CH637174A5 - Machine continue a tunnel pour le lavage d'articles par charges successives. - Google Patents

Description

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REVENDICATION

Machine continue à laver des articles, se présentant sous la forme d'un ensemble à tunnel longitudinal opérant sur des charges successives et fait d'une série de modules auxquels sont associés des moyens d'entrée à l'une des extrémités de la machine pour l'introduction des articles à laver et des moyens de sortie à l'extrémité opposée, tandis que chaque module comprend une enveloppe fixe et un tambour monté à l'intérieur de cette dernière de manière à pouvoir y tourner dans un sens et dans l'autre autour d'un axe horizontal, chaque tambour comprenant des parois d'extrémité convenablement éloignées l'une de l'autre, chacune de ces parois d'extrémité comportant une ouverture qui communique avec une ouverture prévue dans le tambour adjacent, et chaque tambour comprenant un couloir de transfert ayant une paroi inclinée concave avec une extrémité de déversement reliée à une partie de la périphérie de l'ouverture dans la paroi précitée du tambour considéré, un bord latéral de cette paroi s'étendant jusqu'à la périphérie de ce tambour et l'autre bord s'arrêtant à une certaine distance de celle-ci de façon à retenir les articles à laver à l'intérieur de ce tambour lors des oscillations limitées de celui-ci ou de sa rotation répétée dans un sens, et pour transférer ces articles de ce tambour au suivant lors de la rotation du premier dans le sens opposé, caractérisé en ce que le couloir de transfert (106) possède également une paroi d'extrémité (110) qui relie l'extrémité opposée de la paroi inclinée (108) à l'ouverture prévue dans la paroi opposée (48) du tambour (42), cette paroi d'extrémité (110) du couloir (106) occupant une partie de l'ouverture prévue dans la paroi d'extrémité du tambour afin de réduire toute interférence avec les articles qui arrivent dans celui-ci.

La présente invention se réfère à une machine à laver des articles de façon continue, présentant un tunnel opérant sur des charges successives et fait d'une série de modules auxquels sont associés des moyens d'entrée à l'une des extrémités de la machine pour l'introduction des articles à laver et des moyens de sortie à l'extrémité opposée, tandis que chaque module comprend une enveloppe fixe et un tambour monté à l'intérieur de cette dernière de manière à pouvoir y tourner dans un sens et dans l'autre autour d'un axe horizontal, chaque tambour comprenant un couloir de transfert.

On utilise couramment les machines à laver continues opérant sur des charges de linge successives en mettant en œuvre divers agencements pour transférer ces charges d'un compartiment ou module de la machine à un autre. On peut notamment prévoir de faire tourner les tambours en va-et-vient, tandis que, pour transférer les charges respectives d'un tambour à l'autre, on les fait tourner de façon unidirectionnelle dans certains cas, ou bien l'on utilise un mécanisme à vis ou à hélice dans d'autres.

L'invention vise à permettre d'établir une machine tunnel travaillant en continu sur des charges successives d'articles à laver, qui soit de construction modulaire et dans laquelle chaque module comprenne un tambour monté à rotation, entraîné en va-et-vient pendant l'opération de lavage, puis de façon unidirectionnelle lors du transfert de la charge d'un module au suivant.

La machine à laver des articles selon l'invention est définie par la revendication.

Le dessin annexé, donné à titre d'exemple, permettra de mieux comprendre l'invention, les caractéristiques qu'elle présente et les avantages qu'elle est susceptible de procurer:

La fig. I est une vue en perspective correspondant à l'extrémité d'entrée d'une machine à laver suivant l'invention, certaines parties des panneaux latéraux étant supposées enlevées.

La fig. 2 est une autre vue en perspective montrant l'extrémité de sortie de la machine.

La fig. 3 montre également en perspective certains détails cons-tructifs de cette machine.

La fig. 4 est une coupe longitudinale correspondant substantiellement à la ligne de coupe 4-4 de la fig. 2 et qui montre les détails constructifs des modules adjacents.

La fig. 5 est une coupe transversale faite substantiellement suivant un plan passant par la ligne de coupe 5-5 de la fig. 2 et propre à faire ressortir d'autres détails de construction d'un module de la machine.

La fig. 6 est une coupe de détail illustrant la couronne dentée d'entraînement et les dispositifs situés entre les tambours des modules adjacents.

La fig. 7 est une vue partielle en élévation montrant le mécanisme de commande des tambours.

La fig. 8 montre en coupe partielle le détail de la périphérie d'un tambour.

La fig. 9 est une vue en élévation partielle de la machine représentants les dispositifs de réglage de liquide et de vidange des modules.

Sur ces dessins, la machine à laver en continu des charges successives de linge ou d'articles analogues y est désignée par la référence générale 10. Comme montré, elle comprend une série de modules individuels 12 dont le nombre peut varier suivant les conditions requises. Etant donné que ces modules sont de constitution substantiellement identique, on se bornera à décrire ci-dessous les détails de l'un d'entre eux. Ainsi qu'on peut le voir, l'entrée de la machine 10 est équipée d'un couloir de chargement 14 comportant un fond incliné 16 à profil incurvé ou concave, à partir duquel s'étendent, vers le haut, des parois latérales 18, le tout étant fermé en bout par une paroi transversale 20. L'extrémité inférieure du couloir 14 communique avec le premier module de la machine 10. Par ailleurs, ce couloir 14 peut être supporté de toute manière appropriée, par exemple par une charpente telle que 22. Les articles à laver lui sont amenés de n'importe quelle façon désirée.

Chaque module 12 comprend une enveloppe ou corps cylindrique 24 (voir plus particulièrement fig. 4 et 5) solidaire de brides extérieures 26 fixées à deux parois transversales 28 par le moyen de boulons 30. Les parois 28 entourent ainsi le module et peuvent donc être qualifiées de latérales par rapport à lui. Elles sont à profil général carré ou rectangulaire, leurs bords étant rabattus intérieurement, comme indiqué en 32, de façon à les rigidifier et à constituer des brides de montage pour d'autres éléments qu'on décrira plus loin. Dans la partie centrale de leur côté inférieur est fixée une plaque porteuse 34 qui se termine, dans le bas, par une bride ou rebord 36 sous lequel sont montés des organes 38 propres à supporter le module considéré sur un socle 40, ce dernier pouvant être préassemblé avec les modules eux-mêmes, ou être constitué par un plancher existant ou autre genre d'embase prévu au point d'installation de la machine. Lorsque ce socle 40 est établi sous forme de fers en I, poutrelles ou analogues, la machine peut se monter plus facilement soit à l'atelier, soit sur place.

A l'intérieur de chaque corps cylindrique 24 est monté un tambour, désigné par la référence générale 42, comprenant une paroi périphérique cylindrique 44 pourvue sur sa surface de zones perforées 46 (fig. 8) destinées à permettre la circulation de l'eau ou de la lessive à travers elle à la façon bien connue de la technique. Cette paroi 44 est rigidement reliée à des parois d'extrémité ou parois latérales 48 lesquelles comportent, à cet effet, un bord 50 rabattu extérieurement et qui se fixe à la paroi périphérique 44 par soudure ou autre moyen équivalent. Comme on peut le voir à la fig. 4, les parois latérales 48 de chaque tambour 42 divergent si on les considère dans le sens radial en direction de l'axe, et chacune d'elles se termine par une partie 54 (fig. 6) inclinée vers l'extérieur dans le sens longitudinal, cette partie étant suivie d'un rebord 56 parallèle à l'axe précité, lequel se fixe à une bride cylindrique 58 solidaire de pièces de renfort 60. Dans chaque module, l'une des parois d'extrémité du tambour comporte une partie cylindrique allongée 62 rigidement fixée au rebord 56, mais, qui s'étend avec un diamètre extérieur légèrement

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inférieur au diamètre intérieur de celui-ci de façon à pouvoir s'engager télescopiquement dans le rebord 56 du tambour du module adjacent, un joint d'étanchéité classique étant disposé entre les zones en vis-à-vis des deux pièces. La bride 58 située sur le côté sortie de chaque tambour 42 porte un anneau périphérique 64 sur lequel est fixée une couronne dentée 66 maintenue en position par des organes appropriés, tels que des vis 68 ou analogues, cette couronne recevant une chaîne d'entraînement 70. Le diamètre de la couronne 66 n'est que faiblement supérieur à celui de la partie cylindrique allongée 62 qui définit le passage entre le tambour 42 d'un module 12 et celui du module suivant. Cette disposition permet de réduire la longueur de la chaîne 70 en même temps que le diamètre de la couronne 66. Par ailleurs, l'intérieur du tambour 42 est pourvu d'un certain nombre de nervures 72 à profil en V, convenablement espacées les unes des autres, et qui sont rigidement fixées à la paroi cylindrique 44 ainsi qu'à celles d'extrémité 48, en vue d'assurer que les articles à lessiver et l'eau renfermés par le tambour soient soulevés, puis rejetés au cours de l'oscillation de ce dernier.

Chacun des tambours 42 est entraîné par un moteur réversible 74 (fig. 7) qu'une double courroie trapézoïdale 76 relie à un arbre intermédiaire 78 de grande longueur disposé dans un angle inférieur des modules 12, cet arbre étant fait de plusieurs parties reliées par des joints 80, lesquels peuvent comporter des organes élastiques pour permettre un certain degré de flexion de l'arbre. Chaque module comprend un réducteur 82 supporté par une console appropriée 84, l'arbre 78 traversant ce réducteur pour constituer son organe d'entrée. La sortie du réducteur 82 comporte une roue dentée 86 (fig. 3 et 5) sur laquelle s'enroule la chaîne 70, de sorte que le tambour 42 considéré se trouve ainsi entraîné par son extrémité de sortie, c'est-à-dire celle à travers laquelle la charge d'articles en cours de lavage est transférée d'un tambour au suivant. Ainsi, bien que chaque module 12 comporte un moteur indépendant 74, tous ceux-ci sont reliés les uns aux autres par l'arbre intermédiaire 78, de sorte que, au cas où l'un d'eux viendrait à ne plus fonctionner, la machine resterait en marche jusqu'à ce qu'on puisse procéder à la réparation et au remplacement du moteur défaillant.

Comme montré, les brides cylindriques 58 de chaque tambour sont supportées par des galets 88 (fig. 3 et 7) qui viennent au contact de la périphérie de celles-ci dé part et d'autre du plan axial longitudinal de la machine. Pour assurer la stabilité latérale, l'anneau 64 se trouve au contact d'autres galets 90 (fig. 3) dont l'axe de rotation est perpendiculaire à celui du tambour 42, alors que les axes des galets 88 précités lui sont parallèles. Ainsi qu'on peut le voir à la fig. 3, les parois transversales 28 du corps 24 peuvent être équipées de nervures de rigidification 92 disposées radialement pour les renforcer,

étant donné qu'elles ont à supporter le poids des tambours en rotation et de leurs contenus. Les rebords extérieurs verticaux de ces parois 28 constituent des surfaces de montage pour des panneaux latéraux amovibles 94 (fig. 1) qui dissimulent le mécanisme d'entraînement et recouvrent de plus petits panneaux 96, disposés à mi-hauteur pour supporter les boîtes de jonction électrique et analogues, ainsi que les appareils d'affichage ou de contrôle 98, lesquels peuvent être observés à travers des ouvertures 100 des grands panneaux 94. De cette manière, le personnel peut inspecter les appareils 98 sans avoir à enlever les panneaux 94, ceux-ci restant toutefois aisément amovibles pour permettre le libre accès aux mécanismes de commande, à l'arbre 78 et aux autres pièces disposées sur l'un des côtés de la machine, ainsi qu'aux ensembles 102 (fig. 3) de commande de niveau et de vidange prévus sur l'autre côté.

La fig. 2 montre l'extrémité de sortie de la machine avec un couloir fixe 104 situé au-dessous du débouché du tambour adjacent et à travers lequel la charge d'articles lavés provenant du dernier module 12 est extraite de celui-ci pour être envoyée à un dispositif d'essorage, à un transporteur ou analogue, de manière que les articles lessivés puissent être ensuite traités à la façon désirée.

Comme on l'a expliqué plus haut, l'une des caractéristiques importantes est constituée par le couloir destiné à transférer la charge d'un module au suivant, ce couloir de transfert étant désigné par la référence 106 et étant plus particulièrement visible aux fig. 4 et 5. Ainsi qu'on peut le voir dans ces figures, ce couloir 106 comporte un fond incliné 108 dont le bord terminal vient se raccorder à celui de l'extrémité libre de la partie cylindrique 62 du tambour dans lequel est monté le couloir 106 considéré. Ce fond 108 s'étend de là en direction du haut et se termine immédiatement à une faible distance du bord libre de la partie 62 du tambour du module précédent. Dans l'ouverture d'entrée du tambour 42 à l'intérieur duquel est monté le couloir considéré, une paroi verticale 110 relie cette extrémité supérieure du fond 108 à la partie inclinée ou raccordement 54 de la paroi d'extrémité 48, comme montré à la fig. 4. Cette orientation du fond 108 assure la plus grande section d'ouverture possible pour le transfert d'une charge d'articles d'un tambour au suivant, ladite section ou gorge étant désignée par la lettre A à la fig. 4. Sur sa périphérie, le fond 108 s'étend entre un bord et l'autre suivant une courbe en forme de spirale et il comporte une zone perforée 112 éloignée d'un bord 114, qui se termine, dans le bas, sur la périphérie de la partie cylindrique 62. La zone perforée précitée s'arrête suivant un bord 116 plus rapproché de la paroi périphérique 44 du tambour 42. Pendant l'opération de lessivage, le moteur d'entraînement est automatiquement inversé de façon à faire tourner le tambour dans un sens d'un angle prédéterminé inférieur à un tour complet, puis dans l'autre suivant le même angle. On peut, par exemple, faire varier cette inversion du sens de rotation d'un tambour de manière que celui-ci oscille suivant une amplitude quelconque comprise entre 270 et 320° dans un sens et dans l'autre. Au cours de cette oscillation, les articles en cours de lavage et la solution de lessive sont soulevés par les nervures 72, puis abandonnés par ces dernières, mais sans retomber dans la partie concave du couloir 106. Si l'on considère la fig. 5, on voit que, pendant l'oscillation du tambour, les articles retombent dans le bas de celui-ci, étant donné que, au cours de ce mouvement, ils sont soulevés jusqu'en un point situé quelque part au voisinage du plan horizontal axial du tambour considéré. La disposition des nervures 72 au-dessous du bord 114 assure que les articles en cours de lavage ne se trouveront pas soulevés au-dessus de ce bord, étant donné que la position relative de celui-ci et des nervures elles-mêmes reste constante. Tout article entraîné en rotation en sens inverse des aiguilles d'une montre (fig. 5) retombe donc entre la paroi intérieure du tambour et le bord 114, ou bien bascule sur la face convexe du fond 108. Au cours de la rotation en sens inverse, le bord 116 ne se déplace pas dans une mesure suffisante pour soulever et renvoyer les articles sur la face supérieure concave de ce fond 108. Au contraire, quand le cycle de lavage est terminé et que les moteurs font tourner les tambours de façon unidirectionnelle dans le sens indiqué par la flèche à la fig. 5, alors le bord prolongé 116 du couloir 106 collecte la charge et la renvoie sur la face supérieure du fond 108 qui, en raison de sa pente, l'évacué à partir de la partie cylindrique 62 dans le tambour suivant, ou bien hors de la machine dans le cas du dernier tambour.

Dans le système de commande de la machine, on peut modifier l'amplitude angulaire du mouvement d'oscillation. Il peut être prévu un dispositif d'horloge pour fixer le cycle de lavage et pour déterminer, après chaque cycle, une période de repos au cours de laquelle un dispositif programmateur central fait avancer le programme correspondant à chaque charge d'articles d'un module au suivant, ce qui permet de laver divers types d'articles par charges successives, les commandes de programme passant d'un module à l'autre pour chacune d'elles à mesure qu'elle avance.

Ainsi qu'on l'a exposé plus haut, d'autres dispositifs à spirale ou à vis pour le transfert de la charge d'un module au suivant ont comporté, par rapport à l'axe de rotation, un angle très important, ce qui aboutissait à une ouverture ou gorge restreinte, étant rappelé que le terme de gorge désigne la section à travers laquelle la charge doit passer pour aller d'un tambour à un autre. Ce grand angle entraînant une gorge resserrée provoquait fréquemment le blocage de la charge; il faut savoir que les articles, qui constituaient celle-ci, pendaient sur le bord de l'ouverture d'évacuation en obturant ainsi

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le tambour et en provoquant un transfert incomplet de la charge considérée. L'angle de transfert, c'est-à-dire celui compris entre l'axe de rotation et le fond 108 du couloir 106, a été diminué en dilatant ainsi la gorge et en l'amenant à de plus fortes dimensions, comme indiqué en A à la flg. 4. Il a été relevé qu'on obtient l'efficacité maxi- 5 male pour l'opération de transfert quand l'angle inclus entre le fond ou paroi 108 et l'axe de rotation du tambour se situe entre 30 et 45:, la valeur optimale étant de 34 , comme indiqué en B à la fig. 4. Cette réduction de l'angle de transfert est obtenue en utilisant la paroi d'extrémité 110, laquelle n'interfère pas avec le passage des articles, io et en prolongeant la paroi 108 jusqu'au bord terminal de la partie cylindrique 62.

Le dispositif de commande permet à l'opérateur de programmer chaque charge ou lot d'articles à laver, de manière à réaliser les meilleures conditions de lavage dans chaque module pour la charge is particulière qui s'y trouve. Si, par exemple, on lave des nappes rouges, chaque module est informé qu'il renferme ce genre d'articles, et les conditions appropriées doivent y être réalisées pour les laver ou, autrement, les traiter à la façon voulue. Cette information est transmise de module en module à mesure que la charge avance dans la machine. Si des draps blancs se trouvent disposés dans celle-ci derrière les nappes rouges, le dispositif de commande de programme actionné par l'opérateur indiquera que l'eau souillée chargée de teinture rouge qui se trouve dans chaque module doit être évacuée avant qu'il ne reçoive les draps blancs, cela afin d'éviter que ceux-ci soient partiellement colorés. Dans la technique usuelle, on fait passer dans la machine ce qu'on appelle des charges vides pour éviter l'apparition de cet inconvénient, ce qui réduit la production. Avec ce genre de commande sus-exposé, l'eau souillée ou colorée peut être évacuée de chaque module après que les nappes rouges y ont terminé leur cycle, de sorte que, lorsque la charge passe d'un module au suivant, l'eau qui se trouvait dans ce dernier est également évacuée, et que les conditions de lavage appropriées sont assurées aux draps blancs lorsqu'ils arrivent dans le module considéré.

Il est clair qu'une machine selon l'invention peut laver du ligne ou tous articles analogues.

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3 feuilles dessins