CH620626A5 - - Google Patents

Description

L'invention concerne un dispositif de bridage pour fixer des pièces à usiner sur la table d'une machine-outil dotée de rainures en T telle que les fraiseuses, perceuses, étaux-limeurs ou similaires.

Les pièces à usiner devant être solidement fixées à la table de la machine-outil pour éviter leur déplacement sous l'action de l'outil, on a le plus souvent recours à des étaux ou d'autres dispositifs de bridage rendus, pour la circonstance, solidaires de la table de la machine.

Parmi ces dispositifs, on connaît (brevet français N° 72.02940) une solution consistant à déplacer angulairement une mâchoire articulée dotée d'une denture accouplée à une vis tangentielle de commande, ces deux organes étant logés dans un boîtier dont la face inférieure est pourvue d'un talon à section en T se logeant dans les rainures de la table de la machine-outil.

Ce type de dispositif est efficace lorsqu'il s'agit de brider légèrement des pièces, mais devient peu fiable pour un bridage énergique. Or, si le couple de l'outil est important, la pièce insuffisamment serrée risque de bouger, voire de se libérer du dispositif, devenant alors un réel danger pour l'opérateur.

Cette insuffisance de serrage (qui doit être 1,21 environ) provient du fait que le bras de levier entre la mâchoire et la vis de commande, c'est-à-dire l'entre-axe entre l'axe de rotation de cette mâchoire et l'axe de la vis, est court, et en particulier inférieur à la distance séparant cet axe de la mâchoire de son extrémité opérationnelle, de sorte que le couple de ladite mâchoire est faible.

On ne pouvait toutefois augmenter notablement cet entre-axe sans être contraint d'augmenter proportionnellement les dimensions du boîtier afin de permettre le logement et le débattement de ce nouveau bras de levier allongé. Une telle réalisation consistant à multiplier par deux ou par trois la longueur du bras de levier serait donc techniquement impossible, car elle supposerait une augmentation corrélative du volume du boîtier qui serait devenu lourd, encombrant et difficile à loger, sous les têtes des fraiseuses notamment.

L'invention a pour but de résoudre ce problème.

L'invention concerne donc un dispositif pour le bridage de pièces à usiner sur une machine-outil, constitué d'un boîtier muni d'un organe d'ancrage pour le fixer à la table de la machine-outil et d'une mâchoire articulée, dont le déplacement angulaire est assuré par un organe de commande accessible de l'extérieur du boîtier, caractérisé en ce que la mâchoire est prolongée par un bras de levier indépendant pourvu de moyens d'accouplement avec l'organe de commande, la mâchoire et le bras de levier étant articulés sur le même axe et étant mobiles en rotation l'un par rapport à l'autre mais pouvant être rendus solidaires, suivant des

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positions angulaires différentes, à l'aide d'un organe d'accouplement amovible, afin de basculer ensemble lors de la mise en œuvre de l'organe de commande.

Ce dispositif peut alors exercer des pressions de 3 à 4 tonnes et convient ainsi au bridage de toutes pièces à usiner, même sur machines de fortes dimensions.

Suivant un mode de réalisation, le bras de levier est en forme de secteur, son extrémité opposée à celle articulée sur l'axe de la mâchoire étant pourvue d'une denture engrenant avec les dents de l'organe de commande en forme de vis sans fin.

Suivant un mode de réalisation préférentiel, le bras de levier est pourvu de quatre orifices transversaux, chacun de ceux-ci pouvant être amené sélectivement en regard d'un des trois orifices de même diamètre traversant la mâchoire, la solidarisation en rotation du bras de levier et de la mâchoire dans une position angulaire choisie étant réalisée à l'aide d'une broche amovible.

Selon un autre mode de réalisation, l'organe d'ancrage est constitué d'une tige filetée se vissant dans la face inférieure du boîtier, d'un talon à section en T se logeant dans la rainure de forme correspondante d'une table de machine-outil et d'un écrou et rondelle de blocage immobilisant linéairement le dispositif par rapport à la machine.

Un dispositif de bridage selon l'invention est représenté à titre d'exemple sur les figures ci-jointes, dans lesquelles :

la fig. 1 est une vue en coupe longitudinale,

la fig. 2 est une vue en coupe partielle du dispositif de bridage équipé d'un bloc intercalaire élévateur.

Le dispositif représenté est constitué essentiellement de quatre éléments, le boîtier 1 formant le corps du dispositif, une mâchoire 2 montée rotative, un bras de levier 3 monté basculant sur le même axe que la mâchoire et, enfin, un organe de commande 4 accessible de l'extérieur du boîtier.

Le boîtier 1 se présente sous la forme d'un bloc métallique venu de fonderie, de forme sensiblement parallélépipédique, ce bloc étant évidé et accessible de l'extérieur par une fenêtre 5, réalisée dans l'une des parois latérales du boîtier, et par une fenêtre 6 réalisée sur la paroi frontale 7 de ce boîtier, cette fenêtre épousant le profil circulaire de cette paroi frontale 7 se raccordant à la paroi supérieure 8 dudit boîtier.

Les deux parois latérales du boîtier sont pourvues d'un orifice 9 servant de palier à un axe d'articulation 10 sur lequel sont montés, mobiles en rotation, la mâchoire 2 et le bras de levier 3. Ainsi, la mâchoire et le bras de levier sont mobiles angulairement sur l'axe commun 10 et peuvent se déplacer en rotation l'un par rapport à l'autre.

Ce boîtier comporte, en outre, deux autres orifices circulaires 11 et 12 dans lesquels sont engagés des pions de contre-réaction 13 venant respectivement en butée sur les deux faces latérales de l'extrémité arrière du bras de levier 3, ces pions étant décalés en hauteur afin d'éviter un effet de voilage du bras de levier lorsqu'il est entraîné par l'organe de commande 4.

On a, pour des besoins de clarté, illustré dans la fig. 1 les deux pions de contre-réaction 13, afin de montrer leur position respective, bien que, du seul point de vue du dessin, l'un de ces deux pions soit en réalité visible, compte tenu du plan par où passe la coupe. Le corps, ou boîtier, comporte enfin un logement 14 dans lequel est inséré l'organe de commande 4 qui, dans l'exemple considéré, est constitué par une vis sans fin 15 dont l'extrémité supérieure est pourvue d'une tête polygonale 16, par exemple une tête à six pans en vue de son entraînement, par une manivelle par exemple.

La mâchoire 2 est constituée d'un doigt de bridage 2i destiné à venir prendre appui sur la pièce à usiner 17, cette dernière reposant sur le niveau supérieur de la table 18 de la machine-outil telle que fraiseuse, perceuse, étau limeur ou autre. Cette mâchoire est montée basculante sur son axe de rotation 10 et comporte une queue 2i chevauchant partiellement le bras de levier 3. Cette mâchoire comporte en outre trois orifices transversaux 19, 20 et

21 servant à son accouplement suivant des positions angulaires différentes avec le bras de levier 3, comme indiqué ci-après. Cette mâchoire peut librement pivoter autour de son axe 10 grâce à la fenêtre 6 figurant sur la paroi frontale du boîtier 1.

Le bras de levier 3 se présente sous la forme d'un secteur dont l'une des extrémités est articulée sur l'axe 10, tandis que l'extrémité opposée 22 est pourvue d'une denture engrenant avec les dents de la vis sans fin 15 qui est disposée tangentiellement à cette denture. Ce bras de levier comporte quatre orifices transversaux 23 susceptibles d'être amenés sélectivement en regard de l'un quelconque des orifices 19, 20 ou 21 de la mâchoire.

Ce bras de levier 3 a un débattement angulaire autour de l'axe 10 et sa course est limitée par les parois internes 24 et 25 des faces supérieure et inférieure du boîtier.

Le jeu des orifices 19, 20, 21 et 23 de la mâchoire et du bras de levier permet un accouplement de ces deux pièces dans des positions angulaires différentes, cet accouplement étant réalisé à l'aide d'une broche 26 insérée dans les orifices amenés en regard l'un de l'autre. Cette broche a pour effet de rendre solidaire la mâchoire et le bras de levier afin qu'ils basculent ensemble sur l'axe 10 lors de la rotation de la vis de manœuvre 15.

Cette sélection de la position angulaire de la mâchoire par rapport au bras de levier a pour effet de diviser l'amplitude de ce dernier en faisant en sorte que sa course corresponde à l'entrée en contact immédiate de la mâchoire avec la pièce à usiner. En d'autres termes, la mâchoire est d'abord amenée le plus près possible de la pièce à usiner par le réglage grossier de la broche 26, puis le réglage fin et le bridage s'effectuent par une course faible du bras de levier sous l'action de la vis de manœuvre 15. Cette conception a pour effet de permettre d'augmenter notablement l'entre-axe existant entre l'axe 10 et l'axe médian de la vis de manœuvre 15, sans pour autant augmenter de façon sensible le volume du boîtier 1.

Le dispositif de bridage est immobilisé par rapport à la table de la machine-outil par un talon 27 à section en T que l'on fait coulisser dans l'une des rainures 28 de section complémentaire prévues dans les tables de machines-outils. Ce talon 27 est relié au corps du boîtier par une vis 29, en partie vissée dans un orifice taraudé 30 du talon et dans un orifice taraudé 31 du boîtier.

Cet orifice reçoit, par ailleurs, un écrou de blocage 32 associé à une rondelle 33, cet écrou à six pans prenant appui sur la face supérieure 18 de la table de la machine-outil afin de bloquer linéairement le dispositif de bridage par rapport à la table, tout en permettant la roation de celui-ci.

Enfin, le doigt de bridage 2i de la mâchoire 2 est pourvu d'un berceau 34 monté articulé sur un axe 35, ce berceau en forme de U, illustré en coupe, pouvant prendre dés positions angulaires différentes par rapport au doigt de bridage 2\, de manière qu'il puisse prendre appui sur des pièces présentant des faces obliques.

Selon la fig. 2, le dispositif de bridage tel que décrit est associé à un ou plusieurs blocs intercalaires 36 destinés à surélever le dispositif de bridage afin de permettre le serrage de pièces de grande hauteur.

Ce bloc est constitué d'une sorte de boîtier évidé, sensiblement parallélépipédique, présentant au voisinage de sa face supérieure 51 un logement 52 ayant une forme complémentaire de l'organe d'ancrage 53 dont est pourvu le dispositif de bridage proprement dit ou le bloc intercalaire contigu.

Il faut préciser ici en effet que le bloc intercalaire peut être utilisé seul avec le dispositif de bridage ou peut être conjugué à d'autres blocs intercalaires identiques superposés si la pièce à brider est de grande hauteur. Dans l'exemple considéré, le bloc 36 est utilisé seul.

Le logement 52 est constitué par une fraisure dans laquelle s'engage l'organe d'ancrage 53 qui, en section, peut avoir la forme d'un T renversé (identique à l'organe d'ancrage 27, fig. 1), cet organe étant rendu solidaire du boîtier de bridage 1 par une vis 54 à tête creuse à six pans.

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Cette fraisure 52 forme avec une nervure 55 faisant saillie à l'intérieur du bloc 36 le logement dans lequel vient se verrouiller l'organe d'ancrage 53.

Ce verrouillage est complété par un verrou 56 formé d'un pion sollicité constamment en saillie par rapport à la face supérieure 51 du bloc 36 par un ressort 57, ce pion étant engagé dans un trou borgne 58 du bloc 36 et étant solidaire d'un doigt radial 59 coulissant dans une lumière 60 ménagée dans la paroi dudit bloc.

Le verrouillage du boîtier de bridage 1 ou du bloc intercalaire s'effectue par simple glissement vers l'avant (flèche F) de l'organe d'ancrage 53 dans le logement 52 et par pénétration du pion 56 dans un trou borgne complémentaire 61 ménagé dans la face inférieure 62 du boîtier de bridage 1 ou bloc intercalaire.

Ce bloc intercalaire 36 comporte une seconde nervure 63, faisant également saillie à l'intérieur du bloc, cette nervure servant à la fixation, par le jeu d'une vis 64 à tête creuse à six pans, d'un organe d'ancrage 65 identique à l'organe d'ancrage 53.

La face inférieure 66 du bloc intercalaire 36 comporte, elle aussi, un orifice borgne 67 identique à l'orifice 61 du boîtier de bridage 1.

Le bloc intercalaire 36 s'utilise en association avec une semelle 68 destinée à être bridée sur une table 69 de la machine-outil qui comporte une rainure 70 ayant la section d'un T renversé. Cette semelle, à l'instar du bloc 36, comporte un logement 71 identique au logement 52 du bloc et destiné à recevoir l'organe d'ancrage 65. Il comporte, en outre, un verrou 72 rigoureusement identique au verrou 56 destiné à venir s'engager dans l'orifice 67 du bloc 36.

Cette semelle comporte enfin un organe de fixation 73 ayant s une forme complémentaire de la rainure 70 de la table de la machine-outil, cet organe de fixation étant assemblé à la semelle par une vis 74 à tête creuse à six pans prenant appui sur une rondelle 75 venant se verrouiller dans un logement 76 formé par une fraisure réalisée dans le corps de la semelle 68.

io Cette vis 74 est, avant montage du bloc 36, accessible par l'intérieur de la semelle à l'aide d'un outil et sert ainsi au bridage de la semelle par rapport à la table de la machine-outil et, par suite, au bridage de l'ensemble des éléments superposés: blocs intercalaires et boîtier 1.

15 La caractéristique essentielle de ces blocs intercalaires réside dans le fait que chacun de ceux-ci comporte à la fois les organes mâle et femelle, leur permettant d'être accouplés entre eux ou d'être assemblés à la semelle de fixation 68 ou au boîtier de bridage 1. En effet, tous les organes d'ancrage 63 ou 65 sont rigou-20 reusement identiques, de même que les verrous 56 ou 72, de même encore que les logements de verrouillage 52 ou 71 servant à la réception des organes 53 et 65.

Du fait de cette conception simple et pratique, on peut obtenir, selon le nombre de blocs intercalaires utilisés, un dispositif de 25 bridage stable à composants modulaires.

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2 feuilles dessins

Claims (12)

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1. Dispositif pour le bridage de pièces à usiner sur une machine-outil, constitué d'un boîtier muni d'un organe d'ancrage pour le fixer à la table de la machine-outil et d'une mâchoire articulée, dont le déplacement angulaire est assuré par un organe de commande accessible de l'extérieur du boîtier, caractérisé en ce que la mâchoire est prolongée par un bras de levier indépendant pourvu de moyens d'accouplement avec l'organe de commande, la mâchoire et le bras de levier étant articulés sur le même axe et étant mobiles en rotation l'un par rapport à l'autre, mais pouvant être rendus solidaires, suivant des positions angulaires différentes, à l'aide d'un organe d'accouplement amovible, afin de basculer ensemble lors de la mise en œuvre de l'organe de commande.

2. Dispositif selon la revendication 1, caractérisé en ce que le bras de levier est en forme de secteur, son extrémité opposée à celle articulée sur l'axe de la mâchoire étant pourvue d'une denture engrenant avec les dents de l'organe de commande en forme de vis sans fin.

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REVENDICATIONS

3. Dispositif selon l'une quelconque des revendications 1 et 2, caractérisé en ce que le bras de levier est pourvu de quatre orifices transversaux, chacun de ceux-ci pouvant être amené sélectivement en regard d'un des trois orifices de même diamètre traversant la mâchoire, la solidarisation en rotation du bras de levier et de la mâchoire dans une position angulaire choisie étant réalisée à l'aide d'une broche amovible.

4. Dispositif selon la revendication 1, caractérisé en ce que l'organe d'ancrage est constitué d'une tige filetée se vissant dans la face inférieure du boîtier, d'un talon à section en T se logeant dans la rainure de forme correspondante d'une table de machine-outil, et d'un écrou et rondelle de blocage immobilisant linéairement le dispositif par rapport à la machine-outil.

5. Dispositif selon la revendication 1, caractérisé en ce que l'extrémité de la mâchoire est pourvue d'un berceau articulé permettant de prendre appui sur des pièces inclinées.

6. Dispositif selon la revendication I, caractérisé en ce que le boîtier est une pièce de fonderie comportant sur l'une de ses faces latérales une première fenêtre permettant d'avoir accès aux orifices d'accouplement du bras de levier et de la mâchoire et d'une seconde fenêtre frontale pour le débattement angulaire de la mâchoire, les parois internes des faces inférieure et supérieure du boîtier formant les butées fin de course du bras de levier.

7. Dispositif selon la revendication 6, caractérisé en ce que le boîtier est pourvu de deux orifices décalés traversant ses deux parois latérales, ceux-ci recevant des pions de contre-réaction en saillie à l'intérieur du boîtier, ceux-ci évitant le voilage du bras de levier lors de son entraînement par la vis de commande.

8. Dispositif selon l'une quelconque des revendications 1 à 7, caractérisé en ce qu'il est associé à au moins un bloc intercalaire pourvu sur sa face supérieure (51), d'une part, d'un logement (52) ayant une forme complémentaire de l'organe d'ancrage du boîtier (1), ou de celui d'un bloc intercalaire contigu (36) et, d'autre part, d'un verrou (56) s'engageant dans un orifice (61) ménagé dans la face inférieure du boîtier ou du bloc, la face inférieure (66) du bloc intercalaire (36) étant elle-même pourvue d'un organe d'ancrage (65) et d'un orifice (67) pour recevoir le verrou (56) d'un bloc contigu.

9. Dispositif selon la revendication 8, caractérisé en ce que le bloc intercalaire (36) est associé à une semelle (68) pourvue sur sa face supérieure d'un logement (71), ayant une forme complémentaire de l'organe d'ancrage (65) du bloc intercalaire contigu (36), et d'un verrou (72) s'engageant dans l'orifice (67) ménagé dans la face inférieure (66) du bloc (36), cette semelle comprenant, en outre, un organe de fixation (73), accessible de l'extérieur, destiné au bridage de la semelle dans les rainures (70) de la table (69) de la machine-outil.

10. Dispositif selon la revendication 8, caractérisé en ce que le bloc intercalaire (36) est évidé et comporte intérieurement deux nervures transversales (55-63), l'une inférieure pourvue d'un orifice taraudé dans lequel est vissée une tige filetée (64) à laquelle est fixé l'organe d'ancrage (65), l'autre supérieure formant, avec une fraisure (52), le logement pour recevoir l'organe d'ancrage (53) du boîtier (1) ou du bloc intercalaire contigu (36).

11. Dispositif selon la revendication 8, caractérisé en ce que le verrou (56-72) est constitué d'un pion monté sur ressort (57) dans un trou borgne (58) du bloc intercalaire, un doigt radial (59), solidaire du pion, coulissant dans une lumière (60) du bloc intercalaire et faisant saillie à l'extérieur.

12. Dispositif selon la revendication 9, caractérisé en ce que la semelle (68) est pourvue d'une rainure longitudinale dans laquelle coulisse une vis (74) à tête creuse à six pans, accessible de l'extérieur, l'extrémité de cette vis étant engagée dans un orifice taraudé de l'organe de fixation (73) en forme de T renversé, en prenant appui sur une rondelle de verrouillage (75) venant en prise dans une rainure de bridage (76).