2a et 3a) desdits éléments rotatif (2) et mobile (3).

30. Appareil selon l'une des revendications 17 à

29, caractérisé en ce qu'un projecteur (33) et un récepteur (34) sont prévus pour détecter, en l'absence de contact, que ledit matériau (4) pour ledit cône d'obturation est amené par rotation relative dudit élément rotatif (2) et dudit élément mobile (3) et atteint ladite portion d'intervalle dans laquelle ladite distance minimale est définie entre lesdites surfaces de travail (2a et 3a) desdits éléments rotatif (2) et mobile (3), actionnant ainsi ledit moteur (25).

31. Appareil selon la revendication 30, caractérisé en ce qu'après détection de l'extrémité avant du-

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dit matériau (4) pour ledit cône d'obturation par ledit projecteur (33) et le récepteur (34), un élément de préhension (38) est actionné pour saisir ledit matériau (4) des deux côtés, cet élément étant disposé en un emplacement situé à une distance donnée de ladite portion d'intervalle dans laquelle ladite distance minimale est définie entre lesdites surfaces de travail (2a et 3a) dudit élément rotatif (2) et dudit élément mobile (3).

32. Appareil pour la mise en œuvre du procédé de fabrication d'un cône d'obturation pour canaux radiculaires dentaires selon la revendication 1, caractérisé ce qu'il comprend:

- des poulies (40) fixées sur des arbres prévus au travers d'un bâti (39);

- un moteur (41) disposé sur ledit bâti (39) et destiné à entraîner l'une desdites poulies (40);

- un élément mobile (3) se présentant sous la forme d'une courroie sans fin horizontale disposée sur le pourtour desdites poulies (40) et entre celles-ci et ayant sa surface de travail (3a) sous la forme d'un plan horizontal;

- un arbre (48) disposé au travers d'un châssis (43) maintenu sur ledit bâti (39) par un ressort (42) et sur lequel est monté coulissant un élément rotatif (2), ayant sa surface de travail extérieure (2a) sous la forme d'un plan incurvé parallèle à sa direction axiale (X);

- une poulie (47) fixée sur ledit arbre (48), entraînée par un moteur (44) disposé sur ledit châssis (43) et entraînée en rotation avec ledit élément rotatif (2);

- une came (55) montée sur un moteur (56) disposé sur ledit bâti (39) et en prise avec ledit châssis (43) et

- un galet d'engagement (53a) prévu sur un bras oscillant (53) articulé à une extrémité d'une biellette (50) elle-même articulée à une plaque excentrique (52) fixée sur l'arbre d'un moteur (51) disposé sur ledit châssis (43) et adaptée pour osciller autour d'un axe de pivotement (54) formé sur ledit châssis (43), ledit galet d'engagement (53a) étant prévu pour coopérer avec une zone d'engagement (2b) solidaire dudit élément rotatif (2).

33. Appareil selon la revendication 32, caractérisé en ce que ledit élément rotatif (2) est un corps rotatif cylindrique dont le centre de rotation coïncide avec son axe et en ce que ledit élément mobile (3) présente sa surface de travail (3a) sous la forme d'un plan complètement horizontal.

34. Appareil selon la revendication 32, caractérisé en ce que ledit élément rotatif (2) est un corps rotatif cylindrique, ayant son axe disposé en un emplacement excentré et en ce que ledit élément mobile (3) présente sa surface de travail (3a) sous la forme d'un plan complètement horizontal.

35. Appareil selon la revendication 32, caractérisé en ce que ledit élément rotatif (2) est un corps rotatif non cylindrique dont ia distance de l'axe à la surface de travail (2a) varie progressivement et en ce que ledit élément mobile (3) présente sa surface de travail (3a) sous la forme d'un plan complètement horizontal.

36. Appareil selon la revendication 32, caractérisé en ce que ledit élément rotatif (2) est un corps rotatif cylindrique dont le centre de rotation coïncide avec son axe et en ce que ledit élément mobile (3) présente sa surface de travail (3a) sous la forme d'un plan horizontal présentant une rainure inclinée par rapport à son sens de déplacement.

37. Appareil selon l'une des revendications 32 à

36, caractérisé en ce que ladite poulie (45) entraînée directement par ledit moteur (44) et ladite poulie

(47) entraînée en rotation conjointement avec ledit élément rotatif (2) présentent chacune une fonction antidérapante coopérant avec un élément denté antidérapant formé sur la face intérieure de ladite courroie (46) disposée entre elles.

38. Appareil selon l'une des revendications 32 à

37, caractérisé en ce que ledit élément rotatif (2) est un corps rotatif auquel la force de rotation de ladite poulie (47) est transmise au moyen d'une tringle de raccordement (49), ayant une extrémité insérée coulissante dans l'emplacement excentré dudit élément rotatif (2) et l'autre extrémité fixée à l'emplacement excentré opposé à ladite poulie (47).

39. Appareil selon l'une des revendications 32 à 37, caractérisé en ce que ledit élément rotatif (2) est un corps rotatif fixé sur ledit arbre cannelé

(48), de manière à transmettre la force de rotation de ladite poulie (47) audit élément rotatif.

40. Appareil pour la mise en œuvre du procédé de fabrication d'un cône d'obturation pour canaux radiculaires dentaires selon la revendication 1, caractérisé en ce qu'il comprend:

- un pignon inférieur (58) fixé sur l'arbre d'un moteur (59) placé sur un bâti (57);

- un élément mobile (3) présentant sur sa face interne une denture intérieure en prise avec ledit pignon inférieur (58), maintenu en rotation dans un plan concave formé sur ledit bâti (57) et dont la surface de travail (3a) est sous la forme d'une roue;

- un pignon supérieur (60) en prise avec une roue dentée (64) fixée sur un arbre (63) maintenu pivotant sur un châssis (62) porté sur ledit bâti (57) par un ressort (61) et fixé sur l'arbre dudit moteur (59) au-dessus d'un pignon inférieur (58);

- un pignon conique (65) fixé sur un arbre (66) disposé au travers dudit châssis (62), ledit arbre (66) présentant, monté coulissant, un élément rotatif (2) ayant sa surface de travail extérieure (2a) sous la forme d'un plan incurvé parallèle à sa direction axiale (X), ledit pignon conique (65) étant adapté pour venir en prise avec un pignon conique (67) fixé sur ledit arbre (63), en vue d'assurer la rotation solidaire avec ledit élément rotatif (2);

- une came (74) montée sur un moteur (75) disposé sur ledit bâti (57) et en prise avec le châssis (62) et

- un galet d'engagement (72a) prévu sur un bras oscillant (72) articulé à une extrémité d'une biellette (69), elle-même articulée à une plaque excentrique (71) fixée sur l'arbre d'un moteur (70) disposé sur ledit châssis (62) et adaptée pour osciller autour d'un axe de pivotement (73) formé sur ledit châssis (62), ledit galet d'engagement (72a) étant prévu pour coopérer avec une zone d'engagement (2b) solidaire dudit élément rotatif (2).

41. Appareil selon la revendication 40, caractérisé en ce que ledit élément rotatif (2) est un corps rotatif cylindrique dont le centre de rotation coïncide

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avec son axe et en ce que ledit élément mobile (3) présente sa surface de travail (3a) sous ia forme d'un plan complètement horizontal.

42. Appareil selon la revendication 40, caractérisé en ce que ledit élément rotatif (2) est un corps rotatif cylindrique ayant son axe disposé en un emplacement excentré et en ce que ledit élément mobile (3) présente sa surface de travail (3a) sous la forme d'un plan complètement horizontal.

43. Appareil selon la revendication 40, caractérisé en ce que ledit élément rotatif (2) est un corps rotatif non cylindrique, dont la distance de l'axe à la surface de travail (2a) varie progressivement et en ce que ledit élément mobile (3) présente sa surface de travail (3a) sous la forme d'un plan complètement horizontal.

44. Appareil selon la revendication 40, caractérisé en ce que ledit élément rotatif (2) est un corps rotatif cylindrique, dont le centre de rotation coïncide avec son axe et en ce que ledit élément mobile (3) présente sa surface de travail (3a) sous la forme d'un plan horizontal présentant une rainure inclinée par rapport à son sens de déplacement.

45. Appareil selon l'une des revendications 40 à 44, caractérisé en ce que ledit élément rotatif (2) est un corps rotatif auquel la force de rotation dudit pignon conique (65) est transmise au moyen d'une tringle de raccordement (68), ayant une extrémité insérée coulissante dans un emplacement excentré dudit élément rotatif (2) et l'autre extrémité fixée à l'emplacement excentré opposé dudit pignon conique (65).

46. Appareil selon l'une des revendications 40 à 44, caractérisé en ce que ledit élément rotatif (2) est un corps rotatif fixé sur ledit arbre cannelé (66), de manière à transmettre la force de rotation dudit pignon conique (65) audit élément rotatif.

47. Appareil selon l'une des revendications 40 à 46, caractérisé en ce que ledit plan concave dudit bâti (57), sur lequel ledit élément mobile (3) est porté en rotation, est traité par une résine fluorocarbo-née.

48. Appareil selon l'une des revendications 40 à 46, caractérisé en ce que le plan concave dudit bâti (57), sur lequel ledit élément mobile (3) est porté en rotation, est muni d'une portée.

49. Appareil pour la mise en œuvre du procédé de fabrication d'un cône d'obturation pour canaux radiculaires dentaires selon la revendication 1, caractérisé en ce qu'il comprend:

- un pignon (77) fixé sur un arbre (78) prévu verticalement et èn rotation sur un bâti (76) pour l'entraînement en rotation;

- un élément mobile (3) ayant un arbre central adapté à une portée coulissante (84) pour les déplacements en rotation et verticaux, ladite portée étant formée dans un trou traversant disposé sur ledit bâti (76), présentant sur sa surface externe une denture extérieure en prise avec ledit pignon (77) et ayant sa surface de travail (3a) sous la forme d'un disque horizontal;

- un arbre (79) entraîné par un moteur (81) placé sur ledit bâti (76) prévu au travers d'un châssis (80) fixé sur ledit bâti (76), ledit arbre (79) présentant, monté coulissant, un élément rotatif (2) ayant sa surface de travail extérieure (2a) sous la forme d'un plan incurvé parallèle à sa direction axiale (X);

- une came (86) fixée sur l'arbre d'un moteur (85) placé sur la face inférieure dudit bâti (76) et amenée en prise avec l'arbre central dudit élément mobile (3) et

- un galet d'engagement (92a) prévu sur un bras oscillant (92) articulé à une extrémité d'une biellette (89), elle-même articulée à une plaque excentrique (91) fixée sur l'arbre d'un moteur (90) disposé sur ledit châssis (76) et adaptée pour osciller autour d'un axe de pivotement (93) formé sur un châssis (80), ledit galet d'engagement (92a) étant prévu pour coopérer avec une zone d'engagement (2b) solidaire dudit élément rotatif (2).

50. Appareil selon la revendication 49, caractérisé en ce que ledit élément rotatif (2) est un corps rotatif cylindrique dont le centre de rotation coïncide avec son axe et en ce que ledit élément mobile (3) présente sa surface de travail (3a) sous la forme d'un plan complètement horizontal.

51. Appareil selon la revendication 49, caractérisé en ce que ledit élément rotatif (2) est un corps rotatif cylindrique ayant son axe disposé en un emplacement excentré et en ce que ledit élément mobile (3) présente sa surface de travail (3a) sous la forme d'un plan complètement horizontal.

52. Appareil selon la revendication 49, caractérisé en ce que ledit élément rotatif (2) est un corps rotatif non cylindrique dont la distance de l'axe à la surface de travail (2a) varie progressivement et en ce que ledit élément mobile (3) présente sa surface de travail (3a) sous la forme d'un plan complètement horizontal.

53. Appareil selon la revendication 49, caractérisé en ce que ledit élément rotatif (2) est un corps rotatif cylindrique dont le centre de rotation coïncide avec son axe et en ce que ledit élément mobile (3) présente sa surface de travail (3a) sous la forme d'un plan horizontal comportant une rainure inclinée par rapport à son sens de déplacement.

54. Appareil selon l'une des revendications 49 à 53, caractérisé en ce que ledit arbre (78) disposé verticalement sur ledit bâti (76) est entraîné en rotation par un moteur placé en-dessous dudit bâti (76).

55. Appareil selon l'une des revendications 49 à 53, caractérisé en ce que ledit arbre (78) disposé verticalement sur ledit bâti (76) est entraîné en rotation par un pignon conique (82), en prise avec un pignon conique (83) monté sur ledit arbre (79) placé au travers dudit châssis (80).

56. Appareil selon l'une des revendications 49 à 55, caractérisé en ce que ledit élément rotatif (2) est un corps rotatif auquel la force de rotation d'un bras (88) est transmise par l'intermédiaire d'une tringle de raccordement (87), ayant une extrémité insérée coulissante en un emplacement excentré dudit élément rotatif (2) et l'autre extrémité fixée sur ledit bras (88).

57. Appareil selon l'une des revendications 49 à 55, caractérisé en ce que ledit élément rotatif (2) est un corps rotatif fixé sur ledit arbre cannelé (79), de manière à transmettre la force de rotation dudit moteur (81) audit élément rotatif.

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