CH627572A5 - Dispositif d'alarme pour une porte, automatiquement mis hors fonction lors d'un acces licite. - Google Patents

Description

L'invention concerne un dispositif d'alarme pour une porte, 45 automatiquement mis hors fonction lors d'un accès licite, soit qu'il soit fait usage d'une clé, soit que la serrure soit déjà déverrouillée.

Ce genre de dispositif d'alarme évite l'inconvénient de certains dispositifs antérieurs qui devaient être mis en fonction seu- so lement après que les personnes autorisées aient quitté les lieux, par exemple chaque soir après la fermeture d'un local de travail ou d'un établissement, ou lorsqu'on quitte une habitation par exemple pour un voyage. On s'expose à une alarme intempestive si l'on oublie de mettre le dispositif hors fonction avant de ss pénétrer à nouveau dans les lieux protégés et, à l'inverse, on s'expose à une effraction si l'on oublie de mettre le dispositif en fonction avant de quitter les lieux.

On connaît des dispositifs d'alarme avec mise hors fonction automatique évitant cet inconvénient, par exemple celui décrit 60 dans le brevet suisse No 569 334 en référence à la fig. 5 de ce brevet, reproduite à la fig. 1 du dessin ciannexé. L'interrupteur SW1 est disposé dans la gâche, sur le chambranle, de manière à s'ouvrir lorsqu'on manœuvre le pêne de la serrure, coupant ainsi la ligne d'alimentation en provenance de la source de courant S. 65 L'interrupteur SW2 est placé par exemple sur le haut du chambranle et s'ouvre si l'on ouvre ou si l'on force la porte. Si on ouvre la porte normalement, ayant fait usage d'une clé, l'ouverture de SW2 n'a pas d'effet, car SW1, ouvert, coupe l'alimentation. Si en revanche on force la porte sans manœuvrer la serrure, l'ouverture de SW2 déclenche l'alarme car le relais Ry possède des contacts Cl, C2 qui ferment le circuit d'alarme passant par la sirène Bz dès que la bobine Co cesse d'être alimentée. Autrement dit, le relais Ry est fermé au repos.

Cette solution présente cependant certains inconvénients. La présente invention vise à remédier à des inconvénients de ce genre, en proposant un dispositif où le relais ne consomme pas au repos et où les contacts sont prévus sur le battant de la porte, ce qui rend possible une réalisation compacte et facilite la mise en place du dispositif.

Le dispositif d'alarme selon l'invention est caractérisé en ce qu'il comporte un circuit de commande comprenant, en série, une source d'énergie électrique, trois interrupteurs, le premier et le second étant respectivement fermé et ouvert lorsque la porte est fermée et, inversement, ouvert et fermé lorsque la porte est grande ouverte, mais toutefois simultanément fermés pour la phase de manœuvre de la porte où, la porte étant juste entrebâillée, le pêne est nécessairement rétracté, le troisième interrupteur étant commandé par le pêne et fermé sauf lorsque le pêne est rétracté, et un relais se verrouillant en position de travail lors de la fermeture simultanée des trois interrupteurs, et un circuit d'alarme actionné par le relais lorsque ce dernier est en position de travail. Ainsi le dispositif déclenche l'alarme si la porte est forcée sans que le pêne soit rétracté.

Il est à noter que la commande par des interrupteurs mis en série et un relais à contacts de travail, pour économiser l'énergie électrique, pose un problème particulier que la présente invention a résolu. Le problème est le suivant: si l'on s'inspire d'une solution classique, on mettra un interrupteur se fermant quand la porte est ouverte (soit licitement, soit par effraction) et, pour distinguer ces deux cas, on disposera un second interrupteur en série avec le précédent, ouvert si le pêne est rétracté, sinon fermé. Or, il existe des portes à un seul pêne, commandé à la fois par la serrure et par la poignée de porte. Alors, dans ce cas, lorsque la porte est grande ouverte et la poignée relâchée, le pêne ressort et l'alarme va se déclencher intempestivement. Un tel circuit ne peut donc convenir et la solution à ce problème n'est pas évidente.

Il est tout à fait remarquable que l'agencement particulier du dispositif selon l'invention évite totalement ce problème.

L'invention sera mieux comprise à l'aide de la description de quelques formes de réalisation données ci-après à titre d'exemple, en référence aux dessins annexés sur lesquels:

La fig. 1 représente le schéma électrique d'un dispositif connu cité ci-dessus,

la fig. 2 montre un dispositif d'alarme installé sur une porte, la fig. 3 représente une vue de chant de la porte et du dispositif de la fig. 2,

la fig. 4 est une vue analogue à celle de la fig. 3, la porte étant fermée, une partie du chambranle apparaissant en coupe,

la fig. 5 est une vue selon une coupe horizontale partielle illustrant l'agencement de l'interrupteur C,

la fig. 6 représente un schéma électrique possible pour le dispositif,

la fig. 7 représente un autre schéma électrique possible, la fig. 8 représente schématiquement l'état des interrupteurs pour différentes phases de la manœuvre de la porte,

la fig. 9 est un diagramme illustrant le comportement des interrupteurs lors de la manœuvre de la porte,

la fig. 10 est une coupe horizontale analogue à celle de la fig. 5, illustrant une autre forme de réalisation du dispositif,

la fig. 11 est une coupe horizontale analogue à celle de la fig. 10, illustrant un agencement de l'interrupteur C,

la fig. 12 illustre un agencement de l'interrupteur C selon une vue analogue à celle de la fig. 3,

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la fig. 13 illustre une forme de réalisation du dispositif selon tielles. On y voit quels sont les états des interrupteurs lorsque la une vue analogue à celle de la fig. 2, porte est grande ouverte et le pêne 28 en saillie, la poignée de la fig. 14 illustre, selon une vue analogue à celle de la fig. 12, porte ayant été relâchée. L'interrupteur A est alors ouvert et les une variante de l'agencement de l'interrupteur C. interrupteurs B et C fermés.

La fig. 2 montre schématiquement un dispositif d'alarme 40 5 La fig. 4 représente la porte fermée et le chambranle en monté sur une porte 10. La porte 10 comporte classiquement coupe partielle selon un plan passant par les axes des tiges 52

une serrure 22 à cylindre 24, commandant un pêne 28, repré- des interrupteurs. Sur cette coupe, on voit une portion du cham-

senté également en position rétractée 28'. Le pêne 28 est égale- branle 30 avec la gâche 32 dans laquelle le pêne 28 (non repré-

ment commandé par la poignée de porte. On voit sur la plaque senté sur cette figure) est destiné à s'engager. Le trou 53C se de propreté 20 l'ouverture 26 correspondant à la poignée de 10 prolonge par un trou 33 ménagé dans la gâche, et éventuelle-

porte. Le dispositif 40, représenté de manière schématique, ment percé à la même occasion que le trou 53C. Sur cette figure,

comporte un organe d'alarme 120, par exemple une sirène, ou le pêne est censé être rétracté, de sorte que la tige 52C n'est plus une commande à distance de signal d'alarme, ou une commande en butée, ce qui permet à la douille 51C d'être entièrement d'appel automatique. L'organe d'alarme 120 est commandé par repoussée dans son logement par la lame 70. A cause de la un relais 110, et en 100 sont prévues des piles ou des batteries 15 présence de la butée 64C, la lame 60 ne peut entrer en contact pour l'alimentation en énergie électrique. Certains détails se- avec la douille 51C: l'interrupteur C est donc ouvert.

condaires du circuit et certaines connexions ne sont pas repré- A la fig. 4, on voit que la tige 52B de l'interrupteur B porte sentés. Le dispositif 40 comporte trois interrupteurs A, B et C. simplement contre la surface du chambranle 30, obligeant la

Chacun de ces interrupteurs comporte une partie mécanique douille 51B à sortir, ce qui coupe le contact entre la borne 80 et comprenant une douille cylindrique 51 mobile axialement dans 20 la lame 70.

un logement 50 ménagé dans le dispositif 40. La douille 51 En face de la tige 52A de l'interrupteur A se trouve un piton comporte un trou fileté axial dans lequel est engagée de manière 36 logé dans un trou 37 prolongeant le trou 53A ménagé dans la réglable une tige filetée 52. battue 14 de la porte 10 et, éventuellement, percé à la même

L'état des interrupteurs A et B dépend de la position de la occasion que lui. Lorsque la porte est fermée, ce piton repousse porte, et l'état de l'interrupteur C dépend de la position du 25 la tige 52A de sorte que la douille 51A sortant de son logement pêne, comme le montrent les fig. 3 et 4. établit le contact entre les lames 90 et 60. Le piton répond au Les douilles des interrupteurs respectifs sont repoussées par but suivant. Lorsque la porte est grande ouverte (fig. 3), le fait des lames élastiques 60,70 et 90, qui servent en même temps que la tige 52B se trouve en saillie est sans grande conséquence, d'éléments de contact électrique. La lame 90 appuie sur la Si elle est repoussée accidentellement ou volontairement par un douille 51A de l'interrupteur A. La lame est en métal, elle est 30 enfant, par exemple, cela ouvre l'interrupteur B, mais il se fixée par une vis 62 au boîtier du dispositif 40, lequel est en trouve déjà en série avec un interrupteur ouvert: A. En rematière isolante, par exemple en plastique. vanche, on ne doit pas pouvoir accidentellement faire manœu-Sur la douille 51A appuie également une portion de la lame vrer de cette manière l'interrupteur A, le seul qui reste ouvert, 60. La douille est en matériau conducteur ou, au moins, com- car en le fermant on actionnerait intempestivement l'alarme, porte un élément conducteur là où elle coopère avec les lames 35 Aussi la tige 53A ne doit-elle pas se trouver en saillie lorsque la 90 et 60. Ainsi, lorsque la douille 51A est en saillie, elle établit porte est ouverte. Cela signifie qu'elle ne peut être repoussée le contact entre les lames 90 et 60. Toutefois, lorsque la douille par la surface du chambranle 14. C'est alors le piton 36 qui 51A est complètement repoussée dans son logement 50A par la provoque le mouvement de la tige 52A.

lame 90, le contact est coupé car la lame 60 est retenue par une Comme il a été dit plus haut, chaque tige 52 est engagée de butée 64A et ne touche donc pas la duille 51 A. 40 manière réglable dans le trou fileté axial de la douille 51 corres-Une autre portion de la lame 60 appuie sur la douille 51C de pondante. La douille 51 peut comporter une rainure axiale exté-I'interrupteur C et est également retenue par une butée 64C. rieure coopérant avec une gorge axiale correspondante dans le Une portion d'une autre lame 70 appuie également sur la logement 50 pour empêcher la douille de tourner lorsqu'on rè-douille 51C. La tige 52C bute contre le pêne 28 lorsque ce gle la tige filetée par vissage (non représenté au dessin). Ce dernier est en position normale, c'est-à-dire en saillie par rap- 45 réglage permet d'obtenir le comportement prévu pour les interport au bord de la porte. Lorsque le pêne est rétracté en 28', la rupteurs, comme décrit plus particulièrement en référence aux tige 52C n'est plus en butée, de sorte que la lame 70 peut fig. 8 et 9.

repousser la douille 51C complètement dans son logement 50C. La fig. 5 représente une coupe partielle horizontale passant

Le contact entre la lame 70 et la lame 60 est alors coupé, du fait par l'axe de la douille 51C; le pêne est représenté en position que la lame 60 est retenue par une butée 64C, de manière 50 non rétractée et il est engagé dans la gâche 32. La tige 52C passe analogue à ce qui était le cas pour l'interrupteur A. L'autre par le trou 33 de la gâche 32 et se trouve en butée sur le pêne portion de la lame 70 porte sur la douille 51B. Lorsque cette 28. La douille 51C est donc repoussée en position saillante hors douille est complètement repoussée dans son logement, la lame de son logement 50C. L'interrupteur C est donc fermé.

peut porter sur une borne 80. Lorsque la douille 51B est suffi- La fig. 6 montre un schéma électrique possible pour le dis-

samment en saillie, le contact entre la lame 70 et la borne 80 est 55 positif d'alarme. Les interrupteurs A, B et C sont dans les états coupé. respectifs qu'ils ont lorsque la porte est fermée et le pêne en

Les tiges 52A, B et C sortent du dispositif 40 à la base des position normale. Les trois interrupteurs sont en série ; une logements respectifs 50A, B et C et s'engagent dans les trous source d'énergie électrique 201 est intercalée dans la série. Le respectifs 53A, B et C prévus à cet effet dans le rebord 14 de la circuit se referme par la bobine d'un relais 210. Ce dernier doit porte 10. Pour établir l'emplacement des trous à percer, on peut 60 être à action irréversible. On entend par là que si une impulsion utiliser un chablon ou utiliser le boîtier du dispositif 40, les trous excite la bobine et, ainsi, actionne un interrupteur commandé

ménagés au fond des logements 50 permettant de positionner de 214, ce dernier ne doit pas revenir à sa position de repos même façon précise l'emplacement des trous 53 qu'il faut percer dans si la bobine cesse d'être excitée. Autrement dit, il suffit d'une la porte. Si le boîtier est construit avec une plaque de fond (non impulsion pour que le relais «colle». Pour le «décoller», une représentée), on peut aussi utiliser cette dernière comme cha- es action spécifique doit être entreprise, par exemple dévisser le blon. couvercle de protection et retirer les piles ou manoeuvrer une

On a ainsi trois interrupteurs en série: A, B et C. quelconque commande, tel qu'un levier de déverrouillage prévu

La fig. 3 représente la porte vue de chant avec coupes par- sur ce genre de relais.

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Lorsque le relais 210 est actionné, fermant le contact 214, on excite le circuit d'alarme qui comporte une source d'alimentation 202 et un organe d'alarme 220 tel qu'une sirène ou un appareil commandant un appel téléphonique automatique ou actionnant à distance un signal d'alarme.

La source 201 pourrait être placée ailleurs, dans le circuit, et l'ordre des interrupteurs pourrait être modifié sans changer le principe de montage série. En variante, on peut prévoir un interrupteur supplémentaire D constitué par un détecteur particulier qui réagit en se fermant lorsqu'on tente de forcer la serrure elle-même. Cet interrupteur est placé en parallèle avec B et C, normalement ouverts.

La fig. 7 représente une variante où le dispoistif 40 ne comporte qu'une seule alimentation 200. L'interrupteur D prévu en variante peut être disposé en parallèle soit à B et C, comme représenté, soit à toute la série B, C, A. Le circuit est tel que du courant est consommé uniquement lorsque l'alarme est déclenchée. Cependant, une pile ou une batterie peut, à la longue, se décharger sans avoir été utilisée. Il est utile de prévoir sur le dispositif d'alarme 40 un petit circuit d'indication de la charge de la pile ou de la batterie. Ce circuit, non représenté, serait branché aux bornes de l'alimentation. II peut comprendre par exemple un interrupteur à contact de travail commandé par un bouton-poussoir, en série avec un voltmètre, ou un voyant qui ne s'allume que si la charge est encore suffisante.

La fig. 8 représente les états des interrupteurs A, B et C en fonction des différentes phases de la manœuvre d'une porte. En I, la porte est fermée et le pêne est en position normale (28, fig. 5). En II, la poignée est actionnée, le pêne est rétracté et la porte toujours fermée (fig. 4), En III, la porte est juste entrouverte. En IV, la porte est ouverte plus largement, mais le pêne est encore nécessairement rétracté. En IV on peut relâcher le pêne. En V, le pêne est relâché (fig. 3). En VI, tous les interrupteurs sont fermés. Ceci ne peut se produire que si l'on force la porte sans disposer de clé. C ne peut donc être que fermé. Au moment où illicitement on entrebâille la porte, par exemple en la forçant à l'aide d'un levier, l'interrupteur B se ferme avant que l'interrupteur A ne s'ouvre, comme en phase III, sauf que C étant fermé également, le relais va être excité et l'alarme donnée. II faut un certain temps pour démonter le dispositif et atteindre les piles ou le levier de déjà verrouillage du relais, et ce délai suffit pour que le signal soit déjà transmis avant que l'auteur de l'effraction n'ait la possibilité d'arrêter le fonctionnement du dispositif.

La fig. 9 représente sous forme d'un diagramme les phase I à V en fonction de la position angulaire a de la porte. La courbe P est relative à la manœuvre du pêne. La ligne pointillée indique que le pêne peut être relâché plus tard que nécessaire (ou que,

lors de la fermeture, le pêne peut être rétracté plus tôt que nécessaire). Les courbes C, B, A sont relatives aux interrupteurs, 1 signifiant interrupteur fermé, 0 signifiant interrupteur ouvert. A.B est le produit des fonctions A et B.

5 La fig. 10 montre une forme de réalisation du dispositif où les interrupteurs A, B et C sont disposés en dehors de la porte, de manière à éviter l'obligation de percer cette dernière. Les interrupteurs A et B ne posent pas de problèmes particuliers.

Pour l'interrupteur C on prévoit un agencement différent io illustré aux fig. 11 à 13. Deux lames de contact 150 sont agencées, l'une au-dessus du pêne, l'autre au-dessous. Ces lames sont coudées de manière à se conformer au profil de la porte. A l'extrémité de chacune des lames se trouve une portion conductrice 159, en légère saillie et en appui élastique contre le pêne 28 15 lorsqu'il n'est pas rétracté. Le pêne, en métal, établit alors le contact. Lorsque le pêne est rétracté, le contact est coupé, comme prévu pour le fonctionnement du dispositif. Les lames de contact 150 coopèrent avec le pêne 28 pour constituer l'interrupteur C.

20 Chaque plaque est coincée en position contre le boîtier du dispositif 40 par une plaque 154 serrée par des vis 156. Lors de la mise en place des lames 150, lorsque ces dernières sont correctement disposées par rapport au pêne 28, on visse la plaque 154 qui est en matériau isolant. Chaque lame comporte des 2s petites dents 151 qui pénètrent dans l'isolant de la plaque au moment où on la visse, immobilisant ainsi de façon rigoureuse la lame.

En variante, ces dents 151 pourraient coopérer avec une zone conductrice pour établir le contact électrique. Les con-30 nexions électriques des lames ne sont pas représentées, mais leur réalisation n'offre pas de difficulté particulière.

La fig. 13 est une vue analogue à celle de la fig. 2. On remarque que les interrupteurs A et B sont disposés sur des bossages 41,42 permettant d'éviter le percement de la porte. 35 Les lames 150, non visibles sur la fig. 13, sont tenues par la plaque 154.

La fig. 14 est une vue analogue à la fig. 12 montrant une variante pour la réalisation de l'interrupteur C. Une seule lame 170 porte deux contacts 178,179 coopérant avec le pêne 28. 40 Chaque contact est relié à un conducteur, respectivement 188 et 189, représenté schématiquement sur la figure. La lame 170 est fixée au boîtier par une vis 180 et une rondelle 181.

Chaque conducteur pourrait par exemple être constitué par un dépôt métallique sur une plaque 170 en matériau isolant. 45 Mais on peut aussi prévoir une plaque 170 conductrice et constituant l'un des deux conducteurs, par exemple 189, l'autre conducteur 188 étant une bande métallique collée avec interposition d'isolant sur la lame 170.

5 feuilles dessins

Claims (9)

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1. Dispositif d'alarme pour une porte, automatiquement mis hors de fonction lors d'un accès licite, soit qu'il soit fait usage d'une clé, soit que la serrure soit déjà déverrouillée, caractérisé

en ce qu'il comporte un circuit de commande comprenant, en 5 série, une source d'énergie électrique, trois interrupteurs, le premier et le second étant respectivement fermé et ouvert lorsque la porte est fermée et, inversement, ouvert et fermé lorsque la porte est grande ouverte, mais toutefois simultanément fermés pour la phase de manœuvre de la porte où, la porte étant juste 10 entrebâillée, le pêne est nécessairement rétracté, le troisième interrupteur étant commandé par le pêne et fermé sauf lorsque le pêne est rétracté et un relais se verrouillant en position de travail lors de la fermeture simultanée des trois interrupteurs, et un circuit d'alarme actionné par le relais lorsque ce dernier est 15 en position de travail.

2. Dispositif selon la revendication 1, caractérisé en ce que la source d'énergie est une pile ou une batterie.

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REVENDICATIONS

3. Dispositif selon la revendication 2, caractérisé en ce qu'il comporte un indicateur de la charge de la pile ou de la batterie. 20

4. Dispositif selon la revendication 1, caractérisé en ce que le circuit d'alarme est alimenté en énergie électrique par la même source que celle prévue sur le circuit commandant le relais.

5. Dispositif selon la revendication 1, caractérisé en ce que 25 le circuit de commande est agencé dans un boîtier destiné à être installé sur la porte.

6. Dispositif selon la revendication 5, caractérisé en ce que le boîtier renferme également le circuit d'alarm.

7. Dispositif selon la revendication 1, caractérisé en ce que 30 le circuit d'alarme est agencé pour commander à distance le déclenchement d'un signal d'alarme.

8. Dispositif selon la revendication 1, caractérisé en ce que le circuit d'alarme est agencé pour commander un appel téléphonique. 35

9. Dispositif selon la revendication 1, caractérisé en ce que le circuit de commande comporte un quatrième interrupteur monté en parallèle avec au moins le deuxième interrupteur et agencé sur la serrure de manière à se fermer lorsqu'on force la serrure, fermant ainsi le circuit de commande et actionnant le 40 relais.